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Poussinette1111

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Tout ce qui a été posté par Poussinette1111

  1. Poussinette1111

    Elastiques....

    Je fais pareil sauf quand je travaille à pied ou que le cheval à des jours de box en vue de le canaliser à la longe.
  2. Poussinette1111

    chevaux minorquin

    J'imagine qu'ils ne doivent pas non plus être éduqués en douceurs, ce qui génère beaucoup de générations de névrosés.
  3. :cheers: C'est l'idéal : ça ne charge pas l'estomac et ça s'assimile mieux!
  4. Je suis entièrement d'accord avec les conseils donnés ici. Tout est dans le travail (mors, enrênement ne servent à rien car ils ne feront que cacher le problème sans le résoudre). 1° Impulsion; 2° Ne pas t'appuyer sur les rênes, les relâcher quand il est bien; 3° Commencer le 2 pistes, cela va l'équilibrer; 4° Prendre son temps car asseoir un cheval sur son arrière main, c'est l'histoire de toute une vie. Cela ne se règle pas du jour au lendemain. Avant que tu ne puisses constater un changement, compte un bon 6 mois Prendre plus de cours avec un professionnel ou quelqu'un spécialisé dans le dressage peut t'être utile pour te donner des lignes de conduite et t'encadrer dans ta démarche.
  5. Poussinette1111

    chevaux minorquin

    Nouveaux chevaux à la mode => super chers (+ avec tous les problèmes qui accompagnent les chevaux "à la mode" sur lesquels des gens mal intentionnés cherchent à se faire de l'argent). Ils sont plutôt Baroques (ibériques???). Cela ressemble à des ibériques mêlés à des frisons.
  6. Tu peux aller jusqu'à 5 à 6 repas sur la journée (tu fractionnes la quantité qu'il a l'habitude de recevoir) et tenter de l'augmenter peu à peu (+ de le motiver en donnant des petits trucs à ta ponette devant lui).
  7. Poussinette1111

    Elastiques....

    Moi j'ai des elastiques en cuir, c'est ceux là que tu appeles renes fixes? Je ne vois pas trop la difference peux tu m'expliquer? Moi je positionne mes elastiques qui sont en cuirs sur le mors et puis je les regles pour les "accrocher" sur le surfaix, normalement quoi. Oui, les autres ce sont des sorte de caoutchouc. Quand au règlage, je parlais de la longueur (qui varie pour chaque cheval).
  8. Normalement, encore reste de tempête. Bien le couvrir vu qu'il est en partie rasé! Si tu es là tout le temps pour lui, fractionner ses repas peut-être bénéfique (système digestif alors constamment en marche et ne se retrouve pas en temps d'arrêt pendant la journée (ce qui est plus naturel pour le cheval)).
  9. 18 è sur 46 avec 58% avec un juge sévère, c'est déjà ça!
  10. C'est pour recenser les lignées et ne faire que des "races", je suppose. Par contre en international, là aussi, un sans papier peut participer (bon, faut le sélectionner mais c'est possible).
  11. Poussinette1111

    Elastiques....

    Tout dépend de l'utilisation. Si on ne peut pas monter, longer est une bonne alternative. Le problème de la longe, c'est si c'est fait en place et sans bouger les cercles car alors risque de forcer sur les articulations. Le problème de l'enrênement, c'est que de manière générale, il sollicite les muscles et peut ensuite créer des courbatures => 2 fois/semaine en vraie séance de longe est presque déjà trop (enfin, c'est mon avis). Quand aux rênes fixes (appelées aussi "élastiques" mais totalement en cuir), bien réglées, elles n'ont pas trop d'inconvénients. Faciles à utiliser, à régler et à enlever. Par contre, trop courtes, risque de retournement et on ne fait travailler que l'encolure (pas le dos). Personnellement, je les utilise réglées assez longues pour canaliser (cheval chaud et/ou avec plusieurs jours de box) ou pour le travail à pied (pour me concentrer sur autre chose que la mise en main). Quant aux élastiques proprement dit (càd. en matière élastique), ils ne causent que des désagréments : tête qui bouge => cheval qui "bat" à la main, cheval qui s'accroche dessus... Pas l'idéal. Maintenant, comme pour tout enrênement, la manière de longer joue aussi un rôle.
  12. Juste qu'en Belgique, les sans papiers peuvent participer aux concours et ce à tous niveau, à l'inverse de la France.
  13. Heu.. à la limite, le nom, ils l'ignorent ou lui en donnent un nouveau. Dommage qu'il n'y ait pas de photo ce serait plus facile.
  14. Non, je n'ai pas de solution, j'attends que cela passe. C'est le deuxième cheval qui me fait cela, je me demande si ce n'est pas moi qui les rend un peu tordus :geek:
  15. Ou alors, placer la deuxième personne au niveau de la tête du cheval (elle tient la longe aussi puis s'éloigne progressivement). D'abord, qu'elle reste à la même main, la deuxième personne la tenant puis la fois suivante, idem mais la personne un peu plus loin etc., progressivement.
  16. J'ai le même problème avec mon cheval, mais dans son manège à lui (or il a déjà fait des concours sans problèmes )
  17. C'est un bon compléments aux livres d'Oliveira car, à force de prôner dans ses livres la légèreté et les rênes demi-tendues, on ne se rend pas compte qu'en cours il recherchait tout de même un réel contact, les rênes demi-tendues ne venant que par après (et encore, exceptionnellement). On y comprend aussi qu'il travaillait et conseillait de travailler les chevaux en rênes allemandes pour demander l'extension d'encolure . Au moins, ça a le mérite de lever quelques tabous! Donc assez intéressant si on a aussi ses autres ouvrages en regard car alors ils se complètent vachement bien mais lire celui-ci sans les autres, c'est risquer de mal comprendre la dimension théorique cachée derrière ces "paroles". De même, cela rend plus concret ses autres écrits.
  18. Mes conseils sont plutôt à appliquer lors de ton travail sur le plat, une fois qu'elle se sera assouplie et musclée dans une bonne attitude, cela se fera aussi, de soi-même, à l'obstacle. Mais je ne comprends pas trop ton "je n'arrive pas à remonter mes mains au niveau du garrot"? Suivre (et encore, on ne "suit" pas, on a juste les rênes ajustées de manière un peu flottantes afin que la main ne bouge pas mais que le cheval puisse se servir de son encolure) le basculement de l'encolure se fait surtout avec des jeunes chevaux. Par après, ils ont suffisamment de force pour se maintenir dans une attitude plus fixe (généralement, quand le pas et le trot commencent à aller, on les laisse encore galoper sur des rênes assez lâches). Pour des chevaux plus âgés, on demande une plus grande fixité de l'encolure. La fixité des mains, le fait qu'elles ne bougent pas ni ne s'agitent aide le cheval a devenir fixe lui aussi (et il suffit de faire des photos d'un cheval moyen mis en main au galop pour voir que son encolure fonctionne toujours. Ce n'est que dans les très hauts niveaux en dressage que l'encolure ne présente quasiment plus de mouvement de balancier). Le but est que le cheval fonctionne et s'équilibre dans tout son ensemble et pas seulement avec son encolure.
  19. C'est pour cela que cela ne m'inquiète pas outre mesure. Généralement, pour demander des sous, les administrations savent toujours où vous trouver donc...
  20. Personnellement, je ne comprends pas le but de cette carte ni pourquoi je n'ai pas reçu de courrier à ce sujet (ils ont mon adresse vu qu'on a fait le changement de propriétaire sur les papiers) - c'est pas via un forum qu'on est sensé recevoir ce genre d'infos car que se passe-t-il alors pour ceux qui ne vont jamais (ou n'ont pas accès) à internet?
  21. Au même titre, n'est-ce pas aussi égoïste de ne pas s'entendre (à cheval, pas à pied) et de ne pas s'en formaliser? Je pense que quand on doute, c'est bien souvent le cheval qui nous indique la voie à suivre. Entamer un exercice et laisser le cheval y trouver son équilibre, on y pense pas toujours. Un des facteurs amenant à choisir (parfois sans savoir que l'on choisit!) la voie de la compression, c'est parce qu'on est convaincu que c'est le cavalier qui équilibre le cheval. Or, en réalité c'est le cheval qui est aux premières loges pour cette fonction car c'est lui qui porte. La mésaventure narrée ici par Missmoschino en est une illustration. Le cavalier est un élément perturbateur dans l'équilibre et c'est par le biais d'assouplissements et d'exercices qu'on aide le cheval à se mouvoir facilement, presque comme s'il n'avait personne sur le dos, mais encore faut-il pour cela être un cavalier qui sait se faire oublier (par le biais de la descente des aides) et non insistant (cas du cheval assisté), perturbateur et... finalement lassant. Quand on oublie cela, les portes qui mènent à la compression s'entrouvrent, le diable prépare son contrat.
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