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Tout ce qui a été posté par Muriel14
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Je trouve cette phrase très pertinente. C'est pourquoi, je pense qu'avant de se décider à acheter un frison, le mieux est d'essayer d'en cotoyer et d'en monter avant de se décider. J'ai eu l'idée d'acquérir un frison après en avoir connu 3 de façon plus approfondie. Et c'est à force de les cotoyer que j'ai pu confirmer mon choix et en acheter un en connaissance de cause. Cad en connaissant les limites que ce type de cheval impliquent (j'en avais fait la description sur un autre forum, je vais essayer de retrouver ça). Comme nous sommes quelque-uns (ou plutôt quelques-unes) à en avoir sur ce forum, tu pourrais peut-être t'organiser pour venir les rencontrer. En tout cas, tu es la bienvenue pour rencontrer Tyson, voire même l'essayer pour te faire une idée.
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Je ne pense pas que les poulains naissent avec la connaissance dès le départ mais plutôt que, dès la naissance, ils apprennent de leur mère (et ensuite d'autres chevaux adultes) dont ils copient les comportements. Ces adultes jouent un rôle éducateur extrêmement important dont l'efficacité varie selon que ceux-ci ont eux-mêmes bien ou mal appris (notamment à distinguer la bonne alimentation de la mauvaise.) Mais il est certain que, dans les touts premiers moments de la vie d'un individu, il est difficile de distinguer ce qui inné de ce qui est acquis.
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Que dis de cette attitude, le comportementaliste avec lequel tu travailles ? P. Deschamps, je pense. As-tu déjà pensé à prendre un avis tel que celui de Sylvie ? C'est très difficile d'évaluer ce qu'il se passe quand on ne connait pas ton cheval ni la façon dont vous évoluer ensemble. D'une manière générale, beaucoup de chevaux très dociles et confiants étant petits ou au débourrage peuvent développer plus tard des comportements non souhaités que l'on apparente à une crise d'adolescence et qui évolue dans un sens ou dans l'autre, selon les réponses que le cheval obtient à ces comportements. Quoiqu'il en soit, apprivoiser les craintes de son cheval ainsi que ses propres craintes est un travail de longue haleine qui demande beaucoup de patience, de calme, de justesse et de constance et qui amène à des résultats très progressifs.
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Hier, en regardant tous les chevaux du manège, je les ai trouvé un peu accablé par la chaleur. ils transpiraient tous un peu. Même mes deux portuguais étaient un peu plats et Valentine n'a pas été ravie que je l'emmène travailler. Quant au courageux Tyson il n'aime pas ça du tout. Le soir, il transpire et somnole, repu de l'herbe qu'il ingurgite depuis une quinzaine de jours. Ses rondeurs estivales ont déjà fait leur réapparition et quand on est un peu fort, on supporte moins bien la chaleur. Et puis mon prof me le dit toujours : à partir de 20°, le frison ne répond plus ! C'est une boutade mais je pense qu'il y a un fond de vrai. Hier, ce n'est que vers 22h qu'il s'est montré prêt à travailler, malheureusement, je n'avais plus le temps. Je me demande ce que ça va donner pour mon cours de dressage ce soir ! Sinon, on annonce un w-e bien chaud. Jusqu'à 27° !
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Problème au débourrage, help, qui peut m'aider :-(
Muriel14 a répondu à un sujet dans Psychologie et comportement
Je suis assez d'accord avec Petit Matin. Dans ta description, entre la longe et le montoir, tu ne parles pas du travail à pied. Celui-ci est pourtant essentiel pour le débourrage. Le travail à pied prépare le travail monté, il permet au cheval d'apprendre tous les codes de l'équitation qu'il s'agisse des codes de jambes (que l'on remplace par des pressions manuelles ou de badine) et des codes de mains (c'est en manipulant le mors à pied que l'on apprend au cheval à quoi ça sert). Le cheval est prêt à être monté quand il mobilise aisément et sans défense, ses hanches, ses épaules, son encolure et sa tête. Au moment du montoir, une flexion d'encolure est parfois nécessaire pour aider le cheval à mieux réaliser ce qu'il se passe à côté et au-dessus de lui. -
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Moi je l'ai vue en direct ! Pour une première, elle a bien fait ça. Nous (une amie et moi) on a choisit l'option plus soft. On est d'abord venues voir en spectateur comment se passe un PTV. On a pu apprécier les différentes difficultés, causer avec les juges etc. et établir un programme de travail pour les prochains mois. Et si tout va bien, rendez-vous à Gouvy pour notre première en live action !
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Gala de dressage 31 mars... Vidéo!
Muriel14 a répondu à un(e) sujet de virginie orlando dans Dressage
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Il ne faut pas tenir compte des quantités indiquées sur la bouteille car elle ne sont pas prévues pour des animaux d'après mon véto. La dose normale c'est 50 ml par jour en 1 ou 2 prises pendant une dizaine de jours. En cas de problème de foie persistant, la dose d'entretien, comme dit Flo, c'est 30 ml par jour. Enfin, c'est comme ça que mon véto le préconise.
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Un cheval flegmatique à la longe est souvent un cheval qui ne s'intéresse pas à l'exercice. Il attend que ça passe et généralement son regard est tourné vers l'extérieur plutôt que vers son longeur. Le longeur doit donc d'abord faire en sorte que son cheval s'intéresse à lui. Le longeur doit prendre soin de se faire remarquer (personnellement, ça m'arrive de danser une petite gigue au milieu du rond de longe , ou de faire des signes pour lui dire "oh hé, je suis là"). Une fois qu'on a l'attention et le regard du cheval, on peut commencer à démarrer des petits exercices en prenant soin de faire beaucoup de transitions, de changements direction. Demander quelques foulées de trot-pas-trot-arrêt-changement de direction-trot etc. Cela va éveiller le cheval, lui donner envie de jouer et l'impulsion suivra. Mais il faut que le longeur soit lui aussi très dynamique. Ce n'est qu'une fois le cheval bien en route que le longeur pourra se "poser" au milieu et laisser petit à petit le cheval prendre son travail en charge. Quant à l'utilisation de la chambrière avec un cheval flegmatique, il faut agir avec des toutes petites touches rythmées, titillantes, châtouillantes. Ca le réveillera mieux qu'une unique grosse claque.
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