Nazca

Le feeling les filles, le feeling !!!

Ouuuuuuh la marmotte !!!

Bah oui Smiloooooooo... mais en fait il sera dans les pattes à Doudou... hahaha !!! euh en fait c'est Bobo qui sera entre les pattes à Doudou !!! hihihi !!!

Bah Mihaï, tu seras sur la route du retour... et peut être par la touraine... hihihi !!!

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaan !!! mouhahaha !!!

Ah bah dis donc... j'ai certains produits à la maison en plus...

Bah oui chez Milka... hahaha !!!

Alors je fais un petit post pour faire la liste non-exhaustive de tout ce qui est toxique pour nos boules de poils favorites: - Chocolat (et oui cela est très fortement toxique et même mortel: exception: le chocolat blanc qui ne contient pas de cacao, donc pas de théobromine, mais que de la graisse de cacao, à déconseiller tout de même pour la ligne). - Ail, Oignons, Echalotte (très toxiques), même l'eau de cuisson peut être mortelle! On en parle assez peu et c'est une cause importante de mortalité. - Le Zinc (toxique à forte dose), plus spécialement chez les nordiques qui y sont très sensibles (attention aux friandises pour nettoyer les dents qui en contiennent beaucoup, car c'est ce qui confère le pouvoir abrasif), donc ne pas trop en abuser, 2 ou 3 fois par semaine suffit. - Le raisin (assez toxique) frais ou sec. - Les plantes d'intérieur sont souvent très toxiques, donc, en cas d'intoxication, amener un rameau chez le vétérinaire si vous ne connaissez pas l'espèce. - Parmis les plantes extrêmement toxiques, on peut citer: Le ficus, l'if, l'azalée, le gui, l'herbe à chat (à forte dose), le Rhododendron, le Houx, le lière, les liliacées (lys, tulipes...), Hortensia, Laurier Rose ET BIEN D'AUTRES!!! et bien-sûr: - Les pesticides - Les engrais - L'anti-limaces - La mort-aux-rats - Les graines jaunes anti-mouches

Attention au chocolat chez le chien... Le chocolat contient un alcaloïde appelé "théobromine". La théobromine est toxique chez le chien et peut le tuer. La dose toxique chez le chien est de 100 - 150 mg/kg. Il est important de noter que les différents types de chocolats (semi-sucré, noir etc...) contiennent différentes concentrations de théobromine. Plus le chocolat est foncé, plus il contient de grandes concentrations de théobromine. Chez le chien, la théobromine est métabolisée très lentement. Or si un chien en mange une petite quantité qui semble inoffensive quotidiennement, il pourra s'intoxiquer graduellement, puisqu'il y aura une accumulation de théobromine dans son organisme. La chose la plus sûre est donc de tout simplement de ne pas offrir de chocolat à un chien. Un chien intoxiqué à la théobromine doit être conduit chez un vétérinaire dans les plus brefs délais. Voici quelques symptômes à surveiller: - vomissements - diarrhée - incontinence urinaire - hyperactivité, excès de nervosité, excitation - irrégularités cardiaque (ce qui peut causer une attaque) - tremblements musculaires - crises d'épilepsie - coma Il n'y a pas d'antidote pour la théobromine, mais le vétérinaire pourra aider le chien à l'éliminer, il arrêtera sans doute les crises d'épilepsie, le maintenant en vie durant l'élimination. Il est intéressant de noter que les empoisonnements à la caféine causent des symptômes similaires chez le chien. En résumé, ni café ni chocolat pour nos toutous... De même si vous donnez des gélules de phyto à votre chien, ou achetez des produits sur le marché dits "naturels", vous devez toujours vérifier que ces produits ne contiennent pas de chocolat, ou de théobromine (comme les gélules de graines de cacao par exemple...qui sont destinées à l'humain uniquement)

QU'EST CE QUE LA GALE DES OREILLES ? C'est une affection très fréquente chez le chien, particulièrement chez les animaux vivant en collectivité (élevage, refuges…). Elle est due à un acarien appelé Otodectes cynotis qui parasite également le chat. Cet acarien vit, se nourrit et se reproduit dans les conduits des oreilles des chiens et des chats : les adultes pondent des œufs qui donnent des larves et à nouveau des adultes. La transmission se fait d'un animal à l'autre par simple contact, et se fait souvent d'une oreille à l'autre sur le même animal. LES SYMPTOMES DE LA MALADIE La multiplication des parasites dans les oreilles provoque une inflammation de l'oreille (otite) souvent modérée, avec production de cérumen en grande quantité, produisant une forte odeur. Le chien se gratte souvent les oreilles et secoue la tête. COMMENT RECONNAITRE UNE GALE ? En examinant l'oreille de votre compagnon, vous devez apercevoir du cérumen marron foncé, voire noir, en quantité assez importante et sentir une odeur inhabituelle, caractéristique de la gale. Le vétérinaire peut s'aider dans son diagnostic en faisant un prélèvement de cérumen dans l'oreille, dans lequel il pourra observer, au microscope, les adultes, les larves ou les œufs d'Otodectes. LE TRAITEMENT Si l'oreille est très sale, il faudra la nettoyer régulièrement avec un produit d'hygiène pour les oreilles du chien. Et, en parallèle, la traiter avec un produit acaricide (à base de molécules qui détruisent les acariens). Ces produits sont prescrits par votre vétérinaire et se présentent sous forme de pommades ou de liqides à mettre dans l'oreille du chien. Il faut toujours bien respecter la durée de traitement prescrite par votre vétérinaire, car même si la gale semble avoir disparu, les produits ne tuant pas les œufs, le traitement doit continuer jusqu'à ce que tous les oeufs présents dans l'oreille aient éclos ; afin d'éviter toute récidive. Par prudence, mieux vaut traiter les deux oreilles et, en prévention, les autres animaux sensibles (chiens et chats) du foyer. EN CONCLUSION La gale des oreilles est une maladie très fréquente, particulièrement chez les chiots d'élevage. Il est très difficile de s'en prémunir car elle est très contagieuse entre les chiens (et les chats). Si le chiot que vous venez d'acheter se gratte les oreilles, il est possible que ce soit une gale. N'hésitez pas à consulter votre vétérinaire afin de traiter rapidement la gale, de façon à éviter les complications et la contamination des autres animaux.

07/02/2008 Les chenilles processionnaires du pin et nos animaux La chenille processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa.) est la forme larvaire d'un insecte appartenant à l'ordre des lépidoptères (un papillon nocturne, gris avec des motifs noirs et des taches blanches). L'activité des chenilles, l'alimentation et la confection du nid sont nocturnes. Le développement larvaire complet s'effectue en cinq stades, pendant la fin d'été, l'automne et l'hiver. Dans les premiers stades larvaires, les chenilles ne sont, paraît-il, pas urticantes. Dès leur éclosion en été, trente à quarante jours après la ponte, les larves commencent à manger des aiguilles de pin et tisser des abris en soie. Ces premiers abris sont légers et peuvent passer inaperçus. Une touffe d'aiguilles qui jaunit en est la principale manifestation. Dès que la zone autour de leur abri n'offre plus de nourriture suffisante, les chenilles émigrent plus haut dans l'arbre et forment un nouveau nid. On peut parfois les voir migrer en procession sur le tronc ou les branches de leur pin, lors de journées ensoleillées. Pour finir, les chenilles construisent un nid solide pour passer l'hiver, qui les protège du froid et de la pluie. Ce dernier nid, construit fin octobre ou début novembre dans les branches les plus hautes, est beaucoup plus gros et solide que les précédents, et de ce fait, très visible. Les aiguilles autour desquelles est bâti le nid sont conservées intactes. À la fin de leur développement, en mars ou avril, les chenilles quittent l'arbre et cherchent un endroit au sol suffisamment chaud et meuble pour s'enfouir et se transformer en chrysalide, d'où émergera le papillon. Les chenilles se déplacent en processions de plusieurs dizaines d'individus, chaque chenille étant reliée par un fin fil de soie à la précédente. Les chenilles sont parfois visibles dès le mois de janvier si le temps est doux. Les papillons peuvent s'envoler quelques mois plus tard, mais les larves peuvent aussi dans certains cas rester quelques années dans le sol avant de prendre leur envol. Ces chenilles consomment donc les aiguilles des pins (et parfois de cèdres). Des branches sont défoliées, d'autres portent des aiguilles jaunies et flétries, comme brûlées. La défoliation ne provoque pas la mortalité des arbres mais en ralentit la croissance. Les chenilles forment des nids très visibles en hiver et les arbres prennent un aspect peu esthétique. En fin d'hiver, les chenilles et les nids sont un danger pour les personnes et les animaux domestiques . Ces chenilles sont donc une plaie, et dans certaines régions des règlements imposent aux propriétaires de pins infestés de les traiter. La chenille processionnaire du pin est décrite classiquement comme infestant la forêt méditerranéenne, et on la trouve en Europe méridionale et centrale, ainsi qu'en Afrique du Nord. En France, toutes les régions au sud d'une ligne Lorient - Orléans - Dijon sont atteintes, sauf en montagne. Certains pensent que les chenilles sont de plus en plus fréquentes. Je n'ai pas trouvé de références confirmant ou infirmant ce fait, mais les chenilles bénéficient de conditions favorables : - on a planté beaucoup de bois et forêts de pins, - les hivers sont de moins en moins rigoureux, donc la chenille a pu s'étendre au nord de sa zone d'origine, - les populations de calosomes et de guêpes parasites ont peut-être été affaiblies par les insecticides. On trouve parfois des nids de chenilles sur d'autres arbres que les pins, sur des feuillus. Il s'agit d'autres espèces de chenilles, sur lesquelles je n'ai aucune information. En particulier, la chenille processionnaire du chêne semble redoutée des forestiers. Le traitement préconisé contre la chenille du pin est efficace contre toutes les chenilles, mais la période de traitement est peut-être différente. Elles ont malheureusement peu de prédateurs, les oiseaux en général ne les mangent pas à cause de leurs poils urticants et de leur mauvais goût. Seul le coucou s'attaque aux chenilles, parfois même dans leur nid, et la mésange huppée chasse la première forme larvaire. On m'a rapporté que des mésanges les chassent lorsqu'elles sont en procession. Leur principal prédateur est le grand calosome, un carabe, insecte coléoptère vivant ordinairement sur le sol, remarquable avec ses élytres aux reflets verts métalliques . C'est la larve de calosome, ressemblant quelque peu à une chenille, qui en fait la plus grosse consommation. Elle monte parfois aux arbres pour attraper ses proies. Plusieurs espèces de guêpes ainsi qu'un champignon, le cordiceps, peuvent les parasiter. Danger des chenilles processionnaires En fin d'hiver et au printemps, les chenilles se déplacent au sol en procession. On peut aussi en voir occasionnellement lors de belles journées d'hiver ou même en fin d'automne. Les chenilles sont recouvertes de poils urticants et peuvent occasionner des désagréments ou même des ennuis graves aux personnes et aux animaux. Chaque poil est relié à une glande à venin. Ce venin, provoquant une nécrose tissulaire, est libéré lorsque le poil très fragile se casse. En cas de vent, des poils urticants infestant les nids peuvent être dispersés et tomber sur les promeneurs ou être inhalés. Les ennuis provoqués sont des démangeaisons, des oedèmes, des troubles oculaires, des accidents respiratoires et d'autres symptômes plus ou moins graves suivant les individus, en particulier s'ils sont allergiques ou asthmatiques. Les petits enfants sont particulièrement exposés à ces risques (en cas de symptôme, consulter immédiatement). Les nids de chenilles dans les lieux publics, parcs et jardins, sont donc une grave menace de santé publique, qui devrait être sérieusement prise en compte. Les chiens sont tentés de flairer les chenilles de près et d'en avaler, ce qui provoque une nécrose de la langue, et peut être mortel (consulter immédiatement un vétérinaire). On m'a rapporté le cas d'un poney mort des suites de l'ingestion d'une branche infestée. Les chats, plus prudents, sont rarement atteints. Certains internautes qui m'écrivent semblent paniqués par ces chenilles, et envisagent sérieusement d'abattre leurs arbres. Si ces chenilles représentent bien un danger sérieux, surtout pour les petits enfants, les personnes allergiques et les chiens, il faut quand même relativiser. Le danger est moindre que les guêpes et frelons qui font quelques dizaines de morts par an en France ; et pour les personnes allergiques, le pollen provoque bien plus d'ennuis. Ceci dit, il faut bien s'accommoder de ces chenilles, et donc prendre toutes les mesures pour s'en protéger. Les gestionnaires d'espaces publics, parcs, bois et jardins (municipalités, etc.) devraient prendre la mesure de ce danger pour la santé publique, ce qu'elles ne font pas toujours. Les consignes individuelles sont : ne pas toucher les chenilles, ni se promener sous les forêts de pins en hiver ou au printemps un jour de vent, et chez soi, traiter les pins, détruire les nids. Surveiller attentivement son chien en promenade et lui éviter de renifler les chenilles processionnaires.

Qu'il s'agisse de Sam ou de Husky, de toute manière avant l'âge de 6 mois il vaut mieux éviter de courir trop, de toute façon il y aura déjà bien assez à faire: 2-3 mois: éducation: premiers ordres et mise en place de la hiérarchie (en extrême douceur pour le sam, pas la peine d'être une brute), c'est la période de sociabilisation, c'est là qu'il faut lui montrer toutes les expériences qu'il sera amené à rencontrer plus tard, bruits, foule, animaux...etc (c'est une période très importante, sans doute la plus importante pour bien démarrer sa vie). Apprentissage de la propreté...etc 4-5 mois: Lui faire faire connaissance avec son harnais, mais sans le faire tracter (pas avant l'âge de 12 à 14 mois), ceci risquerait de lui abimer fortement les articulations et engendrer de mauvais aplombs, c'est encore un "enfant", on peut lui apprendre les directions à cette période. On commence à courir 3 à 4-5 km par jour. Avec 2 jours de repos par semaine minimum... c'est comme chez les humains, il faut imaginer que ce sont de véritables athlètes, il faudra donc lui préparer un véritable programme d'entrainement, avec des périodes de repos pour engendrer le phénomène de surcompensation. 6-7 mois: On peut commencer à le faire courir (toujours sans traction) en VTT. Il faudra faire attention au risque de chutes. Il faudra une longe d'environ 1m50. Et augmenter progressivement la distance jusqu'à 6-7km par jour. Le principal n'étant pas la distance, mais son "will to go", tu en entendras parler souvent, c'est leur "motivation à courir", il faut constamment l'entretenir et c'est très important que tu arrêtes avant qu'il ne soit fatigué. Tu devras faire attention à sa gestuelle, le sam étant un coureur de fond, c'est un trotteur. Il pose donc à chaque appui 2 pattes diagonales, attention s'il appuie sur 2 pattes "ipsilatérales", c'est qu'il fait de l'amble, ca arrive parfois et c'est une allure qui consomme plus d'énergie. 8 à 12-14 mois: tu peux continuer le VTT, je ne conseille pas encore de le faire atteler pour la traction, mais tu pourras commencer à faire progressivement augmenter la distance, 10-12km avec des parcours mixtes descentes-montées... Et on oublie pas le "Will to go". A partir de 12-14 mois : ton chien sera "mature", tu peux commencer à faire du bikejoring - skijoring avec traction... Au début, n'en demande pas trop fais 100m, puis 500m, puis 1 km...etc, il vaut mieux le frustrer pour qu'il ait envie de courir toujours plus longtemps la fois suivante, évite les parcours monotones, les sams sont de très bons chiens de tête, ils adorent les changements de direction. Sinon, en course à pied tu pourras augmenter toujours progressivement, avec des périodes de repos chaque semaine pour la surcompensation à 15, 20, 25, 30, 35, 40, 45, voire 50km et plus à l'âge de 2 à 3 ans je pense. Dans le choix du chiot, je te conseille plutôt les grands sams : la fourchette haute admise étant de 57 à 60 cm au garrot pour un mâle et 53 à 56 cm pour une femelle, de type plutôt Loup que Ours, ce seront ceux avec qui tu pourras cogrir le plus longtemps, tu pourras demander conseil à l'éleveur en fonction des parents respectifs... Il faudra également faire très attention à sa nourriture, une alimentation adaptée vétérinaire est vivement conseillée pour une telle activité. C'est à dire, jusqu'à 12-14 mois, une alimentation spéciale chiot Royal Canin vétérinaire, Eukanuba, Hill's, Pro Plan, Virbac, puis une nourriture énergétique pour chiens très actifs. La prise de nourriture se faisant 3h avant un exercice au minimum et 1h après pour éviter les retournements d'estomac. J'insiste également sur les vaccins qu'il faudra scrupuleusement effectuer (rage et tous les autres notamment si tu pars à l'étranger), vermifuges et anti-puces-tiques car tu seras régulièrement à l'extérieur. Bon avec tout ça il ne faut pas se faire d'illusion, c'est un assez gros budget. Le Sam est un chien très joueur, super affectueux, très curieux, parfois trop...lol Pas évident à dresser, car il n'aime pas qu'on lui demande 10 fois de suite le même ordre, il faudra vraiment l'éduquer d'une manière douce avec récompenses, c'est vraiment différent d'un chien de berger comme le border collie qui fera tout tout de suite et sera très soumis au maitre. Il ne faudra jamais le brutaliser (comme tout chien d'ailleurs). C'est un chien très "chat", tres indépendant, mais n'aimant pas la solitude pour autant. Il est extrêmement intelligent! Parfois trop également! Il fera par plaisir, pas par contrainte, c'est ça la phrase qu'il faut retenir. Voici les activités que tu peux pratiquer avec lui: Canicross: Bikejoring (traction à vélo): Kickjoring (traction à trottinette, existe en tout terrain): moi et Bobo: Bikejoring Samoyede envoyé par Mihai Skijoring: [img] Du kart: Du traineau: Pour ceux qui veulent en savoir plus sur la surcompensation: A = Zone d'entrainement (5 à 6 jours par semaine par exemple) B= Zone de repos (1 à 2 jours par semaine par exemple) Chaque cycliste représente 1 entrainement journalier, la courbe rouge représente le niveau de performance et la courbe rose la moyenne de performance (qui augmente progressivement), la zone bleue correspond à la surcompensation: Si arrêt de l'entraînement pendant trop longtemps, la courbe baisse régulièrement "malheureusement" lol

Comme pour tous les chiens, petits ou grands, poils longs ou ras, le toilettage comprend le brossage, le soin des yeux – oreilles – griffes – dents et bien sûr à réaliser quand il en aura besoin le bain. Evidemment, tous non pas la même régularité et le même toilettage. Nous nous intéresserons uniquement au toilettage du samoyède. Nous vous conseillons vivement de toiletter vous-même votre sam, ou alors de le faire chez un toiletteur connaissant la race. Au jour d’aujourd’hui chez la majorité des toiletteurs, nous avons vu ressortir des samoyèdes tondus et oui vous avez bien compris « TONDUS », ou alors toilettés comme des caniches, ou encore complètement débourrés (En toilettage commerciale est pratiqué le débourrage). Contrairement aux idées reçues et aux apparences, la fourrure du samoyède est facile d’entretien, elle possède une texture robuste et ne nécessite pas de soins particuliers. Elle n’a pas d’odeur et ne s’emmêle pas. Mais pour cela, faut-il que le brossage soit réalisé régulièrement avec une bonne méthodologie. Un brossage régulier, en profondeur, suffit pour que votre sam garde une fourrure splendide et évite qu’il soit sujet à diverses infections (maladie de peau, infestation…). Sa fourrure est autonettoyante, elle ne retient pas la saleté. Si après une balade, votre chien revient couvert de terre, laissez sécher et la terre tombera sans le salir. Lorsque cette peluche arrive chez vous, manipulez et brossez votre chiot dans le calme, d’où l’importance de continuer dans ce sens. Votre sam y prendra du plaisir, et vous aussi par la même occasion. Une petite récompense sera très appréciée de votre chien et assimilera vite un bon comportement = une gourmandise. Sa robe est constituée de deux types de poils, à savoir :  un sous poil doux et laineux,  un poil de couverture plus dur, long et semi-long. Le samoyède est un chien qui mue, c’est-à-dire que le sous-poil meurt et tombe, permettant ainsi la régénération des cellules et du sous-poil. Ces périodes varient en fonction des individus et des saisons mais en général la fréquence des mues est de :  mâle : 1 fois par an,  femelle : 2 fois par an (au moment des chaleurs). Pendant cette période, le brossage se fera quotidiennement, en éliminant les poils morts et ainsi protéger vos tapis, votre maison et votre voiture. Avant de commencer, voici le matériel nécessaire et indispensable à avoir sous la main :  une carde souple pour ne pas arracher le poil lorsque vous le brosserez,  un peigne métallique dents larges ou médium,  un brosse sans boules pour donner du volume,  un brosse en poils de sanglier pour lustrer le poil et éliminer les saletés,  un coupe-griffes,  des lingettes nettoyantes pour les oreilles et les yeux,  un doigtier recouvert de picots et un dentifrice spécial chien,  une gourmandise pour féliciter votre chien après la séance. 1) LE BROSSAGE (indispensable) Le brossage se fera minimum une fois par semaine, l’idéal est de 3 ou 4 fois par semaine. Mieux vaut 10 minutes par jour que 1 heure à 2 heures une fois par semaine. Pour éviter le feutrage et aérer la fourrure, n’hésitez pas à ouvrir le poil petit à petit sur tout le corps, de brosser de la racine jusqu’à l’extrémité et toujours dans le sens du poil. Un brossage superficiel ne suffit pas. Pour cela vous utiliserez une carde avec des picots souples pour éviter d’arracher la fourrure. Quand le démêlage est terminé, vous pouvez passer votre carde à rebrousse poils pour donner du volume. Il faut faire attention à ne pas être trop brutal, vous risquerez d’irriter la peau de votre chien. La peau est fragile. Ne pas oublier la culotte, les franges des pattes, le ventre et derrière les oreilles. Si vous constatez des nœuds derrière les oreilles, ils se forment plus facilement puisque le poil à cet endroit est plus fin et doux et on a tendance à former nous même les nœuds en les gratouillant derrière celles-ci. Pour cela, vous prenez un peigne, avec délicatesse, vous retirez doucement les petits poils qui sont coincés en tenant dans vos doigts la base des poils où c’est formé le nœud. Ceci pour éviter de trop tirer la peau et de faire mal à votre sam. Quand cette opération est finie, vous pouvez passer le peigne partout et même à rebrousse poils, sans arracher, si le peigne accroche dans la fourrure, c’est que le poil n’a pas bien été brossé. Reprenez la carde pour reprendre l’opération. Pour donner encore plus de volume, vous pouvez prendre la brosse sans boules et la passer à rebrousse poils. Elle a une action d’aération pour gonfler le sous-poil. Pour finir, la brosse en poils de sanglier, permet de détacher les petites particules de poussières ou de saletés et de lustrer la fourrure. L’explication de cette technique de brossage paraît complexe mais elle est très simple si vous suivez bien les instructions. Le plus important à retenir est de brosser correctement et en profondeur avec la carde souple et de retirer les nœuds qui se sont formés avec le peigne. 2) LES GRIFFES Les griffes doivent être surveillées, puisque si elles ne s’usent pas naturellement, au fur et à mesure qu’elles poussent, elles peuvent :  blesser votre animal en formant des crochets et ainsi rentrer dans les coussinets  créer des problèmes de démarche et au pire des cas, forcer sur les poignées de votre chien (ce qui est très mauvais) Pour éviter cela, il faudra les couper. Pour cela, munissez vous d’un coupe-griffes. Si vous êtes novice, il vaut mieux y aller petit à petit que de couper trop court et faire saigner votre animal. L’action est plus facile si votre chien possède des ongles blancs. A travers ceux-ci vous apercevez, une zone rose qui se termine en pointe, c’est la veine, si vous coupez trop court, elle saignera et pourra entraîner une boiterie légère. 3) LES YEUX Le coin des yeux doit rester propre. Utiliser un petit coton avec du produit style « Dacryo Serum » ou des lingettes nettoyantes pour chiens. 4) LES OREILLES Le pavillon de l’oreille doit rester propre. Si vous remarquez que l’oreille est sale, vous pouvez utiliser un produit approprié et le nettoyer ou utiliser des lingettes nettoyantes. Toute rougeur ou odeur suspectes doit vous conduire chez le vétérinaire. Il s’agit peut être d’un épillet ou d’une otite. 5) LES DENTS Selon les chiens, les dents peuvent s’entartrer, et le seul moyen d’y remédier est de lui brosser les dents 2 à 3 fois par semaine avec une brosse et un dentifrice spécial chien. Vous pouvez de temps en temps, lui donner des os à ronger. 6) LE BAIN Si après tout ça, vous décidiez de laver votre samoyède, sachez que ce travail est long et fastidieux. Avec un sèche-cheveux classique, il faut compter environ 2 heures voir 3 heures pour un mâle. Il n’est pas indispensable de laver trop souvent votre sam, 1 à 2 bains par an suffisent. Il est recommandé de le laver au moment des mues pour accélérer le processus et ainsi retrouver votre sam dans sa plus belle parure. Voici le nécessaire à prévoir pour laver votre chien :  un shampooing d’excellente qualité conçu exclusivement pour chien, vous pouvez utiliser un shampooing spécial pour chiens blancs (attention à bien suivre les instructions et de respecter les doses de dilution),  plusieurs grandes serviettes de bain pour absorber le maximum d’eau,  un sèche-cheveux ou un pulseur ou encore un pulseur-séchoir (c’est le must utilisé par la plupart des éleveurs et toiletteurs),  une carde souple pour faire les finitions,  une brosse en poils de sanglier pour lustrer le poil. Ne laver jamais un chien qui n’a pas été brossé avant surtout pendant la période des mues. Avant le brossage et le bain, le conseil est de préparer tout le matériel pour que vous n’ayez pas à courir lorsque votre chien aura finit son bain. Tout d’abord, préparer le shampooing dans une bouteille en plastique avec un petit trou dans le bouchon pour ne pas gâcher de produit. Vous pouvez utiliser les bouteilles sport « VITTEL », les bouchons sont très pratiques et se referment en une seule pression. Attention à la dilution du produit, respectez les doses. Il sera dilué avec de l’eau tiède pour ne pas altérer les qualités du shampooing. Une fois que le shampooing est prêt, vous pouvez passer à un bon brossage. Ne négliger pas cette opération, vous risquez de former de gros nœuds. Pire encore si votre chien commence ou est en mue, vous courez à la catastrophe. Ensuite, vous allez commencer par mouiller longuement votre chien, sur tout le corps (attention aux oreilles : ne pas faire rentrer d’eau dedans, il risquerait d’attraper une otite). C’est une opération très longue, elle peut prendre entre 15 et 30 minutes selon la qualité et la quantité de poils de votre samoyède. Si vous ne mouillez pas assez votre chien, vous pouvez vous retrouver avec un chien de couleur bleue, ce qui n’est pas l’effet escompté après un bain. Ensuite, faites mousser le shampooing sur votre chien. Ne pas oublier de laver les coudes, le ventre et les fesses. Ce sont quelques endroits qui sont souvent mal shampooinés. Si avant le lavage, votre chien était très sale, vous pouvez procéder à un deuxième shampooing. Le rinçage est une opération longue et importante. Prenez votre temps, il ne doit plus rester de shampooing sinon vous allez irriter la peau de votre chien ou alors le shampooing colorera sa fourrure. Lorsque toutes ses opérations seront finies, laissez-le s’ébrouer le plus possible, et vous l’envelopperez dans les grandes serviettes que vous avez préparées. Frottez-le pour absorber le maximum d’eau. L’opération suivante consiste à sécher le chien au moyen cité ci-dessus, soit d’un sèche-cheveux ou soit d’un pulseur ou encore d’un pulseur-séchoir, en commençant toujours par la tête, puis la ligne de dos et le poitrail, les flancs… C’est l’opération la plus longue, puisque vous ne devez absolument pas laisser sortir votre chien dehors (surtout l’hiver) tant que le sous-poil ne sera pas sec. Si tel est le cas, il peut s’enrhumer, et oui un chien mal séché peut attraper froid. En été, avec les beaux jours, il sèchera plus vite dehors. Quand il est sec, vous pouvez procéder un brossage à rebrousse-poil avec le peigne ou la brosse en poil de sanglier ou encore avec la carde, ainsi il trouvera toute sa splendeur. Une dernière petite opération peut être effectuée. Elle consiste avec une paire de ciseaux droits à couper les poils qui se situent entre les coussinets. Attention à ne pas blesser les coussinets.

Mouhahaha Smiloooooooooo !!!

En tout cas moi je dis : "mais arrêtez, sortez les de là, ils sont trop trop malheureux" hein vous trouvez pô !!! Superbes tous les 2... et comme dit Smiloooo : félin l'un pour l'autre !!! mouhahaha !!!

Trop trop chou !!!

Oh non prem's !!! j'suis plus vieille !!! hahaha !!!

Moi je sais que quand j'y suis allée l'année dernière et bien on avait rien mis et surtout j'avais rien préparé !!! wooooooooooooooh la vilaiiiiiiiiiiiiiine !!!

Je mords si on m'enlève le chocolat de la bouche... mais quand il en reste, je lèche !!! hahaha !!!