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  1. askook

    python regius !!!

    Voilà, en image, à quoi peut ressembler un rack d'élevage Source: http://www.hpterra.com/racksfr.htm
  2. Thomas Nelson Annandale Thomas Nelson Annandale est un zoologiste et un anthropologue écossais, né le 15 juin 1876 à Édimbourg et mort le 10 avril 1924 à Calcutta. Fils d’un chirurgien, il fait ses études à l’université d'Édimbourg et à Oxford (à Balliol College). En 1905, il obtient son doctorat de science à Édimbourg. L’année suivante, il part comme directeur-adjoint à l’Indian Museum de Calcutta. En 1907, il est nommé directeur de ce muséum, fonction autrefois tenue par John Anderson (1833-1900). Sous son action, le Muséum voit ses programmes de recherches comme ses collections s’enrichir considérablement. Annandale initie la parution des Records et des Memoirs, deux revues de zoologie. Ces activités favorisent l’émergence d’une véritable recherche zoologique indienne. En 1916, il fonde la Zoological Survey of India et devient son premier directeur. Il meurt soudainement, à 48 ans, à Calcutta, peu de temps après avoir été fait membre de la Royal Society. Parmi ses élèves, il faut citer C.R. Narayan Rao (1882-1960), Sunder Lal Hora (1896-1955) et Baini Prashad (1894-???) Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/Nelson_Annandale
  3. askook

    Angel (Fernand)

    Fernand Angel Fernand Angel est un zoologiste français, né le 2 février 1881 à Douzy et mort le 13 juillet 1950. Il a travaillé au Muséum national d'histoire naturelle de Paris à partir de 1905 en tant que préparateur assistant, sous la direction de Léon Vaillant (1834-1914). Il a travaillé au coté de François Mocquard (1834-1917) à Paris, puis de George Albert Boulenger (1858-1937) à Londres. Il s'est particulièrement intéressé aux reptiles d'Afrique et d'Asie, en particulier dans les colonies françaises de l'époque, en Afrique, à Madagascar et en Indochine. Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/Fernand_Angel Fernand Angel a publié des ouvrages techniques, en particulier liés à la classification des reptiles, mais aussi des ouvrages plus vulgarisateurs. - Les serpents de l'Afrique Occidentale Française, 1932 - Les lézards de Madagascar, 1942 - La vie des caméléons et autres lézards. Paris : Gallimard, collection "Histoires naturelles" n° 2, 1943 (6e édition), 220 p. - Petit Atlas des Amphibiens et Reptiles - I - Apodes, Urodèles, Anoures, Rhynchocéphales, Chéloniens, Crocodiliens. PARIS, Éditions N. Boubée & Cie, 1949, 152 p. - Vie et mœurs des serpents. 1950. Espèces ou sous-espèces dédiées à Fernand Angel Furcifer angeli Lygosoma angeli Rhabdophis angeli
  4. Lars Gabriel Andersson Lars Gabriel Andersson est un zoologiste suédois, né le 22 février 1868 à Vagnhärad au sud de Stockholm et mort le 13 février 1951 à Lidingö. Il fait ses études à l’université d'Uppsala où il obtient son Bachelor of Arts en 1890, son Master of Arts en 1897 et son Doctorat of Philosophy en 1909. Il travaille au Muséum suédois d'histoire naturelle comme assistant de 1894 à 1895 et de 1897 à 1902. Il est professeur dans différentes écoles dans et à côté de Stockholm Andersson est l’auteur d’ouvrages de zoologie très populaires ainsi que de nombreux articles scientifiques consacrés aux amphibiens et aux reptiles. Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/Lars_Gabriel_Andersson
  5. Afrânio Pompílio Gastos do Amaral Afrânio Pompílio Gastos do Amaral est un herpétologiste brésilien, né le 1er décembre 1894 à Belém et mort le 29 novembre 1982 à Sao Paulo. Enfant, il récoltait des serpents pour Emílio Augusto Goeldi (1859-1917). Il part à Salvador (Bahia) pour faire ses études et reçoit son baccalauréat en 1911. Il est diplômé de médecine à la faculté de Bahia en 1916, sa thèse portait sur les vers parasites. Il exerce brièvement avant de partir à São Paulo, en 1917, travailler à l’Instituto Butantan, organisme chargé de produire du sérum anti-venimeux, sous la direction de Vital Brazil (1865-1950), de João Florencio Gomes et d’Arthur Neiva (1880-1943). Après la mort prématuré de Gomes en 1919, Amaral prend en charge la section des serpents. En 1921, Amaral succède à Brazil à la direction de l’Institut. À cette époque, Amaral est invité aux États-Unis par Thomas Barbour (1884-1946) et Raymond Lee Ditmars (1876-1942) en 1926 dans le but de fournir son expérience pour la fondation d’un institut similaire. Cet institut ouvre ses portes en 1926 et Amaral en prend la direction. Il donne également des cours à l’école de sante publique d’Harvard où il reçoit un doctorat en 1924. L’institut, issu d’une collaboration entre Mulford Biological Laboratories, l’université d’Harvard et l’United Fruit Company, possédait un centre en Honduras (pour l’extraction du venin) et un laboratoire de production à Glenolden. En 1928, Amaral est rappelé à la direction de l’Instituto Butantan. En 1933, il reçoit, en outre, la direction du département d’hygiène de l’école de médecine de São Paulo. En 1935, la situation politique conduit à son éviction de l’institut ; il ne retrouvera son poste qu’en 1954. Il fait paraître plus de 450 publications et décrit quinze nouveaux genres et environ quarante espèces. Source:http://fr.wikipedia.org/wiki/Afr%C3%A2nio_Pomp%C3%ADlio_Gastos_do_Amaral Espèces ou sous-espèces dédiées à Afrânio Pompílio Gastos do Amaral Boa constrictor amarali Liophis amarali Mastigodryas amarali
  6. askook

    Ahl (Ernst)

    Ernst Ahl Ernst Ahl est un zoologiste allemand, né le 1er septembre 1898 à Berlin et mort probablement en 1944 en Yougoslavie. Il travaille de 1921 à 1941 comme herpétologiste et ichtyologiste au musée zoologique de l'université de Berlin. Il est le directeur de 1927 à 1934 de la revue Das Aquarium. Ahl est un militant actif du parti Nazi. Il décrit de nombreuses nouvelles espèces dont la plupart son aujourd’hui tombées en synonymies. Il participe ainsi au programme Nazi destiné à faire de l’Allemagne le pays ayant décrit le plus grand nombre d’espèces. Il est mobilisé le 27 août 1939 et est blessé en Pologne. Après son rétablissement, il est envoyé en Afrique du Nord puis en Yougoslavie où il disparaît. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Ernst_Ahl
  7. Charles Conrad Abbott Charles Conrad Abbott est un archéologue et un naturaliste américain, né le 4 juin 1843 à Trenton dans le New Jersey et mort le 27 juillet 1919 à Bristol (Pennsylvanie). Il est le fils de Timothy et de Susan Conrad Abbott. Il est le petit-fils de Solomon White Conrad (1779-1831), qui enseigne la minéralogie et la botanique à l’université de Pennsylvanie. Il traite très tôt une grande passion pour la nature, particulièrement les oiseaux et les mammifères. Il commence ses études à la Trenton Academy puis étudie la médecine à l'université de Pennsylvanie, obtenant un titre de docteur en 1865. Abbott sert comme chirurgien dans l’armée fédérée durant la Guerre de Sécession. En 1867, il se marie avec Julia Olden, union dont naîtra trois enfants. De 1876 à 1889, il est assistant au Muséum Peabody d'archéologie et d'ethnologie de l’université Harvard (Cambridge). Puis, de 1889 à 1893 conservateur d’archéologie du muséum de l’université de Pennsylvanie. Il travaille notamment sur la colonisation de l'Amérique. Il constitue une collection archéologique de 20 000 spécimens, aujourd'hui conservée à Muséum Peabody. Dans son livre, Primitive Industry, de 1881, il démontre une présence humaine pré-glaciaire dans la vallée du Delaware, ce qui constitue une avancée significative des connaissances archéologiques nord-américaine. Il contribue à des magazines scientifiques comme American Naturalist, Science, Nature, Science-News et Popular Science Monhtly. Il est aussi l'auteur de plusieurs travaux sur les reptiles et sur les vertébrés du New Jersey. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Conrad_Abbott
  8. Boas, mygales, scorpions dans une arche de Noé illégale A la suite d'une enquête menée par les gendarmes de la communauté de brigades de Vézénobres-Lédignan (Gard), ce sont des dizaines d'animaux classés dangereux qui ont été remis hier aux spécialistes du zoo du Lunaret à Montpellier. Cette arche de Noé a été retrouvée chez des particuliers, animateurs de l'association la Cicindelle et connus pour présenter leurs drôles d'animaux de compagnie dans les écoles ou lors de fêtes et marchés. Ils possédaient à leur domicile une trentaine de serpents comme le boa constrictor, le python royal ou la couleuvre américaine. Côté araignées, la collection dépassait la quarantaine d'unités. Figuraient en bonne place de très nombreuses mygales particulièrement dangereuses. Ajoutons encore à ce drôle d'inventaire des scorpions, dont certains à la piqûre mortelle, trois iguanes, une tortue dont l'espèce est protégée, des geckos et enfin des batraciens avec, là encore, des spécimens à risque. Les opérations menées hier avec le concours de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage, la brigade de contrôle et de recherches des impôts et en présence d'un représentant du Parquet d'Alès ont notamment abouti à la mise en garde à vue d'un couple de quinquagénaires de Vézénobres. Cinq infractions délictuelles liées à la détention d'animaux dangereux ont été relevées à leur encontre. Les propriétaires, qui seraient aussi contrevenants à la convention de Washington qui réglemente le commerce des espèces protégées, ont également oublié d'accomplir certaines démarches administratives réglementaires comme le leur ont rappelé les gendarmes. Source: http://www.midilibre.com/articles/2008/11/18/20081118-FAIT-DU-JOUR-4-Boas-mygales-scorpions-dans-une-arche-de-Noe-illegale.php5
  9. Les morsures de serpents venimeux font jusqu'à 94.000 morts par an Les morsures de serpents venimeux tuent chaque année entre 20.000 et 94.000 personnes dans le monde, indique une étude internationale publiée mardi par la Public Library of Science (PLoS). "L'envenimement (un empoisonnement général qui peut être mortel, ndlr) dû à des morsures de serpent représente un important problème de santé publique dans de nombreux pays tropicaux et subtropicaux", écrivent les auteurs de l'étude, publiée dans le journal "PLoS Medecine" de la PLoS, une organisation de scientifiques basée à San Francisco (ouest des Etats-Unis) et à Cambridge, en Angleterre. Se rendant compte du "peu de tentatives" menées pour tenter de quantifier le problème, l'étude compile les données existantes au niveau des pays et des organisations internationales ou les estime quand les chiffres sont inexistants. "Selon notre estimation, sur l'ensemble de la planète, au moins 421.000 envenimements et 20.000 morts surviennent chaque année suite à des morsures de serpent", écrit l'étude. Mais, étant donné l'importante sous-estimation des cas redoutée dans certains pays, ces chiffres pourraient être bien plus élevés, ajoutent les chercheurs, évoquant une estimation haute de 1.841.000 envenimements et 94.000 morts. "Basé sur le fait qu'environ un quart des morsures de serpent provoque un envenimement, entre 1,2 million et 5,5 millions de morsures de serpent pourraient survenir chaque année", ajoute l'enquête. Les pays les plus touchés se situent en Asie du Sud, du Sud-Est et en Afrique subsaharienne. L'Inde est la première affectée, avec environ 11.000 morts par an. L'Amérique du Sud et l'Amérique Centrale connaissent relativement moins de décès, malgré un nombre important de morsures (le quart de celles qui ont lieu dans le monde), soulignent les chercheurs. Cela est probablement dû à de meilleurs systèmes de traitement et la disponibilité d'antidote, estiment-ils. Le docteur Jean-Philippe Chippaux, de l'Institut de recherche et du développement de La Paz, en Bolivie, met ainsi en garde contre les risques que représente l'actuelle crise économique sur la disponibilité des antidotes en Afrique, qui représentent plusieurs mois de salaire. Source:http://www.avmaroc.com/actualite/morsures-serpents-a146344.html
  10. Une tortue luth en balade à Concarneau Incroyable ! C'est bel et bien ce que s'est dit un couple de promeneurs, le 31 octobre 2008, en balade dans l'anse Saint-Laurent, à Concarneau (29), lorsqu'il a aperçu une tortue luth (Dermochelys coriacea). Parfois visible au large « Elle nageait près du rivage et faisait au minimum 1,50 m d'envergure sur autant de long », explique Anaïs Georget. Laquelle n'a pas manqué d'immortaliser l'événement. Mais ce n'est qu'au retour, après avoir prospecté sur internet, qu'elle a découvert que « sa » tortue était une tortue luth. « C'est une tortue que l'on voit de temps en temps au large », explique Samuel Iglesias, du laboratoire maritime de Concarneau. « Elles se reproduisent en Guyane, on les voit au large. Elles se nourrissent de méduses ». Le scientifique ne s'explique pas les raisons de sa venue si proche du rivage concarnois. C'est que les déplacements en mer de la tortue Luth pour connaître ses zones de migration et d'alimentation sont l'objet de toutes les attentions. En Guyane française, un laboratoire du CNRS, le Centre d'écologie et physiologie énergétiques, en assure le suivi. La dernière en 1925 La dernière tortue luth présente à Concarneau remonte à 1925. Le sous-secrétaire d'État Jules-Louis Breton avait découvert le spécimen, rapporté du Pays Bigouden. Reste que cette dernière était morte. Ici, « elle était bien vivante, quoique un peu désorientée et portait des cicatrices », assure Anaïs Georget. « Bien que ce soit une espèce qui s'accommode des eaux froides, j'espère qu'elle retrouvera sa route ». Source:http://www.letelegramme.com/gratuit/generales/regions/bretagne/concarneau-une-tortue-luth-en-balade-20081102-4098812_1518578.php#
  11. askook

    New photos

    Superbe famille de colubridés Le premier, c'est bien un Lampropeltis getula splendida
  12. askook

    Pareas carinatus

    Vie en captivité Le choix d'un spécimen: Le choix d’un spécimen de Pareas carinatus est pour l’instant très limité. Seuls des spécimens d’origine sauvage (souvent provenant de Malaisie) sont proposés par des animaleries ou se rencontrent en bourse. Terrarium: Le terrarium, pour un couple (la cohabitation d’un groupe dans le même terrarium est possible), dont la taille peut varier de 40 à 60 cm de long x 45 à 50 cm de profondeur x 60 à 80 cm de haut, devra être en verre plutôt qu’en bois, en raison d’un taux d’humidité assez élevé. J’utilise pour mon couple, un terrarium de 60 x 45 x 60 cm. L’aération devra être importante, pour éviter toute stagnation d'air, mais sans être excessive pour pouvoir gérer correctement le taux d’humidité. Photo de Chance et d'Askook Température: La température diurne devra se situer entre 23°C et 28°C avec un maximum de 30°C (34°C dans la littérature) au point le plus chaud. La température sera descendue entre 18°C et 24°C la nuit, selon l'origine géographique des spécimens importés. Mon couple vit, en journée, dans une zone à 27°C. Les deux spécimens n’utilisent jamais la zone la plus chaude (30°C) du terrarium. Pendant la nuit, je coupe le chauffage. La température nocturne se situe aux alentours de 22°C pendant les périodes estivales. Pendant les périodes plus froides (fin de l’automne et l'hiver, la température nocturne se situe entre 18 et 20°C) Hygrométrie: Le taux d’hygrométrie sera moins élevé en journée, qu’en début de soirée ou pendant la nuit. En journée, 70% d'humidité est suffisant, alors qu’elle devra atteindre les 80-90% pendant la nuit. Une pulvérisation en début de soirée et une en tout début de matinée seront nécessaires. Mes Pareas carinatus n'apprécient guère les pulvérisations d'eau dirigées directement sur eux. Eclairage: Certains éleveurs, utilisent un éclairage fluorescent de type 5.0 (source: Tristan 92). Pour ma part, en raison d’une bonne luminosité naturelle de la pièce d’élevage, aucun système d’éclairage n’est utilisé. Décor: En raison de ses mœurs arboricoles, le décor devra se composer de différents branchages, agrémentés soit de plantes artificielles à larges feuilles, soit de plantes naturelles. Ces plantes pourront servir de cachettes. On peut aussi installer dans les branchages des cachettes du style nid d'oiseau. Le substrat devra quand à lui supporter un taux d’hygrométrie élevé. Une couche, de 2 à 3 cm, de billes d'argiles déposée au fond du terrarium, suivi d’une couche de 5 cm de tourbe, recouvert d’une couche de sphaigne fera un substrat idéal. Même si le taux d’humidité est important, un petit récipient d’eau propre sera mis à disposition. Nourriture: La nourriture constitué d’escargot (Helix aspersa aspersa (petit gris)) sera distribuée à volonté une à deux fois par semaine. Je me suis aperçu que les escargots présents dans le terrarium depuis plus d’une semaine ne sont pas mangés, alors que les nouveaux arrivants sont dégustés très rapidement. Au départ de sa vie en captivité, Pareas carinatus ne se nourrit que pendant la nuit. Rapidement, les spécimens acceptent de se nourrir en journée et ne reculent pas devant un escargot donné à la main. Personnellement, je n’ai jamais donné de limace en guise de nourriture. Photo de Chance et d'Askook Reproduction: A ce jour, aucune reproduction en captivité a abouti à des naissances. S’il n’est pas rare que les éleveurs de Pareas carinatus arrivent à avoir des œufs, de 2 à 8 déposés dans le feuillage ou au sol. Ses œufs ne sont, hélas, que rarement fécondés ou ne donnent que des nouveaux-nés mal formés (source: Tristan92) Ma femelle a pondu 3 œufs, qu’elle avait "laissée" sous elle. J’ai retiré ses œufs pour les mettre en couveuse. Après quelques jours, ils se sont éclaircis. Ils étaient, comme beaucoup, non fécondés. Photo de Chance et d'Askook Comportement: Pareas carinatus est peu craintif et ne présente aucun signe d'agressivité. Toutefois, lorsqu'un Pareas carinatus se sent menacé, il n'hésite pas à redresser son cou et l'avant de son corps, en les positionnant en forme de "S". Si la menace persiste, il se projette en avant, gueule fermé. En captivité, une fois acclimaté, il n'est pas rare d'observer, en journée, des spécimens se déplacer dans le terrarium. Références bibliographiques Davis, P & Vogel, G (1996) - The snakes of Sumatra. Edt Chimaira Deuve , J (1970) - Serpents du Laos. Edt Orstom
  13. Pareas carinatus Généralités Systématique Pareas carinatus fut décrit par Wagler en 1830. La description de Boie en 1828 sous le nom d’Amblycephalus carinatus est invalide (nomem nudum)*. *On appelle nomem nudum, tout nom publié non accompagné d’un texte acceptable comme diagnose ou d’un élément équivalent (figure montrant des détails aidant à l’identification). Cette espèce comprend deux sous-espèces : - Pareas carinatus carinatus Wagler, 1830 - Pareas carinatus unicolor (Bourret, 1934) Répartition géographique Pareas carinatus carinatus vit en Asie du Sud-Est : Cambodge, Chine (Province du Yunnan), Indonésie (îles de Bali, Bornéo, Java, Lombok, Sumatra, Laos, Malaysia (Malaya, Malaysia orientale, Bornéo), Myanmar, Thaïlande, Viêt Nam. Pareas carinatus unicolor possède une répartition géographique se limitant au Cambodge. Biotope Pareas carinatus se rencontre depuis les forêts tropicales humides des basses-terres et les forêts de plaines jusqu’aux forêts tropicales humides montagneuses (jusqu’à 1300 m d’altitude à Sumatra), en passant par les forêts pluvieuses de moyenne altitude. Cette espèce se rencontre aussi dans les plantations, les zones agricoles, dans les villages (greniers à riz, toits des paillotes) et dans des zones humides à épaisse végétation. Description Aspect: Pareas carinatus est une espèce possédant une morphologie fine et élancée. Sa longue tête est bien distincte du corps, fortement compressé, et possède un museau court et émoussé, très particulier, adapté à son alimentation spécialisée. Photo de Chance et d'Askook Coloration Pareas carinatus possède une couleur de fond variable, allant de l'ocre au gris en passant par différentes teintes de brun (brun rouge à brun foncé). Des taches noires ou marron foncé forment, sur les flancs, des bandes transversales, plus ou moins bien définies. Le ventre blanc sale ou jaunâtre peut être tacheté de noir. Il existe des spécimens originaires de Thaïlande de couleur uniforme orange. Photo pour illustration. Source: google La tête de même couleur que le corps, possède de chaque côté deux bandes noires partant de l'arrière de l'oeil. L'une de petite taille, en forme de virgule, se termine à la commissure des lèvres de la mâchoire supérieure (dernière écaille supralabiale). Cette petite bande peut-être absente. L'autre, plus large, part du haut de l'oeil pour se terminer, parfois reliée, sur le début du corps. Une tache noire en forme de X sur le cou peut être présente. Les yeux sont beige à orange, avec une pupille verticale noire et un espace blanc au dessus. Photo pour illustration. Source: google Taille Pareas carinatus mesure entre 480 et 700 mm. La taille moyenne est de 600 mm. Biologie Moeurs Pareas carinatus possède des mœurs arboricoles, qui le font vivre dans des biotopes se situant entre 140 et 250 cm du sol, ce qui ne l'empêche pas de descendre régulièrement au sol. De comportement discret, Pareas carinatus reste dans la journée lové sur des branchages ou dans de larges feuilles. Il peut aussi se cacher dans des trous situés dans des troncs d’arbres morts ou dans des amas de mousse situés soit en altitude, soit au sol. Photo pour illustration. Source: google Totalement nocturne, ce qui rend son observation très difficile alors que Pareas carinatus est très répandu dans on aire géographique d'origine. Il arrive que certains spécimens se mettent en chasse dès le crépuscule. Nourriture Pareas carinatus possède une alimentation spécialisée (cochléophage) composée d'escargots et de limaces, qu’il chasse soit en altitude, soit au sol. Il est possible de l’observer chasser, dans les villages, sur les toits des maisons. Technique de nourrissage Le serpent s'approche de l'escargot par derrière, mordant son corps et saisissant les parties molles près de la coquille de celui-ci. En se rétractant, l'escargot entraîne la mâchoire inférieure du serpent dans sa coquille. Avec des mouvements de rétraction alternés des mandibules inférieures, pour étirer de plus en plus le corps de l'escargot, jusqu'à le faire se détacher de la coquille, libérant ainsi les parties molles. Il sort, ensuite, le corps de la coquille pendant que sa mâchoire supérieure reste à l’extérieur de la coquille. Les os, garnis de dents, de la mâchoire supérieure du serpent s'incurvent simultanément vers l'intérieur pour glisser sur la coquille sans la briser. Le temps d’extraction (24-390 secondes) et le nombre de mouvements mandibulaires (22-98) pour Pareas carinatus sont similaires aux données existantes sur les autres espèces de la sous-famille des Pareatinae. Photo de Chance et d'Askook Reproduction La reproduction est ovipare. Les pontes se composent de 2 à 8 œufs.
  14. askook

    Vers à soie

    Mûrier blanc Le mûrier blanc (Morus alba L.), ou mûrier commun, est une espèce d'arbre fruitier de la famille des Moracées originaire de Chine. Le mûrier blanc fut largement cultivé pour ses feuilles, aliment exclusif du ver à soie. Histoire Le mûrier blanc a été introduit dans le bassin méditerranéen vers le XVe siècle pour la sériciculture. Olivier de Serres planta le premier sujet au jardin des Tuileries vers 1600. Il a ensuite été largement diffusé dans toutes les régions tropicales et tempérées du monde. Description Le mûrier blanc est un arbre monoïque pouvant atteindre 30 mètres de haut. Il doit plus son nom à la couleur de ses bourgeons qu'à la couleur de ses fruits. Comme toutes les moracées, le mûrier blanc produit du latex. Ses feuilles caduques, alternes, le plus souvent de forme ovale acuminée mesurent 5 à 12 cm et peuvent avoir des formes assez distinctes même si elles proviennent du même arbre. Leur pétiole est cannelé et muni de stipules. Elles sont glabres sur les deux faces, vert clair et irrégulièrement dentées sur les bords. Les fleurs mâles sont réunies en chatons cylindriques, les femelles en chatons subsphériques; une fois fécondés, ces derniers se transforment en groupe de fruits blancs, roses ou violets, appelés mûres. Ses fruits en syncarpe sucrés peuvent être de différentes couleurs. Fruits du mûrier Différences entre mûrier blanc et noir Bien que certaines sources indiquent que le mûrier blanc produit des fruits blancs et le mûrier noir des fruits noirs, c'est faux. Le mûrier noir porte toujours des fruits violets foncés ou noirs. Par contre, selon les variétés, le mûrier blanc porte des fruits blancs, jaunes, rosés, violets ou noirs. * Les feuilles du mûrier blanc mesurent de 5 à 12 cm, sont frêles et souvent lobées alors que celles du mûrier noir sont plus grandes (jusqu'à 18 cm), épaisses, rugueuses et rarement lobées. * Le fruit du mûrier blanc est mur à la fin du printemps alors que celui du mûrier noir n'est mur qu'à la fin de l'été. * Le fruit du mûrier blanc présente un pédoncule long (parfois de la longueur du fruit) alors que le mûrier noir n'a pour ainsi dire pas de pédoncule, ou un pédoncule très court. * Le fruit du mûrier blanc est douceâtre avant maturité, alors qu'au même stade celui du mûrier noir est très acide. À complète maturité, celui du mûrier blanc est assez fade et très sucré, celui du mûrier noir est sucré et légèrement acidulé. * La saveur des fruits du mûrier noir plaît à la quasi-totalité du grand public. Les fruits du mûrier blanc sont généralement peu estimés en France, mais ceux des cultivars sélectionnés pour leurs fruits ont une valeur gustative élevée. Ils sont très appréciés dans les pays qui les cultivent, au Moyen-Orient (Iran, Syrie, Liban, Israël) notamment. Culture Il pousse vite dans ses premières années puis a une croissance plutôt lente. Le mûrier aime le soleil mais est rustique jusqu'en zone USDA 4. Il supporte la sécheresse et le vent mais pas les expositions maritimes. Il n'apprécie pas la taille. Mieux vaut éviter de couper toute branche dont le diamètre dépasse 5 cm et si on en a l'obligation, mieux vaut procéder à la taille pendant la période de dormance. A la différence des mûriers rouges et noirs, le mûrier blanc se multiplie bien par bouturage sur bois tendre. Ses racines à la fois pivotantes et traçantes sont fragiles et il apprécie peu le transplantage. Utilisation Pour la sériciculture, le mûrier blanc est souvent cultivé sous forme de haie pour faciliter la récolte des feuilles. Ses feuilles riches en différentes formes de vitamine B (sauf B12) et vitamine C (200-300 mg/100 g) peuvent servir de fourrage pour le bétail ou de complément alimentaire pour la volaille. On peut le semer sur des terres incultes car ses feuilles enrichissent progressivement le sol chaque automne. Ses racines permettent d'empêcher l'érosion des sols. Mais aujourd'hui, le mûrier blanc est principalement un arbre d'ornement utilisé dans les régions méridionales comme arbre d'alignement ou sujet isolé apprécié pour son ombre dense et son adaptation à la pollution atmosphérique. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%BBrier_blanc
  15. Voici une vidéo sur la grenouille de verre de Guyane
  16. askook

    Brahmaea hersaeyi

    Surprenante et intrigante cette chenille Après quelques recherches, je suis tombé sur un site allemand qui montre, en photos, la métamorphose de cette espèce de l'oeuf jusqu'au papillon. C'est superbe... http://www.calletun.de/hearseyii_04.htm
  17. askook

    Boiga cyanea

    Cette espèce possède une bonne réputation au niveau caractère. Et je ne peux pas dire le contraire... Sur les différents spécimens (sauvages ou nés en captivité) que j'ai pu élever en quinze ans, je n'ai possédé qu'un spécimen femelle agressive... Les juvéniles sont un peu plus vifs, et n'hésitent à se détendre gueule grande ouverte. En ce qui concerne ce spécimen, il ne pose aucun problème de manipulation. Pour le sortir de son terrarium, il se laisse prendre facilement au crochet, sans essayer de se sauver ou de remonter le long du manche. Un fois sur le crochet, il s'en détache facilement, si l'on veut le mettre en boite. Si j'ai besoin de la prendre dans les mains, il faut lui laisser un peu de liberté dans ses mouvements. Si je le maintiens trop fermement, il essayera, au bout d'un moment, de se défaire de cette emprise en essayant d'attraper, avec ses mâchoires décalée l'une de l'autre, la main qui le maintien. C'est valable pour tous les spécimens... Si l'on nourrit, en journée, des spécimens à la pince, ils ont tendance à frapper plusieurs fois à côté de la proie, avant de la saisir définitivement. Il faut donc faire attention aux mains... Les spécimens bien adaptés à la vie captive, acceptent très bien les proies mortes déposés dans le terrarium, dès l'éclairage éteint. Plus besoin de pince, et cela peut éviter une morsure accidentelle.
  18. askook

    Gecko palmé du Namib

    Cool ces petits lézards Namibiens Sur la deuxième photo, la femelle creuse-t-elle un terrier Combien mesure un spécimen adulte et un nouveau-né
  19. askook

    mes trachémys .

    Sympa cette séance de bronzage... Voilà ce que j'ai trouvé sur: Toutes les tortues du monde de F. Bonin, B. Devaux & A. Dupré. Edt Delachaux & Niestlé Trachemys scripta scripta Répartition géographique: Du Sud-Est de la Virginie jusqu'au Nord de la Floride. Taille: 27 cm Description: Large bande jaune sur chaque pleurale. Tache jaune derrière l'oeil, jointive avec une bande gagnant la base du cou. Le plastron est orné d'ocelles sur les écailles antérieures. Trachemys scripta troostii Répartition géographique: Du Sud-Est du Kentucky au Nord-Est de l'Alabama? Taille: 21 cm Description: Bandes jaunes étroites derrières l'oeil. Larges raies sur le menton et une bande transversale sur les pleurales. Des ocelles noires sur le plastron.
  20. Ce n'est pas l'oeil du tigre, mais bien un oeil de "prasinus"... Je sais Sérieusement... Au niveau maintenance, même chose que pour Gonyosoma oxycephalum
  21. New England Reptile Distributors http://www.newenglandreptile.com/nerd/
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