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Admin-eleveurcanin

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Tout ce qui a été posté par Admin-eleveurcanin

  1. Je vais attendre que mon fils qui est sorti m'explique ou est la touche pour diminuer le volume de la photo! Je ne m'en souviens plus !!! Elle dort, elle est fatiguée du voyage.
  2. C'est trop grand, je vais essayer de baisser la grandeur de la photo.
  3. à dimanche viaspedona ! Pincemaille, alors dimanche sur quel ring et secrétaire de juge pour quelle race ? J'irais également regarder la démonstration d'agility. Je présente également le chien Chinois Ascott d'une éleveuse à 14h45 ring 8.
  4. Oui, je ne change pas les noms des chiots que je prends chez les éleveurs. Elle ne devrait tarder à arriver !
  5. Oui, il faut se reposer ! Il était déjà très beau, mais alors là !!! Une merveille ce petit Clément.
  6. ça y est, j'ai à peu près maitrisé l'appareil. Elle sera là dans à peine deux heures !
  7. Sorry, c'était dans le carnet de santé du chien engagé !!! je n'ai plus de mémoire. Bon alors à dimanche pour ceux qui seront là !
  8. J'ai dû imprimer ma feuille d'engagement pour Metz dimanche car je n'ai rien reçu.
  9. j'ai édité le lien pour rajouter la race afin que les éleveurs de Shih Tzu ne passe pas à coté !
  10. et bien, 4 aujourd'hui !!! BON ANNIVERSAIRE
  11. Bon, je voulais dire également que vétérinaire était incompatible avec chasseur! Mon mari déteste la chasse. Nous recevons des chiens de chasse à la clinique, parfois dans un sale état avec des plaies ouvertes, des blessures de sanglier sur chien ... (c'est pas beau à regarder) Une fois ont nous a apporté un cerf avec une balle. Il appartenait à l'armée de terre et était dans son parc naturel avec des faons et biches ...
  12. Il y a 5 ans , j'habitais un village et en sortant du village avec ma petite famille en voiture, il y avait un panneau écrit à la main. attention!!! CHASSE "TIRS A VUE". les chasseurs étaient là, dans le sous bois avec leur fusil à l'épaule à quelques mètres, je dirais 25 mètres. Mon mari est sortie de voiture avant de franchir le panneau. Nos trois enfants étaient dans la voiture et mon mari c'est adressé à un groupe de chasseurs pour dire que le panneau était illégal si près de la sortie de plusieurs village. Ils lui ont dit qu'ils avaient l'autorisation de chasser car la chasse était ouverte !!! Il leur à dit que c'était dangereux pour les villageois et que le panneau écrit à la main n'était pas pour rassurer ! Que nous allions passer avec trois enfants et que nous ne voulions pas d'une balle perdue. Ils n'en ont eu rien à faire mais ce sont quand même plus enfoncés dans le sous bois qui est entouré de villages, donc de maisons ...
  13. Elle est pourtant bien là! Bravo guigui pour la photo de carole
  14. Chiens et chats errants BERGUES Entre la communauté de communes du canton de Bergues et la SPA, une convention régit désormais la divagation des animaux. Les communes, pour la sécurité et la santé publique, sont dans l'obligation de tout mettre en oeuvre pour éviter la divagation des animaux (chiens et chats). Dans ce cadre, une première réunion a eu lieu, fin juin, à la communauté de communes du canton de Bergues (CCCB) afin de tenter de trouver une solution à ce problème. Dans la majorité des cas, la divagation est due à un abandon préalable des animaux par leurs propriétaires. Dans un premier temps, il avait été envisagé la construction ou l'aménagement d'un chenil. Une solution finalement trop onéreuse et contraignante. La CCCB s'est alors rapprochée de la SPA de la région des Flandres. Récemment, André Lastavel et Audrey Vanhée, respectivement président et directrice de la SPA, André Figoureux et Brigitte Decriem, président de la CCCB et maire de Pitgam, ont défini une convention qui sera soumise lors du prochain conseil communautaire pour approbation. Ce texte a pour but principal de rationaliser les coûts et les moyens. De fait, la SPA s'engage à accueillir sans limitation de nombre les animaux qui lui seront amenés par les services municipaux, à les héberger, les soigner et à les restituer à leurs propriétaires qui les réclameraient et procéder éventuellement à leur euthanasie. De plus, l'association promet de mettre à disposition de la CCCB une cage nécessaire à la capture des chats. Qui en aura la gestion. De son côté, la CCCB s'engage à couvrir financièrement la SPA de ses frais, au moyen d'une redevance annuelle forfaitaire de 0, 47 E par habitant. La CCCB a par ailleurs demandé à ce que la SPA s'engage à se déplacer dans chaque commune de la communauté, pour prendre directement en charge les chiens de catégories 1 et 2. Photo : Entre la communauté de communes du canton de Bergues et la SPA, une convention régit désormais la divagation des animaux. Source : http://www.lavoixdunord.fr/Loc(...)
  15. 50 brebis égorgées à Aureilhan Une meute de chiens errants attaque et tue. Plusieurs plaintes sont déposées et la mairie a pris un arrêté contre ces prédateurs. 50 brebis tuées. Dominique Carimati et les autres éleveurs aureilhanais veulent que le carnage s'arrête. Photos Joël Boyé Le bilan est lourd à Aureilhan : deux collégiens agressés, une cinquantaine de moutons tués et autant de bêtes blessées. En cause : des chiens errants, qui commencent à semer la panique. Tout a débuté la semaine dernière : « Dans la nuit du dimanche 20, nous avons entendu un chien qui aboyait sans arrêt, de façon très répétitive, juste à côté de chez nous, à 2 heures, 3 heures, 4 heures… », raconte Pierre Faure, adjoint au maire d'Aureilhan, qui habite le secteur de la rue du Bois. « Finalement, nous nous sommes levés et nous avons vu tous les moutons de Dominique regroupés contre notre clôture. À part ce chiot qui aboyait sans savoir pourquoi, de façon mécanique, il n'y avait pas un bruit, rien. Les brebis se taisaient, les chiens aussi. C'était assez effrayant. Et puis ensuite, on a vu les dégâts avec Dominique. Ce n'était pas beau à voir. » On ne sait pas comment les chiens sont entrés, mais ils ont fait un vrai carnage : il faudra abattre 6 brebis et en recoudre 14. COLLÉGIENS AGRESSÉS Dominique Carimati et Pierre Faure vont décrire la meute : « Une chienne de type danois, accompagnée de 2 chiots croisés malinois, un setter et deux labradors ». Triste week-end pour les bergers aureilhanais. Plus inquiétant : en début de semaine, la principale du collège Paul-Valéry emmène les élèves au bois d'Aureilhan, pour une séance d'entraînement en vue de la course des collèges : deux collégiens sont coursés par des chiens. Leur description est identique à celles faites par le berger et l'adjoint… Les enfants ne sont pas grièvement blessés, mais ils sont choqués. Le week-end dernier, toujours de nuit, c'est un autre propriétaire de moutons qui va faire les frais de la fureur canine : Victor Tourné-Péteilh va perdre 18 bêtes et 6 autres seront terriblement blessées, par les chiens divagants, galvanisés par l'effet de meute, l'instinct sauvage prenant le dessus. Quant à MM. Boyrie et Carnéjac, toujours à Aureilhan, ils auront respectivement 20 et 3 brebis tuées. Soit au total, 49 moutons égorgés, dont plusieurs petits agneaux. ENQUÊTE EN COURS En une semaine et demie, les attaques se sont multipliées et la mairie a réagi : « Nous avons demandé au policier municipal de faire des rondes. ça n'a rien donné. Nous avons porté plainte et demandé à la police de venir surveiller, ça n'a rien donné non plus ». Mais dans la nuit de lundi, Dominique Carimati a fini par repérer les chiens. Toujours les mêmes. Avec l'aide d'un ami berger, il a réussi à capturer l'un des chiots, qui a été conduit à la SPA. Il n'avait ni puce, ni tatouage, ni collier. Rien qui permette de l'identifier. En posant des questions aux voisins, le berger a fini par obtenir une réponse : la grande chienne aurait été identifiée comme appartenant à quelqu'un de la commune. Les bergers ont porté plainte au commissariat, ainsi que la principale du collège Paul-Valéry et la mairie. Une enquête est désormais en cours. « Danger grave et immédiat » La mairie d'Aureilhan a réagi face à ces attaques de chiens. En portant plainte, mais aussi en prenant un arrêté : « Suite aux plaintes émanant des éleveurs d'Aureilhan faisant état d'attaques répétées commises par des chiens errants, mais aussi de plaintes de personnes agressées sur la commune, un arrêté municipal a été pris le 27 octobre 2008, interdisant la divagation de chiens sur la commune. Ceci dans un but de sécurité, considérant que ces animaux en divagation constituent un danger grave et immédiat pour la sécurité des personnes et des animaux. Tout chien errant, trouvé sur la voie publique, pourra être conduit, sans délai, à la fourrière. » « On vit avec la peur » Dominique Carimati a le sourire un peu forcé quand il arrive auprès de ses bêtes. Du moins ce qu'il en reste. Plusieurs brebis boitent bas, d'autres arborent des fils de suture, des pis lacérés, des ventres piqués. Toutes sont « sur l'œil », méfiantes, stressées au dernier degré : « D'habitude, je les ai toutes autour de moi dès que j'arrive. Elles sont très familières. Là, je ne viens même plus avec mon chien, tellement elles ont peur. Certaines sont mortes le lendemain, elles n'ont pas survécu au stress. Pareil pour les agneaux, j'en ai eu plusieurs de tués. Et les avortements ont commencé, à cause du stress. » L'un des agneaux a le nez déchiré, un autre la queue coupée en deux, le flanc suturé. Un spectacle désolant. « Je les avais redescendues de la montagne la veille. Elles sont en estive à Ardengost. Pas un dégât de l'été, et venir se les faire bouffer ici ! Quand on arrive et qu'on voit ça… ça fait mal, je peux vous le dire. Pour les bêtes, et pour des années de travail foutu en l'air. » Dominique promène un regard désolé sur ses bêtes : « Maintenant qu'ils ont commencé (les chiens, NDLR), ils ne vont pas s'arrêter. Et justement, on veut que ça s'arrête. On vit avec la peur. On a fait des rondes, et rien. On ne sait pas par où ils sont passés. Il faut qu'il y ait des patrouilles, il faut qu'on les retrouve. On a maintenant plus de dégâts à Aureilhan avec les chiens, qu'avec l'ours dans tout le massif pyrénéen. C'est déjà grave pour nous, mais ça aurait pu être encore pire avec les gosses : on les a entendus au bois et on a entendu un bruit de chiens aussi. On est allé voir tout de suite, sans succès. Il faut les coincer, ça ne peut pas durer. C'est toujours le week-end que ça se passe : ça veut dire qu'au moins un des chiens est laissé en liberté. » À ce sujet, le berger a son idée, la mairie aussi, mais pas de preuve formelle. « Quand on les a repérés, on les a suivis, ces chiens : la chienne est toujours repartie vers l'Adour, vers le secteur de l'Industrie, et le chien de chasse toujours au même endroit. Si on ne nous aide pas, ils reviendront, c'est sûr. Et qui sait, ils peuvent faire des dégâts encore plus graves, comme avec les collégiens. » Source : http://www.ladepeche.fr/articl(...)
  16. Messe de Saint-Hubert à l'abbaye du Val des Choues Le 30 octobre est en effet la date que l'équipage Piqu'Avant-Bourgogne, qui chasse à courre le sanglier tous les jeudis en forêt domaniale de Châtillon, a retenue pour rendre hommage à saint Hubert, Saint patron des chasseurs. C'est avec plaisir que l'équipage accueillera à l'abbaye du Val des Choues, pour la 10e année consécutive tous ceux qui souhaiteront assister à la messe de Saint-Hubert célébrée par l'abbé Naudet et sonnée par les trompes du Débuché de Bourgogne. L'Abbé Naudet et les Trompes du débuché de Bourgogne sont des fidèles de l'abbaye. Chaque été, lors des Rendez-vous de la chasse et du chien courant, ils célébraient la messe de Saint-Hubert dans les anciens jardins des moines, devant souvent plus de 500 personnes. Cet équipage, qui revit depuis 1999, a installé ses écuries et ses chenils à l'abbaye où vivent près de 150 chiens « français-tri-colores », que nombreux d'entre vous ont découverts en été en visitant l'abbaye. Tous les jours, à 16 heures, le repas de la meute est un moment spectaculaire très apprécié par les visiteurs. Lors des dernières adjudications en 2004, Inès et Michel Monot ont loué la forêt domaniale de Châtillon, territoire d'origine de l'équipage Piqu'Avant-Bourgogne, pour y chasser tous les jeudis le sanglier. Comme le faisait Pierre Monot autrefois, ils sont heureux de pouvoir désormais ouvrir chaque année le porche de cette grande bâtisse pour recevoir tous les passionnés de chasse, de trompe et de vénerie. L'organisation de cette journée sera similaire à celle de l'année dernière. Après la messe et la bénédiction de la meute, nous nous retrouverons pour un « brunch » qui sera convivial, mais aussi rapide car « les valets de limier » qui auront mené leurs quêtes le matin à l'aube seront impatients de nous les relater. Sur leurs dires, sera décidé le lieu d'attaque et le départ pour la chasse sera sonné. C'est alors que chiens et chevaux quitteront l'abbaye au son des trompes qui entonneront « le nouveau départ ». Saint Hubert seul pourra décider du sort de la chasse et à la fin de la journée nous nous retrouverons tous dans les jardins de l'abbaye pour sonner une curé froide ou chaude selon le résultat de la chasse. Le programme A 9 h 30 : Messe dans la deuxième cour de l'abbaye. Après la messe : « brunch » sous chapiteau (5 € par personne) : merci de réserver en téléphonant au 03.80.81.01.09. A 11 heures : Rapport et départ pour la chasse. Après la chasse : curé dans les jardins à la française (entrée libre). Comment suivre la chasse : les cavaliers et leur monture sont les bienvenus en téléphonant auparavant au 03.80.81.01.09. Pour les autres personnes, le mieux est de suivre en VTT. Sinon, en voiture uniquement sur les routes goudronnées. Nous vous rappelons que l'abbaye du Val des Choues se situe à 25 km, au sud de Châtillon- sur-Seine et à 65 km de Dijon ; Pour tout renseignement et réservation, appelez au 03.80.81.01.09. Source : http://www.bienpublic.com/actu(...)
  17. HERM. Le deuxième volet du field trial débute aujourd'hui. Des hommes de confiance José Alves et Christophe Salvat assurent la fonction de guides Christophe Salvat et José Alves servent de boussole dans les bois d'Herm et Escource photo philippe salvat José Alves et Christophe Salvat sont comme des boussoles dans la bruyère. Les deux hommes comptent parmi les petites mains du field trial d'Escource et Herm (le volet hermois débute aujourd'hui, pour s'achever dimanche). Hommes clés et discrets, on les appelle « guides ». Entre les pins, ils montrent la voie aux éleveurs concurrents dans le grand étalonnage des meilleurs chiens d'arrêt du pays et au-delà (des étrangers concourent). « La veille des épreuves, nous allons lâcher les animaux ». Essentiellement des faisans d'élevage que les hommes et leurs limiers doivent débusquer dans le respect des canons d'une chasse de pointe et de la race de leur chien. « Nous amenons les dresseurs vers le gibier. Notre but, détaille Christophe Salvat, est de mettre les chiens en présence des oiseaux. Pour que chaque concurrent ait les mêmes chances dans la compétition. » Responsabilité. Le souci d'équité les conduit dans leur tâche. Outre le pur esprit sportif, les deux guides gardent à l'esprit les enjeux du field trial. José Alves : « On connaît l'importance d'un prix ici. » C'est une reconnaissance qui étoffe un pedigree. Les descendances des champions de travail sont prisées des chasseurs et compétiteurs de field trial. « Cela nous impose une certaine responsabilité vis-à-vis d'eux. » Guide, c'est un sacré travail. Eux ont posé une semaine de congés le temps des épreuves. Et dix jours avant leur début, ils arpentent les bois en sentinelles. « On ne prend jamais les mêmes parcelles d'une année sur l'autre. Il y a donc un gros travail de reconnaissance à effectuer en amont. » Évidemment, le hasard n'a rien à voir dans le choix de tel espace ou tel autre. « On sait sur quel terrain le gibier peut tenir et sur lequel il va filer 500 mètres plus loin. On choisit aussi le biotope dans le but d'offrir à tous les concurrents les mêmes chances. » José Alves et Christophe Salvat commencent à connaître les bois d'Escource et Herm. Confiance. Le premier joue les bergers depuis quinze ans, le seconde depuis « eh oui, une dizaine d'années tiens ». Leur fonction comprend une grande part de contact. « On doit avoir un rapport de confiance avec les autres. Que ce soit les chasseurs ou les juges du concours qui sont avec nous. Ils s'en remettent à nous. On ne peut pas les décevoir. » Les accrocs sont très rares. « Il peut arriver qu'un concurrent se soit fait éliminer deux ou trois chiens et qu'il y ait un peu de tension quand arrive son suivant. Mais honnêtement, on n'a pas trop besoin de jouer les diplomates. Ils savent qu'on est là pour les aider. » Et pour parachever leur oeuvre quand elle est belle. Car les guides portent le fusil. « C'est à nous qu'il revient de tuer le gibier. Mais c'est la récompense ultime du travail du chien. Il faut que celui-ci et son maître aient été irréprochables. On ne tire que si la quête du gibier le mérite. Dans ce cas, on n'a pas droit de le louper. » Car ce serait gâcher un peu le bon travail du concurrent et des chiens. Cela laisserait un goût d'inachevé. Alors les guides tireurs éprouvent une petite pression au moment fatidique. « Quand quelqu'un vous offre sa confiance, il ne faut pas le décevoir. » Auteur : Pierre Penin Source : http://www.sudouest.com/landes(...)
  18. Suisse - chiffres relatifs aux annonces d’accidents par morsure Commentaires sur les chiffres relatifs aux annonces d’accidents par morsure en 2007 publiés par l’OVF L’Office vétérinaire fédéral vient de publier les chiffres des annonces cantonales de morsures de chiens pour l’année 2007. Il dresse un palmarès de types de chiens mordeurs selon une liste de races préétablie. Pourtant, les experts restent sur leur position : chaque chien peut être dangereux ; aucune étude à ce jour n’a montré qu’une race de chien a un potentiel d’agression plus important qu’une autre. Ceci semble être en contradiction avec la publication de l’OVF : comment est-ce possible ? 1. La liste utilisée pour le palmarès des chiens mordeurs n’est pas la liste du Conseil d’Etat du canton de Fribourg, contrairement à ce qu’écrit l’OVF. En effet les chiens de type pitbull sont interdits dans le canton de Fribourg et parmi les chiens de race soumis à autorisation dans ce canton, le Cane Corso n’est pas mentionné par l’OVF. Comment la liste de l’OVF a-t-elle vu le jour, et pourquoi avoir précisément choisi ces races ? Pourquoi prendre comme exemple le canton de Fribourg alors que d’autres cantons ont d’autres listes de races (Valais, Genève, Bâle Ville, Vaud) ? 2. Le détail des annonces par canton n’étant pas communiqué, il n’est pas possible de vérifier les chiffres publiés par l’OVF. 3. Selon le communiqué de presse, l’OVF affirme que l’American Pitbull Terrier est le chien le plus mordeur en Suisse (humains et animaux confondus, ce qui n’est mentionné que plus bas dans ledit communiqué). Dans la publication, le « Pitbull » a été subdivisé en American Pit Bull Terrier et en Pit Bull Terrier. Les chiffres indiqués pour l’American Pit Bull Terrier, à savoir 5 morsures sur humains, correspondent de fait et par rapport aux 2678 cas annoncés, à moins de 0,2% des morsures annoncées. Ce chiffre de 5 morsures sur humains de l’American Pit Bull Terrier additionné au chiffre indiqué pour le Pit Bull Terrier, à savoir 18, donne 18+5 = 23 morsures sur humains dues au « Pitbull », ce qui représente moins de 1% des morsures annoncées. 2655 morsures annoncées, soit plus de 99% des cas, sont dues à d’autres chiens que le Pitbull. 4. Selon le communiqué de presse, l’OVF affirme que pour 100 Bergers allemands, on compte 2 morsures. Ceci représente un taux 2.2 fois supérieur à la moyenne qui est publiée à 0.9 morsure pour 100 chiens. Toutefois l’OVF affirme, lorsqu’on lui demande les statistiques pour les autres races, qu’aucune statistique par race n’a été effectuée, mis à part pour les races de la liste mentionnée au point 2. Comment l’OVF a-t-il donc obtenu les chiffres sur le Berger allemand ? 5. L’OVF prétend que ces chiffres de morsures de chiens sont les premiers publiés en fonction des types de chiens à l’échelle suisse. Pourtant, une étude scientifique a été publiée en 2002, qui n’a malheureusement pas les mêmes résultats que ceux de l’OVF aujourd’hui. D’autres chiffres concernant les annonces en 2006 ont été publiés en 2007 à l’échelle suisse, qui ne mettaient pas en évidence les mêmes faits. 6. La source de l’OVF en ce qui concerne le nombre de chiens par types en Suisse est la banque de données ANIS. Toutefois, les chiffres de la banque de données ANIS ne sont pas encore fiables ; par exemple, des chiens morts y figurent encore, et des chiens tatoués et pucés y figurent à deux reprises. De plus, tous les chiens ne sont pas annoncés à ANIS. 7. La détermination des races ou des types de chiens sur lesquels se base l’OVF pour affirmer que certains types de chiens mordent plus que d’autres n’est pas fiable : en effet, ce sont les personnes mordues (les victimes) qui indiquent la race du chien au médecin qui remplit le formulaire. 8. L’OVF compare le nombre de chiens mordeurs d’un certain type (indiqués par les victimes) au nombre de chien du même type dans la base de données ANIS. Or, dans la base de données ANIS, ce sont les propriétaires qui déterminent la race du chien. Toutefois, il n’est actuellement pas possible de confirmer ou d’infirmer l’appartenance d’un chien à telle ou telle race. Les données concernant le nombre de chiens appartenant à un type déterminé dans la base de données ANIS ne sont donc pas fiables. 9. L’OVF n’émet aucune réserve sur les chiffres qu’il avance. Toutefois, une étude scientifique publiée en 2002 a démontré que : - Environ 70% des chiens suisses sont des chiens sans certificat d’ascendance; il est donc impossible de connaître leur race ou leur croisement. Tout au plus peut-on décrire leur aspect (phénotype, taille). - Les chiens « listés » sont dénoncés/annoncés 5x plus souvent que les chiens non listés. - Le nombre de morsures sur humains en Suisse est d’environ 13'000 (soit 182 par 100'000 habitants). Ces chiffres sont confirmés par toute la littérature sur le sujet. Or la publication de l’OVF parle de 2678 morsures ; elle mentionne également que toutes les morsures ne sont pas déclarées. En effet, il en manque environ 10'322, donc le 80% ! Il est intéressant de se poser la question du pourquoi l’OVF agit de la sorte. Plusieurs hypothèses peuvent être envisagées : 1. Une nouvelle législation se prépare, qui est vraisemblablement basée sur une liste de races. L’OVF fournit les arguments à cette nouvelle législation, sans contrôler les chiffres et sans réfléchir aux conséquences. Ceci expliquerait les termes du « blog » : « Reste à examiner si ces mesures (cours obligatoires prévus) sont cependant suffisantes pour ces chiens plus exigeants mentionnés plus haut (Rottweiler, Doberman et Pitbull) ». A quand un régime d’autorisation ? 2. L’OVF n’a pas relu attentivement sa copie et a publié des chiffres sans émettre les précautions d’usage (conformément à l’étude effectuée en 2001 et publiée en 2002, on suppose notamment qu’environ 13’000 morsures sur humains seraient à comptabiliser par année). Il eut été judicieux de relever les biais de cette statistique. 3. L’OVF a un parti pris. Seuls les chiffres relatifs aux humains sont significatifs en termes de sécurité publique. Pourquoi les accidents par morsure sur les humains et les accidents par morsure sur des animaux sont-ils donc additionnés et présentés ensemble. C’est un moyen très efficace de faire augmenter le chiffre des agressions pour certains types de chiens. Cette hypothèse expliquerait pourquoi l’OVF n’est pas transparent par rapport aux chiffres des différents cantons. Quelle que soit l’hypothèse retenue, un manque de démarche scientifique est évident. Il est malvenu, alors que des milliers de propriétaires de chiens souffrent de lois de plus en plus répressives, en particulier en Suisse romande, de jeter de l’huile sur le feu sans précaution. De telles publications desservent la cause du chien, quelle que soit sa race ou son type. Je vous remercie de votre attention et vous prie de recevoir, Madame, Monsieur, mes salutations les meilleures. Courrendlin, le mercredi 29 octobre 2008 Pierre Boegli, Président du Groupe Suisse des Amis du Molosse (GSAM) Source : Pierre Boegli,
  19. Angleterre - hôtel de luxe pour animaux de compagnie Un luxueux hôtel à 2,5 millions de livres, appelé Elmtree, a ouvert ses portes à Londres pour devenir le premier chenil / chatterie de grand luxe pour nos petits animaux de compagnie, lorsque nous partons en voyage. L' établissement Enfield a été conçu par le designer fanatique des animaux de compagnie Ray Fawehimi fanatique sur les bords de la ceinture verte de la terre dans l'arrondissement londonien. M. Fawehimi, qui est l'heureux propriétaire d'un chat et d'un chien aurait eu une vision qui lui aurait donné l'envie de démolir sa maison pour monter ce fameux hôtel. Il s'agit d'un paradis pour tous ces animaux, dès la salle de réception, vous trouverez un mur orné de biscuits de différentes tailles et à différentes hauteurs pour que tout le monde puisse être satisfait. Un gymnase canin, un lac extérieur, le chuaffage par le sol, du personnel de grand "pedigree" qui ont travaillé dans les meilleurs établissements, 6 personnes en service d'étage de nuit pour qu'il y aie toujorus quelqu'un de disponible. Les services offerts comprennent toutes les commodités habituelles le chenil, l'hébergement, le régime alimentaire spécial répondant à toutes les exigences, et des promenades quotidiennes, une literie de luxe en option (si vous ne souhaitez pas apporter la votre), de quoi faire de l'exercice et de quoi jouer dans toutes les chambres, et même une webcam qui vous permettra de suivre la vie quotidienne de votre animal pendant votre absence. L'hôtel dispose de 29 pièces pour chat et de 55 chambres pour chien - il existe aussi des chambres doubles pour les animaux qui ont l'habitude de vivre ensemble. Il ya un quartier d'isolement pour les animaux qui tombent malades et un vétérinaire en cas de besoin. Une luxueuse salle de bain, avec bains à remous et pédicures, de sorte que les chiens peuvent jouir pleinement d'un salon de toilettage en local. Prix à partir de £ 20 par jour pour un chien et £ 12 par jour pour un chat. Les propriétaires sont les bienvenus pour installer leur animal, mais pour ceux qui seraient trop pressés par le temps, l'Hôtel Elmtree Pet propose un service de Taxi qui pourra venir chercher et transporter votre animal de compagnie ! Et ben avec tout ça... Source : http://www.eparsa.fr/family/in(...)
  20. Canada - Mushers, une classe à part SAINT-FÉLICIEN) «Nos chiens sont bien traités. On va payer à cause de gens qui s'improvisent éleveurs et maltraitent les bêtes.» Robert Toussaint est amer. Il ne comprend pas que la ville ne fasse pas de distinction entre un chenil et un élevage de chien de traîneau. Ce musher possède 43 chiens. Regroupés dans un enclos sur le Chemin de la Pointe Nord, les chiens sont enchaînés et disposent chacun d'une niche. Derrière une cabane, dans un autre enclos des chiots. Toussaint estime que la ville ne veut pas de chien sur son territoire. La réglementation souhaitée serait trop contraignante. «Ça va coûter trop cher de faire les aménagements demandés. Il est presque impossible de se trouver une place où un voisin va être à plus de 500 mètres», souligne-t-il. L'éleveur affirme qu'il va déménager dans une autre municipalité, si le règlement est adopté tel que rédigé actuellement. «Jamais, je ne vais me débarrasser de mes chiens!, lance-t-il. J'ai fait des vérifications et on ne retrouve pas ce genre de règlements dans les municipalités avoisinantes. À Gatineau, on module selon les espèces ou le type d'utilisations. Pourquoi on ne fait pas de même ici», questionne le musher. La version complète du texte est disponible dans votre Quotidien Photo : Robert Toussaint Le Quotidien, Louis Potvin Source : http://www.cyberpresse.ca/le-q(...)
  21. Canada - Un clandestin force la ville à agir (Saint-félicien) Un élevage de chiens douteux oblige la ville de Saint-Félicien à mettre en place un règlement sévère sur les chenils. On veut éviter les histoires d'horreur de chiens maltraités. Un résident vivant à l'intersection du rang double et de la route 167, en face de l'autodrome, se serait improvisé éleveur. Dans une vielle roulotte s'entasseraient des chiots élevés dans des conditions déplorables. Les règles élémentaires d'hygiène ne seraient pas respectées, selon Paul-René Doucet, directeur de l'aménagement et de l'entretien du territoire à la ville de Saint-Félicien. «Il est impossible pour nous d'obliger le propriétaire à nous montrer l'intérieur de la roulotte. Mais, l'installation laisse penser au pire.» Impossible pour le quotidien de vérifier les affirmations du fonctionnaire. Lors d'une visite des lieux, impensable de s'approcher de la roulotte, un gros chien jappait et se tordait au bout d'une chaîne. Ces aboiements ont réveillé des chiots dans la vieille roulotte. D'après les hurlements, on pouvait estimer à une dizaine le nombre de chiots vivant dans ce refuge de fortune. À première vue, il ne semble pas y avoir d'aération adéquate dans la cambuse. De plus, des fils électriques partent de la maison pour alimenter la roulotte. Un aménagement qui ne semble pas respecter les normes en électricité. Selon Doucet, le propriétaire avait, il y a quelques mois, une installation encore plus imposante. Il aurait démantelé une grande roulotte à la suite des pressions de la municipalité. La municipalité et la Sûreté du Québec ont reçu plusieurs de plaintes. Les élus ont décidé de sévir et mettre en place un règlement avec des dents. «On ne veut pas faire la manchette avec une histoire d'horreur comme des bêtes maltraitées ou des personnes blessées à cause de chiens dangereux «, affirme le maire Gilles Potvin. La version complète du texte est disponible dans votre Quotidien Les grandes lignes du règlement sur les chenils: - Un chenil est un établissement où l'on élève, dresse ou loge plus de trois chiens. - Sa construction ou l'exploitation doit se situer dans une zone agricole à plus de 500 mètres d'une résidence. - Il doit y avoir une maison familiale habitée sur le terrain du chenil. - Les chiens doivent être gardés dans un bâtiment autre que la résidence. - Chaque chien doit être dans un enclos individuel qui le protège de la chaleur, de l'humidité, du froid et des rayons directs du soleil. - L'abri doit laisser suffisamment d'espace pour permettre à l'animal de se tourner et de se coucher. - L'aire d'exercice doit être clôturée. Photo: Une dizaine de chiots jappaient dans cette roulotte délabrée, lors de la visite du Quotidien. Impossible de voir si les bêtes vivent dans des conditions de salubrité minimale. La SPCA devrait visiter les lieux prochainement. Louis Potvin Le Quotidien Source : http://www.cyberpresse.ca/le-q(...)
  22. Chasse : Fabienne a découvert «un nouveau monde» Portrait. Elle vient d'avoir son permis et participe pour la première fois à une sortie collective grand gibier. Photo : Photo DDM,J;D Fabienne, 38 ans, ancienne secrétaire médicale, sera à l'heure ce dimanche matin, à Feneyrols, pour participer à sa première sortie de chasse collective au grand gibier, organisée par la Fédération des chasseurs. Il est vrai qu'elle a obtenu, comme 125 autres jeunes dont 10 jeunes femmes, son permis de chasser cette année. Elle raconte ce qu'elle appelle « sa découverte d'un nouveau monde » : « Personne dans mon environnement ne chasse. Ni mon père, ni mon grand-père, ni mon ami. Je suis urbaine et j'avais très peu de contacts avec la nature. L'opportunité d'un travail à la fédération a complètement réorienté mes centres d'intérêt. J'ai suivi la directrice de la fédération qui est chasseresse, et j'ai eu le déclic. Elle m'a fait découvrir la vraie nature, celle qui sent le bois mouillé, la mousse et l'herbe, et qui offre, en automne notamment, des couleurs et des lumières superbes. J'ai encore découvert la brume du matin, la rosée et le gel qui craque sous la botte. Avec en prime le calme qui ressource et la fatigue saine d'une longue marche qui vous plombe le sommeil. Je sais aujourd'hui que j'ai failli passer à côté de tout cela alors que je l'avais à portée de la main. Si j'ai fait zéro faute à mon permis de chasser, le fusil par contre, me fait toujours un peu peur. Je viens d'en acheter un le plus léger possible. Depuis lors, j'ai été à la chasse plusieurs fois. J'ai pu rencontrer des gens de tous horizons, des jeunes, des plus âgés, des riches et des moins riches. Ici, tout se régule et chacun a naturellement sa place. J'ai trouvé du respect et de l'amitié partagés sans arrière-pensées, de la simplicité et de l'authenticité. Une fois, j'étais avec une amie et son mari. Ce dernier m'a dit : « Tu as vu, tu es passée devant une caille ! » Alors je lui ai dit : « Pourquoi tu n'as pas tiré ? ». Il m'a répondu : « On ne tire pas sur une caille qui est avec ses petits ! » Sa réponse m'a marquée pour deux raisons. Lui avait compris que la caille avait ses petits avec elle, et pas moi. Et en plus, il a respecté la vie d'une caille parce qu'elle s'occupait de ses petits. Pour moi, une femme, le fait qu'un homme réagisse comme çà, c'est énorme ! J'en ai déduit qu'il y a plus de prédateurs dans des bureaux, les banques d'affaires ou des grosses sociétés qui tuent par intérêt et parfois même par plaisir, que dans la nature quand les hommes partagent la vie réelle des animaux. Pour moi c'est une belle leçon. Je vais continuer et je crois que je vais acheter un chien pour pouvoir travailler avec lui, car l'exercice est vraiment très enrichissant. Ce que je crois, c'est que les jeunes qui vont venir à ces sorties jeunes chasseurs de grand ou de petit gibier pensent comme moi. Ils ont, eux aussi, découvert un nouveau monde, très éloigné des vieux clichés dont certains affublent encore trop facilement les chasseurs sans savoir. Je pense qu'ils devraient venir voir avant de parler. D'ailleurs, certains rigolent un peu de leur ignorance. » Guy Révellat -------------------------------------------------------------------------------- Montrer la voie aux jeunes Depuis 4 ans, la fédération des chasseurs organise « des journées jeunes chasseurs » pour leur donner le goût de la chasse et parfaire leur formation.Durant ces journées qui, cette année, se dérouleront ce dimanche à Feneyrols, le 10 novembre à Saint-Antonin, le 16 novembre à Bruniquel et le 10 janvier à Cazes-Mondenard, les jeunes sont accompagnés par des chasseurs plus expérimentés et sont placés aux meilleurs postes. Pour eux, la chasse au grand gibier est une première dont ils se souviennent longtemps. Au fil des années, on s'aperçoit que les jeunes se spécialisent de plus en plus dans un style de chasse : le sanglier, la caille, la grive, la palombe ou le petit gibier. Ils viennent entre 16 et 18 ans. Reviennent vers 30 ans après avoir quitté le football ou le rugby. On en retrouve à 50 où 60 ans, quand ils effectuent un retour au pays pour la retraite car c'est le meilleur moyen pour eux de s'intégrer, car l'Acca est souvent la seule association du village. Source : http://www.ladepeche.fr/articl(...)
  23. Chiens de Sauvetage Le Championnat de France de Chiens de Sauvetage s'est déroulé le 24 août à Préfailles(44) 1er=Akira (labrador) 2ème = Rica(terre neuve) 3ème = Roméo (terre neuve) Source : http://fcplse.free.fr/fcplse/
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