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Tsuki-tsuki

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Tout ce qui a été posté par Tsuki-tsuki

  1. Oh ma pauvre, je suis profondément désolée ... quel chagrin tu dois ressentir Je suis de tout coeur avec toi
  2. Déjà tu peux regarder la vidéo que Melnou avait faite sur la pose du harnais dans le sujet suivant : /jeux-divertissement-f3/comment-mettre-le-harnais-t2645.htm?highlight=harnais
  3. Belle entente entre Zazou et SON chien Jolies photos, bravo
  4. Ce soir il fait un peu frisquet ... pour aller nourrir les chevaux j'ai remis ma vieille polaire ... pour le plus grand bonheur d'Enzo
  5. Trop mignon Sergueï J'adore ses petits cris Tu t'es cassé le bras .... j'ai raté un épisode Qu'est ce qu'il t'es arrivé?
  6. Dis donc elle est magnifique cette cage Un montage bien réalisé par Dédé et ses aides ... toute la famille au boulot Heu ... la photographe avait le boulot le moins difficile me semble t'il Aussitôt montée .... aussitôt adoptée Tuas un drole de perroquet dans la cage
  7. Excellent un bon " bonjour Biloute " à des habitants du Nord Bravo Eva
  8. Je suis du même avis que toi Noëlle Pas simples nos grisous par moments
  9. La Perruche de Pennant (Platycercus elegans) est une espèce de perruche originaire de l'Est et du Sud-Est de l'Australie qui a été introduite en Nouvelle-Zélande et dans l'île Norfolk. Le nom de cette perruche commémore le naturaliste Thomas Pennant (1726-1798). Description :La perruche de Pennant mesure près de 36 cm de long pour un poids de 130 g. Certaines sous-espèces arborant des plumages très différents, la description suivante correspond à la forme type. Le plumage de cet oiseau présente une dominante rouge avec des taches noires sur le dos et les ailes. Les bordures ailaires, la gorge et le menton sont bleues, coloration débordant quelque peu sur l'avant des joues. La queue est multicolore : les quatre rectrices centrales sont vertes et les latérales noires bordées de bleu. Le bec et les pattes sont gris clair, les iris bruns. Le dimorphisme sexuel est peu marqué : la femelle présente une tête et une poitrine d'un rouge moins pur que le mâle. Les immatures ont le haut du corps et la queue vert. Cette coloration disparaîtra progressivement au cours des deux premières années de vie. Sous Espèces : D'après Alan P. Peterson, il existe six sous-espèces : Platycercus elegans elegans (Gmelin, 1788) Platycercus elegans flaveolus Gould, 1837 — perruche flavéole Elle peuple la Nouvelle-Galles du Sud, l'État de Victoria et celui d'Australie-Méridionale. L'espèce mesure environ 33 cm. Sur cette sous-espèce, le rouge des autres sous-espèces est remplacé par du jaune. La femelle se distingue du mâle par la présence de marques rouge orangé sur la poitrine. Elle est parfois considérée par certains auteurs comme une espèce à part entière. Le croisement de cette sous-espèce avec les autres sous-espèces donne un « hybride » stable, la perruche d'Adélaïde. Platycercus elegans fleurieuensis Ashby, 1917 Platycercus elegans melanopterus North, 1906 Platycercus elegans nigrescens E.P. Ramsay, 1888 Platycercus elegans subadelaidae Mathews, 1912 La couleur de la perruche d'Adélaïde témoigne qu'elle est le résultat d'une hybridation entre P. e. flaveolus et les autres sous-espèce : le rouge a tendance à passer et à présenter des nuances dorées variables d'un individu à l'autre. Elle mesure environ 36 cm, comme à peu près toutes les autres sous-espèces. Elle a colonisé une vaste zone de l'Australie-Méridionale où elle est répandue Habitat :Elle est très courante dans les forêts et les jardins de montagne Répartition : Deux populations distinctes peuplent le Sud-Est de l'Australie : l'une habite la côte Nord-Est du Queensland et l'autre le Sud-Est de cet État et celui de l'Australie-Méridionale Comportement : Presque toutes les Perruches de Pennant sont sédentaires, même si parfois quelques populations sont considérées comme nomades, aucune n'est vraiment migratrice. En dehors de la saison de reproduction, elles ont tendance à se rassembler en couples ou en petits groupes et à s'alimentater ensemble. Les groupes les plus importants sont généralement composés de jeunes qui se réunissent en bandes pouvant aller jusqu'à 20 individus. Quand ils cherchent leur nourriture sur le sol, ils sont bien visibles et bruyants. Les Perruches de Pennant sont monogames, et pendant la saison de reproduction, les oiseaux adultes ne se rassemblent pas en groupes et restent avec leur partenaire pour se nourrir. Alimentation : Les perruches se nourrissent de graines d'eucalyptus, de bourgeons et d'herbes. il est facile de les apprivoiser en disposant des boules de graines à leur disposition et à les mener ainsi à venir progressivement manger dans la main humaine. Reproduction :Les perruches se font un nid dans un creux d'arbre où la femelle pond 5 œufs qu'elle couvera seule pendant 20 jours. Les deux parents nourriront les petits pendant un mois avant qu'ils ne s'envolent. Seules certaines variétés sont considérées comme domestiques Source: Wikipédia
  10. Le Nestor superbe (Nestor meridionalis, Kākā en māori) est une espèce d'oiseau endémique de Nouvelle-Zélande. Il vit dans les forêts ou il lance des cris rauques et bruyants. Le Nestor superbe est un grand perroquet de forêt qui passe la majeure partie de sa journée caché haut dans les arbres, il est donc difficile de le voir. Le nestor superbe est membre de la famille des Nestorinae qui réunit aussi bien des perroquets diurnes que nocturnes. Ils ont comme caractéristique d'aimer les acrobaties et de jouer beaucoup, ainsi qu'une utilisation de leurs pattes très poussée. Ils sont actifs tôt le matin et tard le soir. Apparence : Le nestor superbe ressemble à son cousin, le kéa, mais est plus brun et légèrement plus petit. Le plumage est majoritairement brun avec des zones écarlates sous les ailes. Il a aussi le tour des yeux jaune foncé, un bec brun-gris et des cuisses brun foncé. La taille moyenne d’un nestor superbe est d'environ 45 centimètres, la même taille qu’un cacatoès blanc. Les mâles sont en général un peu plus clairs que les femelles, ont un bec plus courbé et sont un peu plus lourds (50-75 grammes de plus). Habitat : Les Nestors superbes vivent dans les forêts matures constituées de hêtres, et d'essences à bois dur. Ils nidifient dans des trous d'arbre placés à au moins trois mètres du sol où ils passent la plupart de leur temps. Ils jouent aussi un important rôle pollinisateur Répartition : On trouve les nestors superbes jusqu'à 1500 mètres d'altitude. Ils sont parfois attirés par les jardins de banlieue plantés de Phormium (lin de Nouvelle-zélande). Régime alimentaire : Le Nestor superbe trouve sa nourriture dans une multitude d'endroits : on a vu des nestors superbes mastiquer des insectes, des vers ou même des baies de miro, hinau ou tawari, qu'ils écrasent pour en extraire le plus de jus possible. Le Nestor superbe de l'île du sud acquiert et maintient son niveau d'énergie en mangeant du miellat produit par des coléoptères dans les hêtres. Les nestors superbes, surtout ceux de l'île du sud, sont de bons chasseurs d'insectes. Avec leur bec acéré, ils déchirent les écorces des arbres pour y déloger les vers et les coléoptères qui s'y trouvent. Les sous espèces : Il y a deux sous-espèces de nestors superbes connues. Une sous-espèce dans l’île du nord et une autre de l’île du sud de la Nouvelle-Zélande. Sur l'Île du Nord : Nestor meridionalis septentrionalis (Gmelin, 1788) Poids du mâle : 475 g, Poids de la femelle : 425 g Sur l'Île du Sud : Nestor meridionalis meridionalis (Lorenz, 1896) Poids du mâle : 575 g, Poids de la femelle : 500 g Pourquoi est il menacé : Ce perroquet est une espèce endémique de Nouvelle-Zélande. Quand les Européens découvrirent l'île, les nestors superbes peuplaient toutes les forêts du pays. À partir des années 1930, ils ont commencé à devenir très rares dans certains endroits. Cela est dû principalement à la déforestation et au développement de l'agriculture. Les guêpes et les opossums sont les principaux prédateurs des Nestors superbes. Les opossums (espèce invasive) détruisent les guis et d'autres plantes à baies que le Nestor superbe adore manger. Les guêpes sociales sont la plus importante nuisance des nestors superbes, principalement parce que leur régime alimentaire est constitué de gouttes de miel (alimentation préférée des nestors superbes). Dans les zones où le nombre de guêpes est élevé, celui des Nestors superbes est proportionnellement plus faible. Reproduction : Le Nestor superbe pond environ quatre œufs, que la femelle couve pendant que le mâle la nourrit. Ces œufs sont pondus à deux ou trois jours d'intervalle et mettent quelque 24 jours pour incuber. Les poussins quittent le nid après 70 jours. La saison d'accouplement va de septembre à mars. Quand les jeunes quittent le nid sans savoir voler, ils sont très vulnérables face aux prédateurs. Source : Wikipédia
  11. Le Nestor kéa ou plus simplement Kéa (Nestor notabilis) est une espèce de perroquet montagnard endémique de Nouvelle-Zélande. Son nom commun tire son origine de son puissant cri : « keee-aa ». Description : Le Nestor kéa adulte mesure près de 50 centimètres, pèse plus de 900 grammes et possède une envergure d'environ 90 cm. Le plumage est de teinte générale olivâtre, les côtés étant plus foncés. Le dos et la partie inférieure de la queue sont rougeâtres. Habitat : Le Nestor kéa habite les forêts d'altitude et les prairies des Alpes méridionales de la Nouvelle-Zélande, sur des terrains habituellement difficiles à traverser et exposés à un climat rigoureux. Il est le seul perroquet de montagne du monde. Régime alimentaire : En été, le kéa se nourrit principalement de graines, feuilles, bourgeons, fruits, fleurs, d'insectes (acridiens et coléoptères) et de vers. Il apprécie tout particulièrement le lin cultivé. En automne, il mange les pousses et les feuilles dans les forêts de hêtre. En hiver, il ne dédaigne pas les charognes, en particulier celles des moutons mérinos. C'est le seul perroquet carnivore connu. Ethologie : Le Nestor kéa est connu pour son comportement curieux et sa vive intelligence, qui l'a fait surnommer « le clown des montagnes ». Il explore minutieusement l'environnement, allant parfois jusqu'à endommager les constructions et les véhicules. Ce clown fait la joie des touristes, ce qui compense en partie sa mauvaise réputation. Reproduction : La période de reproduction s'étend de juillet à janvier. Le nid est construit parmi les rochers et la couvée comprend entre deux et quatre œufs blancs. Lors de l'incubation, qui dure jusqu'à quatre semaines, le mâle alimente sa femelle. En quatre mois, les poussins peuvent atteindre leur masse adulte. Les jeunes quittent leurs parents à leur maturité sexuelle. Il faut environ 14 semaines avant l'envol des jeunes. Population : Le nombre de Nestors kéa est mal connu en raison de la difficulté d'accès à leur habitat de montagne. On craint que sa population ne soit faible et que l'espèce ne soit menacée. En raison de leur comportement curieux et de leur réputation de carnivores, ils ont été persécutés et on estime que plus de 150 000 oiseaux ont été exterminés au cours des 130 dernières années. En 1970, l'espèce est devenue protégée. En 1986, les fermiers de la montagne ont été persuadés de renoncer à tuer les kéas en échange d'une compensation financière accordée par les organismes gouvernementaux. Source : Wikipédia
  12. Ah mince pauvre Urpheline elle doit bien souffrir Espérons qu'elle ait vite moins mal pour que tu puisses lui soigner cet abcès Bisous à toi et papouilles à ta miss de ma part
  13. Super je suis contente pour daffy et pour toi Décidément ce n'est pas une bonne période pour toi .... que se passe t'il avec Urpheline?
  14. Quelle vedette Elle nous fait admirer son beau plumage dans toutes les positions
  15. Le Cacatoès à tête rouge ou Cacatoès gang-gang (Callocephalon fimbriatum) est une espèce de cacatoès australien. Cet animal est l'emblème du Territoire de la capitale australienne. Cet oiseau pèse en moyenne 250 grammes (pouvant aller jusque 280 g) pour 34 centimètres de long (valeurs extrêmes de 32 et 37 cm). Le plumage est gris avec des rayures blanches. Le mâle a une tête avec une crête rouge tandis que la femelle est entièrement grise avec une petite huppe grise. Il a un cri facilement reconnaissable rappelant une porte qui grince ou le bruit d'une bouteille de vin qu'on ouvre. L'immature ressemble à la femelle, le jeune mâle présentant un peu de rouge à la tête. Cet oiseau habite dans les bois des régions froides et humides des Alpes australiennes dans le sud-est de l'Australie où il peut vivre dans la neige se nourrissant de fruits d'eucalyptus. Il a été introduit sur Kangaroo Island. Ces oiseaux vivent en bandes d'une cinquantaine d'individus sauf pendant la période de reproduction où ils vivent en couple. Ils demeurent dans les arbres et ne descendent sur le sol que pour boire ou ramasser des fruits. Ils se nourrissent de fruits d'eucalyptus, d'acacias et d'aubépine, une plante importée. Ils se nourrissent aussi d'insectes. La femelle pond généralement deux œufs dans un nid construit en creusant un tronc d'arbre. La couvaison a lieu d'octobre à janvier et dure 28 à 30 jours. Les jeunes demeurent au nid environ huit semaines. Source : Wikipédia
  16. Le Cacatoès banksien ou Cacatoès de Banks (Calyptorhynchus banksii) est un des grands cacatoès australiens. Cette espèce a été connue sous le nom de Calyptorhynchus magnificus pendant de nombreuses décennies, jusqu'à ce que son nom scientifique actuel, du nom du botaniste Joseph Banks, soit adopté officiellement en 1994. On le trouve plus fréquemment dans les parties les plus sèches du continent. On en distingue cinq sous-espèces qui diffèrent de manière significative par la taille du bec. Bien que les sous-espèces du nord soient encore répandues, les deux sous-espèces méridionales sont menacées. Ces dernières sont nommées d'après leurs noms vernaculaires anglophones, le « Cacatoès banksien de forêt » et le « Cacatoès banksien du Sud-Est ». Le Cacatoès banksien mesure environ 60 centimètres de long. Les deux sexes sont dissemblables. Les mâles sont complètement noirs, à l'exception de bandes rouges sur la queue tandis que les femelles, légèrement plus petites que les mâles, ont un plumage brun noir piqueté de taches et de fines bandes jaunes alors que les bandes de la queue sont jaune orangé. Ces oiseaux vivent habituellement dans les forêts d'eucalyptus ou le long des cours d'eau. Dans le nord du pays, ces cacatoès se regroupent généralement en grandes bandes. Ils se nourrissent de graines et nichent dans les cavités des arbres. C'est pourquoi ils dépendent de la présence d'arbres d'assez grand diamètre, généralement des eucalyptus. Les populations du sud-est de l'Australie sont menacées par la réduction du couvert forestier et par d'autres modifications de leur habitat. De tous les « cacatoès à plumage noirâtre », le Cacatoès banksien est le plus facile à élever, mais il reste rare et cher (comme toutes les espèces de ce groupe) en dehors de l'Australie. Source : Wikipédia
  17. Le Cacatoès corella, (Cacatua sanguinea; en anglais: The Little Corella ou the Bare-eyed cockatoo) est une espèce de cacatoès blanc originaire d'Australie. Il mesure entre 36 de 39 cm de long et s'assemble en banc de plusieurs milliers d'oiseaux qui comprennent souvent de nombreux cacatoès rosalbins. L'oiseau généralement passe la nuit perché dans les arbres et s'envole de bon matin dans un vacarme assourdissant pour aller se nourrir de graines récupérées sur le sol. Il s'attaque aux récoltes de céréales et il est considéré comme nuisible dans la plus grande partie de l'Australie d'autant plus qu'il tue les arbres sur lesquels il se pose en détruisant l'écorce des petites branches. Source : Wikipédia
  18. Le Cacatoès de Baudin (Calyptorhynchus baudinii Lear, 1832) est une espèce d'oiseaux appartenant à la famille des Cacatuidae. Son nom commémore Nicolas Baudin (1754-1803). Cet oiseau mesure 60 à 65 cm pour une masse de 650 à 800 g. Le plumage présente une dominante noire. Le dimorphisme sexuel est très net : le mâle a le bec noir, les cercles oculaires rosés et les taches auriculaires grisâtres tandis que la femelle a le bec corne clair, les cercles oculaires grisâtres et les taches auriculaires blanc pur. L'immature ressemble à la femelle. Cet oiseau peuple le sud-ouest de l'Australie. La femelle pond un ou deux oeufs. L'incubation dure 29 jours. Les jeunes demeurent au nid 11 à 12 semaines Source : Wikipédia
  19. Le cacatoès de Leadbeater possède une spectaculaire crête composé de 16 longues plumes incurvées vers l'avant. Ces plumes ont une large base rouge rosâtre avec une partie centrale légèrement tachée de jaune. Les extrémités supérieures de la crête sont blanches. Une autre série de plumes plus arrondies se développent au dessus de l'œil, donnant une impression de base blanche à la huppe lorsque celle-ci est érigée. Le front est traversé par une fine bande rougeâtre. La face, le cou et les parties inférieures sont rose- saumon, virant au blanc au niveau des sous-caudales. Le dos, les couvertures alaires et la queue sont blancs avec des infiltrations de rose-saumon sur le dessous des ailes et de la queue. Le bec est couleur corne. Les iris sont brun sombre, les pattes grises. La femelle ressemble à son partenaire mais le rose-saumon de la tête et des parties inférieures est plus pâle. La bande jaune qui orne la crête est plus éclatante et plus large. La partie supérieure du ventre est blanchâtre au lieu de rose-saumon. Les iris sont rose rougeâtre clair. Les juvéniles sont identiques aux femelles avec avec une tête et un dessous plus pâles. La bande frontale est rouge-orange clair, les iris brun pâle. Chant : En vol, le cacatoès de Leadbeater émet un "creek-ery-cree" trisyllabique et chevrotant qu'il répète à intervalle régulier d'environ une minute. Cet appel est assez semblable à celui du cacatoès corella, quoique moins rauque. Quand il est alarmé, il produit des cris stridents et rapides qu'il répète sans discontinuer. Lorsqu'ils réclament leur pitance, les petits oisillons respirent constamment de façon sifflante. Habitat : Le cacatoès de Leadbeater fréquente une grande variété d'habitats boisés dans les zones arides ou semi-arides. L'espèce est étroitement associée aux zones de mallee. On la trouve plus particulièrement dans les boisements de cyprès et d'eucalyptus, dans les parcelles mixtes d'eucalyptus et de filaos ou à proximité d'escarpements rocheux. Sa présence dans un lieu dépend également en grande partie de l'existence d'une source d'eau. Le cacatoès de Leadbeater ne supporte pas l'interférence de plusieurs types d'habitats, il s'éloigne généralement à grande distance des habitats qui ont été éclaircis. D'autre part, il montre un très faible attachement pour les habitats morcelés dans lesquels il ne séjourne pas très longtemps. Distribution : Le cacatoès de Leabeater est endémique d'Australie. Ses bastions principaux sont constitués par le sud-ouest du Queensland où il est assez répandu et l'Australie Méridionale où il est localement commun. Ailleurs, c'est à dire, à l'intérieur du continent, il est assez rare et clairsemé, remontant dans le Territoire du Nord jusqu'aux environs du lac Woods et effectuant une incursion dans l'Australie Occidentale. Deux sous-espèces sont officiellement reconnues : C.l. leadbeateri, la race nominale (est et centre de l'Australie) - C.l. mollis (Australie Occidentale, mais aire de délimitation avec la race nominale peu précise). Comportements : Le couple constitue l'unité sociale de base, mais le contact avec les autres couples et les non-nicheurs est maintenu grâce à l'établissement de groupes. En dehors de la période de reproduction, on rencontre principalement de petites bandes comprenant de 10 à 50 oiseaux. Les rassemblements plus importants ne s'effectuent que pendant les périodes de sècheresse ou lorsque les sources de nourriture sont abondantes. Dans ce cas-là, il peut y avoir quelques centaines d'individus, y compris des cacatoès rosalbins de des cacatoès corellas. Les dortoirs communs sont occupés exclusivement en dehors de la saison de nidification et les oiseaux les quittent tôt à l'aube. Les cacatoès de Leadbeater recherchent leur nourriture à la fois dans les arbres et à terre. Toutefois, cette espèce est plus arboricole que les rosalbins ou les corellas. Quand elle se déplace sur le sol, elle marche doucement et évite les herbes hautes. Dans la bande, un oiseau joue toujours le rôle de sentinelle. Il adopte une attitude très attentive, dresse partiellement sa crête et marque régulièrement une pause au cours de laquelle il se tient très verticalement pour inspecter les environs. Pendant la canicule de la mi-journée, le cacatoès de Leabeater trouve un abri dans le feuillage des arbres. Pendant l'été, la période de repos est plus longue. Les oiseaux appariés restent toujours à proximité l'un de l'autre. Pendant les périodes de forte chaleur, cet oiseau visite les points d'eau même pendant la journée. Au crépuscule, ils regagne son dortoir. Le cacatoès de Leadbeater est habituellement très prudent et il accepte rarement qu'on l'approche. Néanmoins, lorsqu'il est dérangé, il ne s'envole jamais très loin et il est réticent à quitter le feuillage des arbres. La plupart du temps c'est un oiseau sédentaire. Cependant, lorsque la nourriture et l'eau commencent à manquer, il n'hésite pas à se joindre aux bandes erratiques d'immatures. Vol : Le cacatoès de Leadbeater ne peut pas être classé dans la catégorie des grands voiliers. Son vol lent comprend des battements de faible amplitude entrecoupés de courtes glissades, les ailes étant légèrement incurvées vers le bas et dévoilant leur belle tache saumon. Cet oiseau ne vole jamais à très grande hauteur. Il peut parcourir de longues distances, mais son trajet est divisé en brèves étapes, d'un bouquet d'arbres à un autre. Nidification : A partir du début août, les cacatoès retournent à leurs sites traditionnels de nichage. La période de nidification s'étale du mois d'août au mois de décembre. La cavité reçoit de nouveaux aménagements : l'entrée est élargie et machouillée sur les côtés de façon à procurer une couche de copeaux frais qui sont placés au fond du nid. Les nids sont presque toujours éloignés à une distance de 2 kilomètres les uns des autres. La ponte comprend entre 2 et 5 oeufs qui sont déposés à 2 ou 3 jours d'intervalle. L'incubation, assurée par les deux parents, commence après le dépôt du 3ème œuf et dure de 23 à 24 jours. Les poussins naissent avec un duvet rudimentaire de couleur blanc chamoisé. Ils restent au fond de la cavité pendant une moyenne de 57 jours et ils sont nourris par les deux partenaires. La famille reste à proximité du nid jusqu'à ce que l'ensemble des juvéniles ait pris son envol, puis elle se joint à d'autres groupes familiaux dans un endroit où les ressources alimentaires sont convenables. En de rares occasions , le cacatoès de Leadbeater est obligé d'expulser un couple de cacatoès rosalbins qui a commencé à pondre dans son nid, mais il peut arriver également que cette forme de parasitisme ait quelque succès. Dans ce cas, le couple de cacatoès de Leadbeater s'occupe de tous les oeufs et les couve. Quand ils naissent, les jeunes rosalbins se comportent exactement comme leurs hôtes, ignorant leur différence d'origine. Régime : Les cacatoès de Leabeater se nourrissent principalement de graines, celles des herbes et des céréales mais également celles des melons (Cucumis myiocarpus) qui ont éclaté au soleil et dont ils sont particulièrement friants. Ils consomment également les fruits des figuiers locaux, les cônes des pins, les graines d'eucalyptus, les bulbes, les noix, les racines et les larves d'insectes. Pendant et après leur repas, ces oiseaux mordillent les brindilles et les morceaux d'écorce, faisant pleuvoir des débris au pied des troncs. Les cacatoès de Leadbeater se désaltèrent habituellement à l'aube et en fin d'après-midi, mais pendant les périodes de forte chaleur, ils augmentent la fréquence de leurs visites aux points d'eau. Protection / Menaces : Les cacatoès de Leadbeater ont une répartition très irrégulière, mais il n'y a vraiment que dans le centre-est et le sud-est qu'ils sont répandus. Dans les autres parties de l'Australie, cette espèce est en déclin à cause de l'éclaircissage de son habitat et de sa commercialisation comme oiseau de cage. La compétition avec les cacatoès rosalbins pour l'obtention de cavités de nidification peut s'avérer un problème crucial dans l'avenir si cette dernière espèce continue à progresser. La population mondiale de cacatoès de Leadbeater est estimée à un peu moins de 20 000 oiseaux. Elle est classée comme presque menacée. (NT - Near Threatened). Sources : ◦Parrots of the World, Joseph M. Forshaw ◦Vol. 4 - Handbook of the Birds of the World, Josep del Hoyo-Andrew Elliott-Jordi Sargatal ◦Avibase, Lepage Denis ◦Wikipédia, Wikipedia, The Free Encyclopedia http://www.oiseaux.net/ Photo : lesoiseauxdufaucigny.l.e.pic.centerblog.net
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