Maljam

Une selle, c'est comme une paire de chaussures de rando, si t'es pas parfaitement bien dedans, ça fait des dégâts... J'espère que tu as acheté ta selle en tenant compte de la morphologie de ton cheval pcq s'il y a des points de frottement, il y a de grandes chances que tu doive la liquider. Pour savoir si elle convient, l'idéal est déjà de la poser "nue" sur le dos, avec et sans cavalier. Suivant que ça soit une "close contact" ou une normale, la manière de vérifier est différente, mais en gros tu dois être sure qu'il n'y a de contact qu'entre le rembourrage et le cheval. Si ce n'est pas le cas, même avec des mousses ça ne sert à rien. Au mieux (je dis bien au mieux) tu vas blesser ton cheval, au pire il va devenir inmontable et tu vas le foutre en l'air définitivement... Après il faut aussi vérifier l'équilibrage avant-arrière, etc. Même si ça ne vaut pas la peine de passer par les techniques les plus avancées (genre thermographie ou consultance) pour choisir une selle pour le loisir, mon conseil est quand même de la tester avec qqun qui s'y connait VRAIMENT (donc pas forcément le moniteur, si tu comprends ce que je veux dire...)

J'ai une amie qui a un élevage de Barbes et elle a un chouette étalon...

http://www.fermevieillemaison.be/pension.htm Je payais en dessous de 300 à l'époque.

Chez Bommers, à Sombreffe, c'est le TOP !

Il y a qq jours, mon cheval présentait des sortes de doses sur le dos, les épaules et les côtes. Comme elle rentrait de prairie et qu'il y avait bcp de petites mouches noires, j'ai soupçonné des piqures d'insectes et je ne me suis pas inquiété. Seulement ce dimanche, en dessellant après mes deux parcours, je suis tombé sur une cata... Les boutons avaient formé des croutes (2x2cm env. ) sous la selle et les croutes s'étaient détachées. En gros, la couche supérieure de la peau ainsi qu'une partie des poils sont partis et le derme est à vif. Ma jument ne semble pas en souffrir outre mesure, par contre elle a assez mal aux endroits où d'autres croutes se forment. J'ai l'impression que les croutes se forment plus vite aux endroits plus chauds... On soupçonne un problème d'allergie aux acariens, mais le problème semble s'étendre par contact direct ou indirect à d'autres chevaux. Je n'ai jamais vu de problème de ce type. Ca ne ressemble pas du tout à la teigne ou autre et c'est assez localisé sur tous les chevaux touchés, même ceux qui ne sont pas montés ou ont une couverture. Une idée? Le véto passera dans la semaine mais c'est une vraie horreur à voir...

?????????????? Son français est parfait et il allait en effet régulièrement à Braine L'Alleud pour s'occuper de cavalières telles Bénédicte Renson ou Chantal Frère...Dirk Demeersman est un cavalier d'obstacle. Aucun rapport donc avec leur entraineur (mais je ne reviens plus sur son nom...)

Le principe de base est de ne jamais gêner le cheval dans son extension d'encolure. On pourrait donc croire que l'idéal est d'avancer les mains au maximum mais cela comporte deux défauts : - au moment où les rênes se retendent, il y a une saccade dans la bouche et le dos du cheval, ce qui fait que le cavalier perd le contrôle et le cheval s'ouvre et lève la tête - ça incite le cavalier à se jeter en avant pendant le saut L'idéal est donc de travailler sa position au dessus de l'obstacle pour arriver à trouver un équilibre total qui permet d'avancer les mains juste assez pour garder les rênes tendues et en même temps savoir se rasseoir à la descente. C'est très difficile et ça peut se bosser sur le plat. Quant à savoir s'il vaut mieux garder trop de contact ou pas assez, je dirais que ça dépend du cheval. Certains vont forcer pour descendre l'encolure avec des rênes tendues, ce qui va déséquilibrer le cavalier en avant. Le cavalier va parfois alors se reporter de plus en plus vers l'arrière et/ou laisser filer ses rênes et finalement se retrouver dans la selle pour le saut. D'autres vont lever la tête avec les rênes trop tendues, vont se creuser ne passeront plus leur dos et risquent de prendre la main et les barres... Avec les rênes qui se détendent, la cata risque d'arriver dans les combinaisons ou dans les parcours techniques car il faudra trois ou quatre foulées pour rasseoir le cheval.

Venoch, tu sais me dire ce qu'il en est pr les tiennes? J'en ai besoin assez vite... S'il faut encore plusieurs semaines, je vais prendre celles de sourir naturel...

Je viens de recevoir les CWD triangulée. Super à l'obstacle mais sur le plat c'est une torture car je préfère monter plus long et on ne sait pas vraiment bien régler la longueur. Je suis donc toujours intéressé par les tiennes Venoch

Si je comprends bien, tu le retiens juste pour être plus propre dans ton parcours ? J'avais aussi tendance à faire ça en concours parce que c'est comme ça qu'on monte à l'entrainement et je l'ai payé cher... :( Je crois que pour monter comme ça en concours, il faut que le cheval soit "aux petits boutons" et avec une fameuse arrière main et un cavalier très sur de lui. Et finalement le concours fait alors partie intégrante du travail pour viser plus haut. Il faut lâcher à un moment ou un autre et laisser le cheval galoper sinon on fini par atteindre ses limites et le mettre au refus. Mais si c'est pour dire de vraiment tourner en concours et progresser AVEC le cheval, je suis persuadé qu'il ne faut plus monter à la tirette une fois en piste mais laisser le cheval s'exprimer. Bref, je suis toujours partisan de régler un maximum à la maison avant de venir en concours. Je suis peut-être trop perfectionniste

C'est clair que si on doit assister le cheval en permanence, c'est pas gérable non plus, surtout qu'il y a très peu de cavaliers qui sont capables de gérer TOUS les paramètres. Il faut être sur que lorsqu'on sort en concours (et même avant, quand on saute ses premiers parcours) le cheval ne perde pas ses acquis. C'est pour ça que je disais de travailler en parallèle l'autonomie (mais uniquement sur des lignes et des exercices ciblés) et le dressage. Au final, quand on a les deux, on peut venir sur un petit parcours en concours sans jamais avoir enchainé au galop à la maison...

Idéalement, tu devrais bosser ça comme ça à la maison et laisser aller en concours. Malheureusement, plus ça va monter, plus tu risque de te ramasser si à la fois ton cheval n'est pas capable de revenir sans se battre et toi capable de galoper sans stresser. Je te conseille de bosser les lignes de barres au sol TOUS LES JOURS, de travailler des transitions très fréquentes (max 1/2 cercle à la même allure) sur un cercle de 20-25m et de sauter de temps en temps des lignes techniques (tu peux monter la sauce pour apprendre à être à l'aise) avec une transition bien droit assez vite après la sortie...

Pour infos, le site de Keyenberg : http://www.vanderhasselt.com/

Concernant ton 2° parcours, je dirais aussi de venir avec plus d'activité à la sortie du virage, surtout sur le refus et oser laisser un peu galoper, même en indoor, surtout si le cheval se défend encore quand on le rassemble. Il a l'air équilibré, donc ça devrait aller dans les virages. A force de trop restée accrochée, tu finis par ne plus savoir suivre certains sauts. vous risquez de vous faire mal tous les deux... Pour le reste, je trouve ça très bien pour le premier indoor de la saison...

Je ne connais pas du tout les prix, je n'y ai pas été pour me renseigner, mais vu les écuries, il doivent assurer pour le service

Le gros problème, c'est qu'on croit que l'autonomie résoudra tout et on oublie le dressage... :( Sans dressage, si on laisse le cheval aller, on renforce les défauts. Il faut vraiment arriver à faire les deux en parallèle et ne pas brûler les étapes mais je suis de plus en plus convaincu qu'il ne faut pas faire sauter un cheval qui n'est pas prêt physiquement et dans son dressage. Ça me fait parfois mal au cœur de voir ces chevaux qui se débrouillent pour tout sauter et qui sont incapable de prendre une trajectoire ou de fixer leur tête. Ça fini toujours mal...

25€ cher? Nous on paie 60€ pour 1h-1h30 et je trouve encore ça raisonnable, surtout si on compte la route, etc. C'est dans la moyenne pour les profs avec des références...

J'ai été au Keyenberg à Wambeek y'a pas longtemps. C'est super mais je ne sais pas s'ils prennent des chevaux de loisirs en pension...

Je me rends compte que finalement on travaille bcp la manière I et II à la maison pour préparer mais qu'en concours c'est plutôt la III ou la IV qui est pratiquée. Pour ce qui est la descente de main, il est clair que lâcher le cheval au moment de sauter n'est pas conseillé, même si le cheval doit pouvoir étendre son encolure pour la battue. Par contre l'idéal est quand même d'avoir un cheval suffisamment bien dressé pour faire la descente de main à l'abord. Idéalement dans ce cas ça ne doit pas modifier l'équilibre du cheval mais par contre ça lui donne de la confiance et de l'autonomie...

L'Equitation Pédagogique Laurence Grard Guenard Obstacles : 4 grandes écoles I La non intervention C'est l'enseignement officiel français jusqu'en 1932. Le cavalier contrôle et dose l'équilibrage et l'allure en dehors des abords d'obstacles. Il laisse le soin au cheval de régler ses foulées à l'abord et de choisir l'emplacement de la battue. Cette technique convient bien aux sauts en extérieurs, et est difficile à appliquer dans les combinaisons. Le parcours est coulant, agréable à regarder, mais si le cheval n'est pas automatisé comme les chevaux de Hunter, la marge d'imprécision est très grande. II Les allures très rassemblées C'est le type de la nouvelle monte allemande (A. Shockemohle). L'engagement demandé est extrême, au petit galop. A 2.3.4 foulées de l'obstacle, le cavalier ouvre les doigts et le cheval se précipite sur l'obstacle. La qualité de l'encadrement est sacrifiée et remplacée par la qualité et l'importance de l'engagement. Cette technique offre la capacité de tourner très court devant les obstacles et c'est le seul avantage ! Cette légèreté, utilisant la frappe des antérieurs, n'est possible qu'avec un effort musculaire important (puissance musculaire de l'arrière main), la battue n'est pas à l'emplacement de la trajectoire la plus économique, les sauts ont toujours le même tracé, le cheval compense par un grand effort. Ces chevaux sont généralement puissants et ont souvent une carrière courte car rapidement au refus. III Le bon train Si la battue d'appel ne tombe pas juste : le cavalier gère l'allongement ou le raccourcissement des foulées nécessaire. L'engagement et l'encadrement sont compensés par l'élan. Mais le cavalier doit impérativement avoir une visualisation excellente des foulées et une rapidité d'exécution. (P et R d'Inzeo). C'est LA façon de monter un parcours hippique. IV Le cavalier régit tout Tout est réglé : l'équilibrage, le choix de l'emplacement de la battue, le train, le style variable selon le saut ou le problème (forme, hauteur), avec un fort recul du centre de gravité avant la battue. C'est la monte anglaise de D. Brown, H Smith, et également la monte américaine. C'est une technique difficile à pratiquer : avoir des chevaux dans l'impulsion, calmes à l'abord, sans excitation. La crainte pour le cheval est la perte de liberté du balancier et ses conséquences : incapacité à monter le dos, à s'arrondir, à basculer au dessus de l'obstacle. Le cheval doit avoir la certitude que, quelquesoit les actions de mains, le cavalier rendra toute liberté dès l'instant de la battue. Le cavalier doit donc avoir acquis une grande légereté des aides. La problématique de la descente de main sur l'obstacle : Certains cavaliers mettent leurs chevaux dans le vide pendant le saut ou 2/3 foulées précédant la battue. D'autres conservent le contact avec la bouche sur toute la trajectoire. Mettre le cheval dans le vide équivaut à une descente de main. Si le cheval est leger et en équilibre, il se soutient tout seul et continue son effort. Si le cheval est en résistance, ou s'appuie, la "mise dans le vide" va entrainer un report de poids vers l'avant. Cette modification d'équilibre, si elle n'est compensée par un effort musculaire supplémentaire, aura pour résultat une trajectoire moins haute avec une faute des antérieurs sur la barre. Pratiquer la descente de main doit se faire sur un cheval en équilibre, au moins trois foulées avant la battue. Sur le plan mécanique, le cheval ne tire aucun avantage de cette façon de faire. Au contraire ! Un cheval qui ne sent plus le contact des rênes hésitera toujours à allonger brusquement son encolure, dans la crainte de se heurter à la main, de subir une reprise de contact sèche, voire brutale. Il est possible, par contre, de lacher les rênes au dessus de l'obstacle pour les cavaliers ayant des craintes, conscientes ou inconscientes, d'avoir des variations intempestives des aides supérieures (cavaliers avec les étriers un peu trop longs) L'idéal est de conserver et de doser un contact avec la bouche. Savoir laisser glisser les rênes, sans les lacher. Cela permet, entre autre, de pouvoir incurver son cheval au dessus de l'obstacle, préparant ainsi la réception : bon pied à la réception, tourner dès la réception. Le cavalier à l'obstacle doit "épouser" son cheval.

J'admire ta persévérance. Bravo à toi, bonne chance à Marquise et aussi pour la suite avec Faro...

Je suis vraiment triste de lire certaines choses sur ce post... La majorité des gens oublient que le plus important pour sauter proprement et dans le calme c'est le dressage. C'est horrible de voir le nombre de gens qui se lancent en concours avec des chevaux qui se creusent, qui prennent la main, etc. Pour moi c'est du massacre... Le Pelham par exemple est un mors destiné aux chevaux très bien dressés pour pouvoir les rasseoir plus vite en parcours sans s'agiter. Il faut arrêter de délirer en le donnant à n'importe qui ! On a encore un très bon exemple aux écuries pour le moment. Un cheval à remettre en route. Il a été monté par une jeune fille avec un Pelham pcq sois disant le cheval était trop puissant. Le cheval sautait dans le m40 mais après qq temps, il ne passait plus un crayon. Et bien sur c'était la faute du cheval... Moralité, à force de faire des conneries avec lui, son dressage a complètement été bousillé et maintenant il y a un boulot de fou à mettre dedans. N'empêche, le cavalier qui le monte depuis qq semaines (en filet) a déjà obtenu des résultats extraordinaires par le travail. Sa cavalière remonte dessus dans le calme et lui le refait sauter des exercices sans jamais un refus. Évidemment, le cheval saute encore creux, a peur d'employer son dos, lève la tête à l'abord, mais il repasse le m50... Il faudra bien un an pour qu'il retrouve un état "normal". Si cette histoire peut vous convaincre d'arrêter de jouer avec vos chevaux, j'en serais ravi pour eux...

Les revendeurs Mountain Horse en Belgique : AGENT: SK Equestrian Belgium BVBA Luitberg 2 1853 Strombeek - Bever Belgium Phone: 0032-226 991 80 Fax: 0032-226 240 77 Local retailers: Zaldemakerij DECLERCK BERCHEM-ANTWERPEN Phone:03-230 40 47 HORCON BORNEM Claeys Charleroi Phone:071-31 31 56 Sellerie de Gozée Gozée Phone:071-51 62 63 Sellerie de Grez-Doiceaux Grez-Doiceau Phone:010-84.45.48 PIROUETTE HAM COLSON EQUIMO JURBISE ARGU Kalmhout Phone:03-666 49 79 Au CURE-PIED NICKELE LIEGE Phone:041-23 12 31 Verhoestraete Maldegem Phone:050-71 31 11 Horse Whip Mechelen Phone:015-27 26 48 HORSE&COUNRTY Merelbeke Phone:09-232 54 68 Sellerie GILBERT NIVELLES Phone:067-21 41 74 Zaldemakerij DIJKMANS OUD TURNHOUT Phone:014-45 00 50 HIPPOMANIE PLANCENOIT Phone:02-633 28 39 DE PAARDENSMIDSE Sint-Truiden Phone:011-69 48 28 Sellerie Mazuin Sombreville Phone:071-72 52 05 CAPRILLI Veurne Phone:058-28 75 48 AVS Vorselaar Phone:014-50.74.50 Cloots ruitersport bvba Wolvertem Phone:052-30 07 92 Hermans Zutendaal Phone:089-61 33 79 ROSSINANTE ZWEVEGEM Phone:056-75 41 43 Pour info, je pense que qqun de chez l'importateur est toujours sur le forum...

Mountain Horse, confortable et solide pour les boots comme pour les bottes. Sinon j'ai des bottillons HFI, rien à redire...

Tu sais m'envoyer les prix des trois grands par MP stp? Merci !