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Sherriffa, écoute les conseils que ton donnés Fanny, Corny et Virgule si tu aimes ton Elaphe, car là tu vas droit à son décès à court terme. Pour ne reprendre que le passage du nourrissage, tu es en train d'engraisser ton Elaphe, plutôt que la faire grandir à un rythme naturel. Au rythme, auquel tu la nourris, effectivement, tu auras une Elaphe de très grosse taille très rapidement, mais tu vas lui raccourcir par la même occasion son espérance de vie. Il ne faut pas sous-alimenter un serpent, mais le sur-alimenter c'est néfaste. Voici un article sur la quantité de repas d'un serpent vivant en captivité Article trouvé dans le "Guide pratique des Maladie des reptiles en captivité du Docteur Lionel Schilliger paru aux Editions MED'COM" sur la quantité de nourriture à donner pour un serpent. - Chez les serpents, la quantité de rongeurs à distribuer peut être estimée de deux manières. 1) On considère que pour la plupart, les serpents sauvages consomment annuellement deux à quatre fois leur poids en nourriture. Sachant qu'en captivité, les besoins énergétiques sont réduits par le manque d'activité physique, le facteur 2 est retenu. Un serpent de 500 grammes adulte doit donc consommer 1 kg de petits mammifères par an, c'est à dire 18 souris sur huit mois d'activité (si l'on compte 4 mois de repos hivernal), ca qui correspond à une souris toutes les deux semaines. 2) Les besoins énergétiques quotidiens des reptiles peuvent être calculés d'une manière plus mathématique à partir d'une équation obtenue expérimentalement en cage métabolique, sur des animaux non gravides, au repos, à 30°C, dans l'obscurité. Ces besoins caloriques, proportionnels au poids de l'animal à la puissance 0,77, sont, par exemple de 6kcal par 24h pour un serpent de 500 grammes, soit de 90kcal pour 15 jours ce qui correspond exactement à la densité énergétique d'une souris adulte! /viewtopic.forum?t=187
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Je ne suis pas tout à fait d'accord avec toi, Fanny Sans vouloir pousser les terrariophiles à pratiquer la reproduction d'hybrides, il est bien de savoir quand même que chaque spécimen qui nait est intéressant. Pourquoi un spécimen serait-il moins intéressant qu'un autre? Sur quel critère peut-on se baser pour estimer l'intérêt de tel ou tel spécimen? Quant au débat sur l'hybridation, ne souhaitant pas pourrir le post de Sherriffa, je vais en créer un autre. /viewtopic.forum?t=814
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Philothamnus semivariegatus Philothamnus semivariegatus. Photo pour illustration. Source: google Généralité Philothamnus semivariegatus (Smith, 1840) fait partie de la famille des colubridae et de la sous-famille des colubrinae. L'aire de répartition du serpent vert africain tacheté est très vaste. Elle va de l'Afrique de l'ouest (Côte d'Ivoire) jusqu'à l'Afrique de l'est (Ethiopie) en passant par le Nigéria, la République Centrafrique, le Soudan et jusqu'en Afrique du Sud (République d'Afrique du Sud) sauf extrême sud. Philothamnus semivariegatus a une taille moyenne variant de 60 à 110 cm (moyenne 80 cm), avec un maximum de 125/130 cm. Son corps particulièrement mince lui donne une allure élancée. Sa tête est plate, allongée et distincte du cou. Philothamnus semivariegatus possède un oeil de taille moyenne de couleur or à jaune-foncé avec une pupille ronde de couleur noire. La queue est longue et effilée. La coloration du serpent vert africain tacheté va du vert bleuté au vert olive avec des taches sombres (noires) formant des barres transversales étroites. En raison de sa couleur il est souvent confondu avec Dendroaspis angusticeps (mamba vert) ou Dispholidus typus (boomslang) Philothamnus semivariegatus se rencontre dans les forêts équatoriales claires et les savanes arbustives, non loin d'un point d'eau. Il arrive que certains spécimens se retrouvent dans les jardins urbains. Arboricole, ses écailles ventrales carénées lui permettent de s'accrocher sur la moindre surface inégale. Le serpent vert africain tacheté grimpe facilement aux arbres par le tronc. Philothamnus semivariegatus. Photo pour illustration. Source: google On le voit couramment le long de murs en brique ou sur des surfaces verticales semblables. De moeurs diurne, il est difficile de part sa rapidité et sa mobilité, dans un environnement naturel de le repérer ou de le suivre à l'oeil. Il arrive de rencontrer le serpent vert africain tacheté au sol, se déplaçant en maintenant sa tête dressée tout en ondulant le cou indépendamment de sa tête et de son corps. Philothamnus semivariegatus. Photo pour illustration. Source: google S'il lui arrive de se retrouver acculé, il dresse son cou verticalement, en le dilatant, tout en projetant vers l'avant sa tête, gueule ouverte. Le régime alimentaire de Philothamnus semivariegatus se compose de lézards arboricoles (geckos, caméléons), de grenouilles arboricoles ou d'oisillons. Philothamnus semivariegatus. Photo pour illustration. Source: google Sa reproduction est ovipare. La ponte est constituée de cinq à douze oeufs mesurant en moyenne 40 mm de long sur 12 mm de large. Vie en captivité Terrarium: Le terrarium doit être vaste (100 cm de longueur x 60 cm de profondeur x 80 cm de hauteur), aménagé d'une bonne aération (haute et base). Le substrat n'a que peu d'importance car Philothamnus semivariegatus n'y viendra que très rarement. Le tout est de respecter un sol sec avec une hygiène rigoureuse. Le décor est composé de nombreuses branches fourchues garnies de végétation artificielle. Une ou plusieures cachettes aériennes sont indispensables. Philothamnus semivariegatus. Photo pour illustration. Source: google Au sol, un bassin d'eau (toujours propre) de grande taille permettra au serpent vert africain tacheté de se baigner. De part ses moeurs diurnes, Philothamnus semivariegatus a besoin d'un éclairage, par tubes fluorescents, de bonne intensité. La température diurne se situera entre 26-28° C avec un point chaud en hauteur à 30° C. Pour la nuit, la température pourra être abaissée aux environs de 22-24° C. Le style de chauffage peut être par conduction (câble chauffant sous le terrarium) ou par une lampe chauffante de style "spot" bien protégée, afin d'éviter les brûlures. Un câble chauffant peut être installé sous le bassin d'eau, assurant ainsi une humidité matinale. Le taux d'humidité de l'air doit être important de 70 à 80 %. Une pulvérisation quotidienne et matinale d'eau tiède est indispensable, car le serpent vert africain tacheté vient boire les gouttes à peines sorties du pulvérisateur. Nourriture: La nourriture de base se compose de lézards, de grenouilles arboricoles, éventuellement de poissons. Le serpent vert africain tacheté possède un gros appétit. En captivité, il n'est pas facile d'habituer Philothamnus semivariegatus à s'alimenter de rongeurs. Il faut alors employer toutes les ruses possibles et imaginables pour que le serpent vert africain accepte les rongeurs proposés. Pour faciliter la prise de nourriture chez des spécimens nouvellement arrivés, il faut frotter des souriceaux, lavés de leur odeur, sur des mues de lézards puis de les mettre dans une niche ou une cachette en altitude. Reproduction: Pas de données sur la reproduction de Philothamnus semivariegatus en captivité. Conclusion: Philothamnus semivariegatus est une espèce digne d'intérêt à élever. Le fait que la plupart des spécimens que l'on trouve soient sauvages, leur acclimatation et leur élevage n'est pas facile.
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Bibliographie pour le genre Philothamnus Auerbach R.D, (1987) - The Amphibians and Reptiles of Bostswana. Gaborone Printing Works, Bostswana, 295p. Bocage J.V.du B, (1872) - Notice sur les espèces du genre Philothamnus qui se trouvent au Muséum de Lisbonne. J. Sci. Math. Phys. Nat., sér. 9, 33 : 1-19. Broadley D.G, (1957a) - Snakes of Southern Rhodesia. 2: The Northern Green Snake, Philothamnus irregularis irregularis (Leach). Afr. Wild Life, 11 : 53-55. Broadley D.G, (1959d) - A review of the Green-snakes, genus Philothamnus, of the Rhodesia. Occ. Pap. natn. Mus. S Rhod. (ser. B), 3 : 309-313. Chippaux J.P, (1999) - Les serpents d'Afrique occidentale et centrale. IRD Editions : 115-126. Haagner G.V, (1986) - Life History Note: Philothamnus hoplogaster brevirostris: Reproduction, Abnormalities and male Combat. Jour. Herp. Ass. Afr. (32) : 36-36. Hughes B, (1985) - Progress on a taxonomic revision of the African green tree snakes (Philothamnus ssp). Proc. Intern. Symp. African Vertebrates, Schuchmann K-L. Edt., Zool. Forschungsinst. & Mus. A. Koening. Berlin : 511-530 Isemonger R.M, (1962) - Snakes of Africa, Southern, Central and East. Edt Nelson, 236p. Loveridge A, (1951b) - Synopsis of the African green snakes Philothamnus and Chlorophis with the description of a new form. Bull. Inst. Roy. Sci. nat. Belgique, 27 : 1-12 Perringaux P, (1990) - 100 reptiles en terrariums. Edt D.P. Perringaux, 227p.
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Pour mieux connaître le genre Philothamnus Philothamnus ssp. Photo pour illustration. Source: google Connaître la systématique et la répartition géographique de ce genre /viewtopic.forum?t=783 Comment reconnaître un spécimen du genre Philothamnus La tête est fine et distincte du cou. Le cou est bien marqué. Le museau est allongé. L'oeil est moyen à grand avec une pupille ronde. le corps est long et cylindrique recouvert d'écaille de taille moyenne. La queue est longue est fine. Le maxillaire porte de 17 à 48 dents de taille similaire entre elles. Il n'y a pas de diastème. Dentition de Philothamnus heterolepidotus La rostrale est saillante, peu visible du dessus. La nasale est divisée. Il y a toujours 2 internasales et 2 préfontales. La loréale est présente. Il y a 1, parfois 2, préoculaires, mais pas de sous-oculaire. La frontale est plus longue que large. Elle est séparée de l'oeil par une supraoculaire. Il y a 2 ou 3 postoculaires. Il y a 1 ou 2 temporales antérieures, 1 ou 2 temporales moyennes et de 1 à 3 temporales postérieures. Il y a 7 à 10 labiales supérieures, 2 ou 3 sont en contact avec l'oeil. Il y a deux paires de mentonnières. Le sillon mentonnier est nettement marqué. Les mentonnières antérieures sont séparées de la symphysiale par la première paire de labiales inférieures. Ces dernières sont au nombre de 8 à 11. Ecaillure de la tête de Philothamnus heterolepidotus Les écailles dorsales sont lisses, sans fossette apicale, obliques, seulement sur la partie antérieure du corps chez quelques espèces etdisposées sur 13 à 15 rangs au milieu du corps. Le rang vertébral n'est pas distinct des autres. Les ventrales sont carénées. l'anale est entière ou divisée. Les sous-caudales sont doubles et parfois carénées. Certaines espèces présentent un dimorphiseme sexuel netau niveau du nombre de ventrales etdu nombre de sous-caudales, tandis qu'il est totalement absent chez d'autres. Les hémipénis sont unilobés. Le sillon spermatique est simple. Les épines basales sont très développées et surmontées par trois ou quatres corolles remplacées progressivement par des alvéoles réticulées. La partie apicale est couverte de papilles. Source: Chippaux, J.P (199) Les serpents d'Afrique occidentale et centrale. IRD Editions Elever en captivité une espèce du genre Philothamnus /viewtopic.forum?t=798 On arrive en captivité à nourrir des spécimens du genre Philothamnus avec des rongueurs, alors que ce n'est pas leur nourriture naturelle. Nourrissage d'un Philothamnus macrops avec un rongeur nouveau-né Photos pour illustration. Source: google Le genre Philothamnus "roi" de la pub Photos pour illustration. Source: google Quelques ouvrages concernant le genre Philothamnus /viewtopic.forum?p=5774#5774
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Systématique et Répartition du genre Philothamnus
askook a posté un sujet dans Répartition géographique
Le genre Philothamnus, décrit par Smith, 1840 est placé dans la famille des Colubridae et dans la sous-famille des Colubrinae. Ce genre comprend 18 espèces (Philothamnus angolensis, Philothamnus battersbyi, Philothamnus bequaerti, Philothamnus carinatus, Philothamnus dorsalis, Philothamnus girardi, Philothamnus heterodermus, Philothamnus heterolepidotus, Philothamnus hoplogaster, Philothamnus hughesi, Philothamnus irregularis, Philothamnus macrops, Philothamnus natalensis, Philothamnus nitidus, Philothamnus ornatus, Philothamnus punctatus, Philothamnus semivariegatus, Philothamnus thomensis). Les espèces du genre Philothamnus étaient placées autrefois dans les genres: Ahaetulla, Chlorophis, Coluber, Dendrophis. La systèmatique et la répartition géographique du genre Philothamnus ont été établis en grande partie d'après le travail de Hughes (1985) Philothamnus angolensis Bocage, 1882 Synonyme : Ahaetulla emini Günther, 1888; Ahaetulla shirana Günther, 1888; Chlorophis emini Boulenger, 1894; Chlorophis angolensis Boulenger, 1894; Chlorophis shirana Günther, 1895 Nom commun :serpent vert africain de l'Ouest, serpent vert des arbres d'Angola Répartition géographique : Afrique (Angola, Bostwana (Nord), Cameroun, Congo, Gabon, Mozambique (Sud), Namibie, République de Centrafrique, République Démocratique du Congo (excepté dans le Nord), Tanzanie, Zambie, Zimbabwe) Philothamnus battersbyi Loveridge, 1951 Synonyme : Philothamnus irregularis battersby Loveridge, 1951; Chlorophis neglectus Barbour & Loveridge, 1928; Philothamnus battersbyi Rasmussen, 1981 Nom commun :serpent vert africain de Battersby Nota: Son nom fait référence à James Clarence Battersby (1901-1993) Répartition géographique : Afrique (Cameroun?, Ethiopie, Kenya, Ouganda, Somalie, Soudan (Est), Tanzanie) Philothamnus battersbyi Photo pour illustration. Source: google Philothamnus bequaerti (Schmidt, 1923) Synonyme : Chlorophis bequaerti Schmidt, 1923; Philothamnus irregularis Schmidt, 1923; Philothamnus bequaerti Hughes, 1985 Répartition géographique : Afrique (Cameroun, Ethiopie (Ouest) République Centrafrique, République Démocratique du Congo (Nord/Ouest) Ouganda, Soudan (Sud)) Philothamnus carinatus (Andersson, 1901) Synonyme : Chlorophis carinatus Andersso,, 1901; Philothamnus nigrofasciatus Bucholz & Peters, 1875; Philothamnus heterodermus carinatus Loveridge, 1957; Philothamnus carinatus Hughes, 1985 Nom commun :serpent vert africain caréné Répartition géographique : Afrique (Congo, Gabon, Guinée Bissau, Kenya (Ouest), Nigeria, Ouganda, République de Centrafrique, République Démocratique du Congo, Tanzanie (Ouest)) Philothamnus dorsalis (Bocage, 1866) Synonyme : Leptophis dorsalis Bocage, 1866; Philothamnus dorsalis Boulenger, 1894; Philothamnus semivariegatus dorsalisLoveridge, 1957 Nom commun :serpent vert africain ligné Répartition géographique : Afrique (Angola, Congo, République Démocratique du Congo) Philothamnus girardi Bocage, 1893 Nom commun :serpent vert africain de Girard Nota: Son nom fait référence à Charles Frédéric Girard (1822-1895). Naturaliste Français Répartition géographique : Afrique (Ile de Pagalu (Golfe de Guinée) Philothamnus girardi Photo pour illustration. Source: google Philothamnus heterodermus (Hallowell, 1857) Synonyme : Chlorophis heterodermus Hallowell, 1857; Chlorophis cyaneneus Hecht, 1929; Philothamnus heterodermus Rödel et al. 1999 Sous-espèces : Philothamnus heterodermus heterodermus (Hallowell, 1857) Philothamnus heterodermus ruandae Loveridge, 1951 Nom commun : serpent vert africain des forêts Répartition géographique : Afrique (Angola, Burundi, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Guinée Equatoriale, Kenya, Libéria, Nigeria, Ouganda, République Centrafrique République Démocratique du Congo (excepté le Sud), Rwanda, Sierra Leone, Tanzanie, Togo) Philothamnus heterodermus Photo pour illustration. Source: google Philothamnus heterolepidotus (Günther, 1863) Synonyme : Ahaetulla heterolepidota Günther, 1863; Ahaetulla gracillima Günther, 1888; Chlorophis heterolepidotus Boulenger, 1894; Chlorophis gracillimus Günther, 1895; Philothamnus heterolepidotus Hughes, 1985 Nom commun : serpent vert africain élancé Répartition géographique : Afrique (Angola, Benin, Burundi, Cameroun, Congo, Gabon, Ghana (Nord/Ouest), Kenya, Mozambique, Nigeria, Ouganda, République Centrafrique?, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sierra Leone, Soudan, Tanzanie, Togo, Zambie) Philothamnus hoplogaster (Günther, 1863) Synonyme : Ahaetulla hoplogaster Günther, 1863; Chlorophis oldhami Theobald, 1868; Chlorophis neglectus Peters, 1867; Cyclophis oldhami Theobald, 1876; Philothamnus hoplogaster Bocage, 1882; Clorophis neglectus Boulenger, 1894 (part.); Chlorophis hoplogaster Boulenger, 1894 Nom commun : serpent vert africain aquatique Répartition géographique : Afrique (Bostwana, Burundi, Kenya, Malawi, Mozambique (Sud), République d'Afrique du Sud, République Centrafrique, République Démocratique du Congo (Sud/Est), Rwanda, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe) Philothamnus hoplogaster Photo pour illustration. Source: google Philothamnus hughesi Trape & Roux-Esteve, 1990 Nom commun : serpent vert africain d'Hughes Nota: Son nom fait référence à Barry Hughes. Herpéthologue Anglais. Répartition géographique : Afrique (Cameroun, Congo, République Démocratique du Congo) Philothamnus irregularis (Leach, 1819) Synonyme : Coluber irregularis Leach, 1819; Coluber caeruleus Lacépède (non Linné, 1789); Dendrophis chenoni Reinhardt, 1843; Leptophis chenonii Duméril, Bibron & Duméril, 1854; Philothamnus irregularis var. longifrenatus Buchholz & Peters, 1875; Philothamnus irregularis Fischer, 1881; Chlorophis irregularis Boulenger, 1894 Nom commun : serpent vert africain irrégulier Répartition géographique : Afrique (Botswana?, Burundi, Cameroun, Cöte d'Ivoire, Ethiopie, Gambie, Ghana, Kenya, Libéria, Mali, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, Ouganda, République d'Afrique du Sud, République Centrafrique, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Soudan (Sud), Tchad, Zambie, Zimbabwe) Philothamnus irregularis Photo pour illustration. Source: google Philothamnus macrops (Boulenger, 1895) Synonyme : Oligolepis macrops Boulenger, 1895; Chlorophis macrops Barbour & Loveridge, 1928; Philothamnus macrops Loveridge, 1957 Nom commun : serpent vert africain d'Usumbara Répartition géographique : Afrique (Tanzanie (Est), Zanzibar) Philothamnus macrops Photo pour illustration. Source: google Philothamnus natalensis (Smith, 1840) Synonyme : Dendrophis (Philothamnus) natalensis Smith, 1840; Ahaetulla irregularis var.natalensis Günther, 1858; Ahaetulla natalensis Günther, 1858; Dendrophis subcarinatus Jan, 1869; Chlorophis natalensis Boulenger, 1894; Philothamnus natalensis Bocage, 1882 Sous-espèces : Philothamnus natalensis natalensis (Smith, 1840) Philothamnus heterodermus occidentalis Broadley, 1966 Nom commun : serpent vert africain de Natal Répartition géographique : Afrique (Mozambique (Sud), République d'Afrique du Sud (Est), Zimbabwe (Sud/Est)) Philothamnus natalensis Photo pour illustration. Source: google Philothamnus nitidus (Günther, 1863) Synonyme : Ahaetulla nitida Günther, 1863; Ahaetulla lagoensis Günther, 1872; Philothamnus nitidus Boulenger, 1894 Sous-espèces : Philothamnus nitidus nitidus (Günther, 1863) Philothamnus nitidus loveridgei Laurent, 1960 Nom commun : serpent vert africain des buissons Répartition géographique : Afrique (Burundi [loveridgei], Cameroun [nitidus], Congo [nitidus], Côte d'Ivoire [nitidus], Kenya (Ouest) [loveridgei], République Centrafrique [nitidus, loveridgei], République Démocratique du Congo [nitidus, loveridgei], Tanzanie (Ouest) [loveridgei]) Philothamnus ornatus Bocage, 1872 Synonyme : Chlorophis ornatus Boulenger, 1894 Nom commun : serpent vert africain orné Répartition géographique : Afrique (Angola (Sud), Bostwana (Nord), Cameroun, Malawi, république Démocratique du Congo (Nord), Tanzanie (Ouest), Zambie, Zimbabwe) Philothamnus punctatus Peters, 1867 Synonyme : Ahaetulla kirkii Günther, 1888 Nom commun : serpent vert africain moucheté Répartition géographique : Afrique (Ethiopie (Est), Kenya, Malawi (Nord), Mozambique, Somalie, Tanzanie (Est), Zanzibar (inclus les îles Pemba et Mafia)) Philothamnus punctatus Philothamnus semivariegatus (Smith, 1847) Synonyme : Dendrophis (Philothamnus) semivariegata Smith, 1847; Ahaetulla irregularis Parenti & Picaglia, 1886; Ahaetulla bocagii Günther, 1888; Philothamnus semivariegatus Boulenger, 1894; Philothmnus bocagii Günther, 1895 Nom commun : serpent vert africain tacheté Répartition géographique : Afrique (Angola, Bénin, Bostawana, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Erythrée, Ethiopie, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée Equatoriale, Libéria, Mali, Mozambique (Sud), Namibie, Nigeria, République d'Afrique du Sud (Est), République Centrafrique, République Démocratique du Congo, Sénégal, Soudan, Swaziland, Tanzanie, Togo, Zambie, Zanzibar, Zimbabwe) Philothamnus semivariegatus Photo pour illustration. Source: google Philothamnus thomensis Bocage, 1882 Nom commun : serpent vert africain de Sao Tomé Répartition géographique : Afrique (Ile de Sao Tomé (golfe de Guinée)) Philothamnus thomensis Photo pour illustration. Source: google -
Deux genres de serpent appartemant à la famille des colubridae "polissent" leurs écailles, avec une sécrétion obtenue par les narines. Ce comportement a été observé chez les espèces suivantes: - Malpolon monspessulanus, Malpolon moilensis Malpolon moilensis - Psammophis sibilans, Psammophis condanarus, Psammophis schokari, Psammophis subtaeniatus Psammophis schokari Photo pour illustration. Source: google Chez le genre Malpolon, le liquide "huileux" est sécrété par une petite ouverture située sur l'extérieur des narines. Le "polissage" se fait par un mouvement de la tête, qui se déplace de bas en haut contre les flancs et les écailles ventrales. La fréquence peut aller jusqu'à 100 mouvements, en suivant la surface du corps, le serpent faisant tourner celui-ci pour permettre un contact total avec les parties à couvrir. Chaque côtés de la tête étant utilisé alternativement. Polissage des écailles chez le genre Malpolon Durant les période chaudes Malpolon monspessulanus se "polit" régulièrement pendant la journée. Durant les périodes fraîches, celui-ci ne semble se "polir" juste après les mues ou les repas. Le serpent des sables, Psammophis sibilans, se "polit" d'une manière similaire, mais les mouvements sont plus compliqués. La tête passe du côté à polir. D'une manière générale, l'opération est plus complète que pour les spécimens appartenant au genre Malpolon. Polissage des écailles chez le genre Psammophis Chez les autres espèces de Psammophis citées, les méthodes sont similaires même si de petites variations peuvent intervenir. Le but de ce comportement n'est pas connu avec certitude. Il se pourrait (du fait que l'imperméabilité des écailles dépend des liquides sécrétés), que cette "substance huileuse" permette de limiter les pertes d'eau au niveau des écailles. D'un autre côté, cette attitude servirait de communication chimique (dûe aux substances aromatiques), ou pour marquer les endroits de passage de l'animal. Bibliographie: The Encyclopedia of Snakes de Chris Mattison Litteratura serpentium, Vol 4 (3/4) pour les dessins
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Il y aura beaucoup plus de réactions chez les sauriens que chez les ophidiens. La notion de territoire et de domination étant pratiquement inexistante chez les ophdiens J'ai 4 terrariums, en verre, de 100 cm de long qui sont divisibles en deux par une vitre. Ces terrariums servent, la plupart du temps, pour les nouveaux couples arrivants ou en cours de formation. Ils vivent séparés le temps de l'acclimatation pleure Je n'ai jamais observé de réaction d'agressivité, à travers la vitre, de la part d'un des occupants de ces terrariums, sauf pour deux mâles Pituophis. L'un (Pituophis catenifer sayi) avait la gueule ouverte et collée à la vitre, comme si il voulait mordre l'autre (Pituophis catenifer affinis albinos Par contre, j'ai souvent retrouvé l'un des deux spécimens dans l'autre partie du terrarium (surtout les mâles), avec sa future compagne. Cela concerne bien sûr les petites espèces toutes fines, qui arrivent à passer au niveau d'une encoche, faite dans la séparation pour la serrure
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Dumerilia Les serpent venimeux du monde : Systématique et répartition. Le présent ouvrage fournit une liste à jour commentée des serpents venimeux du monde, avec leur répartition par pays, établie d'après la littérature récente. Les principales références taxinomiques sont données pour tous les genres et espèces valides, ainsi que leurs noms communs en Français et en Anglais. Les sous-espèces valides sont mentionnées. La répartition de chaque espèce est donnée par l'énumération de tous les pays habités par le taxon, accompagnée de références bibliographique taxinomiques et biologiques. Enfin, une liste des espèces venimeuses est présentée pour chaque pays du globe. Publications de l'Association des Amis du Laboratoire des Reptiles et Amphibiens du Muséum national d'Histoire naturelle de Paris Volume 3 - Février 1999 - 500 pages PS: C'est un livre pour toi CoolSnake
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50 cm de profondeur, me paraît bien. 60 cm, pourquoi pas, mais pas plus. Ceci pour un côté pratique. Lorsque tu as une profondeur trop importante pour des petits terrariums, il n'est pas facile d'aller jusqu'au fond pour les nettoyer Cela dépend aussi de la disposition des terrariums formant ta batterie et si ces terrariums sont conçus pour recevoir un ou plusieurs spécimens
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Il va falloir que d'autres membres donnent leur avis, car moi n'utilisant que du papier journal, je ne vais pas t'être d'un grand secours Voilà ce que j'ai quand même trouvé sur ce substrat "C’est le substrat le plus vendu dans le monde. Il convient à la plupart des reptiles. 100 % écorces de pin sélectionnées et tamisées. C’est substrat que l’on peut humidifier à volonté (en déversant un ou plusieurs litres d’eau) puis laisser sécher. Avec la chaleur du vivarium, l’hygrométrie va ainsi augmenter. Repti_bark limite les odeurs. Le Repti-bark est un produit totalement naturel et peut-être ingéré sans danger par la plupart des reptiles, toutefois comme pour tout substrat meuble, l’ingestion n’est pas recommandée. Le fait de manger naturellement du Repti-Bark chez les reptiles est signe de carence en fibre, vitamines et sels minéreaux".
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Le (nouveau-ex) terra de mes Pantherophis guttatus
askook a répondu à un(e) sujet de Valko03 dans Vos Installations
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Le comportement amoureux du serpent jarretière à flancs rouges (Thamnophis sirtalis parietalis) se manifeste au printemps au cours d'une brève et intense période d'accouplement qui dure entre trois jours et trois semaines. Pendant cette période, les mâles prennent le soleil près de la tanière où ils sont passés l'hiver. Les femelles en sortent alors individuellement ou par petits groupes (Image 1). Attirés pr une phéromone qui se trouve sur le dos de la femelle, une centaine de mâles entourent celle-ci pour former une "boule d'accouplement" (Image 2). Un seul de ces mâles réussit à s'accoupler avec la femelle en lui introduisant l'un de ses deux hémipénis dans le cloaque. Les autres mâles se dispersent aussitôt. (Image 3). La femelle fécondée, rendue sexuellement non attirante par une phéromone que son partenaire lui a déposée dans le cloaque, s'éloigne rapidement et s'en va chercher un terrain de chasse pour l'été. Les mâles restent à proximité de la tanière pour attendre la sortie d'uen autre femelle non fécondée (Image 4).