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Chiots : des coups de coeur pour toute une vie... RAPPEL : Le premier salon du chiot se tenait au Parc des expositions, ce week-end Il a suffi d'un regard. Aimie, Germain, Vivien, et leurs parents : toute la famille Ques a craqué pour les yeux vairons de cette boule de poils de deux mois... et déjà 10 kg sur la bascule ! Moins d'une heure après avoir franchi la porte du Parc des expositions, hier, ils sont repartis avec leur nouveau compagnon à quatre pattes. Une heure plus tôt, pourtant, les parents n'en avaient pas l'intention. « On l'envisageait seulement dans un an. On venait juste se renseigner sur les races », reconnaît le père de famille, qui n'y voit tout de même pas là un caprice. L'animal a déjà ses futures journées occupées sur le chantier naval de Marc, et sa place au chalet de Gruissan où ils habitent. « Avec trois enfants, j'ai bon espoir qu'ils s'en occupent », anticipe la maman. Photo Françoise TALLIEU Des achats coup de coeur irréfléchis, Bénédicte Marchand, éleveuse avec sa maman Marie-Pierre, assure arriver à les repérer, quitte « à faire réfléchir les personnes ». La jeune femme dit se méfier de ceux qui arrivent en s'écriant : « Oh, c'est le chien de mes rêves ! C'est ça que je veux ! » Avant de vendre l'un de ses bouledogues français ou anglais, Bénédicte pose un certain nombre de questions : « Où vivez-vous, quel est votre rythme de vie ? On établit un rapport de confiance entre les gens », assure la professionnelle, qui ne se rappelle que trop ce qui est arrivé à l'un des chiots qu'elle avait vendu « à un couple amoureux fou. Trois mois après ils divorçaient. Ils se sont disputé le chien. Par colère, l'homme l'a jeté dans la piscine... » Depuis, Bénédicte Marchand fait promettre à ses acheteurs : « Si vous devez vous en séparer, rendez-le nous » . A 1 500 € certaines races, le prix peut refroidir un coup de foudre... A condition de ne pas étiqueter un "paiement en dix fois sans frais" comme vu sur certains enclos. Ce que se refuse à faire Bénédicte Marchand : « On ne vend pas un téléphone... » Quelques stands plus loin, une autre jeune famille s'attarde sur une tripotée de jeunes bergers malinois. « Le jardin actuel est trop petit », se convainc le père. L'éleveuse lui approche la petite chienne à hauteur du visage. Une lichette plus tard, l'animal est déposé dans ses bras et les enfants se chamaillent pour le caresser. Le chien est finalement reposé dans son enclos. Mais la famille s'attarde. Retourne voir l'éleveuse pour en savoir plus. Le père de famille a bien déjà eu un Groendal et un berger allemand, « mais c'est plus docile qu'un berger malinois », pense-t-il. L'éleveuse leur parle de « la docilité et le calme » de la petite chienne. L'opération séduction a commencé. Espérons qu'elle dure toute une vie... même de chien. Marie PINTADO Source : http://www.midilibre.com/artic(...)

La Réunion - Chiens dangereux : les maîtres passent leur permis Chiens dangereux : les maîtres passent leur permis Depuis le 1er janvier, les propriétaires de chiens dits “dangereux” doivent posséder un permis de détention. Délivré par les mairies, le sésame ne s’obtient sans une attestation d’aptitude. Elle s’acquiert via un stage théorique. Objectif : éduquer et responsabiliser les maîtres bien souvent inconscients du danger potentiel. Votre tendre Médor s’apparente à un impressionnant colosse qui, plus est, un chien de catégorie 1 ou 2. Du coup, la seule déclaration administrative ne suffit plus à rester dans la légalité. Depuis le 1er janvier, les propriétaires de ces chiens dits “dangereux”, doivent, en effet, obtenir de leur mairie un permis de détention. Pas question de stigmatiser telle ou telle race. Cette nouvelle mesure vise davantage à informer et éduquer, non plus les chiens mais leurs maîtres. En bref, à les responsabiliser aux dangers qui sommeillent en leurs compagnons. “La plupart des propriétaires ignorent beaucoup de leur animal. Lorsque l’on ne cerne pas sa psychologie, il reste difficile de maîtriser son chien et bien souvent d’éviter l’erreur, pire, l’accident”, explique Jacky Piton, éducateur canin. Comme lui, une douzaine de professionnels agréés se chargent de délivrer, à La Réunion, des attestations d’aptitude. TEL MAÎTRE, TEL CHIEN Pièce indispensable au dossier destiné à la demande de permis. Chaque éducateur a sa méthode. Le fil conducteur reste la formation obligatoire où l’on ne convie d’ailleurs pas obligatoirement les chiens concernés. Un stage théorique à l’issue duquel les maîtres obtiennent, à coup sûr, la pièce maîtresse. Dresseur depuis trente ans, Jacky Piton tient à rencontrer chaque chien, dans son environnement : “J’observe comment l’animal se comporte en laisse et muselière, je le provoque et le teste. Il arrive que je ne reste qu’une demi-heure quand il n’y a rien à signaler. Parfois, je reste plus de deux heures quand il y a du boulot. On réfléchit à des séances de dressage et toujours, je donne de nombreux conseils. D’une manière générale, il ne faut pas oublier qu’à maître équilibré, chien équilibré”. Depuis la mi-décembre, une trentaine de clients ont fait appel à ses services. Hier matin, il s’est rendu à Saint-André rendre visite à Éva, une Rottweiller de 1 an. UN PERMIS À 300 EUROS Obéissante, joueuse, non agressive. Entourée de deux marmailles, l’animal fait figure d’exemple. “Si ce n’était pas obligatoire, je n’aurais pas fait la démarche car je considère que ma chienne n’est pas dangereuse. Mais au final, j’ai appris pas mal de choses lors du stage théorique. D’ailleurs, j’ai tout de suite transmis les infos à mes enfants”, souligne Olivier avant de confier : “Depuis le durcissement de la loi en 2008, je ne sortais pas mon chien. Maintenant, avec ce permis je n’hésiterai pas”. Une fois l’attestation en poche, il reste encore des échelons administratifs à gravir avant d’obtenir le permis pour posséder Médor. Identification, vaccination antirabique en cours de validité, assurance responsabilité pour les dommages causés au tiers, certificat de stérilisation (pour la 1re catégorie) et une évaluation comportementale. Fournie par le vétérinaire, cette ultime étape scelle le sort du chien. Un nouveau classement a été mis en place. Classe1 : le chien n’est pas dangereux. Classe 2 : il reste susceptible de mordre. Classe 3 : imprévisible et menaçant, le maire doit décider s’il accepte le chien dans sa commune. Classe 4 : chien dangereux, il doit être euthanasié. Face à cette nouvelle obligation, les propriétaires réunionnais ne se précipitent pas en masse. “Lors de la première session de stage en décembre, il y avait huit personnes. Pour la prochaine, prévue le 22 janvier, sept seulement sont inscrites pour le moment”, lance José Robert, entraîneur et moniteur au club canin de la Rivière Saint-Louis. Comment explique-t-il cela ? “Les gens sont mal informés. Il faut dire que certaines mairies n’ont toujours pas la documentation requise. Lorsque j’ai appelé, le 17 décembre, Saint-Louis et Saint-Leu, ils n’étaient même pas au courant de la nouvelle législation qui allait prendre effet le 31”. Quant aux plus réticents malgré tout présents au stage, leur attitude s’est transformée : “ À la fin de la journée, ceux-là même qui râlaient le matin se sont dits satisfaits et ont appris beaucoup sur leurs animaux de compagnie”. En moyenne, il faudra débourser entre 90 et 100 euros pour obtenir ne serait-ce que l’attestation d’aptitude. Globalement, le permis de détention vous en coûtera 250 à 300 euros. Mais quand on aime... Laurène Mazier 3 ans de prison “Un permis de détention ? Pas besoin, mon chien ne sort jamais de chez moi”. Voilà ce que les éducateurs canins entendent fréquemment. Sauf qu’en cas d’accident, faute de permis, l’assurance ne fonctionne évidemment pas. En outre, en cas de contrôle, un propriétaire de chien dît “dangereux” risque trois ans d’emprisonnement et 3750 euros d’amende en plus de la confiscation du chien et de l’interdiction de détention d’un animal à vie, à titre définitif ou non. La formation est obligatoire pour : Tous les propriétaires ou détenteurs de chiens de première (American Staffordshire, Mastiff, Tosa non inscrit au Livre des Origines Français) et de deuxième catégorie (Rottweiler et American Staffordshire inscrits au LOF). Les propriétaires ou détenteurs d’un chien susceptible de présenter un danger. Les propriétaires ou détenteurs d’un chien ayant mordu une personne. Impossible d’avoir un chien dangereux Pour : Les mineurs. Les personnes sous tutelles sauf autorisation. les personnes condamnées pour crime ou à une peine de prison avec ou sans sursis. Dans le cadre de la délivrance de l’attestation d’aptitude, le professionnel agréé n’est pas obligé de voir le chien. Le stage théorique vise à informer les maîtres afin de les responsabiliser. (Photos Ludovic Laï-Yu) Source : http://www.clicanoo.com/index.(...)

Calvi : Les chiens en divagation sont un danger bien réel Photo : Maurice Bernaudon Une femme a été victime de l'attaque d'un chien errant la semaine dernière au lotissement Paesolu. Un incident qui relance le débat sur la dangerosité des chiens en divagation. En fin de semaine dernière, au lotissement Paesolu, une femme a été attaquée et blessée par un chien errant. C'est en voulant s'interposer entre son chat et l'animal que l'accident est survenu. Se retournant vers elle, il l'a saisie au niveau du poignet en la traînant sur plusieurs mètres. « Deux chiens étaient présents. Le premier était de couleur bringé et l'autre de type labrador, témoigne la fille de la victime. Lorsqu'ils ont commencé à se battre avec notre chat et que ma mère est intervenue pour le sauver, l'un des chiens l'a violemment attaquée. Elle ne doit son salut qu'aux voisins qui ont fait fuir les deux animaux. » Touchée aux tendons Saignant abondamment et touchée aux tendons, la victime a immédiatement été conduite par sa fille à l'antenne médicale d'urgence. « Nous sommes allées déposer plainte à la gendarmerie car ce n'est pas la première fois que de tels faits se produisent à Calvi. Si ces chiens s'étaient attaqués à un enfant jouant devant le lotissement, cela aurait pu être beaucoup plus grave », précise-t-elle. Trop gravement blessé, le chat a dû être euthanasié. Plusieurs riverains se sont déjà plaints de nuisances commises par des chiens errants. Viviane Bie, responsable du refuge « Nos amis à 4 pattes », connaît ce problème. « Tout d'abord il est important de souligner qu'on ne peut pas parler de chien méchant. Il n'existe que des mauvais maîtres. » Avant de fermer les portes de son refuge en 2010 pour raison de santé, elle a recueilli près de quarante chiens pour l'année 2009 dans la communauté de communes Calvi-Balagne. « Beaucoup sont des chiens de chasse victimes de laxisme ou bien qui se perdent et errent dans les environs de Calvi. Souvent sans puce électronique ni tatouage, il nous est difficile d'identifier leurs maîtres », explique-t-elle. Livrés à eux-mêmes, « ils perdent peu à peu toute inhibition et peuvent alors devenir dangereux », ajoute la responsable du refuge. D'autant que l'effet de groupe accentue souvent les risques. « À partir de deux chiens, on parle déjà de meute. Une hiérarchie s'instaure alors rapidement et les instincts naturels reprennent le dessus », développe Viviane Bie. Qui est responsable ? Les propriétaires tout d'abord qui ne s'occupent pas de leurs animaux. Et les municipalités qui, par décret du 25 novembre 2000, doivent prendre toutes les dispositions « de nature à permettre une prise en charge rapide de tout animal errant ou en état de divagation (...) en dehors des heures et des jours ouverts de la fourrière ou de la structure qu'elles ont désignée comme lieu de dépôt. » À l'issue d'un délai de huit jours, si l'animal n'est pas réclamé par son propriétaire, ce dernier est considéré comme étant abandonné. Le maire peut le céder ou, après avis d'un vétérinaire, le faire euthanasier. Ghjilormu Padovani Source : http://www.corsematin.com/ra/s(...)

Brasles Boulettes empoisonnées / Un chien victime sous surveillance Les propriétaires de chiens sont invités à la prudence sur la commune de Brasles. L'un d'eux a été hospitalisé après avoir avalé des appâts empoisonnés. Photo : Marie Laserna espère que son jeune jack russel survivra à cette mauvaise aventure. «ON veut juste prévenir la population », demande Marie Laserna, encore sous le choc. « Il faut faire attention lorsqu'on promène son chien. », Son jeune compagnon à quatre pattes, a passé deux jours en clinique vétérinaire à Condé-en-Brie à la suite d'un empoisonnement. Vendredi après-midi, les enfants de Marie Laserna, promènent la nouvelle coqueluche de la famille à Brasles. Elche, espiègle jack russel de 5 mois, gambade sur le chemin des Chopinettes. Celui-là même qui amène les promeneurs à l'espace Eyssartier. Les accompagnateurs ont à peine vu l'animal avaler quelque chose trouvée au sol. Rien d'alarmant jusque-là. Ce n'est qu'une fois à la maison que le chien a présenté les premiers signes d'empoisonnement. « Il s'est mis à baver, se souvient Marie Laserna, puis il s'est vidé ». Transporté aux urgences vétérinaires, l'animal a été sauvé de justesse. Aujourd'hui, il a retrouvé le foyer de ses maîtres, très affaibli. Il n'est pas encore sorti d'affaire mais Marie Laserna a bon espoir de le requinquer. Le vétérinaire a, quant à lui, diagnostiqué un empoisonnement aux pesticides. « Il n'a pas pu déterminer exactement le poison utilisé, explique la propriétaire de Elche. Mais, il nous a dit qu'il était dissimulé dans des boulettes de viande. Il en a retrouvé dans les selles de notre chien. » Geste volontaire ou accidentel ? Après avoir averti la mairie et la presse, les propriétaires du chien devaient déposer une plainte en gendarmerie. « On ne doit pas s'en prendre aux animaux même si on ne les apprécie pas », proteste Marie Laserna. Elle ne comprend toujours pas cette volonté d'attenter à la vie de nos plus fidèles compagnons. D'après les faits, le geste paraît délibéré. Les appâts ont été posés sur un chemin communal très fréquenté par les promeneurs et les propriétaires de chiens. « Il est trop tôt pour en tirer des conclusions », tempère le docteur vétérinaire qui s'est occupé de Elche. « Il peut s'agir d'appâts pour les nuisibles pour les renards par exemple, qui ont été déplacés par les oiseaux. On rencontre ce genre d'empoisonnement après la fermeture de la chasse. Sur Château-Thierry cela reste très anecdotique à cette époque de l'année. » A ce jour, aucun autre animal n'a souffert des mêmes troubles « mais nous sommes beaucoup de vétérinaires dans l'arrondissement de Château-Thierry ». Accident ou geste isolé, la vigilance reste de mise pour tout propriétaire de chat ou de chien qui se trouve dans les environs. Isabel DA SILVA Source : http://www.lunion.presse.fr/in(...)

CAMPSEGRET. Des chiens ont tué un daim et des moutons avant de fuir mystérieusement La ferme attaquée Les daims survivants, hier après-midi, au parc animalier de Campsegret. (Photo Émilie Drouinaud) Deux jeunes moutons et un daim tués, une daine avortée. Et quatre « gros » chiens envolés. Dimanche en fin de matinée, le soigneur de la ferme animalière du Touron, au bord de la RN 21 à Campsegret, entre Bergerac et Périgueux, a surpris ce quatuor canin aux prises avec les daims de l'enclos le plus éloigné dans le parc de 20 hectares. Il a réussi à en attraper deux, à les attacher solidement, avant de partir chercher du secours au restaurant de la ferme. Une demi-heure plus tard, les chiens avaient disparu, d'après le récit des propriétaires. « Vu comme ils étaient attachés, c'était impossible qu'ils s'échappent », expliquait hier après-midi Dominique Cougouille, la gérante. Elle a déposé plainte auprès de la gendarmerie de Bergerac, « en attendant que le propriétaire se dénonce ». Moins touchée par les conséquences du raid que par la méthode : pour elle, les chiens ont forcément été détachés par leur propriétaire, avant de filer. Rien vu, rien entendu Depuis dimanche, le maire du village, Gérard Malaubier, n'a « rien vu » et rien su de l'affaire. Il n'était pas de la chasse ce jour-là. Pas plus que Claude Bonnamy, président de la société de chasse locale, qui n'a « pas eu vent » de l'histoire non plus. « Vous savez, des chiens, ça peut venir de loin », hasarde-t-il, avant de proposer son aide « si on entend parler de quelque chose ». Reste la version des gérants, loin de discourir contre la chasse. La clôture au fond du bois, où les visiteurs ne vont pas, est plus fragile que celles qui protègent les 400 animaux de la ferme touristique. Elle est régulièrement abîmée par les gros gibiers que l'on chasse aux alentours. D'où le scénario de chiens de meute, égarés dans le bois, qui ont pu forcer la clôture du parc, puis celle de l'enclos aux daims. « C'est déjà arrivé il y a dix ans », quand le parc avait ouvert, en 1998. « Un de nos yacks avait été tué », raconte Simone Cougouille, la mère de Dominique. « Ce genre d'accident, ça arrive. Chacun prend ses responsabilités, les assurances civiles fonctionnent. Au pire, on s'arrange », explique Dominique. Mais, dimanche, elle est certaine que les chiens ont été détachés, pour soigneusement éviter la négociation. « Ce n'est pas possible autrement. C'est là-dessus que ça coince : nous sommes choqués. » Ironie de l'histoire : souvent, dit-elle, elle garde les chiens de chasse égarés, pour les protéger de la nationale. Mais « se tailler lamentablement », ce n'est pas « correct », juge-t-elle. Presque soulagée que le rodéo des chiens n'ait pas fait plus de victimes parmi les six daims survivants : « Les daims sont fragiles du coeur, ils ne sont pas habitués à être affolés. » Les dépouilles des animaux ont été photographiées par les gendarmes de Bergerac et seront portées chez l'équarrisseur. Les gérants visent « deux groupes de chasseurs » qui ont leurs habitudes autour du parc. « On sait qu'ils cherchaient les chiens : on connaît les voitures... » Auteur : Adrien Vergnolle a.vergnolle@sudouest.com Source : http://www.sudouest.com/dordog(...)

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Chiens, Canada,Ottawa - Un concours de chasse controversé Un concours de chasse aux coyotes soulève bien des réactions dans le secteur rural d'Osgoode dans le sud-ouest d'Ottawa, où le nombre de meutes monte en flèche. Si bien des résidents s'inquiètent pour leur sécurité, les défenseurs des animaux croient qu'il ne s'agit pas de la bonne solution. Sonya Schmidt et sa famille habitent dans le secteur d'Osgoode. Ils connaissent bien les problèmes de surpopulation de coyotes. « J'ai très peur des coyotes, parce que tous les soirs les coyotes viennent ici et j'ai trois petits enfants », explique Mme Schmidt. Elle s'est procuré deux énormes chiens pour l'alerter du danger, particulièrement lorsque ses enfants jouent seuls dans la cour arrière. En fait, c'est tout le secteur qui est aux prises avec ce problème. Un dépotoir à carcasses d'animaux situé à proximité du village d'Osgoode attirerait les meutes. Pour remédier au problème, le club de chasse et pêche du village organise un concours qui encourage les chasseurs à tuer ces nombreux coyotes. Chaque chasseur pouvant prouver qu'il a tué un coyote court la chance de gagner une arme à feu. Cette initiative est appuyée par le conseiller municipal Doug Thompson, puisque la chasse aux coyotes est tout à fait légale en Ontario avec le permis requis. Toutefois, pour Donna Dubreuil, porte-parole de l'organisme Ottawa-Carleton Wildlife, cette solution est un coup d'épée dans l'eau. Elle soutient que lorsqu'ils sont chassés de façon intensive, les coyotes ont tendance à se reproduire plus rapidement par instinct de survie. Entre-temps, la Ville d'Ottawa cherche des solutions pour remédier au problème. Source : http://www.radio-canada.ca/reg(...)

Suisse - Chien comédien Amila», bête de scène Image Christian Bonzon Le théâtre, c'est un jeu pour «Amila». Rien ne l'effraie, ni le bruit dans la salle ni l'agitation sur la scène. Au contraire... Après la Comédie de Genève, c'est au tour du Théâtre Pitoëff de faire monter un chien sur les planches. Et il y tient un vrai rôle. Pascale Bieri - Le Matin «Ce chien fait des trucs incroyables!» Ce chien, c'est «Amila», un jack russel de 3 ans, qui répète actuellement à Genève, au Théâtre Pitoëff, un rôle de bouffon, dans «Songe d'une soeur», une tragi-comédie imaginée par l'auteur genevois Jean-Michel Wissmer. Pourtant, l'écrivain qui s'émeut ainsi «n'est pas très chien». Et si «Amila» s'est retrouvée dans sa pièce, c'est par la volonté du metteur en scène, Roberto Salomon. Mais la petite chienne, costumée d'une collerette de la Renaissance, n'est pas juste là pour attendrir les spectateurs. «Elle est un reflet burlesque de Soeur Juana, l'héroïne de la pièce, une poétesse baroque d'Amérique latine, qui a vécu entre 1648 et 1695, une femme très libre, qui composa notamment des comédies de cape et d'épée qu'elle vendait au profit de son couvent.» Touche pas à mes affaires! Sur scène, «Amila» danse, roule, saute, joue... les taureaux. Une vraie comédienne à poil. Et presqu'une enfant de la balle, puisque tout chiot, elle a été adoptée par Naara Salomon, comédienne dans la pièce, et son mari, Roberto. D'ailleurs, la miss a déjà une belle expérience, même si c'est la première fois qu'elle monte sur les planches. Dans la vie, elle fait de l'agility, du dog dancing et travaille également comme chien thérapeute. De plus, depuis toujours, elle accompagne Naara au théâtre, voire au cinéma, installée dans son sac de transport. Pas étonnant donc qu'elle soit «zen et très centrée». Ce qui ne l'empêche pas d'avoir un caractère bien trempé de jack russel. Gare à qui s'approche trop de ses affaires dans sa loge! Mais personne ne lui en tient rigueur. «Autrement, elle est tellement sympa», assurent d'une seule voix les comédiens. Quant au salaire d'«Amila», il se compose de petits bouts de saucisses, fromages et de croquettes. Mais encore faut-il doser correctement et varier les récompenses... pour éviter que mademoiselle ne se lasse et se démotive. Et ne pas oublier d'aller dans sa loge, la réveiller un bon moment avant ses scènes pour qu'elle soit bien alerte. Reste que, généralement, son tempérament cabot prend le dessus. «Songe d'une soeur» de Jean-Michel Wissmer Théâtre Pitoëff à Genève (079/759'94'28) du 15 janvier au 7 février. Source : http://www.lematin.ch/guide/an(...)

Chiens dangereux: les ratés de la loi Le permis de détention devait entrer en vigueur au 1er janvier. Éducateurs et textes manquent à l'appel. L'entrée en vigueur du permis de détention de chiens dits dangereux (catégories 1 et 2) prévue au 1er janvier 2010 prend du retard à l'allumage. La non-parution des textes au Journal officiel pousse les maires à refuser de délivrer en l'état le permis, « faute de modèle » tandis que les éducateurs canins manquent à l'appel. Un retard déjà rattrapé par l'actualité. Il y a deux jours, une fillette de 5 ans a été grièvement blessée après avoir été mordue en pleine rue à Vénissieux (Rhône) par deux rottweilers échappés d'un pavillon. Le pronostic vital de la petite Inès n'est heureusement pas engagé mais il a fallu y aller à « l'arme blanche » pour faire lâcher prise à ces deux molosses appartenant à des commerçants du quartier. Selon la police, les animaux avaient été « déclarés en mairie ». Ce qui est loin d'être le cas pour la grande majorité des 320 000 chiens dangereux recensés en France. Et pour cause. Rattrapés par la loi ou par leur mairie respective, de très nombreux propriétaires cherchent à obtenir le précieux sésame auprès des vétérinaires et éducateurs canins habilités à délivrer le certificat de détention. « Quand ils sont au courant », déclare avec une pointe d'ironie Isabelle Barthes Courtet qui remarque que certaines mairies n'ont même pas été avisées de l'entrée en vigueur de la loi. En tant qu'éducateur agréé intervenant notamment en Haute-Garonne, elle a refusé de participer au « partage de gâteau ». Il faut en effet compter de 100 à 150 € pour le vétérinaire qui délivre le certificat d'évaluation comportementale et de 100 à 130 € pour la journée de formation des maîtres obligatoire. De plus, à l'image de nombre de ses homologues, Isabelle Barthes-Courtet dénonce « une loi montée en dépit du bon sens », de même que la catégorisation des races en soulignant « qu'un chien, quel qu'il soit, n'est que ce que l'on en fait. » Ce qui ne l'empêche pas de renvoyer les propriétaires qui la sollicitent vers le site du Collectif des 4C où sont recensés les 526 formateurs disponibles en France. À raison d'une formation par semaine, il faudra d'évidence plusieurs mois pour que les 250 000 propriétaires concernés y passent. Christine Roth-Puyo -------------------------------------------------------------------------------- « Tous les propriétaires devraient se former » Sylvie Lemignon est éducatrice -comportementaliste et dirige l'institut cynophile de Gratentour (31). Avez-vous été assaillie de demandes de propriétaires ces derniers mois ? Paradoxalement, non. Bien sûr en novembre et décembre, le centre a travaillé au complet tous les week-ends. Mais depuis on enregistre une baisse significative de demandes. Des raisons à cela ? Je pense que le coût que représente le permis de détention a fait reculer beaucoup de propriétaires, notamment au lendemain des fêtes. Il y en a d'autres qui ont décidé de ne pas faire les démarches. Enfin, j'ai été surprise de découvrir des propriétaires qui venaient chez nous pour de tout autres raisons, absolument pas au courant de la loi. Reste que tous ceux qui ont fait la formation ont appris quelque chose. Et ça, c'est formidable. De quel point de vue ? Le décodage comportemental du chien est essentiel et a étonné les plus sceptiques. C'est ce qui me conforte dans l'idée que tous les propriétaires devraient en passer par là. On voit son chien différemment après. Vous le savez, je suis contre la catégorisation des chiens et mon expérience partagée avec d'autres professionnels démontre qu'il n'y a pas de chien méchant. L'animal n'est que ce que l'on en fait. Il suffit d'ailleurs de se reporter à l'historique des blessures pour voir que les plus gros ne sont pas forcément les plus méchants. Cette formation peut justement se faire sans l'animal. N'y a t il pas là un contresens ? Au centre cynophile nous n'imaginons pas la journée de formation sans l'animal. Chez nous, ça se solde par trois heures d'exercice en extérieur et en petit groupe. Je sais que ça ne se passe pas partout de la même manière. C'est une prise de risque évidente et non contrôlée par la loi. Recueillis par Ch.R.-P. Source : http://www.ladepeche.fr/articl(...)

et en plus, les tétines pour lui tout seul !

guigui Un seul bébé Dalmatien ? Ce doit être rare de n'avoir qu'un bébé pour la race, non ? Désolée, pour ton petit bout. ......... Fly Boy prend 20 gr/jour

Ils sont tous splendides ! La vidéo est courte mais on se rend bien compte des parties de courses.

en attente

Quand vous aurez une portée, venez cliquer sur le sondage qui va durer toute l'année 2010 à chaque portée, vous pouvez venir et revenir voter.

JANVIER 2010 3 garçons dont 2 dcd chez moi Mano Delmas 2 garçons pour une fille Katia 5 garçons pour 3 filles (à suivre)

Bienvenue à tes bébés Lhassanoux Je vois que ça commence fort avec les garçons par rapport aux filles sur le forum naissances

Bienvenue

Bonjour, comme convenu je vous indique mes informations éleveur : - affixe "du taillis de la mordorée" - site internet: [url=http://taillis-mordoree.chiens-de-france.com/]http://taillis-mordoree.chiens-de-france.com[/url] Je me présente sur le forum immédiatement... Merci a bientot Yoann

La Lettre de la SCC - n°01 – 5 janvier 2010 – contact : lalettre@centrale-canine.fr

LE CHAMPIONNAT DE FRANCE 2010 AURA LIEU A PARIS-NORD VILLEPINTE Le championnat annuel de la SCC aura lieu les samedi 10 et dimanche 11 juillet 2010. L’exposition Mondiale de 2011 (avec attribution de CACIB) aura lieu au même endroit, du jeudi 7 au dimanche 10 juillet 2011. Pendant la Mondiale, les mêmes journées avec alternance des groupes, aura également lieu le Championnat de France, avec attribution du CACS (et pas de CACIB). Le jury du Championnat 2010 est disponible sur le site web de la SCC et les jurys prévisionnels pour 2011 seront également rapidement diffusés

SALON DE L’AGRICULTURE ET CONCOURS GENERAL AGRICOLE Plus de 450.000 visiteurs du salon de l’Agriculture passent par le hall n°4 qui accueille nos chiens, c’est à dire plus en une semaine que toutes les autres manifestations cynophiles de l’année. Cette année 2010, le CGA et le village des races, c’est du 27 février au 7 mars à la Porte de Versailles. Pour tout renseignement, Sylvie Mignon (01.49.37.54.23)

CONFIRMATIONS : EVOLUTION 2010 Il y a au moins sept ans que les tarifs pour les confirmations et le LOF n’avaient pas évolué. En ce début d’année, un petit coup de pouce vers le haut et, simultanément, un nouveau formulaire de demande. Pour ce dernier, il suffira pour chacun de le télécharger depuis le site web de la SCC (il n’y a plus de doubles autocopiants, tout tient sur le recto d’une feuille A4, avec les explications au verso) Tarifs à partir du 1février 2010 : 1 - Inscription au titre de la descendance 23 € Pour les chiens titulaires d’un Certificat d’inscription provisoire (rose)) 2 – Inscription à titre initial (Pour les chiens sans origine connue) Races du groupe 6 (sauf basset-hound) 23 € Autres races 60 € 3 – Inscription au titre de l’importation 60 € (Pour les chiens en provenance de l’étranger et titulaire d’un pedigree du pays d’origine reconnu par la FCI) 4 – Inscription au titre du Livre d’Attente (ex RI) 23 € Pour les chiens sans origine connue avec délivrance d’un certificat au titre de l’apparence (races dont le LOF est fermé)

Chers cynophiles, bonjour La SCC est une fédération dont les clubs de race, les sociétés régionales, les clubs d’éducation sont les membres officiels mais, en réalité, à travers ces structures, ce sont des dizaines de milliers de cynophiles qui forment la SCC. C’est à eux, à vous, que cette Lettre sera diffusée le plus fréquemment possible, par internet, afin d’accroitre la circulation de l’information entre nous. Nous souhaitons bien entendu continuer le développement de « La Cynophile Française » qui convient bien aux articles structurés, mais la périodicité trimestrielle ne permet pas de vous informer avec l’urgence que nécessitent les décisions pratiques de notre comité et de manière générale tout ce que nous nous devons de mettre à votre disposition avec rapidité et concision. Merci de votre accueil et de vos avis et, en ce début d’une nouvelle décennie, au nom du comité de la SCC, je vous prie d’accepter mes meilleurs voeux pour 2010 pour vous et tous ceux qui vous sont chers. Gérard Arthus Président WWW.CHIENS-ONLINE.COM La SCC a lancé un nouveau site internet nommé www.chiens.online.com. L’objectif est d’appuyer les éleveurs de chiens inscrits au LOF dans leur effort de vente de leurs chiots. Seule la liste des chiots inscrits pourra être visible sur ce site, le programme étant directement relié aux ordinateurs du LOF. Les éleveurs pourront agrémenter l’information brute par des images et des descriptions, et même se créer – sans frais – un mini-site concernant leur élevage. Bien entendu, tout cela très étroitement contrôlé par du personnel spécialisé à la SCC. L’équipe de mise en oeuvre tiendra évidemment compte de vos remarques et propositions pour le développement de ce site. La démarche prend la suite de la « Banque d’Information » dont le fonctionnement ne correspondait plus aux besoins, et ne remplace pas le site institutionnel de la SCC (www.scc.asso.fr), dont la refonte est envisagée pour les prochains mois. Pour tout renseignement, contactez Pauline Anfray (01.49.37.54.99).

En Suède, 12 000 chasseurs inscrits pour abattre 27 loups La chasse au loup a repris en Suède, samedi 2 janvier, après avoir été interdite depuis 1966, ce qui a provoqué des réactions très vives dans un pays où la population de loups est l'une des plus faibles d'Europe. Plus de 12 000 personnes s'étaient inscrites pour participer à cette chasse autorisée dans cinq régions du centre du pays pour un quota de vingt-sept loups. Mercredi 6 janvier au matin, vingt-six loups avaient déjà été abattus. Sur le même sujet Les autorités suédoises évaluent aujourd'hui la population de loups à environ 250 individus, raison pour laquelle cette chasse a été autorisée, le Parlement suédois ayant décidé que la population ne doit pas excéder 210 individus. Cette décision est une façon de répondre aux pressions locales émanant tant des agriculteurs, qui se plaignent de perdre des bêtes, que des chasseurs, qui ne peuvent plus sortir avec leurs chiens, de peur que ces derniers ne se fassent attaquer. Les médias rapportent régulièrement des cas de chasse clandestine et décrivent parfois des situations où une véritable haine du loup s'exprime localement. Certains chasseurs sont déçus du quota, qu'ils estiment trop faible, arguant que le nombre réel de loups est supérieur à celui présenté par les autorités. "Véritable provocation" Pour les opposants à cette chasse, qui ont lancé des pétitions et rappellent qu'une chasse au loup d'une telle ampleur n'a plus été pratiquée depuis les années 1920, cette décision est une "véritable provocation", selon les termes employés par l'Association de défense des prédateurs, qui taxe cette politique de "populiste". Le loup était menacé d'extinction lorsque sa chasse fut interdite, dans les années 1960. Il ne restait plus qu'un ou deux individus au début des années 1980, lorsque trois loups finlandais furent introduits en Suède. Les spécialistes estiment que la plupart des loups présents sur le territoire suédois sont issus de cette filiation. Récemment, des chercheurs ont annoncé, après analyse génétique, que deux loups mâles originaires de la région russo-finlandaise étaient les pères d'une quinzaine de louveteaux nés ces deux dernières années, ce qui est considéré comme un point très positif pour la revitalisation de la race suédo-norvégienne, affaiblie par la consanguinité. "On ne peut même pas protéger les nouveau-nés des deux loups immigrés, ce qui contredit toute la politique du gouvernement d'améliorer la composition génétique de la population. Quelle est la logique d'autoriser à chasser des loups avec des gènes sains pour ensuite réparer les dégâts en important des loups de l'étranger ?", s'insurge Ann Dahlerus, secrétaire générale de l'Association de défense des prédateurs. Cette organisation estime que la population de loups est tellement faible et instable que la chasse va à l'encontre des exigences de la directive européenne sur la biodiversité. Elle a écrit à la Commission européenne pour protester contre ce qu'elle considère comme une atteinte à la protection des espèces menacées. Olivier Truc Source : http://www.lemonde.fr/planete/(...