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Faits divers concernant les chéloniens
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Des dizaines de tortues d'Hermann victimes d'un incendie dans le Var Des dizaines de tortues d'Hermann, dernière espèce terrestre de France, ont été victimes d'un incendie en août dans la plaine des Maures (Var), ont annoncé jeudi des organismes de protection de l'environnement. Cinquante-quatre tortues ont été retrouvées mortes et huit vivantes sur une partie de la zone de 37 hectares ravagée par les flammes dans la commune de Péguier-le-Luc, soit un taux de mortalité de 86%. "Ce bilan non exhaustif permet de penser que bien plus de tortues ont péri dans l'incendie. De plus, le feu a certainement détruit des oeufs se trouvant en incubation dans le sol à cette période de l'année", ont souligné dans un communiqué plusieurs organismes associés dans le programme de protection européen LIFE "tortue d'Hermann". A l'état naturel, cette tortue ne vit plus que dans le Var et en Corse, et la plaine des Maures, régulièrement menacée par les flammes, abrite la plus grande population de France continentale, selon la même source. Source: http://www.leparisien.fr/marseille-13000/des-dizaines-de-tortues-d-hermann-victimes-d-un-incendie-dans-le-var-16-09-2010-1071838.php -
Un cerveau ancestral de 600 millions d'années Le cortex cérébral des animaux vertébrés a évolué à partir d'une structure nerveuse apparue chez un animal marin, peut-être un ver, au Précambrien. Chez les animaux, le système nerveux central intègre les informations sensorielles et envoie des ordres moteurs dans l'organisme. Le cerveau des vertébrés comprend à sa périphérie un cortex, organisé en couches cellulaires, tandis que celui des arthropodes et des vers annélides se caractérise par la présence de structures sensorielles arrondies, les corps pédonculés. Or l'équipe de Detlev Arendt et Raju Tomer, du Laboratoire européen de biologie moléculaire (EMBL), à Heidelberg, propose que le cortex cérébral des vertébrés et les corps pédonculés des annélides ont la même origine ancestrale : une structure nerveuse qui s'est différenciée chez un ancêtre commun vivant dans la mer au Précambrien, il y a 600 à 550 millions d'années. Le cerveau des vertébrés ressemblerait-il donc à celui de simples vers ? Pas du tout, selon Philippe Vernier, responsable du Laboratoire Neurobiologie et développement de l'Institut Alfred Fessard, à Gif-sur-Yvette : plus de 500 millions d'années d'évolution divergente les ont rendus très différents. En fait, le travail des chercheurs de l'EMBL indique seulement qu'un plan de base du système nerveux des vertébrés était déjà établi au Précambrien. Au cours de l'évolution animale, les neurones — cellules douées d'activité électrique apparues chez les cnidaires (méduses, anémones) il y a quelque 680 millions d'années — se sont regroupés en ganglions lorsque les organismes ont acquis une symétrie bilatérale. Cette symétrie définit, chez les animaux dits bilatériens, des axes antéro-postérieur (avant-arrière), dorso-ventral (dessus-dessous) et médio-latéral (du milieu vers les côtés). Les bilatériens sont aujourdhui divisés en trois groupes : les lophotrochozoaires (mollusques, vers plats, vers annélides), les ecdysozoaires (arthropodes, vers nématodes et autres organismes croissant par mues successives), et les deutérostomiens, comprenant les échinodermes (oursins, étoiles de mer, etc.) et les cordés, dont les vertébrés. Le ver annélide Platynereis dumerilii La présence de centres nerveux à l'avant du corps, chez les différents bilatériens, est parfois interprétée par les spécialistes comme résultant de convergences évolutives fortuites dépendant de l'expression des gènes du développement : des réseaux de gènes similaires, sortes de boîtes à outils, codent des structures semblables mais dont les fonctions diffèrent selon les groupes de bilatériens. D'après une autre interprétation, un plan du corps, un « zootype », commun aux bilatériens, est apparu chez leur dernier ancêtre commun, nommé Urbilateria — dont on ne connaît aucun fossile. Ce plan, qui comprenait un système nerveux central primitif, aurait été conservé dans les trois groupes de bilatériens qui en sont dérivés. C'est effectivement ce que montrent Detlev Arendt et ses collègues. Ils ont perfectionné une méthode alliant microscopie confocale, biologie moléculaire et imagerie 3D, qu'ils ont nommée profilage par enregistrement d'images. Cette méthode consiste à analyser l'expression moyenne d'un certain nombre de gènes choisis dans des territoires déterminés chez plusieurs vers à des stades de développement identiques, puis à reconstituer la répartition spatiale de ces expressions en fusionnant les images obtenues. Elle permet ainsi de reconstituer en trois dimensions la topographie de l'expression d'un ensemble de gènes dans un embryon. En étudiant des larves du ver annélide marin Platynereis dumerilii, les chercheurs ont produit une carte génétique 3D des corps pédonculés en développement, qu'ils ont comparée à celle des corps pédonculés de l'embryon de drosophile et à celle du cortex cérébral, ou pallium, de l'embryon de souris. Modèle tridimensionnel du système nerveux central d'une larve de Playnereis âgée de cinq jours (à gauche, l'avant de la tête). Les corps pédonculés (en rouge et rose) sont des structures nerveuses capables d'intégrer des informations sensorielles, notamment de nature chimique chez les annélides, et qui seraient aussi impliquées dans l'apprentissage et la mémorisation. Marquage de l'expression d'un gène codant le facteur de transcription ARX, qui régule l'activité de gène impliqués dans le développement du système nerveux chez la larve de Platynereis. Les corps pédonculés sont entourés de pointillés (à gauche, l'avant de la tête). Barre d'échelle : 50 micromètres. Il en ressort qu'une combinaison unique de gènes s'exprime dans les structures nerveuses de Platynereis et de la souris. Les deux empreintes moléculaires sont « trop similaires pour être d'origines indépendantes et doivent partager un précurseur commun », concluent les chercheurs. En particulier, la combinaison de gènes qui contrôlent la position et la multiplication des cellules dans les structures nerveuses en développement est semblable. L'empreinte moléculaire cérébrale de Platynereis diffère en revanche davantage de celle de la drosophile, vraisemblablement parce que certains gènes exprimés au cours du développement ont acquis des fonctions différentes chez les arthropodes. On sait en effet, précise Ph. Vernier, que le génome de Platynereis, séquencé partiellement en 2005, ressemble plus à celui des vertébrés qu'à celui des ecdysozoaires, donc des insectes ; ce groupe se serait éloigné génétiquement plus vite de l'ancêtre commun Urbilateria que ne l'ont fait les lophotrochozoaires et les deutérostomiens. En 2007, D. Arendt et ses collègues avaient mis en évidence des topologies moléculaires similaires entre le système nerveux du tronc de Platynereis et le tube neural en développement des vertébrés, rappelle Guillaume Balavoine, responsable du Laboratoire Évolution et développement des métazoaires de l'Institut Jacques Monod (CNRS, Université Paris Diderot). De même, en 2004, l'équipe de Heidelberg a caractérisé chez Platynereis un type de photorécepteur visuel dont l'empreinte moléculaire le rattache aux photorécepteurs de la rétine des vertébrés, suggérant que l'œil des vertébrés a évolué à partir d'une structure photosensible différenciée chez Urbilateria. En fait, aucun autre groupe d'invertébrés ne semble présenter autant d'expressions géniques homologues avec les vertébrés que les annélides. Tous ces arguments font penser qu'Urbilateria, il y a 600 à 550 millions d'années, ressemblait à une sorte de ver marin doté d'un ou plusieurs noyaux de neurones capables d'intégrer les signaux sensoriels de l'environnement. Ce plan neuronal de base aurait évolué en architectures nerveuses plus complexes dans certains groupes de bilatériens et atteint un maximum de complexité chez les mammifères. Source: http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actualite-un-cerveau-ancestral-de-600-millions-d-annees-25812.php
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Mes 3 colonies de fourmis : Messor barbarus - Pheidole pallidula - Crematogaster scutellaris
askook a répondu à un(e) sujet de Alexis031 dans Vos P'tits Virus
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Pourquoi les lucioles clignotent à l'unisson Les mâles brillent pour allumer les femelles... Plusieurs lucioles (Coleoptera : Lampyridea) attirent les femelles en clignotant à une fréquence différente pour chaque espèce. Les femelles répondent en clignotant de leur manière à elles, ce qui permet la rencontre et la reproduction. On a observé chez certaines espèces que de très nombreux individus se synchronisent ; parfois dans une forêt entière, produisant une sorte d'effet "guirlande de noël" saisissant. La raison de cette synchronie n'était pas bien établie. Une étude récente parue dans Science révèle que ce serait afin de faciliter la détection par les femelles. Les lucioles émettent de la lumière par le dessous de leur abdomen. Source : Firelfly-pictures Un peu de recul pour comprendre l'expérience ... On peut noter que cette expérience s'inscrit -et prend du sens - dans certaines hypothèses : notamment que c'est principalement la fréquence du clignotement qui est le stimulus-signal, (la composante utile pour déclencher ce comportement) de réponse lumineuse chez la femelle. Et que cet échange fait partie du comportement de cour. Le comportement reproducteur des lucioles Selon Discover Life in America (DLIA) , dès la tombée de la nuit, les femelles Photinus carolinus attendent sur le sol que des mâles qui passent émettent leur signal clignotant (une salve de 5-8 éclairs suivis d'une phase obscure de 5-8 secondes). Elles répondent durant ce "silence" visuel avec leur signal clignotant spécifique. Alors le mâle trouve la femelle et se reproduit avec. Les motifs de ces clignotements sont spécifiques : pour chaque espèce la succession d'éclairs et le délai entre les salves est différent. Le dessin ci-dessous montre les motifs temporels des mâles de 6 espèces différentes. Motifs de clignotements spécifiques de plusieurs espèce de lucioles. La succession d'éclairs et le délai entre les salves est spécifique. Source: Discover Life in American Pourquoi cet échange stéréotypé de clignotements ? Il semble qu'on peut considérer cet échange spécifique de clignotements du mâle puis de la femelle comme un comportement stéréotypé, équivalent à celui de l'épinoche. Il aurait alors comme effet de sélectionner pour l'accouplement des individus de la bonne espèce, du bon sexe, et prêts à la reproduction. Cependant, selon (Milne and Milne, 1980) dans l'excellent article sur ADW des prédateurs interceptent et exploitent cette communication; les femelles d'une autre espèce de luciole Photuris pyralis imitent le signal de Photinus pyralis et attirent ainsi les mâles qui sont dévorés. Ou plus exactement la prédatrice injecte un poison qui paralyse et liquéfie la proie, dont le contenu est ensuite aspiré. Bon appétit ! Pourquoi les mâles allument plus... ? On peut noter que les mâles assument une plus grande part du risque en étant plus visible, comme chez les oiseaux avec leur chant par exemple. On a souvent expliqué cette différence par l'asymétrie de l'investissement dans la reproduction : comme les spermatozoïdes sont plus petits que les ovules, ce sont les mâles qui prennent plus de risques produisent plus de descendants, alors que les femelles plus prudentes ont plus de descendants. "La sélection intrasexuelle désigne la sélection qui a lieu entre des individus de même sexe. Elle passe par la concurrence directe pour gagner les faveurs d 'un partenaire de sexe opposé. La sélection intrasexuelle est généralement plus évidente chez les mâles, car pour le mâle, le succès de la reproduction dépend beaucoup plus de la capacité de se trouver une partenaire que de produire les cellules nécessaires à cette fonction (alors que ce sera l'inverse pour la femelle)." Campbell, N. A., et al. (2004). Ainsi les lucioles actuelles sont les descendantes des mâles qui ont bien clignoté le rythme qui convenait pour attirer l'attention des femelles... et de celles qui ont choisi un mâle et clignoté discrètement mais de manière adéquate leur assentiment. Comment ont-ils mesuré le stimulus qui déclenche le clignotement de la femelle? La raison de ce clignotement synchrone en masse à suscité de nombreuses hypothèse, mais la recherche de Moiseff, A. et al. (2010) apporte des éléments de réponse basés sur des données rigoureuses et discutées de manière critique et prudente. On appelle ça de la science… Pour explorer comment les femelles répondaient à divers stimuli de fréquence et de position, Moiseff, A. et al. (2010) ont placé des femelles de luciole Nord américaine (Photinus carolinus) dans un environnement avec des mâles artificiels (des diodes lumineuses LED) qui clignotaient de manière plus ou moins synchrone. Des leurres de mâles artificiels constitués d 'une diode lumineuse (LED) ont permis d'explorer les réactions des femelles. Source: Andrew Moiseff in Scientific American Elles ont répondu à 82% des "mâles" artificiels synchrones et 3% seulement des mâles désynchronisés. Taux de réponses (F) des femelles à divers degrés de synchronisation (A-D) des mâles artificiels. (E) Motif normal de clignotement du mâle Photinus carolinus. Source: Moiseff, Andrew, et al. (2010) Il apparaît clairement que les femelles réagissent plus a un mâle qui clignote à l'unisson avec les autres qu'à un mâle qui clignote dans le "bruit " visuel de lucioles non coordonnées, même si chacun produit bien le rythme propre à l'espèce. Qu'est-ce qui a bien pu favoriser les mâles qui clignotent à l'unisson ? Ils notent que comme les lucioles mâles volent, la détection de la fréquence du clignotement d'un individu parmi d'autres implique de suivre cet individu dans ses déplacements tout en mesurant les temps d'extinction et d'allumage. Dans un environnement visuel chargé, ils pensent que cette tâche est peut-être trop difficile pour les femelles, qui ne détecteraient pas certains clignotements hors de la région observée. Un peu comme si nous essayions de suivre une balle clignotante la nuit dans une rue garnie d'enseignes lumineuses clignotantes. Ou comme si on essayait de faire du tennis dans une discothèque avec un éclairage stroboscopique. Les auteurs relèvent qu'on ne peut pas exclure une autre hypothèse : les femelles préfèreraient simplement les stimuli synchrones. Difficile de trancher. En science il ne suffit pas de montrer que le modèle proposé est compatible avec les données, il faut encore montrer que les autres explications envisageables ne sont pas étayées par les données. Ou pas aussi bien. " Future experiments will be required to differentiate between these alternatives. However, behavioral considerations lead us to favor the pattern recognition interpretation." Prudente conclusion... Se noyer dans la masse pour mieux être repéré ? Ainsi de manière paradoxale, pour être mieux repéré chaque mâle a intérêt à clignoter en même temps que les autres. Peut-être que le conformisme vestimentaire des jeunes est aussi une manière indirecte de se mettre en valeur et d'attirer l'attention de l'autre dans la surabondance de stimuli auxquels ils sont confrontés ? Source: http://tecfa-bio-news.blogspot.com/ Articles: - Campbell, N. A., & Reece, J. B. (2004). Biologie: De Boeck - DLIA : http://www.dlia.org/atbi/species/Animalia/Arthropoda/Insecta/Coleoptera/Elateroidea/Lampyridae/Photinus_carolinus.shtml - Moiseff, Andrew, Copeland, Jonathan. (2010). Firefly Synchrony: A Behavioral Strategy to Minimize Visual Clutter. Science 9 July 2010: Vol. 329. no. 5988, p. 181. http://www.sciencemag.org/cgi/content/abstract/329/5988/181 - Milne, L., M. Milne. 1980. The Audobon Society Field Guide to North American Insects and Spiders. New York: Chanticleir Press.
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Mes 3 colonies de fourmis : Messor barbarus - Pheidole pallidula - Crematogaster scutellaris
askook a répondu à un(e) sujet de Alexis031 dans Vos P'tits Virus
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Candoia aspera est une espèce que j'apprécie beaucoup. Nous avons possédé une femelle d'origine sauvage provenant de la ferme tropicale. Je n'y allais pas du tout pour acquérir cette espèce, mais j'ai craqué sur cette femelle qui était en train de muer. Autant elle était laide avec son épaisse peau devenue blanchâtre avec tout ce temps passée dans l'eau, autant elle était magnifique au endroits où l'exuvie était partie. J'ai donc acheté cette femelle, sur un coup de coeur, sans vraiment rien connaitre sur son élevage. Avant une mue Après une mue Nous avons installé Madame dans un terrarium en verre de 60 x 40 x 45 cm avec pour décor une racine, un grand récipient d'eau au point chaud (dans lequel elle séjournait une grande partie de son temps) et un autre plus petit au point froid (pour boire). Comme à notre habitude du papier essuie tout comme substrat. La température dans le terrarium allait de 27 à 30° C au coin le plus chaud. Le taux d'hygrométrie était dans les 60%. Seule la lumière du jour servait d'éclairage. Notre femelle passait une grande partie de son temps dans le récipient d'eau ou cachée sous sa souche... Son nourrissage n'a jamais posé de problème. Elle a accepté rapidement des souris mortes. Par contre son rythme de nourriture était cyclique. Une période de nourrissage importante (2 souris par semaine pendant plusieurs semaines), puis plus rien pendant un ou deux mois...
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zion mon pituophis catenifer affinis
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Vos P'tits Virus
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Il aurait trois ans et je ne connais pas d'information sur son éleveur d'origine. Il a fait plusieurs propriétaires avant d'atterrir à la maison... Quand je l'ai récupérer, il ne mangeait que des proies vivantes. Depuis le début de l'été, il s'est enfin mis à accepter les proies mortes. C'est déjà ça de gagné...
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Des centaines de cobras sèment la panique en Chine Plus de 160 cobras échappés d'un centre d'élevage clandestin ont semé la panique dans une commune chinoise, avant d'être capturés ou tués pour la plupart d'entre eux, a rapporté jeudi la presse officielle. Les serpents venimeux ont envahi mardi les rues, les cuisines et les toilettes publiques de la petite municipalité de Shijiao, dans le sud-ouest du pays, selon le journal Information Times. "Zhang Erfen venait d'entrer dans les toilettes quand nous avons entendu un cri perçant, elle est alors sortie en courant", a relaté au quotidien un habitant. La femme venait d'être la cible d'un jet de venin projeté par un des cobras en liberté. Un villageois nommé Cai Yong a reconnu avoir élevé de façon clandestine quelque 1.900 cobras dans une ancienne école transformée en centre de reproduction artisanal. La plupart des reptiles ont depuis mardi été tués ou repris, mais "cinq ou six" étaient encore manquants, selon le journal. Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/1158113/2010/09/16/Des-centaines-de-cobras-sement-la-panique-en-Chine.dhtml
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10 000 euros, amende salée pour Alligator Bay A l’audience du tribunal correctionnel d’Avranches, mardi 31 août, le directeur et créateur d’Alligator Bay, espace dédié aux reptiles inauguré en 2006 à Beauvoir, a été condamné pour la détention et l’utilisation de plusieurs animaux sauvages, espèces protégées, sans autorisation. Une centaine d’animaux, tortues, iguanes, crocodiles et alligators sera saisie. Mais selon le principal intéressé, Jean-Pierre Macé, “cela ne portera pas préjudice à l’établissement”. Ce sont des agents de l’office national de la chasse et de la faune sauvage de la Manche qui ont dressé en 2006, lors de l’agrandissement du “reptilarium”, la longue liste des infractions. En tout onze chefs d’inculpation sont reprochés au directeur d’Alligator Bay dont celui d’exercice illégal de la médecine qu’il partage avec le vétérinaire d’Alligator Bay. Ce dernier déléguait le puçage des animaux au directeur. Enfin, Jean-Pierre Macé est également reconnu coupable de faux en écriture. Certains certificats d’autorisation de détention d’animaux n’étaient pas valables ou absents. Le directeur d’Alligator Bay s’en défend. “Certains animaux m’ont été vendus par un commerçant véreux et j’ai reçu de faux documents”, explique-t-il. “Pour les autres, je n’en avais pas, tout simplement parce que j’ai accueilli plusieurs animaux dont beaucoup sont des tortues qui m’étaient apportées par des particuliers ou des personnes des douanes.” Et d’ajouter : “Aujourd’hui, aucun zoo n’est vraiment dans les clous.” Face aux nombreux délits reprochés, deux associations de protection de l’environnement le Grappe de Basse-Normandie et France Nature Environnement se sont portées partie civile et ont reçu des dommages et intérêts à hauteur de 2 500 euros. Jean-Pierre Macé est condamné par le tribunal à une peine d’amende de 20 000 euros dont 10 000 avec sursis. Il est relaxé de l’ouverture non autorisé d’établissement public présentant des animaux non domestiques. Son vétérinaire écope d’une amende de 8 000 euros dont 4 000 avec sursis. Source: http://www.lamanchelibre.fr/10-000-euros--amende-salee-pour-Alligator-Bay,1.media?a=12843
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