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peri

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  1. Tiens, tiens. Bienvenue au club. Nous avons un collectif, de tous les grugés de Vetagrosup, qui attendent le résultat de la cassation, puisque Vetagrosup ayant perdu tous les procès, en instance et appel, et même essayé de se faire payer la moitié des factures en échange de notre renoncement à poursuivre la procédure, s'est pourvu en cassation pour faire durer, ....et faire payer encore plus d'éleveurs( et sans doute de faire en sorte qu'au dénouement, les responsables aient pris la retraite). Et comme d'habitude, silence radio de la SCC, censés par contrat représenter les éleveurs.
  2. En tant que citoyen, nous avons la chance d'avoir accès à des informations par internet qui sont soigneusement éliminés des info " nationales en JT. Après le médiator, les scandales des prothèses mammaires, maintenant de hanche, nous ne pouvons que constater les scandales de conflit d'intérêt au mépris de la santé des personnes. Vous pensez bien qu'avec les animaux, et le peu d'organisation des éleveurs et propriétaires, ils sont tranquilles, et ne vont pas arrêté de sitot la commercialisation, sauf... si on collecte les cas à leur place et qu'on fait du bruit.
  3. Ci dessous un extrait de rapport sur les vaccins. En ce qui me concerne, cette nouvelle ne fait au contraire qu'augmenter mon inquiétude concernant les vaccins. Le fait de mélanger ensemble un grand nombre de vaccins est une méthode connue des laboratoires pharmaceutiques pour compliquer la preuve d'effets indésirables. Car plus il y a de vaccins dans l'injection, plus il devient difficile de prouver qu'un effet indésirable précis est lié à un des vaccins. Il faut un nombre de cas déclarés d'effets secondaires négatifs beaucoup plus important pour obtenir un niveau de preuve statistiquement fiable. Or, cette tactique se développe justement au moment où le grand public réalise que les effets indésirables des vaccins sont tout sauf négligeables. Des effets secondaires inquiétants Un nombre alarmant d'études scientifiques mettent actuellement en lumière les dangers des vaccins. Il ne s'agit plus de mises en garde émanant de mouvements associatifs marginaux ou à tendances sectaires. Non, c'est maintenant la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes, voire ses inquiétudes. Le British Medical Journal, une revue mondialement connue et respectée pour sa rigueur scientifique, a publié le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que cette catastrophe ne soit compensée par des vies sauvées par ailleurs par ce vaccin. (1) Une association, quoique plus faible, a aussi été établie entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré (paralysie). (2) Le Gardasil, vaccin contre papillomavirus et le cancer cervical, est aujourd'hui au centre d'un scandale qui n'en finit pas. Selon le décompte effectué par l'association Sanevax, ce vaccin est relié à 29 003 effets adverses graves et au moins à 130 décès. (3) Le vaccin contre l'hépatite B, lui aussi, est fortement critiqué. Il est accusé de tuer les cellules du foie, alors qu'il est précisément supposé protéger contre une maladie du foie. (4) D'autre part, le 21 novembre 2012, le Conseil d'Etat français a reconnu que l'aluminium dans le vacc in hépatite B avait été la cause d'une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffre depuis 1996 un employé de la ville de Paris, permettant à cette personne d'être indemnisée. (5) Des milliers de personnes, qui n'ont pas eu l'idée de porter plainte, pourraient être dans le même cas. Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques même à faibles doses comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l'aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol. Les jeunes enfants sont particulièrement vulnérables à ces substances, qui peuvent affecter de façon dramatique leurs fonctions nerveuses et immunitaires. Ces molécules sont employées comme adjuvants pour renforcer l'efficacité des vaccins en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s'emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.
  4. Les jeunes animaux, comme les BB, n'ont pas un système immunitaire très performant, d'où l'importance du rappel de un an. A trois et quatre mois, le vaccin lepto a un peu plus de chance de prendre qu'à 2 et 3 mois, , puisque il est reconnu qu'il tient moins que les autres, et qu'il faut faire deux rappels par an dans les régions à risque. Riou, la dose était trop forte par rapport à l'immunité de tes jeunes, qui n'ont pas pu gérer le virus avec d'une part leur immunité naturelle ( que l'on peut stimuler), et d'autre part l'immunité acquise par le vaccin. L'immunité naturelle permet de se défendre contre tous les agresseurs ( avec plus ou moins de succès selon son fonctionnement = la santé de l'animal, qui dépend de l'alimentation, de sa complémentation, mais aussi de ses conditions de vie ( des animaux continuellement sous un hangard métallique par exemple verront leur immunité fortement perturbée),l'immunité acquise permet de lutter contre certains agresseurs, ceux contenus dans le vaccin
  5. Que tout le monde ne soit pas d'accord, c'est sûr, vu le manque à gagner pour certains quand on n'a très peu besoin de leurs services. Mais pour le reste tu as mal lu mes post, avec des chiens blindés, les sorties sont beaucoup moins risquées. Même si les chiens ramènent une saloperie, elle sera en concurrence avec la flore de la maison, alors que dans un chenil bulle, elle aura le terrain libre pour exploser. Je vaccine, avec modération, et effectivement, aucun chien ne sort dans un milieu à risque avant l'age de 3 mois et demi
  6. L'osteopathie fait partie des méthodes alternatives, où l'on travaille pour avoir un bon fonctionnement général de l'organisme Pour la plupart des maladies et virus, il y a un effet dose. Jusqu'à un certain niveau, l'animal gère son virus ou sa bactérie grâce à son système immunitaire. On travaille donc pour que ce niveau soit le plus haut possible, et que l'animal ne tombe malade que lorsque la dose de virus est trop forte. L'immunité arrive aussi à permettre une auto vaccination avec les germes et virus présents à faible dose, d'où l'importance de ne pas désinfecter abusivement, car il n'y a plus de stimulation de l'immunité, et au moindre contact avec le virus, la maladie flambe.
  7. Pas convaincue. pour moi, le vaccin empêche la maladie d'apparaitre. Dans ton cas, je suis mauvaise langue, mais le veto a du faire un traitement antibio de sécurité, avant le diagnostic, ce qui est arrivé à temps pour sauver le chiot avant des dégats irréparables sur le foie et les reins
  8. La lepto se soigne bien quand elle est prise à temps. Le souci, c'est de la détecter, le diagnostic est souvent fait post mortem
  9. Cela ne dépend pas des régions, mais si l'immunité de la mère gène la "prise" du vaccin à 2 mois, ce n'est pas la peine d'en rajouter avec une valence qui perturbe les autres
  10. Quand j'ai commencé, je voulais absolument avoir affaire à un véto spécialiste chiens et chats. Maintenant, ils ont tellement des dollars dans les yeux à vouloir rentabiliser leur clinique que je les fuis. Le mien est en semi retraite, mais malgré une dizaine de chiens retraités, j'en ai tellement peu besoin que son mi temps ne me pose pas de problème.
  11. En 40 ans d'élevage, je n'ai eu la parvo qu'une fois, ramenée de chez le véto, il y a plus de vingt ans. La sur vaccination perturbe gravement l'immunité, et vos chiens et chiots ne sont plus alors capable de se défendre que contre le virus du vaccin, et à la merci de milliers d'autres. Les lobbies des vaccins sont encore plus virulents chez les animaux que pour les humains ( regardez la grippe A, échec total, des dizaines de millions de doses à la poubelle, les gens ont eu un minimum de jugeotte en le refusant, alors qu'au même moment la vaccination obligatoire des moutons contre la FCO a conduit des bergers au suicide, car ils ne supportaient pas d'être trainés au tribunal pour avoir refusé cette vaccination qui avait beaucoup plus d'effets secondaires que de bénéfice). La mauvaise foi de l'AFFSA dans cette affaire a été incroyable. L'immunité, cela se travaille, par un environnement sain ( de l'espace, de la lumière, la gestion des nuisances électromagnétiques), une nourriture sans carences, des oligo. Elever les chiots sous bulle, comme cela se pratique sous le haut diktat de "spécialistes" qui se réfèrent aux porcheries industrielles, c'est catastrophique, car en cochon, il n'y a pas de brassage comme en chien, avec les expositions ou ventes de chiots, et les animaux finissent à l'abattoir, et pas dans le monde normal, plein de virus contre lesquels il n'ont pas pu apprendre à se défendre dans leur bulle. La désinfection en l'absence de maladie est une catastrophe, car on nettoie tous les germes, et les dangereux ont alors la place libre pour exploser. Que ce soit vermifuge ou vaccin, je refuse de faire le cobaye gratuit avec les nouveaux produits, j'ai travaillé 20 ans dans l'industrie pharmaceutique, je sais de quoi je parle. Depuis 30 ans, mes véto me déconseillent la lepto à 2 mois, je ne la fait qu'à 3 mois, avec rappel à 4 mois, c'est le seul rappel que je fais toutes les années, avant l'été, car mes chiens adorent l'eau, et que je ne maitrise pas les rongeurs sur la ferme. CHPPi à 2 mois, CHPPiL à 3 mois, L à 4 mois, et depuis l'épisode de parvo d'il y a 20 ans, jamais un chiot malade après son départ de l'élevage.
  12. Des nouvelles des banques de sperme. Deux procès ont été encore gagnés par des éleveurs dont le CERCA a refusé l'indemnisation suite à la décongélation accidentelle des paillettes stockées ( et non assurées) Quant au CERREC, malgré les deux décisions du tribunal administratif annulant les factures de garde, mes paillettes sont toujours retenues en otage, et Vetagrosup a porté l'affaire en cassation
  13. La lettre ouverte a été reprise par la revue " vos chiens" sous le titre: "des règles qui étouffent les éleveurs sélectionneurs"
  14. De nombreux éleveurs de Corrèze sont en difficulté, ( avec un lien troublant que la plupart ont souligné, d'une remplaçante en élevage peu scrupuleuse, et des contrôles MSA suite à ses passages). Un contrôleur MSA qui décide de leurs heures de travail sans aucune concertation, ni possibilité de discuter, et qui ne se cache pas de dire que les éleveurs canins sont une manne pour une MSA en perte de cotisants. Son calcul des heures de travail dépasse systématiquement les 1200 heures, et pour valider ses chiffres, il fait appel au SNPCC qui les fait exploser. Vous en trouverez des exemples sur notre site www.secadso.fr Il est clair que le SNPCC veut faire disparaitre les cotisants de solidarité. D'autres départements suivent l'exemple de la Corrèze, et font valider les calculs de temps de travail annuels par le SNPCC, toujours en défaveur de l'éleveur. Vous trouverez la grille de calcul d'une éleveuse de race très rare,( MEMBRE DU SNPCC ) avec les commentaires de la présidente du SNPCC sur le fait qu'elle n'a déclaré QUE trois portées dans l'année ( www.secadso.fr) Un pétition est en ligne pour faire invalider cette grille de calcul incohérente et non représentative de notre activité Vous la trouverez sur www.secadso.fr
  15. peri

    MSA

    De nombreux éleveurs de Corrèze sont en difficulté, ( avec un lien troublant que la plupart ont souligné, d'une remplaçante en élevage peu scrupuleuse, et des contrôles MSA suite à ses passages). Un contrôleur MSA qui décide de leurs heures de travail sans aucune concertation, ni possibilité de discuter, et qui ne se cache pas de dire que les éleveurs canins sont une manne pour une MSA en perte de cotisants. Son calcul des heures de travail dépasse systématiquement les 1200 heures, et pour valider ses chiffres, il fait appel au SNPCC qui les fait exploser. Vous en trouverez des exemples sur notre site www.secadso.fr Il est clair que le SNPCC veut faire disparaitre les cotisants de solidarité. D'autres départements suivent l'exemple de la Corrèze, et font valider les calculs de temps de travail annuels par le SNPCC, toujours en défaveur de l'éleveur. Un pétition est en ligne pour faire invalider cette grille de calcul incohérente et non représentative de notre activité Vous la trouverez sur www.secadso.fr
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