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Filoue11

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Tout ce qui a été posté par Filoue11

  1. Mon dieu quelle horreur, n'ont-ils pas de cœur ces gens là !
  2. Filoue11

    Pituophis lineaticolis

    Ah ouais pas mal, ils ont de superbes couleurs !
  3. Filoue11

    Petite nouvelle

    Jolie pogonette, félicitations !
  4. Le lézard "iguane" qui envahit la Réunion Le reptile passe à mi-pente (ici à Plateau Caillou) pour mieux conquérir le Sud Vous habitez l'Ouest et sa dégaine de reptiles sortis du fin fond des âges n'a pas manqué de vous effrayer. L'agame des colons est bien parti pour envahir la Réunion. La lutte contre sa progression semble perdue d'avance. Sa rencontre avec les espèces endémiques de l'île inquiète les passionnés. "Dire qu'ils sont quelques milliers ne serait pas exagéré". C'est en estimant le nombre de lézards de type "agame des colons" que l'on se rend compte de la grande vulnérabilité de l'île face aux espèces invasives. Ce n'est pas une surprise, c'est du côté de l'Ouest que sa population a été détectée pour la première fois, informe Mickaël Sanchez, chargé de mission au sein de l'association Nature Océan Indien. "Cet agame aurait été introduit involontairement à la Capitainerie du Port Est vers 1995, sans doute arrivé avec des bateaux en provenance d’Afrique", précise-t-il. L'agame est en effet naturellement présent depuis le Sud-Ouest du Sahara au Nord, jusqu'à l'Angola au Sud, et l'Ouganda à l'Est. A la Réunion, les premiers témoignages sont en effet remontés de dockers ayant exercé dans les années 1994, 1995. Depuis, l'espèce n'a eu de cesse de s'étendre. On le retrouve en limite Sud jusqu'à Saint Paul. En hauteur, on en a signalé récemment à Plateau Caillou. En limite Nord, c'est à la Grande Chaloupe que l'on peut retrouver ses représentants. Quelques poches existeraient également dans le Nord vers la Rivière des Pluies. Là encore, ce sont encore les transports de marchandises du Port vers ces destinations qui sont mis en cause. Le reptile ne passe pas inaperçu. Pas étonnant d'ailleurs que les premiers réunionnais en contact avec cette espèce lui aient donné un ti' nom révélateur : "l'iguane". Evidemment, on en n'est pas à de telles familles de reptiles que l'on rangerait facilement dans la catégorie des nouveaux animaux de compagnie mais toujours est-il que sa forme impressionne. L'agame de taille moyenne atteint une longueur de 40 cm. Pour comparaison, le lézard gris habituel des cours réunionnaises (dit "caméléon" par erreur) n'en fait que 30. "Il détale au dernier moment" Son allure en impose : "il est d’aspect massif impressionnant", reconnaît Mickaël Sanchez. Pas de doute possible : l'agame des colons est reconnaissable d'entre tous. Le mâle possède une coloration brune, parfois bleutée, avec deux marques rouges, l’une enveloppant la tête et l’autre au milieu de la queue. La femelle est brune teintée de gris avec les flancs marqués d’une bande orangée. Notre lézard gris (ou "agame arlequin") n'est pas directement menacé. "Ils se tolèrent", explique le spécialiste. Mais il n'en sera pas de même pour les deux espèces de geckos endémiques. "Il ne vit pas encore sur les zones du gecko de Manapany et des forêts. Une fois dans ces espaces, il pourra prédater les geckos et venir en concurrence avec son habitat", s'inquiète Mickaël Sanchez. L'agame des colons ne fait effectivement pas dans la dentelle : il peut s’alimenter d’animaux comme les oiseaux, les invertébrés et même de cousins lézards. Son estimation incertaine est la preuve d'une lutte presque perdue. "Il n'est plus irradicable même si pour freiner sa progression, on peut quand même lutter sur certaines zones", précise le spécialiste. Dernier détail : ce lézard n'est pas très impressionné par la présence de l'homme. "Il détale au dernier moment", assure Mickaël Sanchez. La cohabitation s'annonce difficile pour les herpétophobes. --------- La NOI récolte vos signalements (en dehors des villes citées plus haut) à cette adresse : natureoceanindien@gmail.com Tout savoir sur les : espèces invasives de la Réunion En haut d'un cocotier, ici à Cambaie A la vue de l'homme, le lézard n'est pas pressé Une photo d'un agame des colons femelle prise au Chaudron Source : zinfos974.com
  5. Le Gagnant du Concours Photos: "Langue de Virus" Est... Filoue !!! Un grand merci à tous les participants...
  6. Clôture des votes ce soir Minuit ! Alors, dépêchez vous de voter !
  7. Il est super ce Racho ! Je trouve la dernière photo très jolie.
  8. Sympa d'avoir des petites expos comme ça, surtout qu'il me semble qu'il n'y en a pas beaucoup par chez toi.
  9. Pour moi aussi la photo de nina est une vraie beauté.
  10. Filoue11

    Mon Gecko Leopard

    Superbe Geckotte avec un très joli jaune !
  11. Très jolies photos, ses yeux sont magnifiques !
  12. Filoue11

    Python Regius...

    Et oui un classique ! Et non, je ne mets pas aux serpents... Je reviens à mes premières amours.
  13. Filoue11

    Python Regius...

    Merci Valko ! Oh oui qu'elle apprécie, si tu voyais la vitesse à laquelle elle sort de sa cachette quand j’introduis la souris dans le terra...
  14. Filoue11

    Python Regius...

    Merci, oui tout se passe très bien pour l'instant.
  15. Filoue11

    Python Regius...

    Oui et à la mode morelia s'il vous plait !
  16. Neuf nouvelles espèces de tarentules découvertes au Brésil Des tarentules arboricoles mal connues ont eu le droit à un nouveau coup de loupe de la part des chercheurs et neuf nouvelles espèces ont ainsi été découvertes. Si elles sont toutes brésiliennes, certaines vivent sur de hauts plateaux en dehors de l'Amazonie. L’Amazonie semble être l’endroit idéal pour trouver de nouvelles araignées et la plus grande forêt du monde n’a pas failli à sa réputation. Rogério Bertani de l’institut Butantan de São Paulo est parti étudier les tarentules de son pays avec la nette impression que beaucoup d’espèces manquaient toujours à l’appel. Résultat, il est revenu avec pas moins de neuf nouvelles espèces et une foule d’informations sur celles déjà connues. Le who’s who des nouveaux arachnides a été publié dans la revue Zookeys et comprend typhochlaena costae, typhochlaena amma, iridopelma katiae, typhochlaena curumim, typhochlaena paschoali, pachistopelma bromelicola, iridopelma marcoi, iridopelma oliveirai et iridopelma vanini. Elles appartiennent toutes à la famille des tarentules arboricoles que l’on retrouve également en Afrique et en Asie. Elles sont en général plus légères et élancées que leurs cousines terrestres et sont des grimpeuses hors pair. Une véritable résurrection "Au lieu des sept espèces connues jusque-là dans la région, nous en avons maintenant seize, s’enthousiasme Rogério Bertani. Un genre, dont on ne connaissait qu’une seule espèce mystérieuse découverte en 1841, a vécu une véritable résurrection et comprend à présent cinq espèces. Il s’agit des plus petites tarentules arboricoles du monde et les analyses indiquent que nous avons à faire à un genre très ancien. On peut les considérer comme des reliques d’un vieux taxon jadis plus répandu." Mais Rogério Bertani a également poussé ses recherches en dehors de l’Amazonie et a découvert de nouvelles espèces sur de hauts plateaux rocheux où les arbres sont rares. Les tarentules vivent alors surtout sur des broméliacées qui leur fournissent de l’eau et un abri des rayons du soleil. Ces plantes à fleurs forment souvent des sortes de buissons, les ananas en font par exemple partie. Mais même si ces lieux sont difficiles d’accès, le chercheur s’inquiète que les couleurs vives de certaines tarentules n’incitent des braconniers à les attraper pour les vendre comme animaux de compagnie. Typhochlaena costae Crédit: Rogerio Bertani. Typhochlaena amma. Crédit: Rogerio Bertani. Iridopelma katiae. Crédit: Rogerio Bertani. Typhochlaena curumim. Crédit: Rogerio Bertani. Typhochlaena paschoali. Crédit: Rogerio Bertani. Pachistopelma bromelicola. Crédit: Rogerio Bertani. Iridopelma marcoi. Crédit: Rogerio Bertani. Iridopelma oliveirai.Crédit: Rogerio Bertani. Iridopelma vanini.Crédit: Rogerio Bertani. Source : maxisciences.com
  17. Afrique du Sud : un python dans le courrier Panique au bureau de poste sud-africain de Sabie, à environ 300 km au nord-est de Johannesburg. Un python blanc s'est échappé d'un sac postal que les employés étaient en train de vider. Le reptile, d'un mètre de long, a pu être par la suite capturé par un responsable des Eaux et Forêts. Le destinataire du colis a été inculpé de transport illégal d'animaux par voie postale. Source : europe1.fr
  18. Filoue11

    Casarea dussumieri

    Maurice : Réintroduction de 60 boas d'une espèce en voie de disparition PORT-LOUIS (Xinhua) - Soixante boas d'une espèce en voie de disparition ont été réintroduits à la fin du mois d’octobre sur l'île du Coin de Mire à la pointe nord de Maurice, a annoncé le Service national des parcs et de la conservation (NPCS) de Maurice. Les boas de l'espèce Casarea dussumieri sont originaires de l’île Ronde, une autre île mauricienne située un peu plus au nord. Le boa de l'île Ronde, à l'instar de nombreux reptiles à Maurice, est menacé d'extinction. Il est le seul membre survivant de la Bolyeridae, une famille de serpents uniques à Maurice. La réintroduction de ce reptile dans un de leurs anciens habitats naturels au Coin de Mire se fait après plus de 150 ans, indique le NPCS, un organisme opérant sous l'égide du ministère de l'Agro-Industrie. C'est la première fois dans la région des Mascareignes, que des serpents sont relogés pour assurer leur survie, ajoute cet organisme de conservation. Les boas sauvages ont été capturés à la main par une équipe de spécialistes du NPCS, de la Mauritian Wildlife Foundation (MWF) et du Durell Wildlife Conservation Trust (DWCT) du Royaume-Uni. Une sélection a été opérée d'abord parmi les individus capturés pour exclure les risques potentiels liés à la maladie lors d'une délocalisation. Les reptiles ont été mis sous observation dans des unités de détention spécialement conçues sur l'île Ronde pour une durée de quatre jours maximum. Une équipe travaillant sur l'île Coin de Mire est ensuite venus les récupérer avant de les y relâcher la nuit. Les serpents sont surveillés en utilisant un équipement de vision de nuit. Ce projet fait partie du Mauritius Reptile Conservation Project lancé en 2006 pour restaurer la communauté des reptiles dans les îlots autour de Maurice Source : afriquinfos.com
  19. Oh il a bien grandi, ça fait toujours super plaisir d'avoir des nouvelles de ses petits.
  20. Un autre reptile retrouvé à Samer En deux mois, les sapeurs-pompiers ont trouvé deux serpents, en liberté, à Samer Dimanche, les sapeurs-pompiers de Desvres et le service animalier Opale Capture Environnement sont intervenus à Samer, pour capturer un serpent Python d'1,40 m de long. .. Le deuxième en l'espace d'un mois et demi. Les sapeurs-pompiers de Desvres sont intervenus vers 14 heures, dimanche, dans une salle de restauration de la rue Ferdinand Farjon. Ils ont saisi un serpent Python, d'environ 1,40 mètre de long. Ramené à la caserne, le reptile a été pris en charge par le service animalier Opale Capture Environnement. « On commence à s'habituer, a commenté le lieutenant Jean-Bernard Leleu, chef de centre. Au moins, les secouristes savent comment s'y prendre ». La même équipe était en effet intervenue il y a environ deux mois, route de Carly, également à Samer. Jérémie Marion, délégataire de services, est désolé. « Encore une fois, ce sont des personnes qui ont abandonné leur animal, soupire le fonctionnaire. Je suis persuadé que personne ne se manifestera par la suite pour récupérer cet animal. Il était sans doute devenu trop envahissant ». Pour Laurent Lejeune, spécialiste animalier rattaché jusqu'à récemment à la DDPP (direction départementale de la protection des populations), cette série de découvertes serait la conséquence de probables évasions. « Il ne faut pas oublier que ces reptiles, même s'ils sont inoffensifs, sont des chasseurs, pose le spécialiste. Ils cherchent donc à traquer des proies. Et pour peu que leur terrarium soient mal fermés, ils n'hésitent pas à s'en échapper ». La mode des "NAC " Le spécialiste insiste également sur le nombre de NAC (nouveaux animaux de compagnie) adoptés. « Énormément de foyers ont un serpent en guise d'animal de compagnie. Ce n'est donc pas vraiment étonnant d'en retrouver certains en dehors de chez eux, explique Laurent Lejeune. Il ne faut pas que les gens s'inquiètent : ces animaux sont inoffensifs. Et les secouristes sont formés à leur manipulation ». S.F. Source : lasemainedansleboulonnais.fr
  21. Je ne connais pas la fin, ça se passe apparemment dans une animalerie, mais je pense qu'il a bien morflé. Je ne suis pas certaine qu'on puisse intervenir dans ce cas la sans en aggraver les conséquences; Sauf peut-être en essayant de le "déranger" pour qu'il n'aille pas plus loin dans sa funeste déglutition.
  22. Voici le cas d'une femelle, Heterodon Nasicus qui se mange littéralement la queue
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