-
Compteur de contenus
13 188 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par askook
-
-
Peu de chose sur cette espèce Un terrarium de 30 x 30 x 45/50 cm, est suffisant pour un couple. Le terrarium doit toujours être plus haut que large, vu les moeurs arboricoles de l'espèce. Au sol, une couche d'humus 100% végétal permettra la plantation de plantes grimpantes à larges feuilles, permettant aux Hyla chinensis de se dissimuler dernière. La finition du substrat pourra se faire par une couche superficielle de mousse. Un taux d'hygrométrie aux environs de 80%, complété par une ou deux pulvérisations quotidiennes est idéale. La température sera comprise entre 22 et 25° C, avec un point chaud (très localisé) à 28° C. Attention à ne pas surchauffer cette espèce. La nourriture est constitué de mouches, vers de farine, grillons, vers de terre, etc.
-
-
-
Faune amphibienne et reptilienne de Bosnie-Herzégovine
askook a posté un sujet dans Répartition géographique
Faune amphibienne et reptilienne de Bosnie-Herzégovine Situation géographique de la Bosnie-Herzégovine Amphibiens Anoures Bombina bombina Bombina variegata Bufo bufo Hyla arborea Pelophylax lessonae Pelophylax ridibundus Pseudepidalea viridis Rana dalmatina Rana graeca Rana temporaria Urodeles Lissotriton vulgaris Mesotriton alpestris Proteus anguinus Salamandra atra Salamandra salamandra Triturus carnifex Triturus dobrogicus Reptiles Cheloniens Emys orbicularis Eurotestudo hermanni Sauriens Algyroides nigropunctatus Anguis fragilis Lacerta agilis Lacerta oxycephala Podarcis muralis Zootoca vivipara Ophidiens Coronella austriaca Natrix natrix Natrix tessellata Vipera ammodytes Vipera aspis Vipera berus Vipera ursinii Zamenis longissimus -
-
-
-
-
-
-
-
Galapagos : il faut sauver la tortue géante George ! George peut être fier de sa célébrité. Mais cela ne le mènera pas très loin. Car George est une tortue géante des Galapagos, une des espèces les plus caractéristiques de l'archipel. Mais aussi une des plus rares. En fait, George est le seul représentant encore existant de Chelonoidis abingdonii , et donc au bord de l'extinction. Depuis sa découverte en 1971 sur l'île de Pinta par… un chercheur d'escargots, qui a littéralement trébuché sur sa carapace, et alors que l'on croyait déjà l'espèce éteinte, de nombreuses tentatives d'accouplement ont été tentées avec des représentantes de sous-espèces voisines. Mais George ne montre pas un très grand appétit sexuel. Est-il résigné sur son sort où ces femelles ne sont-elles pas assez affriolantes à son goût ? Les Galapagos Découvertes en 1535, les Galapagos forment un groupe de 13 îles, 17 îlots et 47 récifs, disséminés sur une surface de 8.000 km² dans l'océan Pacifique. Elles étaient autrefois le refuge privilégié de ces tortues géantes, dont il existait au moins quinze populations distinctes. Même si elles ont été abondamment chassées comme nourriture par les marins, notamment aux XVIIIe et XIXe siècles, leur quasi-disparition est principalement due à l'introduction d'espèces concurrentes dans leur écosystème, telles que chèvres, porcs et rats. George coule actuellement des jours paisibles dans la station de recherches Charles Darwin, à Puerto Ayora (Santa Cruz), aux Galapagos, dont il est littéralement devenu la mascotte. Mais le but caressé par les chercheurs est bien de repeupler l'écosystème de Pinta, ce qui signifierait idéalement de réintroduire les tortues géantes, si possible avec les descendants de George. La surprise Mais alors qu'ils désespéraient de trouver la compagne idéale pour leur précieuse mascotte, des scientifiques de l'université de Yale, aux Etats-Unis, ont comparé l'ADN de George ainsi que de six autres tortues de la même sous-espèce décédées avec l'ADN de tortues Chelonoidis nigra becki provenant de l'île d'Isabela. Surprise : l'une d'elles s'est avérée être une cousine de George, une tortue dont le mâle géniteur proviendrait de l'île de Pinta et dont la mère serait originaire de l'île d'Isabella. Habituellement, ces tortues ne voyagent pourtant pas sur de longues distances. Mais il n'est pas exclu que certaines aient pu dériver sur l'océan ou même être transportées par l'homme, voire s'être échappée d'un bateau où elles étaient conservées vivantes. A ce titre, la Chelonoidis nigra becki récemment découverte semble être l'exception qui confirme la règle… La quête a maintenant repris, et les chercheurs sont décidés à analyser l'ADN d'au moins la moitié des quelque 2000 exemplaires de Chelonoidis nigra becki vivant en liberté sur cette île, nourrissant l'espoir de découvrir une femelle dont les deux parents seraient issus de Pinta, une partenaire idéale pour George ! La tâche ne sera pas aisée… Car ces tortues, bien que particulièrement volumineuses (il s'agit d'une des plus grosses espèces de la planète) possèdent aussi un don du camouflage hors du commun. On citera cet exemple de deux tortues géantes qui vivent sur l'île minuscule de Santa (24 km²), sur laquelle déferlent environ 50.000 touristes par année, et sur laquelle travaillent trois équipes de recherches. Et pourtant, ces animaux sont aperçus en moyenne une fois tous les sept à huit ans… Source:http://www.futura-sciences.com/fr/sinformer/actualites/news/t/zoologie/d/galapagos-il-faut-sauver-la-tortue-geante-george_11738/
-
Nephrolepis cordifolia Nom latin: Nephrolepis cordifolia Nom commun: Fougère, Plumosa. Origine: Tropicales et subtropicales. Habite une large zone de l'Asie et descend jusqu'en Nouvelle-Zélande. Description: Très gracieuse fougère d'un beau vert lumineux, aux frondes arquées, relativement coriaces, bipennés et à pinnules incisées. Nephrolepis cordifolia émet de longs "filins" (stolons) dont l'extrémité produira, si l'environnement lui convient, un pied fille. En plus de cette colonisation, les racines de Nephrolepis cordifolia produisent de petites tubercules de réserve, lui permettant de résister assez bien à de courtes périodes de sécheresse. Exposition: Lumière vive, mi-ombre. Sol: Compost à base de tourbe ou un mélange de terreau et de terreau de feuilles décomposée. Humidité du sol: De relativement sec à franchement humide, à condition toutefois pour ce dernier cas, que l'eau ne soit pas stagnante, la plante pourrirait alors très vite. Hauteur: De 20 à 50 cm, s'étendant beaucoup plus en surface et ce, grâce à son mode stolonifère assez performant. Type de végétation: Vivace. Si elle ne se plait pas dans son environnement, sans pour autant mourrir, elle végètera et son beau vert lumineux déclinera en un vert cendré maladif. Ne pas lésiner sur la vaporisation. Rempotage : Printemps. Méthode de multiplication: Division des stolons. Taille: Enlevez les frondes fanées. Terrariophilie: Idéal pour l'élevage d'amphibiens, qui affectionnent les petites frondes coriaces des fougères pour s'y poser ou s'y enfouir.
-
Dipsadoboa Günther, 1858 Dipsadoboa aulica (Günther, 1864) Dipsadoboa brevirostris (Sternfeld, 1908) Dipsadoboa duchesnei (Boulenger, 1901) Dipsadoboa elongata (Barbour, 1914) Dipsadoboa flavida (Broadley & Stevens, 1971) -Dipsadoboa flavida flavida (Broadley & Stevens, 1971) -Dipsadoboa flavida broadley Rasmussen, 1989 Dipsadoboa shrevei (Loveridge, 1932) -Dipsadoboa shrevei shrevei (Loveridge, 1932) -Dipsadoboa shrevei kageleri (Uthmöller, 1939) Dipsadoboa underwoodi Rasmussen, 1993 Dipsadoboa unicolor Günther, 1858 Dipsadoboa viridis (Peters, 1869) -Dipsadoboa viridis viridis (Peters, 1869) -Dipsadoboa viridis gracilis Laurenti, 1956 Dipsadoboa weileri (Lindholm, 1905) Dipsadoboa werneri (Boulenger, 1897) Dipsadoboa flavida broadley . Photo pour illustration. Source: Google
-
-
-
Mais cela se termine pas toujours bien pour le charmeur de serpent Tué par le serpent qu'il était censé charmer KUALA LUMPUR (Reuters 2002) - Un charmeur de serpent de l'île indonésienne de Batam qui s'est énervé sur son partenaire de spectacle, lequel traînait à sortir de sa boîte, a succombé à la morsure du cobra, rapporte le New Sunday Times. L'homme, âgé de 23 ans, est décédé trois heures après avoir été admis à l'hôpital. Selon un témoin, le charmeur, qui exerçait son art depuis quatre ans, a sorti le cobra de sa boîte par la queue, l'animal refusant de lui obéir. Une fois posé au sol, le serpent a, sans prévenir, mordu son dresseur à la main gauche
-
-
Charmeur de serpents Considérés comme des dieux pour savoir dompter les cobras, mais interdits par une loi de 1972, le million de charmeurs de serpent que compte l'Inde sont accusés de mauvais traitements par les défenseurs des animaux qui veulent les transformer en éducateurs spécialisés dans les reptiles. Chaque année, environ 400.000 serpents sont retirés de leur environnement naturel pour danser devant les flûtes de charmeurs sous l'œil des touristes ébahis. Mais leur ondulation au rythme de la musique, on la doit à un entraînement cruel dispensé à coups de mauvais traitements physiques. Amputés de leurs crocs vénéneux, ils meurent une fois relâchés dans la nature après six mois et quelques de "prestations", accusent les organisations de défense de la faune. Une loi adoptée en 1972 a poussé la plupart des charmeurs hors des villes, par peur de se faire arrêter par la police, les renvoyant dans les villages où ils gagnent beaucoup moins, selon une étude publiée par le fonds privé Wildlife Trust of India. Ils y "jouissent d'un statut de quasi-dieu car ils sont capables de conquérir ces animaux mortels", explique Bahar Dutt, membre de l'organisation qui a parcouru l'Inde pour mener l'enquête. Conscient que des milliers d'Indiens dépendent de ce métier pour vivre, le trust ne cherche pas à leur retirer ce moyen de subsistance. "Leurs connaissances pourraient de plus être utilisées pour la conservation" des reptiles, expliqué Mme Dutt. Le fonds propose donc de transformer les charmeurs en "éducateurs aux pieds nus". Embauchés par les centres de conservation de reptiles, ils pourraient partager leurs connaissances sur les animaux, le venin et la médecine traditionnelle capable de guérir les morsures. Comme solution alternative, le Fonds suggère également de faire des charmeurs des membres d'ensembles musicaux, ressuscitant ainsi une vieille tradition indienne qui voulait que les charmeurs fassent partie des "Festivals d'Inde", spectacles typiques qui avaient coutume de tourner en Europe et en Amérique du Nord dans les années 80. Les projets du Fonds trouvent toute leur logique, estime le charmeur Krishan Nath, qui ne demanderait pas mieux que de partager ses connaissances. Le sexagénaire souligne de plus l'actuelle contradiction entre la police qui le traque dans la rue, car sa profession est illégale, et ces nombreuses personnes qui viennent le chercher en désespoir de cause pour guérir une morsure ou capturer un serpent. Source:http://lecourrier.vnagency.com.vn
-
-
-
-
-