Sylvie381

Sur le blog de sarah, si ma memoire est bonne, il y a un cheval cabré impressionnant. Peut-être accepterait-elle de te la preter...

Sous mes yeux, je n'ai pas de soucis. Mes chevaux servent pour mes stages, donc j'ai appris à leur faire confiance. Et ma foi, je ne suis pas déçue, ils sont tres tres clairs en fonction de ce qui se passe à l'étage superieur, et c'est tres bien. Mon ancien prof de dressage a mis une fois les fesses sur Fanfan quand elle avait 4 ou 5 ans, et ça c'était un pur délice à voir... Une autre façon de reajuster la barre d'exigence que je m'étais fixée. Idem avec un cavalier d'obstacle tres expérimenté en jeunes chevaux. C'était tres interessant. Si je ne suis pas là... C'est plus difficile. Il y a de rares personnes avec lesquelles je ne me pose pas de question. Mais elles ne sont plus ds la même écurie. Alors j'apprends... Parce que je trouve ça pas mal de sortir de la relation fusionnelle qu'on construit et entretient avec son cheval. Mais c'est pas facile... Je suis exigente sur certains "détails" de comportement et de cohérence chez le cavalier, et sur le respect du code que les chevaux connaissent déjà. A côté de ça, si on veut déguiser mon cheval en poney barbie avec guetres et tapis de selle assortis, c'est le cadet de mes soucis.

Oui, c'est à ce type de complement que je faisais allusion. Et sur ce point je rejoins ton avis. Mais je ne disais pas que ça, j'attirais aussi ton attention sur le fait que beaucoup de personne perdaient un temps precieux et des sommes qlq fois considérables en ne faisant pas diagnostiquer serieusement un problème, préférant d'abord utiliser d'autres moyens... quitte à passer à côté d'une patho qui aurait pu etre traitée efficacement et rapidement d'emblée... quitte à passer au st hippolyt ensuite pour entretenir un etat de santé recouvré.

Le véto doit renvoyer le papier chez IdChips. Peut-être a-t-il pris du retard... Ou alors c'est chez IdChips que la mise en ligne tarde... Vérifie toujours aupres de ton véto

Pas de celui qui l'a pucé, mais de celui qui l'a fait pucer : ce sont les coordonnées du dernier propriétaire que tu as trouvé. Et de fait, les coordonnées du cheval ne sont pas reprises...

Hi hi... Voilà pourquoi je ne travaille qu'accompagnée de mon camescope! Alors évidemment, les séance d'analyse vidéo sont parfois grinçantes... Mais quelle richesse pour le stagiaire de pouvoir se voir et s'observer à volonté, analyser les transitions et les effets de leurs efforts souvent trop grands... Là où mes mots dans l'instant présent peuvent s'effacer, l'image reste J'aimerais revenir un instant sur les nombreuses explication lues plus haut. Ma pratique montre que le choix des mots a vraiment une grande importance. Aussi, depuis que j'ai pris conscience de tous ces efforts inutiles gesticulés sur un cheval, j'emploie rarement les mots "faire" ceci ou cela... Mais plutôt "permettre" au cheval. L'intéret? Passer d'un effort de savoir-faire à un lacher-prise allant vers l'harmonie avec le cheval. Exemple, au lieu de dire (comme j'ai souvent entendu) "pousser son ventre en avant, "sortir son nombril", "pousser avec l'assiette", je préfère proposer "permettre au cheval de jaillir vers l'avant", "laisser passer l'énergie du cheval à travers son bassin", etc. Alors les gens arretent de "faire"... Et (avec des exercices ciblés sur le ressenti) commencent à sentir ce qui se passe en eux et autour d'eux. Et si le ressenti se précise, le corps s'ajuste... L'inverse n'est pas aussi naturel. C'est un peu comme si vous demandiez à un enfant d'apprendre à rouler à vélo en lui demandant de faire une triple flexion de la jambe gauche en faisant une triple extension de la jambe droite, puis d'alterner dès qu'une extenson omplète est atteinte. Ca parait fou? Mais c'est pourtant la traduction de ce que beaucoup de cavaliers entendent... Plus on reflechit à faire, à mettre, à agir, à positionner, à forcer... Plus on augmente notre tonus, plus on respire haut (qd on respire encore), et moins on est avec notre cheval ds un confort qui lui rend le mouvement en avant léger et agréable...

Je sais que ce forum est une sellerie... et qui plus est, TA sellerie. Mais j'aimerais tout de même attirer ton attention sur 2 points. 1. le fait qu'un complément alimentaire n'est pas inoffensif ou toujours bien indiqué sous l'argument qu'il est composé de "produits naturels". Beaucoup de produits tres naturels sont toxiques, voire mortels, je trouve toujours falacieux d'avancer le côté naturel d'un produit pour dire qu'il est bon. (Et merci de ne pas me faire dire ce que je n'ai pas dit, à savoir qu'il y aurait qlq chose de dangereux ds ce que tu vends). 2. Plus on avance dans les recherches scientifiques (et là je pense plus précisement aux études tres poussées réalisées par certaines entreprises dont Twidyl par exemple), plus les résultats montrent qu'effectuer un bilan chez le cheval oriente qlq fois tres différemment le complément alimentaire à donner en montrant les carences reellement présentes. Mais ce tableau ne suffit pas encore. En effet, selon l'état de santé du cheval, son travail, son ascendance, sa race, il existe des particularités qui font que tel cheval metabolisera bien un complement alimentaire et un autre l'éliminera rapidement, alors qu'un troisième s'en trouvera incommodé voire malade. Raison pour lesquelles, je trouve que penser d'abord à faire un bilan intelligent de son cheval est la première etape d'un éventuel réajustement alimentaire. Certaines visites chez des clients montrent que les proprio essaient ceci, puis cela, et on vivote vers un mieux, sans reellement regler le problème. Les gens pensent encore souvent que donner plein de choses est forcément bon, que booster avec toute sortes de vitamines et oligo-elements ou mineraux, ça ne pourra jamais faire de tort. Et certains passent complètement à côté d'une pathologie chronique ou latente. Les complements alimentaires, s'ils sont bien conçus et bien administrés peuvent vraiment apporter des bénéfices importants, mais ils ne remplaceront jamais un bilan personnalisé et l'acuité d'un bon véto pour mettre en évidence les qlq détails qui peuvent sembler disparates mais qui, associés chez un même individu, mettront en avant un dignostic nécessitant plus de vigilance ou un traitement approprié... Voire le choix d'un complément alimentaire adéquat.

Je mets la réponse ici aussi alors, ça pourrait servir à d'autres: http://www.idchips.com/

Merci Billy pour ce chouette partage

Merci d'avoir partagé ces belles images avec nous

Je suis aussi de l'avis qu'une visite d'achat sera importante. Ensuite, si besoin est, le véto donnera un traitement approprié.

Excellentes nouvelles !

Tu as le dr Joel Dehasse par exemple. Et si le ponte est trop occupé, je te renseignerai qlq uns des véto qu'il a formé.

he bien tant mieux pour les acheteurs!

les dermatites de lechage sont frequentes chez les individus fragilisés émotionnellement, les anxieux, les phobiques, dans les névroses d'abandon aussi... Et ici, c'est clair que le chien est space... lol Ce serait peut-être intéressant de faire le point avec un véto comportementaliste pour chiens... Tu en as d'excellents en plus ici, c'est précieux

poutant tu n'es pas le seul à en vendre...

Je sais que tu connais ce mot C'est la répétition qui est interpellante. L'hypothèse de la rupture d'anevrisme semblait tres logique au départ... Mais 2 fois en si peu de temps, c'est tres étrange. Qd j'en ai parlé à Jean-Marc, il a attiré mon attention sur d'autres cas similaires ds d'autres écuries, où le botulisme a été diagnostiqué. Et donc j'ai passé l'info... J'attends les resultats comme tout le monde... Et j'espère qu'ils seront éclairants pour que les proprio ne soient plus confrontés à une telle hecatombe.

Si le thym (en huile essentielle hein, pas frais!) ne donne pas un goût désagréable pour le chien lecheur, on peut aussi essayer l'arbre à thé (tea tree), la lavande, ou le solvarome (complexe d'huiles essentielles). On va bien trouver un truc qu'il n'aime pas... Sinon, on passe au tabasco! (à côté de la plaie, pas dessus!!)

Pffff... c'est long d'attendre comme ça... J'aimerais aussi connaître le fin mot de cette histoire...

Autre excellent outil d'apprentissage : l'équitation centrée L'amplitude de rotation interne des hanches joue un rôle important dans ce que tu décris. Pour "tourner la cuisse sur son plat" comme le rappelle Pascaline, ta hanche doit s'assouplir en rotation interne... Et c'est rarement appris : on voit enormement de cavalier avec les hanches en rotation externe, et du coup, avec les jambes en avant et les pieds en canard (correction de cheville qui s'apprend à force, mais qui ne solutionne rien en amont). On se force, on pousse, on tire... Mais cette amplitude se gagne beaucoup plus aisément par la décontraction. Alors la jambe s'allonge, les muscles du bassins se relachent, et ta hanche peut venir se placer... Parce que décontractée.

Je survole les post... Je m'arrete ici : On a pour l'instant en traitement un poulain qui a un intestin complètement en dentelle suite à une administration démesurée de phénylbutazone... démesurée par rapport à l'âge du cheval. Alors svp, soyez prudents!

Ca je veux bien te croire sans problème! Pour nous, le problème ne s'est pas présenté car les barres sont arrivées après une longue phase d'education en liberté. Donc rien à voir avec le cheval hyper chaud qu'on lache sur des barres sans aucun contôle par une relation dejà bien construite. Ceci dit, Fanfan a un tempérement chaud et elle aime sauter. Donc c'était aussi un peu de bon sens que de ne pas lui proposer des formules casse-gueule. Conclusion : je ne regrette pas. Mais il me semble aussi évident qu'il existe plein d'autres manières de procéder, surtout si le timing est plus court et l'objectif plus ciblé.

Ben oui, il n'y a qu'anna evans qui forme en CI (il existe certainement d'autres personnes, mais la CI est un nom déposé dont elle seule est formatrice officielle)

Autre son de cloche... (j'assume la cloche! lol) N'étant pas cavalière d'obstacle, je craignais de faire plus de betises qu'autre chose avec Fanfan qd elle était toute fraiche. Alors je suis partie de l'idée que tout ce qu'elle pouvait apprendre seule, ce serait déjà ça. Ca ne la dispenserait pas de bosser, mais j'avais envie qu'elle trouve d'abord son équilibre seule avant d'avoir plus à gérer. Comme on travaillait beaucoup en liberté, on est partie de là. Cavaletti, croix, barre seche, oxer, double, triple... tout a ete bon pour qu'elle apprenne à gérer ses foulées et son effort. C'était aussi l'occasion de lui montrer difféentes formes, couleurs, etc. Jusqu'à ce qu'elle ne se formalise plus de grand chose. Quand j'ai essayé avec elle, je me sentais nettement plus rassurée, et sur ses capacités, et sur sa franchise à l'obstacle... et ça s'est bien passé. Pour la petite histoire, un cavalier expérimenté l'a monté ensuite 4 séances (1x/sem) pour lui montrer 2 ou 3 choses et me laisser des consignes précises pour progresser. Ca nous suffisait pour nous amuser sans risquer de betises. Mais voilà, le but n'était pas d'aller en CSO (pas avec moi en tout cas...)

Mais oui... encore heureux qu'on puisse faire du bon boulot avec un cheval adulte, sinon ce serait vraiment fou Concernant la C.I., si tu veux l'adresse e-mail d'Anna Evans pour confirmer ou affiner ce que cette personne a entendu/senti de ton cheval, je peux te la donner.