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askook

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  1. Le plus courageux de tous. Il montre enfin le bout de sa tête après 87 jours d'incubation. Naissance d'un Boiga cyanea
  2. Le plus courageux de tous. Il montre enfin le bout de sa tête après 87 jours d'incubation. Naissance de Boiga cyanea
  3. C’est une belle toile que peuvent admirés les visiteurs du Lake Tawakoni State Park, situé au nord du Texas, à 45 km de Dallas. Devant leurs yeux ébahis s’étale en effet une toile d’araignée de 180 m d’envergure ! Vidéo: http://blog.choc.fr/index.php/2007/09/13/2051-les-videos-du-mag-une-grosse-envie-de-tisser
  4. Des centaines de crocodiles s'échappent d'un élevage au Viêtnam Plusieurs centaines de crocodiles se sont échappés de leur élevage dans la province viêtnamienne de Khanh Hoa, leurs enclos ayant été détruits par des inondations, annoncent les autorités. Sept reptiles ont été abattus depuis leur fuite samedi et les autorités locales ont déployé des soldats pour les chasser. L'élevage abritait près de 5 000 crocodiles et a été frappé par une inondation soudaine durant le week-end. Les provinces du centre du Viêtnam subissent depuis début octobre de violents orages et inondations qui ont tué plus de 200 personnes.
  5. Boiga multimaculata. Photos pour illustration. Source: google
  6. Aucunes données et études sérieuses existent sur le sujet, à ma connaissance.
  7. Boiga angulata (Peters, 1861) Synonymes Dipsas (Dispsadomorphus) angulata Peters, 1861 Boiga cf. angulata Gaulke, 2001 Répartition géographique Asie: Iles Philippines (Iles de Bohol, Catanduantes, Leyte, Luzon, Mindanao, Negros, Polillo, Samara, Panay ) Photos pour illustration. Source: google Taille: De 100 à 150 cm. Biotope: Forêts tropicales humides. Biologie: Nocturne. Arboricole. Nourriture: Lézards, grenouilles arboricoles, oiseaux.
  8. askook

    profondeur idéale pour boa

    un terrarium de 120 x 60 x 60 cm me parait être une bonne dimension pour un spécimen. Maintenant, cela peut être un peu juste pour un couple.
  9. askook

    ponte spontannée

    Les spécimens femelles chez les reptiles fabriquent chaque année un nombre d'ovules précis et programmé génétiquement. Avec ou sans un spécimen mâle, elles doivent les faires. Il arrive que certaines années, ces ovules sont détruits par l'organisme dans les oviductes, d'autres années, ils se transforment en oeufs. Les pontes spontanées en captivité sont souvent dû à une légère hausse de la température ou à une abondance de nourriture.
  10. askook

    Animalerie sur Bordeaux

    Il ne te demande pas si tu connais du monde sur Bordeaux, mais si tu connais une bonne animalerie.
  11. askook

    Et vous, sa a grandit ?

    pour ces nouvelles d'Oraah Il a toujours bon appétit à première vue
  12. askook

    salut

    Beau vacancier
  13. Animaux venimeux et vénéneux de Dietrich Mebs, traduit par Max Goyffoy chez Editions Tec&Doc, Lavoisier Quelles sont les espèces impliquées et comment font-elles usage de leurs venins et toxines ? Quels sont la composition chimique et le mode d'action de ces substances naturelles ? Quels sont les premiers soins les plus efficaces et les traitements envisageables, voire nécessaires ? Cet ouvrage passe en revue les circonstances de l'envenimation, les mesures de précaution, l'appareil venimeux, la chimie du venin, la symptomatologie, les premiers soins et la thérapeutique. Chaque étude est complétée par plusieurs exposés de cas cliniques. Cet ouvrage offre ainsi une analyse passionnante du monde des venins, indispensable aux spécialistes de nombreuses disciplines: médecine vétérinaire, biologie animale et marine, toxicologie fondamentale...
  14. La fonction venimeuse de Marc Goyffron et Jacqueline Heurtault chez Edt: Masson Cet ouvrage, rédigé par un groupe d'experts, traite de certains aspects physiologiques caractéristiques : glandes sécrétrices, appareil inoculateur, toxines et effets pathologiques. Ce document de référence, destiné à l'étudiant et au chercheur en zoologie ou en toxicologie, constitue une base de documentation sur une fonction des plus représentatives de la biodiversité animale.
  15. Venins de serpent et envenimations de Jean- Philippe Chipaux chez Edt: IRD Editions Cet ouvrage présente une synthèse des principales découvertes dans le domaine des venins et envenimations. La paléontologie et la systématique des Ophidiens ainsi que la biochimie et la toxicologie des venins font l'objet d'explications simples et précises pour appréhender les bases théoriques de l'envenimation et de son traitement. La biologie et les comportements des Ophidiens sont abordés dans la perspective de mieux identifier les circonstances de la morsure pour en favoriser la prévention. L'ouvrage est complété par la liste des sérums antivenimeux produits dans le monde ainsi que par celle des plantes médicinales antivenimeuses avec leurs propriétés thérapeutiques.
  16. Boiga andamanensis (Wall, 1909) Synonymes Dispsadomorphus andamanensis Wall, 1909 Répartition géographique Asie: Inde (Ile des Andaman) Photos pour illustration. Source:google Taille: De 85 à 135 cm. Biologie: Nocturne. Arboricole (vient occasionnellement au sol pour chasser). Nourriture: Lézards, grenouilles arboricoles. Edit by Mouyen: déplacé
  17. Tu devrais mettre une case "sans opinion", pour laisser à ceux qui n'ont pas d'avis, de pouvoir quand même voter.
  18. Les reptiles sont-ils apparus plus tôt qu'on ne le pensait ? On les pensait apparus il y a 312 millions d’années, mais d’après une découverte fortuite du paléontologue Howard Falcon-Lang, la date d’apparition sur Terre des reptiles doit être repoussée d’au moins trois millions d’années, si l’on en croit des empreintes de pas fossilisées. Pour tous les paléontologues, depuis la découverte de William Dawson en 1859 en Nouvelle-Écosse, le Hylonomus lyelli est le plus ancien reptile connu au monde. Les premiers os fossilisés de cet animal ont été trouvés dans les célèbres falaises fossiles de Joggins de cette région du Canada. Apparemment, Hylonomus lyelli ressemblait beaucoup aux lézards de notre époque. Son corps était très mince et pouvait atteindre 20 centimètres de long. On pense qu’il était insectivore, utilisant ses petites dents pointues pour se nourrir de mille-pattes et d'insectes. Son nom de genre, Hylonomus, est une combinaison d’un mot grec utilisé pour désigner le bois et du mot latin mus pour « souris ». Enfin, le terme lyelli a été choisi en l'honneur du mentor de Dawson, Sir Charles Lyell, l'un des plus importants géologues du XIX ième siècle. Des traces de pas au bord d'une rivière ancienne - trop ancienne... Or, c’est en se promenant dans cette même région de la Nouvelle-Écosse, au cours d’une longue sortie géologique, que le Dr Howard Falcon-Lang, de l'université de Bristol, a remarqué des centaines d’empreintes sur une paroi rocheuse. Par chance, la journée se terminait et le Soleil éclairait en lumière rasante, ce qui a considérablement facilité la découverte. Les empreintes découvertes. Crédit : Howard Falcon-Lang Incontestablement, il s’agissait d’empreintes dans du grès, laissées sur les bords boueux d’une rivière en train de s’assécher. L’excitation du paléontologue a dû grandir quand il s’est aperçu que cette strate se situait à un kilomètre sous la strate où avait été découvert le premier squelette d’un H. lyelli, visiblement piégé dans le tronc creux d’une souche d’arbre mort, elle aussi fossilisée. Selon l’interprétation de Falcon-Lang, fortement critiquée il y a quelques jours par un géologue du ministère des Ressources naturelles de Nouvelle-Ecosse, John Calder, il s’agirait bien d’empreintes de reptiles et pas d’amphibiens. Qui plus est, la strate serait plus vieille d'au moins trois millions d’années que celle où ont été trouvés les restes les plus anciens de Hylonomus. Les empreintes découvertes, gros plan. Crédit : Howard Falcon-Lang Source:http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/paleontologie/d/les-reptiles-sont-ils-apparus-plus-tot-quon-ne-le-pensait_13292/
  19. Je veux juste faire une petite parenthèse sur le cdc. Il faut éviter de parler, sur le dossier, d'un sujet que l'on ne maîtrise pas à fond. Car si par malheur, il y a en face de soi quelqu'un qui lui le maîtrise, on peut vite être mis en difficulté. Il faut être complet, mais juste ce qu'il faut.
  20. Autre article: Penney D., Dierick M., Cnudde V., Masschaele B., Vlassenbroeck J., Van Hoorebeke L. & Jacobs P., 2007. First fossil Micropholcommatidae (Araneae), imaged in Eocene Paris amber using X-Ray Computed Tomography. Zootaxa 1623: 47–53 On a passé une petite (environ 1 mm de long) araignée fossile, prise dans de l’ambre, au scanner à rayons X à très haute résolution. Cette ambre date de l’Eocène (53 Ma) et provient du bassin de Paris. Cette araignée, qui porte le doux nom de Cenotextricella simoni, appartient à la famille des Micropholcommatidae, et représente la première occurrence de cette famille dans l’hémisphère nord. Elle est aussi le premier enregistrement fossile de la famille des Micropholcommatidae. Sa très bonne préservation, couplée à l’examen aux RX, a permis aux chercheurs de bien la décrire (on peut même voir des organes internes !) et de la comparer avec des espèces actuelles. Ceci est rarement fait par les arachnologues mais cette étude prouve que c’est tout à fait possible, et très utile. Les RX ont permis d’étudier en détail la morphologie des pièces buccales (très importante en systématique), mais pas les soies, pourtant bien visibles, présentes sur les pattes de l’araignée. L’étude classique grâce à un microscope n’est donc pas encore remisée au placard. et le lien d'origine http://www.mapress.com/zootaxa/2007f/z01623p053f.pdf
  21. Une araignée fossile vue de l’intérieur et en 3D Trouvée dans le bassin parisien au cœur d’une bille d’ambre par un paléontologiste britannique, cette araignée de 53 millions d’années a été scannée aux rayons X par une équipe belge. C’est la première fois que l’on utilise cette technique médicale pour étudier un fossile… "Une dissection numérique" : c’est ainsi que David Penney, paléontologiste spécialiste des araignées, qualifie l’opération qu’il a effectuée sur le fossile de Cenotextricella simoni, découvert dans le bassin parisien, emprisonnée dans un bloc d’ambre. L’animal s’y est fait piéger il y a 53 millions d’années et a été répertorié comme une espèce nouvelle. Pour l’étudier de plus près, le chercheur britannique, de l’université de Manchester, a renoncé à une dissection destructrice. Il s’est adressé à l’équipe du Centre de tomographie à rayons X de l’université de Gent, en Belgique, qui a peaufiné la technique dite VHR-CT, pour Volumetric High-Resolution Computed Tomography. Cette variante de la classique tomographie CT à rayons X, le « scanner » de la médecine, fournit des images en trois dimensions et s’utilise notamment pour l’imagerie du poumon. A l’université de Gent, le Centre de tomographie X peut disséquer toutes sortes de structures (ici, une orange) et en donner une image 3D manipulable par ordinateur. © Centre de tomographie à rayons X, Université de Gent L’université du Texas possède déjà une installation VHR-CT à la disposition d’organismes de recherche mais les ingénieurs belges en ont « nettement augmenté la résolution, apportant des résultats extraordinaires » selon David Penney. Bien mise à profit, en effet, cette technique a permis de reconstituer en 3D le corps de l’araignée fossile jusque dans ses organes internes. Au cœur de l’ambre L’aranéide a ainsi livré les secrets de son anatomie intime aussi bien que si elle avait été soigneusement disséquée sur la paillasse. Les résultats n’ont pas bouleversé nos connaissances sur ces animaux mais ils inaugurent une nouvelle manière de travailler en paléontologie. « C’est clairement la bonne méthode pour étudier les fossiles dans l’ambre » conclut David Penney. Cenotextricella simoni en 3D… © David Penney Le chercheur britannique sait de quoi il parle : il s’est fait une spécialité de l’observation des traces animales et végétales incluses dans la résine fossilisée, une source précieuse pour la paléontologie. « L’ambre fournit une fenêtre unique en son genre sur les écosystèmes forestiers du passé, s’enthousiasme-t-il. Elle contient un quantité incroyable d’informations, pas seulement sur les araignées elles-mêmes mais aussi sur l’environnement dans lequel elles vivaient. » A l’heure où ces lignes sont écrites, ce passionné d’araignées reconnu par ses pairs (des collègues admiratifs ont d’ailleurs donné son nom à une espèce fossile récemment découverte) est déjà reparti dans la jungle à la recherche d'autres pièges d'ambre. David Penney montre un morceau d’ambre. Pour lui, c’est un trésor dont, avec passion, il étudie les joyaux, en l’occurrence les restes d’animaux et de végétaux. © Université de Manchester
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