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Tout ce qui a été posté par Valko03
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Ben désolé pour les fausses infos mais j'ai pris ces renseignements du livre "Le terrarium" de Philippe Gérard donc pour les infos ben encore désolé Par contre on est tous d'accord que pour débuter c'est pas le top et qu'en plus il faut être capacitaire pour les détenir et qu'ils sont trés compliqué à maintenir en captivité, car trés fragile.
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C'est un serpent élancé avec une couleur vert vif uniforme. C'est un des rares serpents qui se nourrit d'arthropodes (insectes & araignées). Comme terrarium il lui faut un terra de 60X40 de type désertique avec des abris au sol, un bassin d'eau, des éclats de bois et de nombreuses branches garnies. Pulvérisations d'eau tiède quotidiennes sur le feuillage est indispensable ! Pour la maintenance c'est pas évident, il faut plutôt raisonner comme si l'on avais affaire à un lézard insectivore, à la fois pour les proies, le gavage préalable et la supplémentation. T° jour : 30°c (chaud) et 25°C (froid) T° nuit : 22°c Attention : Pour le maintenir il faut maintenant un cdc.
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Bien enfouie dans le désert, ne laissant dépasser que ses yeux, la vipère à cornes (Cerastes cerastes) frappe à la vitesse de l’éclair les proies qui passent à sa portée. Aucun petit mammifère ne résiste à sa redoutable morsure. Serpent déserticole, la vipère à cornes est commune au Proche Orient. Portrait de la vipère à cornes Cette vipère doit son nom aux deux écailles dressées sur sa tête qui forment des petites cornes. Cependant, toutes les vipères à cornes n’en possèdent pas. La vipère à cornes a une tête triangulaire très caractéristique qui se détache de son cou assez mince. Quand elle se déplace, elle provoque un petit crissement dû à ses plaques dorsales aérodynamiques. C’est cette particularité qui lui permet de se mouvoir à reculons. Tel le caméléon, sa « robe » imite parfaitement les nuances du sable. Ce mimétisme va jusqu'à la couleur de ses iris. Il existe différents modes de reptation parmi les serpents. La vipère à cornes utilise le déroulement latéral ou "side-winding". En fait, le serpent procède par une succession de "pas" sur le côté. Si l'on observe les traces d'une vipère à cornes sur le sable, on peut constater que le tracé est discontinu. La vipère à cornes hiverne 2 à 3 mois.Elle fréquente le désert mais également les régions rocheuses du Proche-Orient et du Moyen-Orient. Cette vipère se déplace au hasard sur de grandes étendues. Ce type de déplacement est fréquent chez les espèces déserticoles. Les déplacements semblent liées aux conditions externes. A l'approche de l'hiver, les déplacements se réduisent puis le serpent finit par passer plusieurs mois enfouis pour hiverner. L'appareil venimeux Les serpents sont répartis en quatre groupes selon leur denture. La vipère à corne possède une denture solénoglyphe. C'est le système d'injection du venin le plus élaboré. Le crochet est une dent très longue, dont le canal d'injection est clos sur toute sa longueur.De plus, l'os maxillaire, auquel il se rattache, ainsi que sa dent de remplacement, est court et articulé à l'avant de la mâchoire. Ces dispositions permettent une injection en profondeur mais également le repliement des crochets lorsqu'ils sont au repos. Particularités Cette vipère meurt si la température dépasse 44°C, ce qui est le cas au Sahara. Pour survivre pendant les périodes chaudes, elle s’enfouit dans le sable ce qui lui permet de maintenir sa température interne à 34°C. Elle le laisse alors dépasser que ses yeux. L’été, elle opte pour une vie nocturne ; par contre, dès que l’hiver arrive, elle devient diurne. Les nomades ont peur de ce reptile. Un dromadaire succombe en quelques minutes sous sa morsure. Chez l’homme, sa morsure n’est pas forcément mortelle mais provoque en local un gonflement impressionnant voire même un œdème hémorragique. Sédentaire l’hiver, elle peut parcourir des kilomètres chaque nuit pendant la période chaude. L’eau est une denrée rare au Sahara. Le reptile se contente souvent de l’eau contenue dans le corps de ses proies. Fiche technique Super-ordre : Squamates Ordre des Ophidiens Sous-ordre : Aléthinophidiens Super-famille : Colubroïdes Famille des vipéridés Sous-famille: Vipérinés Nom scientifique: Cerastes cerastes Distribution géographique : Afrique du Nord. Sahel. Irak. Arabie Taille: 80 cm de long Longévité : 10 ans Alimentation : Carnivore (rongeurs, lézards) Reproduction : Ovovivipare * Sources & illustrations dinosoria.com Photos pour illustration. Source: Google
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Très commune en France et dans plusieurs pays d’Europe, la vipère aspic (Vipera aspis) possède un appareil venimeux perfectionné. Malgré nos craintes, cette vipère n’attaque que si elle est acculée. Il existe cinq sous-espèces de Vipère aspic qui possèdent des robes différentes. Portrait de la vipère aspic La vipère aspic (Vipera aspis) est facile à identifier : * Son corps est lourd et sa queue courte, contrairement aux couleuvres * Sa tête, plate, est triangulaire, à rostre très légèrement relevé * Ses pupilles sont fendues verticalement La couleur de la vipère aspic varie en fonction des régions et des habitats. Cependant, on peut observer une bande ondulée ou en zigzag qui suit son dos. La longueur varie de 60 à 70 cm, exceptionnellement 90 cm. Vipera aspis aspis En plaine, les vipères aspic hivernent généralement seules. En montagne, les vipères peuvent migrer d’une centaine de mètres pour hiverner en groupe. L’hibernation peut durer jusqu’à 6 mois dans les régions les plus froides. Chaque vipère aspic possède son domaine vital dans lequel le serpent se déplace. Ce territoire varie de 990 à 5 280 m² pour les mâles et de 300 à 4 320 m² pour les femelles. Cette vipère, active le jour au printemps et en automne, devient crépusculaire voire nocturne en été. L’activité dépend des conditions climatiques. Les mâles ont une période d’activité plus longue que les femelles, entrent en hivernage plus tard et en sortent plus tôt. L’habitat de la vipère aspic Cette vipère vit sur les talus, dans les fossés ou les sentiers mais toujours près de buissons où elle peut se réfugier. Vipera aspis aspis est la plus répandue. On la trouve principalement en Espagne, dans le centre et le midi de la France, en Suisse et en Italie. Le développement de l’agriculture a entraîné d’importantes modifications des milieux. Les bocages et clairières sont favorables à la vipère aspic. Reproduction de la vipère aspic La femelle est ovovivipare. L’accouplement s’effectue en général au printemps, peu après l’hibernation. Les petits naissent fin août ou en septembre. Le nombre varie de 5 à 15. A une température constante de 31°C, le développement embryonnaire dure 59 jours. La durée de la gestation varie en fonction de la température moyenne : 92 jours à 26°C, 74 jours à 28°C. Les vipères de nos régions tempérées sont sexuellement mûres entre 3 et 5 ans. Quand deux mâles se rencontrent au moment de la reproduction, ils se livrent à un combat rituel. Ils luttent corps à corps, cous entrelacés, chacun s’efforçant d’attirer à lui la tête de l’adversaire. Ils ne se mordent jamais. On a observé des regroupements liés à la reproduction. Ces groupes sont généralement formés d’une femelle reproductrice et de plusieurs mâles. Ils sont appelés « boules » ou « nœuds de vipères ». Le taux de mortalité au cours de la première année est inférieur à 50%. Une vipère aspic peut vivre plus de 20 ans. L’alimentation de la vipère aspic Cette vipère chasse les rongeurs, les lézards et les petits oiseaux. Elle chasse à l’affût et se sert de ses redoutables crochets. Elle attend qu’une proie passe à se portée puis frappe en un éclair, en injectant à la victime une dose de venin mortelle. A partir de là, il ne lui reste plus qu’à suivre la proie en attendant que le venin fasse son effet. Pour pister un rongeur, elle se sert de sa langue, qu’elle sort et rentre pour recueillir les molécules qu’elle transporte jusqu’à l’organe récepteur : l’organe voméronasal ou organe de Jacobson. L’observation d’une vipère aspic en conditions expérimentales montre que grâce à ses « coups de langue », elle peut reconnaître une proie, la pister, l’attaquer puis la retrouver si elle s’échappe après la morsure. Après avoir retrouvé sa proie, elle l’ingère immédiatement en commençant par la tête. Le venin contient des enzymes qui permettent de digérer les proies plus importantes. La vipère aspic et l’homme Cette vipère est venimeuse. Sa morsure nécessite un sérum antivenimeux. Cette morsure est rarement mortelle pour l’homme. Cependant, on enregistre environ trois décès par an en France. Le poison entraîne des douleurs, des vomissements, des oedèmes et voire une syncope. Craintive, elle peut devenir dangereuse si on l’accule. En cas de danger, elle se redresse, ouvre sa gueule tout en faisant basculer ses crochets vers l’avant. Il est fortement déconseillé d’insister si elle commence à dresser son cou en forme de S et émet un sifflement. L’attaque est en général rapide suite à cette tentative d’intimidation. Il faut savoir qu’en temps normal, elle est inoffensive et n’attaque que si on l’empêche de fuir ou si on essaie de l’attraper. Au repos, ses crochets restent repliés dans une gaine molle le long de son palais. l faut souligner que la vipère aspic est utile car elle contribue à réguler la population des rongeurs nuisibles aux cultures. Classification Super-ordre : Squamates Ordre : Ophidiens Sous-ordre : Aléthinophidiens Super-famille : Colubroïdes Famille : Vipéridés Sous-famille : Vipérinés Genre : Vipera Espèce : Vipera aspis * Sources & illustrations dinosoria.com
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Venin dopeur de sexe
Valko03 a répondu à un(e) sujet de askook dans Mygales - Arachnides - Scorpions
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pour ce que ça intérèsse un mante religieuse
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