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askook

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  1. askook

    Stenophis

    Stenophis inornatus Boulenger, 1896 Répartition géographique Afrique Madagascar.
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    Stenophis

    Stenophis inopinae (Domergue, 1994) Synonymes Stenophis (Phisalixella) inopinae Domergue, 1994 Stenophis inopinae D’Cruze et al. 2007 Répartition géographique Afrique Madagascar.
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    Stenophis

    Stenophis iarakaensis (Domergue, 1994) Synonymes Stenophis (Phisalixella) iarakaensis Domergue, 1994 Stenophis iarakaensis Vences et al., 2004 Répartition géographique Afrique Madagascar.
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    Stenophis

    Stenophis guentheri Boulenger, 1896 Synonymes Lycodryas guentheri Stenophis guentheri Glaw & Vences, 1994 Répartition géographique Afrique Madagascar.
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    Stenophis

    Stenophis granuliceps (Boettger, 1877) Synonymes Dipsas (Heterurus) gaimardi var. granuliceps Boettger, 1877 Lycodryas gaimardi granuliceps Stenophis capuroni Domergue, 1994 Stenophis granuliceps Glaw & Vences, 1994 Lycodryas granuliceps Andreone et al., 2003 Stenophis granuliceps Vences et al., 2004 Commentaire Stenophis capuroni est un synonyme de Stenophis granuliceps (Vences et al., 2004) Répartition géographique Afrique Madagascar, île de Nosy Be.
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    Stenophis

    Stenophis gaimardi (Schlegel, 1837) Synonymes Dipsas gaimardii Schlegel 1837 Heterurus gaimardii Duméril & Bibron, 1854 Dipsas (Heterurus) Gaimardii var. comorensis Peters, 1874 Lycodryas gaimardi Stenophis gaimardi Glaw & Vences, 1994 Stenophis cf. gaimardi D’Cruze et al., 2009 Répartition géographique Afrique Madagascar, archipel des Comores Portrait Photo pour illustration. Source: google
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    Stenophis

    Stenophis citrinus Domergue, 1995 Répartition géographique Afrique Madagascar. Portrait Photo pour illustration. Source: google
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    Stenophis

    Stenophis carleti Domergue, 1994 Répartition géographique Afrique Madagascar.
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    Stenophis

    Stenophis betsileanus (Günther, 1880) Synonymes Dipsas betsileana Günther, 1880 Stenophis betsileanus Glaw & Vences, 1994 Stenophis (Parastenophis) betsileanus Domergue, 1995 Lycodryas betsileanus Mattison, 1995 Stenophis betsileanus Vences et al., 2004 Répartition géographique Afrique Madagascar. Portrait Photo pour illustration.Source: google
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    Stenophis

    Stenophis Boulenger, 1896 Stenophis arctifasciatus (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) Synonymes Heterurus arctifasciatus Duméril, Bibron & Duméril, 1854 Lycodryas arctifasciatus Stenophis arctifasciatus Glaw & Vences, 1994 Stenophis (Phisalixella) jaosoloa Domergue 1994 Stenophis (Phisalixella) arctifasciatus Domergue, 1995 Stenophis arctifasciatus Vences et al., 2004 Commetaire Stenophis jaosoloa est un synonyme de Stenophis arctifasciatus (Vences et al. 2004) Répartition géographique Afrique Madagascar. Portrait Photo pour illustration.Source: google
  11. La tortue du désert ou Gophère d'Agassiz (Gopherus agassizii) est une espèce originaire du désert des Mojaves et du désert de Sonora au sud-ouest des États-Unis et au nord-ouest du Mexique. Elle peut atteindre un poids de 4,7 kg à l'âge adulte. Elle creuse des abris pour se protéger de la chaleur du désert. Ce petit film vous montre l'éclosion d'une de ces tortues. Elles absorbent sur plusieurs heures le jaune de l'oeuf une fois écloses pour se constituer une très utile réserve d'énergie étant données les conditions difficiles qui les attendent; elles naissent en effet à la fin de l'été, quand il fait plus de 43 degrés, rendant la recherche de nourriture difficile.
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    Le coeur des reptiles

    Le coeur des reptiles Morphologie du cœur. La morphologie du cœur est assez homogène chez les reptiles, seuls les crocodiliens possèdent des différenciations rappelant le cœur des mammifères. Le cœur du lézard vert (Lacerta viridis) possède une structure reptilienne typique, aussi est-il souvent pris pour exemple dans l’étude du système circulatoire des reptiles. Vue ventrale du coeur de Lacerta viridis, d'après Parker et Bellairs (1971) Il possède trois cavités: deux oreillettes et un ventricule, certains auteurs reconnaissent quatre cavités en y joignant le sinus veineux. Ce dernier, à parois minces, s’ouvre dans l’oreillette droite. Les deux oreillettes, également à parois minces, sont séparées par une cloison. Le ventricule unique possède une paroi musculaire épaisse. Cette épaisse paroi musculaire du ventricule est partagée de façon complexe. Il existe une paroi ventriculaire, grande mais incomplète, qui s’étend dans un plan plus ou moins horizontal et divise partiellement le ventricule en deux cavités une dorsale et à gauche, l’autre, plus petite, ventrale et à droite. Les oreillettes droite et gauche s’ouvrent respectivement sur les côtés droit et gauche de la chambre dorsale. Cela constitue une différence importante entre les reptiles typiques d’une part et les crocodiliens de l’autre. Trois grands troncs artériels quittent le cœur chez les reptiles. - Le tronc pulmonaire sort de la cavité ventrale, qui est quelquefois appelée cavum pulmonale. - Les arcs aortiques droit et gauche du système général sont originaires de la cavité dorsale. Ces vaisseaux sont désignés suivant la position qu’ils occupent après avoir quitté le cœur et non en fonction de leur point d’origine, puisque la racine de l’arc droit est en fait à gauche de celle de l’arc gauche. Le cœur des ophidiens, en position généralement assez postérieure comparativement aux sauriens, est allongé et asymétrique. L’oreillette droite est plus grosse que l’oreillette gauche. L’allongement du corps des ophidiens se traduit par une séparation nette des arcs aortiques et carotidien et par la présence d’artères carotides communes chez les serpents en général, une seule chez les Colubroidea. La morphologie du cœur des crocodiliens diffère notablement de celle des autres reptiles. En effet chez ces reptiles, il existe deux ventricules séparés par un septum complet. Dans le cœur des crocodiliens, aucun mélange sanguin ne peut s’effectuer, au niveau de la jonction des deux arcs aortiques, il y a une communication : le foramen de Panizza ayant un rôle d’égalisation des pressions droite et gauche. Circulation du sang. Chez les squamates et chéloniens, les deux veines caves antérieures qui drainent la tête, le cou et les membres antérieurs et la veine cave postérieure, qui draine le reste du cœur à l’exception des poumons, s’ouvrent dans le sinus veineux à parois mince, sur la surface dorsale du cœur. Le sinus débouche à son tour dans l’oreillette droite. Ces vaisseaux contiennent le sang non hématosé. Ce sang passe dans le ventricule puis empreinte l’artère pulmonaire, mais une faible partie passe dans l’arc aortique gauche. Il y a hématose au poumon. Ce sang, une fois oxygéné quitte le poumon par la veine pulmonaire qui rejoint le cœur dans l’oreillette gauche puis le ventricule. De là, ce sang passe dans les deux troncs aortiques. La ségrégation des deux courants sanguins, hématosé et non hématosé, est facilitée par la présence d’une crête musculaire issue de la paroi dorsale du ventricule. Circulation du sang chez un saurien. Illustration issue de "Les maladies des reptiles" de J. Brogard. Chez les crocodiliens, le système est plus complexe : l’oreillette droite reçoit le sang non oxygéné des veines caves, ce sang passe dans le ventricule droit et va en totalité dans le tronc pulmonaire, l’arc aortique gauche ne recevant rien, grâce à une valvule. Après la circulation pulmonaire, le sang non hématosé revient au cœur par la veine pulmonaire puis pénètre dans les deux troncs aortiques grâce au foramen de Panizza. Circulation du sang chez un crocodilien. Illustration issue de "Les maladies des reptiles" de J. Brogard. Où se trouve le cœur. Chez les serpents, le cœur se trouve près d’un point se situant au 1/5e de la distance nez-cloaque à partir de la tête. Chez un crocodile, le cœur se situe dans un plan sagittal au niveau de la onzième ou douzième rangée d’écailles comptée à partir de la grande bande d’écailles dorsales en progressant vers l’arrière. Topographie d'un coeur d'un crocodilien d'après Olson et Coll (1975) Chez les tortues, le cœur se trouve à droite de la ligne médiane à la jonction des plaques pectorales et abdominales du plastron. Topographie d'un coeur d'un chélonien, d'après Blanc et Coll (1959) Rythme cardiaque. Le rythme cardiaque change avec la température ambiante tout comme le système respiratoire. On constate aussi qu’à température égale, le rythme est plus rapide si l’animal se réchauffe et plus lent s’il se refroidit. Chez les reptiles aquatiques, l’augmentation de pression en plongée entraîne une bradycardie. Voici un ordre d’idée du rythme cardiaque d’après Wallach (1969) - crocodiliens : 7 à 43 battements par minute - chéloniens : 11 à 17 battements/mn - sauriens : 60 à 66 battements/mn - ophidiens (20)23 à 40(70) battements/mn Battements d'un coeur d'un Morelia spilota. Photo pour illustration. Source: google Références bibliographiques: Les serpents de R.Bauchot ( Oeuvre collective). Edt Bordas. 1994 Les maladies des reptiles de J.Brogard. Edt du Point Vétérinaire. 1992 Les reptiles de Angus Bellairs. Edt Rencontre. 1971
  13. un crocodile repéré dans la Scarpe Un reptile géant a été repéré lundi dans les eaux de la Scarpe, en plein centre ville de Douai. Il s'agit d'un jeune crocodile dont a été contraint de se débarrasser un particulier. C'est une bien curieuse découverte qu'a faite un couple, lundi, en se promenant au bord des canaux de Douai. Intrigué par un mouvement d'eau étrange et une masse sombre se déplaçant sous l'eau, un couple de retraités Douaisiens a distinctement vu le dos verdâtre et écaillé d'un animal, serpentant dans les eaux du centre-ville. Un crocodile, un alligator ? Le couple serait bien à la peine de faire la différence, mais il en est sûr, c'est bien un énorme reptile qu'ils ont vu là, sous leurs yeux. Devant cette inquiétante découverte, les retraités sont allés alerter les pompiers de Douai qui ont ensuite lancer quelques recherches. Sans succès. Un témoignage qui aurait pu rester anecdotique. Mais ce serait sans compter sur la venue d'un habitant de Lambres-lez-Douai, âgé d'un cinquantaine d'années, au commissariat de Douai ce mercredi. L'homme a reconnu avoir jeté dans la Scarpe un jeune crocodile qu'il avait acheté sur Internet il y a quelques mois. C'est à la suite d'un voyage en Egypte, fasciné par les crocodiles du Nil, que lui était venu cette folle idée. Mais voilà, quelques temps après ce bel achat, la bête devant rapidement imposante et hargneuse, l'homme préféra s'en débarrasser. Il reconnut, lors de sa déposition, que lâcher l'animal dans la rivière ne fut pas « l'idée du siècle ». Il s'agit d'un crocodile du Nil, âgé de 7 mois. Une opération est actuellement en cours d'élaboration afin de retrouver et de capturer la bête. Source: http://www.lobservateurdudouaisis.fr/actualite/Douai-:-un-crocodile-repere-dans-la-Scarpe-1454.html
  14. askook

    ça y est, chuis chaud là...

    Il existe aussi un autre problème. Le nombre grandissant de forums ouverts par des ignorants...
  15. Dissecting the major African snake radiation: a molecilar phylogeny of the Lamprophiidae Fitzinger (Serpentes, Caenophidia) Zootaxa 1945:51-66 (2008) N. Vidal, W R. Branch, O S.G Pauwels, S.B Hedges, D G. Broadley, M. Wink, C. Cruaud, U. Joger & Z. T Nagy http://evo.bio.psu.edu/hedgeslab/Publications/PDF-files/203.pdf
  16. askook

    Naissances d'espèces ovipares

    Ovophis okinavensis Photo pour illustration.Source: google
  17. www.pachydactylus.com http://www.pachydactylus.com Pachydactylus bicolor. Photo pour illustration issue du site.
  18. askook

    Liophidium pattoni

    Une nouvelle espèce du genre Liophidium, vient d'être décrite: Liophidium pattoni Photos pour illustration. Source: http://www.mvences.de/p/p2/Vences_B136.pdf Comment une beauté pareille a-t-elle pu passer inaperçu aussi longtemps?
  19. A rhapsody of colours from Madagascar: discovery of a remarkable new snake of the genus Liophidium an its phylogenetic relationships Salamandra (46)1, p.1-10 (2010) D R. Vieites, F M. Ratsoavina, R-D. Randrianiaina, Z T. Nagy, F. Glaw & M. Vences http://www.mvences.de/p/p2/Vences_B136.pdf
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