-
Compteur de contenus
13 188 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par askook
-
Sous-espèces de Vipera aspis Vipera aspis aspis (Linné, 1758) Préssente en France, Nord/Ouest de la Suisse, Sud/Ouest de l'Allemagne Vipera aspis atra Meismer, 1820 Présente dans l'Ouest de la Suisse, Nord/Ouest de l'Italie, Sud/Est de la France Vipera aspis francisciredi Laurenti, 1768 Présente en Suisse, Italie, Croatie, Nord/Ouest de la Slovénie Vipera aspis hugyi Schinz, 1834 Présente dans le sud de l'Italie, Sicile Vipera aspis zinnikeri Kramer, 1958 Présente au Sud/Ouest de la France (Pyrénées), Nord/Est de l'Espagne Photos pour illustration. Source: Google Une autre sous-espèce Vipera aspis montecristi Mertens, 1956, qui n'est pas reconnue par tous les auteurs, est placée en synonymie de Vipera aspis hugyi se rencontre que dans l'ile de Montecristo (Italie)
-
-
-
-
C'est une Nezara viridula Cet insecte présent en France est un ravageur très polyphage. Il peut s’attaquer à plus de 30 familles de plantes (curcubitacées, crucifères, solanacées, légumineuses). On peut également le rencontrer en culture sous abri sur plusieurs espèces cultivées (tomate, aubergine,concombre, poivron). C'est un insecte piqueur suceur qui peut attaquer tous les organes de la plante pour se nourrir de sève. Généralement, on observe les adultes dans les apex des plantes. Les adultes sont de couleur verte et mesurent de 1,2 à 1,6 cmde long. Après accouplement, la femelle pond des œufs (30 à 130) de couleur blanc cassé à la face inférieure des feuilles. Ces œufs sont disposés en nid d’abeille Après éclosion, les larves de premier stade (rouge ou jaune) restent regroupées puis vont se disperser dès le deuxième stade larvaire (rouge sombre). Elles commencent à s’alimenter. A partir du troisième stade larvaire, les punaises prennent une teinte sombre et sont recouvertes de taches blanches, jaunes et rouges Au cinquième stade larvaire, l’insecte prend une coloration vert jaunâtre avec des tâches rouges et jaunes. Dépourvues d’ailes, les larves ressemblent aux adultes et présentent un mode de vie identique. Ces insectes possèdent des glandes odoriférantes. L’odeur repoussante qui en exhale fait fuir ses ennemis.
-
-
-
Auto-stop génétique entre une vipère et la gerbille Par Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences Un petit morceau de génome a voyagé d’un serpent à un rongeur en se faisant transporter par un virus. Le principe de cette transmission horizontale était connu mais des chercheurs ont pu suivre l’autostoppeur à la trace. C’est une drôle de piste qu’ont suivie deux chercheurs, l’un Japonais, l’autre Américain. Elle les a conduits à un jeu de saute-mouton entre un reptile et un mammifère. Ces généticiens s’intéressaient à un groupe de virus, Orthopoxvirus ou OPV, les êtres les plus pathogènes de la Terre, qui comptent parmi eux l’agent de la variole. Les cousinages au sein de cette famille se découvrent petit à petit. Ainsi, le virus taterapox (TATV), découvert en 1968 chez une gerbille africaine, Tatera valida, (un charmant petit rongeur), s’est révélé appartenir à ce groupe. Oliver Piskurek et Norihiro Okada, de l’Institut de Technologie de Tokyo, ont observé une curieuse similitude entre le génome de ce TATV et celui de virus infectant des lézards et des serpents. Gènes sauteurs Les ressemblances portaient sur des petits éléments du génome, appelés SINE (Short Interspersed Nuclear Element). Ces structures répétitives non codantes font partie de ces fragments de génome appelés éléments transposables, capables de sauter d’un emplacement à un autre sur le chromosome ou de se dupliquer en différents endroits. On parle souvent, pour décrire ces mouvements, de couper-coller et de copier-coller. Le SINE le plus proche de celui du virus de la gerbille a été trouvé chez Echis ocellatus, un serpent extrêmement venimeux de la famille des vipéridés. Les chercheurs ont pu démontrer que c’est bien ce code issu du génome du serpent qui s’est glissé dans le poxvirus. Selon eux, le génome du TATV, présent chez la gerbille, est bel et bien issu du poxvirus reptilien. Les territoires du petit rongeur et de ce serpent se recouvrent effectivement). Ils suggèrent dans la foulée que notre agent de la variole dérive d’un virus qui, à une époque lointaine, empoisonnait la vie de nos ancêtres à sang froid. Ce joli serpent (Echis ocellatus), très venimeux, a su transmettre à un mammifère une partie - non codante - de son génome. © Stephan Gimmel Source:http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/genetique-1/d/autostop-genetique-entre-une-vipere-et-la-gerbille_12384/
-
Après quelques dernières réservations (Pituophis catenifer pumilis) en cette fin d'été et début de rentrée. Je ne fais plus aucune acquisition, à moins d'une superbe occasion. Et oui, il va falloir attendre le déménagement et de remettre toutes les installations en route Après on verra, selon la place...
-
Les grenouilles qui ont traversé la mer Par Jean-Luc Goudet - Futura-Sciences Elles vivent aujourd’hui dans les Antilles et on pensait qu’elles étaient venues tranquillement à pied d’Amérique quand le niveau de l’océan était plus bas. Mais elles ne sont là que depuis 50 millions d’années, alors que ces terres étaient déjà des îles. Comme ces grenouilles d’eau douce ne survivent pas dans l’eau de mer, c’est donc qu’elles ont un jour navigué dans les Caraïbes… Dans les forêts tropicales du nord de l’Amérique du sud, d’Amérique centrale et de toutes les Antilles, vivent de petites grenouilles, entièrement adaptées à la vie sur terre. De leurs œufs sortent des grenouilles et non pas des larves. Toutes sont apparentées et les zoologistes les ont regroupées dans un même genre, Eleutherodactylus. Comment ont-elles peuplé les îles des Antilles ? Facilement, expliquait-on jusque-là. Cette colonisation a dû se produire au Crétacé supérieur, entre 80 et 70 millions d’années avant le présent, à l’époque où le niveau de l’océan était plus bas. La mer des Antilles (ou mer des Caraïbes) n’était pas ce qu’elle est aujourd’hui et toutes les actuelles Antilles étaient reliées au continent américain. Mais cette histoire simple ne colle pas avec la génétique… S. Blair Hedges et son équipe de l’université de Pennsylvanie se sont attaqués à ce vaste ggenre des Eleutherodactylus. Avec 801 espèces, il est le plus diversifié de tous les vertébrés. Un peu trop, sans doute pour constituer un groupe vraiment homogène. L’analyse de l’ADN de différentes espèces a montré que ces Eleutherodactylus se répartissent en trois sous-groupes qui correspondent à une répartition géographique nette : les grenouilles d’Amérique du sud, celles d’Amérique centrale et celles des Antilles. Hardies navigatrices D’après les différences entre les gènes, ces trois sous-groupes (les scientifiques préfèrent dire clades) ont divergé il y a seulement 50 millions d’années environ. Or, à cette époque, la mer des Antilles séparait déjà les îles des côtes américaines. Les espèces insulaires descendent donc d’une population ancestrale qui a dû prendre la mer d’une manière ou d’une autre, non seulement entre la côte et les îles mais aussi entre les îles. Ces amphibiens navigateurs étaient-ils des marins ou des nageurs ? La réponse est sans ambiguïté, expliquent les chercheurs. Mettez une de ces grenouilles dans l’eau salée et elle se dessèche jusqu’à en mourir, comme un poisson d’eau douce. Il faut par conséquent imaginer des grenouilles juchées sur des bois flottés ou des débris végétaux, emportées par les courants et jouant les naufragées sur des îles qu’il leur fallait ensuite peupler de descendants. De quoi réviser l’idée selon laquelle les amphibiens ont du mal à franchir les barrières océaniques… La jolie Eleutherodactylus audanti, montagnarde habitant les sommets haïtiens, a certainement des ancêtres navigateurs... Crédit : S. Blair Hedges Source: http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/zoologie/d/les-grenouilles-qui-ont-traverse-la-mer_12027/
-
-
-
Xenopeltis unicolor Xenopeltis unicolor (jeune spécimen). Xenopeltis unicolor (spécimen adulte) Photos pour illustration. Source: Google Généralité Répartition géographique: Asie (de la Chine méridionale jusqu'en Asie du Sud-Est). Taille: De 90 à 100 cm avec un maximum de 138 cm. Biotope: Très varié. Zones agricoles, jardins, parcs, collines boisées, abords des forêts, le longs des cours d'eau, marais, rizières. Habitats inondés et boueux. Biologie: Fouisseur. Nocturne. Nourriture: Amphibiens, petits mammifères (rongeurs), reptiles (lézards, petits serpents), oiseaux ainsi que leurs oeufs. Reproduction: Ovipare. De 6 à 17 oeufs. Remarques: Les nouveau-nés possèdent un collier blanc, qu'ils gardent pendant toute leur première année d'existence. Vie en captivité Terrarium: 80/100 x 40/50 x 40/50 cm. Température: Diurne: (23-26° C. Point chaud très localisé: 30°C). Nocturne: (21° C). Humidité: De 80 à 100%. Luminosité: De faible intensité. Nourriture: Rongeurs. Reproduction: De 6 à 17 oeufs. De 52 à 55 jours d'incubation à une température constante de 30° C. Remarques: Espèce ophiophage. A élever seule. Pour réussir son élevage, il faut respecter 4 règles (Humidité importante, sol très meuble, élevage individuel, tranquillité).
-
-
c'est un mâle... Je le garde, car c'était l'une des conditions, pour la récupération des animaux qui étaient à donner. J'ai vu sur le site de Reptilis la localité "Vera cruz". Voici ce qu'il en dit "Au stade juvénile, la coloration tire sur le gris clair avec du rose sur les flans. Au stade adulte, les couleurs s’accentuent et deviennent beiges avec les flancs roses orangés. Adulte ce boa ne dépasse pas les 120 à 140 cm. En 2001 les animaux se sont reproduits pour la premiére fois à l'age de 3 ans, ils mesuraient à peine 130cm !! ..." Cette description ressemble un peu au spécimen que j'ai
-
-
-
Vipère à cornes (Cerastes cerastes)
askook a répondu à un(e) sujet de Valko03 dans Carte d'identité Ophidiens
-
-
avant de naître. Les bébés crocodiles appellent leur maman avant même de sortir de l'oeuf, ont découvert des biologistes au terme d'une étude réalisé à la ferme aux crocodiles de Pierrelatte dans la Drôme. L'expérience a porté sur dix crocodiles du Nil (Crocodylus niloticus), femelles dont les oeufs, pondus environ trois mois auparavant, avaient été placés dans des incubateurs. Les chercheurs ontenregistrés des cris de pré-éclosion dans l'incubateur, puis ont enfoui dans le sable un haut-parleur pour diffuser à la mi-juillet, au moment où les éclosions devenaient imminentes, deux séries de sons: les cris enregistrés et des bruits sans significations. Photo pour illustration. source: Google Sur les dix femelles testées, placées à proximité des appareils, huit ont immédiatement réagi aux cris de pré-éclosion et se sont mises à creuser dans le sable pendant les dix minutes d'enregistrement, sans jamais prêter la moindre attention aux autres bruits. Même si un traitement précis des résultats reste à faire, "il apparaît clairement que les cris d'éclosion portent uen réelle information induisant une réponse comportementale forte de la mère", résument dans un communiqué les scientifiques, une jeune doctorante de l'université Jean Monnet de Saint-Etienne, Amélie Verge, et son directeur de thèse, le professeur Nicolas Mathevon. Une maman crocodile pond dix à trente oeufs dans le sable à un endroit précis. A Pierrelatte, on prélève généralement les oeufs afin de les placer en incubateur mais, malgré cela, les femelles restent à proximité de leur nid qu'elles défendent ardemment contre tout intrus. http://www.linternaute.com/actualite/depeche/afp/27/382123/les_bebes_crocodiles_crient_maman_avant_de_naitre.shtml
-
-
-