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Chiot Berger Australien
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CERTIFICAT ET DECLARATION A LA DSV
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CERTIFICAT ET DECLARATION A LA DSV
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chien perdu bouvier bernois...
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Conseils-santé- sociabilité des chiots
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Re: Crufts "Liste des membres pour se retrouver
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Re: Crufts "Liste des membres pour se retrouver
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Astrologie Canine
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OBLIGATIONS POUR VOYAGER EN EUROPE AVEC VOTRE ANIMAL
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IMPORTATION D'UN CHIEN : Les Nouvelles Règles Européennes Depuis 3 juillet 2004, de nouveaux règlements régissant l’importation de carnivores domestiques sont entrés en vigueur et concernent tout mouvement d’animaux de compagnie dépourvu de tout caractère commercial… « A partir du 3 juillet 2004, pour pouvoir être importé sur le territoire européen, tout carnivore domestique de compagnie (comprenant donc chiens et chats) devra être valablement vacciné contre la rage et avoir fait l’objet d’un test sanguin de dosage des anticorps antirabiques. Ce test devra avoir été fait au moins 3 mois avant l’importation, soit avant le 3 avril 2004 pour une importation au 3 juillet 2004. Le délai commence à compter de la date de la prise de sang. Attention, à ce délai peut également s’ajouter le délai de vaccination rage si votre chien ou chat n’est pas déjà valablement vacciné contre cette maladie. En pratique, entreprenez vos démarches 4 mois avant l’expédition. Des conditions supplémentaires existent pour la Grande-Bretagne, l’Irlande et la Suède. Attention, des conditions supplémentaires existent pour la Grande-Bretagne, l’Irlande et la Suède. N’oubliez pas les autres conditions d’importation : - identification par tatouage ou micro puce, - présentation d’un certificat sanitaire établi par un vétérinaire officiel (le plus souvent vétérinaire de l’Etat). Le modèle de certificat n’est pas encore défini à l’heure actuelle, - selon le cas, un déparasitage peut être exigé. Les autres informations utiles : 1) Ces conditions seront, à partir du 4 juillet 2004, les conditions d’importation des chiens, chats, furets de compagnie pour l’ensemble du territoire européen (elles s’appliqueront pour toute entrée dans l’un quelconque des 25 Etats Membres) 2) Le test sanguin devra être fait au moins 3 mois avant l’introduction sur le territoire de l’Union Européenne et au moins 1 mois après la vaccination rage, avec un résultat supérieur ou égal à 0,5UI/ml. L’original du résultat devra être présenté en frontière. En pratique, comptez un délai de 4 mois avant l’expédition vers l’Union Européenne 3) Si votre animal a été testé avec résultat favorable avant de quitter la France (même quelques jours avant le départ), le délai de 3 mois ne s’applique plus pour le retour 4) Le test sera valide durant toute la vie de votre animal favori pourvu qu’il n’y ait pas d’interruption du protocole vaccinal rage (vaccination rage constamment en cours de validité). Vous n’aurez pas à renouveler ce test à chaque retour en France si vous séjournez à l’étranger 5) Le laboratoire vétérinaire qui fait ce test doit être agréé. En France, au 16 juillet 2003, 4 laboratoires vétérinaires étaient agréés (Lauraguet (31), Malzéville (54), Arras (62) et Le Mans (72)). Cette réglementation est un règlement communautaire qui s’appliquera de fait dans tous les Etats membres de l’Union européenne. Vous pouvez consulter ce règlement dans toutes les langues communautaires sur le site du Journal Officiel de l’Union européenne. Il s’agit du règlement N°998/2003 du 26 mai 2003 concernant « les conditions de police sanitaire applicables aux mouvements non commerciaux d’animaux de compagnie et modifiant la directive 92/65/CE du Conseil ». Infos complémentaires sur le site diplomatie.fr IMPORTATION DE CARNIVORES DOMESTIQUES L'entrée en vigueur des dispositions relatives à l'importation des carnivores domestiques de compagnie sur le territoire communautaire est reportée au 1er octobre 2004. La Communauté européenne a adopté des mesures relatives aux mouvements non commerciaux des carnivores domestiques de compagnie (chiens, chats et furets) afin d'harmoniser les règles sanitaires entre Etats membres et d'apporter toutes les garanties de santé publique et de santé animale lors de ces déplacements, notamment au regard de la rage. Ces dispositions remplaceront les dispositions françaises à compter du 3 juillet 2004. A) Mouvements non commerciaux de carnivores domestiques (Chiens, chats et furets) entre Etats membres de l'Union européenne A partir du 3 juillet 2004, pour pouvoir circuler dans l'Union européenne, les carnivores domestiques de compagnie (Chiens, chats, furets) devront satisfaire à de nouvelles conditions sanitaires : - identification (tatouage ou micropuce) - vaccination antirabique en cours de validité. - passeport délivré par un vétérinaire habilité par l'autorité compétente (en France : vétérinaire titulaire du mandat sanitaire) attestant notamment de l'identification de la vaccination antirabique. Ce passeport répond à un modèle unique dans toute l'Union européenne. - pour les animaux de moins de 3 mois non vaccinés : une autorisation générale de l'Etat membre de destination sera nécessaire. Elle sera accordée dans les cas suivants : les carnivores domestiques doivent être accompagnés d'un passeport et avoir séjourné depuis leur naissance dans le lieu où ils sont nés, ou être accompagnés de leur mère. B) Importation sur le territoire communautaire de carnivores domestiques de compagnie en provenance de pays tiers Conditions en vigueur à partir du 3 juillet 2004 : A partir du 3 juillet 2004, pour pouvoir être importés sur le territoire de l'Union européenne, les carnivores domestiques de compagnie (chiens, chats et furets) devront satisfaire à de nouvelles conditions sanitaires plus sévères : - identification (tatouage ou micropuce implantée sous la peau) ; - vaccination antirabique en cours de validité (primo-vaccination et rappels) ; - titrage sérique des anticorps antirabiques dans un laboratoire agréé par l'Union européenne. Le résultat du titrage sérique devra être supérieur ou égal à 0,5UI/ml. - certificat sanitaire original établi par un vétérinaire officiel du pays tiers d'origine (modèle conforme aux dispositions de la décision n°2004/203/CE du 18 février 2004 : Ce certificat doit être accompagné des justificatifs relatifs à la vaccination et au titrage. Dans le cas d'une réintroduction sur le territoire de l'Union européenne, le certificat sanitaire sus visé peut être remplacé par le passeport de l'animal (dont le modèle est publié par une décision communautaire). La législation complète Pour les personnes résidant dans un pays tiers et souhaitant rentrer dans l'Union européenne accompagnées d'un carnivore domestique de compagnie (chien, chat ou furet) après le 2 juillet 2004, il est fortement recommandé d'envisager dès maintenant les modalités pratiques qui permettront de respecter toutes les conditions ci-dessus. Pour en savoir plus : Direction générale de l'alimentation - Mission de coordination sanitaire internationale Bureau importation pays tiers - 251, rue de Vaugirard - 75 732 PARIS CEDEX 15 IMPORT.MCSI.DGAL@agriculture.gouv.fr -
OBLIGATIONS POUR VOYAGER EN EUROPE AVEC VOTRE ANIMAL
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Les panières canines
OBLIGATIONS POUR VOYAGER EN EUROPE AVEC VOTRE ANIMAL Animal Services et E.N.V.A. Si vous voyagez à l'étranger avec votre animal, il faut savoir qu'il existe certaines obligations différentes en fonction du pays de destination. Il faut donc être vigilant sur les obligations du pays visité, pour l'aller, et du pays de résidence, pour le retour. Les conditions présentées ci dessous s'appliquent pour les propriétaires d'animaux et non pour les importations ou exportations à des fins commerciales. La vaccination la plus demandée est celle de la rage. Seuls les animaux provenant de pays indemnes de la maladie ne nécessitent pas le vaccin. Il existe aussi une mesure plus contraignante pour les animaux non vaccinés: "la quarantaine". Certains pays interdisent l'intrusions d'animaux de moins de 3 mois, ces derniers étant trop jeunes pour être correctement vaccinés. Il peut aussi vous être demandé les vaccins contre la maladie de Carré, l'hépathite de Rubart ou la leptospirose pour les chiens, le typhus et le coryza pour les chats. Il existe des certificats de bonne santé, appelés certificats sanitaires de transit, permettant aux vétérinaires d'attester que l'animal ne présente aucun signe de rage ou de maladie contagieuse. Ce certificat est valable environ 10 jours. Certains pays essayent de prévenir le risque d'importation de parasites dont les oeufs sont dangereux, comme le ténia échinocoque, responsable de graves zoonoses chez l'homme (développement de la larve dans les viscères). Ces pays imposent donc un traitement antiparasitaire interne. D'autres pays exigent aussi un traitement parasitaire externe (tiques et puces), c'est le cas du Royaume-Uni. Suite aux différentes lois sur les chiens "dangereux", Pitbulls, etc... ces derniers ne peuvent plus entrer en France, au Royaume-Uni ou au Pays-Bas... Le Pet Travel Scheme (Obligatoire pour se rendre avec son chien ou son chat au Royaume-Uni) Ce dispositif permet de déroger à la quarantaine de six mois auparavant, obligatoire pour l'entrée d'un chien ou d'un chat au Royaume-Uni. Il s'agit malgré tout d'un dispositf contraignant, long et coûteux, sur lequel les clients doivent être parfaitement informés, car toute erreur de procédure le rend caduque. 1- Entamer la procédure plus de 6 mois avant le départ: l'animal doit être tatoué et vacciné contre la rage. 2- Consultation vétérinaire n°1: Au minimum 30 jours avant après la vaccination, prise de sang pour contrôler le taux d'anticorps antirabique: l'échantillon est adressé à un laboratoire spécialement agréé. 3- Consultation vétérinaire n°2: Si le résultat de la prise de sang est satisfaisant (sérologie>0,5 UI/ml): Identification électronique de l'animal. Documents transmis au propriétaire: Un certificat d'identification électronique Un certificat de santé international spécifique L'attestation de résultat de la prise de sang 4- Consultation vétérinaire n°3: Elle aura lieu 24 à 48 heures avant le départ: Traitement antiparasitaire externe et interne Le certificat de santé international est complété 5- Départ pour le territoire britannique: L'animal peut partir au plus tôt 6 mois après la prise de sang avec tous les documents obligatoires: Le certificat de santé international Le certificat d'identification électronique L'attestation du résultat de la prise de sang Le certificat de vaccination antirabique Voir également rubrique Législation : importation d'un chien Réglementation applicable aux carnivores domestiques partant de France et voyageant en Europe ou dans les DOM-TOM Choisissez votre pays de destination Réglementation applicable aux chiens partant en France et voyageant en dehors de l'Europe Amérique du Sud Amérique du Nord Amérique Centrale Océanie Asie Afrique -
Madame, Monsieur, Je vous écris pour vous conter l’histoire extraordinaire d’un chien, un labrador de 2 ans qui a perdu la vue à un an. J’espère transmettre le message à ceux qui se retrouveraient dans la même situation : ne pas perdre espoir, ni confiance, mais de persister car le résultat en vaut vraiment la peine. Je n’ai jamais eu l’idée de vous écrire auparavant, pensant que cette histoire était d’un banal et surtout que ce que j’ai fait pour mon chien est tout à fait normal, hors il apparaît que les gens alentours pensent que c’est exceptionnel mais surtout et avant tout, apporter une expérience qui pourrait être utile aux personnes qui se retrouvent dans la même situation et ne savent pas où s’adresser, puisqu’à ce jour je n’ai toujours rien trouver sur le sujet «vivre avec la cécité d’un jeune chien ». Je vous laisse seul juge. Depuis que j’ai mon Labrador (Looney), j’ai toujours remarqué qu’il avait un problème à un œil. Ce labrador a été acquis chez un éleveur reconnu avec un pedigree, donc je n’avais pas de doute quant à ses origines (i.e : chiens venant de l’Est, mal traités, etc..). Lors des contrôles et vaccins chez le vétérinaire, tous m’ont assurés (3 vétérinaires différents) que mon chien n’avait aucun problème aux yeux. Néanmoins, lors de nos balades et jeux, Looney ne voyait rien du côté gauche, il pouvait nous passer à côté sans nous voir, ne pas attraper la balle si elle se trouvait côté gauche. A force d’insister auprès des vétérinaires, nous avons eu le nom d’un spécialiste ophtalmologue qui a examiné Looney : l’œil gauche a perdu 80% de son acuité visuelle et l’œil droit a une cataracte juvénile qu’il est préférable de ne pas opérer….nous avons décidé de consulter un deuxième spécialiste, «moins conservateur » et après de multiples examens (ce qui diffère du premier ophtalmologue) le verdict tombe : l’œil gauche ne s’est pas développé normalement, la rétine n’a pu avoir une croissance ordinaire, donc Looney est aveugle de l’œil gauche et il n’y a plus rien à faire. Suite à cela, le vétérinaire nous confirme la fragilité de l’œil droit et la cataracte juvénile à opérer sans trop tarder – d’où l’importance d’avoir plusieurs avis . Looney se fait opérer de la cataracte. Au vue de sa fragilité, le vétérinaire nous conseille de consolider l’œil avec des séances de laser (sans aucune assurance de réussite, donc c’est très personnel comme décision)…. trois mois après, finallement la rétine se décolle (je vous passe les détails des suites… Looney a dû subir d’autres opérations pour sauver la rétine, puis devant l’échec de l’opération, mise en place d’un implant, puis glaucome, etc..). Lorsque la rétine se décolle, le chien étant déjà aveugle d’un œil se retrouve soudainement dans le noir le plus total ; c’est subit et sans préavis. Le chien se bloque, ne veut plus avancer. Looney qui n’avait que treize mois à cette époque, était si dynamique, s’est soudainement replié sur lui-même. Il dormait non stop, même le sortir pour ses besoins lui demandait un effort. La déprime totale. Dès lors, j’ai cherché auprès de comportementalistes, sur internet, dans des livres des conseils sur « la psychologie d’un chien aveugle » et surtout comment vivre avec un chien aveugle – comment gérer cette situation et que lui apporter pour qu’il soit heureux. Personne n’a su me répondre et je n’ai rien trouvé sur internet, mise à part les « chiens d’aveugle » et la cécité de votre chien qui vieillit… mais là nous parlons d’une cécité soudaine, chez un jeune chien. Tout d’abord, le vétérinaire a été extraordinaire avec Looney et avec nous. Il nous a toujours dit qu’un jeune chien, même aveugle pourra et peut vivre « normalement » avec quelques aménagements et surtout que c’est notre attitude qui conditionne le « moral » du chien. Dès lors, j’ai décidé de revivre normalement avec Looney, c'est-à-dire de le « booster » et le sortir comme avant, balades en forêts, au bord du lac, baignade, vélo etc… avec ou sans laisse, comme avant dans les chemins de campagne, en ville, prendre le train, etc… Il faut beaucoup d’amour, énormément de patience et de la persévérance à foisonJ. Pour bien commencer, il faut lui apprendre de nouveaux codes (nouveaux mots), comme « attention » : lorsque nous nous promenons, il suit mes pas, au début je faisais beaucoup de bruit (soit en marchant, soit en parlant) – aujourd’hui je n’ai plus besoin de faire du bruit – si il rencontre un obstacle, je répète le mot « attention » - à force de répéter et parfois de se cogner, il a compris que le « attention » = danger – donc Looney s’arrête immédiatement au signal sonore de ce mot. Ne pas oublier de le féliciter ! A cela, j’ai ajouté les mots « gauche et droite » pour pouvoir continuer à jouer avec lui et surtout qu’il s’amuse avec ses balles ou si il devait se retrouver coincer quelque part : vous le promenez en laisse (courte) et vous marchez tout droit puis quand vous passez à gauche ou droite, toujours donner un petit coup bref dans la laisse au même moment que vous prononcez gauche ou droite. J’ai aussi continué à cacher des jouets pour qu’il les trouve et les rapporte, même principe que pour un chien voyant. Je continu à lui lancer des balles dans l’eau et il va à la nage les rechercher : je lui fais sentir la balle, puis je lui dit « écoute », je la lance et il part à sa recherche. Si il s’éloigne de son objectif, je lance des pierres près de la balle pour qu’il se dirige au bruit et j’utilise les mots « gauche et droite » : je peux dire qu’aujourd’hui dans 99% des cas, il me ramène ses balles » ! En parlant de balle, il est préférable d’utiliser des balles qui font du bruit. Pour monter et descendre les escaliers, c’est aussi au travers de codes et de la laisse que nous avons commencé à devenir les spécialistes des escaliers J maintenant avec ou sans laisse, dès que nous atteignons un escalier, je dis « hop-hop » avec un fort bruit de pas sur les deux premières marches et je peux vous assurer qu’il me dépasse lors de la montée ou descente d’escaliers ! A la maison ou dans le jardin, il est clair qu’il est préférable d’éviter d’avoir des dizaines de rosiers, sans protection autour et des bibelots fragiles chez vous ! si vous devez changer les meubles ou ajouter des choses, prendre le chien par le collier et lui faire faire le tour de la maison deux fois, idem pour le jardin et vous verrez que le chien s’accoutume très vite et très bien. Vous ne pouvez éviter quelques « bleus », l’essentiel étant de le mettre à l’abri et de l’avoir toujours à l’œil, dans un endroit inconnu. Il vous collera d’avantage, c’est indubitable – vous serez ses yeux et il sera encore plus proche de vous, comme vous serez tellement plus près de lui – une symbiose est née ! Quant à la sociabilité du chien : il est devenu un tout petit peu peureux, c'est-à-dire que lorsque nous rencontrons d’autres chiens, il s’arrête, me « regarde » (enfin dirige sa tête dans ma direction) et attend le feu vert « vas y », comme pour lui signaler qu’il n’y a pas de danger. Ensuite, la nature s’occupe de tout, c'est-à-dire que c’est comme pour deux chiens qui se rencontrent pour la première fois (ça passe ou ça casse). Bien entendu les conseils des professionnels restent les mêmes quant à l’obéissance, et si il vient se réfugier derrière vous par peur, ne pas l’en féliciter. J’attends en principe un moment et surtout que le chien soit parti et je lui dit « je suis là », car c’est tout de même important de le rassurer et il a d’autant plus besoin de contacts et de vous entendre, qu’il n’a plus de repère visuel. Looney a continué sa vie d’avant, il va chez un « Dog Sitter » (une nourrice pour chien) avec d’autres chiens pendant que je travaille ; il est très sociable et joue toujours autant avec les autres chiens. Pour éviter l’agression de certains chiens, il est préférable de le faire stériliser pour éviter tout problème avec un chien qui serait dominant. En résumé, tout est possible : beaucoup d’amour, énormément de contacts (tant physique que sonore), des jeux, du partage, le mettre au contact de ses congénères sans trop tarder et ne pas nourrir sa peur mais le traiter comme un chien normal. Un des principaux facteurs pour la sécurité du chien : avoir toujours un œil sur lui, en dehors de chez vous ! C’est vital. Vous seriez impressionné par sa capacité à flairer les peluches des enfants, à sa joie de vivre et à l’amour qu’on peut recevoir d’un animal qui vous donne sa vie, à nous d’en être digne. Je ne sais dans quelle mesure ce témoignage pourrait être utile. Ce n’est pas non plus de la grande prose et pour finir j’ai essayé d’être factuelle sans être trop émotionnelle. Source: Lucille R.
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Vaste sujet par les temps qui courent, surtout la situant dans une relation inter spécifique ! Nous voyons aujourd’hui poindre de nouvelles théories à son propos (cf. plusieurs sites internet). Des théories qui dans leurs présentations avancent systématiquement une chose et son contraire : la hiérarchie de l’homme à l’animal n’existe pas. Elle est niée, précisant qu’il faut jeter aux oubliettes une philosophie qui pourtant a fait ses preuves depuis tout de même quelques décennies. Paradoxe, car elles précisent ce négationnisme à la force d’une vérité qui n’est finalement qu’elle-même : ça n’existe pas… et paradoxe parce que selon la même diatribe doctement soutenue, il est affirmé que l’homme maîtrise les ressources du chien captif, doit se faire respecter par cet animal qui, si cela ne se produit pas, se charge alors de le faire ! Nous sommes tout à fait disposés à développer nos connaissances, nos réflexions. Encore faut-il que les nouvelles considérations reposent sur des faits scientifiquement étayés et non pas sur des allégations en contradiction avec elles-mêmes. Ouverts à toute évolution, nous considérons aujourd’hui que, compte tenu de la maigreur, voire de l’insignifiance de l’argumentaire tenu, le concept de hiérarchie entre l’homme et le chien est toujours valide. Pour nous prouver le contraire il ne suffit pas d’avancer les noms de telles ou telles personnes. Ces considérations doivent être étayées par des réflexions scientifiques d’où se trouve exclue toute variable anthropomorphique, ce qui ne nous semble pas être un cas d’espèce. Ces relevés scientifiques reposent sur des observations expérimentales répétées, vérifiées, contrôlées sur un échantillon statistique représentatif des personnes concernées sans que d’autres variables tel un anthropocentrisme qui se voudrait scientifique n’y ait place. Nous référant à des personnalités scientifiques (éthologues, psychologues, psychiatres, philosophes, vétérinaires…) et présentant cette nouvelle carte du monde, tous réfutent par leurs écrits ou leurs propos ce négationnisme. La hiérarchie rapprochée de concepts tels : despotisme, violence, agression, irrespect, brutalité, barbarie, bestialité, brusquerie, cruauté, inhumanité, sauvagerie, agressivité voire peut être même agression, domination, soumission, autoritarisme, etc., dénote d’une singulière considération de la hiérarchie. Singulière et inexacte, ou alors qu’elles sont donc les perceptions des défenseurs de cette théorie pour en arriver à de tels rapprochements ? Nous ne sommes ni dans un extrémisme ni dans un monde où de telles juxtapositions conduiraient à une véritable sclérose relationnelle, cognitive, émotionnelle, comportementale… Nous ne sommes pas non plus dans un angélisme où tout ne serait que « douce tendresse ». Il y a peut être un juste milieu. La hiérarchie est d’abord et avant tout une référence sociale fondatrice de tous les systèmes organisés, quel qu’ils soient ! Elle caractérise tout lien, tout attachement, toute relation entre au moins 2 entités partageant ne serait-ce qu’un territoire, fussent-elles spécifiquement différentes ! Dominique Lestel – philosophe et éthologue -(Les origines animales de la culture – Flammarion - 2003) reprenant T. von Uexküll rapporte en page 241 : « Chaque animal est en contact avec son environnement par l’intermédiaire de ce que von Uexküll appelle un monde vécu qui dépend des actions de l’animal et des perceptions qui leurs sont liées. Comme l’écrit von Uexküll, chaque animal peut être considéré comme étant enfermé dans une bulle translucide qui circonscrit un espace visuel. Est-il besoin d’ajouter que l’homme est un animal qui ne fait pas exception ? Son milieu est plus complexe ; mais les rapports du sujet et de l’objet sont toujours régis par le même principe ». D. Lestel précise ensuite, toujours en référence au même chercheur : « … l’animal n’est pas une machine, son « monde vécu » devient accessible. Dès lors, l’animal est un sujet qui est compréhensible à l’homme, parce que l’élaboration de son monde intérieur est relationnelle et qu’il s’appuie sur des sens que l’on peut concevoir à l’extérieur… il devient difficile de voir ces animaux comme des choses et il vaut mieux se les représenter comme des sujets dont l’activité s’organise dans l’action et la perception… ». Ces propos relèveraient-ils de la déraison ? Ne soulignent-ils pas la spécificité de chaque espèce, y compris l’homme, vivant dans un monde limité à ce qu’il est et pour autant interactif à partir des représentations de chaque univers ? Le chien serait-il différent de cela ? Etablirait-il alors une relation à l’homme dépouillée de ses concepts d’espèce ? Hiérarchie, etc. La conduite d’un chien se déterminerait-elle par pur réflexe, tel un arthropode ? Le fait de vivre en compagnie de l’homme annihilerait-il les compétences intrinsèques du chien ? Comment évoquer une relation en dehors de ces propos ? Tout rapport implique une hiérarchie, fonctionnelle, de savoir, de maîtrise d’un processus, d’attentes conscientes et inconscientes, d’influences voire de séduction, d’un accès aux ressources. Comment peut-on nier ces évidences ? La hiérarchie, bien établie, est symbole de respect des sujets la composant, qu’ils soient dans une relation intra ou inter spécifique ! Elle est au cœur de la relation homme – chien et est l’illustration d’une cohérence relationnelle établit par l’homme connaissant et respectueux de l’ensemble des besoins de cet animal. Nous ajouterons qu’une hiérarchie en place est une hiérarchie vécue qui ne fait appel à aucune punition. Elle est réelle lorsqu’elle n’a pas besoin de s’exprimer (ce qui ne signifie pas qu’elle n’existe pas !) et se vit dans un équilibre où chacun a sa place déterminant une inhibition réciproque de l’agressivité et de son pendant l’agression ou la sanction. Elle se vit dans un rapport d’être et non pas de vouloir qui lui détermine rapport de force et coercition intra comme inter spécifique. Dans ce mode de vie en commun, il en est un qui dépend d’autres et cette dépendance induit un processus hiérarchisé, qu’on le veuille ou non. Affirmé que le chien, dit maintenant familier – une nouvelle espèce sans doute -, ne figurerait pas, ou plus, dans ce système relationnel induit purement et simplement un déni de l’espèce canine. Le chien est relationnel dans son espèce, ne le serait-il plus dès lors qu’il se trouve avec l’homme ? Cette notion de « captif » n’induit-elle pas à elle seule un rapport hiérarchique ? Par ailleurs, comment oser se référer à une « psychologie systémique » en soutenant une telle thèse alors qu’elle retient en tout premier lieu la notion d’influences réciproques, d’adaptation et d’utilité des comportements, de dépendance du sujet à son milieu et son environnement ? Quelle est donc sa place, son utilité, son sens ? Serait-elle aussi expurgée de sa teneur ? Nous en sommes au blasphème… Et puis le chien… ce serait convenir d’un négationnisme ahurissant au regard de son éthologie. Retenons qu’il est bien souligné que « …si l’homme ne prend pas le pouvoir, c’est l’animal qui le fait… » ! Nous ne définissons pas la hiérarchie comme un rapport de force, comme le développement d’une relation au caractère coercitif. Il n’a jamais été question non plus de considérer que s’adapter aux critères sociaux des chiens soit de nature anthropomorphique, le concept même de hiérarchie les architecturant. L’anthropomorphisme serait de définir une nouvelle relation occultant, au regard de principes anthropocentrés, les fondamentaux sociaux de l’espèce observée. C’est ce que nous dit K. Lorenz qui dans un de ces ouvrages souligne que pour observer et analyser une situation il faut avoir les yeux ouverts, en référence à l’observation behaviouriste de nombreux chercheurs considérant le comportement comme entité seulement mesurable dénuée de toute considération environnementale et par la même adaptative ! A ce sujet, le behaviourisme, D. Lestel, dans son ouvrage précité (page 9) rapporte que « … en particulier en éthologie, où plus de 90 % des praticiens restent convaincus de la justesse de la thèse de l’animal-machine… ». Ne serions-nous pas dans ce genre de déterminisme et de détermination avec cette théorie d’un nouveau monde relationnel de et à l’homme ? Il s’agit de respecter nos animaux dans leur mode de vie, selon leur nature, leur singularité, de nous adapter à leur monde selon ce qu’ils sont et ce que chacun est. Nous ne sommes pas des chiens et il est peu probable qu’un chien nous évalue comme chien (nous en aurons la conviction absolue quand ils nous l’auront dit). Il reste que nos comportements, l’organisation de vie que nous imposons à nos animaux, et encore une fois adaptée à leur réalité, fait que ce lien hiérarchique est indubitable. Nous nous contentons d’observer, de constater objectivement leurs comportements et l’évolution adaptative de ceux-ci et refusons toute théorie dont les arguments nous paraissent ne reposant pas sur une démarche scientifique, au vrai sens du terme, et voire même infondés. Et puis, comment se fait-il que des milliers d’entretiens aient été couronnés de succès… et le sont toujours pour ceux en cours… et nous ne sommes pas les seuls… quoique nous appuyant sur la reconnaissance de ce modèle social ? Il ne suffit pas d’affirmer que la hiérarchie n’existe pas. Qu’y a-t-il d’autre à la place, ou pour le moins quelles explications scientifiquement tangibles se dégagent de ces étonnantes perspectives ? Thierry Dupuis et Patrick Le Doeuff Etho Psycho Comportementalistes Membres de l’O.E.C.C Source : http://www.lechienetlafamille.(...)
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Le terme "cani" qui signifie chiens au pluriel dans les langues latines vient du mot grec "cyno" qui signifie chien, et thérapie vient de thérapeutique qui est la médecine (avec diplôme = docteur en médecine, sans diplôme = médecin) qui traite des moyens propres à guérir ou soulager les maladies. Le chien est donc bien un thérapeute à part entière même s'il ne fait (dit-on) que soulager la souffrance et qu'il n'a pas son doctorat. André Martin. Très répandue aux Etats-Unis, la zoothérapie n'est pas encore rentrée dans les habitudes en France. Seulement une trentaine d'hôpitaux ou des maisons de retraite acceptent la présence de "chiens visiteurs"... C'est le cas à Nantes - à Lille - à Marseille et dans quelques autres villes... Pourtant, tout le monde reconnaît aujourd'hui l'influence bénéfique de ces visites sur le moral des enfants ! Chaque semaine à l'Institut Hélio Marin, la visite de Phélia et d'Oural permet un peu de casser la monotonie des journées sans fin ! Dès leur arrivée, la magie opère et les enfants retrouvent le sourire. 30 Millions d'Amis, qui se bat depuis plus de 20 ans pour faciliter l'intégration des animaux de compagnie en milieu hospitalier espère que d'autres hôpitaux tenteront cette même expérience... Source : André Martin http://canitherapie.lepuch.org(...)
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La Canipédagogie Le terme "cani" qui signifie chiens au pluriel dans les langues latines vient du mot grec "cyno" qui signifie chien. Le terme "pédagogie" est un élément important dans le cadre scolaire puisqu'il s'agit de la science de l'éducation et de l'instruction. J'ai créé le mot "canipédagogie" afin qu'il corresponde à l'action menée et qu'elle soit comprise. Le projet aura un impact positif sur les adultes car l'information dans le cadre scolaire est plus crédible aux yeux des parents que n'importe quelle autre. Ils cesseront donc d'avoir des idées préconçues et souvent fausses sur certaines races canines. Les moniteurs canins ne faisant pas partie de l'équipe enseignante, auront plus de facilité à capter et à retenir l'attention des élèves car ils sont pour eux, plus des animateurs que des enseignants. Les chiens seront évidemment présents lors des séances. Dans un premier temps, les enfants apprendront à connaître physiquement les chiens : anatomie, alimentation, entretien, …. Ensuite, ils seront informés sur la législation concernant certaines races (Loi du 6/01/99, entre autres). Enfin une sensibilisation sur les différentes utilisations de l'animal sera proposée : chien guide d'aveugle, chien pour handicapé, chien de sauvetage à l'eau, chien d'avalanche, chien de sauvetage de personnes enfouies sous des décombres, chien de recherche, de détection, chiens de sport…. A l'appui, des démonstrations actives sur les terrains des clubs d'utilisation, des vidéos et autres supports seront aussi proposés pour appuyer l'ensemble. Notre objectif est de prouver qu'aucun chien de quelque race que ce soit, n'est dangereux s'il est encadré et conduit par une personne responsable ayant suivi une réelle formation spécifique sur celui qui est depuis longtemps le meilleur ami de l'homme, en attendant que l'homme soit aussi le meileur ami du chien. Source : André MARTIN http://canipedagogie.lepuch.or(...)
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Les maîtres qui ont un chien agressif vis-à-vis des congénères ont tendance à qualifier ce comportement de « dominant », ce qui est tout à fait inexact. Le vrai dominant n’a pas besoin d’attaquer pour s’imposer. Il faut différencier l’agression entre mâles, entre femelles, entre les sexes, d’un mâle adulte sur un chiot ou sur une femelle. Elle peut être compétitive, territoriale, de distancement, hiérarchique. L’intervention du propriétaire a un rôle important pour la mise en place de l’agressivité (en général protecteur). La prévention passe par l’apprentissage de la communication chez l’éleveur (dès 4 semaines) et par l’Ecole du Chiot : inhibition de la morsure. Le chien mal socialisé peut défendre la personne qu’il considère comme un partenaire sexuel ou social contre le conjoint et les autres membres de la famille, contre les autres chiens. Pour le mâle, il suffit que sa maîtresse ait ses règles pour qu’il agresse. Une séquence d’agression se fait en trois phases pour des chiens normaux : 1) Phase d’intimidation (on montre sa puissance pour ne pas avoir à s’en servir) 2) Phase d’attaque (faire tomber et maintenir jusqu’à ce que l’autre se soumette) 3) Phase d’apaisement (affirmer sa victoire en mordillant ou en chevauchant) Chez le chien normal, le dominant cesse de mordre dès que l’autre se soumet, en général, c’est à l’occasion de « jeux de combat » que ce problème de hiérarchie se règle. Des mouvements exagérés (sauter, pousser, monter dessus, charger) qui sont accompagnés de signes d’amitié (léchage, se rouler, invitation). Il existe des agressions idiopathiques par lésions neurologiques (bilan vétérinaire). Dans les agressions par peur (chien attaqué lorsqu’il était jeune), comme il craint d’avoir mal, il mord plus fort, plus vite et sans menaces préalables. Son but, c’est de provoquer le retrait de l’autre. Dans toutes les formes d’agression : peur, dominance, prédation, protection, possession, douleur, punition, le risque c’est l’instrumentalisation. Attention aux poils devant les yeux (puberté : Briard). A) SIGNAUX DU DOMINANT (chorégraphie) 1) Phase d’intimidation • Grognements, la lèvre supérieure retroussée pour exhiber les dents (incisives supérieures) • Oreilles dressées en direction de l’autre • Poil hérissé • Les membres raidis, le corps tendu, c’est la posture « haute » • La queue est portée haute • Le regard est fixé dans les yeux de l’autre (quelquefois sur le dos) 2) Phase d’attaque (si les postures dominantes sont insuffisantes) La principale arme, c’est les dents, claquer des dents (mouvements à vide) • Se mettre au dessus : cou, garrot, dos • Peut faire une tentative de monte • Pousser et tenter de renverser, coups de pattes • Saisir le museau ou le cou • Orientation des morsures vers le cou ou les épaules en tirant (avec le dominant, la morsure est contrôlée) • Grognements 3) Phase d’apaisement • Renifler l’autre • Uriner dessus ou à côté • Chevaucher • Mordiller, lécher la tête de l’autre • Gratter le sol, grincer les dents • Parade avec posture haute B) SIGNAUX DU DOMINÉ 1) Phase d’intimidation • Regard fuyant, détourné, pour éviter celui du dominant • Oreilles couchées • La pupille est dilatée (change de couleur) • Commissures de lèvres étirées (exhibe les molaires) • Corps plié en arrière ou basculé sur le côté • Tête et queue basses (quelquefois sous le ventre) • Grognement sourd 2) Phase d’attaque (si les postures dominantes sont insuffisantes) • Couché sur le dos ou sur le côté avec un postérieur levé • Présenter le cou, la gorge, le ventre, la région génitale (chiot) • Peut uriner • Possibilité de morsures répétées par les incisives en essayant de faire face en position recroquevillée 3) Phase d’apaisement • Immobilité absolue • Peut fuir en couinant, la queue entre les jambes et agresser par peur L’âge critique : La puberté • La pré-puberté et la puberté (dans les cas difficiles, la castration peut être envisagée) • La prédisposition génétique • L’influence de l’éducation sociale (maître et Ecole du Chiot) – Revoir certains standards de race • La puberté, période de désocialisation, de hiérarchisation, de territorialisation • Les signes vont s’aggraver avec l’âge • Importance de l’âge d’acquisition du chiot (hyperattachement – HS – HA) Le maître peut créer ou augmenter l’agressivité • Il isole son chien des congénères (peur des maladies, de l’attaque) • Il repousse le chien qui s’approche • Il est inquiet • Il prend son chien dans les bras • Il tire sur la laisse • Il réprimande son chien d’une voix monocorde ou donne des petites tapes (effet contraire) • Il crie et gesticule en cas de bagarre • Il ne domine pas son chien, donc pas d’inhibition en sa présence • Le chien est plus agressif en présence du maître, souvent exacerbation avec maître de l’autre sexe • Si on possède deux chiens du même sexe, identifier la hiérarchie entre eux et la respecter La Rééducation I - Evaluer le type d’agression et ses circonstances d’apparition o Interrogatoire du maître o Mise en situation (test) II - Evaluer l’influence du maître o Mise en situation en l’absence du maître III - Dédramatiser o Mâle adulte avec femelles – Femelle avec mâles o Muselière o Jeu de rôle avec le maître sans le chien pour changer le comportement (déculpabiliser) IV - Rééducation o Effet de meute – Des chiens en laisse viennent entourer (d’abord sans le maître) o Dévier l’attention – Balle, friandise (privation) – stimulus fort (pistolet à eau, à amorces, parapluie pliable) o Reprise de l’autorité (protocole à la maison, obéissance directrice) o Punition – Stimuli négatifs au moment de l’agression – D’abord avec un étranger, puis avec le maître (eau, bidon, collier à air) – Système de l’élastique QUE DIT L LOI ? • Le maître du chien qui attaque est responsable (Responsabilité Civile) – Si décès, dommages et intérêts pour préjudice moral • Si la responsabilité n’est pas établie (témoins), chacun est responsable des blessures de l’autre chien • La bagarre a lieu chez le vétérinaire, à la pension, chez un éducateur, ils sont responsables. Au club, si le maître est présent, il est responsable. Source : Joseph ORTEGA - http://ecole.du.chiot.free.fr/(...) Source : http://ecole.du.chiot.free.fr/(...)
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Des régimes végétariens pour nos chiens ?
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Les panières canines
Des régimes végétariens pour nos chiens et chats ? C'est l'objet d'un débat animé entre les adeptes des régimes végétariens et végétaliens et les personnes optant pour qu'un carnivore reste un carnivore. Biologie digestive des chiens et chats Les chiens et les chats sont des carnivores et ils ont un système digestif adapté à ce régime carné. Le transit digestif est plus rapide que celui des herbivores et leur estomac est tout à fait différent de la véritable « cuve à fermentation » permettant de digérer les matières végétales que possèdent les ruminants. De plus, les carnivores sont dotés d’un pancréas produisant les enzymes nécessaires pour digérer efficacement les fibres musculaires et les graisses de leurs proies. En outre, le chat est aussi un carnivore par obligation, car il trouve dans le régime carné des substances que son organisme est incapable de produire et qui ne se trouvent pas, ou en quantités trop faibles par rapport à ses besoins, dans les végétaux et les céréales. Il s’agit notamment des acides aminés « taurine », « carnitine » et « arginine », de certains acides gras essentiels et des vitamines A et B. Dans la nature, les chiens et chats se nourrissent donc principalement de proies animales et d’un peu de végétaux se trouvant dans l’estomac de certaines de leurs proies. Préférences des chiens et chats Le mode d’alimentation reçu par les chiots et chatons dès leur sevrage influence leurs préférences alimentaires à l’âge adulte. Lorsqu’ils ont l’habitude d’un régime alimentaire particulier, ils se contentent généralement de ce même régime chaque jour, durant toute leur vie. Dans cet ordre d’idée, on peut penser que les chiens et chats habitués à recevoir un régime végétarien ne sont sans doute pas malheureux de ne pas avoir accès aux graisses et protéines animales. Mais côté santé, il n’y a à ce jour aucune étude démontrant que soumettre un chien ou un chat à un régime végétarien ou végétalien est sans danger pour sa santé ! Régime végétarien : attention aux carences ! Les chiens et chats soumis à un régime végétarien ou végétalien doivent absolument recevoir des compléments alimentaires contenant les acides gras essentiels, acides aminés et vitamines dont ils ont besoin et qu’ils ne trouvent pas dans les végétaux et/ou céréales. En effet, des études ont montré que certains aliments végétariens commercialisés pour chiens et chats étaient responsables de carences alimentaires et de troubles de la santé. En outre, un contrôle régulier des urines des animaux est indispensable car un régime végétarien, plus pauvre en protéines qu’un régime carné, diminue l’acidité de l’urine des carnivores et ainsi favorise l’apparition de cristaux urinaires. Ces derniers peuvent être responsables d’inflammation et d’infection de la vessie, ainsi que d’obstruction urinaire. Source: http://www.e-sante.be/be/magazine_sante/sante_animaux_compagnie/anemie_chiens_chats_2e_partie-5696-1002-art.htm -
CHIENS : Histoire japonaise qui aurait eu lieu vers 1920
Admin-eleveurcanin a posté un sujet dans Les panières canines
Voici une belle histoire japonaise, qui aurait eu lieu dans les années 1920. Hachiko, parfois appelé Chuken Hachiko pour "chien fidèle" était un chien de race Akita Inu, race très courante au Japon. Tous les matins, son maître prenait le train pour se rendre à son travail, et tous les matins, Hachiko l'accompagnait. Le soir, peu avant l'arrivé du train, Hachiko se rendait à la gare et attendait patiemment le retour de son maître. Ainsi, tous les soirs, ils rentraient ensemble dans leur maison. Le sort voulut que le maître d'Hachiko meure à son travail, et qu'un soir, il ne rentre pas. Pourtant, le lendemain matin, Hachiko vint à la gare, puis il revint le soir, le surlendemain et le jour d'après, encore et encore. Tous les jours, jusqu'à sa propre mort, il resta fidèle à son maître et guetta son retour. Les habitants de la ville de Shibuya, touchés par sa fidélité, l'ont entretenu et nourri. Lorsqu'il est décédé, ils ont érigé une statue à sa mémoire. Cette statue est devenue un symbole de la ville, un lieu de rendez-vous et de rencontre. Cette statue a été fondue pendant la seconde guerre mondiale pour en récupérer le métal. Elle a été reconstruite depuis. Il y a peu, un groupe organisé l'a volée, et les habitants la regrettent profondément... Source : http://www.assurance-chien.fr/(...) http://www.journal-du-chien.com/ -
Astrologie Canine
Admin-eleveurcanin a répondu à un(e) sujet de Admin-eleveurcanin dans Les panières canines
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Les textes qui suivent sont destinés à mieux vous faire percevoir la personnalité de votre chien. Le connaître, c'est le premier atout nécessaire pour assurer son équilibre et son intégration dans votre foyer. Le reste est affaire d'éducation… et d'amour. Les différents points soulignés dans ces études sont bien sûr à interpréter en fonction de la race de votre compagnon. L'intrépidité d'un Bichon n'a pas les mêmes effets que celle d'un Dogue allemand ! Pour tout renseignement complémentaire, ou pour vos problèmes personnels, vous pouvez contacter l'auteur de ces thèmes astraux : Khalia@alyon.org ou la retrouver sur : http://www.alyon.org/ BÉLIER du 21 mars au 19 avril TAUREAU du 20 avril au 20 mai GÉMEAUX du 21 mai au 21 juin CANCER du 22 juin au 22 juil. LION du 23 juil. au 22 août VIERGE du 23 août au 22 sept. BALANCE du 23 sept. au 23 oct. SCORPION du 24 oct. au 22 nov. SAGITTAIRE du 23 nov. au 21 déc. CAPRICORNE du 22 déc. au 20 janv. VERSEAU du 21 janv. au 19 fév. POISSON du 20 fév. au 20 mars