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Isasza

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Tout ce qui a été posté par Isasza

  1. On peut compter sur le Comité Rennais de l'Animal en Danger. Le CRAD ; association active et persévérante. Nous ajoutons cette information au dossier. A nous de la communiquer autour de nous.
  2. De temps à autre, la presse quotidienne régionale en donne un faible écho, les réseaux de la protection animale font quand à eux circuler ces alertes. Ici un article du quotidien du Sud Ouest La dépêche du Midi qui consacre un article sur ces inquiétantes disparitions de chats telles qu'elles ont été constatées récemment à Tarbes, Bordeaux... ______ Ont-ils mangé chiens et chats... en famille ? ne nouvelle affaire de trafic de chiens et de chats vient d'éclater en Lot-et-Garonne. L'association Talis de défense des animaux a déposé plainte, tout comme les services vétérinaires. Un éleveur du Marmandais est même soupçonné, par l'association, d'avoir mangé en famille les animaux. Du jamais vu encore ! Si le grand trafic d'animaux qui avait éclaté en Lot-et-Garonne et qui avait des ramifications dans des laboratoires d'expérimentation avait, un long moment, défrayé la chronique dans le département, une autre affaire vient d'éclater en Marmandais, tout aussi sordide. 30 chiens et chats L'épilogue de ce trafic devrait intervenir avec la saisie par l'association de défense des animaux Talis, en présence des gendarmes de Sainte-Bazeille, de la trentaine de chiens et de chats de celui qui se disait éleveur mais s'était attiré les foudres des services vétérinaires départementaux pour installations non conformes, et dont la plainte devrait prochainement intervenir à la barre du tribunal correctionnel de Marmande. «Les animaux, mal nourris et hébergés dans des conditions désastreuses, selon le président de l'association Talis, Stéphane Charpentier, avait conduit cette dernière à déposer elle aussi plainte auprès du tribunal de police marmandais et à obtenir satisfaction en date du 11 janvier dernier». Les animaux seront recueillis au refuge de l'association situé à Brive. «Actes de cruauté» «Hélas, souligne Stéphane Charpentier, nous n'avons pu obtenir l'inscription de l'affaire en tant qu'actes de cruauté ce qui aurait valu à l'éleveur la barre correctionnelle d'emblée». Car alertée par des adhérents locaux qui avaient notamment aperçu dans les poubelles de l'éleveur des peaux de chiens, «il est, pour l'association Talis, de notoriété publique que l'éleveur et sa famille se nourrissaient de viande canine. Bien qu'il ne l'ait pas reconnu devant le tribunal». Ce dernier avait trouvé la formule pour organiser son approvisionnement. «Dans des journaux gratuits locaux, il passait des annonces demandant à des propriétaires potentiels de lui donner, contre bons soins, les portées dont ils ne savaient que faire. Chats et chiens s'accumulaient ainsi dans ce qui n'avait rien d'un élevage mais parait cacher, en fait, des pratiques beaucoup plus horribles».
  3. Je pense que si, il y avait des tortures et exécutions de justice publiques, bien du monde se presserait sur les place et aux balcons afin de ne rien rater du spectacle.... Eh bien à défaut de pouvoir se délecter de corps pendus, ou écartelés et de têtes tranchées, la nature "humaine" à besoin de la vision de la souffrance pour affirmer sa piètre personnalité.
  4. Pyrénées-Orientales. Un jeune barbare met le feu à un chien errant Mambo a été aspergé d'essence et brûlé vif. Les auteurs de ce crime seront jugés en décembre. Aspergé d'essence à deux reprises puis enflammé c'est le cruel scénario qui s'est noué la semaine dernière sur la place du village d'Espira-de-L'Agly prés de Perpignan (Pyrénées-Orientales). La victime ? Un petit chien abandonné, errant qui cherchait la compagnie des hommes au mauvais moment, au mauvais endroit, en pleine nuit de désœuvrement d'une bande de jeunes. Après avoir siphonné le réservoir d'une mobylette, à deux reprises, un jeune de 17 ans est passé à l'action au briquet. Une fille d'une vingtaine d'années est allée récupérer le chien et lui a livré. Le chien s'est enfui, en torche vivante dans la nuit étouffante du village. Brûlé au troisième degré sur plus de 50 % du corps, les chairs à vif. Le chien a été recueilli au petit matin prés de la mairie, puis soigné au dispensaire de la SPA de Perpignan (Pyrénées-Orientales). Au village le caractère sauvage, barbare de cet acte et l'indignation des amis des animaux ont fini par faire craquer les témoins de ce « cruel amusement ». Et les langues ont fini par désigner le coupable, un jeune défavorablement connu des gendarmes pour différents petits larcins. Les habitants et les militants de la SPA ont manifesté leur indignation lundi matin en brandissant des photos insoutenables de ce chien brûlé par la bêtise humaine. « Ce sont des esprits criminels qui ont fait cela. C'était un chien gentil, pas agressif du tout. Il allait vers les gens. Il cherchait de l'affection » se désole une habitante écœurée. « C'est un acte de salopards. Il doit être très sévèrement puni. La commune paie les frais médicaux pour soigner le chien. Mais nous présenterons la facture à la famille. Ici les chiens font partie de notre vie quotidienne » explique Gérard Bile le maire outré qui a déposé plainte dans la foulée de la procédure initiée par la SPA. Pendant ce temps, Mambo, c'est le nom qu'on lui a donné, survit difficilement au dispensaire SPA sous perfusion de morphine, avec les pansements sous anesthésie. Les vétérinaires et les bénévoles se relaient à son chevet, lui apportent soins et affection.Et Banny Goyzé, une habitante d'Espira s'est portée volontaire pour adopter Mambo, chien martyr. ll sera jugé en décembre à Perpignan Les autorités judiciaires ont longuement discuté hier à Perpignan pour fixer le sort de J. ce jeune homme de 17 ans qui a avoué son geste sans l'expliquer. Après vingt-quatre heures de garde à vue, il a finalement été mis en examen pour sévices graves envers un animal par le juge pour enfants puisqu'il est mineur. Il n'a pas été incarcéré comme le souhaitait à un moment donné le parquet de Perpignan puisque la peine encourue (deux années d'emprisonnement) est inférieure à trois ans. Le placement au foyer a été refusé par le juge des libertés. Il a finalement été laissé libre sous contrôle judiciaire au domicile de ses parents avec interdiction de sortir la nuit. Il comparaitra devant le tribunal correctionnel de Perpignan en décembre prochain avec une jeune femme de 22 ans, qui aurait tenu l'animal pendant qu'il y mettait le feu et qui devra répondre de complicité.. De nombreuses associations de défense des animaux dont celle de Brigitte Bardot pourraient se porter partie civile dans cette affaire devenue symbole de la lutte contre les tortures infligées aux animaux. Les propriétaires qui avaient abandonné « Mambo » dans les rues d'Espira ne se sont pas faits connaitre. Source (La Dépêche) OAS_AD("x32");
  5. Il est effectivement superbe. Comme d'hab.... Un chat de plus, largué en été...
  6. Oh vingt-zou, la grosse gourde (d'eau) que je suis, je n'avais pas remarqué la bouteille !!!! :16:
  7. Conseils issus de l'expérience d'une responsable associative de protection animale Patricia Franckhauser Présentation d'une méthode il est vrai un peu contraignante, mais qui semble bel et bien payante. Que faire si le chat disparait ? Pourquoi est ce que cela fonctionne? Simplement parce qu'un chat vit dans un monde d'odeurs, et de sons connus, que s'il se perd ou s'il ne voit plus bien suite à un choc, ou autre raison, il ne retrouve plus ses odeurs, ses marques et se perd, parfois même à 50 mètres de chez lui ou plus près et peut paniquer et se terrer dans un coin, une cave, un tas de bois, un pare choc de voiture. Cela marche après un mois d'absence, comme après plusieurs mois ou un an si le chat reconnaît votre voix, le tout est que cela soit répétitif, à heures fixes, la nuit, et dure assez longtemps que votre chat vous entende et comprenne que les sons seront répetés, chaque soir. Pourquoi le soir ? Parce que la nuit porte les sons autrement plus loin vu le calme alentour, la voix porte à plusieurs centaines de mètres, le jour les autres bruits étoufferont le son de votre voix et ce sera peine perdue qu'il vous entende... Un monsieur de mon village a retrouvé son chat après 3 mois de disparition, c'est actuellement notre record max, il est revenu très affaibli mais revenu. Je veux finir sur de l'espoir car il faut avoir du cœur au ventre, là bas dans la nuit, votre chat vous espère, vous attend, il n'est sans doute pas trop tard, même six mois après, un an après, il peut etre nourri par une voisine, un voisin, qui ne sait pas que c'est le vôtre, et le chat voit mal et surtout assez flou au-delà de 6 mètres, il ne distingue pas les mêmes couleurs que nous et se balade dans un univers de tons relativement gris, d'odeurs d'où le fait qu'il se perd facilement et souvent pas loin de chez lui.. Si vous avez un peu de patience, beaucoup d'amour, une bonne voix qui porte un peu, pas peur d'appeler et de lancer votre voix dans la nuit, et un brin de chance, vous retrouverez votre chat... Cette technique est très fiable et fonctionne très très bien, elle va vous coûter 5 minutes de votre vie chaque vingt minutes, quelques soirées dans votre vie, et vous retrouverez votre gentil compagnon perdu dans la nuit qui doit etre terrorisé, si vous le faites, au moins vous aurez tenté, plein de gens en ont bénéficié dans mon village, cela fonctionne très bien. Ne l'attendez pas forcément le premier ou le deuxième soir, persévérez, minima une dizaine de jours. Je souhaite également dire aux gens qui déménagent que le chat a besoin de "plusieurs mois" pour prendre ses nouvelles marques, et qu'on ne "sort pas un chat" dans son nouveau jardin dès son arrivée, on attend minima un mois et demi à 3 mois, plus si on peux avant de sortir le chat. N'oubliez pas au passage de le faire vacciner, stériliser et surtout tatouer avant de le sortir. Je n'y gagne rien qu'à vous aider à retrouver votre chat et ça c'est du bonheur !!!!. .. Les affiches sont obligatoires avec description du chat et son nom, votre tel, qui doit rester open le plus souvent possible, dans un rayon de 800 M chez les commerçants et de partout, poubelles, cabines de tel, votre voiture, etc, poteaux, salle d'attente veto et boulangeries, garages, etc... et le signaler de partout, pompiers, gendarmerie, polices municipales , vétérinaires alentours etc, si possible laisser des photocopies de votre annonce là bas aussi, le signaler disparu auprès de la centrale féline, des spa locales, etc..., bonne chance, croyez-y, on retrouve des chats même x mois après, notre maxi est actuellement un chat perdu durant un an. Bonne chance aux chats perdus et aux gens qui aiment leurs chats. (Mademoiselle Patricia Franckhauser : Responsable bénévole de PA de St Cyr 83270)
  8. Par rapport à cette frayeur organisée de la grippe, interrogeons-nous donc sur nos façons de nous nourrir, ouvrons l'œil sur cette industrie de l'élevage et de l'abattage... Un sujet de plus pour nous amener à réfléchir, et pas des moindres. ---- Subject: malades de la peste humaine..................... www.mediapart.fr/club/blog/jaquis/130809/les-animaux-malades-de-la-peste-humaine" target="_blank" rel="nofollow">http://www.facebook.com/l/;www.mediapart.fr/club/blog/jaquis/130809/les-animaux-malades-de-la-peste-humaine Les animaux, malades de la peste humaine Les consommateurs de viande que nous sommes presque tous ne se doutent que très superficiellement de ce qui se passe dans les grands centres de production de viande en vue de sa consommation humaine, à savoir les usines à élevage intensif et les abattoirs dont le but est de fournir au marché des produits carnés. Le consommateur, même le plus critique et le mieux informé, manque des informations lui permettant de se faire réellement une opinion fondée en faits vérifiés et irréfutables et donc en raison. Pourquoi ce déficit en informations ? Parce qu'aucune institution publique ne souhaite réellement l'en informer ! C'est que la situation dans ces centres de production de viande est tellement grave qu'il faudrait une volonté politique pour transformer ce qu'il faut bien appeler une zone de non-droit en un espace juridique et éthique (rêvons un peu ...) de responsabilité et de respect envers les animaux. Zone de non-droit qui s'accompagne, et c'est en cela qu'il faut la dénoncer, d'une quantité de violence jamais atteinte jusque là par l'homme à l'endroit des animaux : c'est la thèse que défend avec une précision inouïe et une rigueur impressionnante Jean-Luc Daub dans l' ouvrage important qu'il vient de publier : Ces bêtes qu'on abat. Journal d'un enquêteur dans les abattoirs français (1993-2008). La force et l'intérêt de ce livre résident précisément dans le fait qu'il s'agit d'une enquête digne de la plus grande rigueur sociologique : des descriptions très précises du fonctionnement de dizaines d'abattoirs visités pendant près de 6 ans, la volonté de respecter une certaine mais difficile objectivité pour ne pas être être accusé de partialité et donc de militantisme dogmatique, le désir de comprendre le travail de ceux qui tuent les animaux pour nourrir les humains et enfin l'analyse des nombreux et révoltants actes qui sont à l'origine de cette violence industrielle infligée aux animaux, violence présente dans les gestes des employés, dans les modes de fonctionnement de ces lieux où, selon la législation, aucun animal ne doit sortir vivant, dans la réduction de ces êtres sensibles à une dérisoire valeur marchande qui viole leur statut d'être vivant et enfin dans la lâcheté de ceux qui devraient être plus présents et plus conscients de leur responsabilité, à savoir les dizaines de vétérinaires censés exercer une surveillance sanitaire à l'égard de ces lieux abattage, mais semblant s'être habitués à cette "banalité du mal" qui leur interdit, pour beaucoup d'entre eux, de ressentir de la compassion et par conséquent de se révolter devant cette exploitation industrielle du vivant non humain, de ces animaux de boucherie. Un exemple, parmi des milliers d'autres, tiré de cette enquête exceptionnelle : que veut dire éléver un animal dans ce que l'auteur n"hésite pas à appeler " les élevages intensifs et concentrationnaires" ? "Ici, l'élevage ne consiste pas à mener à l'âge adulte, mais à faire grossir, à développer de la chair, à faire de la viande. L'animal n'est rien d'autre qu'une chose à produire de la viande. (...) La prise de poids est maîtrisée par la seule alimentation dans un contexte d'élevage où l'animal n'a aucune activité physique. Il est donc inutile de donner trop d'aliment, même si l'animal a encore faim, car il y a un seuil à partir duquel l'aliment se transformerait en graisse et non en viande; or ce qui est valorisé en "poids carcasse" à l'abattoir, c'est la viande." C'est cette logique économique qui est à l'origine de la violence qui s'exerce sur les animaux que nous mangeons et qui se diffuse même dans les manières de mettre fin à leur existence : souvent, dans les abattoirs, en raison de la pression de la demande de viande, les employés commettent des actes horribles sans même s'en rendre compte en ne respectant pas les simples règles de mise à mort et de découpe de l'animal : "En plus, les employés n'attendaient pas la fin de la saignée pour intervenir. Alors que le sang coulait encore et à plein débit, ils découpaient les antérieurs, puis la tête. A ce moment-là, les bovins n'étaient toujours pas morts. On pouvait voir un employé qui avait du mal à couper les antérieurs, le bovin les retirait systématiquement et s'agitait. (...) Le directeur et le président de l'abattoir m'ont dit qu'il fallait aller vite après l'étourdissement." Or, d'après le règlement qui organise le fonctionnement de ce type d'industrie alimentaire, en effet, les employés sont obligés d'attendre la fin totale de l'écoulement du sang avant de procéder à la découpe de l'animal, sans même parler de l'abattage rituel pratiqué par les sacrificateurs juifs et musulmans, souvent dans les mêmes abattoirs, où il est strictement interdit de procéder à un quelconque assommement de l'animal et où la saignée se fait pendant que celui-ci est en pleine conscience de lui-même !. Et ce au plus grand mépris de la législation ! Ces scènes atroces, qu'aucun observateur extérieur ne supporterait, sont tirées de milliers d'autres vues et vécues par l'auteur qui donnent à son témoignage une valeur d'autant plus grande qu'il ne juge pas, mais fait l'effort, contre sa sensibilité même, de proposer des solutions pratiques pour diminuer la souffrance des animaux à la mort et à l' agonie desquels il assiste quand même ! Solutions qui sont souvent rejetées par les acteurs de cet univers de mort, avec des argumeuts irrationnels qui témoignent tous du fait que la plupart des hommes n'ont encore aucune idée, aucune représentation claire de ce que peut-être la souffarnce des bêtes, avant et pendant leur abattage . Le consommateur n'ayant aucune idée de ce que sont ces systèmes industriels d'élevage et abattage des animaux, le système d'exploitation se maintient d'autant plus efficacement qu'il est quasiment impossible de pénétrer dans ce milieu de désolation pour la plupart des individus. Mais la principale justification de ce système repose sur la consommation elle-même qui cautionne, d'une certaine manière, ces pratiques largement d'élevage et de mise à mort, majoritairement répandues, sans même savoir qu'elles existent et à quoi elles ressemblent. Que faire dans ces conditions limites qui mettent en péril la vie de millions d'animaux ? Cet univers d'exploitation repose sur une inertie considérable justifiée par nos pratiques alimentaires qui semblent se satisfaire de cette situation insupportable : d'où la seule solution pour diminuer cette quantité de violence, solution radicale mais en l'état actuel des choses, unique pour sortir de cette réalité selon l'auteur Jean-Luc Daub : "Si vous voulez-vraiment faire quelque chose pour les animaux dits de boucherie, le mieux est de ne plus les manger. De ne plus acheter de viande en pensant aux trois millions d'animaux abattus chaque jour en France. C'est le plus beau cadeau que l'on puisse faire aux animaux. " Solution extrême qui serait théoriquement efficace dans une économie de marché comme la nôtre, mais solution impossible en raison de lourdes et pesantes traditions culturelles et culinaires françaises reposant sur une consommation importante de viande qui éloigne de toute prise de conscience publique de cette fabrication industrielle et concentrationnaire de viande ; en raison aussi de nombreux et puissants groupes de pression qui vivent de cette misère animale ; en raison de la lâcheté des pouvoirs publics qui ont, au fond, intérêt à ce que ce secteur économique prospère pour le plus grand profit des éleveurs, des industriels et des consommateurs; en raison, enfin, de l' égoïsme foncier de l'Homme, prisonnier de ses "petits" plaisirs alimentaires et dont le comportement hédoniste est la meilleure et la plus puissante juistication de ce système de mort industriel. Laissons le mot de la fin à l'auteur de cette éprouvante et émouvante enquête qui ne peut que susciter l'admiration du lecteur que je suis : "Cependant le consommateur est toujours prêt à pleurer sur la misère des animaux dits de boucherie, mais il semble incapable de vouloir vraiment la soulager puisqu'il continue à manger le produit de cette misère qu'est la viande. Par contre, il est probable qu'il se donne bonne conscience en adhérant à telle ou telle association de protection des animaux. Nous sommes responsables du sort des animaux par nos choix alimentaires et nos achats."
  9. Par rapport à cette frayeur organisée de la grippe, interrogeons-nous donc sur nos façons de nous nourrir, ouvrons l'œil sur cette industrie de l'élevage et de l'abattage... Un sujet de plus pour nous amener à réfléchir, et pas des moindres. ---- Subject: malades de la peste humaine..................... www.mediapart.fr/club/blog/jaquis/130809/les-animaux-malades-de-la-peste-humaine" target="_blank" rel="nofollow">http://www.facebook.com/l/;www.mediapart.fr/club/blog/jaquis/130809/les-animaux-malades-de-la-peste-humaine Les animaux, malades de la peste humaine Les consommateurs de viande que nous sommes presque tous ne se doutent que très superficiellement de ce qui se passe dans les grands centres de production de viande en vue de sa consommation humaine, à savoir les usines à élevage intensif et les abattoirs dont le but est de fournir au marché des produits carnés. Le consommateur, même le plus critique et le mieux informé, manque des informations lui permettant de se faire réellement une opinion fondée en faits vérifiés et irréfutables et donc en raison. Pourquoi ce déficit en informations ? Parce qu'aucune institution publique ne souhaite réellement l'en informer ! C'est que la situation dans ces centres de production de viande est tellement grave qu'il faudrait une volonté politique pour transformer ce qu'il faut bien appeler une zone de non-droit en un espace juridique et éthique (rêvons un peu ...) de responsabilité et de respect envers les animaux. Zone de non-droit qui s'accompagne, et c'est en cela qu'il faut la dénoncer, d'une quantité de violence jamais atteinte jusque là par l'homme à l'endroit des animaux : c'est la thèse que défend avec une précision inouïe et une rigueur impressionnante Jean-Luc Daub dans l' ouvrage important qu'il vient de publier : Ces bêtes qu'on abat. Journal d'un enquêteur dans les abattoirs français (1993-2008). La force et l'intérêt de ce livre résident précisément dans le fait qu'il s'agit d'une enquête digne de la plus grande rigueur sociologique : des descriptions très précises du fonctionnement de dizaines d'abattoirs visités pendant près de 6 ans, la volonté de respecter une certaine mais difficile objectivité pour ne pas être être accusé de partialité et donc de militantisme dogmatique, le désir de comprendre le travail de ceux qui tuent les animaux pour nourrir les humains et enfin l'analyse des nombreux et révoltants actes qui sont à l'origine de cette violence industrielle infligée aux animaux, violence présente dans les gestes des employés, dans les modes de fonctionnement de ces lieux où, selon la législation, aucun animal ne doit sortir vivant, dans la réduction de ces êtres sensibles à une dérisoire valeur marchande qui viole leur statut d'être vivant et enfin dans la lâcheté de ceux qui devraient être plus présents et plus conscients de leur responsabilité, à savoir les dizaines de vétérinaires censés exercer une surveillance sanitaire à l'égard de ces lieux abattage, mais semblant s'être habitués à cette "banalité du mal" qui leur interdit, pour beaucoup d'entre eux, de ressentir de la compassion et par conséquent de se révolter devant cette exploitation industrielle du vivant non humain, de ces animaux de boucherie. Un exemple, parmi des milliers d'autres, tiré de cette enquête exceptionnelle : que veut dire éléver un animal dans ce que l'auteur n"hésite pas à appeler " les élevages intensifs et concentrationnaires" ? "Ici, l'élevage ne consiste pas à mener à l'âge adulte, mais à faire grossir, à développer de la chair, à faire de la viande. L'animal n'est rien d'autre qu'une chose à produire de la viande. (...) La prise de poids est maîtrisée par la seule alimentation dans un contexte d'élevage où l'animal n'a aucune activité physique. Il est donc inutile de donner trop d'aliment, même si l'animal a encore faim, car il y a un seuil à partir duquel l'aliment se transformerait en graisse et non en viande; or ce qui est valorisé en "poids carcasse" à l'abattoir, c'est la viande." C'est cette logique économique qui est à l'origine de la violence qui s'exerce sur les animaux que nous mangeons et qui se diffuse même dans les manières de mettre fin à leur existence : souvent, dans les abattoirs, en raison de la pression de la demande de viande, les employés commettent des actes horribles sans même s'en rendre compte en ne respectant pas les simples règles de mise à mort et de découpe de l'animal : "En plus, les employés n'attendaient pas la fin de la saignée pour intervenir. Alors que le sang coulait encore et à plein débit, ils découpaient les antérieurs, puis la tête. A ce moment-là, les bovins n'étaient toujours pas morts. On pouvait voir un employé qui avait du mal à couper les antérieurs, le bovin les retirait systématiquement et s'agitait. (...) Le directeur et le président de l'abattoir m'ont dit qu'il fallait aller vite après l'étourdissement." Or, d'après le règlement qui organise le fonctionnement de ce type d'industrie alimentaire, en effet, les employés sont obligés d'attendre la fin totale de l'écoulement du sang avant de procéder à la découpe de l'animal, sans même parler de l'abattage rituel pratiqué par les sacrificateurs juifs et musulmans, souvent dans les mêmes abattoirs, où il est strictement interdit de procéder à un quelconque assommement de l'animal et où la saignée se fait pendant que celui-ci est en pleine conscience de lui-même !. Et ce au plus grand mépris de la législation ! Ces scènes atroces, qu'aucun observateur extérieur ne supporterait, sont tirées de milliers d'autres vues et vécues par l'auteur qui donnent à son témoignage une valeur d'autant plus grande qu'il ne juge pas, mais fait l'effort, contre sa sensibilité même, de proposer des solutions pratiques pour diminuer la souffrance des animaux à la mort et à l' agonie desquels il assiste quand même ! Solutions qui sont souvent rejetées par les acteurs de cet univers de mort, avec des argumeuts irrationnels qui témoignent tous du fait que la plupart des hommes n'ont encore aucune idée, aucune représentation claire de ce que peut-être la souffarnce des bêtes, avant et pendant leur abattage . Le consommateur n'ayant aucune idée de ce que sont ces systèmes industriels d'élevage et abattage des animaux, le système d'exploitation se maintient d'autant plus efficacement qu'il est quasiment impossible de pénétrer dans ce milieu de désolation pour la plupart des individus. Mais la principale justification de ce système repose sur la consommation elle-même qui cautionne, d'une certaine manière, ces pratiques largement d'élevage et de mise à mort, majoritairement répandues, sans même savoir qu'elles existent et à quoi elles ressemblent. Que faire dans ces conditions limites qui mettent en péril la vie de millions d'animaux ? Cet univers d'exploitation repose sur une inertie considérable justifiée par nos pratiques alimentaires qui semblent se satisfaire de cette situation insupportable : d'où la seule solution pour diminuer cette quantité de violence, solution radicale mais en l'état actuel des choses, unique pour sortir de cette réalité selon l'auteur Jean-Luc Daub : "Si vous voulez-vraiment faire quelque chose pour les animaux dits de boucherie, le mieux est de ne plus les manger. De ne plus acheter de viande en pensant aux trois millions d'animaux abattus chaque jour en France. C'est le plus beau cadeau que l'on puisse faire aux animaux. " Solution extrême qui serait théoriquement efficace dans une économie de marché comme la nôtre, mais solution impossible en raison de lourdes et pesantes traditions culturelles et culinaires françaises reposant sur une consommation importante de viande qui éloigne de toute prise de conscience publique de cette fabrication industrielle et concentrationnaire de viande ; en raison aussi de nombreux et puissants groupes de pression qui vivent de cette misère animale ; en raison de la lâcheté des pouvoirs publics qui ont, au fond, intérêt à ce que ce secteur économique prospère pour le plus grand profit des éleveurs, des industriels et des consommateurs; en raison, enfin, de l' égoïsme foncier de l'Homme, prisonnier de ses "petits" plaisirs alimentaires et dont le comportement hédoniste est la meilleure et la plus puissante juistication de ce système de mort industriel. Laissons le mot de la fin à l'auteur de cette éprouvante et émouvante enquête qui ne peut que susciter l'admiration du lecteur que je suis : "Cependant le consommateur est toujours prêt à pleurer sur la misère des animaux dits de boucherie, mais il semble incapable de vouloir vraiment la soulager puisqu'il continue à manger le produit de cette misère qu'est la viande. Par contre, il est probable qu'il se donne bonne conscience en adhérant à telle ou telle association de protection des animaux. Nous sommes responsables du sort des animaux par nos choix alimentaires et nos achats."
  10. Copie de la lettre envoyée à la SACPA par Françise Sidobre, présidente de l'association Perle du refuge du mas de Lamalou à Brissac. ------ Messieurs, . Pour faire suite aux entretiens téléphoniques que nous avons eus avec vos services le 24 mars, concernant une petite chatte d’environ six mois, capturée à Lunel le 13 mars et euthanasiée, selon vos dires le 14 pour mauvais état de santé, je vous adresse ci-joint copie d’une fiche de fourrière émanant de votre propre organisme, concernant l’animal en question, prouvant, qu’elle était en bonne santé et sociable ( voir copie ci-jointe de la fiche fourrière émanant de chez vous). Cette chatte était donc jeune, en parfaite santé et de plus très sociable (ce qui faisait le sujet de notre appel, puisque nous avions un adoptant potentiel) ; il n’y avait donc aucune raison pour qu’elle soit euthanasiée et à fortiori au mépris du délai légal de garde. Après avoir appelé la SPA de Vallerargues, il nous été a confirmé que votre organisme étant fermé le week end, il ne pouvait pas y avoir eu euthanasie le 14 mars (un samedi). Un appel la SPA le 26 mars, nous a informés que la chatte n’avait pas été euthanasiée le 14, mais bien plutôt à l’expiration du délai légal (capture le 13 mars, 8 jours ouvrables, sans compter les week end, soit le 25 !), sans d’ailleurs pouvoir déterminer la date à laquelle elle avait été tuée Pourquoi alors au 24 nous a-t-il été répondu que la chatte avait été euthanasiée, puisque selon la loi, elle avait encore un jour à vivre, que selon votre fiche, elle était en bonne santé, et que vous aviez été déjà contactés le 17 pour vous informer qu’il y avait un adoptant ? Nous tentons donc de démêler le vrai du faux et faire le jour sur ces pratiques ; qui est complice et qui ferme les yeux ? Devons nous en conclure que les délais de garde légaux concernant les animaux capturés ne sont pas respectés ? Devons-nous en conclure que les renseignements fournis par vos services sont sujets à caution ? Et pourquoi ? Quoiqu’il en soit, il s’agit là de la vie d’un être vivant, jeune et en bonne santé, qui avait une chance que vous ne lui avez pas accordée et pourquoi ? Nous nous posons donc la question de savoir combien d’animaux passent ainsi « à la trappe » dans vos services sans que leur soit laissée aucune opportunité d’en réchapper et pourquoi aucune instance n’a un droit de regard sur ce qui se passe chez vous ? Qui est au courant et qui laisse faire ? Nous espérons une prompte réponse aux questions que se posent bon nombre d’associations et nous réservons le droit de communiquer ce courrier à toutes les instances concernées par vos interventions, avec lesquelles vous avez signé un contrat et, qui pour la plupart, ne sont pas au courant de ces pratiques ainsi qu’à toutes les organisations de protection animale qui peuvent se sentir concernées par un non dit laissant supposer le pire. Veuillez agréer, Messieurs nos sincères salutations La Présidente Copies dans l’immédiat : SPA de Vallerargues Monsieur C Fontenau, Président Directeur Général de la SACPA Madame Annie Benezech, SPA de Maurin Madame Josette Gaillot, Protection animale de Lunel Muriel Fitoussi, Présidente du Conseil de Protection Féline de l’Hérault Association Stéphane Lamart 30 Millions d’Amis Fondation Bardot Association Bourdon Assistance aux Animaux
  11. La présidente n'arrête pas, non seulement c'est la saison des abandons, mais aussi celle des reproductions, il nous pleut des chiots et des chatons... L'association Perle s'efforce d'assurer sa mission contre vents et marées. Embarqué sur un frêle esquif au milieu d'une mer de misères de plus en plus démontée. 6 chatons trouvés dans un carton au Vigan 4 chiots trouvés également dans un semblable conditionnement dans un village de l'Est Hérault.. 4 chatons en socialisation dans une chambre du Mas de Lamalou et pas moins de 18 chatons actuellement familles d'accueil à qui, il faut impérativement trouver un nouveau foyer fiable et aimant. Des photos des petits chéris, à venir très bientôt
  12. Pamphlet anti-corrida étayé, musclé, définitif par un écrivain insolent et irrespectueux.
  13. La Voix du Nord 11 Août 2009 Edition de BOULOGNE HYGIÈNE Au port de commerce, les élus et la CCI veulent faire capturer tous les chats sauvages En quelques années, une colonie de chats sauvages a investi les rochers du port de commerce. Selon la CCI, leur présence pose des problèmes d'hygiène notamment dans le stockage des eaux minérales à destination de la Grande-Bretagne. Une campagne de capture va donc être menée. Stéphane a les bras chargés de seaux remplis de nourriture pour chats. Comme chaque semaine, il vient nourrir la petite colonie de félins qui ont investi les rochers du port de commerce, à deux pas des éoliennes. Sauf que ce qu'il fait est interdit. «On lui a répété plusieurs fois, mais il ne veut rien comprendre», regrette Thomas Ditacroute, responsable sécurité à la chambre de commerce (CCI). Hier, une campagne de captures de ces chats sauvages a été lancée sur le terrain, en présence des officiers de la capitainerie et de Jean Schouteden et Evelyne Jordens, élus municipaux et membres de l'Association de protection des animaux boulonnais (APAB). «La présence de ces chats pose des problèmes d'hygiène sur la zone ». Un hangar de 30000m² est actuellement dédié au stockage des eaux minérales Danone à destination de la Grande-Bretagne. La moindre déjection sur une palette entraîne son déclassement et une perte financière pour la société Cotrama, sous-traitant local. «La capture se fera sans cruauté», insiste Jean Schouteden. La société Opale capture environnement va poser des pièges indolores pour capturer les bêtes puis va les présenter à un vétérinaire engagé par la communauté d'agglomération pour qu'elles soient examinées et stérilisées. Les plus vieux chats iront finir leur vie dans un terrain qui existe déjà dans la rue du Mont de Terre (près du Prince-Albert) , les plus jeunes seront stérilisés et mis à l'adoption. Durée prévue de la campagne; environ deux mois. OLIVIER MERLIN
  14. Le pire, c'est que ce genre d'horreurs ne se produit pas qu'aux USA. Dans ces états là au moins, des juges (ça dépend lesquels bien sur) prennent peu ou prou en considération la souffrance animale. En France, il arrive et pas si rarement que cela, que les cambrioleurs, après avoir non seulement volé, pissé, Crotté, versé de l'huile sur les lits, canapés... jettent aussi le chat ou le petit chien dans le four. Une de mes amies, à vécu cette abomination, en plus de constater que son domicile avait été violé, retrouver son animal aimé, carbonisé...
  15. Je me débrouille pour obtenir des lots d'objets divers, pelotes de fils, vêtements, et j'en fais don à l'association Perle qui les revend à l'occasion de quelques brocantes. Il m'arrive aussi d'aller prêter main forte à l'(association SOS Chats errants de Lambesc, quand celle-ci organise sa "Ronde des matous" une course pédestre de 7 et 11 kms agréée FFCP et connue des athlètes de la Provence sous le vocable des "Les Matous".
  16. Dr. Lisa Pierson demonstrates how to use the collapsible drop trap that she designed, and traps a feral cat for trap, neuter, return, Le Dr L P nousontre une nouvelle méthode pour capturer et immobiliser des chats "sauvages" afin de les faire stériliser, et les relâcher sur leur terrain. Video filmée par une association de protection.
  17. Quelques videos diffusées par des associations américaine de protection peuvent nous valoir de véritable formation permanente. Images de la réalité mais dépourvues de mort et de violence. Trap Neuter Return Program Trap-Neuter-Return (TNR) is a strategy for improving the lives of feral cats and reducing their numbers. Capturer, opérer, et relacher TNR c'est une stratégie de la protection afin de réduire la population des chats errants.
  18. Attention danger !! De nombreux accidents coûtent chaque jour la vie à nos chats, suite à l’utilisation de PANIERS DE TRANSPORT DEFECTUEUX OU MAL CONCUS. Boycottez les paniers fermés par 4 rivets. Quelle que soit la marque, ce sont les plus dangereux !!! Attention aux paniers à structure demi-dure genre plastique peu rigide Attention aux paniers en tissu avec fermeture éclair : ils ne garantissent pas tous une totale sécurité Attention aux poignées en plastique : elles peuvent carrément se détacher même avec des chats de poids normal ! Si vous devez utiliser un de ces paniers, sécurisez-le avec des extenseurs, vérifiez les systèmes de fermeture. Utilisez le moins possible la poignée (porter le panier par-dessous) Si vous devez acheter un panier neuf : Vérifiez la solidité des poignées et choisissez un panier dont la fermeture est UNIQUE (surtout pas de paniers fermés par 4 rivets !! même de « marque » !) Evitez les paniers en pastique peu solide ou mou Vérifiez que les fermetures éclair des sacs en tissu sont fiables (ne pas laisser d’espace ouvert, même minime, une fois le chat dedans) Si vous aussi, vous avez perdu un chat dans de telles conditions, merci d’appeler le 04 93 96 98 77. Nous constituons un dossier pour avertir les associations de consommateurs.
  19. Ben si il y en a qui n'aiment pas les chats, et qui pour cette raison les font griller.. Je pourrais non moins, tenir le même raisonnement, et le retournant contre les ennemis des chats... Big problème : Ou donc trouver un four suffisamment grand et haut ?
  20. Bonjour à vous toutes et à vous tous, Bonjour à vous toutes et à vous tous, Bon, là, je vous préviens, je baigne dans la purée dans la plus épaisse. Je ne vous oublie surtout pas, mais je ne peux plus communiquer de chez moi, en privation totale d'Internet depuis jeudi dernier. Je suis pendue aussi souvent que possible à la hot Line de mon provider... Ils se bougent, bien sûr.. Mais le jour ou enfin je récupère la connexion ce sera Champagne ! Donc plus que jamais ; Patience, la queue du chat balance ! Bises à vous toutes et à vous tous.
  21. Effectivement.. beaucoup de C°°°°° pour gueuler, et bien entendu, personne pour te proposer la moindre aide... je cela d'ici ! Bon courage, faut tout de même pas désespérer comme dirait l'autre".
  22. Ah ça, effectivement, c'est un excellent plan. Il pourrait également s'appliquer pour mon bouledogue... Des fois, on n'est franchement pas loin d'un pugilat en règle avec le chien du voisin.
  23. Cela arrive, hélas ce genre d'histoire.. J'ai eu même connu une andouille (je ne veux pas être grossière) de grouniasse qui avait noyé son chat parce qu'il lui avait croqué à plusieurs reprises ses fils de téléphone... Pour ma part, et constatant la propension de certains de mes minous à s'attaquer aux petits serpents de connexion, j'ai badigeonné les câbles d'un peu de glycérine sur lesquels j'avais saupoudré un peu de poivre et piment de Cayenne.. Effet dissuasif garanti. D'accord, ils n'aiment pas ça, mais je ne les envoie pas à la mort, et passé le moment de la gueule un peu en feu, ils ne subissent aucun dommage.
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