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BelleMuezza

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Tout ce qui a été posté par BelleMuezza

  1. Le léopard des neiges prospère en Afghanistan Des bonnes nouvelles comme celle-ci sont plutôt rares... Dans un communiqué de presse publié le 13 juillet, la Wildlife Conservation Society a révélé la découverte d'une population saine de léopard des neiges dans le corridor des montagnes de Wakhan en Afghanistan. Les « rangers » formés par WCS ont installé des caméras pièges à 16 endroits différents dans l'ensemble de la région afin d’obtenir des informations sur ces félins rares. Les résultats de leurs observations font part d’un nombre important de clichés de Leopards des neiges en Afghanistan. «C'est une merveilleuse découverte — Elle montre qu'il n'y a encore un espoir pour cet animal fabuleux en Afghanistan. Le léopard des neiges est également appelé panthère des neiges ou encore «once» (ce que beaucoup de cruciverbistes savent). "Peter Zahler, directeur adjoint de WCS pour les programmes en Asie, a déclaré dans le communiqué de presse. « Maintenant l’objectif est, pour l’avenir, d'assurer que ces magnifiques animaux continuent à prospérer en toute sécurité, pour préserver un élément clé du patrimoine naturel de l'Afghanistan. » Le léopard des neiges est une espèce menacée native des hautes montagnes de l'Asie centrale, à une altitude entre 9 800 et 17 000 pieds, soit environ entre 3000m et 5000m. WCS estime que seulement 4 500 à 7 500 léopards des neiges subsistent à l'état sauvage. Les experts estiment que cette population a baissé de 20 % au cours des 16 dernières années. Les félins réputés insaisissables sont menacés par les bergers, les captures illégales pour les animaleries exotiques et les braconniers qui convoitent leur superbe fourrure tachetée pour en faire des manteaux. WCS développe plusieurs initiatives de conservation pour protéger les léopards des neiges en Afghanistan. Le groupe s'associera avec les communautés locales pour les sensibiliser sur l’espèce et formera des rangers (gardes forestiers) supplémentaires. Les écoles de la région de Wakhan ont déjà commencé à intégrer dans leur programme scolaire des leçons sur la protection de l'environnement et 59 rangers ont été formés pour surveiller la population de léopard des neiges et faire respecter les lois et lutter contre le braconnage. «Nous croyons que les léopards des neiges pourront, à long terme, subsister en Afghanistan» dit Anthony Simms, conseiller technique WCS. .Care2
  2. Bientôt de nouvelles photos des loulous qui ont bien grandi... et Fox qui a aujourd'hui 1 an... Mais ce qui me préoccupe en ce moment c'est la santé de la maman d'adoption de notre petit Shiiro ou Jiro (en fait c'est selon comment on prononce son nom) et de Yuki et Fox. Elle ne semble pas s'adapter à la vie en appartement après avoir connu la vie en liberté. Aujourd'hui elle est vaccinée et stérilisée... Mais il faut l'entendre parfois miauler comme avec désespoir. Un soir, en attendant sa mère miauler, mon petit Yuki a dévalé les marches au moment où nous sortions faire un tour... Nous l'avons récupéré sur le paillasson de ma voisine... Comme s'il voulait répondre à une sorte d'appel ! En plus elle est malade, la semaine dernière trois visites chez le vétérinaire ont été nécessaires... Le véto hésite entre trois possibilités : Herpès, Calcivirus et PIF. Elle a des ganglions enflammés dans la gorge, le palais et les machoîres tellement rouges tellement c'est enflammé. Elle reste longtemps prostrée et s'isole, de la fièvre qui fluctue et surtout elle s'alimente pas ou très peu et boit également peu... Rejette totalement les derniers petits, (trois) qui sont encore avec elle... Cela nous a facilité la tâche pour la séparation rendue nécessaire au cas où ... Ah oui, le véto lui a fait les test FIV et FELV : négatifs. A la troisième visite, le véto a donné un traitement pour le calcivirus avec des piqûres à lui faire à domicile si son état ne s'améliore pas. La voisine qui a récupéré notre petite mère : Nénette, me tient au courant puisque nous lui donnions à manger (ainsi qu'à dautres chats sans toit) lorsqu'elle était dehors. Qu'auparavant elle avait récupéré une de ses filles "Eden"(stérilisées elle aussi) d'une portée précédente à mon petit (devenu grand) Fox.... Hier soir, c'est moi qui lui ai fait sa première piqûre. Maintenant j'ai l'habitude de le faire puisque j'ai dû intervenir moi-même pour l'un de mes petits vieux : Cheyenne et, ce à plusieurs reprises et surtout durant la période où je devais lui faire des injections d'insuline. En général après la piqûre (corticoïdes) elle semble soulagée et mange un peu. Pour le moment elle est au régime pâtée... Ma voisine se donne encore jusqu'à septembre pour décider de ce qui sera le mieux pour elle : La remettre en liberté dans son environnement ou la placer chez des gens ayant un pavillon afin qu'elle puisse aller librement dehors si elle en a envie... J'avoue que la situation m'interpelle car aucun des chats récupérés et sauvés n'a manifesté un tel comportement... des maladies, oui, j'ai eu à en traiter, mais pas le côté appel de l'extérieur... Je vous tiendrai au courant ...
  3. Je n'y croyais pas et... pourtant ! Je n'y croyais pas à cause des délais très courts : 48heures... Une fois encore, votre mobilisation a été EXTRAORDINAIRE. Vos SMS et vos DONS vont permettre à Réflexe Adoption de sauver les 3 juments et leurs poulains. Vous leur avez sauvé la vie ! A très bientôt pour des nouvelles de nos amis. Clic Animaux
  4. Quelques-uns des animaux transportés à l'occasion de ce convoi... photo JEARS Bien à l'aise et "confortables" ces loulous qui ne semblent absolument pas perturbés par le transport... photo JEARS Pour ce chatounet, le transport a été moins confortable pour lui et ses amis (animaux et humains) car il n'a fait que miauler durant le trajet, tellement il était inquiet de changer d'environnemment.... Mais il ne savait pas, avant d'y arriver, qu'un plus grand confort l'attendait à destination ! Photo JEARS Un des camions transportant des animaux et des aliments pour animaux de compagnie.
  5. Après quelques jours de silence radio, voici des nouvelles de JEARS... Il faut savoir que l'association et les bénévoles étaient occupés à conduire des aliments et autres produits indispensables vers les centres d'hébergement d'urgence et à transférer des animaux vers de nouveaux refuges, plus sûrs et mieux adaptés. Aujourd’hui JEARS nous parle d’Heber et son ami Elloy originaires du Brésil. Quand Jears a fait appel à des bénévoles pour participer à un convoi de Fukhushima, ils ont été parmi ceux qui ont spontanément offert leur aide. Ils n’ont pas hésité une seconde bien que la durée du voyage prévu soit de 15heures. Pour eux, transporter des aliments pour les animaux qui ont besoin d’être secourus est indispensable ainsi que de transporter certains des rescapés de Fukushima vers les nouvelles installations de Tokushima. C’était pour eux tellement important, qu’ils n’auraient voulu, pour rien au mande, manquer cette occasion de venir en aide à tous ces animaux… A cette occasion, JEARS précise que tout cela ne serait possible sans tous les dons généreux de la communauté et tient à remercier tous les partisans et sympathisants de leur soutien constant. Photo JEARS Sur cette photo : Heber (conducteur), Elloy Da Busti.
  6. Comme vous pouvez le constater, la surpêche est l'une de mes préoccupations, car elle met en péril l'avenir des générations futures... Comme d'ailleurs la surexploitation des terres cultivables, la sur-utilisation de pesticides, la déforestation et autres... Nous sommes à l'aire du toujours plus... sans penser aux lendemains... Les gens ordinaires, comme vous et moi avons conscience des méfaits de ces surexploitations tout azimut... Je reste persuadée que ceux qui en sont à l'origine en ont également conscience... qu'une petite voix leur dit... attention... mais que cette conscience est vite étouffée par l'appât du gain... Que feront-ils de leur argent quand il n'y aura plus rien à exploiter... que tout sera mort par leur faute... Ils s'en prendront probablement à ce qui restera de l'espèce humaine !!! Il serait largement temps que nous, le peuple, nous exercions notre volonté de dire que cela suffit. Pour cela il faut se regrouper, rejoindre les associations existantes qui nous représentent pour défendre l'avenir des nôtres et de ceux des autres espèces, animales ou végétales, sans lesquelles l'humanité ne peut subsister... Qui sait... peut-être une révolution du ras-le-bol ! Quand je vois que la commission balénière internationale vient de prendre des dispositions contre Sea Shepherd suite à ses interventions "pacifiques" à l'encontre de la flotte industrielle japonaise à la chasse aux baleines pour de soit-disant études scientifiques.... Alors que maintenant nous savons que c'est faux... selon les aveux même d'une certaine partie de l'élite japonaise... Même si ce sujet me préoccupe, je ne possède pas suffisamment de données pour pouvoir en parler. La seule solution : rechercher les informations qui permettront à chacun de mieux connaître la situation et mesurer l'ampleur des dégâts afin que tous nous puissions agir.
  7. Gestion restauratoire de la ressource Quelques expériences positives ont montré qu'une gestion rationnelle et des prélèvements raisonnables permettaient de restaurer et protéger une ressource. De nombreux dispositifs de récifs artificiels sont expérimentés dans le monde. Autour de Sainte-Lucie, une Aire marine protégée soutenue par le FFEM, a en 10 ans multiplié par 4 la biomasse de poissons dans la réserve naturelle, et elle a triplé aux alentours de cette dernière, alors que la diversité des espèces se reconstituaient également ; ce qui a permis aussi de calmer les conflits qui opposaient les pêcheurs à ceux qui voulaient protéger les fonds et les poissons, notamment pour le tourisme, les pêcheurs tirant ici aussi des avantages du tourisme. Toutefois, un DCP placé dans un environnement appauvri risque de ne faire que déplacer le poisson, voire faciliter sa surexploitation. .Wikipedia
  8. Vers des solutions plus durables Pour commencer, il faut savoir que le poisson, avec 16% des protéines absorbées par l’Homme est une source de nourriture très importante pour l’alimentation d’1 milliard de personnes, surtout dans les pays du Sud. La pêche est capitale pour l’économie et la sécurité alimentaire de beaucoup de pays pauvres, particulièrement en Asie du Sud-Est. Les consommateurs à fort pouvoir d’achat demandent surtout des poissons à chair blanche, frais ou congelés. Les espèces à faible valeur ajoutée sont consommées sur place, essentiellement de petites espèces pélagiques sous forme salée. Une partie de ces espèces (30% des prises totales) est transformée en farine ou en huile. En 2010 la demande en poisson devrait-être entre 100 et 120 millions de tonnes ce qui provoquera une augmentation des coûts. Les solutions intuitives telles que réduire l'effort de pêche quand une ressource diminue ne fonctionnent pas dans le domaine de la pêche. Ainsi depuis 1950, 25 % des populations de 1.519 espèces étudiées par Mullon et ses collègues se sont effondrées dont un cinquième, brutalement et sans signes avant-coureurs, après un plateau de production. Contrairement aux apparences, la stabilité d'une pêcherie n'est donc pas un indicateur de bonne santé de la ressource, ni de sa bonne gestion ; Dès qu'un certain seuil minimal de succès de reproduction n'est plus atteint, la population pêchée peut s'effondrer en quelques années. Et cette régression est souvent masquée pour le public par une efficacité accrue des moyens de pêche, ou un effort de pêche plus intense ou déplacé ailleurs. Pire ; arrêter de pêcher une espèce ne suffit pas toujours à en restaurer la population, même après plusieurs décennies, et probablement pour toujours quand une autre espèce est devenue dominante et que les communautés animales et végétales se sont réorganisées, selon d'autres rapports prédateur-proie. Face à l’exploitation généralisée des mers au profit des capitaux et bénéfices de court terme, une pêche soutenable voudrait préserver l’économie de subsistance des populations locales pour assurer la sécurité alimentaire, la survie économique et la préservation des cultures. Elle se traduit par exemple par l'écosociolabel MSC (pour Marine Stewardship Council) délivré sur la base de critères de durabilité environnementale, sociale et économique. Une des solutions proposées est de changer la gouvernance de la pêche, par exemple avec un partage des prises, pour sortir du cercle vicieux de la concurrence qui pousse à exploiter une ressource, de crainte que d'autres ne le fassent avant soi. Il s'agirait en quelque sorte de privatiser une part de la ressource. La théorie bioéconomique et des études de cas (sur la base de données récoltées de 1950 à 2003) suggèrent en effet que des quotas raisonnables et des droits partagés de capture pourraient mieux inciter à des récoltes individuelles plus durables et moins sujettes à l'effondrement et qui pourraient même inverser la tendance mondiale à l'effondrement généralisé. Une difficulté reste la gestion et surveillance de la ressource et des captures dans les eaux internationales. .Wikipedia
  9. Mesure et évaluation Il m'a semblé intéressant de savoir comment était mesurer et évaluer la question de la surpêche et j'ai trouvé la réponse dans le dossier Wikipedia, l'un de meilleurs et plus complets sur le sujet... Sur la base d'indicateurs qualitatifs et quantitatifs, des scientifiques produisent depuis quelques décennies des rapports de plus en plus précis, par pays et par régions (Europe), mais des données précises permettant de dégager des tendances ne sont disponibles que depuis 1950 environ. Des ONG telles que WWF et Greenpeace s'intéressent aussi aux questions de protection et restauration des ressources halieutiques. Il faut savoir quand même que les bases de données sont relativement récentes... et ont été constituées face à l'aggravation de la situation. - Le « Sea Around Us Project », qui depuis 1999 met en place une base de données mondiales sur l'impact des pêcheries sur la biodiversité, en partenariat avec le Centre des pêches de Philadelphie et du « Pew Charitable Trusts », pour fournir aux chercheurs du monde entier, aux pêcheurs et au public intéressé, des données quantitatives et qualitatives sur l'impact de la pêche sur les écosystèmes marins du monde depuis 1950. Ces données sont géoréférencées sur un SIG (système d'information géographique) pour dresser une" carte mondiale des captures de pêches de 1950 à aujourd'hui", nécessaire à une bonne gestion des ressources halieutiques et à sa restauration. Contrairement à d'autres bases, celle-ci ne s'intéresse pas qu'aux poissons de valeur commerciale, mais aussi aux poissons rejetés, prises accessoires, invertébrés marins, mammifères marins, et d'autres composants de la biodiversité marine. Cette base fournit des données sur les zones de pêche des pays, sur le type de poissons pêchés. Des modèles plus précis vont pouvoir s'appuyer sur des études régionales, notamment pour la Malaisie, l'Amérique du Sud, l'Océan Indien, le Japon. Il s'agit aussi de mesurer les impacts directs et indirects sur la biodiversité et en particulier sur le réseau trophique qui alimente la pêche. Cette base a été créée par le biologiste Daniel Pauly, directeur du Centre de recherche sur les pêches de l'Université de la Colombie-Britannique à Vancouver qui dirige toujours ce projet en 2009. Il compte parmi les premiers scientifiques à avoir alerté le grand public sur les conséquences de la surexploitation de l'océan par les pêcheries industrielles et il estime qu'une réduction de l'effort de pêche des grandes flottes industrielles permettraient de conserver un nombre d'emploi plus important dans la pêche artisanale. - FishBase, autre grande base de donnée mondiale, développée par le WorldFish Center avec la FAO et de nombreux autres partenaires (dont le Muséum en France), avec le soutien de l'ONU et de la Commission européenne (CE) et d'un consortium de sept grandes institutions de recherche. Elle concerne la quasi-totalité des poissons ayant actuellement fait l'objet d'une description scientifique. Elle vise à aider les pêcheurs et vendeurs de poissons à mieux identifier et dénommer les poissons et espèces qu'ils pêchent ou rejettent (La bonne identification des espèces étant nécessaire à la traçabilité du poisson et à sa bonne gestion et à la fiabilité et intercomparabilité des statistiques). Plus largement, elle offre une information utile aux professionnel du monde de la pêche (des scientifiques aux gestionnaires en passant par les pêcheurs amateurs). Cette base de donnée est pour partie collaborative (ex : appel à collaborateurs (pour la révision des données notamment), à photos et à données scientifiquement sourcées sur les profondeurs maximales auxquelles chaque espèce de poisson a été pêchée ou rencontrée). .Wikipedia
  10. Evaluation de la FAO sur les espèces impactées par la surpêche La FAO (organisation des Nations unies pour l’agriculture et l’alimentation) estime à 77% la proportion d’espèces de poissons impactées à différents degrés. 8% serait épuisées, 17% surexploitées et 52% exploitées à leur maximum. Les prises de poissons ont atteint un maximum de 100 millions de tonnes en l’an 2000 mais la production stagne depuis 1990 alors que les capacités de pêche ne cessent d’augmenter. Les individus capturés sont de moins en moins gros et de plus en plus jeunes. La proportion des prises de niveaux trophiques bas a augmenté. Les navires-usines exploitent de plus en plus de zones (ouest de l’Afrique, océan Indien, Pacifique du sud-est…), pêchent toujours plus profond, capturant de nombreuses espèces et endommageant des écosystèmes (via les chaluts notamment). La pêche technologique a entraîné une augmentation rapide des prises accessoires. 25% des poissons (27 millions de tonnes) qui sont péchés sont rejetés morts à la mer car ils n’appartiennent pas aux espèces souhaitées. Des dauphins, des tortues et des oiseaux marins (100.000 albatros par an) sont aussi capturés et tués par les filets. Les lignes appâtées ou les filets perdus ou abandonnés en mer sont autant de pièges mortels pour ces animaux. Les espèces préférentiellement pêchées sont des carnivores apicaux (qui occupent le sommet des chaînes alimentaires) qui ont une forte valeur ajoutée sur les marchés des pays développés, mais qui sont aussi ceux qui ont le plus bioconcentrés les polluants, dont le méthylmercure. Cette spécialisation de la pêche a des conséquences graves sur les réseaux trophiques, jusqu’aux mammifères marins et aux oiseaux, par exemple : Au large de Terre-Neuve, la raréfaction des poissons a entraîné une diminution de la taille moyenne des baleines à bosses qui fréquentent ces eaux. On a vu des migrations de phoques affamés depuis le Groenland vers les côtes du Canada. En Europe, dauphins et marsouins semblent descendre vers le sud alors que l'atlantique nord est surexploité. La disparition de la morue et d’autres prédateurs au large des États-Unis a entraîné une prolifération d'herbivores qui a provoqué un fort déclin des forêts d’algues. On observe une modification de la structure des communautés et de la diversité génétique par la sélection d’espèces ou de classes de taille. Cette pression sur les habitats les rend plus sensibles aux invasions biologiques, aux perturbations et aux pollutions. En février 2008, le PNUE a conclu sur la base d’un rapport intitulé « In Dead Water » que le réchauffement climatique exacerbait l'impact de la pollution, des espèces invasives et de la surpêche dans les principales zones de pêche de la planète, ce qui peut engendrer un triple problème ; écologique, économique et de développement. 10 à 15% de l’océan mondial est directement concerné par la surpêche selon l'ONU mais avec des impacts qui affectent ou affecteront « au moins les 3/4 des principales zones de pêche du monde ». On observe déjà une dégradation des océans, alerte l’ONU (qui avait en 2004 déjà signalé plus de 100 « marines dead zones (zones mortes) » dans les baies ou en aval d’estuaires ou en mers fermées. Toujours selon l'ONU, des millions de personnes dépendent de la pêche, surtout dans les pays pauvres et près de 2,6 milliards consomment couramment des protéines issues des produits de la mer (et l’écobilan de la pisciculture industrielle reste discuté). De plus, 80 à 100% des récifs coralliens du monde sont menacés de blanchiment, dégradation ou disparition par la montée des océans. On craint enfin une accélération de l'acidification des océans induite par le CO2, qui pourrait aggraver ces problèmes en affectant aussi les petits organismes planctoniques à la base de la chaîne alimentaire. .Wikipedia
  11. Surpêche : une dimension planétaire La surpêche n'a pu prendre une dimension planétaire qu'au XXe siècle, avec les moyens industriels et énergétiques le permettant. Sont actuellement concernés par la surpêche : - la sardine en Californie, - l'anchois au Pérou, - la morue à Terre-Neuve, - ou le hareng en mer du Nord. Dans la remontée d'eau (« upwelling ») du Nord Benguela (ou front Angola-Benguela au large de la Namibie), la surexploitation a provoqué un spectaculaire effondrement des populations de sardines (Sardinops sagax) (tonnages passé de 1,5 million de t/an de sardines en 1960 à seulement deux sardines pêchées lors d'une campagne scientifique en 2007). Il en va de même pour les anchois (Engraulis encrasicolus, ex E. capensis) et le merlu qui ont laissé la place à un écosystème appauvri peuplé d'espèces primitives telles que bactéries, éponges, macro-algues, méduses, oursins. Ailleurs, les populations de flétans et de thons rouges ont diminué de 90%. 95% de la population des anguilles d'Europe ont disparu. Cette espèce, considérée autrefois comme la plus résistante, est depuis 2007 classée comme espèce menacée et protégée en Europe. Le braconnage des civelles n'est qu'une des causes de sa régression. D'autres espèces de poissons ont depuis rejoint ces espèces surpêchées. .Wikipedia
  12. La prise de conscience par le plus grand nombre de l'existence d'une surexploitation des ressources halieutiques est récente. En 1609 dans son Mare Liberum, le juriste Grotius, fondateur d'un droit international basé sur le droit naturel pouvait encore écrire : « La pêche en mer est libre, car il est impossible d’en épuiser les richesses ». Des poissons encore aussi communs dans les années 1950-1960 que le cabillaud de l’Atlantique, le haddock de la mer du Nord et le thon rouge de l’Antarctique ou que l'anguille d'Europe figurent aujourd'hui avec une centaine d'autres sur la liste des espèces menacées. La surpêche n'est pourtant pas un phénomène tout à fait nouveau ; à titre d'exemple : - la surpêche du saumon date au moins de plusieurs siècles, comme en témoignent certaines des gravures illustrant l'Encyclopédie de Diderot (au XVIIIe siècle). Ces illustrations décrivent précisément des systèmes sophistiqués de filets ou de barrages posés sur toute la largeur d'un cours d'eau, permettant déjà de capturer la quasi-totalité des saumons remontant ces cours d'eau. - Un peu plus tard, la pêche intensive de la sardine en Baie de Douarnenez (France) a montré les limites de méthodes si efficaces qu'elles ont en quelques décennies fait régresser ou localement disparaître une ressource qui paraissait antérieurement inépuisable. Au XIXe siècle, les pêcheurs du nord de la France sont sauvés par la pêche hauturière et la Morue de Terre-Neuve, mais ils voyaient déjà la ressource halieutique locale se raréfier. (« On fait ici la pêche de la morue , du hareng, du maquereau ; mais tous ces poissons, qui se tenaient volontiers jadis sur nos côtes, se rejettent depuis plusieurs années sur la côte d'Angleterre. Nos pécheurs en souffrent beaucoup » commentait en 1825 F.J. Grille qui cite (en 1925) quelques hypothèses d'explication ayant cours à l'époque. Divers systèmes se sont élevés les uns contre les autres, tous fondés (ce qui est singulier) sur des faits faciles à constater. Les uns ont dit : Nous trouvons la cause de la disparition des poissons dans la tendance des mers à s'éloigner de nos rivages pour se porter sur les rives opposées. - Les harengs ont suivi les courants et, en rassemblant là-dessus les observations, on trouve que la mer se retire insensiblement depuis Dunkerque jusqu'à Cherbourg ; elle a quitté successivement les dunes du Rosenthal, de Mardyck, les plaines de Bourbourg, d'Ardres, de Saint-Omer. Entre les caps Blanez et Grinez, elle a délaissé l'ancien port de Wissant ; l'embouchure de la Liane, à Boulogne-sur-Mer, forme des atterrissements, et les travaux qu'on fait à Saint-Valery et au Crotoy parlent en faveur de notre système. Il faut toute la force des eaux de la Seine pour empêcher les bancs de sable de s'étendre en face du Havre. Mais des sables s'entassent à l'embouchure de l'Orne. Ouistreham, qui voyait les marées battre les murs de son église, en est maintenant séparé par une large prairie. Les marais d'Hermanville sont desséchés et cultivés. La mer se retire du Calvados ; elle a abandonné, près de Bernières, à trois lieues de Caen, un vaste territoire qui fut autrefois une forêt... Tous ces faits sont très-graves et paraissent concluants. Mais d'autres, remontant moins haut, signalent les envahissements des mers aux caps Gris et Blanc nez même, déjà cités, et que rongent les vagues ; ils montrent du côté d'Etaples, et plus à l'est, vers le Portel, des invasions récentes , et qui sembleraient annoncer le retour des eaux vers nos cotes. Entre ces phénomènes, notre esprit demeure incertain, et, tout ce que nous pouvons faire, c'est de livrer nos remarques à l'étude des physiciens et à l'attention des géographes.) » .Wikipedia
  13. Définition de la surpêche On parle de surpêche quand l’augmentation des capacités de capture entraîne ; une diminution du nombre de prises,, voire la disparition plus ou moins locale de certaines espèces une diminution de la taille moyenne et de l'âge des prises (qui correspond à une perte de niveaux trophiques) une diminution du poids moyens des prises (individus plus jeunes, ou éventuellement sous-alimentés) la régression du stock d'individus aptes à se reproduire (sachant que le nombre d'œufs fécondés et pondus est bien plus élevés chez les poissons ayant atteint leur pleine maturité) Ces signes quand ils sont groupés indiquent que l’espèce est pêchée plus vite qu’elle ne peut se reproduire et se maintenir. Mais il n’est pas toujours facile de précisément distinguer quand un seuil critique est dépassé, ni les rôles respectifs de la pêche et d'autres facteurs environnementaux (surtout climatiques ou liés à la pollution ou à l'introduction d'espèces invasives ou de parasites) dans la baisse de certains stocks de poissons. De plus les dérèglements climatiques induisent des modifications (naturelles ou non) des courants ou des apports terrigènes via les estuaires, et certaines populations de poissons ou de crustacés peuvent se déplacer, pouvant localement laisser croire à une amélioration de la situation ou au contraire à une régression. On observe par exemple une remontée vers le nord de certaines populations de poissons. Des poissons peuvent ainsi donner localement l'impression de disparaitre ou de réapparaitre dans une région pour d'autres raisons que la pression de pêche. Seules une gestion partagée et une surveillance scientifique générale des "stocks" peuvent donner une idée globale des ressources marines halieutiques. Peche exesive conduisant a un épuisement de stocks de poissons. .Wikipedia
  14. Hitachi en première ligne pour la construction d'une nouvelle centrale nucléaire en Lituanie Le géant japonais de l'électronique Hitachi a annoncé avoir obtenu des droits de négociation préferentiels dans le cadre de l'appel d'offre lancé par la Lituanie pour la construction sur son sol d'une nouvelle centrale nucléaire. Le pays Balte doit faire face à des coupures d'électricité depuis qu'il a fermé en 2009, pour des raisons de sécurité, une centrale construite pendant la période soviétique sur le modèle de celle de Tchernobyl. .nhk 15/07/2011
  15. Le président russe Dmitry Medvedev apporte le soutien de son pays au Japon Le président russe, Dmitry Medvedev, a déclaré jeudi que son pays aiderait le Japon à surmonter la double catastrophe du 11 mars. M. Medvedev a annoncé que la Russie exporterait des ressources énergétiques à son voisin japonais pour prévenir de possibles coupures d'électricité après l'accident nucléaire de Fukushima. .nhk 15/07/2011
  16. La Commission baleinière internationale adopte une résolution contre les activités de sabotage de Seashepherd La Commission baleinière internationale a adopté une résolution soutenant les efforts visant à prévenir les opérations de sabotage menées par l'organisation anti-chasse Sea Shepherd. La résolution, proposée par le Japon, a été adoptée à l'unanimité jeudi, dernier jour de la réunion annuelle de la Commission à Jersey, une des îles britanniques de la Manche. C'est la première fois que l'organisation baleinière mentionne spécifiquement Sea Shepherd dans une de ses résolutions. Les activités d'obstruction du groupe écologiste ont forcé le Japon a interrompre en février le programme de chasse à la baleine qu'il mène à des fins de recherche. A Jersey, les discussions ont également porté sur l'impasse dans laquelle se trouvent actuellement les pays pro et anti-chasse, impasse qui empêche la Commission baleinière de prendre des décisions sur un certain nombre de problèmes. Les pays participants n'ont pu que confirmer qu'ils continueraient leurs discussions. Le blocage actuel a encore été souligné après que le Brésil et l'Argentine ont proposé la création d'une zone protégée dans l'Atlantique sud. La réunion a été perturbée pendant plusieurs heures au moment du vote. .NHK 15/07/2011
  17. Des réfugiés de Fukushima ont pu assister au 14 Juillet La France a choisi cette année de célébrer la fête nationale du 14 Juillet à Koriyama, dans la préfecture de Fukushima. Une initiative symbolique, souhaitée par l'ambassadeur Philippe Faure, et destinée à témoigner du soutien de la France à la reconstruction des zones sinistrées le 11 mars. L'évènement organisé à travers le monde en souvenir de la Révolution française de 1789 est habituellement fêté à la résidence de l'ambassadeur à Tokyo. Cette fois, plus de 500 réfugiés étaient invités. Il s'agissait pour la plupart de personnes ayant dû quitter leur maison à cause de l'accident nucléaire à la centrale de Fukushima et de la diffusion des substances radioactives. Les célébrations se sont tenues en présence du ministre français de la Culture et de la Communication Frédéric Mitterrand. Dans son discours, M. Mitterrand a déclaré qu'il était temps de souligner les liens d'amitiés entre les deux pays. Il a espéré que Tokyo et Paris renforcent leurs échanges. "Je vois partout ici les signes de la volonté, les signes de la dignité et les signes du courage", a-t-il ajouté. Intervenant à la suite du ministre, le gouverneur de Fukushima Yuhei Sato a remercié le gouvernement français d'avoir choisi d'organiser un évènement de cette importance dans sa préfecture. Il a également émis l'espoir que la crise nucléaire sera résolue avec l'aide de la France. Ensuite, les invités ont pu profiter du buffet préparé par des chefs de restaurants français de Tokyo, avec des ingrédients de la préfecture, des légumes et du boeuf notamment. Ils ont également pu profiter du bal musette organisé pour l'occasion. Une réfugiée s'est dit reconnaissante et a émis le souhait de pouvoir échanger quelques mots avec des Francais, dans leur langue. NHK 15/07/2011
  18. La Chine double ses quotas d'exportation de terres rares La Chine va doubler ses quotas d'exportation de terres rares. Cette annonce fait suite à une mise en garde de l'Organisation mondiale du commerce affirmant que la limitation par le pays de ses exportations constituait une violation des règles commerciales. La Chine produit plus de 90 pour cent des terres rares échangées dans le monde, ces précieux métaux indispensables à la production de matériel électronique ou de batteries. Le ministère chinois du Commerce a annoncé jeudi que les quotas d'exportation seraient au deuxième semestre de 15 738 tonnes. Cela ramènera le quota annuel à son niveau de 2010, à l'époque légèrement supérieur à 30 000 tonnes. Ces dernières années, la Chine a réduit ses exportations, provoquant une augmentation des prix sur les marchés internationaux. Les Etats-Unis et l'Union européenne ont menacé de déposer une plainte à l'Organisation mondiale du commerce, l'OMC, considérant que la politique de contrôle des exportations menée par la Chine constituait une violation des règles fixées par l'organisation. Selon les experts, l'annonce de la Chine vise à prévenir de telles critiques de la part des pays occidentaux. .NHK 15/07/2011
  19. [size=18]Goshi Hosono juge difficile de contruire de nouveaux réacteurs nucléaires au Japon/size] Le ministre en charge de la Crise nucléaire juge faibles les chances de voir le Japon construire de nouvelles centrales nucléaires. Devant la presse vendredi, Goshi Hosono a déclaré que la gravité de l'accident en cours à la centrale de Fukushima rend difficile pour l'Archipel d'envisager la construction de nouveaux réacteurs. Evoquant la proposition émise par le premier ministre Naoto Kan de réduire la dépendance du Japon au nucléaire, il a précisé qu'elle se fondait sur un constat de la réalité, et n'était pas une vue de l'esprit. M. Hosono a par ailleurs insisté pour que progressent les débats sur la loi de promotion de l'utilisation des énergies renouvelables, des débats qui ont commencé hier. .NHK 15/07/2011
  20. Origine de la contamination radioactive du bétail Du foin hautement contaminé originaire de plusieurs fermes de la préfecture de Fukushima avait été laissé à l'air libre au moins quatre jours après la catastrophe du 11 mars. D'après la préfecture, du foin a été prélevé dans sept fermes de Shirakawa, une ville située à environ 80 km au sud-ouest de la centrale de Fukushima. Des tests ont montré qu'il était contaminé à hauteur de 97 000 becquerels de césium par kg, 73 fois les normes légales. La ville se situe hors de la zone d'évacuation désignée par le gouvernement. Le foin a été emballé et stocké dans une étable de Shirakawa. Il a été transporté début avril vers une ferme de la ville d'Asakawa, près de la centrale où il a servi à nourrir du bétail. Entre le 8 avril et le 6 juillet, 42 têtes de bétail de cette ferme ont été envoyées vers des abattoirs de Yokohama, Tokyo, Sendai et Chiba. Les autorités préfectorales ont décidé de mener une enquête sur les canaux de distribution et les conditions de stockage. .nhk 15/07/2011
  21. J'ai découvert cette pétition tout à fait par hasard, et je suis horrifiée, une fois encore de l'ignominie de mes semblables ! Bien entendu j'ai signé avec les commentaires suivants à destination de Brad Pitt et Angelina Jolie : Tout doit être mis en oeuvre pour que cessent les massacres des animaux pour le simple motif "voler leur fourrure". Il faut boycotter tous les pays qui pratiquent ces assassinats pour la mode et autre médecine autant inutile qu'inefficace... Vous avez le pouvoir de peser sur certaines décisions et inciter le monde à préserver ces bébés comme les adultes. Vos enfants seront fiers de vous parce que vous aurez agi...
  22. Les faits : Brad Pitt et Angelina Jolie sont allés en Namibie pour promouvoir une destination touristique, mais avaient-ils ce qui se passe là-bas, chaque année au premier juillet ? Des bébés otaries à fourrure battus, massacrés par milliers… Ces bébés sont sauvagement battus à mort pour leur fourrure. Environ 6000 mâles seront tués pour leur voler leur pénis, utilisés pour une médecine aphrodisiaque autant inutile qu’inefficace. Les petits sont séparés de leur mère et violemment battus jusqu’à ce que mort s’ensuive. La colonie va être décimée à la mi-journée. Les petits, les mâles et les femelles sont encerclés et retenus prisonniers et les hommes avec des bâtons (clubs) se déplacent parmi les otaries et les exécutent dans la peur… Pour tuer ces animaux, c’est la même technique utilisée pour les phoques. Les hommes administrent un rapide coup sur la tête ; ce qui est supposé éclater le crâne. Or, cette action est rarement suffisante pour causer la mort instantanée de l’animal. Lorsque celui-ci essaie de s’enfuir, il est battu à plusieurs reprises jusqu’à ce qu’il soit mort ou inconscient. Puis son bourreau lui entaille la gorge alors que, parfois, il est encore en vie. Les bébés otaries à fourrure, sont tellement terrifiés qu’ils vomissent le lait de leur mère. Attention : coeur sensible et jeunes public s'abstenir de regarder cette image Spoiler: Le sable doré de la plage est rouge de sang. Les cadavres sont jetés dans les véhicules qui attendent et les bulldozers s’attèlent à nettoyer le sang avant que n’arrivent les touristes pour voir les animaux, sans se douter du massacre qui vient d’avoir lieu. Chaque année, malgré la diminution de la population, le quota des animaux ainsi massacrés augmente. L’otarie à fourrure du Cap est sur l’annexe 2 de la Convention du Commerce International des espèces menacées (CITES). Cela signifie qu’ils ne sont pas encore menacés d’extinction, mais leur survie dépend des mesures de conservation et de préservation… et le taux de mortalité est d’environ 30% dans les premières semaines de vie… Le sevrage des bébés otarie à fourrure prend du temps : plus de 11 mois et nombre d’entre-eux sont massacrés alors qu’ils sont âgés d’environ 7 mois (naissance à partir de novembre). Oui se sont encore des bébés… La perte de leur habitat, l’industrie de la pêche causant la famine sont déjà des menaces majeures pour ces animaux. Pour ces motifs, au cours des 20 dernières années, au moins 300.000 sont mort de faim)… Qu’est-ce qui justifie alors que le gouvernement namibien augmente le quota de mise à mort de 31 à 79% ? Il s’agit-là d’un génocide à grande échelle… A plusieurs reprises, le ministère des pêches a reçu des demandes pour une méthode plus « humaine » pour l’abattage… Mais, à ce jour, personne n’a apporté de solution. La "réforme" est conduite par un homme : Hatem Yavus. Il a un contrat pour acheter des peaux d’otarie et de phoque jusqu’en 2019. Il paie 7$ par peau, tandis que les touristes paient 12$ pour venir admirer la colonie d’otarie à fourrure (… après que les plages aient été nettoyées du sang des animaux assassinés…). Sa solution à la méthode d’abattage pour que l’animal ressente moins de douleur, serait l’utilisation d’un bâton muni d’un clou !?! Pourquoi on permet à cet homme de causer la mort de milliers d’animaux ? Dans 20 ans, quand nous regarderons en arrière, nous ne nous pardonnerons jamais d’avoir permis que cela se produise… Brad et Angelina doivent mettre à profit leur célébrité internationale pour que cela cesse. Si vous aussi vous avez été en Namibie, ou que vous soyez tout simplement un ami des animaux, faites savoir que vous ne connaissiez pas ce meurtre organisé par la Namibie et dites ce que vous pensez de cette brutalité et dénoncez-là. .Cliquez ICI pour SIGNER la pétition Source : .Change.org
  23. Matériel que vous pouvez utiliser et mis à disposition par AIR SOUFFRANCE : Il existe une bannière que je n'arrive pas à copier pourla mettre ici Internet Explorer 9 faisant des caprices et s'arrêtant toutes les 30 secondes... Vous trouverez le tout sur AIR SOUFFRANCE
  24. Pétition (en anglais) sur CARE2 rget: Air France Sponsored by: animalrightssp@hotmail.com Airline Air France is the largest carrier of primates to the US, primates who have been bred for research facilities. Despite knowing where the primates are bound for, AF has repeatedly refused to stop their involvement in this exploitation. Last year alone they shipped 3,274 long-tailed macaque monkeys across to the US. The CEO at the time stated that Air France will not stop carrying primates in the near future. Please tell Air France today that their involvement has to stop for the sake of these animals! Please join this facebook page if you use facebook to spread the word about primate shipping. Air France is not the only one who does this! http://www.facebook.com/pages/Stop-Airlines-Shipping-Primates-For-Research/169258603133383 .Cliquez ICI pour signer la pétition Pétition papier à signer et à faire signer aussi ! CAMPAGNE AIR SOUFFRANCE [i]Air France-KLM est le plus grand transporteur d'animaux destinés à l'industrie de la vivisection et constitue un lien majeur entre élevages d'animaux et laboratoires. Cette compagnie transporte d'une part des primates d'Afrique et d'Asie vers l'Europe et les États-Unis, et d'autre part, des chiens, des chats et autres animaux d'élevages vers des laboratoires du monde entier. L'expérimentation animale est une fraude scientifique rejetée par une communauté médicopharmaceutique grandissante. Aucune espèce n'est le modèle biologique d’une autre. Il est temps de s'orienter vers une recherche scientifique éthique, fiable et performante; aujourd’hui tout est en place pour que cette approche devienne la norme. (plus d'infos : http://airsouffrance.fr) Je, soussigné(e), demande à Air France-KLM de ne plus transporter d'animaux destinés aux laboratoires et je m'engage à ne plus utiliser les services de cette compagnie tant qu'elle participera à cet odieux trafic. NOM................PRENOM........Adresse / Ville............. Pays........Signature........................................................................................................ Une fois complétée, renvoyez cette pétition à: CAV boite 136, Maison du Combattant, 20 rue Edouard Pailleron, 75019 Paris
  25. Air France-KLM est le plus grand transporteur d'animaux destinés à l'industrie de la vivisection et constitue un lien majeur entre élevages d'animaux et laboratoires à travers le monde. Cette compagnie transporte d'une part des primates d'Afrique et d'Asie vers l'Europe et les États-Unis, et d'autre part, des chiens, des chats et autres animaux d'élevages vers des laboratoires du monde entier. Si nous voulons vraiment mettre fin à la vivisection, il est primordial d'empêcher les approvisionnements d'animaux. Une campagne internationale a été lancée afin de protester contre la participation d'Air France-KLM dans ce commerce barbare. Il vous faudra moins de 2 minutes pour ajouter votre soutien à la campagne, et pour exprimer ainsi votre mécontentement envers le rôle de cette compagnie aérienne dans ce commerce horrible. Il vous suffit de copier/coller la lettre-type et la liste d'adresses e-mails, puis de cliquer sur « envoyer ». Pour rester au courant des dernières nouvelles concernant la campagne demandant à Air France-KLM d'arrêter de transporter des animaux pour l'industrie de la pseudo-recherche, allez sur : http://www.airsouffrance.fr/ [LETTRE TYPE] - Comme précédemment vous pouvez l'ajuster en utilisant vos propres mots pour donner encore plus de poids à votre intervention tout en restant poli et courtois. <BLOCKQUOTE> Cher représentant d'Air France-KLM, Je vous écris pour vous faire part de ma déception et de mon mécontentement : votre entreprise continue de transporter des animaux destinés aux laboratoires, et ce malgré le fait que l'opinion publique et un monde scientifique grandissant jugent l'expérimentation animale inefficace, inacceptable et inutile. Les animaux sont soumis à une souffrance extrême dans des expériences cruelles et sans intérêt. Ils peuvent subir, entre autres, des actes chirurgicaux invasifs sans anesthésie, des inhalations forcées de gaz nocif, des gavages de produits chimiques et l'injection de poisons. Je vous demande de cesser immédiatement votre participation à ce commerce cruel, et de déclarer publiquement que votre entreprise ne transportera plus d'animaux destinés à l'industrie de la vivisection ! Merci. Cordialement,</BLOCKQUOTE> [VOTRE NOM] Les destinataires : [b]Pierre-Henri Gourgeon Directeur général d'Air France-KLM phgourgeon@airfrance.fr Jean-Cyril Spinetta Président du conseil d'administration d’Air France et d'AIR FRANCE KLM jcspinetta@airfrance.fr Peter F. Hartman Président du directoire de KLM peter.hartman@klm.com Leo van Wijk Vice-président d'Air France-KLM leo.van.wijk@klm.com Frederic Gagey Directeur Financier de KLM frederic.gagey@klm.com Jan Ernst de Groot Directeur adjoint - KLM jan-ernst-de.groot@klm.com Philippe Calavia Directeur général délégué économie et finances phcalavia@airfrance.fr Alain Bassil DGA stratégie et commercial engineering & maintenance d'Air France-KLM albassil@airfrance.fr Christian Boireau Directeur général adjoint commercial France chboireau@airfrance.fr Bruno Matheu Directeur général délégué commercial brmatheu@airfrance.fr François Brousse Directeur de communication frbrousse@airfrance.fr Jean-Louis Pinson Directeur commercial jlpinson@airfrance.fr Edouard Odier Directeur général adjoint systèmes d'information edodier@airfrance.fr Thierry Bellon Délégué Général aux achats d'Air France thbellon@airfrance.fr Cornelis van Lede Directeur indépendant d'Air France-KLM cornelis.van.lede@klm.com Pour faire un envoi groupé jcspinetta@airfrance.fr, peter.hartman@klm.com, jan-ernst-de.groot@klm.com, phgourgeon@airfrance.fr, phcalavia@airfrance.fr, albassil@airfrance.fr, chboireau@airfrance.fr, brmatheu@airfrance.fr, frbrousse@airfrance.fr, jlpinson@airfrance.fr, edodier@airfrance.fr, thbellon@airfrance.fr, leo.van.wijk@klm.com, cornelis.van.lede@klm.com, frederic.gagey@klm.com Source : .AIR SOUFFRANCE[/b]
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