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Tigron

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Tout ce qui a été posté par Tigron

  1. JAPANESE BOBTAIL (poils courts et longs) Introduction L’art nippon témoigne de la présence ancestrale au Japon d’élégants chats à la queue en pompon. La Seconde guerre mondiale donna l’occasion aux Occidentaux de découvrir le Japanese Bobtail, mais il faut attendre la fin des années 1960 pour que commencent les premières importations vers les Etats-Unis. En 1968, Elizabeth Freret importe les trois premiers Japanese Bobtails, bientôt suivis par d’autres sujets avec la même expression orientale dans leur regard et la même curieuse petite queue enroulée. La race fut reconnue en 1976. Le Japanese Bobtail est un chat remarquable avec sa petite queue en pompon qui ressemble à celle d’un lapin. Il existe en deux variétés, une à poil court et une à poil mi-long. Tête : La tête forme, vue de face, un triangle équilatéral presque parfait avec des courbes douces et des pommettes hautes. Le nez est assez long et bien défini par deux lignes parallèles. De profil, le front est légèrement arrondi descendant sur une déclivité concave au niveau de la naissance du nez. Museau : Il est relativement large et arrondi, avec un pinch bien marqué et visible. Il n’est ni pointu ni massif. Le menton est fort. Yeux : Grands, plus ovales que ronds, ils sont bien ouverts et expressifs. De profil, ils sont nettement en biais. Le globe oculaire ne doit pas être enfoncé dans les orbites ou dans le front. Toutes les couleurs sont acceptées à condition qu’elles s’accordent avec la robe. Les yeux bleus ou impairs sont fréquents chez les chats bicolores et les blancs. Oreilles : Grandes, bien dressées et expressives, elles forment, vues de face, un angle droit avec la tête. Jamais dirigées vers l’extérieur, elles donnent, au repos, l’impression d’être inclinées vers l’avant. Encolure : ni trop longue ni trop courte, l’encolure est en harmonie avec le corps. Corps : de format semi-foreign, le corps est long, mince et élégant sans être tubulaire. Les lignes sont nettes et bien dessinées. Le dos est droit. Pattes : En harmonie avec le corps, les pattes sont hautes et fines sans être fragiles ou délicates. Les postérieurs sont plus hauts que les antérieurs et fortement angulés. Les aplombs avant/arrière sont bien parallèles. Pieds : Petits et ovales. Queue : La queue est naturellement enroulée sur elle-même de manière à former un pompon. Portée assez haut quand le chat est détendu, elle peut être souple ou rigide. Les poils sont suffisamment longs pour cacher complètement la structure osseuse. Robe et texture : Japanese Bobtail poil court : la fourrure fine et soyeuse est de longueur courte à moyenne avec très peu de sous-poil. Japanese Bobtail poil long : la fourrure fine et soyeuse est de longueur moyenne à longue avec très peu de sous-poil. Il peut y avoir une collerette. Le poil tombe naturellement sur les flancs et flotte en formant des culottes à l’arrière des postérieurs. Couleur et motif : Les chats de couleurs solides doivent avoir une robe unie et profonde, du bout de chaque poil jusqu’à la racine. Chez les chats bicolores et tricolores, appelées « Mi-Ké », les taches doivent être suffisamment distinctes et contrastées pour donner un effet spectaculaire. Une préférence notable est donnée à ces couleurs. Pénalités Tête courte ou ronde. Corps massif. Queue pas assez enroulée ou pompon détaché du corps. Refus de tout titre Absence de queue ou queue normale. Fautes et défauts généraux éliminatoires en exposition
  2. KURILIAN BOBTAIL Introduction Le Kurilian Bobtail est une race naturelle originaire des îles Kouriles, un archipel situé entre la péninsule du Kamchatka en Russie et le nord de l’île d’Hokkaido au Japon. Ce chat, caractérisé par sa courte queue en forme le pompon, est compact et très robuste. A poil court ou à poil long, il se rencontre dans une très large gamme de couleurs. Tête : Vu de face, la tête est en forme de trapèze, large au niveau des pommettes hautes et saillantes. De profil, la ligne du front est prolongée par une légère déclivité concave qui mène à un nez large et droit. Museau : Puissant et marqué, le museau est fort. Le menton est ferme. Yeux : Presque ronds, les yeux sont grands et implantés légèrement de biais. Toutes les couleurs sont acceptées sans qu’il y ait de relation avec la couleur de la robe. Oreilles : De taille moyenne, les oreilles sont bien espacées l’une de l’autre. Encolure : Puissante, l’encolure est assez courte. Corps : De format semi-cobby, le corps est compact et puissant. Des omoplates à la croupe, la ligne de dos est arquée. Pattes : De longueur moyenne, les pattes ont une ossature robuste et une musculature puissante. Pieds : Ronds. Queue : Longue de 3 à 8 cm, fourrure non comprise, la queue est composée de plusieurs coudes ou noeuds irréguliers. Robe et texture : Kurilian Bobtail poil court : fourrure courte et près du corps, avec un poil de garde important et un sous-poil développé. Kurilian Bobtail poil long : fourrure mi-longue, avec un poil de garde important et un sous-poil développé. Robes reconnues Catégories : traditionnelle, point Divisions : solide, tabby, silver/smoke, solide et blanc, tabby et blanc, silver/smoke et blanc Couleurs : toutes Mariages autorisés Kurilian Bobtail poil court X Kurilian Bobtail poil court Kurilian Bobtail poil court X Kurilian Bobtail poil long Kurilian Bobtail poil long X Kurilian Bobtail poil long Pénalités Queue de longueur comprise entre 8 et 12 cm. Queue droite sans coudes ni nœuds. Corps long. Type similaire à celui du Bobtail Japonais. Refus de tout titre Absence de queue. Queue de plus de 12 cm. Fautes et défauts généraux éliminatoires en exposition.
  3. Le chat écureuil D'hier à aujourd'hui L’origine du Somali est un mystère. Est-il apparu de manière spontanée dans des portées d’Abyssins ou est-il issu d’une hybridation avec une autre race de chats à poil long ? Personne ne le sait. On sait, en revanche, que depuis fort longtemps de petits chats poilus et duveteux naissaient dans des portées d’Abyssins. Dans le meilleur des cas, ils étaient vite donnés avant que leur présence ne s’ébruite. Jusqu’en 1963, lorsque Mary Mailling, éleveuse d’Abyssins, introduisit subrepticement un petit « poil long » à l’exposition féline de Calgary. Le juge, loin de rejeter le chaton, tomba sous le charme et demanda à Mary de le lui confier. Au même moment, aux Etats-Unis, Evelyne Mague commençait elle aussi à sélectionner des « poil long ». La route fut longue vers l’acceptation, car les éleveurs s’obstinaient à nier la présence du poil long dans leurs lignées. Mais la variété fut tout de même reconnue par la Cat Fancier Association en 1978. Son look Le Somali est un chat élégant, souple et agile qui peut paraître, du fait de sa fourrure, un peu plus lourd qu’il ne l’est en réalité. Sa tête est un triangle aux contours arrondis. Ses yeux en amande sont or, noisette ou verts. Ses oreilles, assez grandes, sont larges à la base, en forme de coupe et pointées vers l’avant. L’encolure est souple, arquée et bien attachée. Le corps, moyennement long, est musclé avec une cage thoracique légèrement arrondie. Les pattes sont proportionnellement minces par rapport au corps, bien musclées avec une ossature parfois plus forte que chez l’Abyssin. La queue assez longue est portée en panache. Mi-longue, la robe est fine, soyeuse et douce. Chez le lièvre et le sorrel -couleurs les plus courantes de la race-, la robe est particulièrement chaude et brillante. Aujourd’hui, la palette de couleurs s’est élargie mais le motif de la robe reste toujours le même. Tiquetée, elle a une qualité particulière qui réfléchit la lumière. Sa compagnie Comme l’Abyssin, le Somali à un caractère vif et enjoué, peut-être simplement un petit peu plus posé que celui de son cousin à poil court. Chose exceptionnelle, le standard le décrit comme un chat d’apparence royale, agile comme une panthère mais proche de l’être humain. Tout en lui est lumière surtout quand il croise le regard de son maître. Sa fourrure mi-longue exige peu d’entretien.
  4. Le Somali Chat renard, chat écureuil… On a fait beaucoup de comparaison pour décrire le Somali. Il est vrai qu’avec son regard mordoré et sa belle robe lumineuse, c’est un chat impressionnant qui n’a rien à envier aux plus belles créatures sauvages. Mariages autorisés: Somali X Somali Somali X Abyssin Description générale: Le Somali est la variété à poil mi-long de l’Abyssin C’est un chat d’apparence royale. De taille moyenne, les mâles sont proportionnellement plus grands que les femelles. Bien musclé, le Somali est élégant, souple et agile, mais du fait de la longueur de son poil, il peut paraître un peu plus lourd qu’il ne l’est en réalité. Sa robe tiquetée a une qualité qui réfléchit la lumière et le fait apparaître uni. Tête: en forme de triangle adouci, la tête, de face comme de profil, présente des contours arrondis sans aucune ligne droite. Le profil est une succession de courbes très douces : crâne légèrement arrondi, front bombé, légère déclivité concave entre le front et le nez, sans cassure. Le nez ne doit pas être trop long. La longueur de la tête doit être proportionnée au reste du corps. La tête est portée fièrement sur une encolure élégante. Museau: de face comme de profil, le museau présente des contours légèrement arrondis. Il n’est ni pointu ni pinché Le menton est plein. Formant de douces courbes, il n’est ni fuyant ni projeté en avant. Des bajoues sont permises chez les mâles adultes. Yeux: grands, les yeux sont brillants et expressifs. En forme d’amande, leur ouverture n’est ni orientale ni ronde. La couleur admise va du jaune au noisette en passant par le vert dans toutes les nuances à condition qu’elles soient uniformes. Les yeux sont soulignés d’un trait de maquillage « à la Cléopâtre » de la couleur de base de la robe, lui-même entouré d’une zone de coloration plus claire. Au-dessus de chaque œil, une courte ligne verticale, comme un trait de crayon, coupe cette zone claire. Oreilles: grandes, en alerte et modérément pointues, les oreilles sont en forme de coupe avec une base bien évasée. Pointées vers l’avant, elles sont placées comme si le chat « écoutait ». Les poils sur les oreilles sont courts et couchés, si possible avec du tipping. L’intérieur des oreilles est bien fourni. L’empreinte de pouce typique des chats agoutis est souhaitée sur l’extérieur de l’oreille. Elle est plus visible chez les chats de couleur foncée que chez ceux de couleur claire. Encolure: assez longue et gracieuse, l’encolure est légèrement arquée. Corps: de format foreign, le corps est moyennement long, souple et gracieux, avec une musculature bien développée. Il est ferme au toucher et élégant, jamais massif. La cage thoracique est légèrement arrondie, les côtes ne devant pas être plates. Du fait de sa fourrure, le Somali apparaît souvent plus lourd que l’Abyssin. Pattes: proportionnellement minces par rapport au corps, les pattes sont longues, bien musclées et droites. L’ossature peut être un peu plus robuste que celle de l’Abyssin. Pieds: petits, ovales et compacts. Debout, le Somali donne l'impression de se tenir sur la pointe des pieds. Queue: assez épaisse à la base, la queue est relativement longue, tout en restant en proportion avec le corps. Elle est en panache. Robe et texture: mi-longue, la robe est élastique au toucher, qualité que l’on nomme « résilience », brillante et fine. Assez couchée sur le corps, elle est plus courte sur les épaules et l'épine dorsale, s’allongeant graduellement sur les flancs. La collerette et les culottes sont bien fournies. Sans être laineux, le sous-poil participe à la spécificité de la robe du Somali, à la fois soyeuse et élastique. Couleur et ticking: la couleur de la robe est une qualité essentielle du Somali. Elle ne doit en aucun cas être terne mais, au contraire, être la plus intense possible. La robe du Somali semble dotée à cet effet d’une qualité rayonnante qui renforce la chaleur de sa couleur. Le motif de la fourrure est génétiquement agouti ticked, c’est-à-dire que chaque poil présente une alternance de bandes claires et de bandes foncées, sauf sur les poils du ventre, de la poitrine, du cou et de l’intérieur des pattes qui ne sont pas tiquetés. La pigmentation de ces zones doit toutefois être homogène. Le Somali étant un chat tabby, ses patons, son menton et le haut de sa gorge sont d’une couleur plus claire, plutôt ivoire que blanche et jamais blanc pur. On remarquera une bande de couleur plus sombre sur l’épine dorsale et la queue, qui accentue le « look » sauvage du Somali. Des « semelles », c’est-à-dire une coloration plus foncée à l’arrière des pattes, sont appréciées. Lièvre: la couleur lièvre, également appelée ruddy aux Etats-Unis, désigne un Somali génétiquement noir. Alternance de bandes allant du noir au brun foncé sur un fond de robe orange abricot. Un minimum de deux bandes foncées est exigé sur chaque poil, la racine du poil étant orangée et son extrémité étant noire. Une bande plus foncée, et donc au ticking plus prononcé, parcourt l’épine dorsale. Le maquillage, les pouces des oreilles et l’extrémité de la queue sont brun-noir ou noirs. La gorge, le ventre et l’intérieur des pattes, couverts de poils sans ticking, sont brun orangé, sans collier autour de l’encolure ni bracelet sur les pattes. Semelles noires ou brun foncé. La truffe est rouge brique et cerclée d’une ligne de la couleur de base. Les coussinets sont noirs. La coloration blanc crème typique des chats tabby doit se cantonner au menton, aux lèvres et au pourtour des narines. Sorrel: la couleur sorrel désigne un Somali génétiquement cinnamon (cannelle). Le motif est le même que chez le lièvre, mais alternance de bandes cinnamon sur un fond de robe abricot, la racine du poil étant abricot et son extrémité étant cinnamon. Le maquillage, les pouces des oreilles et l’extrémité de la queue sont cinnamon le plus chaud possible. La gorge, le ventre et l’intérieur des pattes, couverts de poils sans ticking, sont cinnamon, sans collier autour de l’encolure ni bracelet sur les pattes. Semelles cinnamon foncé. La truffe est rouge pâle et cerclée d’une ligne de la couleur de base. Les coussinets sont cinnamon. Bleu: le motif est le même que chez le lièvre mais alternance de bandes gris-bleu sur un fond de robe beige, la racine du poil étant beige et son extrémité étant gris-bleu. Le maquillage, les pouces des oreilles et l’extrémité de la queue sont bleu foncé. La gorge, le ventre et l’intérieur des pattes, couverts de poils sans ticking, sont beiges, sans collier autour de l’encolure ni bracelet sur les pattes. Semelles bleu foncé. La truffe est rose foncé ou gris-bleu et cerclée d’une ligne de la couleur de base. Les coussinets sont gris-bleu. Chocolat: le motif est le même que chez le lièvre mais alternance de bandes marron sur un fond de robe beige abricot, la racine du poil étant beige abricot et son extrémité étant marron. Le maquillage, les pouces des oreilles et l’extrémité de la queue sont marron. La gorge, le ventre et l’intérieur des pattes, couverts de poils sans ticking, sont beige abricot, sans collier autour de l’encolure ni bracelet sur les pattes. Semelles marron foncé. La truffe est chocolat clair et cerclée d’une ligne de la couleur de base. Les coussinets sont marron. Fawn: le motif est le même que chez le lièvre mais alternance de bandes beige rosé sur un fond de robe beige pâle, la racine du poil étant beige et son extrémité étant beige rosé. Le maquillage, les pouces des oreilles et l’extrémité de la queue sont beige rosé. La gorge, le ventre et l’intérieur des pattes, couverts de poils sans ticking, sont beige rosé sans collier autour de l’encolure ni bracelet sur les pattes. Semelles brun clair. La truffe est mauve et cerclée d’une ligne de la couleur de base. Les coussinets sont mauve rosé. Lilac: le motif est le même que chez le lièvre mais alternance de bandes gris rosé sur un fond mauve pâle, la racine du poil étant mauve pâle et son extrémité étant gris rosé. Le maquillage, les pouces des oreilles et l’extrémité de la queue sont gris rosé. La gorge, le ventre et l’intérieur des pattes, couverts de poils sans ticking, sont mauves, sans collier autour de l’encolure ni bracelet sur les pattes. Semelles gris taupe. La truffe est rose et cerclée d’une ligne de la couleur de base. Les coussinets sont rosés. Silver: le motif est le même que chez le lièvre mais la couleur plus claire située entre les bandes de la couleur de base est remplacée par une nuance la plus argentée possible. Exemple chez le lièvre : alternance de bandes argentées et de bandes noires, la racine du poil étant argentée et son extrémité étant noire. Le maquillage, les pouces des oreilles et l’extrémité de la queue sont noirs. La gorge, le ventre et l’intérieur des pattes, couverts de poils sans ticking, sont argentés sans collier autour de l’encolure ni bracelet sur les pattes. Les ombres roussâtres, appelées « rufisme », même si elles ne sont pas désirées ne doivent pas être trop lourdement pénalisées, surtout si elles sont localisées le long de la colonne vertébrale. La couleur des semelles, de la truffe et des coussinets, doit correspondre à celle exigée dans la couleur de base. La nuance argentée, caractéristique du silver, introduit des contrastes beaucoup plus forts entre les bandes que ceux habituellement vus dans les couleurs non silver. Condition: Chat alerte et vif, ni maigre ni obèse. Pénalités: Fautes de couleur: ton froid, gris, sableux ou terne. Couleur blanche s’étendant jusqu’à la gorge. Sous-poil d'une couleur incorrecte (par exemple : gris chez un lièvre ou un sorrel). Collier ouvert, marques tabby sur les pattes ou sur le corps. Couleur des yeux irrégulière et non franche chez les adultes. Coussinets décolorés. Fautes de ticking et de motif: taches ou zones non tiquetées autre part que sur la gorge, le ventre et à l'intérieur des pattes ; ticking inversé sur le corps ; manque de ticking. Robe pelucheuse ou laineuse. Absence de panache à la queue. Tête ronde, avec un stop marqué ou un profil droit. Refus de titre * Couleur blanche s’étendant au-delà de la gorge. * Tache blanche, collier fermé, chat non agouti. * Fautes et défauts généraux éliminatoires en exposition.
  5. Et oui chez Lolita c'est le resto du cœur pour toutes les petits affamés
  6. vi vi Lolita tu nous tiens au courant et surtout aussi ou il vont le mettre. :bisous2:
  7. non c'est des croquettes, il mange trop vite et après il fait le fou, alors ça passe pas. il est taré ce chat, toujours en train de cavaler dans les escaliers.
  8. Si si Lolita mais j'ai oublié de répondre, journée assez chargée, lessive plus nettoyage de la maison et mon Blacky qui vomis souvent depuis hier car Monsieur se gave de croquettes depuis midi ils ont qu'une petite ration chacun son plat et je surveille que mon gros n'aille pas voler dans les autres. ben oui je me doute que tu étais dans tous tes états pour ce pauvre Héron, j'espère que tout va bien ce passer. Es ce qu'il vont le mettre dans un zoo ou il vont le relâcher comme ça. j'espère qu'il n'a rien, tu nous tiens au courant, t'inquiète pas les filles vont arriver, pour l'instant j'ai pas vu grand monde sur le fofo, sans doute des obligation familiale .
  9. Bleu russe Le bleu russe, également appelée bleu d'arkhangelsk ou chat maltais est une race de chat aux origines controversées (Russie ou pourtour méditerranéen). Ce chat est caractérisé par sa robe épaisse et pelucheuse d'une couleur bleue argentée et par ses yeux verts. Les origines du bleu russe sont controversées. Une première théorie avance que la race pourrait être originaire du port russe d'Arkhangelsk où il était apprécié comme animal de compagnie, puis chassé pour sa fourrure chaude, puis avoir été introduit en Angleterre dans les années 1860 par des marins, d'où son surnom de « bleu d'arkhangelsk », et le nom de bleu russe qui lui est donné aujourd'hui. Une autre hypothèse qui semble plus plausible avance que ces chats pourraient venir du bassin méditerranéen et même peut-être d'Espagne. La race aurait donc des origines commune avec le chartreux, ce qui lui a valu d'être parfois surnommé « chat maltais » ou « chat espagnol bleu ». En France, le bleu russe fit sa première apparition en 1925 sous le nom de « chat de malte ». C'est cette année là également que les premiers bleus russes étaient exposés. En 1939, le nom bleu russe fut officialisé et reste à ce jour la seule appellation officielle. Après la Seconde Guerre mondiale, comme d'autres races, il faillit presque disparaitre complètement, mais fut sauvé par les Britanniques et les Scandinaves qui le transformèrent en croisant les sujets restants avec notamment des siamois : la race y perdit son style original, puis revint à un style plus authentique dans les années 1960. La race reste rare en France, probablement dû à la forte présence de chartreux et de british shorthair bleus. La concentration la plus importante de bleus russes se trouve dans les pays anglo-saxons. Le bleu russe est souvent décrit comme un chat assez vif et intelligent. On le dit discret, avec un miaulement doux et mélodieux. On dit également qu'il est casanier et méfiant envers les étrangers mais tendre envers son propriétaire. Il serait sociable avec les autres animaux, n'aimerait pas particulièrement le bruit ni les enfants et préfèrerait sa tranquillité, et une vie de famille calme. Ces traits de caractère sont toutefois parfaitement individuels et fonctions de l'histoire de chaque chat. Chat distingué par excellence, le Bleu Russe a un corps souple, une fourrure courte, épaisse, douce et pelucheuse, d'un bleu argenté, aussi lustrée que celle de la loutre ou du vison. Historique : les origines de ce chat restèrent longtemps obscures, sans doute parce qu' il a porté trois noms différents : Bleu d' Arkhangelsk d'abord, puis chat de Malte; ce n' est que dans les année 40 qu' il fut baptisé de son nom actuel : Bleu Russe.Il vient vraisemblablement d' URSS, car on trouve aujourd'hui des chats du même type dans les endroits les plus froids de ce pays. Vers 1860, des marins en provenance du port d'Arkhangelsk auraient apporté en Angleterre ce chat bleu. Caractère : timide, désireux de plaire, c' est un chat tranquille. A la période des amours, la femelle miaule si discrètement que l' on s'en aperçoit à peine. Les Bleu Russe ne sont pas d' un tempérament aventureux; ils apprécient trop le confort de la maison. Les risques de croisements fortuits sont donc minimes. Variétés : en Angleterre, on a crée une variété blanche. Elle n' a pas suscité grand intérêt et on ne la rencontre pratiquement plus. Caractéristiques : - Oreilles : grandes et légèrement pointues. - Yeux : en amande, vert vif. - Tête : courte et cunéiforme; nez moyen. - Fourrure : courte, pelucheuse, doublée d' un sous-poil qui, par son épaisseur, protège bien le corps; bleue, avec des reflets argentés dus à l'extrémité argent des poils du dessus. - Corps : long et mince, à charpente fine, bien musclé; queue longue. - Pattes : longues à ossature fine; les pattes arrière sont légèrement plus longues que les pattes avant. - Pieds : petits et légèrement arrondis. Autres noms : Chat d'Arkhangelsk, Archange Bleu, Russian Blue, Russe à Poil Court, Chat de Malte, Maltais, Espagnol Bleu Ancêtres : chats domestiques de Russie SANTÉ Reproduction : Pour obtenir un Bleu russe d'excellente qualité, les parents doivent être de sang parfaitement pur, car la race a tendance à se dégrader. Une portée compte habituellement quatre jeunes. L'élevage : Sélectif s'effectue avec une parfaite rigueur aux États-Unis et dans le Nord de l'Europe. Défaut de la race : Obésité, tête large, poils blancs dans la fourrure, tâches, dessins. ENTRETIEN Le poil doit rester dressé : il faut le brosser de cette manière pour éviter d'aplatir la robe. En temps normal, un bon coup de brosse à rebrousse-poil une fois par semaine suffit. Au moment de la mue il faut peigner dans le sens du poil pour enlever les poils morts et terminer par un coup de brosse à rebrousse-poil.
  10. Bunny cat D'hier à aujourd'hui Il y a de cela deux ou trois siècles, une mutation naturelle s’est produite sur l’île de Man (située entre l’Angleterre et l’Irlande). Cette mutation génétique a révélé au monde un chat hors normes : le Manx, qui se caractérise par son absence de queue. Dès 1883, le Manx figurait dans les expositions américaines ainsi qu’au tout début du XXe siècle à Londres. Le roi Edouard VIII possédait plusieurs Manx dans les années 1920-1930 et la race était très à la mode en Angleterre. Il n’en va plus de même aujourd’hui. Alors qu’il remporte toujours un grand succès aux Etats-Unis, le Manx a dû essuyer de violentes attaques en Europe, certains de ses détracteurs voulant même le faire interdire ! Déjà réputé difficile, l’élevage s’en est ressenti. Mais il semble à nouveau en phase de développement. Son look Le Manx est un chat d’apparence robuste. La tête est ronde avec des pommettes saillantes. Le museau est légèrement allongé, le menton fort. Le dos, assez court, forme un arrondi depuis les épaules jusqu’à la croupe. Les flancs sont creusés. Les pattes arrière sont plus hautes que la normale, les cuisses sont fortes et musclées. La fourrure peut être de toute couleur, le sous-poil est double et ressemble à celui du lapin. En version à poils mi-longs, le Manx prend le nom de « Cymric ». Il existe quatre types de Manx : * le rumpy (le plus recherché) a une croupe très arrondie avec un léger creux à l’endroit de la naissance présumée de la queue ; * le rumpy-riser possède de une à trois vertèbres sacrales ; * le stumpy possède en plus une ou plusieurs vertèbres caudales ; * le longy a une queue presque entière. En exposition, seuls concourent les rumpys et les rumpy-risers. Sa compagnie Le Manx est un chat très équilibré. Son tempérament calme ne l’empêche pas d’aimer jouer (à tout âge) ni d’être un redoutable chasseur. Très affectueux, il a besoin de la présence physique de son maître : le genre à marcher à ses côtés en miaulant, ou à attendre son retour derrière la porte. Entre eux, les Manx respectent la parité : le mâle se montre aussi attentionné envers ses chatons que la femelle, n’hésitant pas à aller se coucher avec eux pour les surveiller ! Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  11. Portrait du Cymric Le Cymric est une race de chat originaire de l'île de Man (Îles Britanniques). Ce chat est la variété à poils mi-longs du Manx, ayant la particularité de ne pas avoir de queue. Tout comme le Manx, le Cymric est originaire de l'île britannique de Man. L'île étant isolée, il finit par y avoir trop de consanguinité et de ce fait, la mutation génétique du gêne responsable de l'absence de queue apparut. Le gêne responsable du poil mi-long existait aussi et les deux variétés ont été sélectionnées par un Canadien, Blair Wright et une Américaine, Leslie Falteisek. Le nom Cymric vient du Gallois « Cymru » qui signifie simplement « Pays de Galles ». La Canadian Cat Association (CCA) reconnaît la race en 1970, la CFA en 1989, elle en profite pour renommer la race « Longhaired Manx ». La race est très rare en Europe et n'a pas été reconnue par la FIFé. À titre anecdotique, on attribue ce caractère à la pingrerie des habitants de l'île, qui auraient, lors d'un lointain hiver très rigoureux, coupé la queue de tous les chats pour économiser le bois de chauffage. En effet, la porte de la maison se refermerait ainsi plus vite sur les chats, ce qui éviterait que la chaleur ne s'échappe dehors. Tout comme le manx, ce serait un chat joueur, actif et très sociable. Il s'entendrait très bien avec les enfants, les inconnus ou d'autres animaux. Ces traits de caractère restent toutefois parfaitement individuels et sont avant tout fonctions de l'histoire de chaque chat. Le Cymric est la variété à poil mi-long du Manx. C'est un chat anoure, c’est-à-dire sans queue, originaire de l’île de Man où il est apparu de manière naturelle. Très compact et musclé, il a une tête ronde avec des joues bien développées. Son corps est le plus compact de tous les chats. Ses flancs larges et son dos court, qui forme un arc continu et lisse des épaules jusqu’à sa croupe ronde, le font ressembler à un ours. Tête : la tête est large avec des contours bien arrondis, quel que soit l'angle sous lequel on la regarde. Les pommettes sont saillantes et les joues sont pleines. Le nez est court et large avec une bonne incurvation. Un léger break est admis. Le bout du nez est placé dans l’alignement du menton qui est bien ferme. Museau : vu de face comme de profil, le museau s’inscrit dans un cercle bien défini avec des patons fermes et pleins. Yeux : ronds, grands et bien ouverts, les yeux sont bien écartés l’un de l’autre. La couleur doit être en accord avec celle de la robe. Les tonalités les plus intenses et les plus brillantes sont préférées. Oreilles : larges à la base, les oreilles sont de taille moyenne à petite, arrondies à leur extrémité et placées bien espacées l’une de l’autre de manière à respecter l’arrondi de la tête. Encolure : trapue et musclée, l’encolure est très courte jusqu’à apparaître presque inexistante chez les mâles adultes aux joues puissantes. Corps : de format cobby, le corps est compact, épais, musclé, puissant et bien rond. Les flancs sont profonds. Le dos forme un arc continu et lisse des épaules jusqu’à la croupe bien ronde. L’ossature est robuste et la musculature puissante. La taille est moyenne à grande. Pattes : moyennes à courtes, les pattes ont une ossature robuste et une musculature puissante. Les antérieurs sont plus courts que les postérieurs qui, vus de dos, doivent être droits. Pieds : ronds et fermes. Queue : elle est absente. Il n’y aucune pénalité pour un léger renflement de cartilage, à condition qu’il n’arrête pas la caresse entre les reins et la croupe. Robe et texture : mi-longue et soyeuse, la fourrure a un sous-poil épais. La collerette et les culottes sont bien fournies. Des poils entre les doigts et à l’intérieur des oreilles sont souhaitables. Des variations saisonnières sont admises. Pénalités Pattes arrière courtes. Ossature fine. Corps long. Dos plat. Jarrets clos. Oreilles placées droit sur la tête. Refus de tout titre Taches blanches chez les chats autres que les particolores. Faiblesse dans l’arrière-main causant une incapacité de se tenir debout ou de marcher normalement. Présence de queue. Fautes et défauts généraux éliminatoires en exposition.
  12. Portrait du Manx Le Manx est une race de chat originaire de l'Île de Man (Îles Britanniques). Ce chat est caractérisé par son absence de queue. Selon la légende, le chat Manx a été le dernier animal à monter sur l'Arche de Noé mais au moment où il embarqua, la porte du bateau se referma sur la queue du chat qui fut sectionnée. Le chat Manx (kayt Manninagh ou stubbin en mannois), aussi appelé chat de l'île de Man, est originaire, comme son nom l'indique, de l'île britannique de Man. La mutation du gène, cause de l'absence de queue et donc de la rareté de cette race, s'est développée sur l'île à cause de l'isolement des chats et de la trop forte consanguinité. Le folklore anglais attribue ce caractère à la pingrerie des habitants de l'île, qui auraient, lors d'un lointain hiver très rigoureux, coupé la queue de tous les chats pour économiser le bois de chauffage. En effet, la porte de la maison se refermerait ainsi plus vite sur les chats, ce qui éviterait que la chaleur ne s'échappe dehors. L'élevage du Manx est délicat, d'une part parce qu'une chatte donne naissance à peu de chatons et d'autre part par l'aspect génétique. En effet, un Manx homozygote (porteur des deux gènes responsable de l'absence de queue) n'est pas viable puisque la moelle épinière ne se développe pas complètement. Tous ces chatons meurent dans l'utérus et ceux qui naissent sont donc forcément hétérozygote. On ne peut pas non plus accoupler deux Manx rumpy car il est possible de faire apparaître un gène létal. Il est donc conseillé de les accoupler avec des British Shorthair ou Longhair pour éviter le problème, mais dans ce cas, tous les chatons de la portée ne naitront pas Manx. Le Manx est un chat anoure, c’est-à-dire sans queue, originaire de l’île de Man où il est apparu de manière naturelle. Très compact et musclé, il a une tête ronde avec des joues bien développées. Son corps est le plus compact de tous les chats. Ses flancs larges et son dos court, qui forme un arc continu et lisse des épaules jusqu’à sa croupe ronde, le font ressembler à un ours. Il existe 4 sortes de Manx Le rumpy qui a une absence totale de queue. Le rumpy riser qui a de 1 à 3 vertèbres sacrées formant un renflement. Le stumpy qui possède de 1 à 3 vertèbres caudales. Le longy qui possède une queue de longueur normale et n’est pas accepté en championnat. Les Manx rumpy, rumpy riser et stumpy ne peuvent être mariés qu’à des Manx ou des Cymric longy. Tête : la tête est large avec des contours bien arrondis quel que soit l'angle sous lequel on la regarde. Les pommettes sont saillantes et les joues sont pleines. Le nez est court et large avec une bonne incurvation. Un léger break est admis. Le bout du nez est placé dans l'alignement du menton qui est bien ferme. Museau : vu de face comme de profil, le museau s’inscrit dans un cercle bien défini avec des patons fermes et pleins. Yeux : ronds, grands et bien ouverts, les yeux sont bien écartés l’un de l’autre. La couleur doit être en accord avec celle de la robe. Les tonalités les plus intenses et les plus brillantes sont préférées. Oreilles : larges à la base, les oreilles sont de taille moyenne à petite, arrondies à leur extrémité et placées bien espacées l’une de l’autre de manière à respecter l’arrondi de la tête. Encolure : trapue et musclée, l’encolure est très courte jusqu’à apparaître presque inexistante chez les mâles adultes aux joues puissantes. Corps : de format cobby, le corps est compact, épais, musclé, puissant et bien rond. Les flancs sont profonds. Le dos forme un arc continu et lisse, des épaules jusqu’à la croupe bien ronde. L’ossature est robuste et la musculature puissante. La taille est moyenne à grande. Pattes : moyennes à courtes, les pattes ont une ossature robuste et une musculature puissante. Les antérieurs sont plus courts que les postérieurs qui doivent être droits vus de dos. Pieds : ronds et fermes. Queue : elle est absente. Il n’y aucune pénalité pour un léger renflement de cartilage, à condition qu’il n’arrête pas la caresse entre les reins et la croupe. Robe et texture : courte, dense et double, la fourrure possède un sous-poil épais qui donne l’impression d’une bonne protection naturelle. Des variations saisonnières sont admises. Pénalités Pattes arrière courtes. Ossature fine. Corps long. Dos plat. Jarrets clos. Oreilles placées droit sur la tête. Refus de tout titre Taches blanches chez les chats autres que les particolores. Faiblesse dans l’arrière-main causant une incapacité de se tenir debout ou de marcher normalement. Présence de queue. Fautes et défauts généraux éliminatoires en exposition.
  13. Le pur-sang des chats D'hier à aujourd'hui L’Oriental est une des fortes personnalités de la gent féline. Longtemps dans l’ombre de son frère le Siamois dont il n’est, ni plus ni moins, que la version entièrement colorée, il a été importé comme bien d’autres chats en Grande-Bretagne à la fin du XIXe siècle. A cette époque, les diplomates anglais et les voyageurs au long cours rapportaient dans leurs bagages des chats exotiques dont la bourgeoisie raffolait. Mais très vite, la robe contrastée et les yeux saphir du Siamois reléguèrent l’Oriental aux oubliettes. Jusque dans les années 1950 où une éleveuse britannique imagina un Siamois à la robe entièrement chocolat qu’elle baptisa Havana. Un peu plus tard, Pat Turner, sans doute la mère de l’Oriental moderne, entreprit de créer un Siamois blanc. Or le blanc a la particularité de cacher les autres robes et ainsi naquirent des Orientaux dans toutes les couleurs ! Son look L’Oriental est un chat d’une grande élégance, svelte et musclé. La tête est triangulaire vue de face. Les oreilles, grandes et larges à la base prolongent le triangle formé par la tête. La ligne de profil est droite depuis le sommet du crâne jusqu’au bout du nez. Les yeux sont en amande et placés de biais pour donner une expression orientale. L’encolure est longue et déliée, le corps tubulaire et ferme. Les pattes sont longues et hautes, avec une ossature fine mais dense La queue, longue et fine, ressemble à un fouet et contribue à prolonger l’impression de longueur. Toutes les couleurs sont reconnues sauf le colourpoint (couleur du Siamois), le mink (couleur du Tonkinois), et le sépia (couleur du Burmèse). Les yeux sont verts, sauf chez les Orientaux blancs et les Orientaux bicolores qui peuvent aussi avoir les yeux bleus ou impairs Sa compagnie Les appellations Oriental et Siamois distinguant selon leur couleur des chats d’une même race, il n’est pas étonnant que leur tempérament soit strictement identique : hyper actif, hyper câlin, hyper bavard. Non, la voix de l’Oriental, comme celle du Siamois, n’est pas une légende ! Dans ces conditions, on adore ou on déteste et les personnes qui ont eu un jour un Oriental pour compagnon leur reste fidèle toute leur vie. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  14. Le chat aux pieds de neige D'hier à aujourd'hui C’est une ravissante légende qui a donné son nom au Sacré de Birmanie, appelé aussi Birman. Un moine vivait jadis dans un temple Kmer bâti en l’honneur de Tsun-Kyan-Kse, déesse d’or aux yeux saphir. Il priait en compagnie de Sinh, un chat blanc aux yeux jaunes quand, une nuit, des pillards l’assassinèrent. Sinh sauta sur la chevelure de son maître et supplia la déesse de lui rendre la vie. C’était impossible mais un miracle eut lieu : la fourrure de Sinh prit la couleur de l’or, ses yeux devinrent bleus, tandis que ses pattes se coloraient de brun. Seuls ses pieds restèrent immaculés en signe de pureté. Le lendemain, tous les chats du temple avaient des yeux saphir, une fourrure dorée et des pieds de neige. La réalité est moins poétique puisque c’est un mariage entre un Persan et un Siamois ganté de blanc qui est à l’origine du Birman chez des éleveurs français. Dès 1926, on a pu admirer dans les expositions félines Manou de Madalpour, une magnifique femelle seal point mais il fallut attendre 1957 pour voir les premiers Birmans blue point. Progressivement, d’autres couleurs ont été introduites dont le chocolat, le lilas, le red, le crème, le tortie, le tabby et le silver. Son look Le Sacré de Birmanie est un chat d’allure imposante. La tête est un peu plus longue que large, la face est assez arrondie, avec des joues pleines. Le profil débute avec un crâne légèrement arrondi et se poursuit par un nez pas trop court et busqué appelé romain. Les yeux, grands, presque ronds, sont du bleu le plus intense possible. Le corps, plutôt long, est massif et bien musclé avec une ossature robuste. La queue est bien fournie. Mi-longue, la fourrure est très soyeuse. Le Sacré de Birmanie est un chat colourpoint, c’est-à-dire que le masque, les oreilles, les quatre pattes et la queue sont de couleur plus foncée que le reste du corps. Aux pattes avant, il porte des gants blancs qui, idéalement, se terminent en ligne droite à la jointure des pieds. Aux pattes arrière, ces gants, appelés éperons, remontent en pointe de la moitié aux trois-quarts du talon. Sa compagnie Calme et posé, le Birman n’est pas nonchalant pour autant. Assez volontaire, il sait parfaitement se faire comprendre quand il en ressent le besoin. Parfaitement adapté à la vie en appartement, il vous demandera sans doute de partager ses jeux et adorera se coucher près de vous. Malgré son poil mi-long, il n’est pas très exigeant en ce qui concerne le toilettage et s’accommode d’un bon brossage une fois par semaine. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  15. Introduction Le Sacré de Birmanie, appelé aussi Birman, est une race qui a été créée en France au début du XXe siècle à partir d’un croisement entre un Persan et un Siamois ganté de blanc. Toutefois, de nombreuses légendes courent sur son compte tant il fascine avec son regard bleu saphir, ses quatre pieds blancs et sa fourrure longue et douce. D’apparence imposante, ce chat colourpoint à poil mi-long est de taille moyenne à forte, avec une ossature lourde par rapport à sa taille. Tête : De taille moyenne, la tête est large, triangulaire avec des contours arrondis. Les joues sont pleines. Le front est légèrement arrondi. La ligne du profil se prolonge par un changement de direction légèrement concave au niveau des yeux. Sans stop, le nez est romain, c’est-à-dire busqué. Museau : De longueur moyenne, le museau est large, sans pinch. Le menton est fort. Yeux : Grands, presque ronds, ils sont bien espacés l’un de l’autre et de la couleur bleue la plus intense possible. Oreilles : Les oreilles sont de taille moyenne, presque aussi larges que hautes. Espacées de la largeur d’une oreille, elles ont un bout arrondi. L’intérieur est bien fourni. Encolure : De taille moyenne, l’encolure est bien musclée. Corps : Le Sacré de Birmanie a un corps de format long et puissant, massif avec un dos droit et régulier. Pattes : Moyennement hautes, les pattes ont une ossature robuste et une bonne musculature. Pieds : Grands, ronds et fermes. Queue : De taille moyenne, la queue est proportionnée avec le corps. Robe et couleur : Mi-longue, la fourrure est très soyeuse. Courte sur la face, elle s’allonge graduellement à partir des joues vers une collerette, très appréciée surtout chez les mâles. La fourrure est longue sur le dos et les flancs. Le sous-poil est peu abondant et léger. Le poil peut frisotter légèrement sur le ventre. Remarque : des changements saisonniers doivent être pris en considération dans le jugement de la longueur de la robe. Gants et éperons Les pattes avant, devant et derrière, ont des gants blancs se terminant en ligne droite, idéalement à la jonction entre le pied et la patte. Les pattes arrière ont des gants blancs devant remontant à l’arrière de la patte et se terminant en pointe de la moitié aux trois-quarts du talon (éperons). Une régularité entre la hauteur des gants avant et arrière est souhaitable. Coussinets Couleur rose et/ou couleur correspondant à la couleur de base du chat. Pénalités Remontée importante du blanc des gants ou des éperons ou, au contraire, gantage trop court. Marques blanches sous la gorge ou le ventre. Refus de tout titre Type de tête « Siamois », « British » ou « Persan ». Nez droit. Manque de substance, ossature fine. Taches de couleur dans les gants ou les éperons. Manque de blanc (un doigt ou plus) dans les parties supposées être gantées. Marques blanches dans les points. Fautes et défauts généraux éliminatoires en exposition. TÊTE = 30 points Forme = 10 Profil = 5 Oreilles = 5 Yeux = 5 Couleur des yeux = 5 CORPS = 30 points Corps = 15 Queue = 5 Pattes = 5 Pieds = 5 FOURRURE = 10 points COULEUR = 30 points Couleur du corps = 5 Couleur des points = 10 Gants = 10 Eperons = 5 Robes reconnues Catégorie : point Divisions : solide et blanc, tabby et blanc, silver/smoke et blanc (toutes avec motif mitted uniquement) Couleurs : toutes Mariage autorisé Sacré de Birmanie x Sacré de Birmanie
  16. L'alchimie du regard D'hier à aujourd'hui Le Tonkinois, race somme toute récente dans sa version actuelle, existe sans se nommer depuis des siècles. En effet, le Tonkinois moderne est issu du métissage entre deux races autrefois très semblables: le Siamois et le Burmese. Cette union donne un chat au type intermédiaire mais surtout produit 100% de chatons à la robe aux dégradés subtils avec des yeux couleur aigue-marine incomparable (mink). Juste retour des choses, car dans sa contrée d’origine, la Thaïlande, ces races étaient tellement mêlées que l’on ne les distinguait pas ! L’alchimie est pourtant délicate car l’évolution morphologique de plus en plus divergente des deux races parentes rend difficile la stabilisation du Tonkinois. C’est pourquoi il a été décidé de marier des Tonkinois entre eux et d’accepter les chatons aux yeux bleus comme les Siamois (colourpoint) ou ambre comme les Burmese (sépia), nés de cette union. Le Tonkinois n’est donc plus une simple couleur mais une race à part entière qui connaît un succès croissant dans le monde entier. Son look Le Tonkinois est un chat de taille moyenne, assez élégant et très musclé. Très légèrement plus longue que large, la tête a la forme d’un triangle aux contours adoucis. Les yeux, en forme de noix, sont implantés légèrement de biais. De taille moyenne, les oreilles sont placées à égale distance des côtés et du sommet de la tête. Le corps est très musclé mais sans lourdeur. La poitrine est bien ouverte et légèrement arrondie. Les pattes sont plutôt fines. Il existe deux variétés de Tonkinois, l’une à poil court (fourrure très douce au toucher, courte et serrée) et l’autre à poil long (fourrure mi-longue et fine, soyeuse et couchée sur le corps). Trois motifs sont reconnus : le colourpoint qui présente un fort contraste entre la couleur des extrémités et du corps et chez qui les yeux sont bleus, le mink, avec un contraste intermédiaire et les yeux aigue-marine, et le sépia où le contraste est peu visible et les yeux ambre. Sa compagnie Intermédiaire dans sa morphologie, le Tonkinois l’est aussi dans son caractère. Comme le Siamois, il est fidèle, véritable chat-chien qui vous suit pas à pas. Mais au moment où il pourrait devenir embarrassant, sa discrétion Burmese prend le dessus pour qu’il ne soit jamais encombrant. Chat de famille très agréable, il s’adapte aux conditions de vie les plus diverses, à partir du moment où il a l’affection ses maîtres. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  17. Le chat porte-bonheur D'hier à aujourd'hui Porte-bonheur autant que garde-grenier, les chats thaïlandais étaient tellement aimés et respectés à la cour du Siam qu’au XIIIe siècle un précieux manuscrit leur fut consacré : « Le livre du chat ». Parmi toutes les races représentées, dont les ancêtres de nos Siamois, Tonkinois et autres Burmeses, on remarque un chat bleu nommé Si-Sawat. Sa robe grise, couleur de nuages gorgés de pluie, et ses yeux, verts comme des jeunes pousses de riz, étaient symboles de récoltes abondantes et de richesse. A la fin du XIXe siècle, le roi Rama V ordonna une copie du « Livre des chats ». Il découvrit ce magnifique chat bleu et lui donna le nom de la province du Korat. A l’extérieur de la Thaïlande, les Korats sont d’abord apparu en Amérique au cours des années 1950, en Europe en 1972 et en France en 1979. Son look Le Korat est un chat de taille moyenne, très musclé et puissant, qui n’atteint sa pleine maturité que vers l’âge de 3 ans. Sa tête, caractéristique, a la forme d’un cœur. Les yeux, surdimensionnés par rapport à la tête, sont arrondis quand ils sont ouverts, mais gardent une inclinaison orientale quand ils sont mi-clos. Les oreilles sont grandes et placées haut sur la tête. L’encolure est forte et musclée. Le corps est tout en lignes courbes avec une poitrine bien ouverte et des hanches arrondies. La queue est de longueur moyenne. Assez courte, la fourrure est bien couchée sur le corps, lustrée et satinée. De couleur bleue, elle est illuminée par des reflets dus aux extrémités argentées de chaque poil. Les reflets sont plus intenses là ou le poil est plus court. Les yeux sont d’un vert très lumineux, sauf chez les jeunes chats qui peuvent avoir les yeux ambre jusqu’à 2 ans. Sa compagnie Le Korat est un chat qui vit dans la proximité de l’homme depuis des siècles. Il lui est très attaché et son caractère fusionnel est sans doute à l’origine de son sobriquet de « chat-chien ». D’avantage chat d’appartement qu’aventureux, il est casanier, n’aime ni la foule ni l’agitation et est parfois délicat à manipuler en exposition. Vif et joueur, son intelligence est exceptionnelle et il comprend très vite ce que l’on attend de lui. Complice, il demande un maître attentionné. Il perd peu de poils et sa fourrure, courte et lustrée, ne demande quasiment pas d’entretien. Source :
  18. Un costaud des îles D'hier à aujourd'hui Le Kurilian Bobtail est un nouveau venu sur la scène féline. D’origine russe, il a d’abord été promu par l’ancienne Fédération Féline Soviétique avant d’obtenir son homologation officielle en Europe en 2003. Bien avant pourtant, cette race féline naturelle avait attiré l’attention des militaires et des vulcanologues qui se rendaient en mission sur les îles Kouriles (un archipel situé entre la péninsule du Kamchatka en Russie et le nord de l’île d’Hokkaido au Japon). Selon les spécialistes en génétique, sa queue courte, en forme de pompon, serait apparue de manière spontanée avant de se répéter de génération en génération. La reproduction de ces chats en vase clos ayant bien entendu favorisé le renforcement de cette particularité. Bien que jeune, le Kurilian Bobtail se développe en Russie ainsi que dans toute l’Europe. Ses éleveurs se battent désormais pour l’imposer aux Etats-Unis. Son look Ce chat se caractérise par une courte queue en forme de pompon et un corps robuste. A poil court ou à poil long, il se rencontre dans une très large gamme de couleurs. La tête est en forme de trapèze, large au niveau des pommettes hautes et saillantes. Le nez est large et droit, le museau fort. Presque ronds, les yeux sont grands et implantés légèrement de biais. De format semi-cobby, le corps est compact et puissant. Des omoplates à la croupe, la ligne de dos est arquée. De longueur moyenne, les pattes sont fortement musclées. La queue doit être longue de 3 à 8 cm (pas plus), fourrure non comprise, et composée de plusieurs coudes ou nœuds irréguliers. Dans sa variété à poil court, la fourrure est courte et près du corps. En poil long, la fourrure est mi-longue, fine et soyeuse, avec collerette et ventre bien fournis et d’épaisses culottes aux cuisses. Sa compagnie Resté proche de ses racines, le Kurilian Bobtail est une force de la nature. Malgré un look impressionnant (surtout le mâle, qui peut dépasser les 7 kilos !), il sait se montrer doux et ronronnant. Mais pour canaliser son énergie, il est conseillé d’épointer ses griffes et de le faire vivre dans un maximum d’espace. A noter : sa grande affinité avec l’eau. Contrairement à la plupart des chats, il adore se baigner et n’hésite pas à rejoindre son maître en plongeant dans la baignoire ! Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  19. Que faire si mon chat est gros ? Parmi les mauvais comportements alimentaires, la suralimentation donne le même résultat chez tous les chats lorsqu’une nourriture trop énergétique n’est pas compensée par un même excès de dépense : l’obésité. Les sujets plus à risque sont les chats castrés et ceux vivant en appartement, qui pratiquent une vie sédentaire et sont attirés par la grande appétence de la nourriture domestique. Le meilleur moyen de l’aider à maintenir un poids corporel normal, outre le suivi de la consommation de nourriture, est de donner au chat la possibilité de faire de l’exercice, en le laissant courir dans l’escalier, de haut en bas, et en le laissant s’adonner à des escapades au grand air. Source : http://wamiz.com/chats/guide/que-faire-si-mon-chat-est-gros-0576.html - N. Magno
  20. Comment combattre l'obésité du chat Il ne faut pas laisser l'obésité du chat s'installer. En effet, les risques sont importants pour le chat et il est important d'agir dès que le surpoids ou l'obésité est décelée. - Il faut d’abord que toute la famille s’accorde sur la nécessité du régime du chat, sinon le moindre effort sera anéanti par des friandises données en cachette. Pour souligner l’importance d’un régime plus équilibré il faut toujours rappeler que le piétisme est délétère. Prenons l’exemple d’une personne souffrant de diabète : il ne viendrait à l’esprit de personne de lui proposer des aliments à haute teneur en sucre, car ce serait néfaste. Le même raisonnement s’applique au chat. - Parler avec son vétérinaire afin de définir le régime hypocalorique le plus adéquat, de préférence riche en fibres, de façon à satisfaire très vite la sensation de satiété. Rappelons que les aliments dits « light » ne servent absolument pas le but recherché. Un régime dont l’objectif est de faire perdre du poids devrait avoir les pourcentages suivants pour 100 g sec d’aliment de bonne qualité : Protéines : 42 % (environ) Lipides : 10 % (environ) Hydrates de carbone (amidons) : 18 % (environ) Fibres 21 % (environ) Taurine, oméga 3, oméga 6, sels minéraux, vitamines : 9 % (environ) - La ration quotidienne doit être pesée systématiquement. Les mesureurs ne sont pas fiables, mais l’oeil ne l’est pas non plus. Rappelons que, notamment dans le cas d’un chat nourri aux croquettes, 10 g de plus peuvent faire la différence entre un régime adéquat et un excès. - Il ne faut pas être trop pressé, et habituer le chat à son nouveau régime progressivement. On commence par mélanger très peu d’aliment hypocalorique avec l’aliment habituel avant d’augmenter progressivement le pourcentage. Si le chat refuse le repas à un moment donné, il faut faire marche arrière et réduire le taux d’aliment hypocalorique avant de l’augmenter de nouveau au bout de quelques semaines, jusqu’à ce qu’il s’habitue. - Il ne faut pas rechercher d’amaigrissement rapide, délétère pour la santé. En effet, une grande perte de poids en peu de temps entraîne des dégâts sur le foie, la lipidose hépatique. L’idéal serait que le chat ne perde pas plus de 2 % de son poids par semaine. Sources : http://wamiz.com/chats/guide/comment-combattre-l-obesite-du-chat-1705.html - Gilles Hagège
  21. Comment prévenir l'obésité du chat ? Il est important de savoir prévenir l'obésité du chat, surtout lorsqu'il s'agit d'un chat d'intérieur. Comme dit le vieil adage, mieux vaut prévenir que guérir ! - Intervenir dès que le chat commence à grossir. Le peser tous les 3-4 mois sur la balance familiale. Une bonne méthode consiste à peser d’abord le panier qui fait office de tare, avant de peser le chat dans son panier. - Activité physique intense. Cela signifie : jouer régulièrement avec lui, lui offrir un environnement stimulant et augmenter l’activité physique, notamment après les repas . Pour l'inciter à bouger, faites-le jouer en lui lançant des souris mécaniques ou en agitant des baguettes munies de plumes, de boules et d’élastiques spécifiques, ou en agitant des bibelots fixés aux poignées de porte. Une bonne idée consiste à agrémenter le milieu de vie par des montants sur lesquels le chat peut grimper ou par des tunnels en tissu vendus dans le commerce, comme les parcours pour enfants, et que les chats aussi apprécient beaucoup. L’important est d’inciter le chat à bouger et à ne pas le laisser paresser. On peut aussi modifier fréquemment la place ou le type des passe-temps, pour qu’il soit constamment incité à bouger et à explorer de nouveaux objets. - Peser systématiquement la quantité de nourriture quotidienne recommandée par le médecin vétérinaire. - Ne pas se laisser attendrir en lui donnant des extras. À ce propos, il ne faut jamais oublier que le lait n’est pas une boisson mais un aliment, et qu’il contribue donc à augmenter l’apport calorique journalier. - Demander au vétérinaire de prescrire un régime équilibré dès les premiers mois et après la stérilisation. La raison de l’augmentation de poids après cette intervention est controversée. Certaines études l’attribuent à la réduction du métabolisme de base et à la diminution des besoins caloriques ; d’autres, en revanche, aux concessions excessives faites par le maître qui instaure à la longue une relation affective de plus en plus étroite avec son chat et lui exprime son affection en le suralimentant. Source : http://wamiz.com/chats/guide/comment-prevenir-l-obesite-du-chat-1704.html - Gilles Hagège
  22. Quels risques liés à l'obésité du chat ? L'obésité du chat est loin d'être un élément anodin de sa vie. L'obésité est un problème grave qu'il faut traiter sous peine de troubles graves de la santé. Diabète sucré C’est le résultat d’un trouble endocrinien des cellules adipeuses. Un traitement associé à un amaigrissement résout souvent le problème. Ostéoarthrite De graves problèmes de motricité, douleur, boiterie et diminution drastique de l’activité physique avec important embonpoint ultérieur et aggravation des symptômes. Troubles urinaires Graisse et sédentarité entraînent plus souvent des cystites, des calculs rénaux, des infections des voies urinaires. Maladies de peau Elles sont liées à l’incapacité de se toiletter tous les jours en raison d’un problème physique. Source : http://wamiz.com/chats/guide/quels-risques-lies-a-l-obesite-du-chat-1703.html - Gilles Hagège
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