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Filoue11

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Tout ce qui a été posté par Filoue11

  1. Le Gagnant du Concours Photos: "Virus en Noir et Blanc" Est... snowboarder150!!! Un grand merci à tous les participants...
  2. Ah oui c'est impressionnant la différence de taille.
  3. Filoue11

    MES POGONAS

    Superbes ! J'adore le regard du mâle sur la première photo.
  4. Australie : un python voyage sur l'aile d'un avion Un python de trois mètres de long a embarqué sur l'aile d'un avion. Il n'a pas survécu au vol. | Capture d'écran / Fairfax Media Un serpent en manque de sensations fortes. Les passagers d'un vol de la compagnie australienne Qantas ont découvert un étrange voyageur sur l'aile de leur appareil : un python. Le reptile de quatre mètres a été repéré par les passagers installés à l'arrière de l'avion, qui avait quitté l'aéroport de Cairns depuis vingt minutes (nord-est de l'Australie). L'appareil se trouvait à 9km d'altitude (30 000 pieds). L'animal était un spécimen impressionnant, le plus long serpent d'Australie, d'après Rick Shine, un expert de ces animaux à l'université de Sydney. Le reptile était d'abord parvenu à s'abriter au creux de l'aile. Problème, sa queue qui dépassait de la cachette battait au vent, ce qui l'a immédiatement condamné à mort par hypothermie. «Il était toujours sur l'avion à l'arrivée à Port Moresby mais il était décédé entre-temps», a confirmé un porte-parole de Qantas. Reste à savoir comment, au départ, le python a pu «embarquer» aussi facilement sans être repéré... Le Parisien
  5. Hélas, je pense que la séparation est inévitable, pour ne pas faire pendre de risque à ta femelle.
  6. Des policiers découvrent un alligator surveillant une cache de marijuana Les agents du contrôle animalier du comté d'Alameda ont saisi M. Dents et l'ont transporté au zoo d'Oakland. Des responsables de l'établissement ont indiqué que l'alligator était très malade et qu'il était soigné à l'hôpital vétérinaire du zoo. Photo Associated Press Des policiers du nord de la Californie ont fait une étonnante découverte lors d'une vérification de routine: un alligator surnommé «M. Dents» qui semblait garder une réserve de marijuana. Lorsqu'ils se sont présentés chez Assif Mayar pour contrôler ses conditions de probation, les policiers du comté d'Alameda, en banlieue de San Francisco, ont découvert une cache de 34 livres de marijuana, dont la valeur est estimée à 100 000 $ US. Mais les stupéfiants étaient situés dans un contenant de plexiglas, en compagnie d'un alligator de 1,5 mètre. Les policiers sont habitués de faire face à des chiens de garde lorsqu'ils effectuent des fouilles, mais les alligators sont beaucoup plus rares, a expliqué le sergent J.D. Nelson. Mayar, âgé de 32 ans, est en probation depuis qu'il a plaidé coupable l'an dernier à une accusation d'avoir troublé l'ordre public. Après la découverte de l'alligator, il a été transporté à la prison du comté pour possession présumée de marijuana dans le but d'en faire la vente. Il pourrait aussi être cité à comparaître devant la commission de chasse et pêche de la Californie pour possession d'un animal exotique sans permis. Les agents du contrôle animalier du comté d'Alameda ont saisi M. Dents et l'ont transporté au zoo d'Oakland. Des responsables de l'établissement ont indiqué que l'alligator était très malade et qu'il était soigné à l'hôpital vétérinaire du zoo. lapresse.ca
  7. Quant on lutte avec des alligators pour sauver leurs oeufs A première vue, la bataille aurait pu passer pour un geste de maltraitance envers les animaux, mais il s’agissait au contraire d’une mission de protection. En Australie, cinq gardiens du zoo du parc de Somersby ont récemment du se plaquer sur un alligator pour l’immobiliser afin de sauver ses œufs d’une destruction certaine. Il faisait trop chaud pour une éclosion. Mais il y a pire : L’alligator est un animal cannibale, et d’autres reptiles convoitaient les œufs. Pour les gardiens du zoo de l’Australian Reptile Park, chaque journée est une nouvelle aventure. Et il s’agit parfois de s’adonner à la lutte avec un alligator. Que l’on ne s’y trompe pas, cela fait partie du cadre de leur travail. Les employés du parc doivent en effet parfois immobiliser un alligator afin de déplacer ses œufs en lieu sûr, à l’abri d’autres alligators se livrant au cannibalisme. Tim Faulkner, responsable des opérations du zoo, s’en est expliqué sans détour devant des journalistes du Daily Telegraph : « Dans le cas présent, si les œufs venaient à éclore à l’endroit même où ils étaient présents, les nouveaux nés auraient été mangés par d’autres alligators. Mais ce n’est pas tout. Il y a une autre raison motivant notre action : Le climat de la région. Il fait en effet trop chaud pour qu’une éclosion d’œufs se fasse dans des conditions optimales ». Et il a relaté la dernière mission de sauvetage : « Il est évident que nous n’étions pas les bienvenus dans le lagon de la maman alligator. Cette dernière était très irritée par notre présence, puis par nos gestes visant à l’immobiliser. Et elle s’est débattue de toutes ses forces pour ne pas voir partir ses œufs. D’ailleurs, le papa alligator n’était pas très loin. Et lui, il aurait pu nous écrabouiller le crâne comme une bouchée de pain ». Tout s’est finalement bien déroulé. Une couvée de 15 œufs a pu être placée en incubation en toute sécurité, et les alligators affamés ont du se rabattre sur un autre met. Généralement, Les bébés alligators brisent leur œuf au bout de 70 jours d’incubation. Et le sexe des nouveaux nés peut être déterminé par la température à laquelle ils ont été incubés (les femelles étant susceptibles d’éclore à des températures plus fraîches). carevox.fr
  8. Oui, c'est pour ça que j'ai precisé que le verrou était l'idéal. Mon terra a un verrou que je n'avais effectivement pas fermé le jour où la miss s'est fait la belle.
  9. Mobilisation pour une tortue Des pêcheurs de Gouaro aux membres de Bwärä, en passant par le vétérinaire de Bourail, une chaîne de mobilisation s’est mise en place pour tenter de sauver l’animal. Vendredi dernier, des pêcheurs de la tribu de Gouaro ont repêché une tortue verte mal en point, après qu’elle eut vraisemblablement absorbé un sac plastique. Si l’animal est finalement mort dimanche à l’Aquarium des lagons, la mobilisation a été exemplaire. Certes, elle n’a pas survécu. Mais les efforts déployés pour tenter de la sauver témoignent d’une « prise de conscience qui commence à faire des petits », se félicite Karine Mesnier, membre de l’association Bwärä tortues marines. En ayant le réflexe d’amener immédiatement la petite tortue souffrante à l’association, vendredi dernier, Ronald Georges, coutumier de la tribu de Gouaro, aurait pu la sauver de la mort. D’après les pêcheurs de la tribu, au moment où ils l’ont récupérée la tortue ne pouvait plus plonger. « Ne plus pouvoir plonger signifie pour les tortues marines ne plus pouvoir s'alimenter. D’après les premiers symptômes, il semble fort probable qu'elle ait ingéré un pochon plastique », expliquait Christophe Mesnier, un des écogardes de Bwärä. Soins. La tortue, âgée d’une quinzaine d’années, semblait ne pas avoir mangé depuis très longtemps. Les bénévoles de l’association ont mis tout en œuvre pour la sauver. Après avoir essayé de contacter différents services, c'est finalement Sylvana Bima, vétérinaire à Bourail, qui est venue lui prodiguer gratuitement les premiers soins, avec une première piqûre d’antibiotique. La professionnelle a alors conseillé de la nourrir avec « des sardines allongées d'huile de paraffine » et de nettoyer régulièrement son bac. L’animal a donc passé la nuit de vendredi hors de l’océan, à l’abri dans un jardin. Samedi toute la journée, Bernard Guillaumet et Michèle Deffois, tous deux écogardes de Bwärä, sont restés à son chevet. Il a fallu aussi récupérer des bidons d'eau de mer. « Le transport du précieux liquide a été une vraie corvée », témoignent Karine et Christophe Mesnier, qui s’y sont attelés. Relais. Les uns et les autres ont ainsi cru pouvoir la tirer d’affaire, la tortue semblant reprendre un peu d’énergie. Samedi soir, la vétérinaire est revenue lui administrer des piqûres d’antibiotique et de réhydratation. Le lendemain matin, la tortue paraissait en bien meilleure forme, même si elle n'avait toujours pas réussi à rejeter le corps étranger avalé. D’où la décision des bénévoles de Bwärä de passer le relais aux professionnels de l’Aquarium des lagons, qui disposent de conditions de remise en forme plus appropriées. Autopsie. Laëtitia et Sébastien Fritsch, des anciens de l’association, ont joué les ambulances de service en déposant l’animal dimanche à Nouméa. Mais malgré tous ces efforts et l’espoir d’un « petit miracle de début d’année », la tortue est morte le soir même. Une autopsie sera pratiquée pour connaître les causes. En ce moment, l’Aquarium de Nouméa veille sur deux autres tortues une verte et une olivâtre , mal en point, « qui flottent ». « Nous en recevons régulièrement, mais il est rare que nous en ayons autant en même temps. Hélas, neuf fois sur dix, on ne peut rien faire pour elles. La plupart du temps, c’est parce qu’elles ont avalé des matières étrangères. » Plutôt fière de cette mobilisation, Karine Mesnier « remercie, au nom de l’association, toutes les personnes qui ont apporté leur concours pour tenter de sauver cette tortue » et « salue l’action positive des pêcheurs ». ----------------------------------------------------------------------------------------------------- Des pontes prometteuses Depuis le 10 novembre, la saison des pontes bat son plein (jusqu’en avril). L’association Bwärä a déjà recensé 105 nids sur la plage de la Roche et une vingtaine à la baie des Tortues. Pour son président, Dominique Lafage, cette saison est prometteuse : « J’ai l’impression, que les tortues choisissent de plus en plus nos plages pour y déposer leurs œufs. Nos baies semblent très attrayantes, d’autant plus que, sur la plage du bonhomme, le sable est revenu à 90 % à son état initial », s’est-il félicité. Le public semble avoir pris conscience des précautions à respecter, puisque rien n’est encore venu contrarier le déroulement des pontes. « Mais il faut rester vigilant », avertit l’association, qui rappelle qu’il est important de ne jeter, dans l’eau comme sur les plages, ni poches en plastique ni mégots de cigarettes. « Les tortues prennent les poches pour des méduses et les mégots pour des crevettes. Cette ingurgitation leur est fatale. Si vous en trouvez, n’hésitez pas à les ramasser, insiste le président. Ceux qui partent sur les îlots, doivent faire attention aussi à ne pas faire de feu sur les plages où il y a des pontes. Et éviter également d’y emmener les chiens. » Les nouvelles Calédoniennes
  10. Suite à l'évasion de ma femelle Regius, la semaine dernière, j'ai cherchée et trouvée un truc pour voir d'un coup d’œil si mon terra est bien fermé, il va de soit que cela ne fonctionne que sur les terras à portes coulissantes et que la meilleur fermeture est un verrou. Il suffit tout simplement de coller une pastille rouge sur la vitre coulissante arrière et un verte sur celle de devant. Voici ce que cela donne : pastille rouge visible = terra ouvert
  11. Filoue11

    Ptyas korros

    Magnifiques, ils ont de super beaux yeux.
  12. Filoue11

    S. Malachiticus

    J'adore quant ils font ça
  13. Pour tromper ses prédateurs, cette araignée fabrique... une fausse araignée La nouvelle araignée découverte et appartenant au genre Cyclosa, fabrique une fausse version d'elle-même pour tromper ses prédateurs. (crédits photo : Phil Torres) Dans l'Amazonie péruvienne, des chercheurs ont découvert une nouvelle espèce d'araignée appartenant au genre Cyclosa. Elle ne mesure pas plus de 5 millimètres mais montre une stratégie inattendue pour éloigner les prédateurs : elle fabrique une fausse araignée. N'ayez pas peur, ceci n'est pas une vraie araignée ! C'est juste un leurre fabriqué par une araignée qui elle, est bien réelle. C'est à proximité du Tambopata Research Center en pleine Amazonie péruvienne que l'étonnante découverte a été faite. En se promenant dans la forêt, des chercheurs sont tombés sur cet arachnide de taille moyenne fixé sur une toile. Au vu de son aspect, ils ont alors pensé qu'il était peut-être mort et s'était desséché là. Mais en s'approchant, ils ont constaté que celui-ci bougeait un petit peu et était donc bien vivant. Du moins c'est ce qu'ils ont cru jusqu'à qu'ils s'approchent encore davantage. Là, ils ont vu que l'araignée était tout sauf réelle : il s'agissait en fait d'un corps fabriqué à l'aide de morceaux de feuilles, de débris et d'insectes morts. Qui avait bien pu construire ce leurre ? Les chercheurs n'ont pas tardé à le découvrir. Tout proche de la fausse araignée, ils ont trouvé l'auteur de la construction : une véritable araignée mesurant pas plus de 5 millimètres. En l'observant et en comparant son aspect avec d'autres, ils ont alors conclu qu'ils étaient en présence d'une espèce encore inconnue appartenant au genre Cyclosa. Les araignées de ce genre sont déjà connues pour utiliser des débris dans leur toile dans le but d'attirer leurs proies voire de tromper tout ce qui pourrait essayer de les attaquer. Néanmoins, le talent de ce petit arachnide n'avait encore jamais été observé. En effet, la fausse araignée fabriquée est d'une fidélité et d'une complexité inédite : avec ses pattes, elle ressemble vraiment à une plus grande version de la nouvelle espèce découverte. Prochaine étape : décrire la nouvelle espèce "Après avoir interrogé d'autres experts, je n'ai pas semblé trouver d'autres exemples d'un animal créant une plus grande version de lui-même pour échapper à la prédation, rendant cette espèce non seulement intéressante pour les taxonomistes qui vont nommer la nouvelle espèce mais aussi pour ceux qui étudient le comportement animal", explique le biologiste Phil Torres sur le blog de Perunature.com. Après trois jours de recherche, ce scientifique et ses collègues ont trouvé pas moins de 25 araignées de cette espèce dans la zone entourant le Tambopata Research Center, mais pas au-delà. La prochaine étape consiste donc à en savoir plus ces petites araignées, leur distribution, leurs caractéristiques ainsi que leur comportement. Ces facteurs seront ensuite comparés à ceux des autres spécimens du même genre pour savoir en quoi celles-ci sont différentes. Ce n'est alors qu'une fois l'araignée décrite et les conclusions publiées qu'elle pourra recevoir son nom. Publié le 19 décembre 2012 par Émeline Ferard maxisciences.com
  14. Oh je n'avais pas vu, superbes tes petits Tokays, félicitations !
  15. La Floride récompense les chasseurs de pythons Un python du zoo de Palm Beach, en Floride, en 2006 M.SEROTA / REUTERS ANIMAUX - Les autorités encouragent les Floridiens à capturer ces serpents qui pullulent dans les Everglades... Les pythons birmans ont envahi les Everglades et ni les chiens, ni les serpents espions équipés de GPS ni les chasseurs officiels de serpents n’ont réussi à en venir à bout. Pour lutter contre la prolifération des reptiles, les autorités environnementales de Floride ont lancé un concours de chasse au pythons, rapporte le Miami Herald. «The python challenge», offrira 1.500 dollars (environ 1.100 euros) à celui qui aura chassé le plus grand nombre de serpents et 1.000 dollars (environ 800 euros) au chasseur qui aura capturé le plus long python. Mais avant de se lancer dans la course aux pythons, les chasseurs en herbe devront suivre une formation en ligne qui leur permettra d’identifier et de capturer les serpents sans danger. «Nous attendons des gens qu’ils soient prudents face aux animaux sauvages», explique Carli Segelson, porte-parole de la Florida Fish and Wildlife Conservation Commission. Face à des serpents constricteurs mesurant de 1,80m à 2,70m, il faut savoir s’y prendre: une balle dans la tête ou une décapitation à la machette, ça s’apprend. Le python doit être rapporté en deux morceaux maximum Les organisateurs du concours ne cherchent pas des chasseurs assoiffés de sang et rappellent que la souffrance de l’animal devra être minimisée: «Quelle que soit la technique que vous choisissez, assurez-vous qu’elle résulte en une perte immédiate de conscience et la destruction du cerveau du serpent», conseillent-ils. Ce qui n’empêchera pas le système nerveux du python d’agiter le corps de l’animal sans tête pendant environ une heure après la décapitation. Néanmoins, les règles du concours sont strictes: le python mort doit être rapporté en deux morceaux maximum pour pouvoir prétendre au titre du plus long python tué. La Florida Fish and Wildlife Conservation Commission voit ce concours comme un moyen de sensibiliser les Floridiens aux dégâts que peuvent causer les espèces exotiques importées sur la faune locale. L’administration Obama a interdit l’importation de quatre espèces de serpents constricteurs et la Floride a désormais banni le python birman des animaleries. Audrey Chauvet 20minutes.fr
  16. Mais si qu'ils sont super mignons !
  17. Un cobra mord un passager en plein vol Kamalnv at wikipedia Les voyageurs d’affaires qui apprécient les productions américaines se sont sûrement délectés (et esclaffés) devant les aventures de Samuel L. Jackson dans «Des serpents dans l'avion». Pourtant, le scénario de cette grosse machine hollywoodienne ne semble pas si éloigné de la réalité. Encore une fois, un serpent a été retrouvé à bord d’un avion, et pas des moindres : un cobra ! Un vol Egyptair reliant Le Caire au Koweït a été obligé de se dérouter en urgence sur l’aéroport d’Hurghada après qu’un passager ait été mordu par un cobra. Cet homme de 48 ans qui était le propriétaire du serpent, l’avait caché dans son bagage cabine dont l’animal est parvenu à échapper pendant le vol. Le venin du cobra est mortel, mais heureusement pour le passager, la morsure était superficielle. Il a ainsi refusé de se faire hospitaliser à son arrivée sur le tarmac. Par contre, les autorités ont confisqué l’animal. Les reptiles semblent décidément des voyageurs assez fréquents ! Cette année, un boa a été découvert dans un TGV Paris-Marseille, un serpent a tenu compagnie à un pilote australien tandis que plus récemment un spécimen de 45 cm a mis en émoi la plate-forme de Glasgow. Finalement, regarder les péripéties de Samuel L. Jackson avant son prochain déplacement professionnel serait peut-être utile… deplacementspros.com
  18. Paris : une tortue chinoise découverte dans le lac du parc Montsouris Parc Montsouris (XIVe). Cette tortue à carapace molle mesure entre 30 et 40 cm. Elle a sans doute été abandonnée par un propriétaire indélicat. | (DR.) Drôle de trouvaille! Les jardiniers de la Ville ont découvert au fond du lac du parc Montsouris (XIVe) une tortue à carapace molle d’origine asiatique. « Elle a vraiment un look préhistorique », s’étonnait Celia Blauel, conseillère municipale écologiste du XIVe arrondissement. La bête, jaunâtre, presque albinos, a été identifiée comme un Pelodiscus sinensis. Elle viendrait de Chine. Et mesure entre 30 et 40 cm. Que faisait l’intruse en plein Paris? « Malheureusement, c’est un cas de figure classique, regrette Fabienne Giboudeaux, adjointe au maire de Paris chargée des espaces verts. Cette tortue qui vient sans doute d’une animalerie a été laissée par un propriétaire indélicat. Nous avons beaucoup d’abandon de tortues, mais rarement cette espèce-ci qui est rare et chère, et grossit vite… » Le Pelodiscus sinensis se négocie une cinquantaine d’euros. Les jardiniers de la Ville doivent souvent faire face aux abandons. Le hit-parade du bestiaire parisien a une géographie : « Nous avons l’écureuil de Corée retrouvé au square du Temple (IIIe) et dans les bois, détaille Fabienne Giboudeaux, les poissons rouges dans les mares des jardins du XXe, les piranhas dans la Seine, les chats au jardin des Halles, à Bagatelle et au Père Lachaise, les perruches au parc Montsouris et au bois de Vincennes. » Reste que la tortue à carapace molle qui barbotte toute seule dans son lac du XIVe arrondissement et ne va pas se reproduire a été jugée non dangereuse. Il a donc été décidé de la laisser couler des jours paisibles au parc Montsouris. Fabienne Giboudeaux, elle, est plus pessimiste : « C’est une espèce exotique. Ici, elle aura du mal à s’adapter. Elle ne va pas faire long feu. » Le Parisien
  19. Trois couleuvres et une mygale découverts lors d'un incendie à Jumet Un incendie s’est déclaré dans une habitation de la rue de Dampremy à Jumet (Charleroi), dimanche peu avant midi. Les pompiers de Charleroi, qui ont rapidement maîtrisé les flammes, ont découvert trois couleuvres et une mygale détenus illégalement par l’occupant des lieux. Un tas de vêtements entreposés trop près d’un chauffage électrique serait à l’origine du sinistre. A l’arrivée des hommes du feu, les occupants des lieux avaient pu s’extirper du rez-de-chaussée en feu. L’incendie, qui a pu être maîtrisé rapidement, a permis la découverte de plusieurs vivariums qui contenaient trois couleuvres élaphes et une mygale. Ces animaux, détenus sans autorisation, ont été saisis par la section NAC (Nouveaux Animaux de Compagnie) des pompiers de Charleroi et confiée à la SRPA de Mont-sur-Marchienne. lanouvellegazette.be
  20. Rennes. Il tombe nez à nez avec un serpent dans sa chambre Un serpent des blés. Source : Reptilis Godewaesvelde Surprise ce matin, vers 7 h 30, pour cet étudiant domicilié rue Saint-Melaine à Rennes. Dans sa chambre d'étudiant, il est tombé nez à nez avec un serpent d’une trentaine de centimètres. L’occupant des lieux ne le sait pas, mais il s’agit d’un serpent des blés que l’on peut se procurer dans des animaleries. Outre le fait de se nourrir de quelques souris vivantes de temps en temps, ce serpent ne représente aucun danger pour l’homme. Reste que voir un spécimen de 30 cm rampant dans son salon au petit matin n’a pas vraiment de quoi rassurer. L’étudiant s’empresse alors de contacter le centre opérationnel départemental d’incendie et de secours qui, la surprise passée, décide de mobiliser une équipe de pompiers spécialisée dans la capture des animaux et notamment des nouveaux animaux de compagnie (Nac). Reste une question : d’où venait ce serpent ? L’enquête est en cours. ouest-france.fr
  21. Un bébé tortue à deux têtes à Tetiaroa ! L’association “Te mana o te moana” a publié, hier, sur sa page Facebook, cette photo étonnante d’un bébé tortue bicéphale, c’est-à-dire à deux têtes, trouvé sur l’atoll de Tetiaroa. Dame Nature, parfois, se montre fantaisiste, mais les animaux victimes de telles malformations sont souvent condamnés à une mort rapide. La radioactivité, en s’attaquant au cœur de la cellule, est également capable de provoquer ce type de mutations. La maman de cette tortue se serait-elle approchée trop près des côtes de Fukushima ? Pour rappel, Te mana o te moana, à travers ses activités de recherche, de conservation, de communication et d’éducation, œuvre pour la protection de l’environnement marin en Polynésie française et la sensibilisation du public. ladepeche.pf
  22. Et voila m'sieur ! Tes bêtes sont toutes aussi belles les unes que les autres.
  23. Filoue11

    Thailande octobre/novembre 2012

    Ah d'accord, je me doutais d'un truc comme ça.
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