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Tout ce qui a été posté par askook
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Bien sûr qu'il existe le côté mercantile ou business de certains éleveurs, pour qui la création de toutes ces phases, mutations et autres hybridations n'est faite que pour gagner de l'argent en proposant des "nouveautés". Mais là, c'est la bêtise des terrariophiles, qui en faisant l'acquisition de ces animaux à des prix de plus en plus exorbitants, ne fait qu'augmenter ces créations. Le côté naturel des "localités" ne joue-t-il pas non plus sur ce côté mercantile? Certains éleveurs n'en profitent-ils pas pour augmenter les prix, quant ils mettent une localité sur un spécimen? Du moment, qu'il y a de l'argent à gagner, certains sont prêt à tout dans un sens comme dans l'autre. N'est-ce pas la terrariophilie, qui en se développant à créé ce phénomène? Maintenant, qu'il existe des serpents dont les couleurs, les dessins n'ont plus rien de très naturel, cela ne me choque absolument pas. Les reptiles qui vivent chez des terrariophiles, n'ont aucune chance de retrouver un jour dans leur pays d'origine. Ils ne risquent en aucun cas de "polluer" leur racine. A chacun d'acquérir, selon ses convictions et ses envies les animaux qu'il désire. Personnellement, je possède des hybrides et des spécimens phasés, mais aussi des spécimens des plus naturels. Donc, je n'ai rien contre.
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Boiga Cyanea
askook a répondu à un(e) sujet de spy_girl dans Fiches d'élevages de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
Loin de moi, l'idée de vouloir modifier quelque chose sur ta fiche d'élevage. Je voulais juste relever que l'utilisation des noms vernaculaire peut porter, des fois, à confusion. Autant les noms scientifiques sont soumis à une règle bien définie, autant les noms vernaculaires sont aléatoires et restent au choix de l'auteur. Il existe cependant, le "nom normalisé". Ces noms normalisés sont suffisamment précis pour remplacer les noms binominaux en latin, dit scientifiques, pour les espèces voir les sous-espèces. Ces noms normalisés sont choisis par des instances de normalisation. Pour en revenir au Boiga cyanea. Il serait plus juste de le nommer Boiga bleu, mais ce n'est pas une obligation. -
Boiga Cyanea
askook a répondu à un(e) sujet de spy_girl dans Fiches d'élevages de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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Chrysopelea ornata
askook a posté un sujet dans Fiches D'élevage de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
Chrysopelea ornata La couleuvre volante ou serpent doré des arbres est l'un des cinq espèces de serpent capables d'étirer ses côtes et de se glisser obliquement d'arbre en arbre, donnant parfois l'impression de voler. Ce serpent de la famille des Colubridae et de la sous-famille des colubrinae, fait partie des couleuvres possèdant une dentition opisthoglyphe. Ses dents venimeuses implantées sur l'arrière des mâchoires ne semblent pas constituer un danger pour l'homme et aucun cas d'envenimation sérieux n'a été signalé. Sa morsure est sans suite, seuls quelques picotements se font resentir au point de la morsure. Mais prudence est de rigueur!! Chrysopelea ornata est divisée en deux ou trois-sous-espèces selon les auteurs: ornata, ornatissima, sinhaleya. L'aire géographique de cette espèce est située en Asie du sud-est: De l'Inde et du Sri Lanka à l'Indonésie et du sud-est de la Chine jusqu'à la Péninsule Malaise. Description. D'une taille d'environ 100 à 120 cm avec un maximal de 140 cm, c'est une couleuvre qui possède une tête bien distincte du cou, avec un museau déprimé et des yeux relativement grands. Possédant un corps allongé et mince, qui lui donne une allure athlétique. Son écaillure est lisse ou faiblement carénée et possède des carènes latérales entre les écailles ventrales et celles des flancs, lui évitant de glisser des branches. De coloration très variable, mais toujours d'une grande beauté. La tête est noire, marquée de bandes transversales et de points jaunes, les écailles labiales sont jaunes. Sa livrée est vert jaunâtre et chaque écaille est bordée et divisée par du noir et la face ventrale est jaune. Habitat et moeurs. Chrysopelea ornata est une espèce arboricole et héliophile. Elle se rencontre dans les forêts tropicales claires et pluviales, les plantations et les plaines. Elle fréquente aussi les arbres isolés dans les clairières, voire même dans les villes et aux abords des habitations. Active et visible essentiellement la journée et surtout pendant la saison des pluies, Chrysopelea ornata vit et mue dans le feuillage pas trop dense des arbres ainsi qu'à leur cime. Elle se déplace au sommet des arbres en grimpant, sautant ou glissant. Chrysopelea ornata excelle dans l'art de l'escalade, rien ne résiste aux dons de grimpeur qu'elle possède, et parvient même à descendre le long d'un tronc très lisse en s'agrippant à d'infimes aspérités aux moyens de ces carènes latérales. Chrysopelea ornata est capable de planer en se lançant d'un arbre, le corps tendu et rigide, oblique par rapport au sol, comme une véritable flèche. De plus, la surface ventrale de son corps de creuse, ce qui augmente la résistance de l'air. Ainsi la couleuvre volante peut franchir des distances assez impressionnnantes, de plus d'une dizaine de mètres. Il arrive de rencontrer des spécimens au pied des arbres ou dans l'herbe, ce sont en général des jeunes ou des femelles venues à terre pour pondre. La ponte a lieu en général en deux fois, de février à juin, et comporte à chaque ponte de 5 à 15 oeufs mesurant en moyenne 28 à 36 mm x 13 à 16 mm. Dans son habitat naturel, l'alimentation se compose essentiellement de petits lézards, d'oiseaux, de minuscules mammifères et parfois de grenouilles. Les proies sont tuées par constriction (petits mammifères) ou ingurgitées vivantes et tuées par les crochets opisthoglyphes (lézards). Vie en captivité Malgré son caractère agressif, sa facilité à frapper gueule largement ouverte et sa dentition opistoglyphe, Chrysopelea ornata reste un serpent magnifique et intéressant à détenir en captivité, si l'on observe quelques règles. Terrarium. Chrysopelea ornata a besoin d'un terrarium vaste 100/120 x 50/60 x 60/80 cm avec des aérations latérales. L'essentiel du décor se composera de nombreuses branches horizontales ou obliques, garnies de végétation artificielle. Une ou deux cachettes aériennes obscures avec une petite entrée adaptée à la taille des individus seront indispensables. Même si cette espèce reste assez farouche et prompte à mordre, Chrysopelea ornata reste très curieuse. Je possède un couple d'individu qui ne sortent que leur tête de la cachette et observent tout ce qui se passe dans la pièce dès qu'ils aperçoivent quelqu'un et cela pendant des heures. On complétera le décor par un récipient d'eau suffisamment grand pour qu'il puisse s'y baigner complètement. Le sol n'a que peu d'importance car Chrysopelea ornata n'y vient que très rarement. Le tout est de respecter un sol sec avec une hygiène rigoureuse. L'éclairage sera assuré par un tube fluorscent d'une forte intensité et de préférence avec des U.V pendant 12 à 14 heures. Ce point est vital pour cette espèce. Le chauffage se fera par une lampe de type "spot" bien protégée, afin d'éviter les brûlures, ou par un système Tofhor installé à mi-hauteur dans le terrarium. La température diurne sera comprise entre 27 et 29 °C avec un point chaud à 30-32 °C, la nuit elle sera descendue à 24-25 °C. L'humidité de l'air se situera entre 70 et 80 % avec un sol et un décor toujours sec dans sa plus grande partie. Des pulvérisations quotidiennes sont les bienvenues, car le serpent doré des arbres vient boire les gouttes à peines sorties du pulvérisateur. Nourriture. La nourriture sera constituée de souris et souriceaux, que Chrysopelea ornata accepte sans aucun problème, dès qu'elle est bien adaptée à la vie en terrarium. Pour les individus sauvages (ce qui est souvent le cas), ils n'acceptent en général que des lézards. Il n'y a plus alors qu'à user de stratégie pour les habituer à la souris. Cela se fait très rapidement, car Chrysopelea ornata a un gros appétit et vu sa vivacité, il est donc prudent de séparer ou de bien surveiller ls individus lors de la prise de nourriture, car le cannibalisme accidentel est possible. Pour faciliter la prise de nourriture chez des spécimens nouvellement arrivés, je conseille de frotter des souriceaux sur des mues de lézards puis de les mettre dans une niche ou cachette en altitude. Reproduction. La reproduction est assez facile et fréquente en captivité. Le plus dur reste l'incubation des oeufs et l'élevage des jeunes. Pour Chrysopelea ornata, pas besoin d'hivernation, seule une période très humide divisée en deux (juin-juillet et de fin août-septembre) stimulera le ou les accouplements. Une première ponte d'environ une dizaine d'oeufs sera déposée dans le bac prévu à cet effet et rempli de vermiculite. Puis deux, trois voire quatre pontes suivront à quelques mois d'intervalle. Mais à partir de la troisième pontes, les oeufs ne sont plus fécondés. Pour les pontes fertiles, les oeufs sont palcés en incubateur à une température de 29,5/30 °C avec une hygrométrie à saturation, ce qui vous permettra de voir éclore les oeufs au bout de 70 à 92 jours. Lorsque les jeunes éclosent et c'est déjà un exploit! Il faut vite les séparer les uns des autres afin de pouvoir les chouchouter car les juvéniles sont vraiment tout petit, ne mesurant que de 11 à 15 cm , et fragiles. De plus, mauvais mangeur, il faut souvent les gaver avec des morceaux de souriceaux. Conclusion. Chrysopelea ornata est une espèce intéressante à élever. D'une beauté magnifique, avec une acclimatation assez rapide tout en restant relativement farouche. Elle reste une de mes espèces favorites et j'espère vous avoir donnée l'envie de l'élever. Mais attention, comme beaucoup de serpents asiatiques les individus sauvages sont parasités, et hélas peu d'individus nés en captivité sont disponibles. -
Pour les nouveaux modos.....
askook a répondu à un sujet dans Section privée de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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Les Modos du Forum !!!!
askook a répondu à un(e) sujet de Thomas R.1111 dans Le Forum de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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Section fiches d'élevage/ fosse aux reptiles
askook a répondu à un(e) sujet de Mouyen11 dans Section privée de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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Espèces et sous-espèces du genre Toxicodryas
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans En Vrac !! de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
Des études récentes ont mis en évidence des actions enzymatiques et neurotoxiques chez le venin du "blandingii" En cas de morsure, on peut avoir - gonflement locaux - décoloration de la peau - lymphangite - maux de tête - nausées si la morsure est accompagnée d'un mâchonnement, on risque une envenimation sérieuse. Le "blandinigii" possède une faculté d'ouverture de gueule plus grande que celle des autres espèces du genre Boiga sensu lato. -
Espèces et sous-espèces du genre Toxicodryas
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans En Vrac !! de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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Femelle Morelia spilota Macdowelli phase ????
askook a répondu à un(e) sujet de Shark11 dans Vos P'tits Virus
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Femelle Morelia spilota Macdowelli phase ????
askook a répondu à un(e) sujet de Shark11 dans Vos P'tits Virus
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Toxicodryas Hallowell, 1857 Toxicodryas blandingii (Hallowell, 1844) Toxicodryas pulverulenta (Fischer, 1866) Toxicodryas blandingii. Photo pour illustration. Source: Google PS: Ces deux espèces originaires d'Afrique sont soit classées dans le genre Boiga, soit dans le genre Toxicodryas selon les auteurs. Les études les plus récentes ont tendance à classer ces deux espèces dans le genre Boiga.
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Espèces et sous espèces du genre Boiga
askook a posté un sujet dans En Vrac !! de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
Boiga Fitzinger, 1826 Boiga andamanensis (Wall, 1909) Boiga angulata (Peters, 1861) Boiga barnesii (Günther, 1869) Boiga beddomei (Wall, 1909) Boiga bengkuluensis Orlov, Kudryavtzev, Ryabov & Shumkov, 2003 Boiga bourreti Tillack, Ziegler & Le Khac Quyet, 2004 Boiga ceylonensis (Güntherl, 1858) Boiga cyanea (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) Boiga cynodon (Boie, 1827) Boiga dendrophila (Boie, 1827) -Boiga dendrophila dendrophila (Boie, 1827) -Boiga dendrophila annectans (Boulenger, 1896) -Boiga dendrophila divergens Taylor, 1922 -Boiga dendrophila gemmicincta (Duméril, Duméril & Bibron, 1854) -Boiga dendrophila latifasciata (Boulenger, 1896) -Boiga dendrophila levitoni Gaulke, Demegillo & Vogel, 2005 -Boiga dendrophila melanota (Boulenger, 1896) -Boiga dendrophila multicincta (Boulenger, 1896) -Boiga dendrophila occidentalis Brongersma, 1934 Boiga dightoni (Boulenger, 1894) Boiga drapiezii (Boie, 1827) Boiga forsteni (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) Boiga fusca (Gray, 1842) -Boiga fusca fusca (Gray, 1842) -Boiga fusca ornata (MacLeay, 1888) Boiga gokool (Gray, 1835) Boiga guangxiensis Wen, 1998 Boiga irregularis (Merren, 1802) Boiga jaspidea (Duméril, Bibron & Duméril, 1854) Boiga kraepelini Stejneger, 1902 Boiga multifasciata (Blyth, 1861) Boiga multomaculata (Boie, 1827) Boiga nigriceps (Günther, 1863) -Boiga nigriceps nigriceps (Günther, 1863) -Boiga nigriceps brevicauda Smith, 1926 Boiga nuchalis (Günther, 1875) Boiga ochracea (Günther, 1868) -Boiga ochracea ochracea (Günther, 1868) -Boiga ochracea stoliczkae (Wall, 1909) Boiga philippina (Peters, 1867) Boiga quincunciata (Wall, 1908) Boiga ranawanei Samarawickrama, Samarawickrama, Wijesena & Orlov, 2006 Boiga saengsomi Nutaphand, 1985 Boiga schultzei Taylor, 1923 Boiga siamensis Nootpand, 1971 Boiga tanahjampeana Orlov & Ryabov, 2002 Boiga trigonata (Schneider, 1802) -Boiga trigonata trigonata (Schneider, 1802) -Boiga trigonata melanocephala (Annandale, 1904) Boiga wallachi Das, 1998 Boiga ranawanei. Photo pour illustration. Source: Google -
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Evolution de la coloration de la tête
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans En Vrac !! de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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Evolution de la coloration de la tête
askook a posté un sujet dans En Vrac !! de Passiones de Morelia Spilota, de Boiga
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