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Les nouveaux-né mesurent à la naissance de 17 à 23 cm. Ils sont donc capable de se nourrir de souriceaux... Malheureusement, ils ne mangeront pas tous des souriceaux très facilement. Il faudra être patient et utiliser quelques "ruses" avec certains spécimens, afin qu'ils acceptent définitivement du rongeur... Il sera temps d'y revenir, une fois les BB nés.
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Les "semicinctus" que vous vous étiez procurés, venaient-ils de la ferme tropicale? Nous étions partis pour acheter deux semicinctus chez un particulier qui les avait achetés à la Ferme Tropicale. Avant d’aller les chercher, nous avons demandé quelques photographies et à la réception de celles-ci, nous avions un gros doute sur l’espèce ! Nous avons donc contacté deux éleveurs US de Lystrophis et un terrariophile Français plutôt doué sur les clés de détermination. Les trois nous ont confirmé que les animaux sont des pulcher. Nous voulions des Lystrophis ssp, nous avons donc confirmé notre achat. Mon vendeur m’a dit avoir contacté KD par rapport à cela et la réponse aurait été « si des spécialistes pensent que c’est du pulcher plutôt que du semicinctus c’est que c’est du pulcher » Marc Merci pour votre réponse. Embêtant de vendre des spécimens dans l'espèce n'est pas confirmée, surtout de la part d'un magasin spécialisé...
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A l'état sauvage, les pontes qui comptent entre 4 et 20 oeufs, d'une taille de 24-36 mm x 15-17 mm, ont lieu à la fin du printemps ou au début de l'été, pour qu'à la naissance des nouveaux-né, qui arrivera entre 70 et 85 jours, ils puissent trouver de la nourriture en abondance. En captivité, l'incubation des oeufs se fera à une température d'environ 28°C avec un taux d'hygrométrie de 90-95%. Laisse ton couple encore un peu ensemble, histoire de voir, s'il y a encore d'autres accouplements. Après, pense à séparer tes spécimens, histoire de laisser pondre tranquillement ta femelle et d'éviter une possible rétention d'oeufs. Il se peut que si tu laisses le couple ensemble tout le temps, que tu ais plusieurs pontes dans une même année. Attention alors, que ta femelle ne s'épuise pas trop. Il faudra, si c'est le cas, gérer les accouplement...
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Les toiles d'araignées sociales : des monuments de soie impressionnants
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Mygales - Arachnides - Scorpions
Araignées sociales : une toile d'araignée géante filmée dans une réserve du Texas A Wills Point, dans la réserve d'Etat du Lac Tawakoni, les visiteurs peuvent admirer une immense toile d'araignée recouvrant la nature alentour sur plusieurs dizaines de mètres, tissée par des milliers d'araignées sociales, vivant en collectivité au sein d'une gigantesque colonie. -
Toutes les araignées ne sont pas solitaires : en effet, quelques rares espèces s'organisent en véritables sociétés, regroupant plusieurs dizaines à plusieurs centaines d'individus, bâtissant notamment des toiles aux dimensions impressionnantes. Toile collective d'Achacaranea disparata Toile collective et quelques individus d'une colonie d'Achacaranea disparata. Toile collective d'Agelena consociata Source: http://www.maxisciences.com/araign%e9e/les-toiles-d-039-araignees-sociales-des-monuments-de-soie-impressionnants_art320.html
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Rien de mieux que la farine pour suivre une trace. La preuve... L'auteur d'un cambriolage perpétré de nuit dans une boulangerie à Toulon a été confondu par la farine dans laquelle il avait marché, laissant des traces de pas jusqu'à son domicile, a-t-on appris mercredi de source policière. Vendredi, le jeune homme de 25 ans avait fracturé la porte d'une boulangerie, où il avait fait main basse sur la caisse. Mais les policiers chargés de l'enquête ont noté sur place des traces de pas empreints de farine. En les suivant, ils ont grimpé sur la toiture de l'immeuble où ils ont trouvé quelques pièces de monnaie, puis ont franchi un couloir et sont redescendus sur le trottoir jusqu'à un autre immeuble. Là, au deuxième étage, devant un appartement, ils ont découvert des chaussures enfarinées, dont les empreintes étaient identiques à celles relevées dans la boulangerie. Interpellé, le jeune homme a reconnu les faits. Dans le cadre d'une procédure de médiation pénale, le parquet de Toulon l'a remis en liberté, lui imposant de dédommager la victime. Penaud, il a confié aux policiers que dans l'obscurité, il ne s'était pas rendu compte qu'il avait marché dans la farine. Source: http://www.7sur7.be/7s7/fr/1504/Insolite/article/detail/558950/2008/12/17/Le-cambrioleur-d-un-boulanger-roule-dans-la-farine.dhtml
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Lepidodactylus buleli est une nouvelle espèce de gecko de l’île d’Espiritu Santo (souvent appelée Santo, Vanuatu, Pacifique Ouest) découverte et décrite par Ivan Ineich, herpétologue au Muséum à la suite de l’Expédition scientifique internationale SANTO 2006 co-organisée par le Muséum, Pronatura international et l’IRD. Cette découverte est exceptionnelle à double titre : d’une part, c’est la première nouvelle espèce de vertébré terrestre décrite suite à l’expédition ; d’autre part, c’est le premier lézard au monde décrit à partir d’un spécimen rapporté précieusement de l’île sous la forme d’un oeuf (20 000 km parcourus !), éclos en captivité à Paris fin 2006, puis élevé durant plus d’une année par deux experts terrariophiles parisiens jusqu’à la taille adulte permettant la description de l’espèce par le scientifique ! Cette découverte ouvre également de nouvelles perspectives pour l’inventaire de la biodiversité par la collecte et l’élevage des oeufs et des jeunes, car auparavant les oeufs n’étaient que très rarement considérés comme intéressants. Oeuf de Lepidodactylus buleli. Crédit photo : Ivan Ineich / MNHN Cet animal se rapproche d’une autre espèce des îles de l’Amirauté (Papouasie Nouvelle-Guinée) par plusieurs caractères de son écaillure, notamment le nombre élevé de rangs d’écailles autour du corps. Elle est cependant différente des autres espèces par la combinaison des caractères suivants : nombre élevé d’écailles autour du milieu du corps, faible dilatation des doigts et orteils, faible palmure entre les orteils III et IV, présence d’éperons cloacaux, un dessin dorsal original à la base de la queue et une coloration jaune citron des labiales. Cette espèce arboricole vit dans ou à proximité de plantes myrmécophiles (qui abritent des colonies de fourmis) suspendues en hauteur (quelquefois jusqu’à 20 mètres) dans les arbres de la forêt primaire sur la côte occidentale sèche de Santo. Elle utilise ces plantes pour y déposer ses oeufs. L’espèce ne doit pas être trop rare dans la nature car de nombreux oeufs ont été observés dans certains sites collectifs de ponte (plusieurs femelles viennent pondre au même endroit). Pour le moment, les oeufs de ce gecko n’ont été trouvés que dans des plantes myrmécophiles. Ce gecko ne semble pas menacé si ce n’est par la destruction de son habitat, les forêts, qui touche pratiquement l’ensemble de la planète y compris le Vanuatu. La femelle pond deux oeufs adhésifs allongés (oeufs mous qui « collent » à la surface sur laquelle ils sont déposés) d’une largeur moyenne de 7,5 mm et d’une hauteur moyenne de 10 mm. Le corps de l’animal adulte mesure environ 4 cm et autant pour la queue, soit une longueur totale de 8 cm pour un poids d’environ 1,5 gramme. La durée de vie de cette espèce n’est pas connue. Toutefois d’autres individus d’une espèce distincte du même genre sont maintenus en captivité depuis maintenant plus d’une dizaine d’années. Lepidodactylus buleli. Crédit photo : Ivan Ineich / MNHN Cette découverte illustre une fois de plus le fait que certaines strates de la biodiversité, comme par exemple la canopée, sont totalement méconnues ou, dans tous les cas, difficilement accessibles aux biologistes. L’originalité et l’ambition de l’expédition SANTO 2006 étaient notamment d’étudier la faune des forêts du sol à la canopée grâce à des techniques de collectes innovantes (arboglisseur...). La collecte de plantes myrmécophiles durant la mission a été possible grâce au soutien de grimpeurs professionnels capables de décrocher les plantes épiphytes en hauteur dans les arbres et ainsi les rendre accessibles aux biologistes. Source:http://www.notre-planete.info/actualite/actu_1812_nouvelle_espece_gecko_oeuf_paris.php
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Evolution : l'apparition de la carapace des tortues expliquée
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
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Evolution : l'apparition de la carapace des tortues expliquée
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
La découverte du plus ancien fossile de tortue connu contribue à résoudre le mystère du développement de la carapace Des scientifiques du Canada, de la Chine et des États-Unis ont découvert et décrit la plus ancienne tortue fossilisée du monde; ce faisant, ils ont établi des preuves permettant de résoudre un mystère de longue date de l'évolution : comment la tortue s'est munie d'une carapace. M. Xiao-chun Wu, un paléontologue au Musée canadien de la nature à Ottawa, a travaillé avec des collègues pour décrire une tortue dont on estime l'âge à 220 millions d'années, mise au jour dans la province de Guizhou en Chine en 2007. Trois spécimens adultes remarquablement préservés ont été trouvés; tous ont des caractéristiques jamais vues auparavant chez les tortues : la présence de dents et une carapace supérieure incomplète qui aide à mieux comprendre la genèse de celle-ci. En tenant compte de cela, l'espèce a été baptisée Odontochelys semitestacea (ce qui signifie tortue à dents et à demi-carapace). « Depuis les années 1800, de nombreuses hypothèses circulent sur l'origine de la carapace des tortues, explique M. Wu. Maintenant nous avons ces fossiles de la plus ancienne tortue connue. Ils appuient la théorie selon laquelle la carapace se serait formée à partir du dessous comme un prolongement de la colonne vertébrale et des côtes, au lieu de provenir de plaques osseuses de l'épiderme comme d'autres ont conjecturé », explique M. Wu. Le rapport paraît dans le numéro du 27 novembre du journal scientifique Nature. M. Wu est coauteur de l'étude, en collaboration avec Chun Li de l'Institut de paléontologie des vertébrés de l'Académie chinoise des sciences à Pékin (où les fossiles sont conservés), M. Olivier Rieppel, du Field Museum de Chicago, Li-Ting Wang du Service géologique de la province de Guizhou et Li-Jun Zhao du Musée d'histoire naturelle du Zhejiang. Chun Li (l'étudiant de M. Wu) a découvert les fossiles avec des fermiers locaux. Depuis l'époque des dinosaures, les tortues sont demeurées à peu près inchangées, munies d'une carapace entière comportant une partie supérieure (carapace) et inférieure (plastron ventral). Toutefois, il y a peu de preuves concluantes pour appuyer les théories en concurrence relativement à la genèse de la carapace, en partie parce que personne n'a trouvé de formes intermédiaires dans les restes fossiles. Une théorie soutient que la carapace de la tortue se développe par une série d'étapes composites. On pense que la carapace croît à partir de plaques osseuses sur l'épiderme (ostéodermes). Celles-ci s'élargissent pour former une sorte d'« armure » dermique qui se fusionne ensuite aux côtes et à la colonne vertébrale sous-jacentes pour former une carapace. Les reptiles modernes tels que les crocodiles sont munis de telles plaques osseuses, comme l'ont été certains dinosaures comme l'ankylosaure. Cependant, il n'existe aucune preuve physique de ce processus dans les restes fossiles. Avant la découverte d'Odontochelys, le plus ancien taxon de tortue était Proganochelys, qui fut découvert en Allemagne et remonte à environ 210 millions d'années. Mais puisque sa carapace est complètement formée, les scientifiques ne peuvent affirmer avec certitude comment celle-ci s'est développée. L'autre théorie, maintenant corroborée par la découverte d'Odontochelys, avance que le plastron ventral s'est formé en premier, suivi d'une excroissance et d'un élargissement à partir des côtes et de la colonne vertébrale de manière à former la carapace supérieure. Ce processus reflète ce qui est observable chez les embryons et nouveau-nés des tortues modernes : les côtes et la colonne vertébrale croissent et poussent vers l'extérieur, puis s'élargissent pour former la carapace supérieure. « Avec Odontochelys, nous avons maintenant des preuves claires de ce processus qui émerge chez l'adulte », explique M. Wu. L'équipe arrive également à la conclusion que cette tortue, la plus ancienne connue, était un animal aquatique et non terrestre comme le laissaient croire d'autres fossiles de tortues. La présence du plastron ventral est un indice : il protégerait l'animal de prédateurs arrivant à la nage par-dessous. Les scientifiques ont également trouvé d'autres reptiles et invertébrés marins provenant des mêmes gisements de la même époque dans les environs. Le mode de vie aquatique de cette tortue-ancêtre implique que les tortues, en tant que groupe, proviendraient de l'eau. Le Musée canadien de la nature est une société d'État et le musée national d'histoire naturelle et de sciences naturelles du Canada. Il favorise la sensibilisation au patrimoine naturel du Canada par des expositions permanentes et itinérantes, des programmes d'éducation publique, des recherches scientifiques actives et l'entretien d'une collection de 10 millions de spécimens. Vue supérieure (d'en haut) d'un Odontochelys montrant la carapace incomplète et les côtes. Ce spécimen est l'holotype Source:http://nature.ca/museum/press/2008/pr08-11-27_wuturtle_f.cfm -
Evolution : l'apparition de la carapace des tortues expliquée
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Tortues - Crocodiles
Une équipe sino-canadienne a découvert l'ancêtre de la tortue dans le sud-ouest de la Chine. Le fossile de 220 millions d'années a une carapace sur le ventre mais pas sur le dos. Odontochelys semistestacea, décrit dans la dernière livraison de la revue Nature par un paléontologue du Musée canadien de la nature à Ottawa, Xiao-chun Wu, est le premier fossile de tortue dont la carapace n'est pas complètement formée. Le précédent record était détenu par un fossile de 210 millions d'années découvert en Allemagne. Vue inférieure (d'en bas) du paratype de l'Odontochelys montrant le plastron complètement développé (partie inférieure de la carapace). M. Wu et ses collègues de l'Académie chinoise des sciences à Pékin avancent que leur découverte signifie que les tortues ont évolué tout d'abord en mer - la carapace serait apparue pour les protéger des prédateurs des profondeurs. Mais la revue publie aussi un commentaire de paléontologues américains qui estiment que l'absence de carapace dorsale d'Odontochelys pourrait très bien être une adaptation à la vie marine de tortues terrestres plus anciennes, parce qu'il existe présentement des tortues marines ayant des carapaces incomplètes. «Je ne pense pas, répond M. Wu en entrevue téléphonique. Il y a d'autres traits modernes chez notre fossile, notamment au niveau de la jonction entre les vertèbres et les côtes. Il faudrait donc qu'ils soient apparus parallèlement sur terre et sur mer, ce qui serait surprenant.» La théorie de M. Wu veut que la carapace dorsale se soit formée chez des tortues postérieures à Odontochelys à partir de la carapace ventrale, en passant par les côtes puis la colonne vertébrale. Le dos d'Odontochelys, qui mesurait moins d'un demi-mètre, était muni d'écailles autour de la colonne. Le fossile a été découvert dans la province de Guizhou, à l'intérieur des terres. Début octobre, des paléontologues américains avaient eux aussi présenté l'ancêtre des tortues, un fossile de 210 millions d'années découvert au Nouveau-Mexique. Leur principal argument était la minceur de la carapace, un millimètre. Source: http://www.cyberpresse.ca/sciences/decouvertes/200811/27/01-804785-un-canadien-decouvre-lancetre-de-la-tortue.php -
Evolution : l'apparition de la carapace des tortues expliquée
askook a posté un sujet dans Tortues - Crocodiles
Les scientifiques pensent avoir résolu l'énigme qui entourait l'apparition de la carapace des tortues. Cette annonce survient après la découverte du plus ancien fossile de tortue connu, vieux de 220 millions d'années et trouvé au sud-ouest de la Chine l'an dernier. Trois spécimens adultes en excellent état de conservation avaient été découverts, leur espèce présentant des caractéristiques encore jamais observées chez les tortues, parmi lesquelles la présence de dents et une carapace supérieure incomplète. L'espèce, baptisée Odontochelys semistestacea, littéralement "tortue à dents et à demi-carapace". Des scientifiques du Canada, de Chine et des Etats-Unis ayant étudié ces fossiles affirment que l'étude de ces animaux à "demi-carapace" leur a permis de répondre aux interrogations existant autour du développement de la carapace des tortues actuelles, selon le magazine Nature. Le Dr Xiao-chun Wu, paléontologiste au Canadian Museum of Nature d'Ottawa, explique : "Ces fossiles défendent la théorie selon laquelle la carapace se serait formée par en-dessous, comme une extension des côtes, et non à partir de plaques osseuses apparaissant dans la peau, comme d'autres le pensaient." Le plastron, partie inférieure de la carapace, se serait donc formé en premier, suivi ensuite par un excroissance et un développement de la colonne vertébrale qui aurait formé la dossière, partie supérieure de la carapace des tortues actuelles. L'équipe a également conclu de cette étude que les premières tortues étaient aquatiques et non terrestres, la présence de cette carapace partielle et inférieure protégeant alors les animaux des prédateurs venus d'en-dessous. Source:http://www.maxisciences.com/carapace/evolution-l-039-apparition-de-la-carapace-des-tortues-expliquee_art262.html -
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Voilà ce que j'avais indiqué à jasonbardy lorsqu'il recherchait des informations sur cette espèce. "Pour la taille du terrarium, prend en compte la morphologie (long et mince) et le mode de vie de cette espèce (semi-arboricole et diurne). Dendrelaphis pictus vit dans les buissons, les branches bases des arbres et au sol. Active et rapide, cette espèce a besoin d'espace pour se déplacer. De plus, comme beaucoup d'espèces se nourrissant de grenouilles ou lézards, Dendrelaphis pictus mange ses proies tout en déplaçant. Si le spécimen, qui mange, vient à buter trop rapidement contre une vite du terrarium, il lâchera sa proie. A la longue, des problèmes de nourrissage feront leur apparition. J'ai eu ce problème avec mes Philothamnus. Le terrarium doit être plus long que haut. Une dimension de 100/120 x 50/60 x 60/80 cm me parait idéal. Pour la température et l'hygrométrie, la répartition géographique des spécimens sera le facteur principal. Dendrelaphis pictus se rencontre dans le sud-est de l'Asie en partant du sud de la Chine. Une température comprise entre 27-30°C, abaissé à 25° C me semble bien. Le taux d'hygrométrie devra, quant à lui, se situer aux alentours de 70/80°C." A lui maintenant, de nous dire comment il élève son spécimen. J'espère que tu réussiras l'élevage de cette espèce.
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William Edwards Duellman William Edwards Duellman (né le 6 septembre 1930) est un zoologiste, spécialiste des amphibiens. Il a notamment décrit de nombreuses espèces d’Eleutherodactylus dans les années 1960-1980 avec John Douglas Lynch (1942-). Il est le mari de la zoologiste Linda Trueb (1942-). Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/William_Edwards_Duellman