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Reine des Pin-up

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Tout ce qui a été posté par Reine des Pin-up

  1. future championne de freezbee ? trop mignonne
  2. Je n'ose faire la remarque que tout le monde se pose sur tes activités dans ton lit ???
  3. Bienvenue sur le forum Quelle joie de découvrir un peu plus le Bolonais
  4. pour ces champions que j'ai pu caressé ... toujours une petite préférence pour Câlin
  5. Toujours aussi coquine la miss !! Je ne trouve pas beaucoup de ressemblance avec sa maman
  6. Ah bon ??! j'ai pas tout suivi ces dernières semaines de vacances !!! Qu'elle âge a t-elle ? Elle ressemble à une maman pour Prince
  7. Entièrement d'accord ! Pin-up est arrivée chez nous après 3 mois : propre, équilibrée, calme, soumise, jamais aucun mordillement ou destruction, très bien sociabilisée ... ...bref un amour
  8. Pour éviter des complications, j'espère que tu auras vite ton RDV en cette période de vacances
  9. Reine des Pin-up

    DANIELLE

    En plus des papiers de Prince, une attestation de cession doit vous être signée
  10. Reine des Pin-up

    Viande Halal

    Comment quand on aime et respecte les animaux peut-on tolérer cette agonie longue et cruelle de plus de 20 minutes lors de l'abattage rituel halal ( égorgement à vif !!!! ))) "Souffrance animale, laïcité et objection de conscience Nous ne voulons pas manger d’animaux égorgés à vif Ouvrez bien vos yeux et vos oreilles : vous qui n’êtes pas végétarien, vous consommez sans le savoir de la viande d’animaux abattus selon les rites casher ou halal. C'est-à-dire des bêtes égorgées sans étourdissement préalable et qui connaissent une agonie consciente de plusieurs minutes car pour elles, il n’y a pas de coup de grâce. Pas d’étiquetage pour vous informer : vous voici désormais à votre insu les otages d’un amalgame de traditions, de comportements discutables et d’une économie opaque à la fin de générer davantage de profits. Le Coran et la Torah ont en commun de demander à leurs fidèles de consommer de la viande provenant d’abattages rituels. Pour les musulmans, la viande « halal » (permise) est obtenue en incisant profondément la gorge de l’animal au couteau, jusqu’à obtenir la section des veines jugulaires et des carotides : la moelle épinière doit rester intacte car des convulsions sont nécessaires pour améliorer le drainage du sang. La viande cacher provient également d’animaux mis à mort selon le même procédé. Lors d’un abattage rituel, l’animal est conscient tout au long de son agonie car l’étourdissement préalable en vigueur dans les abattoirs français lui est refusé. Pis encore, si c’est possible : comme les abattoirs respectent des cadences sur la chaîne d’abattage, ce sont des animaux encore vivants, pantelants, qui sont mécaniquement suspendus au poulies et dépecés vifs. Est-il possible de réclamer cela au nom de Dieu ? Est-il possible de le laisser faire en vertu de la liberté de culte et d’une dérogation sans arrêt renouvelée aux lois en vigueur ? Est-il tolérable que la chair de ces animaux torturés se retrouve dans nos assiettes sans qu’on nous demande notre avis ? Les faits sont là et avec eux le scandale : on abat beaucoup plus de bêtes de façon rituelle que n’en consomment les fidèles musulmans et israélites. Par exemple parce que les sacrificateurs découvrent des lésions dans les entrailles, certaines carcasses sortent du circuit consacré. Une viande distribuée partout D’autre part, les israélites ne consomment pas l’arrière-main des animaux tandis que les musulmans, pour des raisons culturelles et économiques, privilégient les pièces à bouillir et les abats. « Les filets et les entrecôtes, qui sont chers, sont donc souvent vendus dans la filière classique », reconnaissent les professionnels de la viande. Et l’Oeuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoir de préciser : « Sur trois animaux abattus rituellement, c'est-à-dire sans étourdissement préalable, presque deux seront en fait consommés par l’ensemble des consommateurs toutes confessions confondues, sans parfois même que les détaillants soient informés. » Il semble même que seule une bête sur quatre abattues selon le rite juif, soit finalement écoulée dans le circuit cacher. En revanche, les bêtes abattues sans étourdissement se retrouvent jusque dans le circuit labellisé bio. Parce que le bio n’implique pas forcément le respect du bien-être animal en termes de transport et d’abattage. Une frange d’intégristes fait même courir le bruit que la viande halal serait plus « naturelle » que la viande classiquement traitée dans les abattoirs, alors que justement des voix s’élèvent pour dénoncer, sur un plan scientifique, les risques de contamination de la viande halal par des bactéries est majorée par le type de mise à mort qu’on inflige aux animaux. Les conséquences du stress ont en outre été montrées par des études de l’Agence Française pour l a Sécurité des Aliments (AFSA) :l’égorgement à vif produit une altération du goût de la viande et de sa consistance. http://www.lepoint.fr/societe/abattage-halal-ou-est-donc-passe-le-principe-de-precaution-21-02-2012-1433680_23.php Abattage halal : "Où est donc passé le principe de précaution ?" Le Point.fr - Publié le 21/02/2012 à 17:01 - Modifié le 22/02/2012 à 07:09 Pour Michel Courat, l'abattage sans étourdissement augmente les risques de contamination. Explications. "La viande dans tous ses états". Le reportage d'Envoyé spécial diffusé jeudi soir sur France 2, qui a déclenché les propos contestés de Marine Le Pen, n'était pas exclusivement consacré à la viande halal. Tout part d'un constat pour le moins alarmant : en 2008, près de 41 % des abattoirs français n'étaient pas conformes aux normes sanitaires. C'est du moins ce qu'affirmait la Cour des comptes dans un rapport non public évoqué par la journaliste. Pire, le documentaire affirme que l'abattage rituel augmenterait le risque de contamination par la bactérie E. coli. Les règles d'hygiène sont-elles donc encore moins respectées dans le cadre de la dérogation dont bénéficie l'abattage halal ? Michel Courat, vétérinaire de formation - il a notamment travaillé en Angleterre pendant l'épisode de la "vache folle" -, membre d'Eurogroup for Animals à Bruxelles, nous révèle l'envers du décor. Le Point.fr : L'abattage rituel respecte-t-il les règles sanitaires conventionnelles ? Michel Courat : Attention aux termes. Lorsqu'on parle d'"abattage rituel", cela signifie "selon un rite religieux". Or cet abattage rituel peut être effectué avec ou sans étourdissement. Certaines écoles musulmanes acceptent en effet que la bête soit étourdie. Pour autant, elle n'en reçoit pas moins l'appellation "halal". Les vrais risques sanitaires apparaissent en cas d'absence d'étourdissement, car une partie essentielle du règlement est alors laissée de côté. Laquelle ? Il s'agit du chapitre 4 paragraphe 7A de l'annexe 3 règlement 853/2004, qui dispose : "La trachée, l'oesophage doivent rester intacts lors de la saignée, sauf s'il s'agit d'un abattage selon un rite religieux". En effet, lorsque vous sectionnez ces parties, vous avez, notamment chez les moutons ou les ovins, un reflux du contenu des estomacs qui souille la coupe de la viande. Or c'est précisément ce sectionnement qui a lieu dans le cadre des abattages rituels sans étourdissement. Mais n'y a-t-il pas alors un risque plus important de contamination de la viande ? En théorie, on demande aux abatteurs de procéder au "parage", c'est-à-dire de retirer, à l'aide d'un couteau, toute la partie de la coupe qui aurait pu être souillée. Mais, dans la pratique, cela représente une perte de profit considérable. Cette étape a donc tendance à passer à la trappe. Elle est souvent remplacée par un jet d'eau, ce qui est encore pire : au lieu de retirer les potentielles bactéries, vous étalez le risque de contamination à l'ensemble de la carcasse et créez un brouillard, un spray en quelque sorte, qui est, pour le coup, très chargé en bactéries. Les personnes qui consomment halal ont donc beaucoup plus de chance d'être contaminées ? Absolument. D'autant que la partie antérieure chez les bovins est en partie utilisée pour la viande hachée. Néanmoins, si la viande est bien cuite, on ne risque pas grand-chose. Et, généralement, les musulmans ne mangent pas cru. Mais en France, nous sommes nombreux à manger des steaks saignants... Quelles sont les mesures sanitaires lors d'un abattage normal ? Comme l'animal est étourdi, on peut procéder à un abattage en deux temps, et utiliser deux couteaux. Le premier pour la peau, le deuxième pour sectionner les tissus et les vaisseaux sanguins. Le risque de contamination est alors nettement plus faible. Je ne suis pas juriste, mais quand même, c'est un point de droit extrêmement paradoxal qui mérite que l'on se pose quelques questions : comment, par dérogation, peut-on procéder à un mode d'abattage qui contourne la législation en matière d'hygiène et augmente ainsi les risques ? Comment peut-on en toute légalité exposer tant de gens ? D'autant que de la viande des bêtes tuées rituellement n'est pas forcément labellisée halal... Absolument. Rien sur l'étiquetage ne permet d'indiquer si la viande est halal par étourdissement de la bête ou non. Or, tout compte fait, pourquoi les musulmans auraient-ils le droit de savoir si leur viande est bien halal et les non-musulmans ne pourraient-ils pas être informés du fait que la viande qu'ils achètent a dérogé à la réglementation hygiénique ? Ils ont tout autant le droit de savoir. D'autant que la filière viande a elle-même reconnu que 75 % des moutons, par exemple, étaient abattus en France sans étourdissement... On a l'impression que les abattoirs font un peu ce qu'ils veulent en France. Ne sont-ils pas soumis à des contrôles réguliers ? C'est à l'opérateur, c'est-à-dire au gestionnaire de l'abattoir, d'en décider. Ils n'ont, bien sûr, aucun intérêt à ce qu'un scandale sanitaire éclate. Mais les mesures pour les éviter sont encore bien trop aléatoires. Nous avons, par exemple, en France de moins en moins de vétérinaires dans les abattoirs. Les contrôles se cantonnent souvent à l'inspection des carcasses. Or les maladies pourraient certainement être détectées en amont, sur l'animal vivant. En Italie ou en Espagne, par exemple, vous avez beaucoup plus de contrôles vétérinaires en abattoir. Certes, l'auscultation de l'animal ne garantit pas une viande sans contamination. Mais disons que cela peut en diminuer les risques. Or nous assistons aujourd'hui à une course à la rentabilité qui empêche de travailler normalement. Je cite souvent cet exemple, car il est criant : j'ai réalisé, un jour, un audit dans un abattoir. J'arrive sur place un lundi matin, demande à voir un ensemble de documents, dont les températures des frigos, soumises à quatre contrôles quotidiens. Eh bien, figurez-vous que la fiche qu'on m'a apportée comprenait déjà les relevés pour toute la semaine... Où est donc passé le principe de précaution ? "
  11. Jolies photos , les couleurs et les marques se dessinent
  12. Reine des Pin-up

    DANIELLE

    Nico te ressemble en effet Jolie photo pleine de tendresse
  13. Art R.1334-31 Code de la santé publique : "aucun bruit particulier ne doit, par sa durée, sa répétition ou son intensité, porter atteinte à la tranquillité du voisinage ou à la santé de l'homme, dans un lieu public ou privé, qu'une personne en soit elle-même à l'origine ou que ce soit par l'intermédiaire d'une personne, d'une chose dont elle a la garde ou d'un animal placé sous sa responsabilité." De jour comme de nuit, les bruits de voisinage, comportement, d’activités ou domestiques portent non seulement atteinte à la qualité de vie et à la tranquillité mais aussi à la santé. Une part très importante de ces bruits provient de comportements de particuliers qui sont en fait des incivilités : bruits d’animaux, bruits de pas, chocs, télé, hifi, bricolage, jardinage, loisirs, jeux de ballon, activités sportives, conversations à voix fortes, cris, disputes, chants, bruit des fêtes (familiales ou autres) ... Ils correspondent principalement aux bruits inutiles ou agressifs de la vie quotidienne, provoqués, directement ou non, par les comportements désinvoltes de personnes. La règlementation considère ces bruits comme gênants dès lors que ces bruits durent longtemps, ou sont de très forte intensité sonore ou se répètent fréquemment. Particularités du tapage nocturne car le niveau ambiant de bruit urbain diminuant la nuit, l’émergence de bruits perturbateurs se trouve ainsi favorisée. Le seuil des 22 heures est une légende !!! Tout bruit excessif peut être sanctionné, et pas seulement à partir de 22 heures comme beaucoup le croient. Le tapage diurne est donc interdit au même titre que le tapage nocturne. . L'auteur de tapage nocturne peut être condamné à une amende de 3è classe (450 €) et au versement de dommages et intérêts Art R. 623-2 du Code pénal Autre mythe celui de la soirée autorisée car occasionnelle ! Contrairement à une croyance persistante, le « droit » d’organiser une fête bruyante une fois de temps en temps est un mythe qui n’a aucun fondement juridique. Il vous revient de prendre vos précautions pour ne pas importuner vos voisins. Il ne s’agit pas seulement des bruits audibles depuis la voie publique, mais de tous les bruits audibles d’un appartement à un autre. Une peine de confiscation de la chose ayant servi à commettre l'infraction est prévue. Le constat des troubles se fait sans mesure acoustique, contrairement aux bruits liés aux activités professionnelles ou activités culturelles, sportives ou de loisir organisées de façon habituelle ou soumises à autorisation.
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