Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Admin-eleveurcanin

Membres
  • Compteur de contenus

    9 305
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Admin-eleveurcanin

  1. Jura: Projet de Loi sur les chiens http://www.lqj.ch/content/index.php?option=com_wrapper&Itemid=546 Les 12 races de chiens dangereux visées par le projet de loi cantonal.
  2. et dans la joie et la bonne humeur. merci de respecter
  3. Bienvenue parmis nous papillon Oui, il y a des copinettes !
  4. Admin-eleveurcanin

    béka

    Bienvenue parmis nous
  5. Le syndrome de Wobbler est une affection qui touche les chiens de grande taille : Dobermann, Dogue Allemand, Bull Mastiff. Ce syndrome est dû à une malformation des vertèbres cervicales (les 5°, 6° et 7°). Cette malformation se caractérise par un rétrécissement du conduit par lequel passe la moëlle épinière, par une déformation du disque intervétrébral, ainsi que par une subluxation des vertèbres cervicales. Toutes ces anomalies entraînent une compression progressive de la moëlle épinière. Les symptômes apparaîssent progressivement d'abord par une faiblesse de l'arrière train, une incoordination des mouvements, un balancement latéral du bassin excessif, pour évoluer éventuellement vers une paralysie. L'observation des lésions vertébrales à l'aide d'une radiographie ne permet pas de prévoir l'évolution des symptômes. L'origine de ce syndrome est probablement génétique avec une aggravation du risque chez les animaux dont la croissance est rapide. Le traitement de cette affection est fonction de la gravité des symptômes. Pour les cas débutants on peut obtenir de bons résultats avec des anti-inflammatoires, pour les cas sévères de paralysie, le traitement chirurgical doit être envisagé.
  6. Voici son lien: http://www.communicanis.com/plandusite.html
  7. Inexact! D’abord parce qu’une affirmation aussi abusive (et culpabilisante !) que celle-ci, n’a pas d’autre résultat plus pernicieux que de conduire beaucoup de personnes à abandonner un animal, avec lequel ils ne sont pas parvenus à cohabiter harmonieusement. Ensuite, parce que l’examen minutieux de situations de difficultés avec chien, montre que les propriétaires avec leurs erreurs éducatives, sont loin d’être seuls responsables des problèmes qu’ils rencontrent avec leur animal. Des éleveurs, vétérinaires, dresseurs/éducateurs et comportementalistes peuvent en avoir leur part. 1°) Les conditions de développement précoce du chien à l’élevage, comptent beaucoup dans sa future bonne (ou non) intégration/adaptation à la vie en société. Une médiocre imprégnation et socialisation aux deux espèces humaine et canine, ne prépare vraiment pas un chiot à une facile adaptation chez ses futurs maîtres. 2°) La soigneuse orientation que donne les éleveurs au placement de leurs chiots, en veillant à la meilleure adéquation entre attentes de leurs clients et besoins élémentaires de la race qu’ils élèvent, compte aussi énormément. L’exemple classique des personnes « craquant » pour un sujet d’une race devenue soudain très mode, et se retrouvant incapables de satisfaire le grand besoin d’exercice physique d’un animal choisi uniquement sur son aspect physique, est très courant. L’animal en question souffrant de trop d’enfermement, l’exprime alors par nombre de comportements de destructions, aboiements ou/et agitations, dont on vient à se demander la cause. Bien mis en garde, voire dissuadés de porter leur choix sur cette race, aurait peut-être pu éviter à ses maîtres-là... ces « fautes-là »... 3°) La bonne réactivité du premier professionnel consulté (éleveur, vétérinaire, éducateur, toiletteur, etc...) par les propriétaires en difficultés avec leur chien, prend également une large part dans la forme que va prendre la suite des évènements. C’est aux différents professionnels de savoir au mieux ce qui relève directement des compétences des autres, pour si nécessaire, rapidement réorienter vers celui qui sera plus à même d’aider le maître débordé par son chien. Tous n’ont pas cette attitude responsable (et courageuse), avec pour conséquence de conduire à l’aggravation des problèmes, en voulant se charger eux-mêmes de situations qui relèvent de compétences qui ne sont pas les leurs (qui peut bien se dire spécialiste en tout!?) En conclusion, rien n’est jamais complètement « faute » de l’un et jamais des autres, et "Chien à problème" = sûrement responsabilités collectives de maîtres et de professionnels réunis. Extraits de la comportementaliste Daniele Mirat
  8. Si vous avez d'autres idées tel que l'épilation du poil du conduit auditif...
  9. Le conseil des vétérinaires Plusieurs produits sont à votre disposition en fonction des besoins de votre chien : > Pour le nettoyage régulier des oreilles du chien adulte, nous vous recommandons l'Epi-Otic. > Si les oreilles sont sales et cérumineuses, nous vous conseillons le Cérulytic. > Pour les chiots, vous avez deux produits à votre disposition: Le Spécicare L-oreilles pour l'entretien régulier et le Spécicare Léoreilles pour les oreilles sales. Quand faut-il lui nettoyer les oreilles ? Le risque d'otites est beaucoup plus important que chez les êtres humains. Pour une hygiène correcte des oreilles de votre compagnon, l'opération de nettoyage doit être renouvelée très régulièrement
  10. L'oreille du chien est faite de façon très différente de celle de l'homme. Le conduit auditif a une forme de "L" qui descend d'abord verticalement puis forme un angle droit. Il s'enfonce vers l'intérieur du crâne et se termine par le tympan. Cette forme a deux conséquences : le cérumen qui s'accumule au fond ne peut pas ressortir tout seul et le conduit, très profond se ventile mal. L'accumulation de cérumen dans un milieu chaud et humide, associée à une mauvaise aération favorise les macérations et peut être à l'origine d'otites et de diverses infections. Le but de l'entretien des oreilles est principalement la prévention d'infections Dans les races à oreilles tombantes, le pavillon recouvre en permanence l'orifice du conduit et aggrave les problèmes d'aération. Chez certaines petites races (caniches, bichons, shih-tzu ...) des poils poussent à l'intérieur du conduit auditif ce qui augmente encore les risques de macération. Comment entretenir les oreilles de mon chien ? Cela sera plus facile en lui donnant l'habitude dès son plus jeune age. Le nettoyage permet d'extraire le cérumen accumulé au fond du conduit sans l'irriter. Il convient d'utiliser un produit nettoyant pas trop gras pouvant dissoudre le cérumen sans être agressif pour l'oreille. Le bon Geste: Cette opération est parfaitement indolore et sans risque pour votre compagnon si vous utilisez un produit adapté. 1/ Enfoncez l'embout du flacon de nettoyant verticalement dans le conduit auditif sans avoir peur de blesser le tympan puisqu'il y a un coude qui vous empêche de le toucher. 2/ Lorsque le fond est atteint, injectez le produit, puis retirez l'embout. 3/ Massez ensuite l'extérieur de l'oreille entre le pouce et l'index de façon à répartir le produit. 4/ Vous pouvez alors récupérer le cérumen et les saletés remontant vers l'entrée du conduit à l'aide d'un coton sec ou d'un tissu non pelucheux. Répétez l'opération dans les deux oreilles jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de saletés qui remontent. L'emploi d'un coton-tige est déconseillé par risque de perte de l'embout coton au fond de l'oreille et/ou d'irritation par le coton très serré du bâtonnet.
  11. Voici son lien: http://www.animalodent.com/
  12. brossage des dents: Le brossage de dents est un mesure très simple et efficace. Les propriétaires hésitent parfois, soit parce qu’ils ont peur de ne pas bien le faire, ou parce qu’ils pensent que cela risque d’être désagréable pour eux ou pour leurs animaux. La crainte de ne pas faire le brossage parfait ne devrait pas vous arrêter. Mieux vaut pour votre animal que vous fassiez simplement votre possible et que vous ayez du plaisir à le faire, plutôt que de ne rien faire du tout. Le vétérinaire s’occupera des endroits oubliés lors du détartrage annuel. De toute façon, il reste toujours des endroits ou le tartre finit par s’accumuler. La quantité de tartre et de plaque est cependant moindre et la gencive la supporte mieux que lorsque toute les dents en sont recouvertes d’une épaisse couche. Initiation au brossage: Le point le plus important pour initier son animal au brossage de dents est de prendre le temps de bien le conditionner à accepter et apprécier ces soins. Il faut tout d’abord commencer avec une gencive saine et des dents propres : soit que l’animal est jeune ou que ses dents viennent d’être nettoyées. Si les gencives sont inflammées, l’animal ressentira de la douleur lors du brossage, ce qui va le conditionner à détester le brossage. Il faut au tout début seulement manipuler les lèvres pour exposer les dents, parler à l’animal d’une voix réconfortante et le récompenser de sa bonne collaboration. Lentement, le doigt pourra aller toucher les dents d’en avant en y appliquant un produit dont l’animal aime le goût (ex:pâte dentifrice à saveur de poulet). Il sera possible ensuite de masser légèrement la gencive avec le doigt. Le tout est fait progressivement, c’est à dire en en faisant un peu plus à chaque séance. En allant un peu plus vers l’arrière à chaque fois, il sera possible de faire les dents postérieures également. Technique de brossage: Une fois l'animal habitué avec le doigt, il sera possible de recommencer le tout avec une brosse à dent à poils doux. Encore le même manège : on commence par les dents d’en avant et on récompense avec beaucoup d’affection. Lentement, il sera possible de se rendre plus en arrière, jusqu’à ce que nous soyons capables de brosser toutes les dents. La plus part des propriétaires brossent uniquement le "côté de la bouche ". Cela est suffisant : il se forme peu de tartre du coté de la langue. Si cela devient nécessaire, le vétérinaire vous le dira. Il serait alors possible de le faire en mettant une boule dans la bouche de l’animal durant le brossage, afin de maintenir la bouche ouverte. Le mouvement utilisé varie selon que l’on brosse les dents d’en avant, ou celles d’en arrière. Pour les dents d’en avant, un mouvement allant de la gencive vers l’extrémité de la dent donne de bons résultats. Pour les dents d’en arrière, un mouvement circulaire ou un mouvement de va-et-vient horizontal, avec les poils de la brosse orientés vers la gencive d’en haut, puis celle d’en bas, est recommandé. La plus part des animaux tolèrent bien le brossage pour une durée de 30-60 secondes. Plus long, ils finissent par trouver le jeu ennuyant! Lorsque le brossage de dents est introduit d’une façon agréable, progressive et régulière, l’animal en développe rapidement une habitude. Des clients rapportent qu’ils ne peuvent plus se brosser les dents sans que les animaux, chat et chiens, attendent leur tour. Il est bon d’associer le brossage de dents, surtout au début, avec des activités que l’animal aime déjà. Il faut brosser les dents avant l’activité agréable, la quelle devrait débuter quelques secondes après la fin du brossage. Brosse à dent: Une brosse à dent pour enfant peut être utilisés pour les chats et les petits chiens, une brosse à dent pour adulte pour les plus gros chiens. Les brosses à poils souples sont préférables. Il existe également des brosses à dent spéciales pour les animaux. La brosse est préférable au doigter de caoutchouc. Pâte dentifrice: La pâte dentifrice a un rôle accessoire. C’est l’action mécanique de la brosse qui est important. La pâte exerce bien une action chimique, mais son principal avantage est de rendre le brossage plus facile parce que l’animal en aime le goût. Il ne faut pas oublier que l’animal va avaler la pâte. Personne n’a encore rapporté qu’un animal avait pris l’habitude de cracher après s’être fait brosser les dents. Il faudra donc éviter les pâtes contenant du fluor à cause des risques d’intoxication et celles contenant du sodium chez les animaux cardiaques (augmentation de la pression sanguine). Les pâtes à dent pour animaux sont conçues en tenant compte de ces risques et elles ont des saveurs appropriées. C’est une bonne façon de joindre l’utile à l’agréable. Fréquence: La fréquence des brossages est idéalement à tous les jours. Premièrement parce que c’est plus facile d’y penser en l’incorporant dans notre routine quotidienne. Deuxièmement, parce qu’il a été démonté que la plaque dentaire se forme en 3 à 12 heures sur une dent propre et qu’elle commence à durcir et à former du tartre en 24 –48 heures. Produits anti-plaque et/ou anti-tartre: La chlorhexidine est un produit qui a fait ses preuves pour le contrôle de la plaque, autant chez les animaux que chez les humains. Ce liquide peut être appliqué sur la gencive aux 12 heures. Le produit est efficace, mais le goût rend le produit plus difficile à utiliser avec les animaux. On l’utilise surtout après les traitements dentaires, jusqu’à ce que le brossage puisse être recommencé. Il y aussi sur le marché vétérinaire une solution à base de zinc et d’acide ascorbique (Vitamine C) dont les propriétés anti-plaque ont été démontrées. Nourriture, biscuits: Des nourritures spécialement conçues pour aider à diminuer la production de plaque et de tartre sont disponibles auprès des vétérinaires. Ces produits sont à utiliser seulement si la gencive est en bonne santé, soit en commençant quand l’animal est encore jeune (7-8 mois), ou après un détartrage. Des produits sous forme de biscuits sont disponibles, certains ont démontré une efficacité, alors que d’autres n’ont pas eu plus d’effet que l’emploi d’une nourriture sèche. Votre vétérinaire est en mesure de vous recommander un produit approprié à la grosseur de votre animal, son niveau d’activité et l’état de sa dentition. Jouets, jeux: Les os en cuir de boeuf (babiche) semblent aider à diminuer la formation de tartre. Il n’y a d’habitude aucun problème avec ceux de forme plate. Par contre, ceux qui sont ronds, surtout les plus gros, peuvent causer des fractures dentaires. Mieux vaut alors les attendrir légèrement en les faisant tremper dans l’eau 15 minutes avant de les donner. Les balles de tennis sont à éviter parce qu’elles causent une usure prématurée des dents. Il y a des produits en caoutchouc qui sont meilleurs pour les dents de votre chien. Tous les objets durs, les vrais os, les jouets en nylon durs, les sabots etc sont sujets à causer des fractures dentaires. Ces jouets sont à ne pas utiliser. La seule raison pour la quelle il y a des gens qui en vendent, c’est qu’il y a des gens qui en achètent… Un jeu à éviter de façon général est de jouer au ``souc-à-la-corde`` (tug-of-war) avec votre chien. Voilà une bonne façon de lui rendre mobiles toutes les incisives! En résumé: Rien n’est aussi efficace que le brossage des dents. Votre vétérinaire peut vous conseiller sur d’autres mesures selon l’état de votre animal. Plusieurs objets sur le marché sont inefficaces alors que d’autres sont tout simplement dangereux. Les mesures d’hygiène dentaires à la maison travaillent en association avec les détartrages et les examens dentaires annuels à conserver la santé dentaire de votre animal et sa qualité de vie. Ces mesures rapprochent les gens de leurs animaux pour le mieux-être de chacun. Dr vétérinaire Yvan Dumay
  13. Attention aux dents et gencives du cardiaque A la suite d'une maladie cardiaque, les rechutes sont augmentées en cas de parodontite, une infection bactérienne banale et bénigne des tissus de soutien de la dent. Au final, cette affection bucco-dentaire diminue l'efficacité de la prévention cardiaque. La parodontite est une maladie infectieuse. Des bactéries génèrent une inflammation, laquelle détruit petit à petit le tissu de soutien des dents. Résultat, les dents tiennent mal et tendent à se déchausser. A savoir que la parodontite découle souvent d'une gingivite (inflammation des gencives). Le signe évocateur de ces inflammations gingivales est une gencive douloureuse, rouge et gonflée, qui saigne très facilement, rendant le brossage des dents particulièrement difficile. Attention à la rechute Plusieurs études ont déjà suggéré une relation entre les bactéries bucco-dentaires et les affections cardiovasculaires. Sur le même principe, existe-t-il un lien entre parodontite et maladie cardiovasculaire ? Des chercheurs ont précisément souhaité savoir si, à la suite d'une maladie cardiaque, les rechutes étaient associées à la présence de parodontite.
  14. Les soins dentaires chez le chien et le chat Brossage régulier des dents, contrôles périodiques chez le dentiste ou l’hygiéniste dentaire sont des actes routiniers chez l’humain. Est-ce également important chez nos animaux de compagnie ? L’affection la plus fréquemment rencontrée chez les jeunes animaux est la persistance de dents de lait, ceci principalement chez le chiot mais beaucoup plus rarement chez le chaton. Le remplacement de toutes les dents de lait par les dents définitives se fait progressivement entre l’âge de 3 mois et 7 mois. La persistance d’une telle dentition peut empêcher la pousse correcte, provoquer des lésions de l’émail ou favoriser la formation de tartre sur la dentition définitive. La thérapie sera donc l’extraction des dents surnuméraires. Chez l’adulte, le problème buccal le plus courant est la parodontose. D’après une étude de l’Université du Minnesota en 1996, les affections bucco-dentaires arrivaient en tête de tous les problèmes observés chez les animaux de plus de 7 ans. Environ 75% des chiens et 60% des chats seraient atteints de maladie parodontale. Cette affection s’aggrave avec l’âge et atteint, chez le chien, plus particulièrement les races de petite taille (Dr Ph. Hennet, suppl PMCAC 3/2003). La maladie parodontale pourra se traduire chez l’animal par les symptômes suivants: - mauvaise odeur buccale, - inflammation et saignement des gencives, - douleur lors de la mastication, - perte de dents liée au déchaussement, - apparition d’infection et d’abcès dentaire, - formation de fistule éventuellement en communication avec les cavités nasales, - fracture osseuse lorsque l’os de la mâchoire sera trop affaibli. Mais cette même maladie parodontale pourra avoir des conséquences bien plus étendues dans l’organisme du fait du passage de germes dans la circulation sanguine avec atteinte de certains organes cibles que sont le cœur, les reins, le foie, les articulations… Qu’est-ce donc exactement que cette maladie parodontale ? La plaque dentaire est un film formé de plusieurs sortes de bactéries ainsi que de substances adhérentes qui se fixent à la surface des dents. Une réaction inflammatoire va se développer lorsque le contact se fait avec la gencive (gingivite). Par la suite, ces bactéries pénètrent sous la gencive provoquant des inflammations sous gingivales ainsi qu’une destruction progressive des tissus de soutien des dents (parodontite). Par un processus de minéralisation, grâce à des substances se trouvant dans la salive, la plaque dentaire va se transformer en tartre et ceci de façon de plus en plus importante avec le temps. Les facteurs influençant la formation de la plaque dentaire pourront être: - alimentaires : alimentation humide (boites, rations ménagères) vs alimentation sèche (croquettes) - hygiéniques : absence d’entretien buccal - physiques : mauvaise occlusion suite à des dents surnuméraires, déformation congénitale ou acquise des mâchoires… - généraux : urémie, diabète, immunodéficience locale ou générale… Il est très important d’intervenir avant que les lésions buccales ne soient irréversibles. La thérapie principale sera le détartrage sous anesthésie avec éventuellement extraction(s) dentaire(s) suivi d’une bonne prophylaxie comme un brossage régulier des dents par exemple ainsi que des contrôles vétérinaires périodiques. Les lésions de collet sont plus fréquemment observées au niveau des prémolaires. Elles se traduisent par la formation progressive de « trous » à la limite entre la gencive et la couronne dentaire accompagnée de sensibilité douloureuse. L’origine exacte de cette affection est inconnue. La thérapie est l’extraction dentaire. Les problèmes de stomatite chronique sont liés à une réponse immunitaire inadaptée de l’animal avec une atteinte inflammatoire des tissus beaucoup plus importante que dans le cas de la maladie parodontale puisque que les gencives mais aussi les joues, la langue et éventuellement le palais pourront être concernés. Le traitement sera plus complexe et difficile que décrit précédemment. Voici son lien Dr Vétérinaire Lindt Dentisterie http://mypage.bluewin.ch/lindt-vet/dentisterie.htm
  15. est dit qu'en milieu d'élevage canin la préférence était pour l'alimentation sèche plutôt que l'alimentation préparée à base de viande, légumes ... Vous remarquerez qu'au ZOO, les animaux n'ont pas de croquettes car trop difficile à gerer sur le parc et ses differentes especes. Ils mangent des fruits, légumes, viandes ... préparés par les "soigneurs". Je ne vous raconte pas le nombre de crottes qu'ils doivent nettoyer aux dires de mon fils et des amis vétos. Mais, j'imagine. Il y avait dans ma cession au stage d'éleveurs canins, un faible pourcentage pour l'alimentation humide. Un éleveur disait qu'il faisait cuire ses poulets et légumes pour la semaine et mettait le tout au congélateur. Ce qui est bien, c'est que personne n'a critiqué sa façon de nourrir son élevage. Mais, il a quand même dit que les selles de ses chiens étaient nombreuses et fortes odorantes. De plus, non moulées mais à tendance diarrhéiques. J' ai pû constater et je constate encore que comme vous le savez, à la clinique les animaux dans la salle d'attente, se lachent! Et bien, j'arrive à reconnaitre s'ils sont sous une alimentation sèchent ou cuisinée. Les selles sont differentes. En milieu d'élevage Pour avoir moins de ménage et moins d'odeurs, donner des croquettes. (je plaisante, faites comme vous voulez) Amis(es) éleveurs(euses) si vous avez un complément d'information, ce n'est pas de refus.
×
×
  • Créer...