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askook

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Tout ce qui a été posté par askook

  1. Pour répondre à Thefirre et à Octopus. Une femelle Boiga nigriceps pond entre 3 et 6 oeufs, jusqu'à trois fois par an. Le temps d'incubation est de 100 à 120 jours à une température de 28° C et de 100 à 115 jours à une température de 29,5° C. PS: La plupart des photos de Boiga que je poste dans cette rubrique sont des photos prises sur google. Mais dans le lot, certaines seront à moi. Tous ces posts et photos, ont pour but, pour les propriétaires ou futurs propriétaires de mieux connaître et d' élever leurs ou futurs spécimens.
  2. d'un Boiga nigriceps Photos pour illustration. Source: google
  3. Spécimen juvénile de Pituophis catenifer sayi né à la maison cette année
  4. Même pas vrai Je m'en fiche de ces Pituophis, je ne sais quoi Tu ne me fais même pas baver Quand travailles-tu, Seb et où habites-tu Juste pour savoir
  5. Juste pour le plaisir des yeux. Photo pour illustration. Source: Google
  6. Quelques mutations snow albinos rouge extrême albinos rouge high red Photos pour illustration. Source: google
  7. askook

    Tératologie

    Une série de bicéphale Pantherophis guttatus. Photo pour illustration. Source: google Crotalus atrox. Photo pour illustration. Source: google Morelia viridis. Photo pour illustration. Source: google
  8. askook

    Tératologie

    Photo pour illustration. Source: google
  9. askook

    A table...

    En Chine, plus de 10 000 tonnes de serpent - vipères et cobras surtout - sont servis dans les restaurants et les tables d'hôte chaque année, frits ou en soupe. Les ressources s'amenuisent. Sur 209 serpents chinois, 43 sont sur la liste officielle des espèces en danger. La capture de ces animaux est en principe illégale mais la demande est forte : leur chair a, croit-on, des propriétés nutritionnelles intéressantes, leur sang mêlé à du vin est très prisé dans le Sud, leur venin soigne de nombreuses affections, leur peau et d'autres organes augmentent la puissance sexuelle… D'après " China's snakes at risk " (news.bbc.co.uk).
  10. askook

    Petite proie

    Un de mes trois derniers pensionnaires (Pituophis catenifer pumilis) ne voulait pas manger, alors que deux autres se nourrissent parfaitement de souriceaux nouveau-nés. J'avais l'impression qu'il avait faim et qu'il voulait manger, mais que quelque chose l'arrêtait à chaque fois. Lorsque je lui présentais un petit souriceau nouveau-né, il le prenait dans la gueule, et après quelques secondes, il le relâchait comme si le souriceau était trop lourd. J'ai donc coupé la tête du souriceau nouveau-né et je l'ai présenté au "pumilis". Et là, sans aucune hésitation, il a attrapé cette tête et l'a avalé aussitôt. C'est une technique que j'emploie surtout chez les spécimens juvéniles d'espèces arboricoles. Elle fonctionne aussi chez les espèces terrestres. Cela peut servir...
  11. http://www.asian-colubrids.com/
  12. Alors là, je ne te serai d'aucune utilité. Je n'aime pas les plantes, ni les fleurs et je n'y connais rien
  13. askook

    quel plante mettre en terra

    Encore un débat de la terrariophilie. Pour ou contre les vraies plantes Personnellement, je suis contre pour des raisons d'hygiène et d'entretien. Mais si effectivement, on a peu de terrarium à s'occuper et que l'on a suffisamment la main verte, pourquoi pas. Cela fonctionne chez certains terrariophiles, alors pourquoi pas chez toi. Il faut que tu essayes, pour le savoir.
  14. Il est superbe Valko, prend plutôt des femelles. Je préfère et il m'en manque
  15. Sympa les gros plans Et en plus, il sourit
  16. J'ai agrandi tes photos pour que l'on puisse vraiment profiter de tes nouveaux pensionnaires. pour cette acquisition.
  17. Je n'accroche pas trop Désolé Mais à toi, Raf, pour cette acquisition :
  18. askook

    Abeilles

    Pour celles et ceux qui se sentent concernés, il existe une petition sur internet pour interdires ces pratiques et protéger nos abeilles. Le lien: http://www.jardinbio.fr/?rubrique=58
  19. La mort des abeilles met la planète en danger Les abeilles s’éteignent par milliards depuis quelques mois. Leur disparition pourrait sonner le glas de l’espèce humaine. C’est une incroyable épidémie, d’une violence et d’une ampleur faramineuse, qui est en train de se propager de ruche en ruche sur la planète. Partie d’un élevage de Floride l’automne dernier, elle a d’abord gagné la plupart des Etats américains, puis le Canada et l’Europe jusqu’à contaminer Taiwan en avril dernier. Partout, le même scénario se répète : par milliards, les abeilles quittent les ruches pour ne plus y revenir. Aucun cadavre à proximité. Aucun prédateur visible, pas plus que de squatter pourtant prompt à occuper les habitats abandonnés. En quelques mois, entre 60 % et 90 % des abeilles se sont ainsi volatilisées aux Etats-Unis où les dernières estimations chiffrent à 1,5 million (sur 2,4 millions de ruches au total) le nombre de colonies qui ont disparu dans 27 Etats. Au Québec, 40 % des ruches sont portées manquantes. En Allemagne, selon l’association nationale des apiculteurs, le quart des colonies a été décimé avec des pertes jusqu’à 80 % dans certains élevages. Même chose en Suisse, en Italie, au Portugal, en Grèce, en Autriche, en Pologne, en Angleterre où le syndrome a été baptisé « phénomène « Marie-Céleste » », du nom du navire dont l’équipage s’est volatilisé en 1872. En France, où les apiculteurs ont connu de lourdes pertes depuis 1995 (entre 300.000 et 400.000 abeilles chaque année) jusqu’à l’interdiction du pesticide incriminé, le Gaucho, sur les champs de maïs et de tournesol, l’épidémie a également repris de plus belle, avec des pertes allant de 15 % à 95 % selon les cheptels. « Syndrome d’effondrement » Légitimement inquiets, les scientifiques ont trouvé un nom à la mesure de ces désertions massives : le « syndrome d’effondrement » - ou « colony collapse disorder ». Ils ont de quoi être préoccupés : 80 % des espèces végétales ont besoin des abeilles pour être fécondées. Sans elles, ni pollinisation, et pratiquement ni fruits, ni légumes. « Trois quart des cultures qui nourrissent l’humanité en dépendent », résume Bernard Vaissière, spécialiste des pollinisateurs à l’Inra (Institut national de recherche agronomique). Arrivée sur Terre 60 millions d’année avant l’homme, Apis mellifera (l’abeille à miel) est aussi indispensable à son économie qu’à sa survie. Aux Etats-Unis, où 90 plantes alimentaires sont pollinisées par les butineuses, les récoltes qui en dépendent sont évaluées à 14 milliards de dollars. Faut-il incriminer les pesticides ? Un nouveau microbe ? La multiplication des émissions électromagnétiques perturbant les nanoparticules de magnétite présentes dans l’abdomen des abeilles ? « Plutôt une combinaison de tous ces agents », assure le professeur Joe Cummins de l’université d’Ontario. Dans un communiqué publié cet été par l’institut Isis (Institute of Science in Society), une ONG basée à Londres, connue pour ses positions critiques sur la course au progrès scientifique, il affirme que « des indices suggèrent que des champignons parasites utilisés pour la lutte biologique, et certains pesticides du groupe des néonicotinoïdes, interagissent entre eux et en synergie pour provoquer la destruction des abeilles ». Pour éviter les épandages incontrôlables, les nouvelles générations d’insecticides enrobent les semences pour pénétrer de façon systémique dans toute la plante, jusqu’au pollen que les abeilles rapportent à la ruche, qu’elles empoisonnent. Même à faible concentration, affirme le professeur, l’emploi de ce type de pesticides détruit les défenses immunitaires des abeilles. Par effet de cascade, intoxiquées par le principal principe actif utilisé - l’imidaclopride (dédouané par l’Europe, mais largement contesté outre-Atlantique et en France, il est distribué par Bayer sous différentes marques : Gaucho, Merit, Admire, Confidore, Hachikusan, Premise, Advantage...) -, les butineuses deviendraient vulnérables à l’activité insecticide d’agents pathogènes fongiques pulvérisés en complément sur les cultures. Butineuses apathiques Pour preuve, estime le chercheur, des champignons parasites de la famille des Nosema sont présents dans quantités d’essaims en cours d’effondrement où les butineuses, apathiques, ont été retrouvées infectées par une demi-douzaine de virus et de microbes. La plupart du temps, ces champignons sont incorporés à des pesticides chimiques, pour combattre les criquets (Nosema locustae), certaines teignes (Nosema bombycis) ou la pyrale du maïs (Nosema pyrausta). Mais ils voyagent aussi le long des voies ouvertes par les échanges marchands, à l’image de Nosema ceranae, un parasite porté par les abeilles d’Asie qui a contaminé ses congénères occidentales tuées en quelques jours. C’est ce que vient de démontrer dans une étude conduite sur l’ADN de plusieurs abeilles l’équipe de recherche de Mariano Higes installée à Guadalajara, une province à l’est de Madrid réputée pour être le berceau de l’industrie du miel espagnol. « Ce parasite est le plus dangereux de la famille, explique-t-il. Il peut résister aussi bien à la chaleur qu’au froid et infecte un essaim en deux mois. Nous pensons que 50 % de nos ruches sont contaminées. » Or l’Espagne, qui compte 2,3 millions de ruches, est le foyer du quart des abeilles domestiques de l’Union européenne. L’effet de cascade ne s’arrête pas là : il jouerait également entre ces champignons parasites et les biopesticides produits par les plantes génétiquement modifiées, assure le professeur Joe Cummins. Il vient ainsi de démontrer que des larves de pyrale infectées par Nosema pyrausta présentent une sensibilité quarante-cinq fois plus élevée à certaines toxines que les larves saines. « Les autorités chargées de la réglementation ont traité le déclin des abeilles avec une approche étroite et bornée, en ignorant l’évidence selon laquelle les pesticides agissent en synergie avec d’autres éléments dévastateurs », accuse-t-il pour conclure. Il n’est pas seul à sonner le tocsin. Sans interdiction massive des pesticides systémiques, la planète risque d’assister à un autre syndrome d’effondrement, craignent les scientifiques : celui de l’espèce humaine. Il y a cinquante ans, Einstein avait déjà insisté sur la relation de dépendance qui lie les butineuses à l’homme : « Si l’abeille disparaissait du globe, avait-il prédit, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre. » Source:http://www.monde-solidaire.org/spip/article.php3?id_article=4182
  20. New York: 720.000 coccinelles pour se débarrasser d'insectes nuisibles Quelque 720.000 coccinelles viennent d'être lâchées dans un des quartiers de Manhattan, à New York, pour contribuer à la protection d'un des plus gros complexes d'appartements de la ville d'insectes nuisibles. Dans les prochaines jours et les prochaines semaines, les coccinelles vont aller dans les plantes, les fleurs et les arbustes entourant le complexe résidentiel Stuyvesant Town-Peter Cooper Village pour rechercher des insectes dont l'odeur les attire, notamment des pucerons et des mites. En achetant les coccinelles -2.000 au prix de 16,50 dollars (11,50 euros)-, le propriétaire du complexe, Tishman Speyer, espère éviter d'utiliser des insecticides chimiques. "Dans la plupart des cas, on prend un bidon de pesticides, et on ne tue pas que les mauvais éléments, mais aussi les bons éléments", a expliqué Eric Vinje, propriétaire de Planet Natural, qui a fourni les "tueurs" d'insectes nuisibles. "Tout ce que nous faisons, c'est mettre plus de bons éléments pour contrôler la population d'insectes nuisibles". D'après lui, une coccinelle peut manger jusqu'à 50 insectes nuisibles par jour, ainsi que les oeufs de ces insectes. Source:http://www.latribune.fr/info/New-York--720-000-coccinelles-pour-se-debarrasser-d-insectes-nuisibles-549-~-AP-INSOLITE-NEW-YORK-COCCINELLES-$Db=News/News.nsf
  21. askook

    Il est la !!!

    Non Un bain le plus rapidement possible.
  22. askook

    Il est la !!!

    Fait lui vite un bon bain d'eau tiède. Il est déshydraté ton serpent
  23. askook

    Alsophis antiguae

    Avec une population estimée à 100 individus en 2000 (70 individus en 1985, 51 en 1995), Alsophis antiguae est l'un des serpents le plus rare du monde. (Photograph courtesy of Dr. Jenny Daltry - Flora and Fauna International). Alsophis antiguae a été décimé par des mangoustes importées sur l'île d'Antigua vers 1900 pour stopper la prolifération des rats. L'organisation Fauna an Flora International avec d'autres associations se sont occupées de l'éradication des rats et des mangoustes, ceci ajouté à un plan de reproduction en captivité et de réintroduction de cette espèce, ce qui a abouti à une multiplication du nombre de spécimen d'Alsophis antiguae (220 spécimens répartis sur trois îles). Alsophis antiguae (Photograph courtesy of Dr. Mark Day - Flora and Fauna International). Spécimen du haut: Mâle Spécimen du bas: Femelle Voici un article: http://www.conservationevidence.com/Attachments/PDF368.pdf
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