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Je n'ai pas de réponse à te donner pour ta première question. je ne savais même pas que cela existait... Pour la deuxième question, les réponses sont - Toutes les espèces et les sous-espèces du genre Ahaetulla sont soumises au CDC depuis l'arrêté Perret du 10 août 2004 - Opistoglyphe ne veut pas dire systématiquement CDC. Par exemple, les espèces du genre Chrysopelea ne sont pas soumises au CDC alors qu'elles possèdent une denture opistoglyphe.
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Besoin du maximum d'info sur le drymarchon corais
askook a répondu à un(e) sujet de snakes-whisperer dans Serpents
La systématique du genre Drymarchon est très incertaine et demande une révision définitive. Longtemps, il n'a été reconnu pour ce genre qu'une seule espèce Drymarchon corais possédant 7 ou 8 sous-espèces selon les auteurs (corais, couperi, erebennus, margaritae, melanurus, orizabensis, rubidus, unicolor). Après les travaux de Crother (2000) et Wüster, Yrausquin & Mijares-Urrutia (2001), une majorité des auteurs est d'accord pour reconnaitre une nouvelle espèce (Drymarchon caudomaculatus) et que Drymarchon corais couperi et Drymarchon corais melanurus deviennent des espèces distinctes (Drymarchon couperi et Drymarchon melanurus). Par contre, la taxonomie des autres sous-espèces (erebennus, margaritae, orizabensis, rubidus, unicolor) n'est pas clairement bien définie. Certains auteurs placent ses sous-espèces chez D. corais, alors que d'autres les placent chez D. melanurus . Wüster (2001) considère D. c margaritae comme une espèce distincte (D. margaritae) En raison d'hybridations naturelles entre D. melanurus et certaines sous-espèces (erebennus, orizabensis et rubidus), celle-ci sont généralement placée chez cette espèce, en attendant une révision complète et définitive de ce genre. Pour résumé, cela donne: Drymarchon caudomaculatus Drymarchon corais Drymarchon couperi Drymarchon margaritae Drymarchom melanurus - Drymarchon melanurus melanurus - Drymarchon melanurus erebennus - Drymarchon melanurus orizabensis - Drymarchon melanurus rubidus - Drymarchon melanurus unicolor L'aire de répartition des espèces et sous-espèces du genre Drymarchon est la suivante: Drymarchon caudomaculatus: Colombie, Venezuela Drymarchon corais: Argentine, Bolivie, Brésil, Guyane française, Paraguay, Pérou Surinam, Trinité et Tobago, Venezuela Drymarchon couperi: Etats-Unis (Etats d'Alabama, Floride, Géorgie, Mississippi) Drymarchon margaritae: Venezuela (île de Margarita) Drymarchom melanurus - Drymarchon melanurus melanurus: Belize, Colombie, Costa Rica, Equateur, Guatemala, Honduras, Mexique, Venezuela. Sa présence au Panama et au Salvador reste incertaine. - Drymarchon melanurus erebennus: Etats-Unis (Etat du Texas), Mexique - Drymarchon melanurus orizabensis: Mexique (Etat de Veracruz) - Drymarchon melanurus rubidus: Mexique, Guatemala - Drymarchon melanurus unicolor: Nicaragua Au niveau législation, Drymarchon corais ssp fait parti de l'arrêté de Guyane (1986) et par conséquence est soumis aux CDC et AOE. Par contre pour les autres espèces et sous-espèces, leur législation n'est pas très claire. Vu que leur séparation taxonomique s'est faite qu'à partir de 200/2001, et que la référence systématique reptilienne pour le législateur date de 1988, toutes les espèces et sous-espèces peuvent être considérées comme appartenant à Drymarchon corais, étant ainsi soumises au CDC. Heureusement, la plupart des administrations (Ddsv, Oncfs) jouent le jeu et séparent bien les espèces D. corais, D. couperi et D. melanurus. Ce n'est pas forcément toujours le cas, et un Drymarchon melanurus a été saisis pour une détention sans cdc. Il faut, quand même, rajouter que son propriétaire possédait d'autres serpents originaires de Guyane. -
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Quels styles d'informations (systématique, biologie, maintenance) cherches-tu et sur quelles espèces? le genre Clelia possède 11 espèces - Clelia bicolor - Clelia clelia - Clelia equatoriana - Clelia errabunda - Clelia hussami - Clelia langeri - Clelia montana - Clelia plumbea - Clelia quimi - Clelia rustica - Clelia scytalina
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Un terrarium bien décoré et bien aménagé favorise-t-il le bien-être d'un "virus" ou ne sert-il qu'à flatté l'oeil du terrariophile? Pour ma part, un terrarium joliment décoré n'apporte rien à nos pensionnaire. Pour preuve... J'ai élevé une femelle Boiga cyanea élevée dans un terrarium de 105 x 60 x 55 cm possédant une plate forme à mi-hauteur, et ayant comme décor deux cartons (un au sol et l'autre sur la plate forme) servant de cachette, deux branches mais sans aucun feuillage. Cette femelle a vécu 15 ans, dans ces conditions et m'a fait quelques belles pontes. Signe, du moins je le pense, qu'elle ne devait pas être si malheureuse de n'avoir pas vécu dans un terrarium esthétique. Ma question est: l'esthétique c'est pour qui? Le reptile ou le terrariophile...
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Je ne suis pas d'accord du tout... Si un terrariophile oublie ses "virus", quelque soit sa façon d"élever, qu'il change de passion. Ce n'est pas à mes yeux, un passionné... Pour moi, il ne se passe pas une journée sans que je ne regarde ce qu'il se passe dans les boites... c'était la même chose lorsque j'avais mes terrariums... Il m'est inconcevable, de ne pas regarder au moins une fois par jour mes pensionnaires...
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et s etalent generalement tres bien aussi ....effet garanti ... Tout dépend de la grosseur de l'excrément. Moi qui n'élève que du colubridés, je n'ai pas de soucis de ce côté là. Petit serpent ou moyen serpent, petit excrément... Les feuilles de papier journal qui sont souillées par un excrément sont enlevés dans la journée, car vu tout de suite. Ce qui n'est toujours le cas avec un autre substrat...
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Comme déjà dit, tout dépend des espèces. Impossible pour moi d'élever du Pituophis en rack, mais de la "mandarina" ou de l'hétérodon, oui... Je te rejoints complétement lorsque tu parles des débutants. Tu ne prendras jamais le même plaisir avec un rack, que tu pourras le faire avec un terrarium. Tu ne me verras jamais conseillé un débutant à maintenir ces "virus" en rack... Tu peux demander à Zhomme. Je l'aide même à construire ces terra... L'expérience... Je ne sais pas trop, si elle joue un rôle important dans le choix de la maintenance en rack ou en terrarium ou si elle favorise un deux deux moyens de maintenance... Je ne suis pas sûr qu'un terrarium bien décoré favorise le bien être d'un serpent, qu'un rack contenant le strict nécessaire. Si c'était le cas, il n'y aurait pas de reproduction chez les terrariophiles élevant leurs serpent en racks. Voilà de quoi ouvrir un autre débat...
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Je ne l'ai pas pris pour moi... J'ai juste profiter de l'occasion de parler de mes rapports avec l'argent et ma passion... Même si le coût de la construction, du chauffage et autres bricoles techniques, n'ont pas été la première chose auquel j'ai pensé lorsque le cas des racks a été étudié pour la nouvelle pièce, il est vrai que ce n'est pas à négliger... Refaire 30 terrariums, me serait revenu plus cher que de faire 3 racks contenant 30 boites et deux cordons chauffants, vu que le 3ème rackest réservé qu'aux "asiatiques " ne demande pas de chauffage...
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Pour ma part, le côté rentable n'est jamais rentré en ligne de compte dans le passage en rack. Il en est même pas question dans ma passion... L'argent, je le gagne avec mon travail. Ma passion est là, pour le plaisir. Le plaisir est fait pour dépenser de l'argent. Et je ne mélange pas argent et plaisir, trop peur de l'argent prenne le dessus...
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Je remonte les manches et j'attaque... Observation des animaux: - Le choix de mes boites a été fait en fonction de leur transparence. Je voulais pouvoir voir mes animaux sans être obligé de sortir les boites. Il ne faut oublier que cela ne fait qu'un peu plus d'un an que je suis passé au rack après presque 27 ans terrariophilie en terrarium. - Certaines espèces, qui constitue la majorité de mon élevage, se montrent en rack beaucoup plus qu'en terrarium. Tous les matins, je vois mes "mandarina et porphyracea" se réchauffer aux premiers rayons de soleil, alors qu'en terrarium je ne les voyais quasiment pas... Le décoration: Même lorsque j'élevai en terrarium, je n'avais pas de décor. Ça ne me perturbe pas. Le gain de place: Il est évident. c'est bien pour cela que j'en suis venu au rack. Je suis passé de plus de 8 m linéaire à 4 m. Le gain de temps: Pas vraiment pour moi. Comme je l'ai dis plus haut, mes terrariums étaient déjà au plus pratique possible(pas de décor, papier journal comme substrat, cachette jetable etc...). Je gagne du temps, parce que je possède moins de spécimens. Le nombre: Là aussi, pas pour moi. Je suis passé de 150 spécimens en terrarium à 30 en rack... Le choix des espèces: En faisant le choix des racks, j'ai fait un choix dans mes espèces. Je n'ai gardé que les espèces que j'estimais les mieux adaptées à la vie en rack et je suis privé des autres. Je me suis séparé de tous les Pituophis, des Orthriophis, des Gonyosoma et autres espèces arboricoles, etc... Si certains de ces genres réapparaissent dans mon élevage, ce qui est prévu, il leur sera fait des terrariums. Je pense avoir fait le tour... Si j'ai oublié quelque chose, n'hésitez pas à me le rappeler... Pour LilliaOoo Effectivement, je suis un collectionneur et un acheteur compulsif. Même après 30 ans de passion, j'ai toujours envie de tout posséder... Ne rien trouvé à l'AFT, m'a gâché ma journée. Il a fallu que je fasse les annonces pour trouver un ou des serpents à acheter... Par contre, je n'ai pas les yeux plus gros que le ventre, sinon tout mon "cheptel" aurait déménagé avec moi et aurait fini en boite, quelque soit leur condition de maintenance. Et là, je n'ai pas voulu de ça...
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La ferme tropicale propose des espèces originaires de Malaisie tels que Aplopeltura boa, Pareas carinatus, Erpeton tentaculatum, pour ne parler que des serpents. Tout le monde sait très bien que peu spécimens survivront longtemps à la vie en captivité et qu'il n'y aura surement aucune naissance issue de ces serpents. Faut-il continuer de proposer de telles espèces en magasin? Faut-il attendre l'arrivée des premiers spécimens nés en captivité, sachant que l'on va attendre longtemps, très longtemps? Personnellement, je suis un adepte de ces espèces encore peu élevées dans nos terrariums ou racks. Je n'hésite pas à m'en procurer sachant très bien que je vais avoir de la perte et que rien ne me garanti d'éventuelles naissances pour pouvoir créer une souche NC... Mais ce challenge me tente à chaque fois et rien n'y fait, même pas la petite voie qui me dit "ce n'est pas bien". Je sais aussi que pour 1 individu proposé en magasin, beaucoup sont morts. Il existe des statistiques sur ce sujet. Il faut que je les retrouve... Et vous...
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En premier... Un déménagement, puis un manque de place pour pouvoir mettre nos 70 terrariums qui constituaient notre ancienne pièce d'élevage. Après, je me suis aperçu que pour des "mandarina et autres prophyracea", être dans des terrariums ou dans des racks, cela ne changeait presque rien. Ces espèces ne bougent qu'un tout petit peu le matin, histoire de prendre le soleil et un peu le soir. Le reste du temps, elles restent cachées dans la boite à sphaigne. J'ai même observé une meilleure prise de nourriture pour les "mandarina" depuis qu'elles sont passées en rack. Bien sur que le fait d'élever ce genre d'espèces m'a facilité la tache pour passer du terra au rack. Si j'avais gardé mes Pituophis, je serais resté aux terrariums.