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Tout ce qui a été posté par Maljam
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L'erreur à ne pas faire est de mettre le sable sur le geotextile directement : pas assez de sable et il va remonter, trop de sable et la piste sera trop profonde. Les pros posent le geotextile sous une couche de grave 0/31.5 avant de mettre la couche de sable ou de mélange sable-géotextile. Il est très important d'adapter le revêtement au drainage, aux conditions de terrain, à la fréquence d'emploi, etc. Un revêtement peut être génial dans une piste en cuvette à la maison et horrible dans une piste exposée en hauteur dans une grosse écurie...
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Bah quitte à faire du terrassement, autant drainer et... récupérer l'eau pour arroser Quoi qu'il en soit, trop de sable n'est pas bon mais une couche pas assez épaisse laisse remonter le film en géotextile. L'idéal est une couche intermédiaire pour stabiliser (10cm) au dessus d'un géotextile (si possible le plus large possible en une seule pièce) puis mettre un mélange sable-synthétique (géotextile en lamelles par exemple) sur 15cm. Pour éviter que tout ne se dégrade, il faut stabiliser le pourtour et garder le terrain en bon état en surface.
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Ben alors c'est une cession si les aides sont réellement inverses, mais ça ne s'appelle pas un "travers". Le "travers" c'est ce que moi je connaissais comme étant l'appuyer tête au mur... Ce qui m'étonne par contre c'est de faire une cession sur une diagonale pcq il faut changer le pli au départ... Généralement on fait une cession sur un cercle ou en prenant la ligne du milieu puis cession vers le grand côté, ce qui permet de garder l'incurvation...
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Dans les deux cas, quand tu pars de la main droite, c'est pli à droite, jambe droite à la sangle, jambe gauche en soutien des hanches. La seule différence est que pour l'appuyer tu conduis sur une diagonale donc tu dois trouver l'équilibre entre le mouvement latéral et en avant alors que le long du mur, faut juste gérer l'angle... Dans les deux cas, les épaules restent en avant des hanches.
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Non, je viens de trouver, c'est l'appuyer tête au mur... Pour moi ce sont les mêmes aides que l'appuyer sur la diagonale sauf que le mur aide à gérer l'avant-main... Faut pas se prendre la tête, y'a bcp de figures différentes mais les principes et les aides sont tjr les mêmes suivant la direction du mouvement et le pli
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Il est clair que tous les chevaux ne sont pas à mettre entre toutes les mains et que certains types de travail sont à confier à des personnes bien préparées. Perso j'ai travaillé toutes sortes de chevaux un peu partout, parfois plus cinglés les uns que les autres et quand j'ai acheté ma jument réputée indébourrable par ses proprios (dont pourtant une pro), et bien j'ai pris les choses en main et maintenant c'est une vraie crème à tous les niveaux. J'en ai bavé mais je n'ai jamais perdu patience. Le fait de l'avoir remise bien dans sa tête est finalement beaucoup plus confortable pour tout le monde et moins dangereux que d'avoir contourné les problèmes. Je me dis que c'est ça aussi aimer les chevaux, mais je peux comprendre que certains préfèrent une relation plus calme
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En plus le fait de se balader à pied est encore plus dangereux que d'être à cheval si celui-ci fait le con. Et puis l'objectif est quand même de pouvoir aller partout, seul ou accompagné, sans soucis. Alors contourner le problème ça ne sert à rien. S'il a peur, il faut rassurer le cheval et le laisser digérer le problème, mais si ça devient dangereux, parfois il faut effectivement employer les grands moyens. Le cavalier y est aussi pour beaucoup. Ceux qui s'accrochent aux rênes ou qui stressent auront d'office des problèmes alors que ceux qui gèrent ça dans le calme s'en sortiront bien. J'ai eu l'exemple de mon ancien cheval qui a envoyé plusieurs fois ma mère par terre en ballade en solo et qui est rentré à l'écurie. Avec moi, il partait rênes longues et à la moindre hésitation je serrais un peu les jambes et il reprenait sa route. Ma mère, en stressant, lui faisait péter un plomb... Actuellement je bosse un nouveau jeune et il chipote bcp aussi quand il est monté seul, même entre l'écurie et la piste. Je lui laisse 3-4 min de réflexion au calme (rênes longues mais chaque fois ramené dans la direction où il doit aller) pour qu'il se décide de lui même puis quand je juge que c'en est assez, il se fait quand même secouer un peu. Mais je refuse qu'on me vienne en aide dans ces moments : je demande aux gens de s'écarter, de ne pas le prendre à la main et aussi de ne pas l'inciter à passer en suivant un autre cheval. Il doit y aller SEUL.
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C'est typiquement le genre de comportement des chevaux qu'on a emmené en ballade en groupe quand ils étaient jeunes. Pourtant, la règle d'or à respecter c'est de ne jamais partir accompagné tant que le cheval n'est pas bien seul. Une fois ces réflexes acquis, c'est la cata pour les rééduquer et c'est dangereux surtout !
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Pour les distances, malheureusement c'est un peu au jugé car il faut que le cheval soit dans le confort au début. La règle c'est que plus ça monte et/ou plus on entre vite, plus on écarte les obstacles. Une fois les réflexes acquis, on rapproche de nouveau les obstacles pour les obliger à plus se tenir. Il faut aussi penser à mettre le moins possible de contraintes sur le cheval dans les lignes, conduire droit mais laisser faire, même s'il s'emmêle les pinceaux au début... L'intelligence sur la barre doit venir du cheval
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Au début, 1h de travail c'est déjà trop long. Il faut aussi tenir compte qu'à cet âge il n'est pas encore capable de pousser et qu'il peut aussi avoir des douleurs de croissance qui diminuent son rendement. A ta place, je bosserais surtout la détente, le rythme et l'engagement au trot enlevé ainsi que les transitions en douceur et les courbes. Tu peux lui faire faire des petits exercices sur les barres 1 ou 2 fois semaine sans soucis. Je lui mettrais même des barres au sol dans son travail tous les jours. Pour la durée et la fréquence, l'idéal est de suivre son rythme. Il te fera sentir quand c'est trop. Il est très important qu'il ait l'occasion de bcp bouger donc mieux vaut parfois monter moins et lui donner de bonnes sorties en prairie en prime. Profites-en aussi pr bcp le monter en extérieur, sans pression, qu'il se délie bien et pour lui faire voir du paysage.
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Tu peux commencer en travaillant bcp sur des lignes en entrant au trot (barres au sol, in-and-out, doubles et triples avec entrée sur croix) en essayant de garder le cheval droit. Il doit juste apprendre à se tenir et à acquérir les bons réflexes au-dessus de la barre. En parallèle à ça, tu peux tout doucement commencer à travailler le rythme du galop et les trajectoires sur des parcours de barres au sol et des lignes de barres au sol pour régler la foulée, tout ça en demi-assiette et sans exagérer car un jeune cheval a bcp de mal à garder un bon galop. Des exercices je peux t'en proposer des tas suivant ce que tu veux travailler, surtout n'hésite pas
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Y'a rien à faire, pour qu'un jeune cheval s'habitue à aller sans problème en extérieur et dans des lieux qu'il ne connait pas sans problème, il faut sortir régulièrement SEULS. Mais peut-être d'abord dans des endroits moins risqués que le long d'une route, où tu peux mettre la pression et le calmer sans stress.
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Ceux qui pratiquent la première méthode justifient leur choix par le fait qu'un cheval ne sait pas acquérir un rythme et un équilibre au galop s'il n'apprend pas à se prendre en charge par lui même. Ceux qui pratiquent l'autre pensent qu'un cheval qui n'est pas capable de pousser et de monter son dos n'est pas capable de galoper... Je me pose la question des conséquences de l'une et de l'autre sur la suite du travail et sur base de quoi faire le choix...
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Ca ressemble à ce qu'on appelle une seime de prairie ou de printemps ça. Ma jument a eu ça aussi cette année. Il s'agit d'une seime bénigne qui se forme au moment où le cheval change de régime alimentaire (sortie en prairie p. ex.) car cela dilate l'intérieur du pied. C'est à surveiller et à barrer, sans plus. Avec les fers, cela comprime la boîte cornée donc je suppose que ça doit ralentir la guérison...
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Je reviens à la base , comment on fait un cercle ?
Maljam a répondu à un(e) sujet de rainbowbridge dans Dressage
A ce moment, ce qui est important c'est de ne pas garder ta jambe en soutien mais de demander quand le cheval engage moins puis de remettre la jambe en place à la sangle. La badine est aussi utile pour ça. Mais ce n'est pas spécifique au cercle, il faut pouvoir gérer l'engagement des postérieurs droit et gauche en toute circonstance. Par contre, pour les assouplir, tu peux insister un peu sur le mouvement d'engagement sur de très petits cercles, même au pas, en épaules en dedans. -
J'entends souvent deux sons de cloche pour l'amélioration du galop chez un jeune cheval destiné au (grosses) épreuves d'obstacle. D'un côté il y a ceux qui font rapidement galoper le jeune cheval et qui visent directement à avoir un bon tempo, même si le cheval n'est pas encore assez musclé pour se tenir. Ils évitent même à la limite de trop trotter à l'échauffement et n'ont pas peur de laisser le cheval s'ouvrir. De l'autre, ceux qui bossent d'abord bcp le pas et le trot pour apprendre au cheval à se tendre et à utiliser son arrière main, qui exercent d'abord le cheval sur les obstacles au trot et qui galopent pratiquement pour la première fois en concours. Tout ça pour éviter de forcer un dos peu musclé et pour apprendre au cheval directement les bons réflexes... Je vois des avantages et des inconvénients dans les deux manières de faire et elles me paraissent toutes les deux justifiables. Quels sont vos expériences à ce sujet?
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Je reviens à la base , comment on fait un cercle ?
Maljam a répondu à un(e) sujet de rainbowbridge dans Dressage
Pour moi la jambe ne doit pas être figée dans une attitude. Elle doit pouvoir aller chercher les hanches en arrière pour les déplacer ou faire avancer le postérieur par exemple. Les épaules doivent rester perpendiculaires au cheval et le regard dans la direction du mouvement, le buste rester droit, la jambe intérieure bien descendue (et détendue) en incurvant le cheval et lui demandant de venir tendre de lui-même sa rêne extérieure. Ok pour les demi-parades pour l'allure mais il faut vraiment veiller aussi à suivre la bouche avec la main extérieure pour garder la même tension quelque soit le pli. On peut exagérer la rêne d'ouverture pour la détente (même en laissant carrément tomber la rêne extérieure) mais une fois le cheval "en route", c'est avec la rêne extérieure qu'on dirige. Pour résumer, il n'y a pas une attitude figée à utiliser mais elle doit s'adapter au travail. Il ne faut pas tenter à tout prix d'avoir toujours l'attitude du cavalier de dressage international en reprise... -
La ligne chevilles-hanches-épaules doit être bien droite. En suspension, on peut le vérifier facilement : si on arrive à tenir en équilibre sans toucher aux rênes, c'est que tout est bien aligné. L'idéal est de travailler ça au sol par des exercices d'assouplissements et de détente pour ouvrir l'articulation du bassin. J'aime beaucoup ceux proposés par Michel Robert dans son livre. A cheval, cela peut aussi venir d'un matériel inadapté (taille des quartiers par exemple) ou du fait de vouloir monter trop vite trop long. Les gens qui poussent sur leurs jambes ou qui s'accrochent au lieu de se détendre ont aussi une mauvaise position de jambe. On peut travailler ça par des exercices de position à la longe mais sans travail au sol, je pense que ça risque de prendre bcp de temps pour rien.
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Tu pourrais déjà tenter le Mustang Roll au parage pour qu'ils soient plus résistants. Sinon, les pieds cassants sont surtout dus au manque d'activité des chevaux en prairie. Plus ils l'usent, mieux la corne pousse et mieux elle se porte... Mais clairement les sabots ne seront jamais aussi "lisses" qu'avec un fer... Par contre le pied est en meilleure santé...
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