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chantal7683

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Tout ce qui a été posté par chantal7683

  1. moi j'ai eu du mal aussi après mes déboires avec la queue à Bili maintenant j'en ai un extra et mignon a regarder alors je le garde
  2. moi je suis allez chez mon véto pour acheter les comprimés pour les vers et je lui ai posé la question voilà sa réponse il n'y a pas assez de recul sur la vaccination et sa durée et il est fort probable que tout les ans c'est beaucoup car le corps produit des anticorps qui laisse une trace dans l'animal la rage par contre il est pour tout les an mais les labos le préconise et nous vétos nous faisons ce que les labos disent car ce n'est pas notre métier de travailler sur les résultats d'une vaccination nous notre métier c'est de prendre le médicament pour nous servir a sauver une vie par contre il est pour la vaccination annuelle car comme disait Lalie il peut voir l'animal au moins 1 fois par an
  3. chantal7683

    mes 2 félins

    En bref félin pour l autre:)
  4. chantal7683

    mes 2 félins

    je ne sais plus si je vous ai mis cette photo de mes 2 chatounets Jade et Boji Jade à une histoire je venais de perdre une petite chatte qui s'appellait Kaline de la FIV et mon véto m'a dit qu'elle avait un frère et une soeur qui avait été laisser dans un carton il n'avait que quelques jours elle avait été élevé au biberon je suis allée la chercher et elle me voue un amour inconditionnel Boji et venu quelques temps après en bas de chez moi une femelle a eu une portée c'est mon fils Bastien aui est tombé amoureux de cette boule de poil c'est la crème ce chat et c'est bien son chat quand Bastien rentre il lui parle et une petite vidéo de Jade 7 ans http://video.google.fr/videoplay?docid=4703806077170964944
  5. et en plus il est bénéfique aux hypertendus alors au diable le vice
  6. c'est ce que je pensais aussi Mitzou la vaccination il le faut mais peut etre pas tout les ans c'est pas la première fois que j'entends se genre de reflexion
  7. personnellement ce n'est qu'une information qui je pense peux interesser mais justement nos futur vétos peuvent peut etre nous dire ce qu'ils en pense
  8. chantal7683

    A la neige....

    bonnes vacances et surtout n'oublie pas de nous ramener plein de photos
  9. Attention au chocolat chez le chien... Le chocolat contient un alcaloïde appelé "théobromine". La théobromine est toxique chez le chien et peut le tuer. La dose toxique chez le chien est de 100 - 150 mg/kg. Il est important de noter que les différents types de chocolats (semi-sucré, noir etc...) contiennent différentes concentrations de théobromine. Plus le chocolat est foncé, plus il contient de grandes concentrations de théobromine. Chez le chien, la théobromine est métabolisée très lentement. Or si un chien en mange une petite quantité qui semble inoffensive quotidiennement, il pourra s'intoxiquer graduellement, puisqu'il y aura une accumulation de théobromine dans son organisme. La chose la plus sûre est donc de tout simplement de ne pas offrir de chocolat à un chien. Un chien intoxiqué à la théobromine doit être conduit chez un vétérinaire dans les plus brefs délais. Voici quelques symptômes à surveiller: - vomissements - diarrhée - incontinence urinaire - hyperactivité, excès de nervosité, excitation - irrégularités cardiaque (ce qui peut causer une attaque) - tremblements musculaires - crises d'épilepsie - coma Il n'y a pas d'antidote pour la théobromine, mais le vétérinaire pourra aider le chien à l'éliminer, il arrêtera sans doute les crises d'épilepsie, le maintenant en vie durant l'élimination. Il est intéressant de noter que les empoisonnements à la caféine causent des symptômes similaires chez le chien. En résumé, ni café ni chocolat pour nos toutous... De même si vous donnez des gélules de phyto à votre chien, ou achetez des produits sur le marché dits "naturels", vous devez toujours vérifier que ces produits ne contiennent pas de chocolat, ou de théobromine (comme les gélules de graines de cacao par exemple...qui sont destinées à l'humain uniquement)
  10. Liste des Plantes Toxiques chez le chat Voici une liste NON EXHAUSTIVE des plantes de jardin, de maison, ou d'appartement, dont la dangerosité ets connue à l'ingestion, également au machouillage, pour certaines au contact (Géranium notamment) chez le chat. (par ordre alphabétique) Abricot (noyau) Abrus à chapelet Aglaonema modestum Aloès Amaryllis Arum Arum d'Éthiopie Arum géant Arum vénéneux Asparagus plumeux Asparagus setaceus Asparagus sprengeri Azalée Cactus candélabre Caladium Caladium Florida Beauty Ceriman Cerise (graines et feuilles flétries) Cerisier de Jérusalem Cinéraire Clématite Cordyline australis Croton Croton à feuilles de coudrier Croton miniature Cycade du Japon Cycadophytes Cyclamen Dieffenbachia Dieffenbachia maculé Dieffenbachia Tropic Snow Digitale Dracaena deremensis Warneckii Dracaena Janet Craig Dracaena surculosa Dragonnier Dragonnier à bords rouges Dragonnier balsamique Dragonnier balsamique Massangeana Dragonnier marginé Elaine Eucalyptus Ficus Cuban Laurel Ficus elastica Figuier panduriforme Figuier pleureur Géranium Gui de chêne Gypsophile Hedera helix Herbe à puce If commun Ipomée de Horsfall Jonquilles Kalanchoé Kalanchoé beharensis Laurier rose Lierre Branching Lierre d'argent Lierre d'été Lierre glacier Lierre grimpant Lierre grimpant Needlepoint Lierre grimpant Sweetheart Lis de Pâques (surtout pour les chats) Lis oriental (surtout pour les chats) Lis speciosum (surtout pour les chats) Lis tigré (surtout pour les chats) Marijuana Marronnier Monstera Monstera deliciosa Muguet Narcisse Nephtytis Pêche (feuilles flétries et noyaux) Philodendron Philodendron à feuilles incises Philodendron bipinnatifidum Philodendron cordé grimpant Philodendron de Selloum Philodendron monstera Philodendron Red Emerald Philodendron rougissant Plant de tomates (fruit vert, tige et feuilles) Plante-araignée Podocarpe à grandes feuilles Poinsettia (faible niveau de toxicité) Pomme (graines, pépins) Pothos Pothos doré Primevère Reine de marbre Rhododendron Ricin Safran officinal Sagittaire cunéaire Sansevière à trois bandes Schefflera Scindapsus Scindapsus aureus Scindapsus pictus Argyraeus Séneçon de Rowley Siguine couleuvre Solanacées Spathiphyllum Strélitzia Sumac occidental Si vous vous apercevez que votre chat a grignoté ou ingéré une de ces plantes, surtout ne tardez pas à vous rendre chez votre vétérinaire. Il ne faut pas attendre, se disant que le chat va bien, parfois les symptômes se déclarent quelques jours plus tard ! Et plus on attend, plus il est difficile de remettre votre chat sur pattes...
  11. 25/11/2007 Une campagne contre les expériences dans l’industrie alimentaire pour animaux familiers A plusieurs reprises j'avais parlé de ce scandale l'année passée. Je n'ai jamais été prise au sérieux, mais régulièrement critiquée pour mon soi-disant "extrémisme", encore très récemment d'ailleurs à propos de mes (nos) considérations en matière d'alimentation pour les animaux. C'est dommage car la réalité dépasse, en cette matière, nettement la fiction ... Eukanuba avait été montrée du doigt il y a quelques années, pour avoir été l'une des premières en cause dans l'utilisation de la vivisection à l'origine de ses petfoods. Depuis ... le silence demeure, tel un voile opaque, sur ces pratiques, pourtant légion dans d'autres grandes marques connues. Aujourd'hui enfin One Voice reprend à son compte ce scandale et propose des moyens d'action. Je les en remercie. Il était vraiment temps ... Carole B-M _____________________________________________________________________________________________ Jusqu’à présent, en France, l’expérimentation animale pour la fabrication de produits alimentaires destinés aux animaux familiers n’avait jamais été dénoncée. Ayant eu connaissance de ces pratiques, One Voice a décidé de les combattre en lançant une campagne de fond, afin de mettre au jour les expérimentations subies par des milliers de chats et de chiens. Nous sommes déterminés à obtenir des fabricants l’abolition de ces tests, grâce à l’élargissement de notre label « cosmétiques non testés », aux aliments pour animaux. Le marché en chiffres Les aliments pour animaux de compagnie génèrent chaque année dans le monde près de 43 milliards de dollars. Avec ses 19 millions de chiens et de chats, la France est le pays d’Europe qui possède le plus d’animaux de compagnie et qui de ce fait représente le plus gros marché européen avec 2 milliards d’euros. Derrière l’emballage, l’horreur Devant un tel marché à conquérir, les marques proposent des nouvelles gammes qui fleurissent dans les rayons de nos supermarchés. Mais derrière un marketing nous vantant les bienfaits d’une alimentation étudiée, des nouveautés de la recherche en matière de nutrition pour le bien être de nos compagnons, se cachent souvent des expériences effectuées sur des chats et des chiens. NB : ce que One Voice ne dit pas encore, c'est que les marques vendues dans les cliniques vétérinaires n'échappent pas toutes à ces horreurs expérimentales sur les animaux. Un jour sans doute, la liste des marques réellement incriminées sera diffusée... Dans les marques de grande surface, une dont je suis absolument certaine qu'elle ne teste pas sur les animaux est BREKKIES. Qu'on se le dise ! Une cruauté sans limites Privations alimentaires, isolements dans des cages exigues, gavages, carences volontaires…Voici quelques exemples non exhaustifs des pratiques réalisées dans les laboratoires. Dans le but de vérifier les effets de certains nutriments sur l’organisme, on réalise des ablations d’organes comme les reins, les organes génitaux ou on mutile les animaux vivants en leur effectuant régulièrement des prélèvements en tout genre… Lorsqu’ils ne meurent pas des suites des expériences, ces animaux peuvent subir des mauvais traitements pendant des années. Autant de temps à être utilisés jour après jour, comme de simples outils de tests, sans aucune considération pour leur vie. La composition même des produits génère quant à elle une autre polémique : une partie de la viande contenue dans les boites est composée d’animaux blessés dans les élevages intensifs et les transports, et maintenus le plus longtemps en vie afin d’en conserver toute la « fraîcheur »… Il n’y a pas de profit négligeable pour les abattoirs. NB : ce que One Voice ne dit pas non plus, c'est que des cadavres de chats et de chiens font aussi partie de ces viandes animales; et pour cela aussi je suis certaine qu'ils finiront par le dénoncer Le début d’un long combat La mise en place de la campagne est axée sur une grosse partie d’information. Les nombreux foyers qui considèrent leur compagnon à quatre pattes comme un membre de la famille doivent savoir ce qui se cache vraiment derrière les aliments qu'ils leur distribuent quotidiennement. Pour un label « non testé sur animaux » En parallèle de cette mobilisation, One Voice a déjà commencé à soumettre des dossiers aux fabricants et à les inviter à rejoindre son label excluant tout test sur les animaux pour l’élaboration et la fabrication des produits petfoods. Si ces firmes acceptent une mise aux normes, elles pourront être certifiées par un organisme indépendant, et faire partie du label « non testé sur animaux » visé par One Voice, de la même façon qu’a été créé le label pour les produits cosmétiques. Cette campagne initie ainsi le premier maillon d’une longue chaîne d’actions visant à abolir les expérimentations sur les animaux. Le travail auprès des fabricants s’annonce long, le processus de certification exigeant beaucoup de rigueur. Comment agir ? One Voice nous propose à tous de suivre quelques recommandations : cliquez ici pour en savoir plus, en fin d'article http://www.experimentation-animale.org/version_imprimable/animaux_concernes/campagne_tests_aliments_print.html
  12. Meme si ces réactions semblent peu nombreuses, leur nombre, mis en perspective, est significatif. Selon les calculs des Drs Denis W. Macy et Mattie J. Hendrick, on vaccine aux États-Unis 22 millions de chats par année (environ 25 millions pour l'Amérique du Nord39). Il y aurait donc en Amérique du Nord de 2 500 à 50 000 cas par année. Comment réagiraient les autorités et le public en apprenant qu'en Amérique du Nord, depuis dix ans, entre 25 000 à un demi-million d'enfants sont morts d'un cancer directement relié à l'administration d'un vaccin et que diraient les parents s'ils savaient que ces vaccins sont souvent inutiles, voire inefficaces, qu'ils ne servent qu'a faire marcher les affaires et que la plupart d'entre eux sont encore couramment utilisés. Les cocktails de vaccins Les vaccins à valence multiple (cocktail) qui sont d'usage courant en médecine vétérinaire et qui peuvent contenir un mélange de cinq à sept et meme neuf vaccins différents sont très pratiques du point de vue commercial et ils réduisent le traumatisme associé à l'inoculation. Mais, du point de vue médical, ces vaccins ne sont pas sans inconvénients et ils soulèvent pour plusieurs raisons une vive controverse dans le milieu vétérinaire. D'une part, ils ne permettent pas de vacciner avec discernement selon le cas particulier de l'animal et ils ne nécessitent aucune connaissance approfondie des maladies en question. L'animal est vacciné systématiquement meme contre des maladies qu'il est peu probable qu'il contracte41. D'autre part, ces vaccins seraient à l'origine d'un nombre indéterminé d'échecs vaccinatoires et de réactions post-vaccinales indésirables. Dans des conditions naturelles, seuls un ou deux microbes à la fois peuvent menacer un individu, jamais cinq, six ou neuf à la fois. Bombardé par des doses excessives de corps étrangers différents et de façon répétée, submergé par cette invasion massive, le système immunitaire s'embrouille et se trouve incapable de réagir efficacement; la vaccination risque donc d'échouer. Par ailleurs, le système immunitaire peut s'affoler et fabriquer par erreur des anticorps qui attaquent et détruisent des éléments vitaux de son propre corps, comme les globules rouges et les plaquettes (éléments du sang intervenant dans la coagulation42). Selon le Dr Jean Dodds, une vétérinaire américaine, ces réactions ont lieu peu de temps après la vaccination, en général dans les mois qui suivent, et se traduisent par des hémorragies internes très graves difficiles à arreter et bien souvent fatales (maladies hémolytiques auto-immunes, thrombocytopénie, etc.). La fréquence de ces réactions est inconnue, mais les chiens de race pure ayant un système immunitaire défectueux (rottweiler, doberman, épagneul, etc.) seraient particulièrement prédisposés43. Enfin, la grande pluralité de ces vaccins et la concentration élevée d'antigènes3qu'ils contiennent seraient aussi en cause dans l'apparition des cancers de peau chez le chat44. Autres réactions adverses De nombreuses autres réactions adverses ont été observées tant chez le chien que chez le chat. En voici une liste succincte: réactions d'hypersensibilité (allergie au vaccin, états anaphylactiques); suppression du système immunitaire et déclenchement d'une maladie latente, comme la leucémie, la péritonite infectieuse, l'immunodéficience féline; interférence avec les résultats de certains tests diagnostiques (ELISA) entraînant de faux résultats positifs; susceptibilité accrue aux allergies, soit au pollen, à la nourriture ou meme à son propre corps (maladie auto-immune de la thyroïde, du rein, des globules rouges, des plaquettes, etc.); aggravation de certaines affections existantes, comme le cancer, l'épilepsie, les allergies. À ces réactions s'ajoute la possibilité que se développe une forme atténuée de la maladie (virulence résiduelle) ou que, en raison d'une contamination bactérienne ou virale du vaccin, diverses maladies infectieuses se manifestent (variante de la maladie de Creutzfeldt-Jakob, par exemple). En outre, certaines maladies chroniques, aussi bien chez les animaux que chez les humains, seraient en partie reliées à la persistance, dans les cellules, du corps des virus et des protéines utilisés dans les vaccins. Ce phénomène expliquerait l'augmentation récente du nombre de maladies chroniques chez les humains et chez les animaux45. Zones grises Dans le domaine de la vaccination des animaux, il existe une multitude de zones grises qui laissent toute latitude aux spécialistes de la mise en marché. En ce qui concerne les animaux de compagnie, meme si plusieurs maladies dont la rage, la maladie de Caré (distemper), la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat, semblent bien contrôlées, il n'y a pas, comme en médecine, d'études rétrospectives autres que des rapports anecdotiques qui permettraient d'évaluer les bienfaits réels des campagnes de vaccination46. Sauf pour la rage, il n'existe aucune donnée sur la prévalence et la répartition géographique des maladies infectieuses des chiens et des chats. Il n'y a aucun système de déclaration comme en médecine, et cette lacune se traduit par la vaccination systématique des animaux contre des maladies qu'ils sont souvent peu susceptibles d'attraper47. Sauf pour la rage, il n'y pas d'études sur la durée d'immunité des vaccins. Les fabricants ne désirent pas poursuivre des épreuves de durée d'action au-delà d'une année, sauf si la loi les y oblige, comme pour la rage. Ces études s'arretent à trois ans dans le cas de la rage, mais il n'y a aucune raison de croire que ce vaccin n'est pas efficace pour une plus longue durée48. Il n'y a aucune surveillance des réactions adverses à la vaccination. Les vétérinaires ne sont pas tenus de les signaler et en général ils ne le font pas49. En absence de protocoles d'expérimentation standardisés, il est difficile de comparer les études50. Il n'y a aucune standardisation des protocoles de vaccination comme en médecine. Chacun peut vacciner selon ses convictions personnelles ou sa stratégie commerciale51.
  13. La vaccination des animaux Par Charles Danten La vaccination, "cet acte médical privilégié, raisonné et toujours délicat1", inventée par Jenner en 1796 et mise au point par Pasteur (1885), Salke (1954) et de nombreux autres, sert à induire la protection d'un individu ou d'une population contre une ou plusieurs maladies. Son principe est bien connu; il consiste à administrer à un etre vivant la forme atténuée d'un microbe ou d'une toxine dans le but de provoquer la formation d'anticorps et d'une mémoire immunologique qui lui permettra de réagir et de résister à une maladie2.L'utilisation, meme judicieuse, des vaccins comporte toujours certains risques, mais en général on pense qu'ils sont largement compensés par les avantages. Il semblerait toutefois qu'en médecine vétérinaire la vaccination soit devenue depuis quelques décennies un acte risqué, dans certains cas dangereux et souvent sans aucune signification médicale3. Ainsi, plusieurs sont d'avis que certains vaccins sur le marché ne sont inefficaces et que les animaux sont souvent vaccinés inutilement4. La vaccination annuelle Depuis environ vingt-cinq ans, les fabricants pharmaceutiques recommandent, sans justification scientifique, la vaccination annuelle des carnivores domestiques (chat, chien, furet). Or les principes de l'immunologie garantissent qu'une proportion statistiquement significative d'individus seront protégés pour une longue période, voire à vie, par une vaccination bien menée. C'est particulièrement vrai pour les vaccins contre les maladies virales aiguës comme la maladie de Caré (distemper) du chien et du furet, l'hépatite et la parvovirose du chien, la panleucopénie du chat. Déjà en 1978, une étude chez le chat avait démontré qu'il était suffisant de vacciner aux trois ans et récemment les Dr Fred W. Scott et le Dr Cordell M. Geissinger, deux vétérinaires, chercheurs Américains de l'Université de Cornell, ont démontré de façon convaincante que des chats correctement vaccinés étaient encore protégés… 71/2 années plus tard (5). Les Drs Schultz et Phillips, deux spécialistes américains, écrivaient en 1996 ce qui suit dans ce qui est considéré comme la bible en médecine thérapeutique vétérinaire (Kirk's Current Veterinary Therapy): "Une pratique commencée il y a de nombreuses années et qui manque de validité et de vérification scientifique est la vaccination annuelle. Presque sans exception, il n'est nullement besoin, du point de vue immunologique, de vacciner annuellement. L'immunité par rapport aux virus persiste pendant des années, voire durant toute la vie de l'animal. Une vaccination réussie produit une mémoire immunologique qui dure des années et qui permet à un animal de réagir adéquatement lorsqu'il est exposé à un organisme virulent. La pratique de la vaccination annuelle, à moins d'etre utilisée comme un moyen pour faire faire un examen annuel ou d'etre requise par la loi, comme c'est le cas dans certaines régions pour la vaccination contre la rage, devrait etre considérée, à notre avis, comme peut efficace." 6. Le Dr Niels C. Pedersen, du département de médecine et d'épidémiologie de l'École de médecine vétérinaire de l'Université de Californie, a corroboré cette opinion au cours d'une conférence organisée en mars 1997 par l'une des associations vétérinaires les plus importantes au monde, l'American Animal Hospital Association (AAHA): "De nombreux vétérinaires et un nombre encore plus grand de clients en sont venus à remettre en question le fondement médical de la vaccination annuelle, de routine, de leurs animaux, et avec raison! Cette pratique n'est pas défendable, alors pourquoi continuer à débattre et à ignorer la question? Nous ne nous faisons pas inoculer cinq ou six vaccins différents chaque année de notre vie, alors pourquoi en serait-il autrement pour nos animaux? On inocule plusieurs vaccins aux humains pendant l'enfance et ils assurent une protection à vie pour une proportion significative des sujets vaccinés. Il y a vingt ans, les vaccins étaient injectés seulement aux chiots et aux chatons. La seule exception était la rage, contre laquelle on préconisait un rappel aux deux à trois ans, plus pour des raisons d'hygiène publique que pour protéger la santé de l'animal. Pourquoi, alors, persistons-nous à donner des injections de rappel annuellement, alors que cette pratique n'est pas justifiée d'un point de vue médical? Les justifications originales de cette pratique s'appuyaient sans doute sur des rapports anecdotiques de la déclaration d'une maladie chez des animaux âgés et vaccinés et sur la nécessité de faire revenir un animal chaque année pour un examen physique complet. Malheureusement, la première de ces justifications n'est pas fondée et la deuxième était probablement donnée pour mieux faire avaler la nécessité d'une inoculation annuelle7. Les vaccins de rappel sont perçus par beaucoup de gens comme un moyen pour le vétérinaire de faire de l'argent." (64) Les vaccins à la recherche d'une maladie Alors que le nombre de vaccins pour les humains est relativement restreint, les vaccins pour les animaux sont nombreux et leur nombre augmente presque chaque année. Depuis 1975, le nombre de vaccins sur la marché a plus que doublé et cette prolifération répond plus aux impératifs du commerce qu'à la nécessité d'enrayer une épidémie ou certaines maladies infectieuses endémiques (maladie permanente dans une région) graves8. Selon le Dr Pedersen, les normes de licence nécessaires pour mettre un produit sur le marché sont beaucoup moins rigoureuses que pour les humains et le laxisme encourage cette prolifération9. Présentement, 28 nouveaux vaccins cherchent à se tailler une place sur le marché. Ces vaccins sont tellement inutiles qu'on les appellent "les vaccins à la recherche d'une maladie10". Les fabricants s'adressent directement aux sentiments du public et meme du vétérinaire pour promouvoir leurs produits. Les campagnes de promotion de certains fabricants mettent en avant de fausses allégations pour créer une demande et stimuler la vente. Par exemple, la gravité de la maladie de Lyme chez les humains a été faussement étendue aux chiens qui n'en présentent pourtant qu'une forme bénigne11. La publicité a meme laissé entendre qu'en vaccinant son chien, on protège ses enfants contre cette maladie12. Cette campagne de peur a fait vendre des millions de doses de ce vaccin, meme dans des régions où cette maladie n'a jamais été rapportée13. Des millions de chiens se voient aussi inoculer un vaccin inefficace contre la maladie due au virus corona, une maladie gastro-intestinale relativement rare et limitée aux élevages surpeuplés et malpropres14. Il en va de meme pour d'autres maladies, notamment la péritonite infectieuse, la chlamydiose et la leucémie du chat15. L'efficacité et la sécurité des vaccins Le Dr Schultz, un chercheur indépendant américain, spécialisé dans les maladies infectieuses des animaux, a trouvé que sur six vaccins contre la parvovirose du chien, une maladie gastro-intestinale des chiots très grave et souvent fatale, seulement deux étaient efficaces16. Une autre étude, hollandaise celle-là, a démontré que sur six vaccins contre la rage, deux étaient totalement inefficaces et deux autres n'étaient que marginalement efficaces17. Selon d'autres études indépendantes, certains vaccins contre la leucémie du chat seraient comparables à de l'eau distillée18 et les meilleurs auraient au plus une efficacité de 25 % à 50 % et non de 90 % à 100 % comme l'affirment les fabricants19. Plusieurs autres vaccins sur le marché ne sont pas efficaces pour des raisons qui ont été bien démontrées (péritonite infectieuse du chat, coronavirus du chien, leptospirose du chien, chlamydia du chat20). La grande majorité des études sur l'efficacité sont réalisées par les fabricants et elles sont souvent difficiles à interpréter et à comparer, car il n'y a aucune standardisation des protocoles expérimentaux21. Sur le plan de la sécurité, certains produits sont peu sécuritaires et le nombre de vaccins à usage vétérinaire qui restent sur le marché malgré le fait qu'ils entraînent des conséquences graves est assez élevé. Par exemple, un vaccin contre la maladie du virus corona, une maladie gastro-intestinale du chien, a tué des centaines de chiens, avant d'etre retiré du marché22 et, depuis six ans, des vaccins responsables du cancer de la peau chez le chat tuent des centaines de milliers de ces betes23. Bien que seulement 10 % des chats de plus de quatre mois soient susceptibles de souffrir de la leucémie du chat, une maladie qui apparaît dans des conditions bien précises, on continue de leur inoculer un vaccin contre cette affection, dont l'utilité et l'efficacité restent douteuses24. En fait, le taux de réactions adverses serait aussi élevé que l'incidence de cette maladie25. Seulement sept des 22 écoles vétérinaires aux États-Unis utilisent ce vaccin, et seulement sur demande dans des situations bien précises26. Les protocoles de vaccination Contrairement à la médecine des humains, la médecine des animaux n'a pas de protocoles d'immunisation standardisés. L'emploi des vaccins, leur type, le nombre de vaccins à inoculer et la dose sont établis par les fabricants27. Les stratégies de mise en marché employées par le vétérinaire, la compétition, et pas nécessairement les principes d'immunologie, déterminent la fréquence de vaccination, les intervalles entre les vaccins et parfois meme les doses à injecter28. Les animaux peuvent etre vaccinés inutilement, sans qu'on tienne compte des risques possibles d'exposition. Meme ceux qui ne vont jamais dehors et qui n'ont aucun contact avec d'autres animaux sont vaccinés tous les ans systématiquement. Un chat qui vit seul dans un appartement au 12e étage d'un immeuble au centre-ville peut recevoir en meme temps, à chaque année de sa vie, un vaccin contre la rage, la péritonite infectieuse, la leucémie, la panleucopénie, les virus respiratoires herpès et calicivirus, la chlamydiose. Les chiens qui ne vont que d'un coin de rue à l'autre ou des bras de leur maîttresse au divan peuvent recevoir chaque année pour le reste de leur vie un vaccin contre la maladie de Lyme, la rage, la maladie de Caré, l'hépatite virale, le parvovirus, le parinfluenza, le corona virus, la leptospirose et un vaccin intranasal contre la grippe du chien. Il sera bientôt possible de vacciner également contre le rotavirus qui cause une maladie rare et peu étudiée29. Il arrive souvent qu'on vaccine un animal la veille ou le jour d'une chirurgie de routine, alors que son système immunitaire, qui sera déjà affaibli par le stress de l'opération, n'est pas en mesure, au moins pour les deux semaines suivantes, de réagir avec efficacité30. Aux États-Unis 20 % du marché de la vaccination repose sur la vente au public. Les éleveurs et les propriétaires achètent par catalogue les vaccins qu'ils veulent donner à leurs animaux. Il est meme possible de commander des seringues et des aiguilles pour les injecter, ainsi que des médicaments comme l'épinéphrine pour traiter une éventuelle réaction allergique au vaccin. Les protocoles de vaccination recommandés par les fabricants préconisent, à l'encontre de tous les principes de l'immunologie, de vacciner les jeunes animaux dans certains cas toutes les semaines pendant six ou sept semaines, alors qu'une ou deux fois à deux semaines d'intervalle, selon l'âge et le type de vaccin, est suffisant31. Les animaux qui ne vont jamais dans les régions où une maladie est présente sont vaccinés quand meme. Il s'est vendu aux États-Unis et au Canada des millions de doses d'un vaccin contre la maladie de Lyme qui n'a été signalée que dans deux États du nord-est des États-Unis32. Les réactions adverses Le cancer de la peau C'est un peu grâce au chat et à la nature particulière de sa physiologie que la vaccination des animaux de compagnie est devenue depuis quelque temps un sujet si controversé. En effet, cet animal est très sensible aux médicaments qui provoquent souvent chez lui des réactions indésirables. Depuis quelques décennies, les vaccins en ont tué des milliers35. Certains vaccins contiennent des substances irritantes (adjuvants) qui servent à déclencher sur le site d'inoculation une réaction inflammatoire qui favorise la réponse immunitaire. Chez le chat, cette réaction, pour des raisons inconnues, se transforme en tumeur cancéreuse. Le nombre de ces tumeurs augmente avec le nombre de vaccins administrés simultanément et avec le nombre de répétitions. L'inoculation toujours au meme endroit augmenterait les risques. Les vaccins contre la rage et la leucémie seraient plus particulièrement en cause, mais ce ne sont pas les seuls36. L'incidence de ces cancers serait de 100 à 1000 cas par million37. À une conférence sur la vaccination tenue à Montréal en mars 1998, le Dr Ford, un spécialiste américain de la vaccination, a meme cité le chiffre de 2000 cas sur un million38.
  14. 07/02/2008 Les chenilles processionnaires du pin et nos animaux La chenille processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa.) est la forme larvaire d'un insecte appartenant à l'ordre des lépidoptères (un papillon nocturne, gris avec des motifs noirs et des taches blanches). L'activité des chenilles, l'alimentation et la confection du nid sont nocturnes. Le développement larvaire complet s'effectue en cinq stades, pendant la fin d'été, l'automne et l'hiver. Dans les premiers stades larvaires, les chenilles ne sont, paraît-il, pas urticantes. Dès leur éclosion en été, trente à quarante jours après la ponte, les larves commencent à manger des aiguilles de pin et tisser des abris en soie. Ces premiers abris sont légers et peuvent passer inaperçus. Une touffe d'aiguilles qui jaunit en est la principale manifestation. Dès que la zone autour de leur abri n'offre plus de nourriture suffisante, les chenilles émigrent plus haut dans l'arbre et forment un nouveau nid. On peut parfois les voir migrer en procession sur le tronc ou les branches de leur pin, lors de journées ensoleillées. Pour finir, les chenilles construisent un nid solide pour passer l'hiver, qui les protège du froid et de la pluie. Ce dernier nid, construit fin octobre ou début novembre dans les branches les plus hautes, est beaucoup plus gros et solide que les précédents, et de ce fait, très visible. Les aiguilles autour desquelles est bâti le nid sont conservées intactes. À la fin de leur développement, en mars ou avril, les chenilles quittent l'arbre et cherchent un endroit au sol suffisamment chaud et meuble pour s'enfouir et se transformer en chrysalide, d'où émergera le papillon. Les chenilles se déplacent en processions de plusieurs dizaines d'individus, chaque chenille étant reliée par un fin fil de soie à la précédente. Les chenilles sont parfois visibles dès le mois de janvier si le temps est doux. Les papillons peuvent s'envoler quelques mois plus tard, mais les larves peuvent aussi dans certains cas rester quelques années dans le sol avant de prendre leur envol. Ces chenilles consomment donc les aiguilles des pins (et parfois de cèdres). Des branches sont défoliées, d'autres portent des aiguilles jaunies et flétries, comme brûlées. La défoliation ne provoque pas la mortalité des arbres mais en ralentit la croissance. Les chenilles forment des nids très visibles en hiver et les arbres prennent un aspect peu esthétique. En fin d'hiver, les chenilles et les nids sont un danger pour les personnes et les animaux domestiques . Ces chenilles sont donc une plaie, et dans certaines régions des règlements imposent aux propriétaires de pins infestés de les traiter. La chenille processionnaire du pin est décrite classiquement comme infestant la forêt méditerranéenne, et on la trouve en Europe méridionale et centrale, ainsi qu'en Afrique du Nord. En France, toutes les régions au sud d'une ligne Lorient - Orléans - Dijon sont atteintes, sauf en montagne. Certains pensent que les chenilles sont de plus en plus fréquentes. Je n'ai pas trouvé de références confirmant ou infirmant ce fait, mais les chenilles bénéficient de conditions favorables : - on a planté beaucoup de bois et forêts de pins, - les hivers sont de moins en moins rigoureux, donc la chenille a pu s'étendre au nord de sa zone d'origine, - les populations de calosomes et de guêpes parasites ont peut-être été affaiblies par les insecticides. On trouve parfois des nids de chenilles sur d'autres arbres que les pins, sur des feuillus. Il s'agit d'autres espèces de chenilles, sur lesquelles je n'ai aucune information. En particulier, la chenille processionnaire du chêne semble redoutée des forestiers. Le traitement préconisé contre la chenille du pin est efficace contre toutes les chenilles, mais la période de traitement est peut-être différente. Elles ont malheureusement peu de prédateurs, les oiseaux en général ne les mangent pas à cause de leurs poils urticants et de leur mauvais goût. Seul le coucou s'attaque aux chenilles, parfois même dans leur nid, et la mésange huppée chasse la première forme larvaire. On m'a rapporté que des mésanges les chassent lorsqu'elles sont en procession. Leur principal prédateur est le grand calosome, un carabe, insecte coléoptère vivant ordinairement sur le sol, remarquable avec ses élytres aux reflets verts métalliques . C'est la larve de calosome, ressemblant quelque peu à une chenille, qui en fait la plus grosse consommation. Elle monte parfois aux arbres pour attraper ses proies. Plusieurs espèces de guêpes ainsi qu'un champignon, le cordiceps, peuvent les parasiter. Danger des chenilles processionnaires En fin d'hiver et au printemps, les chenilles se déplacent au sol en procession. On peut aussi en voir occasionnellement lors de belles journées d'hiver ou même en fin d'automne. Les chenilles sont recouvertes de poils urticants et peuvent occasionner des désagréments ou même des ennuis graves aux personnes et aux animaux. Chaque poil est relié à une glande à venin. Ce venin, provoquant une nécrose tissulaire, est libéré lorsque le poil très fragile se casse. En cas de vent, des poils urticants infestant les nids peuvent être dispersés et tomber sur les promeneurs ou être inhalés. Les ennuis provoqués sont des démangeaisons, des oedèmes, des troubles oculaires, des accidents respiratoires et d'autres symptômes plus ou moins graves suivant les individus, en particulier s'ils sont allergiques ou asthmatiques. Les petits enfants sont particulièrement exposés à ces risques (en cas de symptôme, consulter immédiatement). Les nids de chenilles dans les lieux publics, parcs et jardins, sont donc une grave menace de santé publique, qui devrait être sérieusement prise en compte. Les chiens sont tentés de flairer les chenilles de près et d'en avaler, ce qui provoque une nécrose de la langue, et peut être mortel (consulter immédiatement un vétérinaire). On m'a rapporté le cas d'un poney mort des suites de l'ingestion d'une branche infestée. Les chats, plus prudents, sont rarement atteints. Certains internautes qui m'écrivent semblent paniqués par ces chenilles, et envisagent sérieusement d'abattre leurs arbres. Si ces chenilles représentent bien un danger sérieux, surtout pour les petits enfants, les personnes allergiques et les chiens, il faut quand même relativiser. Le danger est moindre que les guêpes et frelons qui font quelques dizaines de morts par an en France ; et pour les personnes allergiques, le pollen provoque bien plus d'ennuis. Ceci dit, il faut bien s'accommoder de ces chenilles, et donc prendre toutes les mesures pour s'en protéger. Les gestionnaires d'espaces publics, parcs, bois et jardins (municipalités, etc.) devraient prendre la mesure de ce danger pour la santé publique, ce qu'elles ne font pas toujours. Les consignes individuelles sont : ne pas toucher les chenilles, ni se promener sous les forêts de pins en hiver ou au printemps un jour de vent, et chez soi, traiter les pins, détruire les nids. Surveiller attentivement son chien en promenade et lui éviter de renifler les chenilles processionnaires.
  15. je pense que c'est le mieux a tout a l'heure
  16. qu'est ce qu'il grandi vite il est super mignon ce petit bout et c'est vrai qu'il a des expressions de coquinou
  17. parfois c'est les vers on y pense pas mais ça fait des dégats dans le tube digestif
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