-
Compteur de contenus
8 548 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Filoue11
-
-
Des tortues qui urinent par la bouche Un spécimen de tortue qui urine par la bouche et qui se demande pourquoi la nature est aussi cruelle (Crédit: Gavin White) Des chercheurs de Singapour ont découvert que le trionyx de Chine, une tortue à carapace molle, évacue son urée principalement par la bouche. Le reptile rince sa bouche afin de diluer et recracher l'urée. Cela lui permet de ne pas avoir à avaler trop d'eau salée alors qu'elle vie et nage dans des eaux saumâtres. Après avoir lu cette histoire, vous ne vous plaindrez plus jamais quand la nourriture a un mauvais arrière-goût. Le trionyx de Chine, une tortue à carapace molle, urine en effet... par la bouche. C'est ce que vient de montrer une équipe de l’université nationale de Singapour dont les résultats ont été publiés le 11 octobre dans le journal of experimental biology. En vérité, les parois de la bouche de certaines tortues d’eau intriguent les chercheurs depuis longtemps, certains ont même suggéré qu’elles pourraient agir comme des branchies. Phénomène étrange, certaines tortues d’eau plongent leur tête de manière prolongée dans des petites flaques quand elles sont sur la terre ferme. Sont-elles obligées de faire cela pour respirer ? La véritable raison a bien surpris les chercheurs ! Dissoudre et évacuer l’azote Au cours des recherches, des tortues ont été gardées dans un aquarium pendant six jours, puis déplacées dans un terrarium où il n’y avait plus que des petites flaques. Ils ont alors mesuré les quantités d'urée présentes dans l'eau et das l'organisme des tortues. Par comparaison entre l’urée présente dans l’eau de l’aquarium et celle évacuée par le cloaque des animaux, les chercheurs ont ainsi conclu que les tortues n’évacuaient que 6% de leur urée par les reins. Dans la seconde étape avec les enclos plus secs, les tortues se sont comme prévu précipitées pour plonger leur tête dans les flaques. Elles pouvaient rester ainsi pendant plus d’une heure et demie. Or, quand ils ont analysé l’eau de ces points d’eau miniatures après le passage des tortues, les chercheurs ont constaté qu’ils contenaient soudainement de l’urée. Seule solution, ce produit azoté ne peut que provenir de la bouche des reptiles et ceux-ci ont besoin d’eau pour le dissoudre et l’évacuer. Au final, l'équipe a ainsi trouvé que les tortues évacuent cinquante fois plus d’urée par leur bouche que par leur cloaque. Le problème de l’eau saumâtre Mais pourquoi ces pauvres tortues en sont elles arrivées à un procédé aussi inhabituel ? Plus qu’une mauvaise blague de l’évolution, la raison semble en rapport avec l’eau saumâtre dans laquelle elles vivent. Les animaux qui se débarrassent de leur surplus d’azote en excrétant de l’urée doivent en effet boire beaucoup d’eau. Or, ces tortues se retrouvent dans des environnements salés et ne sont pas capables d’évacuer tout le sel qu’elles auraient à ingurgiter si elles buvaient plus qu’elles ne le font déjà. Grâce à l'élimination de l'urée par la bouche, les tortues peuvent simplement se rincer sans avoir à avaler l’eau dans laquelle elles nagent. Pas sûr pour autant qu’elles ne préféreraient pas boire la tasse. Source : maxisciences.com
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Faits divers concernant les ophidiens
Filoue11 a répondu à un(e) sujet de Reptile-city62 dans Serpents
Il vendait des pythons sur le net Saisie Plusieurs reptiles de belle taille ont été trouvés chez un Meusien dont un python molure albinos Verdun. C’est une petite annonce postée sur un site internet spécialisé qui a mis la puce à l’oreille de l’ONCFS, l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage de Verdun. En effet, un particulier du canton d’Étain dans la Meuse y vendait des pythons dont des pythons royaux et un python molure albinos. Pour cette dernière espèce et pour les pythons molures en général, il est visiblement interdit de les posséder chez soi et bien évidemment d’en faire un quelconque commerce. 2,5 m à 3 m de long ! En outre, pour détenir ce genre d’animaux et le cas échéant, en faire commerce (dans les cas où la réglementation l’autorise) il faut également être titulaire d’un certificat de capacité et de documents prouvant l’origine des serpents. Les animaux meusiens provenaient apparemment d’Allemagne et étaient revendus dans le Nord-Est de la France ainsi qu’en Belgique. Les hommes de l’ONCFS de Verdun, épaulés par leurs collègues de Bar-le-Duc, se sont donc rendus chez ce particulier jeudi dernier. En tout six serpents dont certains atteignaient quand même la taille respectable de 2,5 m à 3 m ont été saisis. Mais pour l’heure ils ont été laissés entre les mains de cet homme en attendant la décision de la DREAL, la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement, qui doit fixer la destination des animaux. Ils partiront sans doute chez un « capacitaire » ou un zoo pouvant les recevoir. En outre, une procédure est en cours et sera transmise au parquet de Verdun dans le courant du mois. Une affaire concernant donc des NAC, les Nouveaux animaux de compagnie, qui rappelle cette saisie le 4 octobre dernier d’une cinquantaine de furets dans le canton de Dun-sur-Meuse, lors d’une procédure d’expulsion locative. Les petits mustélidés avaient alors été confiés à la SPA de Verdun. Frédéric PLANCARD Source : estrepublicain.fr -
Une araignée et sa proie figées dans l'ambre depuis 100 Ma L'araignée a été piégée dans l'ambre alors qu'elle s'attaquait à une guèpe (Crédits : Oregon State University) Publiant leur étude dans Historical Biology, des chercheurs américains décrivent une découverte unique : fossilisées dans de l’ambre depuis 100 millions d'années, une toile d’araignée, la guêpe qui s’y est prise et l’arachnide qui s’apprête à fondre sur l’infortuné insecte. Scène horrible mais a priori banale dans la vallée de Hukawng, au Myanmar (ou Birmanie) : prise dans une toile d’araignée, une petite guêpe voit approcher le prédateur à huit pattes qui s’apprête à la dévorer. Sauf qu’ici, la guêpe tout autant que l’araignée appartiennent à des genres éteints. En effet, la scène ne se passe pas de nos jours mais remonte au Crétacé inférieur, soit il y a 97 à 110 millions d'années. Mais ce n'est pas tout puisque pour couronner le tout, la résine dégoulinant d’un arbre a soudainement englué l’ensemble. Devenant de l’ambre au fil des millénaires, la résine a ainsi figé cette scène en un instantané réellement unique en son genre offert aux paléontologues d’aujourd’hui. "Cette araignée juvénile allait faire son repas d’une minuscule guêpe parasite, mais elle n’y est jamais parvenue. (…) C'est le pire cauchemar, pour une guêpe, et il ne s'est jamais terminé...", explique George Poinar Jr., professeur émérite de zoologie à l'Oregon State University et expert mondial des insectes piégés dans l'ambre. Avec son collègue Ron Buckley, chercheur d'ambre du Kentucky, le spécialiste précise que s'il existe déjà des exemples d'insectes piégés dans des toiles et figés dans l'ambre, il y a "aucun fossile qui montre une araignée attaquant une proie piégée". Comme l'ont expliqué les spécialistes dans la revue Historical Biology, la guêpe est un mâle et appartient à un groupe zoologique (Cascoscelio incassus) connu pour parasiter les œufs des autres insectes et des araignées. Au d'un tel comportement, George Poinar et Ron Buckley n'excluent pas que l'attaque de l'araignée (Geratonephila burmanica) soit une sorte de revanche envers la guêpe parasiteuse. En outre, l'araignée adulte n'est pas la seule arachnide de la scène. Un mâle juvénile est lui aussi présent sur la toile. Outre une scène unique, ce morceau d'ambre pourrait ainsi être également, selon les auteurs, la plus ancienne preuve de comportement social chez les araignées. Un trait déjà connu chez certaines espèces actuelles. Source : maxisciences.com
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
-
Python royal blessé (s'est l'autre cette fois-ci...)
Filoue11 a répondu à un(e) sujet de LoveSnake45800 dans Questions et Problèmes
-