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  1. Intercepté à la frontière avec 164 mygales et 45 seaux de cafards Les douaniers allemands ont découvert 164 mygales dans la voiture d'un Suisse qui tentait de leur faire franchir en fraude la frontière, ont indiqué les douaniers de Lörrach, dans le sud-ouest. Pas d'autorisation Parmi ces araignées, "grandes comme la main" pour la plupart, se trouvaient 44 spécimens d'espèces protégées, qui ont été aussitôt saisis parce que leur propriétaire ne possédait aucune autorisation légale, a précisé le porte-parole des douanes, Markus Ückert. Boîtes et sachets en plastique Les mygales étaient enfermées dans des boîtes et dans des sachets en plastique. Le Suisse comptait les vendre lors d'une foire en Allemagne. "Bien sûr, les douaniers n'ont rien ouvert, ils ont tout de suite compris de quoi il retournait", a dit M. Ückert. 45 seaux de cafards Dans la voiture interceptée au poste-frontière d'Inzlingen, près de Bâle, se trouvaient aussi 45 seaux remplis de cafards, en guise de nourriture pour les arachnides. Un essai précédent avec 945 mygales Le Suisse n'en était pas à son coup d'essai, il avait déjà été interpellé en 2007, exactement au même endroit. A l'époque, les douaniers avaient découvert un total de 945 mygales dans sa voiture et dans celle d'un complice allemand. Une plainte pour fraude fiscale et infraction à la loi sur la protection de la nature a été déposée contre le récidiviste. Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/771389/2009/03/16/Intercepte-a-la-frontiere-avec-164-mygales-et-45-seaux-de-cafards.dhtml
  2. Va-t-on vers l'extinction des crocodiles au Nigeria? L'exploitation et le commerce illégaux de leur peau dans le nord du pays pourrait bien avoir définitivement raison d'ici quelques années de ces sauriens. Ismail Dauda a 35 ans et depuis 20 ans il traite à Kano, la grande ville du nord, des peaux de crocodiles et de pythons. Il a suivi les traces de son père Maifata, littéralement "l'Homme peau". Dans un bon mois, la tannerie familiale installée dans la vieille ville traite entre 16.000 et 20.000 peaux de crocodile. En période creuse, 2.000 à 4.000 peaux finissent dans les puits de la tannerie. La viande est vendue sur les marchés dans le sud du pays, tandis que les peaux, une fois tannées, sont exportées vers l'Inde, l'Arabie saoudite et dernièrement la Chine. Mais "90% des peaux proviennent du braconnage", s'insurge Desmond Majekodunmi, un militant écologiste. Protégés par la loi "La population a été littéralement décimée et bientôt, si rien n'est fait, il n'y aura plus un seul crocodile au Nigeria". Liza Gadsby, une américaine connue pour son combat pour sauver les singes drills du sud-est du Nigeria, relève que les crocodiles sont théoriquement protégés par la loi. Mais les peaux sont en vente libre au duty-free de l'aéroport de Lagos, à quelques mètres des agents des douanes. Quant à l'aéroport de Kano, "ce n'est pas très compliqué pour passer des peaux, il suffit de payer, c'est tout", dit sans complexe Ismail Dauda. "Les officiels de l'aéroport viennent parfois dans les tanneries, ils repartent avec des petits cadeaux, même si on n'a rien à exporter à ce moment-là", poursuit-il. Décimés Le système est bien organisé, et les marchands de peaux ont recours à des sociétés de courrier express pour exporter. "J'ai envoyé des peaux à des clients en Europe en utilisant ce circuit trois fois. La société vous demande juste le contenu, ils pèsent, emballent, et vous payez", raconte Salisu Muhammad, un commerçant spécialisé dans les peaux de guépard et de lion sur le célèbre marché Kurmi de Kano. La population locale de crocodile a été tellement décimée que les braconniers vont maintenant chasser jusqu'au Cameroun et au Tchad voisins, ainsi qu'au Ghana. "C'est vrai que le stock a fortement baissé en dix ans. Il est probable qu'on tue plus vite que le temps nécessaire à la régénération des crocodiles. Mais les affaires sont les affaires et on ne peut pas s'arrêter. C'est très lucratif", concède sans remords Dauda, tout en remuant une décoction puante à base de cendre et de potasse dans laquelle trempent des peaux de serpents et de crocodiles. Combat inégal Une peau de python traitée est vendue 4 dollars le mètre carré, tandis qu'une peau de crocodile peut rapporter de 40 à 170 dollars selon la taille. Face aux logiques de marché, le combat est assez inégal, comme le constate Musa Nuhu Kwalli, chef du Département de préservation de la faune de Kano, qui dirige le zoo de Kano et la réserve de Falgore, à 100 km à l'est de la ville. "A une époque, raconte-t-il, on a mené des opérations coups de poing avec les agents des eaux et forêts à l'aéroport de Kano pour arrêter les trafiquants, et ça marchait". "Mais en 1991 le gérer fédéral a décidé de supprimer tous les services jugés non essentiels. On était dans le lot. Dès lors, la voie était libre pour les trafiquants d'espèce en voie de disparition". Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/847878/2009/05/08/Les-crocodiles-vont-bientot-disparaitre-du-Nigeria.dhtml
  3. Les tortues marines peuvent désormais pondre en toute quiétude sur les plages paradisiaques d'un chapelet d'îles indonésiennes: les habitants ont décidé de ne plus ramasser leurs oeufs pour les vendre et se mobilisent pour protéger ces animaux menacés. Pendant des siècles, la tradition s'est perpétuée. "Chaque nuit, les familles se relayaient pour aller récolter les oeufs" fraîchement pondus, témoigne La Brani, le chef de l'île de Runduma. Des chasseurs devenus défenseurs Une partie de l'argent levé par leur vente servait aux dépenses du village de 500 habitants, essentiellement des pêcheurs peu fortunés, situé sur l'île, dans l'archipel de Wakatobi, à 1.500 km de Jakarta. Mais, il y a quatre ans, ces derniers ont changé leur fusil d'épaule: de chasseurs d'oeufs, ils sont devenus défenseurs des tortues. Ils ont stoppé leurs virées nocturnes sur le sable blanc et se sont engagés à protéger cette importante zone de nidification, entre les océans Pacifique et Indien. "J'ai arrêté de ramasser les oeufs en 2005 après avoir pris conscience que, si nous continuions, les générations futures ne sauraient pas à quoi ressemble une tortue", raconte Hatipa, 42 ans. Payés 1.000 roupies (6 centimes d'euros) pièce, les oeufs lui permettaient pourtant, bon an mal an, d'envoyer ses deux enfants à l'école. Nid adopté Grâce à un accord conclu avec l'administration et des association de défense de l'environnement, cette perte de revenus a été compensée par l'envoi d'instituteurs, le versement de subventions et l'organisation de visites de personnalités célèbres (chanteurs, mannequins) vantant ce projet environnemental inédit. Les visiteurs sont depuis encouragés à symboliquement "adopter", pour quelques dizaines de dollars, un nid, explique M. Purwanto, le coordinateur du programme géré conjointement par le WWF et l'ONG The Nature Conservancy. Les premiers résultats sont jugés encourageants. Les populations de tortues vertes et Caret ont recommencé à croître au sud-est de l'île de Sulawesi. L'an dernier, environ 300 tortues ont pondu quelque 3.000 oeufs sur l'île inhabitée d'Anano, la plus proche du village de Runduma. Près de 80% d'entre eux ont donné naissance à des nouveaux-nés, selon M. Purwanto. Braconnage et pollution Toute la population est désormais mobilisée. "Nous avons introduit l'enseignement des sciences de l'environnement dans les programmes scolaires", souligne le chef du district de Wakatobi, Hugua. Car l'avenir de ces petites îles de rêve, jusqu'à présent peu connues, "est lié au développement de l'éco-tourisme et, donc, à la protection des tortues". Si Anano est devenue une "success story", les tortues continuent à être pourchassées dans le reste de l'immense archipel indonésien. Les associations regrettent que les lois menaçant d'une amende de 10.000 dollars et d'une peine de prison de 5 ans maximum pour le vol d'oeufs soient rarement appliquées. "Le ramassage des oeufs se poursuit notamment sur les îles de Bornéo et Sumatra, où ils sont toujours commercialisés", indique Creusa Hitipeuw, chargée des espèces marines au WWF. Par ailleurs, "Bali est l'un des principaux marchés pour la viande de tortue venue des îles voisines de Lombok ou Sumbawa", ajoute-t-elle. Outre le braconnage, les sept espèces de tortues marines présentes dans tous les océans, sauf l'Arctique, sont menacées par la pollution (notamment les sacs plastiques), la destruction des récifs coralliens et les prises accidentelles par les pêcheurs. Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/2668/Especes-Menacees/article/detail/865347/2009/05/26/Les-tortues-menacees-refugiees-dans-un-sanctuaire-indonesien.dhtml
  4. askook

    Nourriture spécifique

    Certaines espèces qui se nourrissent exclusivement de batraciens (Causus resimus) ou de lézards (Philothamnus irregularis) régurgitent systématiquement toutes proies poilues. Donc là, la question ne se pose pas... En ce qui concerne les Heterodon nasicus, mes spécimens sont nourris exclusivement avec de la souris. Je n'ai jamais eu de soucis de refus de nourrissage, ni de régurgitation. Maintenant à savoir que des spécimens nourris qu'avec de la souris vont vivre moins longtemps que des spécimens nourrir qu'avec des batraciens Il faudrait trouver une étude sur ce sujet.
  5. Bearded Dragons and other Creatures http://www.dachiu.com/ Photo pour illustration issue du site
  6. Tout sur le Pogona henrylawsoni http://pogona-henrylawsoni.fr/2.8.html Photo pour illustration issue du site
  7. askook

    quel pogona

    Le genre Pogona compte 7 espèces: Pogona barbata, Pogona henrylawsoni, Pogona microlepidota, Pogona minima, Pogona minor, Pogona nullarbor, Pogona viticeps. Pogona henrylawsoni ressemble énormément au Pogona viticeps. Il est, tout de fois, plus petit et la forme de son crâne fin le distingue nettement du Pogona viticeps. La taille adulte, pour le Pogona henrylawsoni, est de 28-32 cm tandis que chez les Pogona viticeps, elle atteint couramment la taille de 45-50 cm. La robe est quasiment identique, composé de tons bruns et jaune. Le Pogona henrylawsoni est complètement terrestre à la différence du Pogona viticeps, qui peut être semi-arboricole. Le Pogona henrylawsoni du fait de sa petite taille, peut être maintenu dans un terrarium terrestre de type désertique de 100 x 50 x 50 cm pour un couple (Ces dimensions seront les minimales).
  8. askook

    boites d'expo

    Tu parles de boites de ce genre..
  9. Un bébé python porté disparu après un accident Un bébé python est porté disparu à Brasschaat, dans la province d'Anvers, après s'être échappé d'une voiture impliquée dans un accident de la circulation jeudi soir, a indiqué vendredi la commune. Le conducteur de la voiture, de Kalmthout , a été grièvement blessé et a été emmené à l'hôpital. Sept bébés pythons se trouvaient dans le véhicule au moment de l'accident. Six d'entre eux ont pu être retrouvés. La commune de Brasschaat a précisé que le bébé python porté disparu est un petit serpent qui n'est pas agressif. Les personnes qui trouveraient le reptile sont invitées à garder leur calme et à prendre contact avec la police locale. Deux inspecteurs sont habilités à les approcher et à les attraper. Source:http://www.7sur7.be/7s7/fr/1502/Belgique/article/detail/855500/2009/05/15/Un-bebe-python-porte-disparu-apres-un-accident.dhtml
  10. Poursuites judiciaires en vue pour un lycéen américain qui s'est servi d'un serpent comme corde à sauter Un lycéen de 17 ans, élève d'un établissement de Pittsburgh (Pennsylvanie, est des Etats-Unis), va faire l'objet de poursuites judiciaires pour avoir utilisé un serpent comme corde à sauter, selon la police. L'animal, examiné par un vétérinaire, a survécu. Le lycéen, qui avait dérobé le serpent dans une classe de sciences naturelles, va être poursuivi pour vol et cruauté envers un animal. Source: http://fr.news.yahoo.com/3/20090520/tod-insolite-usa-serpent-45981ec_2.html
  11. Un cinquième des reptiles d'Europe et près d'un quart de ses amphibiens sont menacés, telle est la conclusion de nouvelles études réalisées à la demande de la Commission européenne par l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature). Ces études, qui seront présentées à l'occasion de la Journée mondiale de la biodiversité, sont les premières listes rouges européennes des amphibiens et des reptiles et révèlent des tendances démographiques alarmantes. Plus de la moitié des amphibiens (59 %) et 42 % des reptiles d'Europe sont en déclin, ce qui signifie que les amphibiens et les reptiles sont même plus menacés que les mammifères et les oiseaux d'Europe. Pour 23 % des amphibiens et 21 % des reptiles, la situation est si grave qu'ils sont classés comme espèces menacées sur la liste rouge européenne. La pression exercée sur ces espèces en déclin est essentiellement causée par la destruction de leurs habitats naturels par l'homme, associée aux changements climatiques, à la pollution et à la présence d'espèces envahissantes. «À l'approche de la Journée mondiale de la biodiversité, cette découverte fait réfléchir», a déclaré Stavros Dimas, membre de la Commission européenne chargé de l’environnement. «En dépit d'une législation stricte protégeant nos habitats ainsi que la plupart des espèces concernées, près d'un quart des amphibiens d'Europe sont aujourd'hui menacés. Ce constat témoigne de la pression énorme à laquelle nous soumettons la faune et la flore d'Europe et souligne la nécessité de repenser notre relation au monde naturel. J'appelle donc les citoyens, les responsables politiques et les milieux industriels à méditer sur notre récent message d'Athènes et à tenir compte de la question de la biodiversité dans les décisions qu'ils prennent. Nous ne pouvons continuer ainsi.» Le docteur Helen Temple, coauteur de l'étude, a déclaré à ce sujet: «L'Europe méridionale est particulièrement riche en amphibiens, mais les changements climatiques et d'autres menaces exercent une lourde pression sur ses habitats d'eau douce. Dans toute l'Europe, la croissance de la population humaine, l'intensification de l'agriculture, l'extension urbaine et la pollution font reculer la place des habitats naturels. Ce n'est une bonne nouvelle ni pour les amphibiens ni pour les reptiles.» Les amphibiens et les reptiles sont plus menacés que les mammifères L'Europe abrite 151 espèces de reptiles et 85 espèces d'amphibiens, dont beaucoup ne vivent en nul autre endroit de la planète. Six espèces de reptiles, y compris le lézard tacheté de Ténériffe (Gallotia intermedia) et le lézard des murailles des îles éoliennes (Podarcis raffonei), ont été classées comme espèces en danger critique d'extinction, ce qui signifie que le risque d'extinction de ces espèces à l'état sauvage est extrêmement élevé. Onze autres espèces sont classées comme espèces en danger (risque très élevé d'extinction à l'état sauvage) et dix autres comme espèces vulnérables (risque élevé d'extinction à l'état sauvage). Parmi les amphibiens, groupe comprenant les grenouilles, les crapauds, les salamandres et les tritons, deux espèces ont été classées comme espèces en danger critique d'extinction: la grenouille de Karpathos ( Pelophylax cerigensis) et le triton du Montseny (Calotriton arnoldi), seul triton endémique d'Espagne. Cinq autres espèces, notamment le crapaud à ventre jaune des Apennins ( Bombina pachypus), sont en danger, et onze autres sont classées comme vulnérables. Les amphibiens et les reptiles sont même plus menacés que d'autres groupes d'espèces: en effet, 15 % des mammifères et 13 % des oiseaux sont en péril. Il est presque certain que d'autres groupes sont également menacés, mais les groupes précités sont les seuls à avoir été entièrement évalués au niveau européen conformément aux lignes directrices pour l'application au niveau régional des critères de l'UICN pour les listes rouges. Contexte La biodiversité – tissu vivant dont nous dépendons tous – est en déclin partout dans le monde. La perte d'habitats constitue la plus grande menace tant pour les reptiles que pour les amphibiens d'Europe. Les changements climatiques, la pollution et les espèces exotiques envahissantes représentent également des menaces. L'Union européenne s'est engagée à mettre un terme à la perte de biodiversité d'ici 2010 et, à cette fin, à mettre en œuvre un plan d'action en faveur de la diversité biologique. Le mois dernier, le «message d'Athènes» en huit points a souligné la nécessité d'accroître les efforts pour enrayer cette perte et de prendre, à cet effet, des mesures visant notamment à faire mieux comprendre à tous l'importance de cette question, à améliorer le financement et à intégrer de façon plus systématique les préoccupations en matière de biodiversité dans d'autres domaines d'action. Les listes rouges européennes établies par l'UICN constituent le cadre qui permet de classer les espèces selon leur risque d'extinction. Les espèces menacées sont celles qui sont classées comme étant en danger critique d'extinction, en danger et vulnérables. Pour de plus amples informations La liste rouge européenne est accessible au public à l'adresse suivante: http://ec.europa.eu/environment/nature/conservation/species/redlist La page de la Commission sur la nature et la biodiversité: http://ec.europa.eu/environment/nature/index_en.htm Le message d'Athènes: http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=IP/09/649&format=HTML&aged=0&language=EN&guiLanguage=en Le bureau régional de l'UICN pour l'Europe: www.iucn.org/europe
  12. La tique : un acarien qui s’accroche Malgré sa taille minuscule, la tique est capable d’infecter rapidement le sang de sa victime. Ce parasite s’accroche à la peau de son hôte qu’elle affaiblit en lui pompant du sang. Si le repas est trop copieux, elle risque de le régurgiter et la transmission de bactéries se fait alors facilement : l’infection est souvent inévitable. Il est donc indispensable de retirer la tique le plus rapidement possible de son point d’attache. Pour éviter qu’elle ne résiste, endormez-la avec un peu d’alcool avant d’opérer. Attention : ce parasite ne s’attaque pas qu’aux animaux, mais aux humains également.[center]
  13. La guêpe : de quoi avoir le bourdon en été Cette petite bête noire et jaune nous cause bien des tracas, même si sa piqûre est généralement bénigne. En effet, seules les femelles présentent un aiguillon venimeux qui peut déclenche des allergies chez les sujets les plus sensibles. La piqûre de guêpe n’est en fait dangereuse que pour ces individus et ne cause qu’une réaction inflammatoire classique chez la plupart des victimes. Le venin s’extrait facilement sous l’effet de la chaleur ou d’un désinfectant ménager (vinaigre ou eau de Javel).
  14. Le venin de la veuve noire : ne vous fiez pas à la douleur La piqûre de cette araignée est indolore mais le venin qu’elle injecte est à l’origine de troubles alarmants. Seule espèce dangereuse en France, la veuve noire présente en Corse et en Provence, mais aussi le long de la façade Atlantique, cache bien son jeu. En effet, cette minuscule araignée noire et rouge dispose d’un venin puissant capable d’endommager le système nerveux. Dans certains cas, la victime peut avoir des hallucinations et manifester des troubles du comportement liés à la présence de venin dans l’organisme.
  15. La vipère aspic : personne n’est à l’abri En France, cette espèce venimeuse est surtout présente dans les Alpes. Ne criez pas victoire trop vite : vous pouvez en fait la rencontrer presque partout dans l'Hexagone, sauf au nord-est du pays. La vipère aspic n’attaque que pour chasser et pour se défendre lorsqu’elle se sent menacée. Un coup d’œil à sa forme sinueuse et à ses crochets déployés vous préviendra qu'il ne vaut mieux pas l’ennuyer. Si sa morsure est rarement mortelle, le venin qu’elle injecte peut causer des œdèmes,
  16. Alerte rouge à la fourmi Les fourmis rouges sont réputées pour leur appartenance à la famille des insectes piqueurs. Un simple pas sur la fourmilière et c’est toute la colonie qui débarque pour vous piquer. Tous les individus de l’essaim sont réceptifs à l’attaque d’un seul membre, et il ne leur faut pas plus de quelques secondes pour attaquer l’ennemi. Si la piqûre est très douloureuse, elle reste bénigne et ne cause qu’une inflammation de la zone touchée.
  17. Pas besoin de partir dans des contrées exotiques pour faire face à une nature peu accueillante. En France aussi, Dame Nature fait parfois des siennes. Du nord au sud de la France, il n’est pas rare de croiser au détour d’un chemin des représentants de la faune ou de la flore qui peuvent très vite devenir une menace. Qu’il s’agisse d’animaux venimeux ou de plantes vénéneuses, Maxisciences vous recommande d'éviter les stars de ce dossier. Source: http://www.maxisciences.com/piq%fbre/six-especes-dangereuses-a-eviter-en-france_art1385.html
  18. J'ai mis la photo en taille réelle... Superbe...
  19. askook

    Le crocodile...

    http://www.imbeciles.fr/video-886-attaque-d-un-crocodile.html
  20. askook

    Varanus komodoensis

    Un article datant de 2006 QUATRE BÉBES DRAGONS DE KOMODO, CONÇUS AU PARC DE THOIRY, SONT SORTIS DE LEURS OEUFS AU ZOO DE LONDRES CETTE PREMIÈRE NAISSANCE DE DRAGONS EN EUROPE EST UN MYSTÈRE POUR LA SCIENCE : LES BÉBÉS DRAGONS DE THOIRY ONT-ILS UN PÈRE ? Le Parc de Thoiry et le Zoo de Londres ont choisi le dimanche 23/04/2006, date anniversaire de Saint Georges, pour annoncer simultanément la naissance de quatre Dragons de Komodo pour la première fois en Europe. C’est un évènement, car ces varans géants sont exceptionnels à plusieurs titres : - Par leur taille, les dragons de Komodo sont les plus grands reptiles terrestres. Ces carnivores attteignent 3,30 mètres de long et ils chassent des cerfs, des sangliers. - Par l’ancienneté de leur espèce, les dragons sont restés proches de leurs ancêtres, qui vivaient à l’ombre des dinosaures. - Par leur rareté, car ils sont 3.000 à survivre sur moins de 300 kilomètres carré, répartis entre l’île de Komodo et quelques autres petites îles du sud est de l’Indonésie. Colomba de La Panouse, directrice zoologique des Parcs du Groupe Thoiry, voulait développer la sauvegarde d’espèces en voie de disparition. Pour elle, chaque forme de vie est unique et occupe une fonction nécessaire dans la biodiversité. Elle consacre autant d’efforts à faire reproduire dans un but de réintroduction en milieu naturel des espèces peu attractives pour le grand public, tels les visons d’Europe ou les escargots de Partula, que des espèces très attractives, tels les dragons de Komodo. En juillet 1998, elle réussissait à faire venir à Thoiry un mâle, Kimaan, et une femelle, Sungaï, nés au zoo de Gembira Loka, Indonésie. Le Parc de Thoiry devint le cinquième zoo en Europe à élever des dragons de Komodo, avec Berlin, Rotterdam, Lisbonne et Pilsen. Thoiry est le seul parc en France qui présente des dragons de Komodo. Dès novembre 1998, Colomba de La Panouse organisa à Thoiry une conférence sur les Dragons de Komodo, qui a réuni des scientifiques et spécialistes indonésiens, européens et américains. Les travaux furent publiés par le Smithsonian Institute. Komodo Dragons : Biology and Conservation - ISBN:1588340732 Murphy, James B. (Edt) /Ciofi, Claudio (Edt) . La conférence favorisa la venue d’autres couples de Dragons de Komodo en Europe, à Londres, Chester et les Îles Canaries. Les rares parcs zoologiques, qui élèvent ces grands reptiles mythiques, établirent un programme européen pour une politique d’échange de couples pour éviter les unions consanguines. Le programme européen recommanda que Kinaam et Sungaï, étant cousins, fassent grottes et jardins séparés, avant d’être mariés à d’autres partenaires Aussi en 2005, la femelle Sungaï était prêtée par le Parc de Thoiry au Zoo de Londres, le temps qu’elle reproduise avec leur mâle Rajah. À peine arrivée, Sungaï a pondu des oeufs fécondés, qui viennent de donner naissance, pour la première fois en Europe, à quatre charmants petits Dragons. Thoiry avait réussi la première fécondation en Europe d’œufs de dragons de Komodo. L’incubation a été menée à bien, grâce au savoir faire de Richard Gibson, Curator of Herpetology du Zoo de Londres. Gibson Richard a une grande expérience des reptiles et il anime la collaboration scientifique entre les vivariums européens. Colomba et l’équipe zoologique du Parc de Thoiry sont heureux que ce soit lui qui ait la responsabilité délicate d’élever les bébés dragons. La conception des bébés dragons est un mystère : comment les oeufs ont-ils pu être fécondés alors que le mâle Kimman et la femelle Sungaï étaient séparés depuis plus de deux ans ? Les hypothéses de l’amant de passage et d’une “imaculée conception” ayant été d’emblée écartées, la question scientifique est de découvrir : comment les oeufs ont-ils été fécondés ? Deux hypothèses sont possibles. Soit les femelles de dragons de Komodo ont une spermathèque, c’est à dire que Sungaï a gardé le spermatozoïde, ou l’oeuf juste fécondé par Kimaan, vivant pendant deux ans. Soit les femelles de Dragons de Komodo peuvent se reproduire par parthogénèse, c’est à dire que Sungaï s’est auto-fécondée en produisant des clones d’elle-même. Une étude génétique sera faite en Italie par Claudio Ciofi pour donner la réponse sur la paternité ou l’absence de paternité, et révéler le sexe de chacun des bébés. Le coordinateur du programme européen d’élevage des dragons de Komodo, Gérard Visser, du Zoo de Rotterdam pourra préparer, selon leur sexe les futurs mariages des jeunes dragons de Thoiry. Dès que Kimaan, le grand mâle adulte de Thoiry, aura fécondé la femelle du Zoo de Chester, il reviendra au Parc de Thoiry, où il retrouvera les deux jeunes Dragons de Komodo qui y vivent actuellement. Les connaissances vétérinaires et comportementales progressent. Les programes européens et américains coordonnent le savoir faire acquis par l’analyse des réussites et des échecs de chacun des parcs membres. Les parcs zoologiques, qui consacrent leurs efforts pour créer une population européenne de Dragons de Komodo, tels Thoiry et Londres, envoient des aides, collectent des dons et organisent des missions d’études pour aider la conservation des dragons de Komodo dans leur milieu naturel. Claudio Ciofi est chargé de suivre sur le terrain ces actions. Informations supplémentaires sur les Varans de Komodo Les Dragons ou varans de Komodo sont à la fois une forme très ancienne des sauriens et les plus “intelligents” des reptiles. Les varans sont antérieurs, dans l’ordre des squamates, à leurs neveux les serpents, dont les pattes ont régressé ultérieurement. Ils ont vu naître et disparaître les dinosaures. Ils ont survécu dans les petites îles volcaniques de Komodo et de Rinca, perdues dans les océans, à l’est de l’Indonésie, et dans une “poche” de mangroves à l'ouest de l’île voisine de Florès. Les dragons de Komodo furent découverts en 1912. Il reste moins de 3.000 dragons de Komodo sur ces îles, menacés par des éruptions volcaniques. La superficie totale n’est que de 300 kms carré, le septième d’un département français. Une éruption d’un des volcans de l’île de Flores, comme celle du Krakatoa, serait fatale au dragons concentrés sur un petit territoire. Le braconnage déc ime les proies, cerfs, sangliers et autres herbivores, dont se nourrisssent les dragons de Komodo. Il est important d’élever une population de dragons dans des parcs zoologiques. Le Zoo de Washington fut le premier à reproduire des Dragons de Komodo hors l’Indonésie. Trooper Walsh et l’équipe de Washington ont aidé Colomba de La Panouse à réaliser à Thoiry, “La Caverne des Dragons d’Asie”. Dans chaque grotte on fait évoluer le climat et on traite l’eau. On reconstitue le climat de l’Ile de Komodo. Le couple vit dans des grottes séparées jusqu’au jour où la femelle est en chaleur. Après les amours, elle s’isole pour creuser son terrier et pondre ses oeufs. Dans chaque grotte le sol se comprend des rochers, du sable et de la terre. Des verres spéciaux laissent passer les rayons U.V. du soleil que complètent des lampes chauffantes.. Les dragons de Komodo s’attachent à leur soigneur mais restent dangereux : Ils reconnaissent leur gardien au milieu d’une foule. C’est par leur odorat, très développé, qu’ils établissent le lien le plus fort. Quand ils les nourrissent, ces soigneurs s’annoncent par un signal. Ils restent prudents car un dragon de Komodo est un carnivore sauvage, qui adulte peut tuer un bufflel. Les varans ont incarné pour l’Asie le mythe universel des dragons. Partout, y compris l’Indonésie, au jour de l’an les jeunes promènent dans les rues de grands dragons en papier peint. En Chine, les dragons sont le tonnerre et l’éclair et la pluie bienfaisante, le symbole de l’empereur, les gardiens des courants de la terre, à la fois yang et yin dans sa puissance fécondatrice. Aux Inde le plus important des dragons est Makara, avec sa gueule énorme, qui, comme la baleine de Jonas, avale et recrache le héros. Plusieurs scientifiques pensent l’universalité du mythe du dragon viendrait de ce que nous avons gardé dans notre mémoire de mammifère un souvenir inconscient mais présent des reptiles. Jung fut une des premiers à montrer comment les mythes des dragons sont un archétype présent dans toutes les civilisations. Est-il vrai que la langue fourchue des dragons de Komodo les aident à mieux sentir ? Les dragons de Komodo ont des narines et un nez. Mais en plus leur langue leur permet de mieux goûter les odeurs en léchant les particules d’air qu’elle a capturées. Ils ont, comme les serpents, un organe dit de Jacobson, un super nez qui combine l’odorat et le goût. Quand la langue rentre dans la bouche, ses pointes reposent naturellement sous cet organe Si nous avions des oreilles mobiles, comme celles des ânes, par exemple, nous pourrions en orientant celles-ci déterminer l’endroit exact de l’origine du bruit, sans avoir à tourner la tête. La vision binoculaire nous permet de voir en relief.. La lange fourchue permet aux sauriens et aux serpents de sentir en stéréo et en relief, car ils ont une perception distincte de l’intensité des odeurs. Les dragons de Komodo nagent-ils ? Bien que ce soient des reptiles terrestres, les dragons de Komodo, comme tous les varans, nagent très bien. Certains ont même traversé des bras de mer de plus de 10 kilomètres.Les bains de mer peuvent aider les dragons à se raffraichir.C’est la raison pour laquelle, à Thoiry, toutes les cavernes aménagées pour les varans, disposent d’une piscine intérieure. L’été, les dragons de Komodo de Thoiry disposent d’un jardin. Même si les vitres de ses cavernes sont orientées S.O. et que leurs verres spéciaux laissent passer tous les rayons ultra violets mais rien ne vaut un grand jardin pour s’ébattre et une plage pour bronzer. Mais en dessous de 25 °, un dragon de Komodo s’enrhume. Colomba de La Panouse a créé un jardin où les arbres et les tanières sont munis de résistances et de lampes chauffantes, afin que les dragons de Komodo trouvent l’appoint de chaleur qui leur permet de sortir dehors plus souvent et plus longtemps. Deux collines et des rochers leur offrent des circuits de promenade pour que les dragons puissent s’isoler ou se rencontrer. Parmi les reptiles, quels sont les plus anciens dans l’évolution, les varans, dont font partie les dragons de Komodo, ou les serpents ? Les reptiles sont apparus il y a 260 millions d’année. Ils se sont diversifiés en plusieurs branches. Sur une vingtaine d’ordres, il n’en reste plus que quatre, qui avaient du s’adapter à à la concurrence des dinosaures. Chez les reptiles mammaliens, seules les espèces les plus petites et les plus agiles, ont pu se cacher et se sauver. Nous en descendons. Des varans ont choisi de s’enfouir sous terre et sont devenus serpents. Ils ont perdu leurs pattes et leurs oreilles, leur vue a baissée, car sous terre il n’est pas besoin de voir loin; ils sont devenus sourds et leurs capacités cervicales a régressé d’autant. Les dragons de Komodo sont les plus grands représentants, sont à la fois plus proches des ancêtres et plus évolués que les serpents. Mais ils ne sont que 35 espèces tandis que les descendants des planqués, les serpents, ont conservé plus de territoire et développé plus 2.500 espèces. voici le lien pour les photos http://www.thoiry.net/parc_animalier.php?lang=fr&sujet=varan
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    Varanus komodoensis

    Quelques photos... Un jeune varan se nourrissant d'une carcasse. Varan de Komodo en pleine sieste. Varan de Komodo tout bavotant. Varan adulte à la plagePhotos pour illustration. Source: http://www.maxisciences.com/varan/le-dragon-de-komodo-le-plus-grand-lezard-du-monde-en-images_art2085.html
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    Varanus komodoensis

    Le dragon de Komodo, plus grand lézard venimeux de la planète ? Australie - Selon de récentes découvertes scientifiques, les dragons de Komodo seraient beaucoup plus dangereux que ce qu’on pensait. En effet, ces reptiles utilisent un poison semblable au venin des serpents pour tuer leurs proies. Ces reptiles ont l’habitude de mordre leurs proies puis de les laisser s’échapper et mourir en se vidant de leur sang. Les scientifiques pensaient qu’ils utilisaient pour cela une bactérie de leur bouche qui accélérait la mort de leur victime. Mais une nouvelle étude montre qu’ils utilisent un venin semblable à celui des serpents, ce qui ferait d’eux les plus gros lézards venimeux de la planète. « Le varan est vraiment venimeux. Il possède des glandes salivaires modifiées qui lui permettent de tuer de gros animaux suite à une rapide perte de sang » explique le docteur Stephen Wroe, de l’université New South Wales en Australie, co-auteur du rapport. La toxine est similaire à celle de nombreux serpents. Elle empêche le sang de coaguler et élargit les vaisseaux sanguins, menant à la mort certaine de la proie. Jusqu’à présent les scientifiques pensaient qu’il y avait seulement deux types de lézards venimeux : le monstre de Gila et le lézard perlé, vivant tous les deux au sud des États-Unis et au Mexique. Le dragon de Komodo, lui, vient d’Indonésie et peut atteindre 3 mètres de long. L’équipe de chercheurs a aussi observé les fossiles d’un Megalania, un lézard long de 8 mètres qui vivait il y a 40 000 ans en Australie. Cet animal, qui est sûrement le plus gros animal venimeux qui ait existé, a des liens de parenté avec le dragon de Komodo. Source: http://www.maxisciences.com/varan/decouverte-en-images-le-dragon-de-komodo-plus-grand-lezard-venimeux-de-la-planete_art2066.html Lien: /articles-scientifiques-f64/varanus-komodoensis-t13949.htm
  23. Les photos... Photos pour illustration. Source: http://www.maxisciences.com/tortue/une-prothese-de-carapace-en-fibre-de-verre_art2084.html
  24. Angleterre - Blessée à la carapace après s'être battue avec l'une de ses congénères, une tortue géante du zoo de Paignton a été prise en main par les vétérinaires du parc de façon originale. Quand elle est arrivée, cette tortue n’était pas plus grosse qu’un poing. Aujourd’hui, elle pèse 153 kg et les vétérinaires ont dû trouver une solution pour la soigner, en attendant que la blessure de sa carapace se referme de façon naturelle. Mike Bungard, vétérinaire au zoo de Paignton, explique qu’une fois la plaie nettoyée, la reconstruction naturelle de la carapace peut prendre 18 mois. En attendant cette échéance, il a fallu recouvrir la plaie béante. L'équipe du Dr Bungard a donc eu l’idée d’y placer une structure composée de fibre de verre faisant office "d’enveloppe" artificielle. C’est en prenant modèle sur un morceau de carapace prélevé sur une tortue du même gabarit que le responsable technique du zoo a pu fabriquer la prothèse. Il l'a ensuite adaptée pour qu'elle convienne parfaitement à l'animal en rémission. Les tortues géantes des Seychelles (Geochelone gigantea) sont originaires de l'île d’Aldabra, dans l’Océan Indien. Le zoo de Paignton, en Angleterre, a recueilli plusieurs d’entre elles, arrivées illégalement dans le pays en 1968. Ces animaux peuvent atteindre des dimensions impressionnantes : un poids de 230 kg et une carapace mesurant jusqu’à 1,22 mètre. A l'état sauvage, ces tortues risquent de disparaître rapidement, aussi l'espèce a-t-elle été classée parmi les espèces vulnérables par l’International Union for the Conservation of Nature (IUCN). Source: http://www.maxisciences.com/tortue/une-tortue-geante-blessee-couverte-de-fibre-de-verre-decouvrez-les-images_art2060.html
  25. askook

    2 petites nouvelles

    Non, c'est une femelle d'origine sauvage...
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