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JALALABAD (Afghanistan) - Un séisme de magnitude 5,6 a fait treize morts et des dizaines de blessés et provoqué l'effondrement de nombreuses maisons mercredi dans le sud-est de l'Afghanistan, près de la frontière avec le Pakistan, ont annoncé les autorités. Douze personnes ont été tuées et plus de soixante blessées dans la seule province de Nangarhar, la plus touchée par ce tremblement de terre, a déclaré le Croissant-Rouge local, tandis que la mort d'une treizième personne a été confirmée dans la province voisine de Kunar, où une autre a été blessée. On s'attend à ce que le nombre des morts augmente à mesure que les opérations de recherche avancent, a souligné le chef du Croissant-Rouge du Nangarhar, Nagyalay Yusufzai. Le séisme est survenu à 09H25 GMT à une profondeur de 62 kilomètres, son épicentre ayant été localisé à 24 kilomètres au nord-ouest de Jalalabad, la capitale de cette province, selon le Centre américain de géophysique (USGS). Il a été ressenti à Kaboul et à Islamabad, les capitales afghane et pakistanaise. A la sortie de Jalalabad, les habitants se sont précipités à l'extérieur de leurs masures en briques de boue séchée lorsqu'ils ont senti la terre trembler sous leurs pieds, a confié un témoin. Il y a eu des dégâts de grande ampleur dans certains villages car la plupart des maisons là-bas sont construites en boue séchée, a déclaré à l'AFP le porte-parole du gouvernement provincial de Nangarhar, Ahmad Zia Abdulzai. Et de nombreuses maisons ont été détruites dans la province de Kunar, a dit le porte-parole provincial, Wasefullah Wasef. Par ailleurs, des inondations ont fait au moins onze morts mardi dans Ia province afghane septentrionale de Balkh, où trois personnes ont été portées disparues, a annoncé mercredi un porte-parole du gouvernement local, Munir Ahmad Farhad. Les inondations ont endommagé près de mille maisons et des centaines d'hectares de terres agricoles, a-t-il ajouté. Les zones les plus touchées sont des villages pauvres où la plupart des habitations sont faites de boue séchée et sont donc très vulnérables, toujours selon le porte-parole. L'Afghanistan et le Pakistan sont fréquemment frappés par des tremblements de terre, surtout près de la chaîne de l'Hindu Kush. L'an dernier, 75 personnes avaient péri dans trois séismes en une seule journée en Afghanistan. En octobre 2005, un fort tremblement de terre dans le nord-ouest du Pakistan avait fait plus de 73.000 morts et provoqué le déplacement de 3,5 millions de personnes. Un séisme de magnitude 7,8 dans l'est de l'Iran avait fait une quarantaine de morts la semaine dernière au Pakistan et des dizaines de milliers de personnes avaient été touchées. La secousse avait été ressentie jusqu'en Inde et dans les pays du Golfe. ROMANDIE 24/4/2013
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La géothermie en Alsace... et ailleurs en France (actualité, informations...)
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans La Géothermie
PARIS - Une nouvelle centrale géothermique alimentant un réseau de chauffage de 13 kilomètres verra le jour en 2015 dans le Val-de-Marne, a annoncé mercredi le commanditaire du projet. Baptisé Argeo, le projet, qui désservira les communes d'Arcueil et Gentilly, a été confié à Cofely, a indiqué le Syndicat Intercommunal de la Périphérie de Paris pour l'Electricité et les Réseaux de Communication (Sipperec) dans un communiqué. La filiale de GDF Suez sera chargée de le construire et de l'exploiter pendant 30 ans. Cet investissement de 32,2 millions d'euros permettra d'alimenter l'équivalent de 10.000 logements en eau chaude et chauffage, selon le Sipperec. La géothermie, énergie souvent mal connue qui compte le Bassin parisien parmi ses zones propices, consiste à utiliser la chaleur des eaux souterraines pour produire du chauffage ou de l'électricité. Un forage de deux puits, à une profondeur d'environ 1.600 mètres pour capter de l'eau à 64 degrés, doit commencer en octobre, les travaux débutant eux dès le mois de mai pour une mise en service prévue en juin 2015. Le réseau de chaleur sera alimenté à 65% par l'énergie géothermique et 35% par du gaz naturel. Le gouvernement cherche actuellement à relancer la géothermie. Après une première phase de développement peu après les chocs pétroliers, notamment en Ile-de-France, la géothermie est ressortie de l'oubli ces dernières années. ROMANDIE 24/4/2013 -
TOULOUSE - Le rythme d'abattage des platanes malades le long du Canal du Midi s'est accéléré en 2012 et va encore progresser cette année, a-t-on appris mercredi auprès de Voies navigables de France (VNF) gestionnaire du canal appartenant à l'État et classé au patrimoine mondial de l'humanité. Le chancre coloré, un champignon tueur de platanes, fait des ravages depuis plusieurs années sur le parcours du canal entre Castelnaudary (Aude) et Béziers (Hérault), ce qui implique d'abattre progressivement les 42.000 arbres entre Toulouse et Agde (Hérault), pour les remplacer par des espèces résistantes. On devrait couper 3.000 arbres en 2013 estime Jacques Noisette, responsable communication de l'établissement public pour le Sud-Ouest. Les campagnes d'abattage ont commencé doucement en 2006 à raison de quelques dizaines d'arbres par an et un premier coup d'accélérateur est intervenu sur la campagne d'hiver 2010-2011, avec 530 platanes abattus. Il faut changer de braquet pour atteindre l'objectif de 4.000 abattages par an, reconnaissait alors M. Noisette. L'accélération est au rendez-vous, a-t-il déclaré mercredi à l'AFP en commentant le bilan de la campagne d'hiver qui s'est échelonnée du 15 février au 20 avril. Nous avons abattu 1.584 platanes depuis le début 2013 contre 1.629 sur l'ensemble de 2012, et nous devrions atteindre le cap des 3.000 abattages sur 2013 avec une deuxième campagne, du 15 août au 1er novembre, a-t-il précisé. Selon VNF, 215 foyers contaminés supplémentaires ont été découverts en 2012, principalement dans la partie orientale entre Carcassonne et l'étang de Thau, une zone qui est perdue selon M. Noisette. La partie occidentale entre Toulouse et Castelnaudary est encore indemne. VNF n'a pour l'instant replanté que 436 arbres, des platanors résistants au chancre ou d'autres essences comme le tilleul argenté. Il va en planter 300 de plus cette année en expérimentant plusieurs autres essences. Ces arbres de 4 à 5 mètres aujourd'hui devraient mettre une vingtaine d'années pour redonner au canal l'aspect ombragé qui lui a valu en partie son classement par l'Unesco au patrimoine de l'humanité. Nous travaillons pour les générations futures explique M. Noisette. Le plan devrait coûter plus de 200 millions au cours des 20 prochaines années, à répartir entre l'État, les collectivités territoriales et le mécénat. Le précédent gouvernement misait sur un tiers de mécénat mais cet aspect du financement a pris du retard. On va lancer une première campagne de sensibilisation sur le mécénat cet été auprès des grands mécènes nationaux comme les fondations, auprès du tissu industriel national et régional et en direction du grand public précise M. Noisette. ROMANDIE 24/4/2013
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Découvrir les peuples indigènes, ces tribus isolées en grand péril !
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Les Droits de l'Homme
Mardi, un appel mondial à la manifestation a été lancé devant toutes les ambassades péruviennes afin de protester contre le projet gazier Camisea. Les pétitions ont circulé et le gouvernement péruvien, à la recherche de nouveaux gisements de gaz, a été interpellé quant aux nombreux dangers qui menacent les tribus indigènes vivant sur place. Il y a des choses que l'argent ne peut pas acheter, et il y en a d'autres qu'il prend de force. Pour le reste, il y a les manifestations. Manifester c'est ce qu'a décidé de faire Survival International, mais également de nombreuses personnes de part le monde pour s'opposer au projet gazier Camisea. A Londres, Madrid, Berlin ou encore San Francisco, hommes et femmes se sont rassemblés mardi devant les ambassades péruviennes, armés d'une pétition à destination du gouvernement qui atteint pour le moment les 120.000 signatures à Paris. C'est la compagnie argentine Pluspetrol qui est à l'origine de la crise. Celle-ci projette en effet à l'aide de ses investisseurs Hunt Oil (Compagnie nord-américaine), ainsi que Repsol (Compagnie espagnole) d'élargir son projet d'extraction d'hydrocarbures, connu sous le nom de Camisea. Mais les terres convoitées se situent sur une réserve protégée, Nahua-Nanti, habitée par plusieurs tribus autochtones. Les Nahua, les Nanti, ou encore les Matsiguenga ont choisi de vivre isolés des autres sociétés et tiennent à continuer à la rester. Mais ce projet pourrait grandement compromettre cette volonté. La première partie du projet, adoptée en 2004 tient déjà en sa possession les trois quarts de cette réserve sous le nom de "Bloc 88". La volonté de créer un nouveau bloc nommé "Fittzcarrald" afin d'approfondir les recherches, la couperait cette fois en deux, bouleversant la vie des riverains et tout un écosystème. Les allées et venues des hélicoptères, machines en tout genre ainsi que l'activité sismique du forage occasionneraient de sérieuses nuisances sonores faisant fuir le gibier dont se nourrissent les Indiens. Ceux-ci seraient d'ailleurs très fragiles aux épidémies du monde externe. La moitié de la population des Nahua s'est trouvée décimée après les discussions en 1980 avec la compagnie pétrolière Shell. Les fuites de gaz à répétition ont de plus contaminé à cinq reprises les sols et l'eau. Désirant creuser plus de vingt nouveaux puits, Pluspetrol aurait également des vues sur le Parc National de Manu. Le Parc National de Manu s'étend sur plus de 7,5 millions d'hectares et présente une diversité biologique peu égalée mondialement. C'est l'une des plus grandes aires protégées sur notre planète et a été créée en 1973 afin de protéger cette biodiversité, mettant à l'abri plus de 800 espèces d'oiseaux par exemple. Il est de plus classé au patrimoine de l'UNESCO depuis 1987. Aussi, en décidant de procéder à des forages au sein du Parc et de la réserve de Nahua-Nanti, Pluspetrol se trouverait dans l'illégalité. En effet, en 2003, la Banque Interaméricaine de Développement avait octroyé 75 millions de dollars au déploiement du projet Camisea lui posant une condition, l'interdiction de nouvelles exploitations de ressources naturelles à l'avenir. Le gouvernement péruvien, sur le point d'autoriser l'expansion de Camisea semble mesurer petit à petit l'ampleur de la contestation internationale. De leur côté, les Nations-Unies ont appelé Pluspetrol à interrompre ses projets de grandeur. CLIQUEZ ICI pour signer la PETITION sur le site de SURVIVAL MAXISCIENCES 24/4/2013 -
L’hydrogène naturel pourrait bien constituer une filière énergétique révolutionnaire dans les prochaines décennies. D’ores et déjà, l’Institut Français du Pétrole et des Énergies Nouvelles (IFPEN) se lance dans un vaste programme de recherche. Il y a trois ans environ, les chercheurs de l’Institut ont été contactés par une équipe russe : des émanations naturelles d’hydrogène avaient été détectées au sein des plaines de Russie. Or, traditionnellement les spécialistes ont toujours considéré que le gaz d’hydrogène, que l’on trouve dans l’atmosphère, ne peut se former dans le sous-sol. Dépêchés sur place, les Français ont confirmé l’existence de ces sources naturelles d’hydrogène et ont appris à distinguer ces régions - souvent en forme de cercle - sur les images satellites. Elles apparaissent parfois comme des dépressions où l’eau s’accumule et forme des mini-lacs, alors que sur les terrains boisés, elles présentent une végétation différente. Un examen des images satellite a permis d’en détecter sur tous les continents. Les émanations naturelle d'hydrogène forment des structures circulaires visibles sur des images satellites. Google earth L’hydrogène naturel semble cumuler tous les atouts : sa combustion ne libère pas de CO2, ce dioxyde de carbone qui est un gaz à effet de serre et qui contribue au réchauffement de la planète. Sa production dans le sous-sol se fait de manière continue, contrairement aux réservoirs d’hydrocarbures qui s’épuisent au cours du temps. Son exploitation ne nécessite pas de forage profond et enfin sa répartition semble équitable entre les continents. Aujourd’hui, l’hydrogène utilisé par les industriels – indispensable pour les raffineries et la production d’engrais - est entièrement fabriqué selon un procédé coûteux et polluant. Il pourrait être remplacé par l’hydrogène naturel. En outre cet hydrogène recueilli à même le sol peut remplacer une partie du méthane qui circule dans le réseau de distribution de gaz naturel… et apporter un sérieux coup de pouce au projet de la voiture à hydrogène, le véhicule propre de demain. SCIENCES ET AVENIR 24/4/2013
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Parlementaires, MEDEF, Institutions et gaz de schiste
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Actu énergie gaz de schiste ET sables bitumineux
PARIS (AFP) - La patronne du Medef Laurence Parisot a mis l'accent mercredi sur l'"énergie peu chère" en France, en appelant notamment à rechercher, et si possible à exploiter, le gaz de schiste dans le sous-sol français et à "préserver les atouts du nucléaire". L'organisation patronale, qui présentait à la presse ses propositions pour le débat national sur la "transition énergétique" mis en place par le gouvernement, a plaidé la "prudence" pour éviter l'envol de la facture énergétique des entreprises déjà "exsangues et à bout de souffle". "On me demande souvent: comment réindustrialiser la France? Au-delà du pacte de compétitivité, que je salue, il y a une réponse très simple: explorons et exploitons dans notre pays les gaz de schiste", a déclaré Mme Parisot. "La réindustrialisation dans ces cas là pourraient intervenir très rapidement", a-t-elle affirmé, dénonçant "un débat interdit" sur le gaz de schiste. "Nous on dit: 'il faut en parler'". "Pour avoir les mêmes chances que les entreprises allemandes, nous devons traiter la question de la dette et du déficit. Pour avoir la même chance que les entreprises américaines, nous devons traiter la question du gaz de schiste", a-t-elle dit. Autre accent mis par le Medef, "préserver les atouts du nucléaire", par exemple en matière de changement climatique et de prix compétitif de l'électricité. "Une transition énergétique à l'allemande" avec sortie du nucléaire et investissements très importants dans le solaire et l'éolien, "n'est pas nécessaire à nos yeux et surtout on n'a pas les moyens de se la payer", a estimé Jean-Pierre Clamadieu, président du chimiste Solvay et responsable au Medef, citant les "1.000 milliards d'euros" consacrés par l'Allemagne d'ici 2030. Mme Parisot a qualifié d'"aberration" la fermeture anticipée de la centrale nucléaire alsacienne de Fessenheim, plaisantant en évoquant "la solidarité Medef-CGT totale" contre l'arrêt prévu par le gouvernement d'ici 2017. Dans une liste en sept points présentée mercredi, le Medef appelle également à développer l'efficacité énergétique "la plus rentable" et à développer les énergies renouvelables, "à des conditions économiques raisonnables" selon M. Clamadieu. ----->C'est avec de tels raisonnements, notamment celui de la rentabilité maximum, que l'on met en danger la préservation de l'environnement qui, lui, est indispensable à tous les êtres vivants sur terre ! Ce n'est pas la rentabilité immédiate qui doit être étudiée ou envisagée, mais le long terme, le très long terme... pour les générations futures !!! La préservation de la planète pour des conditions de vie acceptables devrait être l'affaire de tous.... La nature et l'environnement sont au service de tous et ne devraient pas être au service de l'argent pour l'enrichissement de quelques-uns... Qu'on se le dise... Concernant la réindustrialisation, si chère au MEDEF et au patronat : elle passe par quelques sacrifices sur le chiffre d'affaires en réimportant des activités qui ont été délocalisées dans des pays tiers où la main d'oeuvre est moins chère. Je suis, comme beaucoup de français, prête à payer le juste prix lorsque c'est justifié et à qualité égale voire supérieure. Il y a quelques décennies on a voulu faire de la France un pays tourné vers les services, la recherche, le tertiaire... Nous le payons aujourd'hui... SCIENCES ET AVENIR 24/4/2013 -
GDF Suez va fermer 5 centrales au gaz en Europe, s'interroge sur d'autres usines
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans GAZ NATUREL
PARIS - L'énergéticien GDF Suez a confirmé mardi qu'il allait fermer pour une durée indéterminée ou ne plus faire tourner qu'en hiver trois des quatre centrales électriques au gaz qu'il exploite en France, dans le cadre de la restructuration de son outil industriel en Europe. En ce qui concerne la France, nous avons décidé un processus qui vise à mettre sous cocon une centrale au gaz toute récente dans le sud de la France à côté de Fos-sur-Mer, et nous avons passé deux autres centrales à un fonctionnement saisonnier, c'est-à-dire qu'elles ne fonctionneront plus que l'hiver, a déclaré le numéro deux du groupe Jean-François Cirelli, lors de l'assemblée générale annuelle de GDF Suez. L'installation mise sous cocon, c'est-à-dire arrêtée pour une durée indéterminée, est la centrale électrique Cycofos de Fos-sur-Mer, dans les Bouches-du-Rhône et celles qui vont passer à un fonctionnement saisonnier sont la centrale Combigolfe, sur le même site et l'usine SPEM, à Montoir-de-Bretagne (Loire-Atlantique). Ce sont des décisions que nous n'aimons pas, des décisions difficiles. Bien évidemment, il n'y a pas de plaisir à fermer des outils industriels, a assuré M. Cirelli, qui a justifié cette décision par la concurrence du charbon, qui met à mal la compétitivité des centrales au gaz exploitées par le groupe. Nous prenons ces décisions pour qu'elles ne soient pas définitives et nous espérons un redémarrage de ces activités dans quelques temps, dans quelques années, a-t-il affirmé. Une source proche du dossier avait déjà confirmé à l'AFP au début du mois cette décision, alors rapportée par le quotidien les Echos. Le groupe s'était contenté d'indiquer à l'époque qu'il préparait une réorganisation de ses centrales à gaz françaises. En outre, GDF Suez a également mis sous cocon deux sites de stockage de gaz en France, a rappelé M. Cirelli. Le PDG Gérard Mestrallet a quant à lui réaffirmé au cours de l'AG que le groupe embaucherait 18.000 personnes en CDI en France d'ici à 2015, alors que des syndicats de l'entreprise craignent la suppression de milliers de postes du fait d'un plan d'économies lancé fin 2012. Il est important de rappeler que GDF Suez emploie 220.000 personnes dans le monde et, qu' en France, GDF Suez est un des premiers employeurs avec plus de 100.000 personnes. En 2012, nous avons créé près de 1.600 emplois nets dans l'Hexagone, a rappelé M. Mestrallet. Nous avons déjà annoncé que 2013 et 2014 allaient être des années difficiles, du fait de la situation des marchés de l'énergie en Europe, mais malgré cela, nous allons continuer à aller de l'avant, à embaucher pour renouveler nos équipes et remplacer ceux qui partent à la retraite, a-t-il ajouté. C'est ainsi qu'en France nous prévoyons (...) le recrutement de 18.000 personnes en contrat à durée indéterminée sur 2013, 2014 et 2015, a-t-il ajouté. ROMANDIE 23/4/2013 -
Trous dans la couche d'OZONE : News, Actus-Infos
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Pollutions
MONTREAL - Une agence de l'ONU de lutte contre les substances réduisant la couche d'ozone a annoncé mardi le versement à la Chine de 385 millions de dollars sur 17 ans pour l'aider à arrêter la production de gaz HCFC, utilisés dans les réfrigérateurs, les aérosols, ou les climatiseurs. Le Fonds multilatéral, créé en 1990 pour mettre en oeuvre le Protocole de Montréal, fournira cette somme à Pékin qui doit éliminer complètement la production industrielle de substances qui provoquent l'appauvrissement de la couche d'ozone stratosphérique d'ici 2030. La Chine, premier producteur mondial de HCFC (hyrdrochlorofluorocarbure) et source de 92% des HCFC produits dans les pays en développement, a non seulement accepté de réduire sa capacité actuelle de production, mais aussi d'éliminer les capacités supplémentaires non utilisées actuellement. Selon un communiqué du Fonds, dont le comité exécutif siège à Montréal, l'application de ces décisions permettra à la Chine de réduire d'ici 2030 les émissions de HCFC de plus de 4,3 millions de tonnes, et celles de gaz à effet de serre équivalents à 8 milliards de tonnes de dioxyde de carbone. Il s'agit du plus grand projet approuvé jusqu'à présent dans le cadre du Fond multilatéral depuis sa création. Au cours des quatre prochaines années, la Chine recevra 95 millions de dollars pour couvrir la première étape de l'opération qui comprend d'abord le gel de la production au niveau de 2013, puis une réduction de 10% à l'horizon 2015. ROMANDIE 23/4/2013 -
SYDNEY - Un puissant séisme de magnitude 6,4 a secoué mercredi la Papouasie-Nouvelle-Guinée, a annoncé le Centre américain de géophysique (USGS), sans décréter d'alerte au tsunami. La secousse a eu lieu à 09H14 (23H14 GMT mardi) à 31 km au nord de Rabaul et à une profondeur de 18 km, a ajouté l'USGS. Rabaul avait été partiellement détruite en 1994 par une éruption volcanique, mais les sismologues ont indiqué que cette fois la ville n'a probablement pas souffert de destructions importantes. Il y a un potentiel de destructions, mais on s'attend à ce qu'elles soient minimes, a déclaré à l'AFP John Bathgate, de Geoscience Australia, ajoutant qu'il n'était pas inhabituel que cette région subisse ce type de séismes, y compris plus importants. Les séismes de cette magnitude sont courants en Papouasie-Nouvelle-Guinée, située sur la ceinture de feu du Pacifique, une zone particulièrement soumise aux activités sismiques à cause de frictions entre les plaques tectoniques. La semaine dernière, un séisme de 6,8 de magnitude avait déjà secoué le pays sans faire de dégâts majeurs. ROMANDIE 24/4/2013
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SYDNEY (Australie) - Six militants de Greenpeace ont abordé mercredi un cargo de charbon près de la Grande barrière de corail, appelant à la fin des exportations du combustible qui participe selon eux au réchauffement climatique et aux catastrophes naturelles. Les six militants sont ressortissants de cinq grandes nations exportatrices et consommatrices de charbon en Asie-Pacifique: Australie, Inde, Etats-Unis, Chine et Nouvelle-Zélande. Depuis leur zodiac, ils se sont hissés à bord du Meister, un vraquier battant pavillon panaméen et faisant route vers la Corée du Sud, pour demander la fin de L'âge du charbon. Les exportations de charbon australien sont la plus grande contribution du pays au changement climatique et des projets prévoient de doubler le volume de charbon que nous exportons, a dénoncé Greenpeace dans un communiqué. Chaque tonne de charbon exportée nous retournera par le changement climatique: feux de forêt, canicules et sécheresse, a ajouté l'organisation. Les militants se trouvaient toujours à bord du Meister dans l'après-midi. On n'a aucune idée de ce qui va se passer. Soit les garde-côtes vont venir nous arrêter, soit nous allons finir en Corée du Sud, a confié Emma Giles depuis le pont du cargo. L'Australie est l'un des grands émetteurs de rejets polluants en raison de sa dépendance aux centrales au charbon et à ses exportations de minerais en Asie. Inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco en 1981, la Grande barrière a perdu plus de la moitié de ses coraux au cours des 27 dernières années sous l'effet de facteurs météorologiques (tempêtes), climatiques (réchauffement) et industriels, selon la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences. ----->Ajoutons à cela certaines méthodes de pêche et les conséquences de la surpêche ! ROMANDIE 24/4/2013
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JAPON : Le devenir des autres centrales nucléaires du pays ?
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Fukushima / Japon : les centrales
TOKYO - Le ministre japonais de l'Industrie, Toshimitsu Motegi, a jugé possible que soient relancés des réacteurs nucléaires au Japon dès cet automne, alors qu'actuellement 48 des 50 unités du pays sont stoppées. Si les choses avancent vite, cela interviendra à l'automne, a-t-il déclaré mardi soir lors d'une émission de télévision. Les nouvelles normes établies par l'Autorité de régulation nucléaire seront validées le 18 juillet. Si la sûreté des réacteurs est confirmée, ils seront relancés, a-t-il ajouté, confirmant la position du gouvernement de droite de Shinzo Abe, arrivé au pouvoir en décembre. M. Motegi a aussi déclaré son intention d'obtenir la compréhension des populations riveraines des centrales. [...]Alors que l'exécutif japonais ne songe plus à abandonner l'énergie nucléaire, contrairement aux souhaits des deux précédents Premiers ministres, des nouvelles normes de sûreté ont été définies et sont actuellement soumises aux commentaires publics avant d'être entérinées et d'entrer en vigueur en juillet. La validation de la sûreté de chaque réacteur sera requise de même que l'accord des élus locaux des régions concernées avant le feu vert ultime du gouvernement. Pour accélérer le processus, l'autorité de régulation pourrait accorder des délais de grâce sous conditions de travaux de mise en conformité, une éventualité sur laquelle tablent les compagnies japonaises. ROMANDIE 24/4/2013 -
Le MOX, un combustible au plutonium, très critiqué
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Le NUCLEAIRE (énergie)
TOKYO - La compagnie d'électricité japonaise Tokyo Electric Power (Tepco) a annoncé la cession à des firmes allemandes de MOX initialement destiné à la centrale de Fukushima et actuellement stocké en France où il a été fabriqué à partir de combustible nucléaire usé venu du Japon. Tepco a accepté de procéder à un échange avec les sociétés allemandes qui possèdent du plutonium déposé en Grande-Bretagne sous le contrôle de l'Autorité de démantèlement nucléaire (NDA). Tepco va donc donner une partie (430 kg) de son plutonium/MOX de France à ces compagnies allemandes et prendre possession de la même masse de plutonium actuellement entreposée pour le compte de ces dernières en Grande-Bretagne, sans pour autant le rapatrier au Japon. Cette transaction, proposée par Areva, a pour but de permettre aux firmes allemandes de vite bénéficier de MOX fabriqué en France par le groupe hexagonal Areva, en évitant de transporter du plutonium d'un lieu à l'autre, a expliqué Tepco. Pour notre part, nous pensons que cela contribue à utiliser le plutonium de façon pacifique et en tant que source d'énergie utile, a poursuivi la compagnie. Nous avons vérifié avec le gouvernement du Japon et des autres pays concernés que cela ne posait pas de problème au regard des règles de non-prolifération, a assuré Tepco. Le retraitement du combustible usé de Tepco (issu des centrales Fukushima Daiichi et Daini avant l'accident du 11 mars 2011) avait commencé pour être transformé en MOX (oxydes de plutonium et uranium) en France, mais cette opération a été stoppée à cause de la catastrophe et de la décision prise le 20 mai 2011 de démanteler les 4 réacteurs ravagés sur les six du site, dont celui qui devait recevoir le MOX, le numéro 3. Après cette transaction aura encore 2,1 tonnes de plutonium en France et 5,3 tonnes en Grande-Bretagne. Auparavant, un programme gouvernemental demandait aux compagnies japonaises d'adapter une partie de leurs réacteurs nucléaires à l'usage de MOX. Parallèlement, le Japon a pour projet de mettre en service une usine de retraitement de combustible usé et une usine de MOX à Rokkasho (nord), mais le tout est retardé de plusieurs années à cause de problèmes techniques antérieurs à l'accident de Fukushima et de nouveaux contrôles de sûreté depuis. En attendant la mise en service de ces installations, le combustible usé contenant du plutonium issu des centrales nippones était expédié en France ou Grande-Bretagne pour retraitement avant d'être rapatrié au Japon. Actuellement toutefois, seuls 2 des 50 réacteurs de l'archipel sont actifs et aucun convoi de combustible à retraiter n'a été envoyé vers l'Europe depuis des mois. Un chargement de MOX destiné au réacteur 3 de la centrale de Takahama (ouest), exploitée par Kansai Electric Power (Kepco), est en revanche parti récemment de Cherbourg pour arriver au Japon fin juin, dans le but d'être utilisé quand le réacteur concerné sera autorisé à redémarrer, à une date pour le moment indéfinie. ROMANDIE 24/4/2013 -
Un mouvement pour sauver l’Arctique
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Pétitions : Monde aquatique
LONDRES - Greenpeace a lancé mercredi un site internet permettant aux employés des groupes pétroliers, et en particulier de Shell, de dénoncer de façon anonyme les risques incroyables pris pour exploiter les ressources de l'Arctique. Ce site, www.arctictruth.org, fait directement appel à tous les employés de l'industrie pétrolière susceptibles d'avoir accès à des informations internes, en particulier sur les mesures de sécurité, les mauvaises pratiques et de possibles infractions aux lois de protection de l'environnement, a précisé l'organisation dans un communiqué. Il leur offrira l'occasion de soumettre des informations de façon sécurisée et confidentielle, a ajouté Greenpeace. L'impact humain, environnemental et économique (d'une fuite d'hydrocarbures) dans les eaux arctiques serait catastrophique, a insisté Ben Ayliffe, un des responsables de la région chez Greenpeace. Nous espérons que ce site permettra de connaître toute la vérité sur les paris dangereux que des compagnies comme Shell sont prêts à prendre, a poursuivi M. Ayliffe, estimant que les récentes opérations du géant anglo-néerlandais dans l'Arctique ont été désastreuses de bout en bout. Shell avait procédé à ses premiers forages l'an dernier sur deux puits en mer de Beaufort et en mer des Tchouktches, en Alaska, mais avait annoncé en février renoncer à poursuivre ses forages cette années après des avaries sur l'un de ses navires, l'Arctic Challenger, endommagé lors d'un test d'homologation. Des militants de Greenpeace avaient déjà formé un coeur samedi au pied de l'Arc de Triomphe à Barcelone (nord-est de l'Espagne), appelant à faire de l'Arctique un sanctuaire mondial vierge de forages pétroliers et de pêche industrielle. Les experts estiment les ressources naturelles de l'Arctique à 90 milliards de barils de pétrole et à 30% du gaz naturel non découvert dans le monde, une manne rendue de plus en plus accessible par le recul des glaces, mais difficile à exploiter en raison d'un environnement peu favorable et de coûts élevés. ROMANDIE 23/4/2013 -
PARIS (FRA) - Le député UMP de l'Isère Alain Moyne-Bressand a annoncé avoir déposé une proposition de loi visant à renforcer la lutte au plan national contre l'ambroisie, une plante très allergisante qui ne cesse de proliférer en France et dans d'autres pays européens. Lutter contre cette plante est un chantier immense tant elle s'est développée sur notre territoire, a déclaré mardi le député lors d'une conférence de presse. Le texte, issu des travaux du comité parlementaire ambroisie, créé en avril 2011 et présidé par M. Moyne-Bressand, prévoit que cette plante soit déclarée végétal nuisible par les autorités et soumise à une lutte obligatoire permanente. Tout occupant d'une parcelle, qu'il soit agriculteur, particulier, collectivité, entreprise, sera tenu de procéder à ses frais à la suppression de la plante avant sa floraison, indique la proposition de loi. L'ambroisie a depuis des années fortement colonisé toute la vallée du Rhône, s'est étendue aux régions voisines comme la Bourgogne, le Centre, l'Auvergne et Paca et à un moindre degré quasiment dans toutes les autres régions. Le pollen de l'ambroisie, qui fleurit en juillet pour environ deux mois, provoque des allergies (conjonctivite, rhinite, gênes respiratoires, toux et parfois de l'asthme, plus rarement de l'eczéma). C'est devenu un réel problème de santé publique aujourd'hui, avec des coûts associés très importants, a souligné Michel Thibaudon du Réseau national de surveillance ambroisie (RNSA). Lutter contre la prolifération de l'ambroisie est un travail qui ne s'arrêtera pas, d'où la nécessité de s'appuyer sur un texte de loi pour le renforcer, a ajouté le spécialiste. Selon le réseau RNSA, 10 à 20% de la population de Rhône-Alpes développe des allergies au pollen d'ambroisie, ce qui a occasionné en 2011 des dépenses de santé de l'ordre de 20 millions d'euros (consultations, médicaments, arrêts de travail). Lionel Chauvel, chercheur à l'Inra et membre de l'Observatoire de l'Ambroisie, a estimé que l'éradication de cette plante semblait difficile à atteindre tant elle est désormais installée sur le territoire. Mais, a-t-il ajouté, il faut arriver à la régulation la plus puissante possible, en agissant dans les départements fortement touchés mais aussi dès maintenant là où elle est encore peu présente et où on peut encore prévenir les impacts sanitaires. Cette plante s'implante dans toutes sortes de lieux, des champs cultivés, aux bords de route en passant par les bords de rivière, les chantiers, les parcs et les jardins. Les moyens ce lutte sont le fauchage, l'arrachage, le désherbage chimique ou thermique ou le pâturage par des moutons. ROMANDIE 23/4/2013
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L'OMS lance une alerte dans le monde quant à une grippe aviaire H7N9
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Articles de presse, découvertes...
PEKIN - Le virus H7N9 est l'un des virus de la grippe les plus mortels, a indiqué mercredi un membre d'une équipe de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) venue en Chine enquêter sur cette maladie qui s'y est transmise pour la première fois à l'homme il y a quelques semaines. Au total, 108 personnes ont été infectées par ce virus aviaire, dont 22 sont mortes, dont une forte proportion de personnes âgées. "C'est certainement l'un des virus les plus mortels que nous ayons connus jusqu'ici", a déclaré ce responsable, Keiji Fukuda, lors d'une conférence de presse à Pékin. [...]Nous pensons que ce virus (le H7N9) est plus facilement transmissible à l'homme que le H5N1, a ajouté M. Fukuda, qui a qualifié le H7N9 de virus inhabituellement dangereux. Notre compréhension n'en est qu'à ses débuts, a-t-il ajouté, précisant que les volailles sont les sources probables d'infection. Nancy Cox, une spécialiste de la grippe au Centre de contrôle et de prévention des maladies (CDC) américain et membre de l'équipe, a précisé que pour le moment, ni les oiseaux migrateurs ni leur habitat n'ont été testés positifs au H7N9. Pour la première fois, un cas a été confirmé mercredi hors de Chine continentale, à Taïwan, chez un homme rentré de Suzhou en Chine où il travaillait. D'autres cas avaient déjà été signalés dans cette ville de la province du Jiangsu (est). A l'heure actuelle, aucune forme durable de transmission d'homme à homme n'a été constatée, ont réitéré les chercheurs de l'OMS dans un communiqué. Ce qui reste incertain, c'est si le virus peut acquérir la capacité de se transmettre d'homme à homme, ont-ils ajouté alors que des cas d'infections au sein d'une même famille ont été signalés. ROMANDIE 24/4/2013 -
Le diable de Tasmanie proche de l’extinction à cause d’un cancer
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Les espèces menacées
Après qu'une épidémie de tumeurs contagieuses ait tué jusqu'à 90% de l'espèce, un nouveau programme de conservation, Save The devil, a fait des avancées positives. Selon le quotidien australien en ligne, ABC NEWS, le programme de "Save the Devil a placé 15 de ces animaux sur l'île de Maria, au large de la côte est de la Tasmanie en novembre dernier. Biologiste de la faune Phil Sage a dit: «Nous avons huit femelles sur l'île en ce moment et certaines ont entre deux et quatres petits dans leur poche... L'île est utilisé, en quelque sorte, comme un lieu de quarantaine pour les diables de Tasmanie en bonne santé. "Si la maladie devait causer l'extinction des diables dans la partie continentale de la Tasmanie, savoir qu'il y a une population sauvage ici, indemne de maladie, sera quelque chose dont nous pourrons être fiers. Les tumeurs sont apparues en 1996 et se propagent par morsures et sont toujours un énorme problème pour le diable de Tasmanie. Le Ministre de l'Environnement, Brian Wightman, dit que les chercheurs étudient la possibilité d'accroître la colonie, le tout est de savoir combien de diables pourraient vivre sur l'île Maria. YAHOO NEWS 22/4/2013 -
L'OMS lance une alerte dans le monde quant à une grippe aviaire H7N9
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Articles de presse, découvertes...
En Chine, les autorités sanitaires affirment que la grippe aviaire H7N9 s'est notamment propagée jusqu'à la province côtière de Shandong, dans le nord-est du pays. Selon les autorités, un homme de 36 ans de la ville de Zaozhuang, dans le Shandong, est traité dans un hôpital pour la grippe. C'est le premier cas confirmé dans la province. Elles affirment que la personne a commencé à souffrir de toux et de fièvre à la mi-avril, avant que les médecins diagnostiquent une pneumonie sévère dimanche. Son état est vraisemblablement critique. D'autres infections ont été confirmées dans les villes de Shanghai et de Pékin, ainsi que dans les provinces de Anhui, de Henan, de Jiangsu et de Zhejiang. 109 personnes ont été infectées par la grippe aviaire H7N9 en Chine, et 22 en sont mortes. NHK WORLD 23/4/2013 -
Du pétrole découvert au large de la Guyane !
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Actu - Infos PETROLE
PARIS - La campagne de forages pétroliers au large de la Guyane française a essuyé un deuxième échec, une nouvelle déconvenue qui amenuise les espoirs soulevés par une découverte d'or noir en 2011, même si Shell croit toujours au potentiel du site et poursuit la prospection. Un porte-parole de Shell a confirmé mardi à l'AFP cet échec annoncé un peu plus tôt par la compagnie pétrolière britannique Tullow Oil, qui est l'un des partenaires avec le Français Total de la campagne d'exploration pétrolière menée par le géant pétrolier anglo-néerlandais dans les eaux guyanaises. Le forage du puits GM-ES-3 ou Priodontes n'a pas rencontré les hydrocarbures espérés, a-t-il déclaré. Cet échec était à craindre depuis l'annonce la semaine dernière que le forage du puits à sa profondeur initiale avait fait chou blanc. Shell avait néanmoins décidé de creuser un peu plus loin (jusqu'à plus de 6.300 mètres au total, dont 1.750 mètres d'eau), mais sans plus de réussite. La couche cible n'avait pas donné de résultats et nous avons donc poursuivi l'exploration à une plus grande profondeur, mais cela n'a pas donné les résultats attendus, a expliqué le porte-parole. Le puits a donc été dûment rebouché et abandonné. C'est le deuxième échec successif essuyé par Shell, depuis que le géant pétrolier a pris la direction des travaux début 2012. [...]Ce nouvel échec vient rappeler la prudence toujours de mise en matière d'exploration pétrolière. Lors de la dernière réunion en mars d'une commission de suivi guyanaise, le patron de Shell France, Patrick Roméo, avait rappelé que l'exploration pétrolière est, par définition, un métier aléatoire, et qu'il n'est pas sûr que suffisamment de pétrole soit trouvé au final pour qu'il puisse être exploité. Et dans le cas où des réserves suffisantes seraient trouvées, une mise en production nécessiterait la construction d'importantes infrastructures pour l'extraction et le transport du pétrole, avec d'importants investissements en Guyane à la clef. Une éventuelle extraction ne serait donc pas envisageable avant la fin de la décennie. Néanmoins, malgré sa double déconvenue, Shell dit croire toujours au potentiel guyanais, et assure que les forages ,même infructueux, permettent d'améliorer sa connaissance du secteur. Les indices recueillis serviront pour la suite de la campagne de prospection. Il y a toujours de l'espoir et on croit toujours au potentiel de la Guyane, a assuré le porte-parole de Shell. Le creusement d'un nouveau puits, GM-ES-4, également surnommé Cebus, va ainsi démarrer dans une huitaine de jours selon la compagnie anglo-néerlandaise, le temps principalement de déplacer le navire de forage, le Stena Ice Max. Ce sera le 4e puits en tout foré au large de la Guyane (le 3e sous l'égide de Shell), et un 5e est prévu d'ici la fin de l'année. Ce nouveau forage va permettre d'évaluer une couche sédimentaire distincte des puits précédents, a précisé Shell. Autrement dit, il vise à détecter un éventuel gisement distinct de celui découvert en 2011. De son côté, Tullow a qualifié Cebus d'excellente cible de prospection. Enfin, le permis de Guyane Maritime a été renouvelé l'an dernier jusqu'en juin 2016, ce qui laisse trois ans à Shell et ses partenaires pour poursuivre leurs travaux d'exploration. Ils devraient ainsi déposer cette année une demande d'ouverture de travaux pour pouvoir procéder à de nouveaux forages au-delà des deux autres encore prévus en 2013. Ces opérations, qui suscitent les inquiétudes d'ONG environnementales, sont soumises à une réglementation qui va être bientôt renforcée avec la réforme en préparation du code minier. ROMANDIE 23/4/2013 -
Requins : quand les requins attaquent l'homme...
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de Admin-lane dans Actus - Infos : REQUINS
SAINT-DENIS DE LA REUNION (France) - Un arrêté municipal a restreint mardi les activités sur la plage de Saint-Pierre, au sud de l'île de la Réunion, après le signalement de la présence d'un requin par un surfeur qui a déclaré avoir été chargé par le squale, a-t-on appris auprès des pompiers. Le surfeur, dont l'identité n'a pas été communiquée, a déclaré aux maîtres-nageurs-sauveteurs avoir été chargé par une masse sombre qui a percuté le dessous de sa planche, vers 8h locales. Il n'a pas été blessé mais était en état de choc, selon les MNS. Des habitués du site - le spot de la Jetée - se sont déclarés surpris par la présence d'un requin à cet endroit, la zone n'étant pas considérée à risque. Des pompiers qui s'entraînaient à proximité n'ont pas confirmé non plus la présence d'un requin. Par mesure de précaution, la municipalité de Saint-Pierre a toutefois pris un arrêté municipal interdisant la baignade et toutes les activités nautiques à l'extérieur du lagon pendant 72 heures. La dernière attaque de requin remonte à août 2012 sur l'île. Un surfeur avait eu une jambe et un bras arraché à Saint-Leu(côte ouest). En 2011 et 2012, huit attaques de requin dont trois mortelles se sont produites à la Réunion, suscitant la controverse entre les autorités locales et les surfeurs sur les moyens à mettre en oeuvre pour sécuriser la baignade et les sports nautiques. ----->Ou comment réactiver la psychose du requin qui, rappelons-le est dans son élément. C'est nous, l'humain, l'envahisseur... ne l'oublions pas ! Il serait grand temps que ceux qui veulent profiter des vastes étendues d'eau prennent conscience qu'ils s'aventurent à leurs risques et périls ! Les animaux marins vont et viennent à leur guise à la poursuite de leurs proies (les poissons et autres animaux marins) ou tout simplement en suivant une trajectoire de migration... De plus, dans ces eaux il n'y a pas que les requins qui se baladent... ROMANDIE 23/4/2013 -
Actualités - informations sur les Pesticides
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Pollutions
PARIS - Les services du ministère de l'Agriculture maintiennent sur le marché des pesticides contre l'avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), dont sept jugés particulièrement toxiques, accuse mardi l'ONG Générations Futures, qui va porter plainte pour 'mise en danger de la vie d'autrui. De très nombreux pesticides, ou usages de pesticides, restent autorisés alors qu'ils devraient, selon l'Anses même, être interdits car non conformes aux exigences de la législation en vigueur, affirme l'ONG. Réagissant à cette information, le ministre de l'Agriculture Stephane Le Foll a appelé à la transparence et demandé à la Direction générale de l'Alimentation (DGAL), qui délivre les autorisations de mise sur le marché (AMM), de répondre point par point à toutes les questions posées par Générations futures. Ces informations doivent être rendues publiques au début de la semaine prochaine, a-t-il exigé, selon un communiqué. L'ONG base ses accusations sur deux lettres, dont l'une est datée du 27 août 2012, du directeur de l'Anses, Marc Mortureux, au directeur de la DGAL, Patrick Dehaumont. Dans ce courrier, M. Mortureux attire l'attention sur le maintien sur le marché des produits pour lesquels l'Agence avait émis un avis défavorable ou un avis favorable avec restrictions pour des raisons d'impact sur la santé ou sur l'environnement, des remarques qu'il avait déjà formulées dans un précédent courrier en 2009. Le président de l'Anses y joint, en annexe, une liste d'une quarantaine de pesticides problématiques. Générations Futures a alors effectué une vérification minutieuse des éléments contenus dans les tableaux annexés au courrier (...) sur la base des avis et des décisions d'AMM publiées en ligne récemment sur le site de l'Anses et sur les données publiées sur le site du Ministère de l'Agriculture (e-phy). Pour de nombreux pesticides, la DGAL a très rarement tenu compte des remarques faites par l'Anses, remarque l'ONG. C'est inacceptable, a déclaré son président, François Veillerette, lors d'une conférence de presse à Paris. Si les positions de l'Anses sont seulement consultatives, l'Agence sanitaire donne un avis scientifique par rapport à la règlementation européenne, a-t-il insisté. Depuis l'envoi de la lettre du directeur de l'Anses , il y a eu quelques modifications, mais très peu, a souligné François Veillerette. L'ONG a annoncé son intention de déposer cette semaine une plainte pour mise en danger de la vie d'autrui contre les fabricants des produits phytosanitaires et les représentants de l'Etat chargés des autorisations de mise sur le marché des dits produits pour avoir laissé en vente sept produits particulièrement toxiques. Ces cinq désherbants, dont certains sont vendus aux particuliers, et deux insecticides sont actuellement sur le marché alors qu'un avis défavorable a été rendu par l'Anses, révélant notamment des risques inacceptables pour l'applicateur ou le consommateur, écrit l'ONG dans sa plainte. Générations Futures appelle plus globalement au retrait du marché des pesticides pour lesquels une irrégularité ou une non-conformité par rapport aux exigences règlementaires a été constatée par l'Anses. ROMANDIE 23/4/2013 -
La liste de mollusques menacés d'extinction s'allonge en Suisse. Aujourd'hui, pas moins de 101 espèces d'escargots terrestres et aquatiques ou autres moules sont en danger, selon l'Office fédéral de l'environnement (OFEV). La nouvelle liste rouge des mollusques, sortie de presse mardi, constitue un outil juridique en matière de protection de la nature et du paysage. Gastéropodes et bivalves constituent un maillon important de la biodiversité en Suisse, relève l'OFEV. Au total, 270 espèces d'escargots et de moules ont été prises en compte. D'après les relevés des scientifiques, 101 d'entre elles sont considérées comme menacées. Trois espèces ont disparu de Suisse, dont l'Hélice glaciale, un escargot vivant à proximité des glaciers. Dix-neuf espèces sont en danger critique d'extinction. Parmi elles, l'Aiguillette ventrue, que l'on trouve encore dans quelques zones du Tessin ou la Perlée du Simplon, connue uniquement dans les gorges de Gondo (VS), où elle colonise les vertigineuses parois siliceuses et basiques. Les spécialistes ont recensé 41 espèces en danger, et 38 espèces vulnérables, auxquelles s'ajoutent 40 espèces "potentiellement menacées". Les gastéropodes et les bivalves vivant dans les milieux humides, comme les prairies humides, les sources et les petits cours d'eaux en plaine, ont le plus souffert. Mais diverses espèces liées aux prairies sèches se trouvent également en situation précaire. Les comparaisons avec la précédente liste rouge des mollusques, datant de 1994, sont hasardeuses, car les méthodes utilisées et les connaissances sont très différentes, affirme l'OFEV. Mais on peut considérer que l'état de la plupart des espèces menacées s'est détérioré depuis lors. Dans bien des milieux échantillonnés, on ne découvre plus que de vieilles coquilles vides d'espèces menacées. ROMANDIE 23/4/2013
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Défendre les droits des peuples autochtones de Russie
BelleMuezza a répondu à un(e) sujet de BelleMuezza dans Autres
Monsieur le Président, Selon ce que j'ai compris, le ministère de la Justice de la Fédération de Russie, a émis une ordonnance suspendant la charte de RAIPON, l'organisation qui représente les peuples autochtones de l'Arctique Russe. Je suis profondément préoccupé(e) par cette évolution. En effet, je crois que les peuples autochtones de l'Arctique sont les meilleurs gardiens des terres qu'ils habitent depuis longtemps. Et le silence de leur voix dans une conférence internationale, comme le Conseil de l'Arctique, va inévitablement conduire à la détérioration de l'environnement fragile de l'Arctique. Monsieur le Président, il est possible que le ministère de la Justice, suite à la nouvelle loi Russe sur les associations, ait identifié des infractions techniques que pourraient avoir commis RAIPON. Toutefois, ces irrégularités ne devraient pas empêcher cette organisation d'être le véritable et légitime représentant des peuples autochtones de l'Arctique. Pour l'amour de la belle nature nordique qui est le patrimoine de tous les peuples de la terre, je vous demande de faire tout ce qui est en votre pouvoir, pour faire en sorte que RAIPON continue à exister et représenter la voix des peuples de l'Arctique. Cordialement, CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION GREENPEACE 23/4/2013 -
Début : ? Fin : ? (pétition mise en ligne sur LANE le 23 avril 2013) Auteur : Greenpeace Cible : Vladimir Poutine Un jour avant l'ouverture de la réunion du Conseil arctique en Suède, les autorités russes ont suspendu les activités de RAIPON, principale organisation du pays représentant les peuples autochtones du Nord de la Russie. Elles fondent leur décision sur de soi-disantes incohérences dans les statuts de l'organisation. L'interprétation qui en est faite semble être une tentative à peine voilée par le gouvernement russe de faire taire les voix des peuples autochtones qui s'élèvent contre les dangers de l'extraction du pétrole dans l'Arctique russe. En signant cette pétition, l'occasion nous est donnée d'agir pour faire cesser cette censure... Inondons la boîte de réception du président russe Vladimir Poutine avec des millions de lettres, en exprimant notre profonde préoccupation au sujet de la suspension de RAIPON. Nous devons lui rappeler l'importance vitale et légitime de la voix des peuples autochtones dans le processus politique au sujet de l'Arctique, à la fois en Russie et sur la scène internationale. Vous pouvez apporter (ou non) des modifications à la lettre déjà préparée en restant courtois(e) et respectueux(se). Merci de tenir compte de cette mise en garde afin de préserver le sérieux et la crédibilité de l'intervention... (voir modèle de lettre message suivant) Ensemble, nous pouvons défendre l'Arctique et les droits de son peuple! CLIQUEZ ICI pour SIGNER la PETITION GREENPEACE AVRIL 2013
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Le marquage au fer rouge n’est qu’un rite d’initiation à l’enfer pour toutes les otaries qui arrivent jusqu’au barrage de Bonneville. Ce marquage jusqu’au sang semble encore douloureux, même 4 jours après. Photo: Sea Shepherd Il est difficile d’imaginer un endroit au monde qui méprise autant la faune marine que Taiji, au Japon... A l’exception des états de l’Oregon et de Washington aux Etats-Unis, au Nord-Ouest du Pacifique. C’est à Taiji, endroit tristement célèbre, que s’est déroulée notre campagne des Gardiens de la Baie (Cove Guardian), et à présent c’est sur le fleuve Columbia dans l’Oregon et l’état de Washington qu’a lieu notre campagne des Gardiens du barrage (Dam Guardian). Ces deux campagnes de "Gardiens" se déroulent toujours au sein de petites communautés de pêcheurs, loin des océans, lesquelles sont étrangement semblables dans leur manière de considérer les mammifères marins. Ces trois dernières saisons, nos Gardiens de la Baie se sont rendus dans le petit village côtier isolé de Taiji afin de surveiller le massacre de dauphins dans une petite crique peu profonde, à l’abri des regards et au sein d’un parc national. De la même manière, nous entamons ici notre deuxième saison dans l’Oregon et dans l’état de Washington, et notre but est de surveiller l’abattage sélectif (et légal) des otaries, dont le crime est de simplement manger du saumon. A Taiji, les pêcheurs qualifient les dauphins de "parasites". Et le long du fleuve Columbia, dans le port d’Astoria et au barrage de Bonneville, les pêcheries commerciales, de loisir ou autochtones traitent les otaries de la même manière. Et c’est le Service National de la Pêche Marine (National Marine Fisheries Service) qui autorise les états de l’Oregon et de Washington à tuer jusqu’à 92 otaries chaque année, jusqu’en juin 2016, parce qu’elles mangent du poisson. Dans notre premier rapport des Gardiens du barrage, nous décrivions le marquage violent de plus de 30 otaries dans le port d’Astoria, durant le dimanche des rameaux. Les otaries sont marquées de manière à repérer celles qui mangent le plus de saumon. Depuis, nous avons encore assisté à deux de ces épisodes agressifs. Vingt otaries ont été marquées le 27 mars. Le lendemain, un groupe de cinq otaries a également subi un marquage, le fer rouge enfoncé dans leur fourrure et leur chair sensible. Nos photos et vidéos montrent clairement des animaux se tordant de douleur au moment du marquage, et pour couronner le tout, l’employé se tient DEBOUT sur le dos de l’animal. Le Département de Pêche et de la Faune de l’Oregon (ODFW) doit quant à lui suivre notre campagne de près car par la suite, une déclaration publique a rapidement été faite, expliquant que "la plupart des otaries réagissent peu au marquage". En réponse à ces allégations, nous suggérons aux employés de l’ODFW de s’auto-marquer au fer rouge afin d’en tester les effets. Depuis le 1er avril, le quai est fermé au public. Nous sommes maintenant obligés de suivre le harcèlement et le marquage des otaries par l’ODFW à distance. Ils ont d’ailleurs sûrement demandé conseil aux pêcheurs de Taiji qui, durant les 3 dernières saisons, ont érigé des barricades pour cacher leurs agissements honteux des yeux et des jumelles attentives de nos gardiens. Malgré tout, certaines choses ne peuvent être cachées, comme le silence qui remplit la crique après l’abattage d’un groupe de dauphins, ou la fumée qui flotte au-dessus d’une otarie fraîchement marquée. Il n’existe aucun parfum qui puisse cacher l’odeur nauséabonde qui flotte dans l’air à Taïji, ou dans le port d’Astoria après une session de marquage. Malheureusement, nous savons bien que le marquage au fer rouge n’est qu’un rite d’initiation à l’enfer pour toutes les otaries qui arrivent jusqu’au barrage de Bonneville. Celles qui survivent au voyage risquent une injection létale si elles sont prises dans les dents du barrage. Bien qu’il ait beaucoup plu ces derniers temps aux environs du barrage, les employés de l’ODFW sont présent en grand nombre pour lancer des bombes et tirer des balles en caoutchouc sur n’importe quelle otarie se trouvant dans leur champ de vision. Le 5 avril, nous avons même pu observer un des employés de la commission intertribale de pêche (Columbia River Inter-Tribal Fish Commission (CRITFC) en train de pointer de manière menaçante une arme à feu sur une des otaries que nous avions vues cette semaine. Un employé de la CRITFC tirant dans l’eau à la moindre otarie en vue. Malgré les vents forts et les averses de ces derniers jours, les Gardiens du Barrage sont toujours là, et surveillent et filment les attaques répétées envers la faune ici à Bonneville et dans le port d’Astoria. Nous tenons à remercier Frances, Nin, David, Luana, Be, Eric, Kimber, Mike, Leslie, Stephan, Andrew, Elora, Scott, Jake, Dieynaba, Aaron, Ethan, Airick, Rachel, Sammarye et Jeff pour leur vigilance, car ils agissent pour le compte de nos clients, dont le seul crime est d'avoir l'audace de manger pour survivre. Les Faits: • Les lions de mer consomment entre 0,4% et 4,2% des 80.000 à 300.000 saumons qui fraient dans la rivière Columbia, chaque année. • Les barrages le long du fleuve Columbia sont responsables de la perte des saumons juvéniles à hauteur d'environ 60% et jusqu'à 17% des saumons adultes. • l'activité de pêche de l'homme prend environ 17% des saumons adultes dans la rivière. • Des espèces introduites (non natives de ces eaux) pour la pêche de loisirs ou sportive, consomment jusqu'à 3 millions de jeunes saumons par an. • Les prises accessoires de saumons du fleuve Columbia dans les pêcheries océaniques contribuent également à la diminution du saumons dans le fleuve Columbia. ----->Cette situation me révulse à un point que personne ne peut imaginer... ! Car en réalité les otaries ne sont pas responsables de la diminution du saumon. Ce sont les barrages construits sur les divers fleuves qui en sont la cause première associée à la surpêche et la dégradation de la qualité de l'eau... Et tout ça n'a qu'une seule cause : nous les humains ! -> Je n'ai pas trouvé de vidéo... Si vous avez un lien à communiquer. MERCI ! Suivre Sea Shepherd sur Twitter (@DamGuardians) et sur Facebook Sea Shepherd USA . Pour rejoindre notre équipe de bénévoles dévoués, envoyez un mail à: damguardian@seashepherd.org. SEA SHEPHERD 10/4/2013 - SEA SHEPHERD.ORG avril 2013
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Le 22 avril la Terre a tremblé au Mexique : un séisme de magnitude 5,9 (d’abord estimé à 6,2) a été enregistré. Selon l’USGS, son origine se situerait environ 25 km au nord-est de la ville portuaire de Lázaro Cárdenas (État de Michoacán), à 28,5 km de profondeur. Les secousses sismiques ont été perçues jusqu’à Mexico, à 325 km de là. Plusieurs bâtiments ont été évacués mais, comme pour le Japon, aucune perte humaine, ni même aucun blessé, n’est à déplorer. FUTURA SCIENCES 23/4/2013