Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

Tigron

Membres
  • Compteur de contenus

    1 059
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Tigron

  1. Les allergies chez le chien Les chiens, à l'instar de l'homme, peuvent être victimes d'allergies qui sont souvent bien gênante, tant pour le propriétaire, qui doit réaliser des soins contraignants et souvent onéreux, que pour le vétérinaire, pour qui le diagnostic demande une démarche souvent longue et difficile. Qu'est-ce qu'une allergie ? Une allergie est une réaction exagérée du système de défense de l'organisme (système immunitaire) à l'encontre d' agents appelés allergènes. Lors du premier contact avec l'allergène, l'organisme subit une sensibilisation, qui, lors des contacts suivants, entraînera cette réaction excessive responsable de symptômes variés. Cette nécessité de contacts sensibilisants explique en partie l'apparition parfois tardive de certaines formes d'allergies. Il existe des allergènes de différente nature. Les pollens, les acariens de poussière et la salive de puce sont les allergènes les plus souvent rencontrés chez le chien. Il existe 4 grands types d'allergies chez le chien : 1/ La Dermatite par Allergie aux Piqûres de Puces (DAPP) est la plus fréquente d'entre elles. Les chiens sont sensibilisés à la salive des puces et une seule piqûre suffit à déclencher des réactions souvent importantes. 2/ L'atopie est une prédisposition allergique à différents allergènes. Ce sont principalement des allergènes inhalés (pneumallergènes) : les pollens, les acariens de poussières, les squames (particules de peau humaine). 3/ L'allergie alimentaire est une sensibilisation à des allergènes ingérés dans l'alimentation (trophallergènes). La nature de ces allergènes est difficile à préciser ; il existe des allergies à certaines viandes (bœuf), certaines céréales etc. 4/ L'allergie de contact, dont le mécanisme intime est un peu différent. Ce n'est pas une véritable allergie en fait, mais par souci de facilité, on la classera dans les allergies au sens large. La peau est sensibilisée par contact avec différentes substances (produits ménagers, pigments de certaines gamelles en plastiques, particules de béton…). Comment se manifestent-elles ? Les premiers symptômes des allergies peuvent apparaître dès l'âge de 6 mois chez certains chiens, en particulier pour les allergies alimentaires. Mais généralement, ce sont des jeunes adultes de 2-3 ans qui sont atteints. Les symptômes peuvent être saisonniers selon le type d'allergène (pollens, puces…). Ils consistent en l'apparition de boutons ou de plaques rouges à différents endroits du corps, selon le type d'allergie. Les zones les plus fréquemment atteintes sont les lèvres, les oreilles, les pattes, le pourtour des yeux, les coudes et la croupe. Ces boutons et ces plaques peuvent parfois passer inaperçues. Lors d'allergies de contact, les zones concernées sont les zones en contact avec l'allergène: testicules, pattes, lèvres, abdomen… L'apparition de ces plaques entraîne une démangeaison très importante et le chien se gratte de façon démentielle. Des croûtes peuvent alors apparaître, ainsi qu'une sur-infection par des bactéries ou des levures. On ne remarque souvent l'allergie que quand le chien commence à se gratter. D'autres symptômes peuvent apparaître, comme par exemple des symptômes digestifs lors d'allergie alimentaire (diarrhées, vomissements), une conjonctivite (yeux rouges), une rhinite... Comment soigner un chien allergique ? Le traitement de ces allergies est difficile. Il repose tout d'abord sur le traitement des complications (infections bactériennes ou infections par des levures) à l'aide de shampooings et de différents médicaments. L'utilisation de corticoïdes ou d'anti-histaminiques lors de crises importantes et de shampooings calmants est généralement recommandée. Il est indispensable de pratiquer un contrôle du parasitisme, aussi bien des vers digestifs que des puces, qui rendent le chien plus sensible et augmentent la réponse allergique. Un régime hypoallergénique pourra également être mis en place. Il existe des croquettes spécialement conçues pour les chiens allergiques (à base de viandes blanches ou d'agneau et de riz). Pour découvrir ces croquettes, rendez-vous dans la Boutique Wanimo.com !!! On devra évidemment éliminer les allergènes du milieu de vie du chien si on les connaît (produits ménagers, gamelles, puces…). Et si rien de tout cela ne marche ? Lorsque ces premiers traitements échouent, les vétérinaires peuvent recourir à différentes méthodes afin d'affiner leur diagnostic et d'essayer de déterminer la nature exacte des allergènes responsables de la maladie. * Les tests cutanés Comme chez l'homme, on peut réaliser des tests cutanés (skin tests). Ils consistent à injecter dans le derme du chien des petites quantités des allergènes les plus fréquents et de contrôler la réaction 20 minutes et 48 heures après. Seuls certains vétérinaires, spécialisés en dermatologie, pratiquent cet examen. Pour le pratiquer, il est indispensable que le chien ait une peau saine, et donc, que les complications aient été traitées auparavant. Le chien ne devra également avoir reçu aucun médicament avant le test. * Les dosages sanguins Il existe également des dosages sanguins qui permettent de déterminer les allergènes responsables. Différents tests sont actuellement disponibles et votre vétérinaire est à même de vous conseiller et de les réaliser. * Le régime d'éviction Il consiste à faire manger au chien des aliments qu'il n'a jamais ingéré. Ce régime devra être extrêmement strict (aucune friandise ni aucun reste de table !). Il devra être poursuivi pendant 10 semaines parfois avant de montrer des résultats. Si le chien ne présente plus de symptômes, on pourra essayer de redonner toutes les semaines un nouvel aliment, afin de savoir si le chien y est allergique ou non (les symptômes reprendront alors rapidement). Cette démarche est certes laborieuse, mais elle permet d'identifier de manière certaine les aliments responsables de l'allergie si elle est pratiquée correctement. Une fois les allergènes identifiés, il sera possible de limiter au maximum leur présence dans le milieu de vie du chien, voire de les éliminer: aspiration des poussières, traitements anti-puces drastiques, abattage d'arbres, régime alimentaire particulier. Retrouvez les aliments hypoallergéniques conseillés lors d'allergie alimentaire en cliquant ici. * La désensibilisation Le chien reçoit des injections de préparations d'allergènes. Elles sont souvent efficaces et permettent de limiter considérablement les symptômes de l'allergie. Conclusion Un animal allergique le reste toute sa vie, même si aujourd'hui, les possibilités diagnostiques et thérapeutiques sont performantes.Toutefois, le diagnostic demande une démarche lourde, stricte et parfois difficile, qui nécessite une collaboration étroite et un climat de confiance entre le propriétaire et le vétérinaire. De nouvelles voies de recherches sont en cours et devraient faciliter ces démarches dans l'avenir.
  2. Les démangeaisons chez le chien Ces démangeaisons (ou prurit) sont généralement mais improprement appelées eczéma. Elles entraînent des rougeurs, des pertes de poils, des petits boutons, etc... Quelles peuvent être les causes de ces démangeaisons ? 1. Les parasites Les piqûres des puces sont la principale cause de démangeaisons chez le chien. Les puces sont difficiles à éliminer, parfois invisibles et surtout, une seule piqûrepeut provoquer des démangeaisons importantes dues à une réaction allergique très importante. D'autres parasites sont également responsables de démangeaisons : les aoûtats et les cheylétielles. Les produits anti-puces de dernière génération (Frontline par exemple) sont aussi efficaces contre ces parasites en application locale. Les gales du corps peuvent aussi entraîner des démangeaisons, mais elles sont rares chez le chien. Un parasitisme digestif important par des vers peut entraîner l'apparition d'un grattage intense. Il faut donc vermifuger très régulièrement votre chien (tous les six mois au minimum). 2. Les allergies Il existe différents types d'allergies chez le chien. La dermatite allergique aux piqûres de puces, qui est la cause principale d'allergie chez le chien. Elle est appelée DAPP dans notre jargon. Cette allergie à la salive de puce entraîne des plaques rouges et des démangeaisons. Parfois, ces plaques peuvent s'infecter car le chien les gratte avec ses griffes qui peuvent être sales. Ce qui peut causer une infection cutanée assez longue à soigner. De plus, une seule piqûre suffit souvent à déclencher une crise de grattage frénétique et l'apparition de plaques. L'atopie, qui est une prédisposition à faire des allergies envers plusieurs allergènes (substance responsable de la mise en route des manifestations allergiques), généralement inhalés (acariens de poussière, pollens...), L'allergie alimentaire, qui est due à des allergènes ingérés dans la ration, L' "allergie de contact", qui n'est pas vraiment une allergie mais une sensibilisation de la peau au contact de diverses substances (produits ménagers, certains pigments des gamelles en plastiques...). 3. Une pyodermite : il s'agit d'une infection bactérienne de la peau qui peut avoir des origines variées : allergie, présence de parasites, irritation de la peau, problème hormonal, etc... ou être primitive. 4. Les troubles comportementaux : parfois, certains chiens stressés ou hyper-sensibles ont des crises de démangeaisons frénétiques, qui peuvent aller jusqu'à l'automutilation. Il convient alors de soigner le problème comportemental, mais aussi le problème de peau car le chien se gratte tant que ses lésions ne sont pas guéries. Quels traitements ? Tout d'abord, il convient de traiter, afin de se débarrasser pour longtemps des puces, régulièrement tous les animaux du domicile (chiens et chats) avec un produit antipuces adulticide, c'est-à-dire qui tue les puces adultes (Frontline en spray ou en pipettes par exemple). De plus, pour se débarrasser complètement des puces, il faut également traiter l'environnement. Afin d'effectuer ce traitement, il existe plusieurs types de produits : des sprays à pulvériser directement sur les endroits de prédilection de votre chien (fauteuil, panier) ou des bombes auto-diffusantes ; ces produits détruisent les oeufs et les larves de puces. Quels examens complémentaires ? Si les traitements anti-puces ne suffisent pas, il faut alors tenter de trouver l'origine des démangeaisons de votre chien. Pour cela, une visite chez le vétérinaire s'impose. Ce dernier l'examinera attentivement et effectuera des examens complémentaires comme des raclages cutanés, un régime d'éviction ou encore des tests intradermiques afin de trouver l'origine des démangeaisons. Puis, selon les résultats des examens complémentaires, le vétérinaire prescrira le traitement adapté. Source : http://wanimo.com/
  3. Les otites Qu'appelle-t-on une otite ? Une otite est une infection ou inflammation du pavillon ou du conduit auditif. Il n'y pas une, mais des otites différentes, que l'on distingue suivant l'origine du problème: Les otites parasitaires essentiellement dues à un parasite: la gale des oreilles. Ce parasite (Otodectes Cynotis) ressemble à une araignée microscopique, et se multiplie dans le conduit auditif en se nourrissant du cérumen qu'il contient. Les parasites de la gale d'oreille produisent des saletés marron foncées ou noirâtres que l'on peut observer à l'intérieur du conduit (attention la présence d'un contenu noirâtre dans l'oreille ne signifie pas systématiquement que le chien est atteint d'une gale d'oreille!). Ces parasites entraînent des démangeaisons très désagréables pour le chien. Il se gratte alors fréquemment les oreilles en gémissant. Il convient dans ce cas de consulter votre vétérinaire pour qu'il puisse établir le diagnostic et mettre en place le traitement. Celui-ci consiste en général en des gouttes à mettre au fond des oreilles pendant 4 à 6 semaines au moins. La gale d'oreilles est très contagieuse de chien à chien, ou de chien à chat, mais elle n'atteint pas les autres espèces, et en particulier pas l'homme. Les otites infectieuses qui se manifestent par une douleur importante de l'oreille, et par la présence de pus et parfois de saignements dans le conduit. Elles peuvent être la conséquence d'un "coup de froid", lorsque le chien est resté par exemple la tête à la fenêtre de la voiture. Elles peuvent aussi être dues à des macérations en particulier dans les races à oreilles tombantes car le pavillon recouvre en permanence l'orifice du conduit aggravant les problèmes d'aération. Chez certaines petites races (caniches, bichons, shih-tzu…) des poils poussent à l'intérieur du conduit auditif ce qui augmente encore les risques de macération. Si vous constatez de tels phénomènes consultez rapidement un vétérinaire. Les otites allergiques sont assez fréquentes. Également dénommées, otites erythémato-cérumineuses on les rencontre principalement chez les chiens à tendance allergique. Elles se traduisent principalement par des rougeurs et des démangeaisons à l'extérieur de l'oreille, sur le pavillon, et dans les cartilages qui entourent l'entrée du conduit auditif. On peut aussi observer une accumulation de cérumen très épais, jaunâtre et odorant, qui peut être dû à une infection secondaire. Ces otites étant d'origine allergique, elles ont tendance à se renouveler régulièrement et doivent parfois faire l'objet d'un traitement général du terrain allergique de l'animal. Il convient de débattre du type de traitement avec votre vétérinaire. Les otites mycosiques, nom donné quand l'agent responsable de l'otite est un champignon microscopique. Il s'agit le plus souvent d'une levure dénommée Malassezia Pachydermatis. Elle peut être responsable d'otites chroniques et de la rechute ou de la mauvaise guérison d'autres types d'otites. Comment traiter une otite ? Votre vétérinaire vous prescrira un traitement adapté à l'origine de l'otite.Il sera composé de liquides à instiller dans le conduit auditif (nettoyant, antibiotiques …), de comprimés, de lait dermatologique à passer sur le pavillon… Pour la réussite du traitement, le plus important, est de mettre convenablement, les gouttes au fond du conduit auditif. Cela sera d'autant plus facile que le chien a été habitué dès son plus jeune âge à se faire nettoyer les oreilles. Le bon Geste: L'opération est parfaitement indolore et sans risque pour votre compagnon en suivant précisément les indications suivantes : Enfoncez l'embout du flacon verticalement dans le conduit auditif sans avoir peur de blesser le tympan puisqu'un coude vous empêche de le toucher, Lorsque le fond est atteint injectez le produit, retirez l'embout puis massez l'extérieur de l'oreille entre le pouce et l'index de façon à répartir le produit. Idéalement laissez ensuite le chien secouer la tête afin que les saletés remontent vers l'entrée du conduit. Vous pouvez alors récupérer le cérumen et les saletés qui remontent à l'aide d'un coton sec ou d'une lingette. Répétez l'opération dans les deux oreilles jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de saletés qui remontent. L'emploi d'un coton-tige est déconseillé: risque de perte de l'embout en coton au fond de l'oreille et irritation par le coton du coton-tige très serré. Vrai/Faux : Les otites des chiens ne sont pas contagieuses pour les enfants. Faux : Elles sont dues à des macérations ou à des parasites (gale d'oreilles) et souvent également à des allergies. Aucune de ces causes n'est contagieuse pour l'homme. En revanche la gale d'oreilles est transmissible aux autres chiens et aux chats.
  4. Waou il a de belles couleurs de plumage ce petit bon espérons que la prochaine sera la bonne
  5. L'obésité du chien L’obésité est aujourd’hui considérée comme une pathologie. En effet, elle peut entrainer des conséquences graves pour nos chiens : diminution de la longévité, maladies ostéo-articulaires, intolérance à l’effort, troubles cardio-respiratoires... C’est pourquoi les vétérinaires de www.wanimo.com vous donnent de plus amples informations sur l’obésité canine. Ainsi, en connaissant les premiers signes, vous pourrez stopper cette pathologie rapidement et la perte de poids nécessaire sera moins importante. Comment savoir si votre chien est en sur-poids ? Il n’existe malheureusement pas de calcul permettant de déterminer l’Indice de Masse Corporelle (IMC) chez le chien comme on le fait chez l’Homme. Nous vous conseillons donc d’observer la silhouette de votre chien : si les côtes et la colonne vertébrale sont difficilement palpables, que la « taille » (creux de flanc) du chien n’est plus visible, on considère que le chien est en excès de poids. Si une distension abdominale évidente est présente, alors le chien est obèse. Vous pouvez également noter l’essoufflement et l’intolérance lors d’efforts que le chien effectuait sans soucis auparavant. Votre vétérinaire peut aussi vous alerter lors d’une consultation de contrôle ou lors d’un vaccin. Les vétérinaires possèdent généralement une balance à disposition dans la salle d’attente et ce service est gratuit. N’hésitez pas à demander conseil à votre vétérinaire. Que faire si votre chien est obèse ? Il est souvent difficile de faire perdre du poids à un chien, celui-ci arrive souvent à faire « craquer » ses propriétaires. C’est surtout ce qu’il ne faut pas faire ! Il est tout d’abord important de définir les besoins énergétiques et le poids idéal du chien. Le traitement diététique peut alors être mis en place. Les vétérinaires de www.wanimo.com vous conseillent alors de donner uniquement des croquettes, les rations sont ainsi plus faciles à déterminer, et aucune friandise ou reste de table à côté. Plutôt que de restreindre la quantité de croquettes journalière donnée au chien, ce qui l’affamerait, nous conseillons de modifier l’alimentation. En effet, il existe des croquettes hypoénergétiques, « light », dont la concentration en énergie et en lipides est diminuée, mais qui permet de couvrir tous les besoins nutritionnels du chien. Les fibres sont souvent augmentées apportant ainsi un effet de satiété. Afin que le chien ne soit pas affamé et, par conséquent, ne réclame pas de la nourriture, il est indispensable de diminuer la ration par paliers, très progressivement. A savoir : Les quantités à administrer dépendent du poids à atteindre (et non du poids actuel) et du type d'aliment : vous trouverez un tableau de rationnement sur le paquet de croquettes que vous choisirez. En parallèle de cette nouvelle alimentation, un traitement hygiénique doit être suivi. Il consiste en la pratique d’exercices physiques. Les dépenses en énergie sont ainsi augmentées, tout en limitant les pertes musculaires. Il ne faut pas se décourager, la perte de poids peut être parfois longue mais les résultats sont souvent impressionnants si les propriétaires sont motivés et suivent strictement le régime. Et après le régime ? Le suivi après le régime est impératif. Il est nécessaire soit de garder les mêmes croquettes mais d’augmenter très progressivement et légèrement les quantités journalières, soit de choisir un aliment un peu plus énergétique tout en conservant la même quantité. Le suivi du poids doit être effectué tous les mois. Que faire pour éviter que votre chien ne prenne trop de poids ? Pour éviter qu’un chien ne soit en sur-poids après un régime ou non, il lui faut tout d’abord lui fournir une alimentation stable et adaptée que ce soit en qualité (selon son âge, sa taille, son activité..) mais aussi en quantité (selon son poids et l’apport énergétique de l’aliment). Il ne faut jamais accepter qu’un chien quémande. Aucune friandise, ni reste de table ne doivent être donnés. Ensuite, il est indispensable de surveiller le poids du chien, tous les mois s’il a tendance à grossir. Conseil N’hésitez pas à rendre visite régulièrement à votre vétérinaire pour une pesée mensuelle !! Si votre chien ne perd pas de poids malgré un régime strict ? Nous vous conseillons alors de consulter votre vétérinaire. En effet, certaines pathologies peuvent limiter la perte de poids. De plus, il existe maintenant un traitement uniquement sous prescription vétérinaire qui est le premier traitement du sur-poids et de l’obésité du chien. En résumé, pour faire maigrir votre chien et/ou éviter qu’il ne grossisse, il faut : - une alimentation stable, sous forme de croquettes, et de qualité. - Un aliment allégé en en quantités respectées s’il a besoin de perdre du poids, - De l’exercice. Consultez notre fiche santé « le chien et le jeu ». - Ne pas hésiter à consulter votre vétérinaire car l’obésité est une pathologie et il peut vous aider. Source : http://wanimo.com/
  6. L'insuffisance rénale chez le chien L'insuffisance rénale correspond à une défaillance des fonctions du rein. Le rein est chargé de détoxiquer le sang en filtrant les déchets (toxines) produits par l'organisme. Lorsqu'il ne peut accomplir cette fonction, les toxines s'accumulent et les premiers symptômes apparaissent. L'insuffisance rénale peut survenir de deux façons: soit de manière aigüe, le rein ne peut soudainement plus assurer l'élimination des toxines produites par l'organisme. Les symptômes apparaissent brutalement et le mal est souvent réversible si l'on élimine à temps la cause de cette insuffisance. soit de manière chronique, le rein est détruit progressivement et de manière irréversible. Les perturbations sont perceptibles seulement à un stade déjà avancé de la maladie, il est alors souvent trop tard pour rétablir les fonctions du rein. L'insuffisance rénale aigüe Cette affection apparaît de façon brutale sur un animal quel que soit son âge. Les symptômes Les symptômes de cette maladie sont assez nombreux et souvent peu caractéristiques. Le chien est abattu et il mange peu ou plus du tout. Souvent il présente des vomissements et de la diarrhée. Il peut aussi avoir des problèmes urinaires (douleurs voire arrêt total d'émission des urines). Ces symptômes sont assez inquiétants. En cas de doute, votre chien doit être examiné rapidement par un vétérinaire afin qu'il diagnostique si votre chien souffre bien d'une insuffisance rénale aiguë. Les causes Les causes de cette insuffisance rénale sont variées. Elle peut apparaître suite à une mauvaise circulation sanguine au niveau du rein lors d'hémorragie importante, lors de déshydratation sévère ou lors de certaines insuffisances cardiaques chez le chien âgé notamment. Le rein peut aussi subir une lésion majeure qui le rend incapable de fonctionner normalement. C'est le cas lors de certaines infections (pyélonéphrite, glomérulonéphrite), lors de certaines maladies générales (leptospirose, leishmaniose), lors de l'absorption de certains produits ou médicaments toxiques (intoxication par l'antigel par exemple). Le rein peut aussi être gêné dans son fonctionnement quand l'urine qu'il produit ne peut s'éliminer normalement. Chez Le chien, c'est le cas lorsque des calculs situés dans la vessie ou dans l'urètre bloquent l'émission d'urine. Le diagnostic Le vétérinaire, après un examen approfondi de l'animal, pourra réaliser une prise de sang. Celle-ci permettra de doser certaines toxines produites par l'organisme et normalement éliminées par le rein comme l'urée et la créatinine. Puisque le rein ne fonctionne plus, les valeurs d'urée et de créatinine seront très augmentées dans le sang. Le vétérinaire pourra également réaliser d'autres examens (prise d'urines, radiographies, etc...) pour connaître la cause de cette insuffisance rénale aiguë. Le traitement Le traitement a pour but de rétablir le fonctionnement normal du rein. Il repose sur la mise en place de perfusions qui permettent de soutenir l'organisme et d'éliminer les toxines accumulées dans le sang. Dans certains cas, l'utilisation de diurétiques est nécessaire ainsi que l'administration de médicaments qui luttent contre les vomissements et la diarrhée associés. Lorsque la cause de l'insuffisance rénale est connue, un traitement spécifique sera mis en place également. Par exemple, lors de blocage de l'élimination de l'urine par des calculs, il faudra supprimer ces calculs. Le pronostic Il va dépendre de l'âge du chien, de la cause de l'insuffisance rénale et de la rapidité de mise en place des soins vétérinaires. Le vétérinaire réalise d'autres analyses de sang au cours du traitement. Si les taux d'urée et de créatinine diminuent et redeviennent normaux, on pourra considérer le chien comme sorti d'affaire mais ses reins seront fragilisés. Il faudra donc faire attention et le ramener chez le vétérinaire au moindre symptôme. Un traitement de fond et une alimentation particulière peuvent être prescrits également. L'insuffisance rénale chronique Elle est liée à la destruction progressive et irréversible du rein qui devient incapable d'éliminer les toxines produites par l'organisme. Elle est surtout observée chez les chiens âgés. Dans de rares cas de malformations congénitales, elle peut apparaître sur de jeunes chiens.[/list] Les causes Cette maladie peut apparaître suite à une infection rénale non traitée à temps, lors de lésion du rein, de problèmes urinaires répétés ou de cancers du rein. Les symptômes Le chien boit généralement beaucoup (polydipsie), il urine également beaucoup (polyurie). Ces premiers symptômes sont souvent accompagnés de vomissements plus ou moins fréquents et de fatigue. Si la maladie évolue depuis plusieurs semaines ou plusieurs mois, le chien mange moins ou plus du tout. Il est souvent maigre et déshydraté. Il peut avoir des ulcères dans la bouche. Des vomissements fréquents ou la présence d'une diarrhée sont envisageables. Le chien présente aussi une diminution des globules rouges dans le sang (anémie). Ces symptômes ne sont malheureusement pas caractéristiques car un chien qui boit et urine beaucoup peut avoir une autre maladie comme le diabète. Le diagnostic C'est le même que pour l'insuffisance rénale aiguë: le dosage de toxines dans le sang donne une première orientation (urée, créatinine), et d'autres examens permettent d'affiner le diagnostic. La destruction du rein est progressive. Au début de la maladie, la partie fonctionnelle du rein arrive à compenser le mauvais fonctionnement de la partie lésée. C'est pourquoi la maladie est indétectable et le chien ne présente pas de symptômes. Quand une grande partie du rein est détruite, il devient impossible à la partie restante de compenser et les premiers signes de la maladie s'installent. C'est alors que le diagnostic est fait. Le traitement Il est vrai que la partie du ou des reins qui est détruite l'est de façon irréversible. Toutefois, le traitement est possible et les chiens peuvent vivre des années avec un traitement approprié. Le traitement va dépendre de la gravité des symptômes. Ce traitement est basé principalement sur une alimentation adaptée, visant à limiter l'apport de protéines et à limiter l'apport excessif de phosphore. Les aliments spécifiques pour chiens insuffisants rénaux contiennent peu de protéines mais elles sont de très bonne qualité. Vous pouvez trouver ces aliments chez votre vétérinaire ou sur la Boutique Wanimo.com. Cliquez ici pour découvrir notre sélection d'aliments spécifiques aux chiens en insuffisance rénale. Lors des crises, il faut, comme dans l'insuffisance rénale aiguë, perfuser le chien. En effet, la perfusion permet de réhydrater le chien, de lui faire éliminer une partie des toxines accumulées dans le sang. La perfusion permet aussi de soutenir l'organisme L'utilisation de certaines vitamines sont parfois souhaitables. Le recours à des anabolisants peut permettre de lutter contre l'anémie et avoir un effet "coup de fouet" . La surveillance du chien insuffisant chronique Les signes d'aggravation peuvent être variés mais vous devez faire plus particulièrement attention à : -> une augmentation de la prise de boisson et donc de la quantité d'urines émises. Ceci indique souvent une aggravation de l'insuffisance rénale et votre chien doit revoir le vétérinaire. -> une baisse d'appétit, un amaigrissement et/ou des vomissements chroniques. Il est bon, lors d'une insuffisance rénale chronique, d'effectuer régulièrement des bilans sanguins (dosage de l'urée et la créatinine sanguines). Les propriétaires et le vétérinaire peuvent ainsi surveiller l'évolution de l'insuffisance rénale. Le pronostic Il va dépendre des lésions rénales et du traitement mis en place. La durée de vie du chien malade qui reçoit un traitement approprié peut être très longue. Il est donc important de faire suivre le chien par votre vétérinaire et d'éviter de lui donner des friandises, qui pourraient être néfastes pour ses reins. On ne peut réellement parler de souffrance qu'en phase terminale où les reins de l'animal ne fonctionnent plus du tout, dans ce cas, le chien « s'auto-intoxique ». Il peut alors présenter des convulsions, être comateux. A ce stade, il ne reste plus de possibilité de traitement. Conclusion Il faut amener régulièrement le chien insuffisant rénal chez un vétérinaire, ne lui donner qu'une alimentation adaptée, il pourra ainsi passer encore beaucoup de temps heureux aux côtés de ses propriétaires. Quand votre chien atteint l'âge de 5 ans pour les grandes races, 7 ans pour les races moyennes et 8 ans pour les petites races, vous pouvez demander à votre vétérinaire de faire régulièrement des analyses de sang pour dépister au plus tôt une insuffisance rénale débutante. Le vétérinaire pourra ainsi prendre les mesures permettant de prolonger au maximum la vie de votre compagnon. Source : http://wanimo.com/
  7. La reproduction chez la chienne L'élevage des chiots, qu'il soit fait de façon professionnelle ou amateur, est quelque chose de difficile, qui demande certaines connaissances de base indispensables. La première étape est le choix d'un reproducteur : Si votre chienne a des papiers (c'est-à-dire un pedigree), vous pourrez produire des chiens de race. Il faudra tout d'abord prendre contact avec le club de race de votre chienne (voir sur notre site l'espace "Adresses Utiles") afin de la faire confirmer par un expert confirmateur, si ce n'est pas déjà fait. Votre chienne sera alors inscrite au L.O.F. (Livre des Origines Français). Le mâle devra également être confirmé et un certificat de saillie devra être rempli et signé au moment de l'accouplement par les propriétaires des deux chiens; il devra être envoyé sous 4 semaines à la Société centrale Canine pour que les chiots puissent être reconnus et avoir un pedigree (certificat de naissance). Si la chienne n'est pas une chienne de race, ou si vous ne voulez pas spécialement obtenir des chiots de race, vous pouvez choisir le mâle qui vous plaît (dans les limites du raisonnable au niveau de la différence de taille, pour la commodité de la saillie et les problèmes potentiels de mise-bas!). Les chaleurs C'est la période propice à la reproduction. Les premières chaleurs, c'est-à-dire la puberté, surviennent vers l'âge de 6 à 7 mois chez les chiennes de petit format, et jusqu'à 18 mois pour les chiennes de race géante. Les chiennes sont en chaleur environ deux fois par an. Certaines races, comme le Basenji, ne présentent qu'une période de chaleur annuelle, alors que d'autres peuvent en présenter trois. Les périodes de chaleur surviennent généralement vers le printemps et l'automne, bien que les chiennes puissent entrer en chaleur à n'importe quelle période de l'année. La période de chaleur correspond à 2 étapes physiologiques bien distinctes : Etape 1 : Le pro-oestrus C'est la période durant laquelle la vulve est gonflée et on observe des pertes de sang; la chienne attire déjà les mâles, mais refuse généralement la saillie. Cette période dure en moyenne neuf jours, mais est très variable d'une chienne à l'autre (entre 2 et 25 jours). Etape 2 : L'oestrus C'est la vraie période de chaleurs qui dure 3 à 21 jours environ (9 jours en moyenne). Durant cette phase, la chienne accepte le mâle. L'ovulation survient environ 2 jours après le début de l'oestrus. Certaines chiennes continuent à avoir des pertes durant cette période. Ces explications mettent en évidence la grande variabilité des durées de chaleurs chez la chienne, accentuée par des réactions comportementales (acceptation du mâle, chevauchement…) très variables d'un individu à l'autre. C'est pourquoi il est parfois difficile de définir exactement le moment opportun pour la saillie. La saillie Une fois le mâle choisi, il convient de déterminer le moment propice de l'accouplement. On ne peut pas laisser les deux chiens ensemble en permanence sous peine d'épuiser le mâle ou de risquer qu'il se blesse (fracture du pénis suite à des tentatives de saillies brutales ; le pénis du chien contient en effet un os). Si le mâle est très disponible, on pourra les laisser ensemble entre le 11ème et le 13ème jours après le début des chaleurs. La saillie doit en effet se faire environ 48 heures après l'ovulation. Cette période correspond à la date moyenne idéale des chiennes. Toutefois, comme on l'a vu ci-dessus, il existe de grandes variations et le fait que la chienne accepte la saillie n'est pas forcément un signe de réussite. L'idéal est donc de faire suivre les chaleurs de votre chienne par un vétérinaire, surtout si vous n'avez pas la possibilité de faire plusieurs saillies (si le mâle est loin) et si cette saillie vous coûte cher. Le suivi consiste à faire des frottis vaginaux et des dosages sanguins hormonaux (de progestérone), afin de connaître précisément le moment de l'ovulation. Il est toujours préférable de déplacer la femelle plutôt que le mâle pour la saillie, afin que ce dernier soit en pleine possession de ces moyens. L'accouplement se déroule après une période de parade plus ou moins longue (mais généralement courte: le chien se contente de renifler la vulve de la femelle). Le chien chevauche la femelle, la pénètre, et commence à faire des mouvements de va-et-vient (10 à 20). Puis, il passe une patte au dessus du dos de la chienne et se retourne: les chiens sont alors « collés » fesses contre fesses. C'est à ce moment que des mâles peu expérimentés peuvent se blesser (fracture du pénis): faux mouvement, femelle qui cherche à s'asseoir... Il est important par ailleurs de ne pas intervenir pendant cette phase sous peine de blesser les animaux. L'accouplement dure généralement une vingtaine de minutes. Mais certains chiens sont plus rapides, sans que cela n'influe sur leur performance de reproducteur. Après la saillie, une petite quantité de liquide peut couler de la vulve de la femelle. Sachez enfin que certains vétérinaires sont habilités à pratiquer l'insémination artificielle. Elle permet de faire reproduire la chienne si la saillie n'a pas pu être réalisée ou d'utiliser de la semence congelée d'un mâle indisponible. La gestation Elle a une durée très constante chez la chienne: 63 jours (+ ou -1 jour) après l'ovulation. Le diagnostic de gestation peut être fait précocement par une échographie dès le 25ème jour environ. Il n'existe pas de dosages hormonaux chez la chienne (type test de grossesse chez la femme) car le profil hormonal est très variable d'une chienne à l'autre et est très proche que la chienne soit gestante ou non. La radiographie ne peut être effectuée qu'à partir de 45 jours de gestation. Il est toutefois prudent d'attendre 50 jours pour être sûr de bien voir tous les fœtus et d'évaluer leur taille par rapport à celle du bassin de la mère, pour savoir si les chiots seront susceptibles de rester coincés lors de l'accouchement (ce qui reste très rare chez le chien). Les mamelles commencent à se développer dans la deuxième moitié de gestation et le lait est présent une semaine avant la mise-bas (deux à trois jours seulement lors de la première portée). L'alimentation de la chienne pendant la gestation La future maman devra être nourrie avec un aliment équilibré, riche et digeste. Une alimentation industrielle sous forme de croquettes est la solution idéale et la moins coûteuse; si vous choisissez un aliment de bonne qualité, aucun complément minéral ou vitaminé n'est nécessaire. Toutefois, il faut choisir un aliment riche car l'alimentation doit apporter les éléments essentiels à la mère mais aussi à ses chiots. De plus, durant la deuxième moitié de gestation, il faut préparer la montée de lait, qui demande également beaucoup d'énergie et de sels minéraux. Des aliments industriels sont spécialement conçus pour couvrir les besoins des chiennes gestantes. Ces aliments sont aussi ceux qui conviennent aux chiots lors du sevrage. Rendez-vous dans la Boutique Wanimo.com ! Vous pourrez ainsi choisir, parmi les aliments pour chiots, un aliment parfaitement adapté à votre chienne gestante. Il convient toujours de faire une transition alimentaire lorsqu'on modifie l'alimentation, pour éviter de déclencher une diarrhée. Il suffit d'introduire le nouvel aliment dans l'ancien régime, en augmentant progressivement la dose et en diminuant celle de l'ancien aliment sur trois ou quatre jours. L'état de santé de la mère La période de mi-gestation est idéale pour pratiquer les rappels de vaccination, s'ils n'ont pas été effectués récemment. En effet, la mère pourra ainsi transmettre à ses chiots, via le premier lait (appelé colostrum), une grande quantité d'anticorps (qui permettent au chiot de se défendre contre les maladies). Certains vaccins peuvent se faire pendant la gestation, demandez conseil à votre vétérinaire. C'est également la période idéale pour commencer un programme de vermifugation. La mère transmet à ses petits, dans l'utérus puis lors de la lactation, des vers qu'elle possède dans son corps (des ascaris en «attente» dans les muscles de la mère). Il faut donc vermifuger les mères pendant la gestation, ainsi que une semaine avant la mise-bas, puis une semaine après la mise-bas. Il sera bon également de se débarrasser de tous les parasites externes (puces principalement) de la mère en la traitant une semaine avant la mise-bas environ. Il faut utiliser des produits adaptés comme le Frontline par exemple. Retrouvez dans la Boutique www.wanimo.com toutes les grandes marques d'antiparasitaires. La chienne pourra, durant la gestation, conserver une activité physique, pourvu qu'on évite les efforts violents et le surmenage en fin de gestation. Ne donnez jamais de médicaments à votre chienne durant la gestation sans l'avis de votre vétérinaire car de nombreux médicaments peuvent être néfastes pour les fœtus. Pour plus de renseignements sur les vaccinations et les vermifuges, consultez nos Fiches Santé sur «les vers du chien», «la vaccination du chien» et sur les maladies contre lesquelles on vaccine («la maladie de Carré», «l'hépatite contagieuse du chien», «la parvovirose», «la leptospirose», «la toux de chenil»). Vous pouvez également consulter notre Fiche santé sur «les puces du chien». Demandez conseil à votre vétérinaire pour la vermifugation de la chienne gestante et pour l'utilisation de tout autre médicament. Les problèmes liés à la gestation Toute variation de l'état de santé, de l'appétit, ou tout écoulement anormal au niveau de la vulve doit conduire à une visite chez le vétérinaire. Les problèmes rencontrés sont : Les avortements Ils sont dûs soit à des microbes (bactéries, virus), à des parasites, ou à une maladie générale de la chienne (hypothyroïdie, diabète, insuffisance lutéale…). De manière générale, toute variation de l'état de santé de la chienne en gestation peut entraîner un avortement. Si les chiots ne sont pas expulsés, la chienne risque de faire une infection de l'utérus (métrite), parfois très grave Les hypocalcémies Il s'agit d'un déficit en calcium, dont les besoins augmentent avec la montée de lait. Elles sont rares durant la gestation et surviennent plutôt quelques jours après la mise-bas, notamment chez les chiennes de petit format. On peut les éviter avec une bonne alimentation, ou des compléments minéraux si on donne une alimentation ménagère. Il ne faut toutefois pas abuser de ces compléments durant la gestation car il peuvent faire plus de mal que de bien, demandez conseil à votre vétérinaire. Conclusion Nous espérons que ces conseils vous aideront à avoir de beaux petits chiots. N'hésitez pas à consulter notre fiche infos pratiques sur « la mise-bas et les soins aux nouveaux-nés ». Si quelque chose vous perturbe durant la gestation de votre chienne, posez-nous vos questions. Source : http://wanimo.com/
  8. La mise-bas de la chienne et les soins aux nouveaux-nés La mise-bas survient généralement 54 à 72 jours après la saillie. Si après 63 jours, la chienne n'a pas commencé le travail, il est souhaitable de consulter son vétérinaire, afin de vérifier le bon déroulement de la gestation. La prise de progestatifs durant la gestation (pilule anti-conceptionnelle) retarde la mise-bas et peut entraîner la mort des petits. Les retards peuvent également être dus à une petite portée, ou à une inertie utérine primaire (voir plus loin «les complications de la mise-bas»). Nous conseillons aux propriétaires de se faire le plus discret possible pendant la mise-bas car les chiennes apprécient d'être seules et tranquilles pendant ce moment. De nombreuses "complications" sont dues à la présence trop "insistante" des propriétaires. Les premiers signes de la mise bas Quelques jours avant la mise-bas, la chienne se met à fabriquer un « nid », s'isoler du bruit et de l'agitation. Son changement de comportement est assez sensible pour la plupart des propriétaires. Il n'est pas rare que les chiennes aient moins d'appétit juste avant la parturition (mise-bas). On peut également observer un écoulement clair à la vulve, qui est gonflée. Il arrive que certaines chiennes vomissent. Un autre signe facilement contrôlable est la chute de la température rectale: elle descend facilement à 37-38°C (alors qu'elle est normalement de 38.5°C environ). Suite à cette chute de température, la mise-bas a lieu généralement sous 24 heures. La mise-bas Le travail se divise en trois étapes essentielles, plus ou moins longues. Pour la naissance de chaque petit, la chienne subit ces trois phases. L'expulsion des chiots se fait environ toutes les 30 minutes à une heure. ETAPE 1 : Le début du travail La première phase de la mise-bas correspond à la préparation de l'utérus, et à l'ouverture du col.Au cours de cette période, les chiennes sont inquiètes, agitées. Elles se regardent le ventre, tournent en rond, se lèvent et s'assoient, se mettent à haleter. Ce comportement est dû à la douleur des premières contractions utérines (non visibles) et de la dilatation du col de l'utérus. Cette phase a une durée très variable, de 4 à 36 heures. ETAPE 2 : L'expulsion des chiots Elle se caractérise par une augmentation des contractions utérines, accompagnées de contractions abdominales visibles. Les poches fœtales se percent et les premières eaux sont libérées. La chienne se lèche fréquemment la vulve. Lorsque la tête du fœtus apparaît, les contractions abdominales augmentent en intensité. Les petits peuvent sortir la tête ou le bassin en avant. Toute autre position est anormale et risque de conduire à un blocage. La durée de l'accouchement après la sortie du premier chiot est très variable une fois encore. Les chiots naissent généralement toutes les demi-heures à une heure. Si la chienne fait des efforts et qu'aucun chiot ne sort, il y a peut-être un chiot coincé. Il faut alors appeler le vétérinaire au plus vite. La chienne ne doit pas rester plus d'une heure avec des contractions sans expulser de chiot. La chienne ne doit également pas rester plus de deux heures sans présenter de contractions, tant qu'il reste des chiots. Lorsque les chiots sortent, ils sont soit entourés de leur poche foetale, soit «nus», simplement attachés par le cordon ombilical. Dans le premier cas, la mère doit déchirer la membrane qui entoure le chiot et le lécher afin qu'il respire; si elle ne le fait pas, vous devez le faire à sa place rapidement. Si le chiot ne respire pas, il faut stimuler la respiration en frottant vigoureusement le chiot dans une serviette. ETAPE 3 : L'expulsion des annexes fœtales Comme nous l'avons vu, les chiots ne naissent pas forcément avec leur placenta et il arrive que ce dernier reste dans l'utérus. Les placentas restant peuvent être expulsés à n'importe quel moment de la mise-bas, entre ou après les naissances suivantes. La chienne mange généralement ces annexes (poches et placentas), et il est couramment admis que cet acte favorise l'involution de l'utérus (après la mise-bas, l'utérus se vidange et diminue de taille; une mauvaise vidange peut entraîner une infection) et la production de lait. Il est donc préférable de ne pas intervenir et de la laisser les manger. Si la portée est trop importante, il ne faut toutefois pas la laisser tout manger, car elle risque de vomir ou d'avoir de la diarrhée. A la fin de la mise-bas, la chienne se relaxe et les chiots commencent à téter. Des écoulements appelés lochies sont normaux après la mise-bas et durent 2 à 6 semaines. Ils sont de couleur rouge-brun et ne présentent pas d'odeur particulièrement désagréable. Tout autre écoulement (couleur, odeur) accompagné d'une baisse de forme de la part de la chienne peut être le signe d'une infection (voir plus loin « les complications post-partum »). Les complications de la mise-bas Les défauts de position des fœtus à la sortie sont assez rares: certains chiots peuvent se présenter de travers. Il faut alors rapidement consulter le vétérinaire car le chiot risque de mourir d'étouffement, et la sortie des autres chiots peut être retardée, avec les mêmes conséquences. L'inertie de l'utérus est une cause fréquente de problèmes à la mise-bas chez la chienne. Il s'agit de contractions insuffisantes pour faire sortir les chiots. La chienne présente généralement la première phase, mais aucun chiot ne se présente, et aucune contraction n'est décelable. La durée de la première phase étant très variable, il est difficile de savoir à quel moment il faut intervenir. C'est pourquoi il ne faut pas hésiter à contacter son vétérinaire au moindre doute. Parfois, surtout lors de grosses portées, la chienne présente un «épuisement» de l'utérus, qui entraîne l'arrêt des contractions et donc de la parturition. Là encore, si le délai entre deux chiots excède deux heures, sans aucune contraction, il est important de consulter le vétérinaire. Le traitement de ces inerties peut être tenté: des médicaments permettent d'augmenter les contractions. Si ces médicaments ne fonctionnent pas, il faudra pratiquer une césarienne (ouvrir le ventre de la chienne pour aller chercher les petits). Les anomalies anatomiques de la mère peuvent représenter un obstacle à la sortie des chiots: torsion de l'utérus, bassin étroit, masse ou striction dans le vagin… Il faut dans ce cas pratiquer une césarienne. Les complications après la mise-bas L'éclampsie puerpérale est une hypocalcémie (déficit en calcium) qui survient généralement dans les deux premières semaines après l'accouchement, mais peut survenir, rarement, en fin de gestation également. Elle se rencontre chez les chiennes mal nourries durant la gestation (la lactation a été mal préparée), chez les chiennes de petite taille, chez les chiennes ayant de grosses portées, ou chez les chiennes ayant eu une supplémentation en calcium trop importante durant la gestation. Elle se caractérise par une faiblesse de la chienne, ainsi que par des troubles nerveux comme des tremblements, des spasmes musculaires ou des convulsions (la chienne tombe de côté et pédale ou est tétanisée). Il est urgent de montrer la chienne à son vétérinaire si de tels signes apparaissent. La métrite ou endométrite est une infection de l'utérus par des bactéries suite à la mise-bas. Elle survient généralement lorsque l'accouchement s'est mal passé ou que les placentas ou tous les petits n'ont pas été expulsés. De mauvaises conditions d'hygiène favorisent également l'apparition de cette maladie. Elle se caractérise par de la fièvre, des écoulements purulents ou hémorragiques (rouges sang ou jaunâtres, malodorants) et un mauvais état général de la chienne. L'état de la chienne peut se dégrader rapidement si un traitement n'est pas mis en place rapidement. Elle peut par ailleurs contaminer ses chiots par le lait ou arrêter la production de lait. La vie des chiots est donc également en danger. En cas de maladie de la mère, il faut nourrir les chiots avec du lait de chienne maternisé, et éventuellement leur apporter des substituts de colostrum durant la première semaine; ces produits sont disponibles chez les vétérinaires et bientôt sur www.wanimo.com. Les soins aux nouveaux-nés Les chiots qui naissent coiffés de leurs annexes doivent en être débarrassés, de préférence par la mère. Cette dernière nettoiera ses chiots et coupera le cordon ombilical. Si la mère est inexpérimentée ou nerveuse, et qu'elle ne fait pas son travail, vous devrez vous substituer à elle. Vous pouvez également désinfecter les cordons avec un peu de Bétadine diluée (1 volume pour 9 volumes d'eau). Si le chiot ne respire pas, il faut le frotter avec un linge propre, de façon énergique. La naissance des chiots doit se faire dans un environnement assez chaud (autour de 25°C), car ils sont incapables de faire augmenter leur température corporelle pour lutter contre le froid. Ils doivent bien sûr être à l'abri des courants d'airs. De nombreuses chiennes sont porteuses du virus Herpès, qu'elles transmettent à leurs petits à la naissance. Les chiots développent alors facilement la maladie si les conditions d'environnement ne sont pas favorables: on observe un affaiblissement des chiots, avec un retard de croissance, ou des mortalités subites. Il faut donc veiller à ce que la température de la pièce reste entre 22 et 27°C durant les 10 premiers jours de la vie. Il est important que les chiots se mettent à téter rapidement après leur naissance. Le premier lait (le colostrum) apporte en effet des éléments indispensables à la défense de l'organisme du chiot contre les microbes. Le réflexe de succion (de tétée) et donc l'appétit est un signe de bonne santé chez le chiot nouveau-né. Il ne faut pas hésiter à aider le chiot à trouver la tétine de la mère. Les chiennes possèdent 8 ou 10 mamelles. Si la portée est très importante, il faudra allaiter les chiots avec du lait maternisé pour chiens. Il faut donner un maximum de repas par jours, jusqu'à 12 repas la première semaine. L'hygiène entourant la naissance est cruciale pour la bonne santé des chiots et de la mère. Le lieu de naissance doit comporter un sol facilement lavable, avec des journaux ou des linges propres. Au début, la mère lèche les parties génitales et l'anus de ses chiots afin de les nettoyer. Plus tard, les chiots s'éloignent davantage de la mère et celle-ci fait moins leur toilette; de plus, les excréments sont en quantité plus importante. Il convient donc de nettoyer plus régulièrement. Le lieu de naissance doit être de préférence clos, afin que les chiots ne s'éloignent pas trop. La mère est souvent fatiguée au tout début et ne doit pas faire sans arrêt la police pour récupérer ses petits. Elle doit pouvoir sortir librement, pour aller manger ou faire ses besoins. L'idéal est de construire une caisse de naissance. Conclusion La naissance des chiots est un événement souvent très attendu mais également source de stress chez les propriétaires. Nous espérons que vous en savez un peu plus maintenant sur le déroulement de la mise-bas et les soins à apporter aux petits. Les accouchements de chiennes se déroulent normalement sans problèmes mais une bonne connaissance du déroulement normal et des complications possibles permet de se rassurer et d'agir à temps en cas de problème, en allant voir rapidement son vétérinaire.
  9. Ben quoi vous n'êtes pas content que votre moman reste avec vous ? nous on aime bien que le popa reste toujours avec nous comme ça on peut faire plein de calin. Aller soyez gentil avec votre moman, elle vous adoreeeeeeeeee . aller je retourne dormir car j'ai pas beaucoup fait de dodo aujourd'hui
  10. Oui ils me préviennent toujours, ou me demande de le mettre sur ma page si il ni a personne. comme le fofo est très lu souvent il place les chiens et chats que je met. au moins il sert aussi a ça ce joli fofo.
  11. Oui Lolita je connais très bien ce refuge il est de très grandes qualités en plus je suis sur leur forum et je diffuse ici quelques urgences il m'arrive de mettre parfois une urgence très importante en page d'accueil
  12. Cunéiforme Se dit d’une tête en forme de coin (prisme triangulaire). Curling 1. Désigne la frisure du poil que l’on trouve chez l’American Wirehair ou certains Rex. 2. Désigne aussi la particularité des oreilles recourbées vers le sommet de la tête chez l’American Curl. Défaut Toute imperfection notable par rapport au standard de la race et à ses qualités spécifiques (voir liste des défauts éliminatoires). Défaut cosmétique Défaut purement esthétique par rapport au standard (ex : médaillon blanc chez un unicolore) qui ne porte pas atteinte à la santé du chat. Dégriffage [declaw] Ablation des griffes et des dernières phalanges. Cette mutilation handicapante et douloureuse est considérée comme un défaut éliminatoire en exposition. A ne pas confondre avec l’épointage. Dépigmentation Manque de pigments colorés sur tout le corps ou à certains endroits du corps, rendant le poil blanc ou la peau rose. Cet absence de pigments peut résulter ou non d’une absence de mélanocytes (les seules cellules capables de synthétiser les pigments chez les mammifères). Dilution (dd) [dilution ou maltesing] Expression plus claire d’une couleur intense. Exemple : le bleu est la dilution du noir, le lilac la dilution du chocolat, le fawn la dilution du cinnamon et le crème la dilution du roux. Disqualification Élimination d’un chat en exposition en raison d’un défaut jugé grave (voir liste des défauts éliminatoires en exposition). Division Au sein de la nomenclature de robes, une division est le regroupement de robes possédant certaines caractéristiques communes, au sein d’une catégorie. Il y a 8 divisions : · Solide · Tabby · Silver/smoke · Ambre · Solide et blanc · Tabby et blanc · Silver/smoke et blanc · Ambre et blanc La description des catégories et divisions figure dans le document « nomenclatures de robes ». Dôme Forme bombée constituée par le dessus de la tête et le front chez le Persan et l’Exotic Shorthair. Dominant Se dit d’un gène qui n’a besoin que d’un allèle présent sur une paire de chromosomes pour s’exprimer. Un gène dominant est désigné par une majuscule (exemple B : noir) Ebony Dénomination de l’oriental noir dans certaines fédérations. Écaille de tortue (Oo) Synonyme de tortie (voir tortie). Écaille et blanc Chat(te)s présentant les couleurs de l’écaille de tortue associées à de la panachure blanche. Échelle de points Notation chiffrée des divers éléments d’appréciation du chat dans le standard. Le total, correspondant à la perfection, est de 100. Ectropion Renversement du bord libre de la paupière vers l’extérieur. Entier Chat non castré. Entropion Renversement du bord libre de la paupière vers le globe oculaire. Éperon Zone blanche à l’arrière du pied se terminant en pointe en dessous du talon chez le Sacré de Birmanie. Epistasie (adj. : épistatique) Effet d’un gène (adj. : épistatique) sur un autre gène situé à un locus différent, masquant l’effet de ce dernier. Exemple : la couleur blanche quand elle est déterminée par le gène W, est épistatique sur toute autre couleur du pelage déterminée par les autres gènes contrôlant la pigmentation. Epointage (des griffes) Action de couper l’extrémité non vivante des griffes du chat, pour les rendre moins acérées et ainsi limiter les dégâts causés par d’éventuelles griffades. Ergot Correspond au pouce pour le chat. Etalon Mâle entier destiné à la reproduction.
  13. Champion, Champion International, Grand Champion International, Champion d’Europe, Grand Champion d’Europe Titres donnés à un chat ayant obtenu les certificats d’aptitude nécessaires pour ce titre (voir règlement des expositions). Charcoal 1. Couleur de certains Bengal pour laquelle le noir est d’une intensité inhabituelle et le fond de robe particulièrement clair. Couleur actuellement non reconnue par le LOOF. 2. Dénomination d’une couleur gris anthracite chez le California Spangled Cat dans certaines fédérations. Chestnut Voir Havana. Chinchilla (A- I- Wb-) Chats argentés dont uniquement l’extrémité des poils est colorée (tipping sur environ 1/8 de la longueur du poil). Chocolat (b- D-) Couleur marron brun foncé, résultant de l’action de l’allèle b récessif par rapport à l’allèle B (Black=noir), qui transforme l’eumélanine noire en eumélanine marron foncé. Cinnamon / Cannelle (blbl D-) Couleur brun-roux, résultant de l’action d’un allèle bl (pour « Light Brown »), récessif par rapport aux allèles B (Black=noir) et b (brown=chocolat), qui transforme l’eumélanine noire en eumélanine brun roux. Classe En exposition féline, niveau dans lequel concourt le chat et qui dépend du titre de championnat qu’il a déjà atteint. Exemple : un chat qui est grand champion international concourt en classe « CACE ». Classic Tabby Synonyme de blotched tabby dans certaines fédérations (voir blotched tabby). Cobby Désigne un corps massif, ramassé et court (vient de « compact body »). Voir tableau des morphologies. Codominance Il y a codominance lorsque les deux allèles différents présents à un locus donné chez un sujet hétérozygote s’expriment tous deux dans l’aspect (le phénotype) de cet individu. Exemple : la combinaison des gènes responsables du patron du Burmese (cb) et du Siamois (cs) qui aboutit à un troisième patron intermédiaire (cbcs) typique du Tonkinois. Collerette Masse de fourrure plus longue et plus fournie autour du cou. Collier Rayures continues (collier fermé) ou non (collier ouvert) sur la partie supérieure du poitrail dans les variétés agouti. Colourpoint/Colorpoint (cscs) Chat avec un corps de couleur claire et des “points” (marques) de couleur plus foncée sur le masque (face), les oreilles, les pattes, la queue et le scrotum. Les yeux sont bleus. Exemple : tous les Siamois sont colourpoint. Concave Se dit d’un profil légèrement creux. Convexe Se dit d’un profil bombé. Ex : Cornish Rex, Siamois… Condition Définit l’état de santé physique et mental du chat. Sont à prendre en considération : son état général, son poids et le toilettage.(voir liste des défauts éliminatoires) Consanguinité Mode de reproduction consistant à accoupler 2 individus plus ou moins étroitement apparentés, c’est-à-dire qui ont au moins un ancêtre commun connu. Le coefficient de consanguinité est la probabilité pour que les deux allèles que possède un individu en un locus donné soient identiques par ascendance (c’est-à-dire par héritage du même allèle d’un ancêtre commun). Couleur de base Une des couleurs unies dans la liste des couleurs, sauf le blanc. Coussinets Bourrelet charnu situé sous les pattes du chat ainsi que sur la face postérieure des pattes. La couleur des coussinets varie avec la couleur de la robe du chat. Crantage Ondulation du pelage de certains Rex (voir curling). Crème (dd O(O)) [Cream] Dilution de l’orange (roux, red). Cross breeding (ou cross breed) Mariage entre deux chats de races différentes. Cryptorchide Désigne un chat mâle sans testicules apparents dans le scrotum (voir Liste des défauts éliminatoires). Cuir du nez Autre nom utilisé pour désigner la truffe. Culotte Chez les chats à poil long ou mi-long, poils plus longs sur l’arrière des cuisses.
  14. Litière pour chat : comment la choisir Les chats sont réputés pour être propres et exigeants. Ainsi le choix de la litière pour chat ne peut pas se faire à la légère. Litière minérale, agglomérante, végétale… à chaque chat sa litière ! La litière minérale C’est la litière pour chat la plus courante : elle est principalement composée d’argile ou de silice. Ces 2 matières sont réputées pour leur pouvoir absorbant, même si les cristaux de silice ont l’avantage d’absorber plus pour un même volume de litière. Ainsi, si une litière classique se change 1 à 3 fois par semaine, la litière pour chat aux cristaux de silice peut se garder 3 semaines à 1 mois (la durée change d’une marque à l’autre... et d'un chat à l'autre), à condition d’enlever régulièrement les excréments. La litière minérale agglomérante Cette litière pour chat, toujours composée d’argile ou de silice, a la particularité d’agglomérer les cristaux au contact du liquide urinaire. L’avantage c’est que l’agglomération empêche la diffusion de mauvaises odeurs. Il vous suffit de retirer les boules de déchets avant qu’elles ne collent au fond du bac à litière. Ainsi votre litière ne pourra être changée que toutes les 3 semaines. La litière végétale Ce type de litière pour chat est composé de matières naturelles et biodégradables. Elles sont généralement à base de fibres de bois, de paille ou même de chanvre, donc plus légères que la litière minérale pour un volume équivalent. Le plus de la litière végétale c’est qu’elle peut être jetée au compost et parfois même dans les toilettes. Le bémol, c’est qu’il faut la changer souvent, tous les 5 jours environ. La solution pour allier respect de l’environnement et praticité, c’est d’utiliser une litière végétale agglomérante qui a la propriété de rassembler les déchets et se change moins souvent. La litière la moins chère Côté prix, il n’y a pas vraiment de règle dans la litière pour chat. Tout dépend du lieu où vous l’achetez (grande surface, jardinerie, animalerie…), de la marque, et surtout du conditionnement. Petite astuce : pour comparer 2 litières de contenance différente, vérifiez leur prix au litre ou au kilo. Vous constaterez que les litières végétales à impact réduit sur l’environnement (cherchez la marque « NF Environnement » sur l’emballage) ne sont pas forcément plus chères que les litières minérales. Et oui, elles sont plus légères ! Enfin, n'oubliez pas que le choix du bac à litière est aussi important, et qu'une litière saine passe par une bonne hygiène du bac à litière. Source : http://wamiz.com/chats/
  15. Le sommeil du chaton Les chatons sont comme les jeunes enfants. Ils ont besoin de beaucoup de sommeil. Ils s'épuisent vite. on peut les voir jouer et sauter dans tous les sens et, l'instant d'après, profondément endormis. Avec des enfants, il est prudent de s'assurer que le chaton n'est pas trop surmené par les jeux et qu'il n'est pas maintenu éveillé alors qu'il souhaiterait dormir. Il convient d'aménager pour le chaton un panier à l'écart des courants d'air, garni d'une couverture pouvant être souvent changée. On peut aussi disposer un chaud matelas de journaux sous cette couverture, le panier sera ainsi plus facile à nettoyer. Une installation coûteuse n'est pas nécessaire; un chaton dormira parfaitement bien dans un carton avec une couverture. Surélevez le carton par rapport au sol afin que l'animal ait chaud et ne subisse pas l'effet de l'air froid se glissant sous les portes. Vous aurez tout intérêt à rendre son coin repos aussi attirant et confortable que possible car le chaton peut décider de faire son propre nid dans une pile de linge ou sur votre pull. Et le choix est définitif! Lorsqu'un chaton arrive dans une maison ou si vous introduisez un chat dans une nouvelle résidence, il explorera les lieux de fond en comble et inspectera buffets, chaises, boîtes et lits. Dès qu'il s'arrêtera et se mettra à sa toilette, vous saurez qu'une décision est prise : il vient d'élire son endroit favori! Dès l'acquisition d'un jeune chat, vous devez vous assurer d'un certain nombre de choses. Examinez d'abord ses oreilles, ses yeux, son nez afin de vérifier qu'il ne s'y produit aucun écoulement suspect. Les mâchoires devront être garnies d'un jeu complet de petites dents pointues et blanches et si les dents de lait commencent seulement à pointer, le chat n'est pas encore sevré. Il devra alors être laissé encore à sa mère un certain temps afin d'éviter des troubles digestifs. (Si le chat a été trouvé dans la rue, on peut lui donner du lait maternisé pour chaton (en pharmacie). Au biberon dilué dans de l'eau tiède. Ou dans une soucoupe). L'intérieur de la gueule devra être rose clair. Lorsque vous choisissez un chaton parmi toute une portée, ne prenez pas le premier venu. Essayez de tirer un fragment de ficelle et agitez-le, vous pourrez ainsi déterminer lequel réagit le plus vite et est le plus joueur. ÉDUQUER UN CHATON Les chatons apprennent vite et réagissent bien aux caresses et aux autres témoignages d'affection, mais ils sont parfois timides et fragiles. Pour réussir un apprentissage et instaurer des liens avec votre chaton, voici quelques règles de base très utiles. D'abord, donnez-lui le temps de se familiariser avec sa nouvelle demeure. D'où qu'il vienne (éleveur, société protectrice ou ami), il se sentira anxieux et seul. Parlez-lui doucement et caressez-le. Laissez-le s'habituer à votre voix, votre contact et votre odeur. S'il se blottit sous une table le premier jour, laissez-le faire: les chatons sont si curieux qu'il partira bientôt à la recherche d'un objet pour jouer. Les premiers jours Les premiers jours, laissez le découvrir une pièce ou une partie de la maison pour qu'il s'habitue à son nouvel environnement. Essayez de ne pas faire trop de bruit : baissez le son de la télévision, de la radio ou du lecteur de CD et n'organisez pas de soirée délirante pour fêter son arrivée. Ne le présentez pas à trop de gens. Il a besoin de s'habituer à ses nouveaux maîtres et à leur voix. Trop d'étrangers risquent de le perturber. Donnez-lui un peu de nourriture et laissez-le manger en paix. Les chats n'aiment pas manger en public. Un chaton de quatre à huit mois demande de trois à cinq petits repas par jour. Veillez à ce qu'il ait toujours de l'eau fraîche à sa disposition, mais ne vous inquiétez pas s'il ne boit pas : l'eau contenue dans ses aliments lui suffit sans doute. Portez-le doucement dans sa caisse dès qu'il a fini de manger, car les chats font leurs besoins presque tout de suite après. Faire connaissance Les tout premier jours, essayez d'éloigner les autres animaux et les jeunes enfants, qui risqueraient de le taper, de l'attraper ou de lui courir après. Si le chaton se cache sous un canapé ou derrière le réfrigérateur, laissez-le tranquille. Une main sans corps se mouvant devant lui risque fort d'être griffée ou même mordue. Faites asseoir les jeunes enfants pour leur apprendre à le porter, car ils ont tendance à le laisser tomber dès qu'il commence à se tortiller ou à agiter les pattes. Si le chaton vient rejoindre un autre animal de compagnie, chat ou chien adulte par exemple, donnez-leur le temps et l'espace pour qu'ils apprennent à se connaître, mais restez toujours à portée de voix. En cas de bagarre, laissez-les se débrouiller tout seuls. A condition, bien sûr, qu'il ne se passe rien de grave. Les retenir serait une source de tensions ultérieures. Veillez à prodiguer attention et caresses à votre ancien pensionnaire pour éviter toute jalousie. Si ce dernier est un animal de petite taille (lapin, cochon d'inde ou hamster), assurez-vous que le chaton ne l'embête ou ne l'effraye pas, et ne le délaissez pas pour votre nouveau pensionnaire. Donner un nom Un chaton reconnaît très vite son nom. Appelez-le en jouant, en le caressant, mais surtout en lui donnant à manger. S'il vient vers vous quand vous l'appelez, donnez-lui une friandise. Cela l'incitera à venir au moment des repas. Si vous avez décidé de lui permettre de sortir dans le jardin, ne le faites qu'une fois le chaton vacciné et habitué à son environnement et à ses maîtres. Les premiers jours, ne le laissez sortir que brièvement avant l'heure du repas et appelez-le souvent pour qu'il associe le jardin avec vous et votre voix. Punir On ne devrait jamais punir les chatons lorsqu'ils commettent quelque méfait. A un moment ou à un autre, à n'en pas douter, ils se rendront coupables de quelque forfait qui vous mettra en colère, mais un jeune chat, objet d'une sévère correction deviendra moins affectueux. Vous pouvez d'autre part, en le frappant lui faire plus de mal que vous n'en aviez l'intention tant ses os sont fins et en conséquence il se sentira moins en sécurité et nerveux. Si vous ne pouvez obliger votre chat à faire certaines choses, vous pouvez par contre l'encourager à les accomplir. C'est dans ce sens que vous devez l'éduquer et cela dès son arrivée chez vous. La propreté à la maison présente peu de difficulté car le chat est naturellement propre. Tant que les moyens de l'être lui sont fournis, un plat par exemple rempli à moitié de litière minérale, ou l'accès au jardin, il n'y aura pas de problème. Si par hasard survient un accident, parfois dû à un changement de régime, il ne faudra en aucun cas frotter le nez de l'animal dans ses excréments, mais lui montrer son plat afin de lui rappeler que c'est là et nulle part ailleurs qu'il doit faire ses besoins. Les dangers de l'environnement "La curiosité tue le chat", dit le proverbe. Il peut en être ainsi si l'on ne prend pas la précaution de protéger l'animal des périls de notre société moderne. La cuisine fourmille de dangers cachés et un chat curieux pourra être victime d'accidents s'il n'est pas tenu à l'écart de la machine à laver le linge ou du lave-vaisselle. Les réchauds à gaz, les cuisinières électriques et les casseroles bouillantes peuvent être la cause de brûlures terribles si par mégarde il prend au chat la fantaisie d'aller voir d'où peut bien s'échapper la vapeur. Le mouvement de quelque nature qu'il soit attire toujours le chat; une flamme à l'air libre est également source de danger, aussi est-il sage de se méfier du feu jusqu'à ce que l'animal ait appris à le connaître. Les voitures constituent un autre péril : un chat effrayé est toujours susceptible de se précipiter sur la route. Si vous vivez aux abords d'une voie fréquentée ne le laissez sortir que pour de courts instants et ayez toujours l'oeil sur lui ou, pourquoi pas, menez-le en laisse. On peut fort bien habituer un chat à la laisse, à condition toutefois de commencer très tôt. Assurez-vous aussi, lorsque vous sortez de votre garage, que l'animal ne vous a pas suivi.
  16. Le sommeil du chaton Dès sa naissance, un chaton alterne de longues périodes de sommeil avec de courtes périodes consacrées à la tétée et aux jeux. Une fois sevré, pendant plusieurs mois, votre chaton dormira jusqu'à 16 heures par jour. Plus tard, il réduira la durée de son sommeil, pour l'augmenter de nouveau une fois plus âgé. Petites siestes ou grandes nuits… Le chaton préfère les petites siestes, passant une heure à jouer ou à explorer la maison, puis deux à dormir… Plus un chaton va se sentir en sécurité dans son environnement, plus il aura tendance à avoir de longues périodes de sommeil, périodes où vous pourrez l'observer en train de rêver… Ses membres et sa queue tremblent, parfois il miaule. Les chercheurs ont ainsi découvert que le chat produit alors le même type d'ondes cérébrales que les humains, même s'il ne doit pas rêver des mêmes choses ! Il faut éviter de réveiller un chaton, ce qui aurait pour effet de le rendre agressif. Au lit, au chaud... Les ancêtres du chat domestique vivaient dans le désert. Votre félin préféré est donc capable de dormir dans des endroits particulièrement chauds, endroits qu'il recherche comme vous l'avez peut-être déjà constaté… Ainsi, certains s'endorment sur le radiateur ou sur le capot d'une voiture dont le moteur est encore chaud. Il n'y a donc aucune contre-indication à installer le coussin de votre chat près d'une source de chaleur à condition que celle-ci ne comporte pas de flamme... Insomnies ou vie nocturne ? Votre petit félin est un animal nocturne et iI est difficile de l'obliger à dormir s'il n'en a pas envie. Toutefois, quelques petits trucs peuvent l'aider à s'endormir. Vous pouvez par exemple faire une bonne séance de jeu avec lui avant d'aller vous coucher. Vous pouvez aussi lui réserver un repas plus copieux pour le soir, la digestion l'aidant à s'endormir… Ou bien encore lui préparer des jouets silencieux avec lesquels il va pouvoir se distraire sans trop vous déranger. Essayez d'autres moyens de distraction sûrs et silencieux pour occuper votre chaton pendant la nuit. Par exemple: ne fermez pas les rideaux ou les volets dans la pièce où il se trouve, il pourra ainsi observer derrière la vitre l'activité au dehors de la maison. Le conseil Un Amour de Chat Apprenez à votre chaton à dormir parfois sur vos genoux... C'est une très grande marque de confiance pour lui et cela rendra vos rapports beaucoup plus détendus. Mais attention, pas de cigarette, pas de bruit, ni geste brusque... Une fois endormi, laissez-le à ses rêves et abandonnez-vous aussi aux vôtres ! Source : http://www.unamourdechat.com/
  17. Aménager litière et coin repas pour le chaton Votre chaton a fait son entrée dans votre famille. Mais il faut prendre le relais de sa mère pour lui apprendre à être propre. Les premières règles doivent être établies : dans la cuisine, il doit utiliser uniquement un coin réservé pour sa gamelle, il ne doit pas avoir accès à vos placards de nourriture... Mais l'hygiène doit être aussi abordée de manière globale. Un chaton qui reste sale est souvent le signe d'un problème de santé plus ou moins grave. La litière est aussi un élément très important à surveiller. Il y a des règles essentielles à respecter pour que chacun puisse se sentir bien sous le même toit ! Quelle litière et où ? Il faut savoir, qu'à l'état sauvage, le chat, par instinct de survie, enterre ses excréments le plus souvent loin de sa tanière pour éviter que les prédateurs ne le repèrent. Le chaton va donc instinctivement chercher un endroit loin du lieu où il dort et surtout où il s'alimente pour faire ses besoins. C'est pour cela qu'il est important de ne pas lui proposer une litière à côté de son coin repas, même si vous placez les deux dans la cuisine par exemple. Il est aussi important de faciliter l'accès à la litière d'un chaton en lui proposant un modèle dont les bords ne sont pas trop hauts, c'est à dire moins d'une dizaine de centimètres. Si vous avez une litière fermée, laissez le chaton s'habituer en n'utilisant pas dans un premier temps la partie supérieure de la litière. Pour le bien-être de votre petit félin, vous pouvez, par exemple, utiliser des litières minérales qui assureront une hygiène parfaite pour votre chat et pour vous ! Habituer le chaton à la litière Si votre chaton arrive sevré chez vous, les premiers contacts avec votre appartement vont passer par un apprentissage de l'utilisation de la litière. L'idéal est de ne pas hésiter à placer plusieurs litières dans plusieurs endroits. Vous verrez ainsi quel est l'endroit idéal pour lui et vous pourrez ensuite supprimer les autres litières. Dès son arrivée chez vous, placez votre chaton sur la litière pour lui montrer où elle se trouve. Prenez-lui délicatement la patte en lui montrant qu'il peut gratter… S'il ne l'utilise pas tout de suite, ne le forcez pas à rester dans son bac de peur qu'il ne fasse ses besoins ailleurs. Si vous avez quelques inquiétudes sur son utilisation, n'hésitez pas à le laisser enfermé dans la pièce où se trouve la litière jusqu'à sa première utilisation. Une fois qu'il l'a utilisée ne la changez plus de place et surtout pensez à la nettoyer le plus souvent possible. Le conseil "Un Amour de Chat" Les chats sont comme nous et ils n'aiment pas faire leurs besoins dans un endroit sale… La plupart des problèmes de litières viennent d'un manque de propreté. Avant de prendre un chaton pour la première fois à la maison, toute la famille doit savoir qu'il faudra chaque jour prendre soin de sa litière et la nettoyer. Et si la décision de prendre ce chaton a été prise en famille, chacun devra participer à cette tâche même si celle-ci n'est pas toujours agréable. Source : http://www.unamourdechat.com/
  18. Il est au refuge depuis le mois de novembre et se trouve en URGENCE au refuge du fait de la surpopulation. trouvé et non tatoué très gentil mais craintif en box ! à tester avec les chiens sur demande ! ok fa sous contrat asso box p22 Si vous pouvez l'aider, n'hésitez pas à venir le dire, l'écrire sur les liens suivants : http://rescuepicardie.winnerbb.net/grandes-urgences-chiens-f39/beauceron-male-1-an-tres-tres-urgent-bethune-t2194.htm http://chiens-chats-du-62.goodbb.net/berger-ou-croise-f36/beauceron-male-1-an-tres-urgent-t4356.htm Merci beaucoup pour lui. vous pouvez vous recommander de notre forum
  19. Salut Tischa, comment ça tu es grosse, si tu me voyais je suis sur que d'une je suis plus lourd que toi, et bien sur plus grand mais ça c'est normal je suis un mâle. Demande a ta moman d'acheter un plus grand pouf, comme ça tu sera a ton aise Mais qu'es ce que tu fais dans les étagères, tu te planque encore, ou c'est ton refuge pour ton dodo. regarde ou est mon frérot et ça c'est moi avant de m'installer au clavier voila aller je retourne a ma sieste a plus
  20. Une bengal spotted tabby Un bengal spotted tabby La tête du bengal doit se rapprocher de celle de son ancêtre sauvage Rosettes ouvertes Bengal snow seal lynx point spotted tabby Spotteds simples Des rosettes en pointe de flêche
  21. Nous vous souhaitons de passer une bonne semaine, il parait que notre popa va encore s'énerver sur les messieurs, pfff vivement que nous soyons enfin tranquille. A plus :manga:
  22. Mais le truc a pattes comme tu dis c'est un petit malheureux, et c'est normal que tu partage tes croquettes, ta moman va pas te privé parce qu'elle en donne a ce petit, faut être partageur. Aller soit sympa, il est tout seul et a peut être froid ce petit. Léchouille, cette fois il remonte trop vite
  23. Un tit coucou en vitesse, ont a beau squatter l'ordi de notre popa mais pas moyen de vous mettre, un petit mot. la preuve Alors comme il est en train de faire son éternel café, je me dépêche, ici tout va bien, il fait bon vivre, le popa est très gentil, ont a beaucoup de câlins, ont s'amuse bien dans les escaliers, c'est devenu notre sport préféré, de se courir l'un après l'autre, et Lady elle, elle préfère se mettre sur la télé. Alors Tischa tu as enfin retrouvé ton domaine, et j'ai appris par mon popa que tu avait mal au dents, faut te soigner, mon popa me dit que tu fait la difficile avec la viande, mais c'est pour ton bien ta moman elle met un médicament exprès pour toi pour que tu guérisse. Bon aller bonne soirée Tischa moi je retourne sur le lit faire un dodo
  24. Holala, que peut-il bien avoir ce petit, j'espère que ça ira mieux, il est en de bonne mains
  25. Le gouttière Un chat de gouttière, aussi appelé Chat de maison est un chat qui n’a pas de race précise certifiée et peut être un croisement. Par opposition au terme chat de race qui désigne un chat dont la race et l'absence de croisement sont certifiés. Le certificat d'appartenance à une race s'appelle un pedigree. Il est souvent confondu avec le chat de race Européen, du fait qu'il existe dans de nombreux pays d'Europe des chats dont on ne connaît pas la parenté – donc la pureté de la race – et qui présentent toutes les caractéristiques (morphologie, caractère, santé, etc.) de la race européenne. Étymologie Les chats aiment se promener sur les hauteurs. Il n’est pas rare que des chats se promènent, se rencontrent, voire copulent dans les gouttières des maisons. Les chatons nés de ces rencontres, dont on ne connaît pas le père, ont pris le nom de chat de gouttière. Par extension on appelle chat de gouttière tout chat dont on ne connaît pas avec certitude les ascendants et donc, dont on ne peut garantir qu’ils ne sont pas un croisement de deux races différentes de chat. Origines Les origines du chat de gouttière sont celles du chat domestique de façon générale. On ne connaît pas de façon certaine l’origine du chat domestique actuel, mais il est probablement le fruit de croisement entre le chat orné asiatique, le chat sauvage africain puis le chat sauvage européen. Le nom « chat de gouttière » était utilisé par les Parisiens pour désigner les chats errants se promenant sur les toits. Aujourd’hui, en France, la grande majorité des foyers ayant des chats possèdent des chats de gouttière. Ils sont également autorisés à participer aux expositions sous conditions. Il faut qu’ils soient neutrés (Stérilisation ou castration) et enregistrés auprès d’une association. Standards Aucun standard n’existe pour le chat de gouttière puisqu’il n’est pas une race et donc n’a aucune caractéristique physique particulière. Toutes les tailles, robes, couleur et variétés existent. La robe typique reste celle du chat sauvage européen, c’est-à-dire mackerel tabby. On peut toutefois dire que grâce à la sélection naturelle, le chat de gouttière est un chat relativement robuste et bon chasseur. Caractère Il n’existe pas non plus de caractère commun aux chats de gouttière. Il est principalement influencé par les conditions de vie, d’éducation et de sevrage. Races apparentées Toutes les races descendent des chats de gouttière, dont on a reproduit les sujets ayant des particularités physiques (mutations génétiques spontanées, physique sortant du lot, couleur originale). Certaines plus directement que d’autres, car par la suite les nouvelles races ont été croisées avec d’autres et l’ont éloignées de son type d’origine. Encore très proches du chat de gouttière on trouve : * l’Européen * l’American Shorthair * le British Shorthair
×
×
  • Créer...