-
Compteur de contenus
20 146 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par Admin-lane
-
Voici l'un des plus grands requins blancs jamais filmés
Admin-lane a posté un sujet dans Actus - Infos : REQUINS
Un requin blanc, mesurant plus de six mètres de long, a été observé par des chercheurs, au large du Mexique. Les images sont impressionnantes. C'est un requin qui pourrait rentrer dans le livre Guinness des records. Un requin blanc, mesurant plus de six mètres de long, a été observé par des chercheurs, au large de Mexico (Mexique). On estime que ce requin, une femelle, a une cinquantaine d'années... SLAB Sea-Land-Air-Blaze 10/6/2015 La Réunion 1ère 11/6/2015 -
FRANCE : Alertes sur les risques de tempêtes, crues, orages, sécheresse, etc...
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Conditions climatiques
Un dramatique accident a coûté la vie à trois marcheurs en Corse, ce mercredi 10 juin. Comme ailleurs dans le Sud-Est, l'île de Beauté a été touchée par les intempéries ces derniers jours. Sur le plateau de France 2, Philippe Verdier précise qu'il s'agissait d'un phénomène rare, "très violent et très local". Depuis quelques jours, les orages ont frappé de nombreux massifs d'une large partie sud du pays. Toutefois, "la tendance est à l'accalmie. La journée la plus orageuse que nous avons vécu depuis le début de la semaine, c'était lundi. Il y a eu 80 000 impacts de foudre. C'était peut-être la journée la plus électrique depuis le début de l'année", indique le journaliste. Depuis, les impacts de foudre ont largement diminué. Mais attention : la prudence s'impose encore. "Il faut se méfier de ces orages. Le moindre orage peut être extrêmement violent : pluies intenses, foudre, mais aussi de la grêle et parfois même quelques tornades", conclut Philippe Verdier. Francetv info 11/6/2015 -
FRANCE : Alertes sur les risques de tempêtes, crues, orages, sécheresse, etc...
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Conditions climatiques
Dans plusieurs régions du sud-est, la météo a été dure ces dernières 24 heures. France 2 fait le point. Mercredi 10 juin, on guette encore le ciel avec inquiétude dans le sud-est après 24 dernières heures très délicates. De gros orages ont tonné dans le Var. Près d'Aix, de soudaines précipitations se sont abattues sur des habitants surpris car pas préparés. Du massif central à la Méditerranée, plusieurs régions ont été touchées. A Gap, c'est la grêle qui s'est invitée. Les rues se sont vite transformées en rivières torrentielles. Même la caserne des pompiers, très sollicités depuis hier, a été inondée d'eau. Dans les Bouches-du-Rhône, l'heure est au nettoyage. Les riverains de la commune de Lambesc se retroussent les manches. Ici, il est tombé 100 litres d'eau par mètre cube en seulement un quart d'heure. Désormais, on espère que les orages ne reviendront pas de sitôt. Francetv info 10/6/2015 -
TURQUIE / ISTANBUL : répression musclée contre des opposants au déracinements de quelque 600 arbres
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Divers - Insolite
Le tribunal d'Istanbul a reconnu le policier, identifié sous le nom de Fatih Z., coupable de "coups et blessures volontaires" et de "faute professionnelle", et lui a infligé deux peines de dix mois d'emprisonnement ferme, dont il a été immédiatement dispensé pour "bonne conduite" pendant son procès. Un policier turc asperge une manifestante de gaz lacrymogène sur la place Taksim à Istanbul (Turquie), le 28 mai 2013. (OSMAN ORSAL / REUTERS) Cette femme avait acquis une célébrité mondiale avec la publication d'une photo qui la montrait, vêtue d'une robe rouge, inondée à bout portant de gaz lacrymogène lors d'une évacuation musclée du parc Gezi d'Istanbul (Turquie), le 28 mai 2013. Le policier qui avait aspergé de gaz lacrymogène Ceyda Sungur, surnommée par certains médias "la femme en rouge", devenue icône de la fronde antigouvernementale, a été condamné mercredi 10 juin à vingt mois de prison, selon l'agence de presse Dogan. Le tribunal d'Istanbul a reconnu le policier, identifié sous le nom de Fatih Z., coupable de "coups et blessures volontaires" et de "faute professionnelle", et lui a infligé deux peines de dix mois d'emprisonnement ferme. Il a été immédiatement dispensé de ces peines pour "bonne conduite" pendant son procès. Les juges l'ont également condamné à une peine plus inhabituelle : planter 600 arbres et veiller à leur croissance pendant six mois. Le mouvement de contestation sans précédent qui a visé Recep Tayyip Erdogan, alors Premier ministre et aujourd'hui président, avait débuté fin mai 2013 par la mobilisation d'une poignée de militants écologistes hostiles à la destruction annoncée du parc Gezi, un jardin public qui surplombe la place Taksim d'Istanbul. Leur évacuation musclée avait dégénéré en une vague de manifestations sans précédent, qui a mobilisé pendant trois semaines plus de trois millions de personnes exigeant la démission de Recep Tayyip Erdogan, accusé de dérive autoritaire et islamiste. La répression a fait au moins huit morts, plus de 8 000 blessés et a été marquée par des milliers d'arrestations. La "femme en rouge" avait été initialement inculpée de "provocation dans le but de désobéir à la loi", avant qu'un procureur ne renonce à ces poursuites quelques mois plus tard. Francetv info 10/6/2015 -
Contre la création d'un élevage de 1000 vaches : manifestation 23/06/2012
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans PETITIONS : Animaux domestiques et de la ferme
Le magazine "Reporterre" a recueilli le témoignage accablant d'un ex-salarié de cet élevage industriel de la Somme. "Les salariés sont usés, comme les vaches" Un ancien employé de la controversée "ferme des mille vaches" à Drucat (Somme) raconte les coulisses de cette ferme-usine au magazine Reporterre dans un article publié lundi 8 juin. Alors que le ministre de l'Agriculture a promis qu'il n'y aurait pas plus de 500 bêtes dans un premier temps, ce salarié, qui a été licencié, révèle que la ferme compte 723 bovins. "Je le sais parce que c'est écrit sur l'appareil de traite", justifie-t-il. Contacté par le journal, Michel Ramery, le propriétaire de cette ferme ouverte en septembre dernier, admet que le nombre de têtes pourrait en effet dépasser les 500. Une vache dans la "ferme des mille vaches", à Drucat (Somme), photographiée le 17 octobre 2014. (MAXPPP) Cette forme d'élevage intensif n'est pas sans poser de problème pour les animaux. Afin de produire plus de lait, les vaches sont traites trois fois par jour, deux fois si elles sont malades, dit-il. L'ancien salarié accuse ainsi les propriétaires de maltraitance. "Dans le troupeau, il y a au moins 300 vaches qui boitent. Elles sont fatiguées, maigres. Elles ont des ongles trop longs ou des sabots qui pourrissent. Elles marchent à longueur de journée dans leurs excréments", rapporte-t-il. "Une vache, ça vaut de l’argent, ce n’est pas dans notre intérêt de les faire mourir, elles sont bien soignées", rétorque Michel Ramery. L'ancien salarié relate cependant des euthanasies pratiquées par le responsable de l'élevage, alors que des vétérinaires sont censés s'en occuper. "Stéphane [le responsable de l'élevage] vient du milieu du cochon, du coup il s'occupe n'importe comment des vaches, il ne sait pas les faire vêler, par exemple". Quant aux conditions de travail, l'ex-salarié parle d'une équipe en sous-effectif compte tenu du nombre de vaches, avec des licenciements sans ménagement. Et de s'indigner : "Ici, on n'est pas respectés, on nous prend pour des chiens". Francetv info 9/6/2015 -
FRANCE / BURE / ANDRA / CIGEO: enfouissement des nucléaires "dangereux ou pas"?
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Le NUCLEAIRE (énergie)
Un millier de personnes ont manifesté, dimanche 7 juin, à Bure (Meuse), contre un projet d'enfouissement de déchets nucléaires dans le sous-sol de ce village, ont indiqué les organisateurs et la préfecture. Le projet, baptisé Cigéo, est unique en France. L'idée : enterrer les déchets radioactifs les plus dangereux du pays à 500 mètres sous terre dans une roche argileuse imperméable. Son autorisation n'est pas encore acquise. Des personnes manifestent à Bure (Meuse) contre un projet d'enfouissement de déchets nucléaires, le 7 juin 2015. (JEAN-PHILIPPE TRANVOUEZ / FRANCE 3 LORRAINE) Les participants étaient environ 900 sur le site selon la préfecture, et 1000 selon le collectif d'associations à l'origine de la manifestation. Des agriculteurs sont venus avec plusieurs tracteurs apporter leur soutien aux manifestants, comme le montre le diaporama de France 3 Lorraine. "Notre mot d'ordre était : 'une mobilisation majeure pour un enjeu majeur', nous avons réussi notre pari", a dit Corinne François, de l'association BureStop. "Ce projet comporte encore énormément de risques non résolus, un feu vert serait absurde et dangereux." Francetv info 7/6/2015 -
L'impact du réchauffement climatique sur la vie aquatique
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans EAU - Milieu aquatique
Dimanche 7 juin, France 2 est revenue sur la prolifération des algues en Méditerranée. Une conséquence du réchauffement climatique pour le biologiste Laurent Ballesta. À quelques mois du sommet mondial sur le climat, Laurent Ballesta, biologiste spécialiste des fonds marins, a au cours de ses plongées constaté la prolifération galopante des algues en Méditerranée. Des algues qui étoufferaient toute vie sous-marine, une conséquence selon lui du réchauffement climatique. 60 mètres sous la surface, tout est préservé. C'est l'altitude la plus colorée de Méditerranée. À 45 mètres sous la surface, la température remonte, et les couleurs disparaissent. "Le paysage devient lunaire", commente le journaliste de France 2. Comme une couche de poudreuse, les algues filamenteuses englobent tout désormais. Elles empêchent les poissons de creuser leur nid et menacent d'asphyxier les coraux qu'elles recouvrent. D'habitude ces algues n'apparaissent qu'en période de canicule. Pour l'heure, la surface et les grandes profondeurs sont encore épargnées. Une menace à surveiller de près, qui plane aujourd'hui sur les plus beaux écosystèmes de Méditerranée. Francetv info 7/6/2011 -
Selon une enquête publiée jeudi 11 juin, nos maisons sont des nids à pollution. Pesticides, solvants, parfums, l'air qui circule à l'intérieur des logements est rempli de substances chimiques qui peuvent être nocives. La pollution serait même huit fois plus présente en intérieur que dans la rue. C'est du moins ce que révèle une enquête réalisée par un observatoire public. En cause : les produits toxiques utilisés dans notre quotidien. La cuisine, mais aussi la salle de bain, sont des nids à polluants avec une forte présence de détergents, de produits d'entretien ou de fumée de combustion. "À surveiller donc, surtout pour les plus petits. De six mois à six ans, le danger d'ingestion est maximum", explique le journaliste de France 2. Si les taux sont faibles, le risque est davantage lié à l'effet "cocktail". Une maison abrite potentiellement près d'un millier de substances chimiques, avec comme risque un dérèglement de notre système immunitaire et davantage d'allergies. Seule solution : privilégier les produits d'entretien naturels, mais surtout aérer la maison. Francetv info 11/6/2015
-
Mort mystérieuse de 120 000 antilopes saïgas, en voie d'extinction au Kazakhstan
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Alertes
Plusieurs théories tentent d'expliquer ces disparitions. Selon certains, une bactérie pourrait avoir empoisonné ces animaux. C'est un phénomène inquiétant. Au Kazakhstan, plus de 120 000 antilopes saïgas sont mortes en l'espace de trois semaines. Des troupeaux entiers ont été décimés. Une hécatombe sans précédent et simultanée dans toutes les régions du pays. "C'est vraiment dommage. Ces animaux font partie de notre patrimoine. Nous perdons des centaines de bêtes chaque jour", lance Quiarat Faizullhin, qui s'occupe de ramasser ces animaux, au micro de France 2. Kazakhstan : 120 000 antilopes saïgas sont mystérieusement décédées Les animaux seraient empoisonnés par une bactérie que l'on croyait inoffensive. "C'est un empoisonnement. Les plantes qui poussent après la pluie deviennent toxiques et elles tuent les antilopes", explique Slamjan Mussambaiev, directeur adjoint de la réserve naturelle. Et pour cause, ici dans la région, les Soviétiques ont testé leurs bombes nucléaires les plus puissantes. Cinquante ans après, la radioactivité des sols et des fleuves dépassent encore de vingt fois les normes moyennes. D'autres expliquent cette hécatombe par la multiplication des accidents dans la centrale spatiale de Baïkonour. En effet, quand une fusée s'écrase, des centaines de tonnes d'heptyle sont répandues dans la nature. Francetv info 4/6/2015 -
Actus Infos : Volcans et éruptions volcaniques
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Les volcans, actualités volcaniques
Le plus haut niveau d'alerte sismique a été déclenché sur l'île de Sumatra, en Indonésie, mercredi 10 juin, après une éruption du volcan Sinabung. Les quantités de cendres brûlantes, de fumée et de pierres s'échappant du volcan ont considérablement augmenté depuis dimanche, avec une coulée de lave visible sur le cratère. Le mont Sinabung culmine à près de 2 500 mètres d'altitude. La police et l'armée ont évacué les habitants de quatre villages jusqu'à 13 km du volcan, dans le district Karo. Près de 3 000 personnes sont concernées. Le Sinabung est l'un des 129 volcans actifs en Indonésie, archipel situé sur la "ceinture de feu du Pacifique", un alignement de volcans qui bordent l'océan Pacifique. Une importante éruption en février 2014 avait provoqué la mort de 16 personnes, englouties par des nuages de cendres brûlantes. Près de 10 000 habitants de la zone ont été évacués de leurs domiciles depuis que le volcan est entré dans une longue éruption en 2013, après environ 400 ans de sommeil. Francetv info 10/6/2015 -
Ouragan, typhons, tempêtes, cyclones... : actualité et évolutions...
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Ouragans, typhons, tempêtes, cyclones...
Le chasseur de tornades qui a filmé l'instant jeudi dernier, à Simla, parle d'un phénomène exceptionnel : cette tornade tournait dans le sens des aiguilles d'une montre, un cas rarissime dans l'hémisphère nord. Les chasseurs de tornades en ont vu des spectacles étourdissants, lors de leurs pérégrinations. Mais celle-ci les a "scotchés", à entendre leurs réactions lorsqu'elle a frappé, jeudi 4 juin, la ville de Simla, dans le Colorado (Etats-Unis). Au moins cinq maisons ont été endommagées, mais aucun blessé n'est à déplorer, selon le site de Fox31 Denver (en anglais). Storm Cruzzer 5/6/2015 Travis Cruz, qui a filmé l'instant et a posté sa vidéo sur YouTube, parle d'une tornade exceptionnelle. Elle tourne en effet dans le sens des aiguilles d'une montre – connu comme mouvement anticyclonique – alors que la plupart des tornades dans l'hémisphère nord tournent dans le sens contraire, explique la BBC (en anglais). Le mouvement dans le sens des aiguilles d'une montre se produit dans seulement une tornade sur mille, selon The Guardian (en anglais). Le chasseur de tornades qui a filmé ces images est un étudiant en météorologie de l'université Virginia Tech, qui a fondé son groupe, "Chasseurs de tempêtes", il y a deux ans. Francetv info 9/6/2015 -
Zoo de Melbourne / Australie : actus, infos, les bonnes et les moins bonnes nouvelles
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Actualités parcs animalier, zoos
Il s'agit d'une espèce très rare, menacée par le braconnage et la réduction de son habitat naturel. Le zoo de Melbourne (Australie) a présenté, dimanche 7 juin, un bébé hippopotame pygmée, une espèce naine. L'animal, né deux semaines auparavant, a pris sa première douche en public, en compagnie de sa mère. Il s'agit du premier individu de cette espèce rare à naître dans le zoo depuis 1981, précise Mashable.com (article en anglais). "Petre et Felix", les parents, "se portent bien", précise le zoo de Melbourne (article en anglais). La mère, Petre, lui "offre une attention particulière". L'hippopotame pygmée est classé parmi les espèces en danger. Il n'en restait plus que 3 000 à l'état sauvage, selon des estimations datant des années 1990. Originaire d'Afrique de l'Ouest, l'animal est victime de braconnage et de la réduction de son habitat naturel, la forêt tropicale. Pour cette raison, il est difficile d'évaluer la population exacte à l'état sauvage, indique le zoo. L'hippopotame nain (Hexaprotodon liberiensis) est une espèce d'hippopotame originaire des forêts et des marécages de l'Afrique de l'Ouest. Ce mammifère est un animal discret, solitaire et nocturne même si la masse d'un mâle adulte peut avoisiner 275 kg. Il est une des deux seules espèces encore existantes dans la famille des Hippopotamidae, l'autre étant son cousin beaucoup plus imposant, l'hippopotame commun, dit amphibie. Un hyppopotame nain, (Hexaprotodon liberiensis), photographié au zoo de Bristol en 2005. Adrian Pingstone / domaine public EN = En danger L'hippopotame nain a conservé de nombreuses adaptations terrestres en comparaison de l'autre espèce d'hippopotame, mais comme lui, c'est un animal semi-aquatique qui se repose au bord de l'eau pour garder sa peau hydratée et une température basse pour son corps. L'accouplement et la mise bas peuvent se produire dans l'eau ou sur terre. L'hippopotame nain est herbivore, se nourrissant de toutes sortes de fougères, de plantes à larges feuilles et de fruits qu'il trouve dans la forêt riparienne. Il est difficile à étudier dans la nature. La survie de l'espèce en captivité est plus assurée que dans la nature : l'Union internationale pour la conservation de la nature estime qu'il reste moins de 3 000 hippopotames nains vivant en liberté (référence UICN -en anglais)*. Ils sont menacés principalement par la perte de leur habitat, les forêts étant déboisées et converties en terres agricoles. Ils sont également menacés par le braconnage, la chasse, les prédateurs naturels et la guerre. * L'estimation de la population dans les années 1990 a suggéré qu'il pourrait y avoir moins de 3.000 individus au total. Alors que la taille réelle de la population est inconnue... Etant donné de la perte d'habitat en Haute Guinée et de la pression de chasse subséquente (comme les forêts deviennent plus accessibles), cette estimation pourrait être en fait trop élevée et que les populations les plus vulnérables aient continué à diminué. Ainsi une baisse de 20% au cours des 20 prochaines années n'est pas sans exagéré. Un peu plus loin, au chapitre population sur le site de l'UICN, on peut également lire : Le Plan d'action 1993 estimait qu'il y avait environ 2000 à 3000 individus restants dans les quatre pays (Sierra Leone, la République de Guinée, la Côte d'Ivoire et Libéria qui accueillent cet animal). L'estimation de la population de 1993 pour la Sierra Leone, le seul pays qui a fait l'objet d'une estimation de la population, était de 80-100 individus. Les rapports subséquents de la perte habitat et la chasse suggèrent que l'estimation 1993 peut être élevée étant donné les conditions actuelles. Wikipedia - UICN liste rouge Francetv info 9/6/2015 -
Un camion transportant 2 200 porcelets s'est renversé lundi à Xenia, dans l'Ohio (Etats-Unis), basculant dans un fossé. Un camion transportant 2 200 porcelets s'est renversé, lundi 8 juin, à Xenia, dans l'Ohio (Etats-Unis), basculant dans un fossé. Entre 300 et 400 animaux ont été tués sur le coup. Environ 1 500 ont pu être capturés et secourus par des policiers, des pompiers et des voisins agriculteurs. Les bêtes s'étaient dispersées dans les bois où le camion a terminé sa course, rapporte le site de la chaîne locale WDTN (article en anglais). Les secours se sont relayés toute la nuit de lundi à mardi pour récupérer le plus de porcelets. Selon la police, le camion a longé une rampe avant que le chauffeur ne perde le contrôle de son véhicule. Un passager du semi-remorque a été légèrement blessé. Les autorités demandent aux riverains d'appeler la police s'ils voient un porcelet sur la route ou dans leur jardin. Elles redoutent qu'ils n'attirent les coyotes. ----->Cette histoire me rappelle une situation que j'ai "vécue"... Il y a près de 30 ans ! C'était un 14 juillet, et avec ma famille nous cherchions un lieu où nous pourrions voir un feu d'artifice.... En chemin, le long d'un canal (en Essonne), nous avons vu des pompiers et des gendarmes courir après des cochons qui s'étaient échappés du camion les transportant, renversé à un rond-point. Ce jour-là, nous n'avons pas vu le feu d'artifice, mais nous avons bien ri... non pas du malheur de ces pauvres cochons, mais de voir des gendarmes, bottés, courir comme ils pouvaient (pour ne pas dire maladroitement), pour attraper les fuyards... et même aller jusqu'à rentrer dans l'eau pour tenter de récupérer les cochons qui s'y étaient réfugiés... Certains gendarmes prenaient leur tâche à coeur, tandis que d'autres étaient hilares et que d'autres pestaient... tout en oeuvrant à la récupération des cochons... Nous ne sommes pas restés jusqu'au bout, mais j'ai su quelques jours après (par la presse locale) que plusieurs heures avaient été nécessaires pour réunir tout ce petit monde... Francetv info 9/6/2015
-
Des milliers de signatures pour sauver une vache échappée d'un abattoir
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans PETITIONS : Animaux domestiques et de la ferme
Un accord a été passé entre le propriétaire de la petite vache et une association qui s’est portée acquéreuse pour 10 000 euros. Rien n'est encore signé, mais un accord a été passé entre l'association Stéphane Lamart de défense des animaux et le propriétaire de la vache qui défraye la chronique après son évasion de l'abattoir de Saint-Romain-de-Popey, la semaine dernière. La transaction est pour le moins juteuse, puisque l'animal serait cédé contre 10 000 euros, comme le précise l'association qui s'est portée acquéreuse. Un prix élevé qui équivaut à celui d'un animal de concours, mais qui n'a pas été décidé au hasard, comme l'explique le propriétaire de la jeune vache issue d'un croisement salers-charolais, dans les colonnes du Progrès : "J'ai dit que j'en voulais un euro par signature, et comme il y en avait 10 000 à ce moment-là, ça faisait 10 000 euros (…) Je n'ai qu'une seule parole et je l'ai donnée à Stéphane Lamart. Je ne veux pas faire de la surenchère et, si nous ne concluons pas avec cette association, je garderai ma vache pour lui faire faire un veau par exemple". Si le caractère bien trempé de la génisse lui a sauvé la vie, il complique également sa reconversion. Revêche et caractérielle, il aurait été impossible d'en faire un animal de ferme pédagogique, par exemple. Seule solution, lui trouver un pré où paître. La direction des services vétérinaires doit encore vérifier que l'association est apte à accueillir un tel animal avant que la transaction ne soit finalisée. Lyon Capitale 11/6/2015 -
Des milliers de signatures pour sauver une vache échappée d'un abattoir
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans PETITIONS : Animaux domestiques et de la ferme
Le 2 juin, à Saint-Romain-de-Popey (Rhône), la rebelle a réussi à s'échapper de l'abattoir. Une pétition sur internet a été lancée pour sauver l'animal. Elle a le goût de vivre et elle a sauvé – pour l'instant – sa peau de vache. Marguerite, une génisse que son propriétaire conduisait à l'abattoir à Saint-Romain-de-Popey (Rhône), a réussi à s'échapper, mardi 2 juin, en renversant une barrière. Elle a ensuite défoncé un grillage et s'est ruée dans la cour d'une entreprise de charpente. Pour la calmer, on lui a injecté cinq doses de tranquillisant. "Elle était un peu affolée, stressée, elle grattait par terre, on voyait bien qu'elle n'était pas tranquille", raconte un employé de l'entreprise de charpente. Aujourd'hui, l'animal bénéficie d'un petit sursis. Le produit injecté empêche en effet sa consommation avant au moins 30 jours. Alors pour sauver la petite vache de la mort, une pétition a été lancée samedi 6 juin et comptabilise déjà plus de 21 000 signatures mercredi 10 juin. La vache a regagné son étable, mais son propriétaire demande un montant de 10 000 euros pour la céder. De son côté, Brigitte Bardot a fait savoir ce mardi matin à Lyon Capitale qu'elle ferait tout son possible pour recueillir la vache qui s'est enfuie de l'abattoir de Saint-Romain-de-Popey la semaine dernière : Brigitte Bardot, a fait contacter la rédaction de Lyon Capitale mardi matin. Elle souhaitait obtenir les coordonnées du propriétaire de la vache qui s'est enfuie la semaine dernière de l'abattoir de Saint-Romain-de-Popey. Profondément touchée par cette histoire qui l'a "particulièrement émue", Brigitte Bardot assure vouloir "tout faire pour récupérer" l'animal. Francetv info 10/6/2015 - Lyon Capitale -
Depuis 30 ans, les vautours font la richesse de la Lozère
Admin-lane a posté un sujet dans Rapaces diurnes
Après avoir disparu dans les années 50, les vautours ont été réintroduits il y a trente ans autour des Gorges sauvages des Grands Causses. Reportage de France 3. Les Gorges de la Jonte attirent chaque année 30 000 touristes. Ils viennent observer des centaines de vautours qui nichent dans les parois. En 1981, les premiers rapaces sont lâchés et nourris sur une plateforme. Les vautours ont peu à peu reconquis l'espace. Ils sont désormais plus de 500 couples en liberté. Ce qui était expérimental est devenu une référence en matière de développement : un partenariat a été noué avec les agriculteurs de la région. L'équipe de France 3 a suivi un éleveur de brebis de Champerboux. Lorsque l'une de ses bêtes meurt, il dépose la dépouille sur une placette protégée pour les vautours. Plus besoin de parcourir des kilomètres, donc, pour aller chez l'équarrisseur. La zone vient d'être distinguée au niveau européen par le Grand Prix Natura 2000 dans la catégorie des bénéfices sociaux économiques, pour le travail effectué par les différents partenaires sur ce territoire pendant 30 ans. Francetv info 10/6/2015 -
Un lièvre surfe sur une avalanche !?!
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Photo, vidéo sur les animaux de la faune sauvage
Filmé par une société de tourisme russe, le mammifère se précipite sur une avalanche, volant la vedette à un snowboarder. Mais tout le monde n'y croit pas. Fausse ou pas ? Cette vidéo d'un lièvre traversant une avalanche a été filmée au Kamchatka, péninsule montagneuse et volcanique dans l'extrême-est de la Russie. Ce jour-là, la société de tourisme russe Helipro tourne un spot promotionnel dont l'acteur principal est un surfeur, quand le mammifère fait irruption dans le champ de la caméra. Il se jette alors dans l'avalanche avec, semble-t-il, la ferme intention de la traverser, avant d'être ballotté par la masse de neige et de ressortir, bondissant et léger. Helipro assure, sur le site Vimeo, que l'animal a survécu et "qu'il vit une belle vie au Kamchatka", mais la fin de la vidéo ne permet pas de l'affirmer. Et, surtout, sites d'information et internautes s'interrogent sur la véracité de cette vidéo. "Il a l'air sorti d'un film Disney", "je serais bien en peine de dire pourquoi, mais je pense que c'est un fake", commente d'ailleurs une partie de la rédaction de francetv info. Mais les quelques éléments en notre possession tendent à montrer que la vidéo est vraie. L'animal est très probablement un lièvre variable (lepus timidus), qui vit notamment en Sibérie. Et non un lapin, comme le chante la bande-son de la vidéo, ou un lièvre arctique, absent de la région, située un peu trop au sud du cercle polaire. Or, le lièvre variable dispose d'armes redoutables, dans cet environnement hostile : il ne pèse pas plus de 4 kg et possède des pattes en forme de raquettes, pratiques en cas d'avalanche. En outre, il peut atteindre 60 km/h quand il se sent menacé. Ce qui était peut-être le cas ici. Francetv info 10/6/2015 -
Un lièvre surfe sur une avalanche !?!
Admin-lane a posté un sujet dans Photo, vidéo sur les animaux de la faune sauvage
Il y a ceux qui évitent les avalanches et ceux qui les traversent. Et ce lièvre fait partie de la seconde catégorie ! Dangers du hors-piste, figures extraordinaires des sports extrêmes, ce lièvre relègue au placard les performances humaines. Face à une avalanche dévalant la pente d'un mont de la péninsule du Kamchatka (Russie), le snowboarder évite avec adresse le danger tandis que l'animal choisit... de foncer dessus ! Dans un premier temps, il chute et paraît perdu. Mais il ne tarde pas à émerger de la masse neigeuse et parvient à atteindre l'autre côté du flux, indemne. Run Rabbit Run! from HELIPRO on Vimeo. Cette vidéo a été tournée depuis un hélicoptère de tourisme de la compagnie Hélipro. HELIPRO/Vimeo Car le lagomorphe, sans doute un Lièvre variable (Lepus timidus), peut compter sur deux atouts pour effectuer cette prouesse : des pattes en forme de raquettes qui lui évitent de s'enfoncer dans la neige, et sa rapidité, avec une vitesse de pointe de 60km/h. Le Kamchatka, où a été filmée cette scène, abrite une grande biodiversité : ours, zibelines, mouflons, marmottes, lynx, phoques, plus de 200 espèces d'oiseaux... Ce territoire est aussi connu pour ses paysages volcaniques, d'une beauté à couper le souffle. Des richesse reconnues par l'UNESCO, qui a classé le site au patrimoine mondiale en 1996. Sciences et avenir 9/11/2015 -
Colombie : 740.000 litres de pétrole déversés dans la nature sur ordre des Farc
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Pollutions
Bogota - La Colombie mettra 15 ans pour effacer les traces d'une pollution pétrolière attribuée à la guérilla des Farc dans le sud du pays, ont annoncé mercredi les autorités. Plus de 700.000 litres de pétrole brut ont été renversés dimanche à Puerto Asis, une localité de la province du Putumayo, par des chauffeurs de camions citernes, sous la contrainte de membres présumés des Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc). photo : @jorgedarioa / quepasaenvenezuela Nous allons mettre quinze ans pour récupérer les dégâts causés, a affirmé le ministre de l'Environnement, Gabriel Vallejo, après une visite dans la région, où est fortement implantée la rébellion marxiste, engagée dans des négociations de paix sans cessez-le-feu. Une récompense de 20 millions de pesos (8.000 dollars) a été offerte par l'armée afin de retrouver les responsables de la pollution. Plusieurs hectares de réserve naturelle ainsi que des sources d'eau alimentant les communautés locales ont été contaminés, selon les autorités qui ont prévu un plan d'urgence de deux millions de dollars. Des barrages ont été établis afin de tenter d'empêcher une propagation de la pollution qui menace d'atteindre les zones frontalières avec l'Equateur et le Pérou. Une des principales victimes de la guerre dans mon pays est l'environnement, a réagi le président Juan Manuel Santos, depuis Bruxelles où il participe à un sommet de l'Union européenne (UE) et de la Communauté des Etats latino-américains et des Caraïbes (Celac). Le gouvernement colombien mène des pouparlers de paix avec les Farc, délocalisés à Cuba depuis novembre 2012, afin de tenter de résoudre le plus vieux conflit d'Amérique latine, qui a fait officiellement quelque 220.000 morts en plus d'un demi-siècle. Issues d'une insurrection paysanne en 1964, les Farc, qui comptent encore près de 8.000 combattants, ont suspendu le mois dernier leur trêve unilatérale à la suite de bombardements de l'armée, tandis que le président Santos exclut tout cessez-le-feu avant un accord définitif. Depuis la fin de sa trève, la guérilla est accusée d'avoir lancé au moins seize attaques contre des installations pétrolières, tels que des oléoducs, des puits et divers équipements de production, selon la compagnie pétrolière d'Etat Ecopetrol. Les premières personnes affectées par ces attentats sont les citoyens colombiens, notamment les plus pauvres, a réagi le président d'Ecopetrol, Juan Carlos Echeverry, dans un communiqué. La Colombie est le quatrième pays producteur de brut d'Amérique latine, avec quelque 988.100 barils quotidiens en 2014. Romandie 11/6/2015 -
Conférence 2015 sur le climat
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Climat - Changement climatique
Bonn - Après dix jours de tractations infructueuses pour réduire et clarifier un projet d'accord sur le climat, les négociateurs de 195 pays risquent de quitter Bonn jeudi sans résultat tangible, à moins de six mois de la conférence de Paris. Les longues heures de discussions menées depuis le 1er juin dans l'ancienne capitale allemande n'ont abouti qu'à un toilettage a minima du texte, long et illisible, issu du précédent round de négociations, en février à Genève. Les pays membres de la convention de l'ONU sur le climat négocient en vue d'un accord à la conférence de Paris (Cop21) destiné à limiter le réchauffement mondial à 2°C par rapport à l'ère pré-industrielle. Faute de quoi, les scientifiques promettent des conséquences dramatiques (inondations, sécheresse, tempêtes, élévation du niveau de la mer, etc) et de grandes difficultés d'adaptation. Confus, le projet de texte de Genève, repris trois fois ligne par ligne par les délégués, aura perdu quelque 5 à 10% de son volume (80 pages en anglais, 130 en français), sans jamais trancher sur le fond les sujets. La situation est telle que les Etats pourraient décider jeudi de confier aux présidents des débats, l'Américain Daniel Reifsnyder et l'Algérien Ahmed Djoghlaf, le soin de le reprendre au cours de l'été. Au-delà du nettoyage du document de toutes ses redondances, l'idée serait de faire émerger des options politiques pour enfin accélérer le processus, dit Romain Benicchio, de l'ONG Oxfam, au statut d'observateur. Alors que les délégués ne disposeront plus que de dix journées de négociations officielles avant Paris, en septembre et octobre, il faut avancer entre les sessions: Il y a de plus en plus de pays ou de groupes de pays pour dire qu'il faut absolument qu'on travaille entre les sessions, que les coprésidents avancent sur le texte pour qu'on ait quelque chose de plus politique à considérer. Au-delà du travail du texte, au cours de ces dix jours faits aussi d'innombrables échanges bilatéraux et réunions thématiques, quelques avancées auront été réalisées. Notamment sur la question du soutien, y compris financier, aux politiques d'adaptation au réchauffement, revendication très forte des pays en développement déjà affectés par le phénomène climatique, souligne Jennifer Morgan, experte climat au think tank World Resources Institute. Certains pays développés réalisent que cela devra être une part importante de l'accord. On a vu par l'exemple l'UE rentrer plus dans les détails sur la façon de le faire, se félicite-t-elle. Mais tous les sujets épineux restent à l'ordre du jour. Notamment la question de la concrétisation des promesses financières faites par les pays développés - 100 milliards de dollars d'ici 2020. Et puis quelle forme juridique donner au futur accord : Comment répartir l'effort entre les pays, selon leur responsabilité historique dans les émissions de gaz à effet de serre et les impératifs de développement des pays du sud. L'accord sera aussi porté par les engagements nationaux en matière de réduction des gaz à effet de serre, ces émissions, à 70% liées à la combustion d'énergies fossiles, responsables du dérèglement climatique. Quarante pays ont pour l'instant rendu publiques leurs contributions, les autres devront le faire d'ici fin octobre. Et déjà les premiers calculs montrent que ces objectifs auront du mal à ramener le monde sur la voie des 2°C. Là encore les Etats devront tenter de s'accorder sur des mécanismes permettant de réviser régulièrement à la hausse ces ambitions. Le bébé est entre les mains des coprésidents. Mais le dialogue doit s'accélérer aussi au niveau politique, résume Pierre Cannet, de l'ONG WWF. Des discussions au niveau ministériel doivent se tenir à Paris les 21 et 22 juillet et le 7 septembre. S'y ajoutent des réunions de la Banque mondiale, du FMI et de l'ONU à l'automne, et un sommet du G20, quinze jours à peine avant la conférence de Paris. Romandie 11/6/2015 -
Pêche / Surpêche méthodes et conséquences
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Les poissons marins
En présentant les "possibilités de pêche pour l’année 2016", la Commission européenne a rappelé que désormais chalutiers, palangriers et fileyeurs ne pourront plus jeter par-dessus bord les poissons invendables. La réforme de la pêche de 2014 entre peu à peu en vigueur. Dans sa consultation sur "les possibilités de pêche en 2016" publiée le 2 juin 2015, la Commission Junker rappelle les deux piliers de cette nouvelle politique commune : l’interdiction totale des rejets de prises accessoires dès 2016 et l’instauration d’un rendement maximum durable (RMD), calcul scientifique qui donne un tonnage à ne pas dépasser par espèce commerciale et par zone de pêche. La pêche d'un chalutier. Jeffrey Rotman / Biosphoto Les rejets de prises accessoires ne seront donc plus autorisés en 2016. Il s’agit de viscères de poissons vidés sur le bateau et d’espèces non commerciales ou de poissons trop petits pour être vendus en criée. Ces rejets peuvent représenter jusqu’à la moitié du résultat d’une campagne de pêche. Ils sont depuis longtemps dénoncés comme cause de l’effondrement du nombre de stocks de poissons. La prise de juvéniles empêche en effet le bon renouvellement des générations tandis qu’une pêche non sélective impacte l’ensemble de la chaîne alimentaire marine avec des effets encore inconnus sur la biodiversité et l’abondance des espèces. Au niveau mondial, la FAO estime que les rejets atteignent 20 millions de tonnes pour un total de pêche débarquée qui stagne autour de 90 millions de tonnes. En France, 60.000 tonnes seraient rejetées en mer sur 480.000 tonnes débarquées. En imposant aux bateaux de plus de 9 m (les petits pêcheurs côtiers ne sont pas concernés) de revenir à terre avec la totalité de leurs prises, la Commission espère faciliter le développement des outils de pêche sélectives qui laissent passer les poissons les plus petits ou ciblent prioritairement l’espèce commerciale recherchée. Les quotas seront également plus flexibles en obligeant les bateaux à revenir au port les cales pleines sans pour autant avoir atteint le plafond autorisé. Enfin, cette mesure devrait inciter à la fermeture de zones de reproduction où les risques de captures involontaires sont importants. Les pêcheries présentant les pourcentages les plus faibles de prises accessoires pourront par ailleurs être récompensées par des accès préférentiels aux zones de pêche. Que faire de cette masse de petits poissons, crustacés, mollusques indésirables ? Leur destination est toute trouvée. Déjà, les résidus des entreprises de transformation du poisson partent en alimentation animale ou en engrais agricole. L’Ifremer a ainsi identifié une dizaine d’utilisation à plus ou moins forte valeur ajoutée. Les débouchés ne manquent donc pas. Les rendements maximum durables commandent désormais la politique commune de pêche (PCP). A partir des résultats de pêches scientifiques et de l’examen au débarquement sur les quais de la taille et de l’âge des poissons, les scientifiques en déduisent un tonnage à ne pas dépasser sous peine de capturer plus d’individus qu’il n’en nait et de compromettre ainsi le renouvellement de l’espèce. Ce résultat est transmis au Conseil international pour l’exploration de la mer (CIEM) qui émet un avis que les ministres de la pêche des Etats membres de l’Union concernés sont libres de suivre ou pas. Selon le CIEM, la gestion par RMD a déjà donné des résultats. 32 pêcheries sur les 62 de l’Atlantique Nord-Est, la mer du Nord et la mer Baltique dont le RMD est connu ont atteint des niveaux durables d’exploitation, soit plus de la moitié. Il y en avait seulement 14% en 2009. C’est en Méditerranée que la situation est mauvaise avec un taux de surexploitation de 93%. Les pêcheurs devraient donc subir des quotas de pêche drastiques sur tout le nord du bassin méditerranéen pour les petits pélagiques (sardines et anchois) et les espèces démersales (merlan, rougets, baudroies, pageots, poulpes). Les quotas de pêche fixés par Etat (lesquels les distribuent à chaque bateau) donnent lieu tous les ans à des négociations féroces entre les pays du nord dit «amis des poissons » et ceux du sud dit «amis des pêcheurs » dont la France fait partie. Ceux de 2016 seront négociés au cours de l’automne. L’avis des scientifiques n’est pas toujours suivi. Selon l’ONG Pew, pour 2015, les préconisations scientifiques ont bien été suivies pour 19 espèces, mais n’ont pas été respectées pour six. Dans un récent rapport, Pew appelle les Etats européens à suivre strictement les avis du CIEM. La consultation européenne sur la pêche est ouverte aux observations de tous les citoyens européens jusqu’au 1er octobre prochain. Sciences et avenir 9/6/2015 -
Chaque année, le retour du soleil annonce également le retour de certaines allergies. La semaine courant jusqu'au 12 juin 2015 voit ainsi la France placée en alerte allergique maximale. Avec le retour des beaux jours, reviennent aussi les pollens et leur cortège de réactions allergiques. De quoi gâcher ces belles journées de printemps pour les quelque 30% d'adultes et près de 20% d'enfants qui souffrent d'allergie aux pollens en France selon l'Agence national de sécurité sanitaire (Anses). Ainsi, dans son bulletin allergo-pollinique hebdomadaire, le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA)* a averti que la semaine courant jusqu'au vendredi 12 juin 2015 présentait "un risque allergique maximal sur la quasi totalité du territoire". Et ce sont encore les pollens de graminés qui seront les plus présents. Mais ce qu'il faut retenir de ce dernier bulletin, c'est bien que l'ensemble du territoire - à l'exception de la Bretagne - est dans le rouge. En cliquant sur l'image ci-dessous, retrouvez la carte interactive des pollens dans les départements de France. Pour chaque département est indiqué le type et la concentration de pollens les plus présents : Le risque allergique est indiqué pour chaque région : faible (vert), moyen (jaune), élevé (orange), très élevé (rouge). S'ils sont essentiels à la reproduction de la majorité des plantes, les différents pollens présents dans l’air peuvent provoquer des réactions allergiques, comme des rhinites allergiques ou des conjonctivites, qui varient en fonction du type et de la concentration de pollen. Chez certaines personnes, le système immunitaire chargé de lutter contre les micro-organismes, considère une substance habituellement anodine comme un corps étranger à éliminer. Ce peut être le cas des grains de pollen. Lorsque ceux-ci entrent en contact avec les muqueuses (nez, bouche, yeux), certaines cellules voisines libèrent dans le sang de l'histamine, un composé qui provoque les manifestations de l'allergie : picotements dans le nez, éternuements fréquents, écoulement nasal, yeux qui gonflent, rougissent et larmoient. Dans certains cas, les très petits pollens peuvent pénétrer jusque dans les bronches et provoquer des crises d'asthmes : diminution du souffle, sifflements bronchiques, toux persistante souvent nocturne. Il est recommandé de consulter son médecin rapidement si la langue gonfle ou si les réactions allergiques sont associées à une gêne respiratoire. Le meilleur moyen de se préserver des réactions allergiques est encore d'éviter, autant que faire se peut, le contact avec les pollens. *Le Réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) est une association de loi 1901 qui dispose d’un réseau national de capteurs pour recueillir les pollens et moisissures flottants dans l’air afin d’en mesurer la concentration. Sciences et avenir 10/6/2015
-
Contre la création d'un élevage de 1000 vaches : manifestation 23/06/2012
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans PETITIONS : Animaux domestiques et de la ferme
Paris (AFP) - Le ministre de l'Agriculture, Stéphane Le Foll a promis mercredi "des sanctions" contre la ferme picarde dite des 1.000 vaches pour dépassement du cheptel autorisé, mais l'exploitant conteste tout caractère illégal à l'augmentation du troupeau. "Je compte faire appliquer la règle et les engagements qui ont été pris (...) donc il y aura des sanctions", a affirmé M. Le Foll, interrogé lors du compte-rendu du Conseil des ministres. Dans un communiqué, en fin de journée, la préfecture d'Amiens a indiqué que la ferme avait sept jours pour faire ses observations, après quoi elle serait mise en demeure de revenir à 500 vaches dans les trois semaines. M. Le Foll a précisé qu'"un contrôle" avait établi mardi que le cheptel de cette ferme à Drucat, près d'Abbeville (Somme) avait atteint 794 vaches au lieu des 500 autorisées. Ce contrôle inopiné avait été déclenché après la révélation lundi par la revue écologiste Reporterre du dépassement, qu'avait reconnu le propriétaire de la ferme, Michel Ramery. "J'avais indiqué que si on devait dépasser les 500 vaches, il faudrait qu'il y ait à nouveau une enquête publique. La demande n'ayant pas été faite, l'enquête n'ayant pas eu lieu, il y a eu là un manquement donc il sera sanctionné. J'applique toutes les règles et toute la loi", a dit M. Le Foll, rappelant qu'il n'avait "pas porté" ce projet d'élevage intensif. Le ministre avait pourtant annoncé le 23 avril qu'il avait demandé qu'une enquête publique soit menée sur l'agrandissement de la ferme. "Il y avait eu une négociation sur le chiffre de 500 vaches avec le porteur du projet et les syndicats (agricoles). Il veut dépasser les 500 à peine 7-8 mois, un an, après cette négociation, donc j'ai demandé à ce qu'il y ait enquête publique", avait-il alors expliqué. "Ca prouve bien que M. le Foll savait qu'un dossier avait été déposé le 7 janvier", a observé le directeur d'exploitation de la ferme, Michel Welter, qui avait reconnu la veille détenir près de 800 vaches laitières. "Quel non respect des lois ? Nous n'enfreignons ni les règles ni les lois", a-t-il poursuivi, interrogé par l'AFP sur les sanctions brandies par le ministre. M. Welter l'assure: "Le décret 2011-63 du 17 janvier 2011 sur les regroupements laitiers nous permettait de passer sans difficulté à 899". "La règle, c'est le cumul du seuil initial de 500 têtes plus deux fois le seuil dit d'autorisation, qui est de 200 têtes, moins une. C'est assez technique", a-t-il expliqué. "Et cette réglementation, qui s'applique aux installations classées comme la nôtre, les exonère d'études d'impact et d'enquête publique, à certaines conditions que nous remplissons parfaitement", a-t-il affirmé encore. Quant à l'enquête publique annoncée par le ministre en réponse à la demande d'extension, "il s'agit d'une décision purement politique et non technique", a estimé M. Welter, sous-entendant qu'elle pourrait être contestée devant la justice. Le plafonnement à 500 têtes par l'arrêté préfectoral du 1er février 2013 ne s'est appliqué que "parce qu'à l'époque, nous ne disposions pas d'assez de surface d'épandage" des déchets et résidus de la ferme et du méthaniseur qui y est associé, a-t-il rappelé. "Aujourd hui avec le méthaniseur réduit à 600 kW au lieu de 1,3 MW comme prévu à l'origine, nous rentrons parfaitement dans le cadre", a-t-il dit. L'interprétation est cependant totalement autre au ministère, justifiant les sanctions. Ce que confirme Laurent Pinatel, le porte-parole de la Confédération paysanne, hostile depuis l'origine au projet de ferme géante, et qui en a réclamé la fermeture mardi: "Nous sortons du ministère où il nous a bien été dit que le décret invoqué est soumis à autorisation". "Le ministère est sûr de son coup. Et ils vont les mettre en demeure de revenir à 500 vaches. Dans quel délai? On verra", a-t-il dit à l'AFP. Sciences et avenir 10/6/2015 -
Contre la création d'un élevage de 1000 vaches : manifestation 23/06/2012
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans PETITIONS : Animaux domestiques et de la ferme
Lille (AFP) - La ferme picarde dite des 1.000 vaches, qui malgré son nom n'a pour l'instant l'autorisation d'en abriter que 500, est de nouveau au cœur des débats: le directeur d'exploitation a reconnu mardi accueillir près de 800 bovins. "Entre le 10 avril et aujourd'hui, le cheptel est effectivement passé de 500 à 794 laitières, mais nous contestons avoir commis une faute administrative", a déclaré le directeur d'exploitation, Michel Welter, à l'AFP. M. Welter a fait cette déclaration après que des inspecteurs de la Direction départementale de protection des populations (DDPP) ont effectué mardi un contrôle sanitaire dans cette ferme géante située à Drucat, près d'Abbeville (Somme). C'est suite à la parution lundi d'un article de Reporterre, faisant état de 700 laitières, sur son site internet, que "la préfète" Nicole Klein "a demandé à la DDPP de faire un contrôle d'opportunité dans les meilleurs délais dans la ferme de Drucat", a expliqué la préfecture. Selon l'arrêté préfectoral du 1er février 2013, la ferme peut exploiter 500 vaches, outre les "suites", c'est-à-dire les veaux et génisses qu'elles mettent au monde. "La présence d’un nombre important de vaches au-delà du seuil de 500 vaches, (...) constitue clairement une infraction", a souligné mardi soir le ministère de l'Agriculture dans un communiqué. "Les conclusions précises du contrôle seront connues dans les prochaines heures et rendues publiques. Le ministre (Stéphane Le Foll) est déterminé à faire respecter la réglementation. Il a indiqué que des sanctions seraient prises à l’issue du contrôle si l’infraction est confirmée", selon le texte. "La recherche de la rentabilité économique ne peut s’affranchir du respect des règles environnementales et du bien-être animal", poursuit-il. L'article de Reporterre était étayé par le témoignage d'un ancien employé de la ferme, ainsi que par les propos de Michel Ramery, l'investisseur à l'origine du projet controversé, reconnaissant qu'il pouvait y avoir 700 vaches. "Oui, c'est possible. cela fait un mois que je suis parti, mais il y en a quelques-unes de plus qui sont arrivées. Donc mettons 700", a-t-il répondu à la journaliste de Reporterre, qui l'avait joint au téléphone alors qu'il se trouvait en voyage en Afrique. Devant ce qu'elle estime être un aveu "sans scrupules" de M. Ramery, la Confédération paysanne a appelé mardi le ministre de l'Agriculture Stéphane Le Foll, à "fermer" l'élevage. "Cette usine doit fermer, et la réglementation doit empêcher d'autres usines de se développer", a écrit le porte-parole de la Confédération, Laurent Pinatel. "Alors que nous avions salué votre volonté d'imposer une enquête publique pour la demande d'agrandissement du troupeau à 880 vaches, il semble que Michel Ramery n'ait besoin ni d'enquête publique, ni d'autorisation!", a-t-il encore lancé. Cependant, si M. Welter admet avoir "anticipé" sur la réponse à sa demande d'extension à 880 laitières déposée le 7 janvier 2015, la réglementation des regroupements de vaches laitières en cas de cessation d'activité d'un autre éleveur lui permet, selon lui, de dépasser le seuil de 500. Or, a-t-il dit, "nous n'avons pas voulu transgresser quoi que ce soit. L'occasion s'est simplement présentée de récupérer un troupeau de 300 têtes, élevées dans les mêmes conditions que les nôtres". D'autre part, a-t-il affirmé, ce seuil de 500 n'avait été fixé que parce qu'à l'époque les capacités d'épandage des déchets et résidus de l'exploitation et du méthaniseur prévus étaient insuffisantes. "Ce n'est plus le cas", a-t-il souligné. Comme annoncé par M. Le Foll, une enquête publique doit être diligentée "dans les semaines à venir" sur la demande d'extension, a par ailleurs souligné la préfecture. Le 17 juin, à Amiens, aura lieu le procès en appel de neuf militants de la Confédération paysanne, dont Laurent Pinatel, pour des dégradations commises lors de deux actions coup de poing sur le chantier de la "ferme des 1.000 vaches" en 2013 et 2014. Ils avaient été condamnés en première instance, le 29 octobre dernier, à des peines de prison avec sursis et à des amendes. Sciences et avenir 9/6/2015 -
La "Palm Dog" Festival de Cannes (cinéma)
Admin-lane a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Actualités - CONCOURS - Informations
Chaque année, la Palm Dog récompense les meilleures apparitions canines dans les films de la sélection du Festival de Cannes. Découvrez les grands gagnants de cette édition 2015. Classe, glamour, la Croisette s'enflamme chaque année pour le Festival de Cannes, où concourent des films du monde entier. Parmi eux, certains comptent dans leur casting des acteurs particuliers : des chiens ! Et là où les humains ont leur palme d'or, les canidés ont la Palm Dog. Une récompense créée en 2001 par des critiques britanniques. Le film français "Je suis un soldat" a remporté la Palm Dogmanitarian 2015. Bandes Annonces Cinéma/youtube Elle est depuis attribuée aux animaux réels ou fictifs, comme Doug, le chien du film Là-haut, gagnant de la palme 2009. On se souvient également de la performance d'Uggie, aux côtés de Jean Dujardin et Bérénice Bejo dans The Artist, primée en 2011. Cette année encore, des chiens de tout poils s’affrontaient dans les rôles les plus variés, du chien de skinhead au chien de berger. La cérémonie s'est déroulée dans le pavillon anglais, à proximité du Palais des festivals le 22 mai 2015. Filmsactu 11/5/2015 Enfin la Palme DogManitarian ("chien-manitaire"), qui célèbre la promotion des relations homme-animal, a sacré le film Je suis un soldat. Ce dernier immerge le spectateur au cœur d'un trafic de chiens venant des pays de l'Est... Sciences et avenir 9/6/2015