Isasza

Cela intéresserait, le problème, c'est que du temps libre, Humppfff A part ça, il est vrai qu'il m'arrive d'avoir des moments (au boulot, surtout) pour butiner les forums. Me faudrait envisager ce travail de confiance par tranches horaires, et jours de vacation. C'est vrai que ce fofo à toutes les bonnes bases pour s'animer.

Le chat citoyen, c'est aussi bien vu, à mon avis.

Je me plains de mon poste (surtout celui de l'après-midi), mais toi, dans le genre tu es encore plus "vernie", Bouhaouah, le boulot ! Bon, on se retrouve à tantot, aussi tôt que possible. Bisous, je t'embrasse, et force courage je te souhaite aussi.

Ton lien ne fonctionne pas Choupi, pourrais tu me donner ton nom; et alors la recherche en sera facilitée. Si tu fais autant de "battage" que Chats angevins, tu vas te rendre célèbre. Qu'est-ce que ça devient ce procès ?

Enchantée de te retrouver sur FaceBook. Vu le temps très restreint à présent, dont je dispose, c'est depuis le bureau, qu'il m'arrive encore de jeter un coup d'oeil sur les activités associatives des collègues... Chez moi, je ne m'appartiens plus du tout, depuis que maman est revenue à la maison depuis son opération...

Je viens de signer la nouvelle version de la pétition. Je pose un lien sur Face Book, tant qu'à y être.

Beau bilan de l'année qui s'etteind ! Ne perd pas courage Choupie. Partagé sur Facebook.

Nous sommes avec toi Choupie.. Ça va, moi aussi j'adore les huissiers, les tribunaux et les proprios vérolés à souhait... Peux tu tenter de lancer une pétition en ligne sur Lapetition.be C'est un site suffisamment fiable à mon avis. En attendant je pose le lien sur facebook qui est fréquenté par nos collègues chatteux.

http://www.facebook.com/posted.php?id=722109418&share_id=165680502114&fragment=share_footer165680502114&comments%23share_footer165680502114=#/profile.php?id=769189308&ref=profile Bonjour, Ceci, est la page de mon profil personnel, Maintenant, tu peux également taper => Isabelle Blanchemain sur la recherche interne de FB Et là, tu peux me rejoindre facilement en passant par la procédure "ajouter aux amis". Il est également possible de constituer un groupe "Animal Ami", ce que je ne ferai pas, sans l'accord et le soutien de Choupie . Mais poser un lien tous les jours pour le fofo, ça c'est jouable. Amitiés à toi.

Je viens de faire un peu de pub pour Association Animal Ami sur FacebooK Le lien fonctionne à merveille.

Je lui dédie ces excellentes émoticones.... A mon avis, il n y a pas plus à y ajouter....

Humpfff, j'ai comme qui dirait, ma petite idée sur le genre de trrèèèèssss grrrraaaannnnd forum que ça peut être.... Il y a défense animale tout court,, celle du terrain, avec des voisins, celle des nuitées glacées à escalader ou à ramper pour récupérer un chat fouvoyé ou piégé... et la Défense Animale que l'on dirige sur un énooooorrrmmmme forum... le cul posé sur son fauteuil.

Hier en fin de matinée, je suis allée à la pharmacie pour louer un aérosol pour ma maman qui a récolté la toute dernière de mes bonnes crèves. Tous les aérosols, une vingtaine, étaient déjà en circulation. Ce n'est pas la HN1, mais cette crève est un bon millésime de saison en tous les cas.

Ici, c'est la drache, avec de forts violentes précipitations. Ce que je crains le plus, ce sont ces chutes de "hallebardes" ininterrompues, qui m'occasionnent inévitablement quelques craintes et soucis. Enfin, comme tu le dis, c'est tout à fait légal en cette saison.

C'est sympa, cette rubrique. Allez, avant de quitter le bureau, je remet un gentil petit lien sur Facebook.

Bonsoir, J'ai placé le lien du fofo sur le mur de mon réseau Facebook. Les liens y fonctionnent non seulement à ravir, mais en plus cela te procure en même temps une vignette du portail. Amitiés.

Alors ne rien faire et laisser faire ? Et croire que c’est gratuit est une hérésie! Cela entraîne un mauvais état sanitaire des animaux, des riverains agacés, des protecteurs désemparés qui, comble de tout, peuvent choisir de rentrer un nombre inimaginable de chats chez eux, au grand dam des voisins et à l’autel du martyre animal ! Avec néanmoins, le recours régulier à la capture pour la destruction des chats ! Pour nous, protection des êtres vivants rime avec gestion raisonnée et éthique. Nous ne craignons pas de calculer le prix de revient généré par l’activité économique liée à la protection des animaux. Si une vie n’a pas de prix, sa préservation a un coût. Catherine Dehay et Didier Lapostre Bulletin ACR et AERHO, 1 rue Malot, 93100 Montreuil—lespritdesbetes@numericable.com -6-

Pour finir, il est vrai que les freins à des modes de gestion raisonnée, durable et éthique, existent aussi au sein même de la protection animale, qui bien souvent refuse d’aborder la question sous cet aspect et d’expliquer « nous sommes des protecteurs pas des gestionnaires ». La boucle est alors bouclée : · aux gestionnaires : la gestion, le sérieux, les coûts les moins élevés, la faisabilité économique, · aux protecteurs : la sensibilité, le misérabilisme, l’anthropomorphisme Dans bien des cas, le résultat pour les animaux est la mort.

On nous rebat les oreilles des dépenses faites pour les nourrir ou les soigner (comme si c’était un comble qu’ils mangent et puissent tomber malades), on fait les comptes, on se scandalise ! Et les enfants qui meurent de faim ? On se demande bien pourquoi ce sont par les croquettes et autres pâtées faites à partir du « cinquième quartier », ces déchets d’abattoirs, que le scandale arrive et non par les gâteries que l’on s’offre à soi-même et qui bien souvent, représentent des sommes autrement plus conséquentes que les quelques nourritures offertes aux animaux de la rue. Ces grands humanistes toujours portés à faire la balance – ou l’homme ou l’animal – seraient bien avisés de faire leurs comptes et de se pencher sur la nature de toutes leurs dépenses.

C'est bien dans cette optique que je relaie ce texte, et effectivement, à partir de ce manifeste il y aura un débat dans la ville le 8 octore prochain.

Il crée des conditions qui permettent une présence des chats dans la ville acceptée par tous, avec en tout premier lieu, une régulation éthique des populations de chats par la stérilisation des animaux. Avantages 1-Nous pouvons mettre en avant la prévention sanitaire, tant par le suivi qui permet d’avoir un bon état de santé de ces animaux, que par l’organisation établie qui permettrait, en cas d’épidémie, d’intervenir de manière exhaustive et toujours éthique, sur tous les animaux répertoriés. 2-Nous pouvons aussi voir dans le chat, le prédateur de rongeurs ou du moins, le détenteur d’un territoire dont il exclut certains animaux et ainsi lui redonner son rôle commensal de l’homme qu’il a historiquement tenu. 3-Nous pouvons valoriser aussi le rôle de celles et ceux qui s’en occupent régulièrement, les nourrisseurs. D’un côté, il s’agit d’une certaine façon de se sentir utile et d’établir un lien privilégié avec ces animaux, ainsi qu’un social avec son voisinage. Cette activité préserve d’une solitude trop fréquente en ville. Pour la société, il s’agit de percevoir ces personnes non plus en marginaux mais en veilleurs d’animaux sur la ville. 4-Nous pouvons arguer de la création d’emplois de proximité, exigeant une formation particulière, et venant enrichir la palette des métiers liés à l’environnement. 5-Nous observons aussi que ces chats qui habitent et habillent les lieux bitumés, donnent l’occasion d’entrer en contact avec un animal semi-sauvage, de s’exercer à « apprivoiser », activité profondément ancrée en l’homme. ---- Ainsi, au delà des histoires d’argent, nous nous apercevons que certains aspects de cette activité ne peuvent être financièrement évalués. Comment calculer le plaisir de voir des chats bien portants dont le nombre limité permet de les reconnaître et de leur donner un nom ? Quel est le prix de ce sentiment d’être utile à l’autre pour les nourrisseurs et d’être valorisés dans leur acte de générosité par les voisins ? Quel prix donner à ce mieux vivre en ville qui passe par l’attention portée aux animaux de nos rues ?

L’esprit des bêtes — Tous Animaux ! n° 1—Septembre 2009 Au travers de ces deux exemples, il est clair que le choix pour les élus et les citoyens ne se situe pas en premier lieu sur le terrain financier. L’écart entre coût de la vie et coût de la mort, entre respect de l’intégrité physique des animaux ou non, n’est pas si important qu’on pourrait le croire. Les choix sont le fait d’habitude et surtout d’un manque de connaissance dans des modes de gestion alternatifs. Heureusement, plusieurs villes sont novatrices et se tournent vers ces possibilités. Car, au delà des coûts directs, il existe une réelle valeur ajoutée à ces modes de gestion alternatifs, tel celui d’ACR. Il crée des conditions qui permettent une présence des chats dans la ville acceptée par tous, avec en tout premier lieu, une régulation éthique des populations de chats par la stérilisation des animaux.

"L'Esprit des bêtes" bulletin des associations de chats des associations des chats des rues. La proximité des animaux dans notre environnement urbain est fort agréable pour les uns et pose problème pour les autres. Il existe des solutions pour un partage harmonieux de l’espace avec la nature et les animaux qui la composent. Je vous propose d’aborder ce sujet avec l’exemple des chats. Ce bulletin, le premier de cette union d'association de protection des chats errants ou de la rue, nous introduit fort clairement un débat ou plus précisément la poursuite de ces débats. Face aux opérations de captures et d'exterminations de chats perpétrées par des sociétés mandatées, il nous est proposé plusieurs pistes d'actions à entreprendre d'abord avec nos élus.

Il y a de cela quelques années, un de mes correspondants habitant à Valence, me signalait des actes particulièrement odieux perpétrés sur des chats et chatons dans un parc de Valence dans la Drôme.

ATTENTION à la PHOTO !! CHOQUANT http://www.ledauphine.com/photo-@/index.jspz?photo=169495 Les photos prises par les responsables du refuge de la SPA de Chambéry, sont insoutenables. À tel point que nous avons préféré ne pas les publier. Une tête de chat, gueule ouverte, empalée sur une grille à proximité de la Halle olympique d'Albertville. L'animal a été éviscéré puis découpé en morceaux, le corps d'un côté les pattes de l'autre et pour finir le tueur a procédé à cette horrible mise en scène sur la grille. Cet acte odieux s'est déroulé dans la nuit de vendredi à samedi dernier dans les environs au skate parc d'Albertville situé au parc olympique. La SPA d'Albertville a aussitôt porté plainte contre X au commissariat de police. Selon les policiers albertvillois, il pourrait s'agir de "l'œuvre" d'un seul individu qui, dans un premier temps, a détérioré des arbres à coups de hache, avant de s'en prendre à ce pauvre animal, vraisemblablement avec le même "outil". Les policiers, visiblement choqués eux aussi par cette affaire, ne négligent pas du tout ce dossier. Ils tiennent à souligner l'excellence des rapports entretenus avec les jeunes skateurs, leurs investigations se portent donc vers un individu isolé. Pour l'heure, ils ne disposent pas d'indices, raison pour laquelle ils lancent un appel à témoins. Le chat était tigré, et non tatoué. Toute personne susceptible de faire progresser l'enquête, est priée de contacter le commissariat d'Albertville (Tél. 04 79 32 43 57).. À Chambéry aussi À Chambéry aussi, plusieurs actes de cruauté sur des chats ont été recensés. À la fin du mois d'août, un chaton est amené à la SPA, ramassé par une âme charitable après avoir été roué de coups par des jeunes. Malgré des soins vétérinaires, il meurt deux jours plus tard. La SPA fait état de deux autres témoignages recueillis ces derniers jours. Un chat volontairement coincé dans un volet roulant et un autre que l'on s'est amusé à jeter à partir du toit de l'école Pablo Neruda. « Nous ne portons pas plainte chaque fois car nous manquons la plupart du temps de témoignages ou alors les voisins ont peur de représailles et n'osent rien dire », confie une responsable du refuge de la SPA de Chambéry. « Au printemps dernier, un petit rottweiller a été ébouillanté par son maître. Malgré les soins, nous n'avons pu le sauver. Son propriétaire a repris un chiot que nous avons réussi à lui faire retirer car il était déjà lui aussi maltraité... C'est hélas notre seul moyen d'action car l'individu est connu et personne n'ose rien dire...» Les actes de cruauté sur les animaux ne sont pas nouveaux. Ce qui choque le plus, notamment dans l'affaire d'Albertville, c'est l'acharnement de l'auteur des faits et le plaisir qu'il a pu prendre à effectuer cette sinistre mise en scène. On se dit qu'un homme capable de découper un chat en morceaux et d'exposer ainsi son "trophée" dans un lieu public est capable d'aller beaucoup plus loin.