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Philothamnus irregularis (Leach, 1819) Synonymes Coluber irregularis Leach, 1819 Philothamnus irregularis Leach, 1819 Dendrophis chenoni Reinhardt, 1843 Leptophis chenonii Duméril, Bibron & Duméril, 1854 Philothamnus irregularis var. longifrenatus Buchholz & Peters, 1875 Chlorophis irregularis Boulenger, 1894 Philothamnus irregularis Loveridge, 1955 Commentaire Philothamnus irrgularis battersbyi est devenu une espèce valide Philothamnus battersby. Répartition géographique Afrique Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Côte d'Ivoire, Ethiopie, Gambie, Ghana, Guinée Bissau, Kenya, Mali, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, Ouganda, République d'Afrique du Sud (Natal), République de Centrafrique, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sénégal, Soudan (Sud), Tchad, Zambie, Zimbabwe. Commentaire Sa présence au Botswana reste à confirmer. Portrait
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Philothamnus hughesi Trape & Roux-Estève, 1990 Etymologie Nommé d'après Barry Hughes (Herpétologiste Britannique) Répartition géographique Afrique Cameroun, Congo, République de Centrafrique, République Démocraique du Congo (Nord/Ouest et Centre), Tchad. Commentaire Cette espèce peut être confondu avec Philothmanus hoplogaster.
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Philothamnus hoplogaster (Günther, 1863) Synonymes Ahaetulla hoplogaster Günther, 1863 Chlorophis oldhami Theobald, 1868 Chlorophis neglectus Peters, 1867 Cyclophis oldhami Theobald, 1876 Philothamnus hoplogaster Bocage, 1882 Philothamnus neglectus Pfeffer, 1893 Chlorophis hoplogaster Boulenger, 1894 Philothamnus hoplogaster Boycott, 1992 Répartition géographique Afrique Botswana, Burundi, Congo, Kenya, Lesotho, Malawi, Mozambique (Sud), République d'Afrque du Sud (Transvaal, Natal, Cap), République Démocratique du Congo (Sud/Est), Rwanda, Swaziland, Tanzanie, Zambie, Zimbabwe. Commentaire Les spécimens de la République centrafricaine ont été attribués à Philothamnus hughesi. Portrait Photo de Johan Marais pour illustration.
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Philothamnus heterolepidotus (Günther, 1863) Synonymes Ahaetulla heterolepidota Günther, 1863 Leptophis heterolepidota Bocage, 1866 Ahaetulla gracillima Günther, 1888 Philothamnus heterolepidotus Pfeffer, 1893 Chlorophis gracillimus Günther, 1895 Chlorophis heterolepidotus Boullenger, 1894 Chlorophis gracilis Sternfeld, 1910 (fide Hallermann, 2007) Philothamnus heterolepidotus Loveridge, 1955 Répartition géographique Afrique Angola, Burundi, Cameroun, Congo, Ghana (Nord/Ouest), Guinée, Kenya, Mozambique, Nigeria, Ouganda, République de Centrafrique, République Démocratique du Congo, Rwanda, Sierra Leone, Soudan, Tanzanie, Togo, Zambie. Commentaire Cette espèce n'est pas présente au Gabon selon Pauwels & Van de Weghe, 2008 et au Bénin selon Ullenbruch et al., 2010.
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Philothamnus heterodermus (Hallowell, 1857) Sous-espèces Philothamnus heterodermus heterodermus (Hallowell, 1857) Philothamnus heterodermus ruandae Loveridge, 1951 Commentaire La validité des deux sous-espèces n'est pas reconnu par tous les auteurs (Rödel & Mahsberg, 2000) Philothamnus heterodermus carinatus est considéré comme une espèce valide: Philothamnus carinatus. Synonymes Chlorophis heterodermus Hallowell, 1857 Chlorophis cyaneus Hecht, 1929 Chlorophis heterodermis [sic] Taylor & WEeyer, 1958 Philothamnus heterodermus Rödel et al., 1999 Répartition géographique Afrique Angola, Bénin, Burundi, Cameroun, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Guinée Equatoriale, Kenya, Liberia, Nigeria, Ouganda, République de Centrafrique, République Démocratique du Congo (excepté le Sud), Rwanda, Sierra Leone, Tanzanie, Togo. Portrait Photo pour illustration. Source:eligreenbaum.iss.utep.edu/
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Philothamnus girardi Bocage, 1893 Synonymes Philothamnus semivariegatus girardi Mertens, 1934 Philothamnus girardi Trape & Roux-Estève, 1995 Etymologie Nommé d'après Albert Girard (1860-1914), zoologiste au Muséum de Zoologie de Lisbonne. Répartition géographique Afrique Guinée Equatoriale [île d'Annobón (ou Pagalú)] Commentaire Sa présence au Congo reste à définir. Portrait Photo pour illustration. Source:http://www.ggcg.st/
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Dolomedes plantarius est une espèce d'araignées de la famille des Pisauridae. Cette araignée, rare en Grande Bretagne (2 localisations), a fait l'objet d'un lâcher massif en octobre 2010. C’est dans la réserve naturelle de Castle Marshes dans le Suffolk, un comté situé à l’est du royaume, qu'a été effectué ce lâcher massif de Dolomedes plantarius. Considérée comme espèce en danger par Natural England, l’organisme servant de consultant pour le gouvernement britannique, Dolomedes plantarius est une jolie araignée de 18 à 23 millimètres de longueur, pattes non comprises, avec une bande de couleur claire sur l’abdomen. Photo pour illustration. Source: www.hlasek.com Les individus réintroduits auront préalablement été élevés en éprouvette dans la cuisined’une scientifique. Oui vous avez bien lu. 3000 araignées nourries amoureusement à la main par cette chercheuse dévouée, sept jours sur sept, et parfois à deux heures du matin. Une tâche «épuisante» selon le Docteur Helen Smith.
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Changement de nom pour Bufo marinus. Bufo marinus Rhinella marina Articles: Frost, Darrel (2006). "The Amphibian Tree of Life". Bulletin of the American Museum of Natural History 297: 1–371. http://digitallibrary.amnh.org/dspace/bitstream/2246/5781/1/B297.pdf Chaparro, Juan Carlos, Jennifer B. Pramuk and Andrew G. Gluesenkamp. 2007. A new species of arboreal Rhinella (Anura: Bufonidae) from a cloud forest of southeastern Peru. Herpetologica. 63 (2): 203-212. http://www.amphibiatree.org/sites/amphibiatree.org/files/ChaparroETAL2007Rhinella.pdf
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Le xénope, un amphibien, va-t-il inspecter nos médicaments ? La sécurité des médicaments pourrait être contrôlée à l’aide d’une substance produite par le xénope, et non plus à l’aide d’un extrait de limule. Ces drôles d'arthropodes ancestraux pourraient alors enfin profiter d’une retraite prospère… Des ingénieurs de l’université de Princeton viennent de trouver le moyen de concilier industrie pharmaceutique et écologie. Quel est le lien entre les deux ? Le xénope du Cap ! En effet, une nouvelle méthode de recherche de contaminations bactériennes efficace a été mise au point grâce à une particularité de l’amphibien. Cette nouvelle méthode permettra peut-être de protéger la limule, animal ancestral menacé, jusqu'ici capturé pour ces recherches. Comme beaucoup d’amphibiens et notamment les grenouilles très colorées, le xénope du Cap (Xenopus laevis) porte sur sa peau un mucus qui peut être toxique par simple contact. Par chance pour l’homme, les peptides retrouvés dans le mucus de ce xénope ne s’attaquent qu’aux bactéries et confèrent à l’animal une protection contre les infections. Le travail des ingénieurs américains permet de transformer ce piège à bactérie en atout pour l’industrie pharmaceutique. Un biosenseur antibactérien Les ingénieurs de l’université de Princeton ont en effet trouvé un moyen de produire au laboratoire un de ces peptides, la magainine I, et surtout de l’attacher sur une puce électronique. La magainine I, pourvue d’un spectre large et donc adaptée à la détection d’un grand nombre de bactéries, est alors capable de déclencher un signal électrique lorsqu’elle est exposée à une bactérie dangereuse comme la salmonelle ou une souche pathogène d’Escherichia coli. Ce procédé, publié dans la revue Proceedings of the National Academy of Science et considéré comme simple par les ingénieurs, pourrait néanmoins être utilisé par l’industrie pharmaceutique pour détecter dans des lots de médicaments la présence de bactéries ou de résidus bactériens, dangereux pour les malades. Les tests ont notamment pu déceler la présence d’une seule bactérie dans un volume d’un microlitre, un seuil adapté à un usage pharmaceutique. Il pourrait donc dans le futur remplacer le système de vérification actuel, qui n’est pas écologiquement sain. Parce qu'elle n'a pas changé de forme depuis 450 millions d'années, on qualifie parfois la limule de fossile vivant, une expression sans fondement que l'on devrait oublier. L'animal est capturé pour prélever son hémolymphe (l'équivalent du sang), de couleur bleue, à des fins pharmaceutiques. Un tel procédé sera peut-être abandonné si les peptides de xénopes sont suffisamment efficaces pour succéder au test LAL. Car à l’heure actuelle, et depuis plus de 40 ans, les médicaments sont stérilisés puis testés à l’aide d’un extrait de limule. Cet animal, vieux de 450 millions d’années, possède un système immunitaire dirigé contre une quantité impressionnante de pathogènes, et se défend contre les bactéries en sécrétant du coagulogène grâce à des cellules sanguines spécialisées, les amœbocytes. Le test de vérification des médicaments, ou « test LAL » utilise ce mécanisme particulier : si un échantillon provoque une gélification du liquide en présence de lysat d’amœbocyte de limule (LAL), cela signifie qu’il est contaminé par des toxines bactériennes. Sauver les limules et leur écosystème Les limules sauvages sont donc régulièrement capturées et vidées d’une partie de leur sang (ou hémolymphe et qui est pour l'anecdote, de couleur bleue) puis relâchées dans la nature. Ce traitement, létal pour certains animaux (la mortalité est estimée à 3 % voire 30 % selon les sources), a pour conséquence une diminution des populations de limules. Comme tout écosystème, le manque de proie fait également diminuer les populations de prédateurs, en l’occurrence des oiseaux et plus particulièrement les bécasseaux maubèches. Dans la baie du Delaware, ces oiseaux sont dénombrés à 24.000 (en 2009), un chiffre en nette diminution par rapport à celui des années quatre-vingt-dix (100.000 à 150.000), même si la tendance est en train de s'inverser. Un tel désastre ne touchera probablement pas le xénope du Cap ni son écosystème, et cela même si le nouveau procédé utilisant ses peptides est démocratisé, car tous les composants du biosenseur peuvent être synthétisés in vitro. Source: http://www.futura-sciences.com/fr/news/t/medecine/d/le-xenope-un-amphibien-va-t-il-inspecter-nos-medicaments_25684/
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Oreocryptophis porphyracea laticincta
askook a répondu à un(e) sujet de askook dans Vos P'tits Virus
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Philothamnus dorsalis (Bocage, 1866) Synonymes Leptophis dorsalis Bocage, 1866 Philothamnus dorsalis Boulenger, 1894 Philothamnus semivariegatus dorsalis Loveridge, 1957 Philothamnus dorsalis Schmidt, 1923 Répartition géographique Afrique Angola, Congo, Gabon, République Démocratique du Congo. Portrait Photo pour illustration. Source:http://calphotos.berkeley.edu/
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Philothamnus carinatus (Andersson, 1901) Synonymes Chlorophis carinatus Andersson, 1901 Philothamnus nigrofasciatus Buchholz & Peters, 1875 Philothamnus heterodermus carinatus Loveridge, 1957 Philothamnus carinatus Hughes, 1985 Répartition géographique Afrique Cameroun, Congo, Gabon, Guinée- Bissau, Kenya, Nigéria, Ouganda, République Centrafrique, République Démocratique du Congo, Tanzanie. Commentaire Sa présence au Bénin, Burundi, Côte d’'Ivoire, Ghana, Guinée, Guinée Equatoriale, Libéria, Rwanda, Sierra Leone, Togo reste à confirmer. Portrait Photo pour illustration. Source:http://eligreenbaum.iss.utep.edu/
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