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Tout ce qui a été posté par Ktema
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Un vieux chien Yorkshire presque sourd et aveugle doit la vie à la vigilance et la compassion d'un employé d'une compagnie de collecte de déchets qui a trouvé l'animal en piteux état, lors de sa ronde habituelle, il y a près de deux semaines. L'animal avait été vulgairement lancé dans un conteneur à déchet industriel situé à Napierville. Lors de sa collecte, du 27 décembre, l'employé a tenté de sauver l'animal en l'amenant au refuge A.M.R., situé à Saint- Constant, en Montérégie, à la fin de sa journée de travail. La responsable du refuge, Christina Williamson, qui a quelques années d'expérience dans le domaine, croit que «le propriétaire l'a sans doute jeté parce qu'il était trop vieux, sourd et aveugle». Le chien était mal en point. Il n'était pas capable de marcher et souffrait d'une otite, d'un ulcère non soigné à l'oeil ainsi que d'une luxation des deux rotules à ses pattes arrière, ce qui nécessitera une opération. «Il n'avait plus de dents dans la bouche, sauf deux, pourries, poursuit-elle. Cependant, son coeur et ses poumons étaient en parfaite santé.» Le chien a reçu des soins d'un vétérinaire avant d'être accueilli par une bénévole, à Saint-Urbain. «Elle a fait une adoption de compassion, explique Mme Williamson. Elle possède déjà plusieurs animaux et offre du secours, mais ce n'est pas un refuge.» C'est d'ailleurs cette dernière qui défrayera les coûts pour faire enlever les dents pourries. Depuis quelques jours Selon Mme Williamson, le Yorkshire, qui s'appelle maintenant Max, avait été abandonné il y a quelques jours. «Il aurait très bien pu être mort. Il était d'ailleurs très traumatisé en arrivant ici», raconte-t-elle. Selon le vétérinaire qui lui a prodigué les premiers soins, le chien aurait au mininum 12 ans. Un Yorkshire a habituellement une espérance de vie qui peut varier entre 12 et 15 ans. De plus, il s'agit d'un chien qui est particulièrement sensible au froid. Un acte criminel Impossible, pour le moment, de savoir qui a disposé du chien de cette façon, mais le coupable pourrait être traduit devant les tribunaux et faire face à des accusations, en vertu de l'article 446 du Code criminel. Cet article stipule que toute personne qui a la garde ou le contrôle d'un animal domestique commet une infraction si elle décide de l'abandonner «en détresse ou volontairement néglige ou omet de lui fournir les aliments, l'eau, l'abri et les soins convenables et suffisants.» Cette infraction est passible d'une peine maximale de six mois de prison et d'une amende pouvant aller jusqu'à 5000 $. Rappelons que la nouvelle loi P-42 entrera en vigueur, le 14 juin prochain. Cette dernière prévoit des peines beaucoup plus sévères pour les propriétaires d'animaux ou de refuges qui se montreront délinquants. Dans certains cas, les amendes pourraient même atteindre 75 000 $. Même si l'animal est mort, il est déconseillé de s'en débarrasser de cette façon. Les spécialistes suggèrent plutôt de le faire euthanasier au préalable puis de le faire incinérer. Signes permettant de reconnaître un vieux chien Les dents Souvent, la dentition du chien est la meilleure façon de définir son âge. Plus il manque de dents, ou plus celles-ci sont entourées de tartre, plus le chien est vieux. Les yeux Tout comme chez les humains, le chien est plus susceptible de développer des problèmes oculaires en vieillissant. Il est très fréquent de voir un chien souffrir de cataractes, par exemple. Le poil Chez les chiens au poil foncé, il n'est pas rare de voir des poils blancs apparaître lorsqu'ils gagnent en âge. Un autre point en commun avec les humains. La peau On peut aussi noter des changements sur la peau des chiens plus vieux. En effet, elle a tendance à perdre en élasticité lorsque le chien vieillit. http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/faitsdiversetjudiciaires/archives/2012/01/20120107-065602.html#.Twj4Q0C8dUg.facebook
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Cruauté animale à Lac-Brome: Girard connaîtra sa sentence en février Normand Girard est accusé d’avoir tué des animaux, d’avoir fait souffrir inutilement un animal et d’avoir abandonné un ou des animaux. Normand Girard, l’homme accusé d’avoir enfoncé des clous dans la tête et le corps de deux chiens avant de les abandonner dans un fossé du chemin Stagecoach à Lac-Brome, connaîtra sa peine le 28 février prochain. L’homme de 52 ans était de retour devant le juge François Marchand, mercredi, au palais de justice de Granby. Dans sa représentation sur sentence, le procureur de la couronne, Me Karim Ainmelk, a invoqué plusieurs jurisprudences faisant état de cruauté envers les animaux, toutes survenues dans le Canada anglais et a insisté sur la préméditation des gestes qu’a posé le résident de Saint-Jean-sur-Richelieu. «Il avait d’autres options. Il a planifié et prémédité de les gazer plusieurs jours avant, il a menti aux policiers et a attendu cinq mois, lorsqu’ils sont allés le voir une seconde fois pour y mener une perquisition [à sa résidence secondaire de Stanbridge East], pour faire une déclaration», dit Me Ainmelk. Ce dernier a suggéré au juge Marchand une peine de quatre mois de prison assortie d’une probation de deux ans. De son côté, la défense, assurée par Me Éric Cloutier, a mis l’emphase sur les facteurs atténuants, dont les remords qui rongent l’accusé depuis les événements et a suggéré une sentence suspendue assortie d’une probation et de conditions à respecter, dont un suivi psychologique et une indemnisation à la S.P.A de Granby. Le juge Marchand a décidé de prendre sa décision en délibéré, mercredi vers 17h15 et la rendra le 28 février prochain. «On s’attendait à ça», de déclarer l’avocat de l’accusé, Me Cloutier, à sa sortie de la salle de cour. «Mon but, c’était de les tuer vite» Lors de l’audience, Normand Girard a rappelé les circonstances entourant les faits qui lui sont reprochés, notamment plusieurs décès consécutifs dans sa famille, son épouse possiblement atteinte d’un cancer et la chienne de sa fille qui accouche d’une seconde portée en autant d’années. De plus, au début décembre, la chute d’un chiot dans un puisard – sauvé par l’accusé – a été la goutte qui a fait déborder le vase. «J’ai voulu me débarrasser des chiots. Je n’étais plus capable», dit-il. Toujours en décembre 2010, il demande à sa fille – il est père de cinq enfants – de faire des démarches pour se départir des chiots puisque l’annonce placée sur Internet ne semble pas donner de résultats. Or, la jeune fille s’est butée à des portes closes puisque les organismes cessaient leurs activités durant la période des fêtes. «Ma première idée a été de les gazer au monoxyde de carbone avec mon auto, mais ça n’a pas fonctionné. J’avais mis les chiots dans une cage entourée d’une toile. J’ai laissé tourner le moteur cinq ou six heures. Ils étaient un peu amorphes, mais pas plus que ça», raconte le père de famille. Ce dernier avoue avoir été pris d’angoisse et a paniqué. «J’ai pensé les étrangler, mais je n’étais pas capable. J’ai pensé que si j’avais une arme à feu, ça marcherait, mais je n’en ai pas.» L’homme s’est alors tourné vers une cloueuse pneumatique. «J’ai planté un clou dans la tête de la chienne. Elle a reculé sur le coup, mais n’a pas eu l’air de souffrir. J’ai essayé sur un chiot, lui, il a souffert. Je lui ai planté un clou dans la tête et un autre dans le cœur. Quand j’ai arrêté, je pensais qu’il était mort et j’ai pleuré», a-t-il témoigné devant la cour. Or, la jeune bête âgée d’à peine quatre mois était toujours vivante. Elle a rendu l’âme plusieurs heures plus tard, lorsque de bons samaritains ont trouvé la famille de Labrador abandonnée dans un fossé sur le chemin Stagecoach à Lac-Brome. «Mon but, c’était de tuer vite. Je pensais que ça ferait «Pow» et qu’il tombait mort, mais c’était souffrant pour eux.» Rappelons que le 22 décembre 2010, une chienne et sa portée de chiots ont été retrouvées dans un fossé du chemin Stagecoach à Lac-Brome. En plus d'être trempées et transies de froid, certaines bêtes avaient un clou enfoncé dans le crâne. Le 19 mai dernier, les enquêteurs de la Sûreté du Québec de Brome-Missisquoi ont arrêté M. Girard, notamment grâce à des informations du public. Normand Girard est accusé d’avoir tué des animaux, d’avoir fait souffrir inutilement un animal et d’avoir abandonné un ou des animaux. http://granby.enregion.ca/index.asp?s=detail_actualite&ID=9172
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Contrôle animalier SPAD: la solution d'urgence Mathieu Bédard L'Œil Régional - 7 janvier 2012 Actualité > Faits divers La Société protectrice des animaux de Drummond (SPAD) a été mandatée d’urgence par les villes de la Vallée-du-Richelieu afin de s’occuper des animaux errants dans le secteur. Il était minuit moins une quand Mont-Saint-Hilaire, Belœil, McMasterville, Saint-Basile-le-Grand et Otterburn Park ont trouvé une solution temporaire au problème du contrôle animalier de la région. À la fin du contrat qui les liait avec la Société de contrôle domestique de Saint-Hubert (SCDD), les municipalités ont fait appel aux services d’un organisme sans but lucratif de Drummondville à quelques jours de Noël. La SPAD a offert aux villes un service de cueillette d’animaux errants à partir du 1er janvier 2012, et ce, malgré qu’il n’y ait eu aucune entente écrite. Sans cet accord verbal, les cinq villes n’auraient pas eu de fourrière pour commencer l’année. «Présentement, on offre le service de dépannage; il n’y a rien qui a été officialisé et on est en train de discuter avec les villes, explique le directeur général de la SPAD, Philippe Labonté. On était rendus aux Fêtes, les villes fermaient, donc je leur ai proposé de partir en vacances en paix, et de reprendre les discussions au retour des Fêtes.» Cette initiative accorde aux villes du temps supplémentaire de réflexion avant de choisir ou non d’offrir un contrat stable de quelques années au SPAD. Cependant, ce «dépannage» ne touche que les chats et les chiens errants qui se trouvent en région. Pour les animaux morts, la SPAD ne les ramasse pas pour le moment. L’organisme l’Arche de Noé s’occupe de cette tâche. «On ne l’assure pas encore, puisque nous avons un nombre d’employés limité, souligne M. Labonté. Tant et aussi longtemps que nous n’aurons pas une entente à long terme, nous n'offrirons pas ce service.» À la dernière minute Gilles Plante, maire de McMasterville, avoue que l’entente verbale avec la SPAD a été faite à la dernière minute. «On se demandait si l’annonce de la fermeture de la SCDD était vraiment sérieuse, explique M. Plante. On a été informé ensuite qu’un autre organisme prendrait la relève des locaux, mais finalement ça n’a pas marché. On a vérifié partout, mais il n’y avait pas grand-chose à l’horizon. Ça ne court pas aux portes ces organismes-là.» Le maire souhaite qu’une entente à moyen ou long terme soit conclue rapidement avec la SPAD, afin de pouvoir permettre à l’Organisme de commencer un mandat complet dans la région. D’ailleurs, l’OSBL qui dessert 95 % du territoire de Drummondville et plusieurs autres municipalités, dont Sainte-Madeleine, pourrait apporter plusieurs modifications à son système de service si une entente à long terme est conclue. «Si jamais il y a une signature de contrat, on prendra d’autres mesures, comme l’embauche de nouveau personnel, explique M. Labonté. Nous pourrions agrandir notre bureau de service à Saint-Hyacinthe, en ouvrir un autre dans la région ou centraliser les opérations; toutes les options seront étudiées.» Selon le DG de la SPAD, les négociations entre les villes et l’OSBL tournent beaucoup autour du service. Les Villes veulent être sûr que de bonnes méthodes seront utilisées pour l’euthanasie ou la stérilisation des animaux. Par ailleurs, des négociations sont toujours en cours pour les municipalités de Varennes et Saint-Amable, alors que Sainte-Julie a réglé le tout avec la SPAD avant la date butoir. http://monteregieweb.com/main+fr+01_300+SPAD_la_solution_d_urgence.html?JournalID=28&ArticleID=739024 Nouveau service de contrôle des animaux à Chambly et Carignan Julie Quévillon Mantha Le Journal de Chambly - 6 janvier 2012 Actualité > Politique municipale CHAMBLY – La ville de Chambly a conclu une entente temporaire d’un mois avec les Services animaliers A.M.R. pour le contrôle des animaux domestiques. L’entente a débuté le 1er janvier 2012 soit au lendemain de la fermeture définitive de la Société de contrôle des animaux domestiques (SCDD). La SCDD avait informé les municipalités qu’elle cesserait ses activités le 31 décembre 2011. Plusieurs municipalités se sont retrouvées sans service dont Richelieu, Saint-Mathias, Marieville, Chambly et Carignan. À Chambly Le maire Denis Lavoie indique que le dossier du contrôle des animaux est prioritaire et il espère qu’il sera réglé en janvier. «On a conclu une entente temporaire pour s’assurer qu’il y ait un service dans la région. À la MRC de la Vallée-du-Richelieu, les discussions se poursuivent. À Chambly, nous avons pris la meilleure décision pour s’assurer qu’il y ait un service en attendant que le dossier soit réglé.» Le maire souligne que le contrat est «à la pièce» puisqu’il est impossible de chiffrer le volume d’animaux à récupérer dans la municipalité. À Carignan À Carignan, la municipalité a une entente avec Services animaliers A.M.R. depuis le 1er juin 2011. Ainsi, dès qu’il est question d’animaux perdus, trouvés ou morts, il faut contacter les services techniques de la municipalité au 450.658.1066, poste 244. Il est aussi possible de remplir le formulaire de demande d’intervention en se rendant sur le site Internet de la municipalité au www.villedecarignan.org dans la section Demandes en ligne. Services animaliers A.M.R. Services animaliers A.M.R., une entreprise de Saint-Constant, s’est donné comme mission d’encourager l’adoption, de sensibiliser et renseigner la population sur les soins nécessaires aux animaux de compagnie; l’entreprise veut aussi inciter les gens à dénoncer les cas de cruauté envers les animaux et assurer le bien-être des animaux errants ou abandonnés. Lorsque l’entreprise reçoit un animal, elle l’affiche sur son site Web et vérifie la présence d’une micro puce. Elle conserve trois jours les animaux récupérés à Chambly et Carignan, ensuite ils deviennent la propriété du refuge. Les chiens qui passent le test de comportement sont gardés jusqu’à ce qu’ils soient adoptés. S’ils échouent le test, ils sont euthanasiés. Comme dans tous les refuges, Services animaliers A.M.R. est débordé avec les chats et doit en euthanasier plusieurs parce qu’on n’arrive pas à leur trouver un foyer. Les citoyens de Chambly et Carignan peuvent dès maintenant, visiter le www.refugeamr.com. http://monteregieweb.com/main+fr+01_300+Nouveau_service_de_controle_des_animaux_a_Chambly_et_Carignan.html?JournalID=25&ArticleID=738974
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Diagnostic de Miko: Colite histiocytaire ulcérative du boxer
Ktema a répondu à un sujet dans Parlons chiens
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Super Sauvetage des pompiers de Victoriaville. Bravo!!
Ktema a répondu à un(e) sujet de Lolita17 dans Parlons chiens
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La S.I.A.Q. s’installe à Terrebonne PROTECTION ET SÉCURITÉ DES ANIMAUX Depuis un peu plus de deux ans, Robert Brisebois travaille avec acharnement sur le projet que constitue la S.I.A.Q (Sécurité Intervention Animale Québec). Lentement mais sûrement, l'organisme à but non lucratif fait son chemin. Et l'implantation de ses bureaux à Terrebonne constitue, pour ses membres, une étape de plus vers la reconnaissance. Lors d'une conférence de presse tenue le 21 décembre, Robert Brisebois, fondateur et président de la S.I.A.Q., a expliqué la mission de l'organisation : «Notre objectif principal est d'œuvrer pour la défense des animaux afin d'essayer d'enrayer la cruauté et la maltraitance qu'ils peuvent parfois subir. Nous tentons donc de faire respecter et d'appliquer la loi P42 actuelle et ses amendements, ainsi que les différents règlements municipaux qui concernent les animaux de compagnie et même ceux de la ferme.» Ainsi, pour la S.I.A.Q, la prochaine étape consiste à établir un partenariat avec la Ville de Terrebonne afin de pouvoir entreprendre son travail. Car la collaboration avec les villes et les autres organismes voués à la défense des droits des animaux est primordiale. «La S.I.A.Q. se veut une sorte de "patrouilleur" dans l'application des différentes lois en vigueur. Mais pour que les plaintes des citoyens soient entendues, pour qu'on donne suite à ces plaintes et pour agir de façon efficace, il faut travailler tous ensemble», s'est exprimé Robert Brisebois. Du côté de la Municipalité, le cabinet du maire a réagi. «L'organisme a fait une demande d'accréditation à la Politique de reconnaissance de la Ville. Tout comme pour les autres organismes, la Direction du loisir et de la vie communautaire étudiera cette demande. Par ailleurs, la lettre envoyée par M. Brisebois, dans laquelle il explique son projet, a été transmise au sous-comité de vigilance de la gestion de la population animale. Il n'y a aucune négociation en cours entre la Ville de Terrebonne et S.I.A.Q», a-t-on tenu à préciser. Protéger, sensibiliser, éduquer Mis à part l'application de la loi P42, l'organisme désire aussi jouer un rôle de sensibilisation et d'éducation des citoyens à la cause de la maltraitance des animaux. «Pour enrayer la cruauté envers les animaux, il faut non seulement respecter les réglementations établies, mais avant tout, prévenir. C'est pourquoi la S.I.A.Q. souhaite prochainement élaborer des activités dans le but de bien informer les citoyens des responsabilités que la possession d'un animal implique, mais aussi des conséquences du non-respect des lois en vigueur», a déclaré le fondateur. Ultimement, la S.I.A.Q. souhaite créer de l'emploi en formant des équipes de patrouille et être présente à travers le Québec. Pour plus de renseignements concernant la S.I.A.Q, vous pouvez consulter le www.siaq.ca. http://www.larevue.qc.ca/actualites_siaq-installe-a-terrebonne-n22268.php
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Super Sauvetage des pompiers de Victoriaville. Bravo!!
Ktema a répondu à un(e) sujet de Lolita17 dans Parlons chiens