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Tout ce qui a été posté par Ktema
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(Sherbrooke) Il n'y a actuellement plus de place pour les chats à la Société protectrice des animaux (SPA) de l'Estrie. Un total de 625 félins ont été déposés au refuge depuis le 1er mai, alors qu'il est conçu pour en accueillir seulement 180. Il n'y a pas mille façons de s'en débarrasser: si les animaux ne sont pas adoptés, ils sont euthanasiés pour laisser la place aux nouveaux venus. «C'est certain qu'on souhaite en euthanasier le moins possible, mais quand il ne reste plus de place, on est pris avec ça», explique Cathy Bergeron, responsable des communications à la SPA. L'organisme fonctionne présentement à pleine capacité. Et la saison des déménagements - alors que de nombreux chats sont abandonnés par leurs propriétaires - ne fait que commencer. http://www.cyberpresse.ca/la-tribune/sherbrooke/201106/27/01-4412785-trop-de-chats-a-la-societe-protectrice-des-animaux.php
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VAL-D’OR – La Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA) de Val-d’Or en a assez de l’attitude de la SPCA de Montréal qui sollicite les gens de l’Abitibi-Témiscamingue lors de sa campagne de financement. Cette stratégie de Montréal est dénoncée par la présidente de la SPCA de Val-d’Or, Helen Filion. « J’ai été avisé par un voisin qui venait de recevoir une lettre de la SPCA de Montréal qui cherchait des dons », a-t-elle indiqué. Mme Filion a alors décidé de mener sa petite enquête. « J’ai commencé à m’informer et finalement c’est ça qu’ils font », a-t-elle souligné. « On ne va pas ailleurs chercher des dons, a-t-elle expliqué. J’ai parlé au directeur du refuge de Montréal qui admet que la façon de faire n’est pas éthique. Il est bien d’accord avec notre point de vue, mais continue ses actions quand même. » Les sommes d’argent perçues par la SPCA de Montréal ne rentrent pas dans les caisses des SPCA de Val-d’Or et de Rouyn-Noranda et Mme Filion aimerait changer la situation. « Il y a des centaines de lettres qui sont envoyées chaque année ici en Abitibi. Après le premier envoi, ils acheminent un cadeau. Douze jours plus tard, on reçoit une deuxième lettre ou on demande aimez-vous votre cadeau. Dans la même lettre il est écrit avez-vous oublié de nous envoyer le don », a indiqué Helen Filion. http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanada/archives/2011/06/20110627-182715.html Ils font encore ça ?
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Il faut leur écrire par lettre (envoyé par la poste ou par messager) à : Madame Madeleine Fortin, sous-ministre adjointe Direction générale de la santé animale et de l’inspection des aliments 200, chemin Sainte-Foy, 12e étage Québec (Québec) G1R 4X6 Ils n'accepteront pas nos lettres par courriels. Nous avons jusqu'au 5 août pour envoyer nos critiques et nos suggestions au MAPAQ avant que ce projet soit adopté. http://www.mapaq.gouv.qc.ca/fr/Productions/md/loisetreglements/Projetsreglements/Pages/Reglement_bien-etre.aspx
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La semaine dernière, je me suis introduit, contre mon gré, dans l’antre d’une fourrière lucrative – question d’acheter des médailles obligatoires pour mes chiennes. Je suis d’avis que les médailles pour les chiens et les chats (surtout ces derniers) sont une commodité qui nous permet de supputer les animaux en cas de pertes ou d’abandon. La population féline et canine, au cour de leur pérégrination clandestine, se multiplient par millier, année après année, et cette surpopulation occasionnée par l’irresponsabilité d’un tous et d’un chacun est la source d’une multitude de problèmes contre lesquels les défenseurs des animaux militent (par exemple les cabinets à euthanasie). Cette immatriculation animalière, qui en dérange plus d’un, est correcte selon mon point de vu – à condition, bien sûr, que ce contrôle animalier se fasse selon les règles de l’art… ce qui, indubitablement, n’est pas le cas…ni patent! L’Inspecteur Canin est la compagnie qui s’occupe de la gestion animalière dans ma municipalité. C’est une fourrière lucrative qui, il n’y a pas si longtemps (en 2008), avait été éclaboussée par un reportage de J.E., sur les ondes de TVA. Dans ce reportage, on apprenait que les employés de la fourrière entreposaient les cadavres d’animaux dans des cages et des sacs à ordures dans l’arrière-cour. D’autre part, on dénonçait que les animaux gazés, à St-Lin-Laurentides, l’étaient de façon éhontée et acrimonieuse. C’est-à-dire que, pour thésauriser sur le gaz et sur le temps, les employés, littéralement, « boostaient » à pleine capacité la chambre d’animaux pour ensuite les cadavérer interminablement dans la géhenne de l’asphyxie. De plus, on apprenait que les installations de la chambre à gaz (dixit «cabinet à euthanasie») étaient vétustes et sans détecteur à monoxyde de carbone ; de l’avis de la CSST, la chambre pouvait aussi représenter un danger pour les employés qui la manoeuvraient. Un esclandre de réactions fit suite à ces révélations. Ironie du sort, l’Inspecteur fut inspecté par plusieurs instances. Des manifestants s’étaient amalgamés par centaines devant les locaux saint-linois. La direction de l’Inspecteur Canin émie un hourvari d’injonctions contre ses détracteurs et ses employés délictuels ; avec une inspection réussie d’Anima Québec, elle redora son blason et fit de ce litige un « cas isolé », dores et déjà réglé. M’y rendre pour mes pitous, cela me dérangeait, certes. Je me suis dit « J’entre et je sors! » point final! Pas de questions, ni de commentaires. Dès que le bout de mon pied franchit le seuil de la porte, ma langue se délia et ma verbe de se dégainer aussitôt! Fatalement, la curiosité et la suspicion légitime prirent le dessus sur l’attitude pondéré que j’aurais souhaité. Le mandat d’une fourrière est de contrôler et de limiter la circulation errante d’animaux. L’achat compulsif d’animaux, que ce soit dans les animaleries ou dans les marchés aux puces, la non-stérilisation de l’animal et les abandons sont, ils le reconnaissent, la pointe du iceberg qui désagrège la cité d’une surpopulation animale. Les citoyens sont donc les premiers responsables de cette calamité, ils ne se gênent pas de le dire et ils ont parfaitement raison. Là où ça me fait grincer des dents, c’est de voir que la compagnie nantit sa clientèle d’un chat (non-stérilisé) à l’achat d’une moulée. Si ce n’était que de cela, on pourrait inférer que l’Inspecteur Canin a mûrit ce stratagème pour éluder le nombre effarant de chats en santé qui s’y retrouvent – dans le but noble de les soustraire du cabinet de la mort. Conjecturer cet énoncé, c’est de se laisser entourlouper par une combine bien plus sournoise. Les chats, comme les rats, sont des chauds lapins! La gestation d’une chatte est aussi courte que sept semaines, elle aura une portée de quatre à huit chatons et il ne lui faudra qu’un petit deux semaines, après avoir mis bas, pour être fécondable à nouveau ; faites vos calcules, l’exubérance de cette propagation appert, à brûle-pourpoint, incoercible! Ma foi, je doute qu’une fourrière ignorerait cette réalité et alimenter cette surpopulation, d’emblée, n’est-ce pas se déroger de son mandat? Cet adage, malencontreusement, ne se limite point à la gente féline. L’Inspecteur Canin fait aussi affaire avec un chenil pour maquignonner des chiens, des bostons terriers et des braques de Weissmar. Ingénument, je présumais que les chiens errants se retrouvent plus rares que les chats de gouttières. Le préposé, sur-le-champ, me désambiguïsa : «Ooooooh que non!» m’eut-il excipé. «Ici, dans la région, on en ramasse des tonnes et des tonnes! En plus, les chiens sont plus faciles à poigner [que les chats] … alors… -…Alors, défalquais-je, pourquoi vendre des chiens provenant d’un chenil s’il y en a autant en circulation? - On a un roulement d’enfer! Les chiens sont très en demandes. On ne les garde jamais très longtemps.» Et moi d’imaginer cette Roue Infernale tel le rouage d’une machination mercantile : chiens abandonnés => sélections : une part pour l’adoption, une part pour l’accouplement dans les chenils et les restes « flushés » dans le cabinet à euthanasie => ventes de chiens et de médailles…Tching-tching-wouf-wouf!!! Un train-train qui roule dans un Eldorado de richesse canine… Tchou-tchou-wouf-wouf! Damne! Cette pratique, toutefois, n’est en rien illégale. Autrement dit l’Inspecteur Canin est parfaitement dans son droit. Tout animal récupéré, après trois jours, la fourrière peut en faire ce qu’elle veut. À partir de ce moment, l’animal lui appartient. Qu’elle ait un contrat avec un chenil (malgré le paradoxe), qu’elle ait un contrat avec une firme qui s’adonne à l’expérimentation animale (ce qui n’est pas le cas de l’Inspecteur Canin, mais d’autres fourrières le font…), le fait qu’une compagnie privée bidouille pour mousser les profits ne va à l’encontre de la vocation commerciale de ce genre d’entreprise. Un animal de compagnie, aux yeux de l’État, ce n’est, ni plus, ni moins, qu’une marchandise. En faire le trafique, on appelle ça : marchander. La loi P-42, implicitement, tâche, certes, contre la maltraitance de ces animaux, mais si l’on tranche contre ceux qui maltraitent les animaux qu’en est-il de la traite de ces derniers? Alors que de nombreux spécialistes supputent la problématique de la surpopulation des animaux errants, alors que l’on toise à juste raison les irresponsables « propriétaires » qui achètent et abandonnent leurs animaux, qu’en est-il de la traite des animaux? http://www.leschiensbleus.com/blog/2011/06/lexploiteur-canin/
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À l'approche des déménagements, beaucoup de gens vont abandonner leurs animaux parce qu'ils n'ont pas le droit d'avoir des animaux dans leur nouvel appartement ou tout simplement parce qu'ils n'en veulent pas dans leur nouvelle maison. Les animaux qui seront malheureusement abandonnés par leur propriétaire dans un logement désert ou encore en nature, se retrouvent souvent dans les fourrières et sont euthanasiés quelques jours après leur arrivée. L'abandon des animaux peut se traduire aussi par l'absence de statut des animaux. L'animal, dans le Code civil, est considéré comme un bien meuble. Souvent, les gens ne sont pas assez responsables face à leurs animaux. Ils ont un coup de cœur dans une animalerie et ils achètent sans se poser de question. Au Québec, 45 % des ménages possèdent un animal domestique. Les statistiques démontrent qu'en moyenne, chacun n'est gardé que deux ans par ses propriétaires! Pour l'instant, le Québec est la seule province canadienne n'ayant aucune législation afin d'assurer la prévention de la cruauté animale. Cette situation fait d'elle la capitale des "usines à chiots" au Canada. En France, il y aurait 100 000 animaux abandonnés par année tandis qu'au Québec c'est plus de 500 000! Voyons ensemble les solutions que nous pouvons adopter afin de faire une différence auprès des animaux et de leur sort. VOS RESPONSABILITÉS ENVERS VOS ANIMAUX Au Québec, 45% des ménages possèdent au moins un animal domestique, mais saviez-vous que durant la période des déménagements, c'est environ 32% des animaux au Québec qui sont abandonnés? On confirme même qu'il y a environ 350 000 chats qui sont euthanasiés chaque année. Non seulement il faut être conscient qu'un animal que nous avons adopté est sous notre responsabilité, mais il faut également prendre conscience que la stérilisation est importante afin d'arrêter d'accroître le pourcentage d'animaux tués ou délaissés simplement parce que vous ne vouliez pas nécessairement que votre chatte ou votre chienne soit accouplée par le toutou de votre voisin! Cependant, nous pouvons très bien comprendre qu'il y a souvent des imprévus dans la vie qui font en sorte que vous n'avez d'autre choix que de vous séparer de votre compagnon, par contre sachez que les solutions sont beaucoup plus faciles et responsables que vous ne l'imaginez et éviterons à Fido ou Minet de se retrouver à la rue. LES DIFFÉRENTES SOLUTIONS À CONSIDÉRER Tout d'abord, il est certain que vous devez essayer de donner votre animal, sans nécessairement essayer d'en tirer profit! Des semaines avant le déménagement, placez des annonces chez le vétérinaire, le salon de toilettage, au supermarché ou au dépanneur. Vous devriez avertir vos amis de votre situation, maintenant avec les réseaux sociaux il est de plus en plus facile de trouver la bonne personne rapidement! Un puissant réseau de contacts se mettra alors en branle. Il existe également un grand éventail de site de petites annonces qui pourrait vous aider. Vous savez cette situation est extrêmement stressante pour votre animal, vous ne devriez pas l'oublier et vous devriez lui prêter attention et vous assurez qu'il mange bien. Votre animal ne saisit pas les phrases, mais il comprend l'émotion. Vous pouvez le rassurer et montrer que vous avez confiance qu'il trouvera un bon foyer. Si vous devez amener votre animal chez le vétérinaire ou à la fourrière, appelez-les avant d'y aller et expliquez-leur la situation. Les employés de ces endroits vous faciliteront la tâche et pourraient peut-être même trouver une alternative. Demandez à un ami de l'amener à votre place. Les amis sont plus détachés émotivement que vous. Lorsque le grand jour du déménagement est arrivé, si vous n'avez pas trouvé de solution, il n'est pas trop tard! Il est certain que vous pourrez trouver un proche qui l'hébergera quelque temps d'ici à ce que vous trouviez la bonne solution, car il est certain que de le laisser s'enfuir à l'extérieur ou encore de l'abandonner dans votre ancienne demeure n'est pas la bonne chose à faire. POURQUOI OPTER POUR L'APOTION D'UN CHIEN ÂGÉ? Vous savez, nul besoin de toujours adopter un petit chiot, il est très intelligent et très sage parfois de prendre la décision de donner une autre chance à un chien plus âgé. L'adoption d'un chien plus vieux a ses avantages : il a déjà sa taille définitive, les chiens âgés ont déjà reçu une éducation, ils sont pour la plupart propres, savent marcher en laisse, sont sociabilisés en général aux chiens et aux chats et peuvent parfois rester seuls, un vieux chien est beaucoup plus calme qu'un chiot ou qu'un jeune chien. Il sait se tenir tranquille. Pas de problèmes de chien excité! Il a besoin de sorties quotidiennes, mais n'a pas besoin de se dépenser comme un jeune chien, il peut vivre plus facilement en appartement (à quelques exceptions près). Mais le plus important c'est qu'un vieux chien vous sera extrêmement reconnaissant de lui avoir donné une nouvelle chance. L'âge leur a peut-être enlevé un peu de fougue et de vivacité, mais ils ont de l'amour à revendre! En adoptant un chien sénior, vous venez de lui garantir une fin de vie heureuse, dans un foyer chaleureux et tranquille. Qui ne rêve pas d'un compagnon calme, propre, paisible et fidèle qui ne mangera pas votre divan la minute où vous aurez le dos tourné? Prenez le temps d'y penser, bien souvent vous serez surpris de voir à quel point vous pouvez trouver le compagnon idéal chez ces bons vieux toutous! POURQUOI NE PAS DEVENIR FAMILLE D'ACCUEIL À LA PLACE? Comment mentionner précédemment, la plupart des gens achètent compulsivement un animal et n'en assume pas les responsabilités jusqu'à la fin de la vie de ce compagnon, trop souvent les propriétaires l'abandonnent au bout de 19-24 mois. Par contre, si l'envie vous prend d'avoir un animal, mais vous êtes convaincu de ne pas en vouloir un pour 10 à 15 ans, alors pourquoi ne pas évaluer l'opportunité de devenir famille d'accueil? Cette alternative n'est peut-être pas encore bien connue, mais elle est vitale à la survie des refuges! Les familles d'accueil sont essentielles au bon fonctionnement d'un organisme comme ceux-ci, car elles accueillent les chiens en attente d'adoption chez elles et leur procurent tout l'amour dont ils ont besoin pendant ce temps. Elles travaillent également à les socialiser, à parfaire leur éducation et à corriger certains comportements. Leur travail est fait de façon bénévole et bien souvent les frais de soins de vétérinaire de l'animal sont couverts par le refuge. De plus, cette situation est temporaire et dès que l'animal trouve un bon foyer, il quitte votre nid. Bien souvent, en sachant que l'entière responsabilité de cet animal ne dépend pas de vous, ceci allège votre conscience et vous permet de bien profiter des moments passés avec lui. FINALEMENT... Ne fermez pas les yeux sur les solutions et pensez au bien-être de votre animal, que ce soit votre chien, lapin, chat, oiseau ou encore cochon d'Inde, aucun animal ne mérite de se faire abandonner ainsi. Soyez responsable et la société vous en sera très reconnaissante! Sami, le cocker anglais qui était en studio avec Jacinthe provenait d'une des familles d'accueil du refuge pour animaux « Le repaire de Sasha », qui est un organisme de secours animal sans but lucratif. C'est un réseau de familles d'accueil temporaires pour les animaux qu'ils sauvent. Sans ces familles le refuge ne pourrait exister. Les chats et chiens vivent tous dans des contextes familiaux, ce qui leur permet d'être évalués en profondeur et de cerner le type de famille qui leur conviendra le mieux. Le but ultime du repaire est de trouver le « Match Parfait ». Cependant, il faut se rappeler que sans famille d'accueil, il n'y aurait pas de refuge, alors si vous le pouvez, n'hésitez pas à entrer en contact avec les refuges afin de leur venir en aide. http://www.lerepairedesasha.org/accueil.cfm http://tva.canoe.ca/emissions/salutbonjour/chroniques/sbwe/animal/121911/les-solutions-face-a-labandon-des-animaux J'ai vu que le vidéo est dans ce message : /t38354-salut-bonjour-dimanche-matin-video . Je rajoute le texte ici.
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Ses foutu griffes de dragon plus capable!!!!
Ktema a répondu à un(e) sujet de EviLQuicK dans Comportement
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Chien qui a avalé un tampon! Besoin d'aide URGENT!
Ktema a répondu à un(e) sujet de Nahlou111 dans Parlons chiens
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Les citoyens sont invités à commenter d'ici le 5 août un projet de règlement sur les normes pour la garde et le traitement des chiens et des chats. Le ministre de l'Agriculture Pierre Corbeil et le président d'un groupe de travail sur la question, le député Geoffrey Kelley, aussi ministre des Affaires autochtones, en ont fait l'annonce, jeudi à Montréal. Le projet de règlement s'adresse tant aux propriétaires d'un seul chien ou chat qu'aux refuges pour animaux, éleveurs, pensions pour animaux, salons de toilettage et autres. Le ministère prévoit son adoption finale l'automne prochain. Le projet de règlement prescrit des normes pour les méthodes d'euthanasie, les aires de repos et les abris, l'eau et la nourriture, la prévention des maladies, par exemple. On y dit notamment que l'eau et la nourriture d'un chien doivent être fraîches et exemptes de contaminants et que la neige et la glace ne constituent pas une source d'eau potable. On y précise aussi que «quelle que soit la méthode d'euthanasie employée, elle ne doit pas être cruelle et elle doit réduire au minimum l'anxiété et la douleur, puis produire une perte de conscience rapide et irréversible, suivie d'une mort prompte». Le ministère prévoit aussi un autre projet qui rehaussera les amendes pour mauvais traitements des animaux, l'automne prochain. Celles-ci pourraient «tripler et même plus», a indiqué le ministre Corbeil. À ceux qui trouvent que le gouvernement prend du temps à intervenir, le ministre a soutenu qu'il voulait «que les choses se fassent rapidement, mais correctement». Depuis 2009, le gouvernement a aussi augmenté le nombre d'inspecteurs, pour le porter de cinq à 40. Pour le moment, il n'est pas question d'imposer la stérilisation des animaux de compagnie ni de la rendre plus accessible, mais la situation pourrait éventuellement changer. «Ça fait partie des pistes, sur la recommandation du groupe de travail, qu'on est à explorer. Ce n'est pas directement dans le règlement au moment où on se parle, mais ce sont des choses qui vont peut-être être envisagées dans l'avenir», a concédé le ministre Corbeil. Le gouvernement veut aussi continuer à sensibiliser les propriétaires d'animaux de compagnie. Le ministre Kelley, qui a rédigé un rapport sur le bien-être des animaux de compagnie, a déploré que déjà, à ce temps-ci de l'année, les refuges pour animaux sont bondés. «Déjà, l'effet du 1er juillet se fait sentir. Je trouve ça tellement décourageant qu'à chaque année, à cause des déménagements, il y a des personnes qui vont laisser leur chat ou leur chien à la SPA ou à la SPCA de leur territoire», a-t-il commenté. À partir de la publication dans la Gazette officielle du Québec, les citoyens intéressés pourront émettre leurs commentaires sur le projet de règlement afin de le bonifier, d'ici le 5 août. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201106/23/01-4412021-projet-de-reglement-sur-le-traitement-des-chiens-et-chats.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS3
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Personne pour remplacer le Berger Blanc à Boucherville Nathalie Gilbert Deux mois après avoir suspendu le contrat qui la liait au Berger Blanc, la Ville de Boucherville ne trouve aucune entreprise intéressée à assurer le service de fourrière animale sur son territoire. À la suite d’un reportage de Radio-Canada sur les pratiques douteuses en cours au Berger Blanc, les élus de Boucherville avaient décidé de suspendre le contrat qu’ils venaient tout juste de renouveler pour une année, jusqu’en 2012, à cette fourrière privée, la plus importante au Canada. L’actuel contrat de la municipalité avec le Berger Blanc se termine le 30 juin. Aucune soumission Après avoir pris connaissance des soupçons de maltraitance pesant sur la fourrière, Boucherville avait décidé de ne confier au Berger Blanc que les services d’urgence, comme le ramassage d’animaux morts ou errants. La Ville a ensuite demandé des soumissions afin de trouver une nouvelle entreprise pour assurer le service de fourrière sur son territoire, mais n’en a finalement reçu aucune. Le conseil municipal continue d’étudier le dossier. L'enquête achève L’enquête et l’évaluation des pratiques du Berger Blanc menées par l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec tire à sa fin, a fait savoir Joël Bergeron, président de l’Ordre. Des plaintes pourraient donc être déposées très prochainement. Un vétérinaire est maintenant en poste au Berger Blanc. Depuis le 29 avril, aucun vétérinaire n’était à l’emploi de la fourrière, qui devait faire appel à des services externes pour prodiguer les soins. En outre, a indiqué M. Bergeron, plusieurs modifications ont été apportées au Berger Blanc depuis l’ordonnance ministérielle déposée par le ministère de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation le 4 mai, soumettant la fourrière à un encadrement strict de ses activités. http://monteregieweb.com/main+fr+01_300+Personne_pour_remplacer_le_Berger_Blanc_a_Boucherville.html?ArticleID=707330&JournalID Ben hâte de voir les résultats de cette enquête...
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PROJET DE RÈGLEMENT SUR LA SÉCURITÉ ET LE BIEN-ÊTRE DES CHATS ET DES CHIENS MONTRÉAL, le 23 juin 2011 /CNW Telbec/ - Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, ministre responsable des régions de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec et député d'Abitibi-Est, M. Pierre Corbeil, accompagné du ministre responsable des Affaires autochtones et député de Jacques-Cartier, M. Geoffrey Kelley, ont présenté le projet de règlement sur la sécurité et le bien-être des chats et des chiens, qui établit notamment des normes en ce qui a trait à la garde des chats et des chiens. « Ce nouveau règlement a pour but de mieux encadrer les méthodes de garde et d'élevage des chats et des chiens, ainsi que les méthodes d'euthanasie. J'invite les citoyens et les organismes qui se préoccupent du bien-être des animaux de compagnie à nous présenter leurs commentaires d'ici au 5 août prochain. Il s'agit d'une belle occasion de se mobiliser autour d'un projet générateur de changement. Parce que, améliorer la sécurité et le bien-être de ces animaux, cela nous concerne tous! », a déclaré le ministre Corbeil. Le projet de règlement vise particulièrement les propriétaires, les animaleries, les éleveurs de chats ou de chiens, les entreprises de service, telles que les pensions pour animaux et les salons de toilettage, de même que les fourrières et les refuges. Il vient préciser les normes générales en matière de garde et de soins contenues dans la Loi sur la protection sanitaire des animaux (L.R.Q., c. P-42), par exemple en ce qui a trait à la propreté des lieux et aux conditions de garde satisfaisantes pour un animal, ainsi que des normes encadrant l'euthanasie des chats et des chiens. Mentionnons que le projet de règlement sur la sécurité et le bien-être des chats et des chiens découle d'une recommandation formulée dans le rapport « Vers un véritable réseau pour le bien-être des animaux de compagnie » préparé par le groupe de travail présidé par M. Geoffrey Kelley. M. Kelley a d'ailleurs tenu à souligner que « c'est grâce à la collaboration et à la concertation de tous les acteurs intéressés que le projet de règlement a pu être rédigé. Une fois adopté, il offrira des outils supplémentaires aux inspecteurs pour intervenir plus efficacement ». M. Corbeil a aussi profité de l'occasion pour rappeler la responsabilité des citoyens à l'égard de leurs animaux de compagnie : « L'acquisition d'un chat ou d'un chien devrait être considérée comme un engagement à long terme de la part de chaque citoyen. Il faut être prêt à lui consacrer du temps et aussi de l'argent pour les soins de santé, notamment la stérilisation, afin d'assurer son bien-être », a conclu le ministre. Précisons que toute personne ou tout organisme dispose de 45 jours, à compter de la date de publication du projet de règlement à la Gazette officielle du Québec, pour faire part de ses commentaires par écrit à l'adresse indiquée dans l'avis de publication. Pour obtenir plus de détails sur le projet de règlement, consultez le site Internet www.mapaq.gouv.qc.ca/projetreglement. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Juin2011/23/c8731.html
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Gestion d'animaux: la valse-hésitation continue Plusieurs citoyens bénévoles qui se sont engagés à prendre la relève du Berger Blanc pour la gestion animalière à Laval hésitent à se lancer dans la création d’un organisme à but non lucratif totalement indépendant, rapporte le chef du Parti au service du citoyen (PSC), Robert Bordeleau. L’ex-candidat à la mairie s’est joint à une rencontre qui se tenait le 9 juin, à l’hôtel de ville. Selon lui, seulement trois bénévoles sur dix présents adhèrent au modèle proposé une semaine plus tôt par le maire de Laval. Lourde charge Le futur OBNL devait bâtir une équipe de travailleurs et de bénévoles pour veiller, 24 heures par jour, à fournir le service de fourrière et de gestion des animaux sur le territoire, dans les règles de l’art. Comme les employés municipaux n’ont pas d’expertise en la matière, le maire avait signifié qu’il écartait la possibilité que la Ville prenne en charge le service. Considérant qu’un poids trop lourd était mis sur les épaules des citoyens, une membre du groupe avait fait savoir qu’elle se retirait. «S’ils [les employés de la Ville] n’ont pas l’expertise, c’est OK. Mais donnons-leur [aux citoyens] des outils», propose Robert Bordeleau. Le chef du PSC estime que la municipalité pourrait fournir le local et les équipements, comme les véhicules, par exemple. Solutions à l’étude L’idée n’est pas exclue, avance l’attaché politique du cabinet du maire, Jean-Maurice Duddin. «Toutes les solutions valables sont à l’étude et le meilleur choix possible sera retenu.» La Ville de Laval s’est déjà engagée à offrir le support financier, administratif et juridique nécessaire pour le démarrage de l’OBNL, qui serait ensuite admissible aux subventions municipales. La Ville, qui octroyait annuellement 343 800 $ au Berger Blanc, ne confirme pas qu’elle serait prête à débourser l’équivalent de cette somme, pour le futur organisme. «Nous sommes toujours à l’étude des solutions possibles», répond laconiquement M. Duddin. Par ailleurs, l’administration municipale explore la possibilité d’établir un partenariat avec le pénitencier de Laval, qui pourrait mettre à profit ses locaux vides dans le cadre d’un projet de réinsertion des prisonniers. Précision La porte-parole du comité de citoyens qui se prépare à assurer la relève du Berger Blanc a précisé que le chef du Parti au Service du citoyen, Robert Bordeleau, n’a pas assisté à la rencontre du 9 juin à l’hôtel de ville, comme il le rapportait au Courrier Laval, le 15 juin. «Comme le maire, il a été exclu» de la rencontre, indique Marie-Josée Sohy. La porte-parole ajoute que le comité a soumis de lui-même, et non à la suggestion de M. Bordeleau, l’idée que la Ville puisse fournir le local et les équipements du futur organisme. ***Le futur OBNL devait bâtir une équipe de travailleurs et de bénévoles pour veiller, 24 heures par jour, à fournir le service de fourrière et de gestion des animaux sur le territoire, dans les règles de l’art. En tout cas, ce n'est pas les mêmes règles de l'art qu'à Mascouche... Le berger blanc doit patrouiller 10 heures par semaine ici ! Pour ce qui est d'être ouvert 24 sur 24, on repassera.
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Le lundi 20 juin à l'Hôtel de Ville de Mtl En mai, Louise Harel et les maires des d'arr. Sud-Ouest, Rosemont-La Petite-Patrie, Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles et Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension ont demandé au maire Tremblay la création d'un service animalier municipal. Mme Harel a demandé au maire de déposer un rapport sur cette question lors du conseil.
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Cherche elevage de chien chinois a crete pour une amie
Ktema a répondu à un(e) sujet de BullyLover dans Parlons chiens
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