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jean-baptiste111

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  1. D'accord Chantal... Merci pour cet éclairage sur la lecture d'un pedigree... Bien sûr que les titres ne sont pas le critère essentiel, mais une indication précieuse ! Et là encore, notre "exception culturelle" créé bien des différences ;-) J'ai envoyé un mail au Président de la Commission Elevage...
  2. Je suis entièrement d'accord avec toi Chantal. Mais en nous alertant sur ce point, tu me fais aussi m'interroger sur cette possibilité de faire homologuer un titre de CIB sans travail pour un chien temporairement inscrit sur un autre Livre d'Origines que le LOF, au gré de sa carrière de chien d'expo et de repro... Parce que jusqu'à maintenant quand je lisais un pedigree LOF, j'associais directement le CIB à Beauté ET Travail, et CIE à Beauté uniquement...
  3. Merci Chantal pour ces précisions qui me permettent d'y voir plus clair... Mais : Ce titre de CIE n'a je crois été créé par la FCI, que pour permettre à certains chiens de races soumises au travail et qui n'obtiennent pas les qualificatifs requis en épreuve de travail d'obtenir un titre international. Cela avait d'ailleurs fait pas mal de remous à l'époque ! Il est donc un peu étonnant que certains pays membres décident que l'attribution du CIB se fasse SANS qualificatif au travail, non ? Parce qu'alors, quelle est la différence entre CIE et CIB dans ce cas ? Et la petite entourloupe dont je parle reste possible : on fait enregistrer un chien français sur un livre d'origine d'un pays où l'attribution du CIB n'est pas soumise au travail, on fait homologuer par la FCI, puis hop, retour à la case départ en France et voilà un beau CIB qui n'a jamais travaillé ! Je comprends que ça défrise la SCC et les clubs de races français ;-) Je pense donc que si la SCC "hiérarchise" ces 2 titres, c'est parce qu'elle considère que le CIE est un ersatz de CIB... D'où son choix de ne faire apparaître qu'un seul titre pour un chien qui possède les 2. Mais cela n'empêchera pas certains "sournois" comme les nomme Christian d'aller faire homologuer un CIB ailleurs... Alors à quoi bon ? Bref, je suis perplexe ! Et je crois qu'à moins d'avoir davantage d'éclaircissements ici, je vais adresser un mail à la SCC pour obtenir des réponses...
  4. En fait, comme exposé plus haut, les 2 titres CIE et CIB ne peuvent être décernés qu'à un chien de race soumise au travail. Dans ce cas, le CIE, c'est 4 cacib dans 3 pays différents, le CIB c'est 3 cacib dans 2 pays différents plus un TB au travail. Le CIB pour une race sans travail est exactement le même titre que le CIE pour une race avec travail ! La SCC n'inscrit pas les 2 titres sur les pedigrees : le CIE s'efface alors au profit du CIB. Dommage, pour les chiens ayant obtenu les 2 titres... Mais il y a sans doute une bonne raison à cela : une même race n'est pas soumise au travail dans tous les pays membres de la FCI. Exemple, pour le jack russell, soumis au travail en France : un jack russell français peut être CIE et CIB, il s'agit de 2 titres différents. Par contre, un jack russell étranger, "citoyen" d'un pays où il n'est pas soumis au travail va pouvoir homologuer un titre de CIB auprès de la FCI exactement comme il homologuerait un titre de CIE en France, avec 4 cacib dans 3 pays différents. Par contre, dans son pays d'origine, ce chien là ne pourrait pas être CIE, ce titre n'existe pas. Si ce chien est ensuite vendu en France, il peut sans doute, avec ces mêmes 4 cacib, homologuer un titre de CIE. Les mêmes cacib lui permettraient donc d'homologuer 2 titres différents ! A vérifier, mais voilà sans doute pourquoi la SCC n'inscrit pas les 2 titres sur le pedigree : c'est le moyen le plus simple dont elle dispose pour éviter les "usurpations" de titre de CIB "à la française", avec TB au travail... Une solution simple serait sans doute qu'elle demande une preuve de résultat au travail pour inscrire un CIB au pedigree... Parce que sinon, ce serait trop facile d'être "en cheville" avec un éleveur étranger et de faire faire le va-et-vient à ses chiens ;-) Pas sûr d'avoir été clair...
  5. Tu as raison, mais je n'ai eu qu'un seul retour... C'est le labo qui m'a suggéré de faire faire le prélèvement à jeun...
  6. Non, tu choisis ton labo... Le prix, je dirais une cinquantaine d'euros. Pour le prélèvement, n'importe quel véto peut le faire. On pourrait le faire nous-même, c'est très facile, mais seul le véto peut certifier qu'il prélève le bon chien après lecture de sa puce. Par contre, le mieux est de faire le prélèvement sur un chien à jeun : il m'est arrivé de devoir recommencer car l'échantillon n'était pas exploitable (pas assez de salive, trop de débris alimentaires dans la salive...) Par contre tu demandes au labo ton kit de prélèvement avant d'aller chez le véto ;-)
  7. Prélèvement de salive chez le véto... En France je crois que 2 labos se partagent le marché, il faut sans doute choisir son labo en fonction des tests génétiques qu'ils proposent : ils n'ont pas tout, et cela varie en fonction des races....
  8. Mes chiens sont identifiés... Pas pour des vérifications de filiation (je sais ce que je fais !), mais pour avoir leur carte génétique à disposition. Les labos progressent, et je pourrais ainsi, à tout moment savoir si telle ou telle tare chemine secrètement dans mes pedigrees... J'envisage ça comme un outil pour m'aider dans ma sélection, pour produire toujours plus "sain". Par contre si jamais cela devient obligatoire, je m'interroge sur la mise en place d'une telle règle : il sera obligatoire d'identifier les chiots avant leur vente ? Obligatoire de présenter une carte d'identification à la confirmation ? Obligatoire de la fournir pour l'homologation d'un titre ?
  9. A mon sens, les tests génétiques ne sont qu'un outil supplémentaire pour essayer a posteriori de pallier au problème de tares génétiques que les éleveurs ont concentré au gré de leur sélection raciale... Outil à utiliser à bon escient, comme son bon sens, comme son savoir-faire, son intuition et la meilleure connaissance clinique possible des ascendant de ses chiens, dont parle Muriel... Pour la surdité chez les dal, je dirais simplement que puisque les tests PEA existent, il serait aberrant de ne pas les utiliser !! Eradiquer complètement la surdité chez les dal n'est sans doute pas chose aisée, s'entourer des précautions disponibles me paraît indispensable... Tu n'as eu "que" 3 sourds, c'est sans aucun doute très peu, mais je pense que tu as te dire que c'était déjà trop... Sans les tests PEA des ascendants, en aurais-tu eu davantage ? je me demande aussi si on ne dérive pas du sujet initial dans un topic consacré aux tares oculaires Je vais effectivement essayer de me renseigner comme me le dit Tikka concernant les MEG... En même temps, dans ma race, je pense qu'il y a déjà fort à faire avec les tares génétiques connues, sans chercher à en inventer d'autres Ce que je sais déjà, c'est que les MEG ne sont pas répertoriées parmi les quelques 500 maladies génétique qu'a inventorié un scientifique anglo-saxon (canadien je crois), le Dr. Padgett...
  10. Antagène met depuis peu à disposition des éleveurs un test PLL pour les jacks russell terriers. (Dommage pour moi, mes chiens sont identifiés chez Génindexe et la collaboration entre les 2 labos concurrents n'est pas vraiment au point !!) L'occasion pour moi de me mettre un peu à niveau sur les tares oculaires. En cherchant sur le net, j'ai appris qu'il existait des méningites d'origine inconnue (MOI), probablement auto-immunes. Parmi elle, la méningo-encéphalite-granulomateuse (MEG) qui existe sous 3 formes: oculaire (entraînant une névrite optique qui provoque une cécité brutale), focale ou diffuse. Les 3 types peuvent provoquer une amaurose définitive ou simplement intermittente tant que la corticothérapie massive est efficace. La cause de ces MOI est, par définition, inconnue. On observe cependant une fréquence d'apparition significativement plus importante chez les terriers, les petits chiens, et les teckels. Certains scientifiques avancent aussi que les petits chiens blancs seraient plus touchés que d'autres. Par exemple, les bichons sont concernés. Personne ne s'avance pour dire que cette maladie aurait un mode de transmission génétique quelconque, mais si elle touche une population plus qu'une autre, c'est peut-être parce qu'il y a une prédisposition génétique, sans doute extrêmement complexe. Du coup, je m'interroge... Quelqu'un a-t'il des infos à partager là-dessus ?
  11. Non, non, il y a bien eu puce et piqûres... C'est la 3e et dernière portée d'Atysse. C'est une toute petite jack qui nous fait des portées énormes, et c'est une super maman... Qui ne sait pas s'économiser !!!! Mais pour la première fois elle a eu une mise bas un peu compliquée... Dommage qu'on ne puisse pas limiter le nb de chiot
  12. On pourrait donc imaginer q'une piqûre de puce puisse générer un léchage excessif de la mère qui entraînerait une plaie de ce type ? C'est vrai qu'Atysse lèche énormément ses bb...
  13. Alors à force d'appliquer de la bétadine les plaies ont bien séché, et du coup il a fallu réhydrater la peau avec du mitosyl... Les chiots vont bien, seul 1 parmi les 8 a été plus long à traiter que les autres... Et il devait souffrir car il pleurait beaucoup. Mais pour moi l'énigme reste entière, avec un véto qui m'affirme qu'une dapp ne peut pas survenir si jeune... les bb à 16 jours...
  14. Puisqu'on est voisins il faudra que tu viennes les voir
  15. En spray, mais pipette? En tout cas, les chiots vont bien, et nous n'avons pas encore traité contre les puces...
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