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Tigron

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Tout ce qui a été posté par Tigron

  1. Pourquoi mon chat devient obèse ? Les causes les plus fréquentes d’obésité du chat sont les suivantes : - vie au foyer et manque d’activité physique - l’âge : le chat adulte de moins de 10 ans y est plus enclin - le sexe : surtout les mâles - la stérilisation associée à un régime déséquilibré après l’intervention - des aliments hypercaloriques donnés à volonté - l’anxiété du chat pour qui la nourriture devient la seule source de plaisir - les prédispositions de la race : les chats domestiques à poil ras sont les plus pénalisés. Source : http://wamiz.com/chats/guide/pourquoi-mon-chat-devient-obese-1702.html - Gilles Hagège
  2. Comment détecter l'obésité du chat ? On entend de plus en plus souvent parler d’obésité du chat. Et l’on sait que le surpoids en général n’est pas seulement un problème esthétique, mais également métabolique, qui a toute une série de conséquences sur l’organisme. Tout le monde en est désormais convaincu, et tout le monde cherche plus ou moins à garder la forme. Les maîtres agissent cependant différemment avec leurs chats, et une étude récente démontre que 40% des chats sont en sur-poids, quand ils ne sont pas franchement obèses. Confrontés à ce problème, les maîtres rétorquent : « Il me plaît comme ça, beau, rond, doux, moelleux. » Ou : « Il est peut être un peu grassouillet, mais comment le mettre au régime ? » C’est vrai. Il s’agit cependant d’un problème qu’il faut affronter sérieusement car, comme dans le cas des humains, l’obésité diminue la qualité et la durée de vie des chats. Les dégâts sont graves et irréversibles. Il faut donc étudier la façon de la détecter, les facteurs de risque, les dégâts provoqués, la manière de la prévenir et de la combattre quand elle est déjà présente. Palpation des côtes On pose les paumes des mains sur les côtés du thorax en les faisant bouger d’avant en arrière, l’idéal étant d’arriver à compter les côtes du bout des doigts sans exercer de pression. Palpation du dos On passe la main sur la colonne vertébrale en descendant jusqu’au bassin. Tout est parfait quand on sent les excroissances osseuses des vertèbres et une bonne masse musculaire de chaque côté de la colonne vertébrale (dos plat et musclé). Évaluation de la poche ventrale adipeuse En passant la main sous le ventre du chat, on palpe la « bourse adipeuse » située au niveau de la région inguinale. Son volume doit être faible et elle ne doit pas évoquer une petite outre de graisse. Source : http://wamiz.com/chats/guide/comment-detecter-l-obesite-du-chat-1701.html - Gilles Hagège
  3. A croquer ! D'hier à aujourd'hui Ce sont l’Etat de New York et la couleur de son pelage qui lui valurent ce nom de « York Chocolate ». Cette race est née de plusieurs mariages entre des chats de maison qui eurent lieu vers 1983 chez une éleveuse américaine, Janet Chiefari. Tous les sujets actuels descendent d’une femelle chocolat et blanc baptisée Brownie et de son fils Minky, lui-même entièrement chocolat. Janet continua sa sélection en mariant ses protégés avec des Siamois à tête ronde qui introduisirent dans la lignée la couleur lilas. Désormais reconnu comme nouvelle race, le York Chocolate demeure à un stade expérimental. Il n’existe qu’une centaine de sujets à travers le monde (principalement aux Etats-Unis et en Italie). En France, la première portée de York Chocolate a vu le jour en 2005. Son look Le York Chocolate est un chat à poil mi-long, uniquement chocolat ou lilas, avec ou sans marques blanches. La tête est de taille moyenne. Le nez est droit ou légèrement bombé. Les yeux, ovales, peuvent être or ou verts. Les yeux bleus ou impairs sont acceptés chez les particolores. Les oreilles sont aussi hautes que larges à la base. De format semi-foreign, le corps est à la fois élégant et musclé. Fine et soyeuse, la fourrure est dense mais avec très peu de sous-poil. Courte et irrégulière sur les épaules, elle s’allonge graduellement sur les côtés pour atteindre sa pleine longueur sur le ventre et les culottes. Il peut y avoir une collerette suivant les saisons. Chez les particolores, la proportion de blanc va d’un tiers à la moitié de la surface du chat. Des marques tabby ou une légère coloration du poil ressemblant à du tipping sont tolérées chez les chatons. Sa compagnie Le York Chocolate a gardé de ses origines modestes (des chats de gouttière) un caractère attachant et débrouillard. Moitié nounours moitié félin, il a le don d’attendrir tous ceux qui le côtoient. D’autant plus qu’il est d’un naturel bavard ! Joyeux et déterminé, c’est un chat relativement actif mais pas trop nerveux. Son pelage mi-long réclame juste un brossage hebdomadaire. Si la race se développe, il peut trouver son public. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  4. Un frisé d'exception D'hier à aujourd'hui Moins célèbres que les Rex Cornish et Devon, d’autres « frisés » méritent d’être connus. En particulier le German Rex et le Laperm, tous deux issus d'une mutation génétique spontanée. Le Laperm, vient des Etats-Unis. « Curly », la première femelle, a été découverte dans l’Oregon en 1982. Homologuée depuis 1996, la race porte le nom de « Laperm » en référence à la permanente, le traitement qui fait friser les cheveux des élégantes ! Rarissime même dans son pays d’origine, le Laperm existe à poil court ou mi-long. Son look Le Laperm est de taille moyenne et de type « semi-foreign». La tête est triangulaire aux contours arrondis. L’intérieur des oreilles est bien fourni et bouclé, avec des plumets souhaités. Les deux longueurs de poils sont admises. Court : la texture est douce et soyeuse, ondulée sur le dos et le ventre, avec un sous-poil modéré. Mi-long : la texture est bouclée, de densité fine, avec un sous-poil lourd. Une collerette est acceptée chez les adultes. Toutes les couleurs sont admises. Sa compagnie Le Laperm est un vrai fripon ! Curieux, il aime être au courant de tout ce qu’il se passe dans la maison. Il recherche volontiers la compagnie humaine, aimant se faire prendre dans les bras ou se percher sur les épaules de son maître. Son poil bouclé ne réclame aucun entretien particulier. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  5. Le chat du nouveau monde D'hier à aujourd'hui L’origine du Maine Coon rejoint le sillage des premiers bateaux des colons européens accostant sur les côtes américaines avec, dans leurs cales, des chats voyageurs dont certains à poil long. Une partie des petits félins échappés à terre et livrés à eux-mêmes devront leur survie à leur faculté d’adaptation au climat hivernal du Maine. Ils développèrent une fourrure quasi imperméable, une musculature puissante et une solide mâchoire de chasseur. Dans les années 1860, les fermiers du Maine commencent à présenter leurs plus beaux sujets au cours des comices agricoles. Peu après, le Maine Coon fait sensation lors des premières expositions félines aux USA. Le succès est pourtant de courte durée quand arrivent d’Angleterre les Persans, qui paraissent bien plus exotiques. Ce n’est qu’en 1950 que des éleveurs recommencent à s’intéresser à lui en fondant le premier club de race. Le Maine Coon est reconnu en 1976 par la Cat Fancier Association (CFA), le plus grand club félin américain et son succès ne s’est jamais démenti depuis. Son look Considéré comme le plus imposant des chats domestiques, le Maine Coon est un chat à poil mi-long, au corps rectangulaire et à la musculature puissante. Les mâles sont notablement plus grands que les femelles. La tête est de taille moyenne avec un fort museau carré, bien détaché des pommettes, et de grandes oreilles portées haut sur la tête. Des plumets « à la lynx » sont recherchés. Les yeux sont presque ronds quand le chat est attentif. Les pattes sont fortes et de hauteur moyenne ce qui renforce l’aspect rectangulaire du corps. La queue est longue et bien fournie. La fourrure, plus courte sur les épaules, s’allonge graduellement sur les côtés. Au début de l’élevage américain, seuls les chats brown tabby avaient le droit de porter le nom de Maine Coon, les autres chats n’ayant droit qu’à l’appellation de Maine Shag (shag signifiant « touffu »). Aujourd’hui, de nombreuses robes sont acceptées. Sa compagnie Le Maine Coon est un chat de compagnie parfait qui s’entend très bien avec les enfants. Malgré son gabarit imposant, il est parfaitement adapté à la vie en appartement à condition d’y avoir été habitué dès son jeune âge. Sa fourrure rustique demande un minimum d’entretien, un brossage hebdomadaire est suffisant dans la plupart des cas. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  6. Le chat des pharaons D'hier à aujourd'hui Le Mau Egyptien est sans nul doute l’une des races de chats les plus anciennes puisque l’on remarque déjà sa robe tachetée sur les peintures murales qui ornent les tombes des pharaons du Nouvel Empire, il y a 2500 ans. Il faut pourtant attendre les années 1950 pour que Nathalia Troubetskoï, une princesse russe en exil, redécouvre cette race plurimillénaire dans le palais de l’ambassadeur d’Egypte en Italie. Fascinée, elle convainc l’ambassadeur de lui céder son mâle, Geppa. Puis, elle importe d’Egypte une femelle qu’elle appelle Baba. Lorsque la princesse Troubetskoï émigre aux Etats-Unis, elle continue l’élevage des Maus en faisant venir des chats d’Egypte. La race est définitivement acceptée en 1977 par la Cat Fanciers’ Association, la plus grosse fédération américaine, avant de connaître progressivement un développement mondial. Son look Le Mau égyptien est un chat de taille moyenne, à la fois puissant et élégant. Vue de face, la tête forme un triangle adouci, sans aucune face plane. De profil, le front est légèrement arrondi. Une légère déclivité concave au niveau des yeux est prolongée par un nez droit. Les yeux, de la couleur typique dite « vert groseille à maquereau », sont bien ouverts avec une implantation légèrement en oblique. Les oreilles, de taille moyenne, sont assez espacées l’une de l’autre. L’encolure, arquée est bien attachée sur un corps harmonieux, très musclé, surtout chez les mâles. Une poche ventrale, appelée « gousset », est demandée entre les postérieurs. La queue est de longueur moyenne. Le Mau Egyptien est la seule race de chat domestique naturellement tachetée : taches de taille et de forme variables, disposées de manière aléatoire sur tout le corps et formant sur le ventre deux rangées de « boutons de gilet ». Quatre couleurs sont acceptées : le silver, (marques noires sur fond argenté); le bronze (marques brun foncé à noir sur fond bronze); le black smoke (marques « fantômes » noires sur fond anthracite avec base argentée) et enfin le noir où les marques « fantômes», noires sur un fond noir, sont parfois visibles sous certains éclairages. Sa compagnie Au quotidien, le Mau Egyptien est un chat facile à vivre. Race « naturelle » qui a traversée les siècles pour parvenir jusqu’à nous pratiquement identique à celle que connaissaient les anciens Egyptiens, il a conservé une santé solide et n’a pas les fragilités de certaines races félines plus sophistiquées. Son entretien est des plus faciles et se résume à un coup de brosse douce par semaine. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  7. Un basset au pays des chats D'hier à aujourd'hui Comme tant d’autres « nouveautés » félines, le Munchkin nous vient des Etats-Unis. Il n’est pas le fruit d’une création, mais d’une mutation génétique apparue spontanément chez le chat de gouttière. En 1983, dans l’Etat de Louisiane, Sandra Hochenedel découvre - sous un camion ! - une chatte noire avec de curieuses mini-pattes. Amusée et séduite, elle l’adopte. Baptisée Blackberry, la chatte donne naissance à plusieurs portées. Comme elle, la moitié de ses chatons présentent de toutes petites pattes. L’un d’eux, appelé Toulouse, est conservé comme reproducteur et transmet à son tour ses pattes de basset. La race est exposée pour la première fois en 1991 à New York. La France découvre le Munchkin deux ans plus tard, grâce à Aline et Philippe Noël qui importent Bobby, un mâle noir et blanc. Bien que rare, le Munchkin suscite toujours l’intérêt du public. Son look Si la race a d’abord été sélectionnée à partir de chats sans pedigree, elle a ensuite été enrichie par l’apport de diverses races. Il est toutefois important que le type du Munchkin reste modéré, proche de celui de l’European Shorthair. La tête est en forme de triangle adouci. Le nez est le plus souvent droit. Les yeux, en forme de noix, sont placés en biais. Moyennes, les oreilles sont larges à la base et assez espacées l’une de l’autre. De type semi-foreign, le corps est de taille moyenne à grande et s’inscrit dans un rectangle. Courtes et solides, les pattes doivent être le plus droites possible, avec une ossature moyenne et une bonne musculature. La queue est de longueur moyenne et va en s’effilant vers un bout arrondi. Il existe deux variétés de Munchkin : l’une à poil court, l’autre à poil long. Toutes les couleurs de robes sont admises. Sa compagnie En plus d’être amusant à regarder, le Munchkin est un compagnon attachant. Ses pattes raccourcies ne le gênent nullement et sa santé est robuste. Actif et joueur, il cavale partout et grimpe à loisir sur son arbre à chat. S’il saute un peu moins haut que les autres, il compense ce déficit par sa rapidité et une capacité étonnante à se faufiler dans tous les coins ! Très sociable (avec les chiens comme avec les autres chats), il se montre d’une grande tendresse envers ses maîtres. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  8. Aussi beau qu'un ocelot ! D'hier à aujourd'hui L’histoire se passe en 1964, dans le Michigan. Voulant produire des Siamois « aby point », une éleveuse américaine (Virginia Daly) décide de croiser une Siamoise avec un Abyssin. Dès la deuxième génération elle obtient le siamois tiqueté de ses rêves. Mais Virginia le voit à peine, tant son regard est captivé par un autre chaton de la portée : bien plus beau, avec ses mouchetures dorées sur un fond de robe ivoire ! Parce qu’il ressemble à un ocelot (grand chat sauvage américain), sa fille le surnomme "Ocicat". Par la suite, de nouveaux croisements seront menés entre Siamois et Abyssin. Puis l’American Shorthair sera introduit dans le programme d’élevage. L’Ocicat est reconnu officiellement en 1984. S’il s’est implanté aux Etats-Unis et dans le Nord de l’Europe, il n’a pas vraiment réussi à percer en France. Pour le moment. Son look En forme de triangle adouci, la tête présente des pommettes marquées. Les yeux sont grands et placés légèrement de biais. Toutes les couleurs, sauf le bleu, sont acceptées, sans relation avec celle de la robe. Les oreilles sont moyennes. L’encolure est arquée. De format semi-foreign, le corps est assez long, avec de la substance et de la profondeur mais aucune lourdeur. La musculature est puissante et déliée. Fine, soyeuse et près du corps, la fourrure est assez longue pour porter en alternance plusieurs bandes de couleurs claires et foncées appelées « ticking ». L’Ocicat se présente uniquement en spotted tabby : des taches rondes parsèment son corps des épaules à la queue. Le cou est orné de plusieurs colliers ouverts. Le ventre est tacheté, la queue annelée, avec l’extrémité foncée. Sa compagnie Ses origines (siamoises et abyssines) se sont mélangées harmonieusement pour faire de lui un chat au tempérament unique. A la fois vif et tendre, l’Ocicat est un compagnon toujours présent mais jamais envahissant. En dehors de ses périodes de repos, il passe le plus clair de son temps à jouer ou à se faire câliner. Très sociable, il s’entend bien avec ses congénères. Avec ses proches, c’est un véritable « chat-chien ». Son naturel obéissant lui permet de répondre à certains ordres. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  9. Une beauté venue du froid D'hier à aujourd'hui Les premiers chats scandinaves ont sans doute été rapportés du Moyen-Orient par les Vikings. Rapidement, ces animaux furent adoptés par la mythologie nordique et l’on raconte que la déesse Freya, pour tirer son char, possédait un attelage de puissants chats à poil long. L’élevage du Norvégien débute à la fin des années 1930 avec la rédaction d’un premier standard, puis retourne dans l’oubli jusqu’en 1960. A cette époque, quelques éleveurs norvégiens estimèrent que cette race traditionnelle était mise en danger par la prolifération de chats errants à poil court. En 1963 des passionnés fondent la « Norvegian National Association of Pedigree Cats » et partent sillonner la campagne pour dénicher des chats à demi sauvages qui, selon des critères très stricts, serviront de base à la race norvégienne. Celle-ci est finalement reconnue en 1976 sous le nom de « Skogkatt », littéralement « Chat des forêts ». Son look Le Norvégien est un grand chat à poil mi-long et à la stature imposante. La tête est triangulaire de face avec un profil droit. Les yeux sont grands, légèrement en amande. De taille moyenne à grande, les oreilles sont dans le prolongement du triangle de la tête. Des plumets sont appréciés. Le corps est long et massif avec une ossature robuste et une poitrine large. La queue est aussi longue que le corps. La texture de la robe est une caractéristique importante de la race. Double, elle est constituée d’un sous-poil laineux et épais recouvert d’une fourrure à l’aspect imperméable et lustré. Une belle collerette en forme de cœur part de l’arrière des oreilles et se prolonge sur la gorge. Le Norvégien offre une variété de robes très large allant du tout noir au tout blanc, en uni, tabby (tigré), silver (argenté), bleu, roux, tortie (écaille de tortue), toutes ces couleurs avec ou sans blanc. Sa compagnie Comme beaucoup de grands chats, le Norvégien est d’un naturel placide et doux. Energique quand il joue, il sait maîtriser sa force et adapter son comportement selon les situations. Malgré ses origines et sa taille, il est parfaitement adapté à la vie en appartement pourvu que ses maîtres lui accordent de l’attention. Question toilettage, il lui faut un brossage régulier, une fois par semaine en général, cette fréquence augmentant en période de mue pour éliminer le poil mort et ainsi éviter les nœuds. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  10. La douceur faite chat D'hier à aujourd'hui L’origine du Ragdoll est bien connue. La race a été créée par Ann Baker en Californie dans les années 60. Cette éleveuse de Persans avait recueilli Joséphine, chatte à poil long à demi-sauvage, qui avait été renversée par une voiture. Elle affirma que le comportement de Joséphine, autrefois très agressive, avait été modifié par l’accident, qu’elle avait été génétiquement modifiée à la clinique où elle avait été soignée et même qu’elle avait rencontré des extra-terrestres ! Puis elle baptisa la nouvelle race « Ragdoll », littéralement « poupée de chiffon » en anglais. Effarés par ces délires, les éleveurs qui avaient suivi Ann dans son programme d’élevage décidèrent de se séparer d’elle et de faire reconnaître le Ragdoll en le présentant dans des expositions félines classiques comme un chat, certes très doux, malgré son gabarit imposant mais tout à fait normal. Son look Le Ragdoll est un chat au gabarit imposant. Sa tête forme un triangle équilatéral aux contours arrondis. De profil, le crâne est plat, le front arrondi et prolongé par un léger creux au niveau du nez dit en « toboggan ». Grands et ovales, les yeux, légèrement obliques sont du bleu le plus intense possible. Long, le corps est rectangulaire avec beaucoup de substance. La fourrure, mi-longue, est composée d’une importante couverture de poils de garde et de très peu de sous-poil. Une collerette est souhaitée. Le Radgdoll est colourpoint, c’est-à-dire que le museau, les oreilles, les pattes et la queue sont plus foncés que le reste du corps, mais il existe aussi en mitted (ou ganté) et bicolore, avec son V blanc inversé caractéristique sur la face. Sa compagnie Comme la plupart des très grands chats, le Ragdoll est une force tranquille, un bon géant qui sait contrôler sa puissance et adapter son comportement à celui des différents membres de la maison. D’un naturel équilibré, il fait un excellent chat de famille même s’il n’a rien d’une poupée ! Il est parfait également pour ceux qui souhaitent un chat à poil long mais qui ne peuvent consacrer beaucoup de temps au toilettage. Dans la plupart des cas, un brossage hebdomadaire suffit à garder toute sa beauté à la fourrure du Ragdoll. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  11. JAPANESE BOBTAIL Le chat chrysanthème D'hier à aujourd'hui La présence des chats au Japon est fort ancienne et l’on pense que les premiers félins domestiques arrivèrent de Chine dès le VIe siècle. A la fin du Xe siècle, l’empereur Idi-Jo importa des chats de Corée pour préserver des souris ses précieux manuscrits. Les représentations de chats à queue courte sont nombreuses dans toute l’Asie, mais les Japonais les apprécient plus que tout autre et l’art nippon témoigne, au cours des siècles, de la persistance d’élégants chats à la queue en forme de chrysanthème. La seconde guerre mondiale donne l’occasion aux Américains de découvrir les Bobtails Japonais. En 1968, Elizabeth Freret importe les trois premiers Bobtails Japonais, bientôt suivis par d’autres sujets, sans pedigree, mais avec la même petite queue enroulée. La race est reconnue en 1976 par la Cat Fanciers Association, la plus importante fédération féline américaine. Son look Le Bobtail japonais est un chat de taille moyenne, élégant et athlétique. La tête, vue de face, forme un triangle équilatéral, avec des courbes douces et des pommettes saillantes. Le nez est assez long et bien défini par deux lignes parallèles. De profil, le front est légèrement arrondi descendant sur une déclivité courbe concave au niveau du nez. Les yeux sont grands et ovales. Les oreilles sont grandes et placées haut sur la tête. Le corps est long et mince, avec un dos droit et des lignes nettes. Les pattes sont hautes et fines avec des postérieurs bien angulés. La queue est naturellement enroulée sur elle-même de manière à former un pompon – les Japonais évoquent un chrysanthème, fleur porte-bonheur-. Elle est portée assez haut. Il existe deux variétés de Bobtail Japonais : à poil court où la fourrure, assez près du corps, est fine et soyeuse et à poil long où la fourrure, sans sous-poil, tombe naturellement. Toutes les couleurs traditionnelles sont acceptées sauf le chocolat, le lilac, le cinnamon et le fawn. Les robes les plus appréciées sont le bicolore et le tricolore, appelée « Mi-Ké ». Les yeux bleus ou impairs sont fréquents chez les chats bicolores et les blancs. Sa compagnie Difficile de mettre un Bobtail japonais de mauvaise humeur. Joyeux, volontiers espiègle, c’est un des représentants les plus attachants de la gent féline. Comme les autres chats orientaux, il est plutôt extraverti, sa curiosité sans cesse en éveil. Si la présence de son maître et de tous les autres habitants de la maison est indispensable à son bonheur, il n’est pas aussi exigeant et miaulant qu’un Siamois. Athlétique, il apprécie les grandes cavalcades auxquelles ses longues pattes arrière donnent une détente très énergique. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  12. HAVANA BROWN Un beau brun américain D'hier à aujourd'hui Compliquée, l’histoire du Havana Brown ! Originaire du Siam (l’actuelle Thaïlande), il a d’abord été sélectionné en Grande-Bretagne avant d’éclore aux Etats-Unis. Raison pour laquelle il est aujourd’hui considéré comme un chat américain. Dans les premiers groupes de Siamois arrivés au XIXe siècle en Europe, on trouvait déjà des chats d’un brun uniforme. Les éleveurs anglais les ont « recréés » dans les années 1950 (en mariant un Siamois seal point porteur du gène chocolat avec un chat noir à poil court). Mais leur « Havana », terme qui désignait alors l’Oriental de couleur chocolat, s’est ensuite dissous dans la famille des Orientaux. Heureusement, le Havana Brown s’est imposé aux Etats-Unis, en gardant ses caractéristiques propres et son type intermédiaire. La race a été reconnue là-bas en 1964. Malgré ce riche passé et son indéniable beauté, le Havana Brown reste extrêmement rare. Y compris dans son pays d’origine. Son look Plus longue que large, la tête est bien proportionnée par rapport au corps. De profil, le front, plat, est prolongé par une forte cassure fronto-nasale. Caractéristique de la race, le museau semble être une pièce rapportée tant il est carré. Ovales, les yeux sont grands mais pas globuleux. La seule couleur autorisée est le vert dans toutes les nuances. Grandes et arrondies à leur extrémité, les oreilles sont bien espacées l’une de l’autre et légèrement dirigées vers l’avant. De format semi-foreign, le corps rectangulaire est bien musclé. Longues pour la taille du chat, les pattes sont élégantes mais avec une ossature robuste. La fourrure est courte, douce et soyeuse. Le Havana existe en deux variétés : brun acajou ou, plus rare, lilas. La couleur doit être la plus profonde possible, sans poils blancs ni marques tabby. Sa compagnie A la maison, le Havana Brown apprécie le calme et le confort : un vrai pantouflard ! Ce qui ne l’empêche pas d’être actif. Et bavard : sa voix ressemble à celle du Siamois, en un peu plus atténuée. Très intelligent, le Havana Brown observe tout et aime participer aux situations. Même la nuit, il n’entend pas dormir seul et se faufile sous les couvertures ! Véritable « pot-de-colle », il a tendance à se montrer un peu exclusif avec son maître. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  13. Le chat astrakan D'hier à aujourd'hui Moins célèbres que les Rex Cornish et Devon, d’autres « frisés » méritent d’être connus. En particulier le German Rex et le Laperm, tous deux issus d'une mutation génétique spontanée. Le German Rex est apparu en Allemagne en 1946 : une chatte trouvée dans les jardins d’un hôpital fut recueillie et baptisée Lämmchen (« petit agneau » en allemand). Remariée à un de ses fils, elle donna naissance à des chatons dont la fourrure ressemblait à celle du Rex Cornish, mais en plus dense et plus serrée. Reconnue en 1982, la race reste confidentielle. Son look Le German Rex possède une morphologie proche de celle de l’European Shorthair. De forme arrondie, la tête est plus longue que large. Le corps est fort et musclé. Courte, pelucheuse et veloutée, la fourrure ondule en formant des vagues assez proches de celles du Cornish, mais possède, contrairement à ce dernier, des poils de garde. Toutes les couleurs traditionnelles sont admises sauf le chocolat, lilas, cinnamon et fawn. Sa compagnie Le German Rex est un compagnon sympathique. Sociable avec les autres chats, il s’adapte bien à la vie en appartement. Sa fourrure crantée est très agréable à caresser. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  14. EXOTIC SHORTHAIR Un persan à poil court D'hier à aujourd'hui La création de l’Exotic Shorthair est le fruit du hasard. Dans les années 1950, aux Etats-Unis, existait une race de chat à poil court ressemblant fort à notre Européen et appelée Domestic Shorthair. Cette race au type modéré avait de plus en plus de mal à tenir sa place en exposition face à d’autres races au type plus affirmé comme le British Shorthair. Des éleveurs décidèrent de croiser leurs chats avec des Persans pour leur apporter de la rondeur. La plupart de ces hybrides furent remariés avec des chats à poil court et donnèrent naissance à une nouvelle race, l’American Shorthair. Mais on se demanda que faire des chats les plus typés. On eut alors l’idée de sélectionner parmi eux, ceux qui se rapprochaient le plus du type Persan. Grâce à une sélection attentive, on arriva petit à petit à une nouvelle race : l’Exotic Shorthair. La race fut définitivement reconnue en 1967. Son look L’Exotic Shorthair est un chat massif avec une ossature forte et une musculature puissante. Sa tête est ronde avec une expression douce. Le crâne est large et en forme de dôme, les oreilles petites et bien espacées. Les yeux sont ronds, grands, bien ouverts, très expressifs. De profil, le front, le nez et le menton sont alignés sur un même plan. Le nez est court et large, avec un stop profond et des narines bien ouvertes pour une respiration normale. L’encolure est épaisse, la poitrine large, les pattes solides et courtes. La queue est plutôt courte et large de la base à l’extrémité. Légèrement plus longue que celle des autres chats à poil court, la fourrure est dense, pelucheuse et douce au toucher. Toutes les couleurs sont reconnues. Sa compagnie Contre toute attente, et même si l’Exotic Shorthair a un caractère doux et posé, les éleveurs témoignent souvent que dans une même portée issue de parents, l’un Exotic et l’autre Persan, les petits Exotics sont plus précoces, plus vifs et plus joueurs que les petits Persans. L’Exotic reste cependant un chat calme et facile à vivre particulièrement bien adapté à la vie en appartement. Du point de vue du toilettage, un brossage hebdomadaire suffit sauf en période de mue. Comme chez tous les animaux à face plate, il convient de nettoyer régulièrement le contour des yeux avec une lotion adaptée. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  15. EUROPEAN SHORTHAIR A l'origine de tous les autres D'hier à aujourd'hui L’européen, un chat de race? Oui bien sûr, à part entière ! Rebaptisé « European Shorthair » en 2007, c’est le descendant direct du chat commun domestique. Ce dernier, probablement venu d’Egypte, partageait déjà la vie des Grecs et des Romains de l’Antiquité. Ce sont Jules César et ses légions qui l’ont introduit en Gaule. Il s’est ensuite développé naturellement c’est-à-dire, au départ, sans avoir été soumis à des règles d’élevage. Jusqu’à ce que la félinophilie s’en empare, sélectionne les meilleurs sujets, et reconnaisse finalement la race en 1983. Mais certains le jugent trop commun et l’amalgament avec le chat de gouttière. Du coup, la race peine à s’affirmer. Son look Surtout, l’European Shorthair ne doit ressembler à aucune autre race. Plus longue que large, la tête est assez ronde avec des joues bien développées. Le nez est droit, le museau fort, le menton ferme. De taille moyenne à grande, les yeux sont arrondis et placés légèrement de biais. Leur couleur, qui va de l’orange au jaune et au vert, doit être la plus lumineuse et la plus uniforme possible. Les oreilles sont moyennes et assez espacées l’une de l’autre. De type semi-foreign, le corps est de taille moyenne à grande et s’inscrit dans un rectangle. L’ossature est forte, la musculature puissante. Les mâles sont plus grands que les femelles. Epaisse à la base, la queue va en s’effilant vers un bout arrondi. Courte, dense et lustrée, la fourrure est couchée sur le corps, sans sous poil excessif. Toutes les couleurs de robes sont reconnues, sauf les patrons sépia, mink et colour point ainsi que les couleur chocolat, lilas, cinnamon et fawn. Sa compagnie L’European Shorthair s’adapte à tous les environnements. Sociable, il peut cohabiter avec d’autres chats ou même avec des chiens (à condition que ceux-ci le respectent). Actif, c’est un animal qui reste joueur tout au long de sa vie. S’il dispose d’un jardin, il adore batifoler à l’extérieur. Attention, c’est un chasseur redoutable ! Bref, l’European Shorthair est un chat sympa et équilibré. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  16. Un chat très chouette D'hier à aujourd'hui L’histoire des Scottish et des Highland commence dans les années 60. Deux éleveurs de British Shorthair, Mary et William Ross remarquent dans une ferme écossaise une chatte aux oreilles pliées vers l’avant appelée Suzie. En 1963, les Ross font l’acquisition de Snook une femelle blanche, fille de Suzie. Avec elle débute le programme d’élevage des Scottish Fold qui consista à marier les descendants de Susie avec des British Shorthair. Les British étant régulièrement croisés avec des Persans, certains chatons, appelés Highland, naquirent avec le poil long. En 1971, le GCCF, grand club félin anglais, soupçonnant à tort que les oreilles pliées pouvaient engendrer des problèmes d’audition, décida de ne plus reconnaître les Fold. Heureusement, des Fold avaient eu le temps de partir pour l’Europe continentale et les Etats-Unis où ils connurent un franc succès. Son look Le Scottish et le Highland Fold sont des chats tout en rondeur. La tête est large avec des contours arrondis quel que soit l’angle sous lequel on la regarde. Le nez est court et large avec une bonne incurvation. Les yeux sont grands et ronds. Larges à la base et plutôt petites, les oreilles, pliées vers l’avant, respectent l’arrondi de la tête. L’encolure est courte, le corps puissant et large. Les pattes sont fortes. Epaisse à la base, la queue est moyennement longue. Flexible, elle ne doit présenter aucune soudure des vertèbres quand elle est manipulée. Chez le Scottish Fold, la fourrure est courte, dense et double avec un sous-poil épais. Chez le Highland Fold, elle est mi-longue et soyeuse avec un sous-poil épais. Une collerette et des culottes bien fournies sont appréciées. Toutes les couleurs sont acceptées. Sa compagnie Le Scottish et le Highland Fold sont des chats robustes et sans problème particulier, à condition de vérifier qu’ils correspondent à certains critères d’élevage. En effet, pour éviter tout problème lié au gène fold (oreilles pliées), il est interdit de marier deux chats à oreilles pliées. En France, l’un des parents d’un Scottish Fold ou Highland Fold doit donc obligatoirement être un British Shorthair ou Longhair ou un Scottish à oreilles droites appelé Scottish Straight. Côté entretien, la fourrure du Highland Fold, moins longue que celle du Persan, demande également moins de toilettage. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  17. DONSKOY Un sphynx russe D'hier à aujourd'hui L’histoire du Donskoy commence en 1988 dans les rues de Rostov. Un jour qu’elle rentrait chez elle, Irina Kovaloyva recueillit une petite chatte bleu-crème dans un piteux état et qui présentait de nombreuses plaques dépilées. Elle fut nommée Varya. Après avoir vainement tenté de guérir cette alopécie chaque jour plus importante, Elena se résolut à penser qu’il s’agissait d’une particularité génétique quand sa petite chatte, devenue grande, lui ramena une portée entière de chatons nus à la maison. Elle décida alors de présenter Varya à une grande éleveuse russe, Irina Nemikina. Après divers croisements, et comme on obtenait des chatons nus dans chaque portée, on comprit que cette mutation, dominante, n’avait rien à voir avec celle responsable de la nudité du Sphynx, qui est récessive. Une nouvelle race fut alors créée : le Donskoy. Le Donskoy est aujourd’hui internationalement reconnu. Son look Le Donskoy est un chat de taille moyenne bien musclé mais élégant. La tête, de face, est cunéiforme avec des pommettes hautes et saillantes et des rides sur le front. Le profil est presque droit. Les yeux sont en amande. Les oreilles placées haut et verticales sur la tête sont grandes avec l’extrémité arrondie. Le corps est solide, bien construit. La poitrine est bien ouverte et l’abdomen arrondi. La croupe est large. Longues et musclées, les pattes sont bien proportionnées par rapport au corps. Les pieds sont ovales avec des doigts bien dessinés. Il existe trois variétés de Donskoy. Les nus dont la peau est glabre et élastique avec un toucher qui évoque un peu le caoutchouc. Les velours où la peau est recouverte d’un duvet très court, parfois à peine visible, qui évoque la peau de chamois. Les brush où le poil est court, bouclé et dur. Toutes les couleurs de robe et d’yeux sont admises. Sa compagnie Le caractère du Donskoy étonne autant que son physique. Toujours curieux de tout, c’est une race au tempérament très extraverti qui explore tout et partout, sans cesse à la découverte de son environnement. Il est extrêmement proche de l’homme et ne supporte pas la solitude. Même s’il est issu d’une mutation différente, le Donskoy partage avec le Sphynx la caractéristique de beaucoup transpirer. Il faut donc baigner une fois par semaine les chats nus, ce qui est une pure formalité car ils adorent être caressés sous l’eau tiède ! Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  18. Un tendre lutin D'hier à aujourd'hui Le Devon Rex, chat frisé aux allures de lutin, est né dans une ferme du Devonshire. C’est là qu’en 1960, Beryl Cox recueillit un chaton au poil ondulé qu’elle appela Kirlee. Un peu plus tard, Beryl découvrit par hasard un article dans le Daily Mirror qui expliquait comment des éleveurs de Cornouaille sélectionnaient des chats à poil cranté appelés Cornish Rex, du nom de la région où l’on avait trouvé Kallibunker, le premier chat à poil frisé. Elle décida de les contacter et leur céda Kirlee pour la somme de 25£. On croisa Kirlee avec les chats de Cornouailles mais aucun des chatons nés de ces unions n’avait le poil frisé car Kirlee était porteur d’une mutation différente de celle responsable du crantage du Cornish Rex. Du coup, les éleveurs décidèrent de séparer les deux lignées et de donner officiellement naissance à une nouvelle race, le Devon Rex. Son look Le Devon Rex est un chat de taille moyenne à la fourrure bouclée et à l’expression unique. Avec ses pommettes hautes, ses yeux ovales et ses très grandes oreilles, il a un air de gremlin très particulier. Le museau, court de face, est très marqué. De profil, le crâne plat est prolongé par un front bombé suivi d’une cassure importante au niveau du nez. L’encolure est fine, le corps gracieux mais ferme et musclé avec une poitrine bien ouverte. Les pattes sont hautes. La queue est longue et recouverte d’une fourrure courte et bouclée. Fine et douce, la fourrure est courte avec une frisure dense et désordonnée. Des zones dénudées ou recouvertes d’un fin duvet sont normales chez les chatons mais considérées comme une faute chez les adultes. Les moustaches sont courtes et frisées. Toutes les couleurs de robe sont acceptées. Sa compagnie Sans être hyper actif, le Devon Rex est un chat vif et espiègle qui réclame toute l’attention de ses maîtres. Pour compenser sa petite voix ténue et peu dérangeante, il a recourt à un tas de stratagèmes pour attirer l’attention. Facile à vivre, il s’entend bien avec tous les membres de la famille. Avec sa fourrure courte et frisée, le Devon Rex ne demande pas beaucoup d’entretien. source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  19. Le lévrier des chats D'hier à aujourd'hui L’histoire du Cornish Rex commence le 21 juillet 1950 avec la naissance, dans une portée de petits chats de gouttière, d’un curieux chaton au pelage d’astrakan, aux grandes oreilles et à la queue de rat. Mrs Ennismore, la propriétaire de la chatte, conserva ce bébé inhabituel qu’elle nomma Kallibunker. Quand il eut quelques mois, elle le conduisit chez son vétérinaire pour le faire castrer. Heureusement, ce dernier lui suggéra de le faire reproduire pour voir si ses descendants hériteraient de son pelage. Kallinbunker fut donc remarié avec sa mère qui donna naissance à deux chatons au poil frisé et qui furent exportés aux Etats-Unis après avoir eu les honneurs du magazine Life. Dans le même temps, en Grande-Bretagne, d’autres éleveurs s’intéressèrent aux Cornish, mais le nombre très restreint de chats disponibles les obligea à les marier avec d’autres races félines, dont le Siamois et le Burmese. Son look Le Cornish Rex est le plus raffiné de tous les chats. Avec son dos arqué, sa musculature sèche et son ossature fine, il a des allures de lévrier. De profil, la tête est formée de deux lignes incurvées : la première va du sommet du crâne à la naissance du nez, la seconde de la naissance du nez jusqu’au bout du nez. Les yeux sont ovales, très ouverts. Les oreilles sont grandes, placées haut sur la tête et coniques. L’encolure est longue et arquée. Le corps est long, très musclé avec une voussure au niveau du dos et un arrière train arrondi. Les pattes sont hautes et fines, les pieds petits et ovales. La queue est longue et fine comme un fouet. Courte et très douce au toucher, la fourrure est crantée, formant des vagues successives comme de l’astrakan. Les moustaches, bien que souvent courtes, doivent être présentes. Toutes les couleurs de robe et d’yeux sont acceptées. Sa compagnie Le Cornish Rex est un chat très actif, agile, intelligent. Hyper attaché à ses maîtres, il les suit pas à pas comme le ferait un chien. Malgré son apparence parfois gracile et sa fourrure près du corps qui le rend plus chaud au toucher que les autres chats, le Cornish est une race très solide qui tient plus de l’athlète que de la poupée de porcelaine. Son toilettage est réduit à la plus simple expression, au plus faut-il lui nettoyer l’intérieur des oreilles avec une lotion douce une fois par semaine. source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  20. CHAUSIE La nature apprivoisée D'hier à aujourd'hui Recréer le physique du félin sauvage sur un chat domestique : ce rêve, de nombreux éleveurs ont entrepris de le réaliser. Avec des fortunes diverses. Si le Bengal s’est imposé, d’autres races sont actuellement en cours de sélection. C’est le cas du Chausie. Il figure actuellement dans la catégorie des « Nouvelles races » (NR). Le Chausie est un hybride de chats domestiques, d’Abyssin notamment, et de Felis chaus, un félin sauvage (pesant entre 10 et 20 kilos) dont l’aire de répartition s’étend de l’Egypte jusqu’à l’Asie du Sud-Est. Les premières hybridations eurent lieu dans les années 1970-1980 aux Etats-Unis. Son look Le Chausie est un chat au gabarit imposant. La tête est triangulaire et anguleuse, les oreilles ont des « lynx tips » (plumets). Son corps est long et substantiel, les postérieurs particulièrement puissants. La queue est plus courte que celle des autres chats. La fourrure, à la fois soyeuse et élastique, possède un « ticking ». Trois couleurs sont reconnues : noir, brown ticked tabby et silver tipped. Cette dernière n’existe que chez le Chausie. Sa compagnie Le Chausie se montre affectueux et joueur. Mais son gabarit et sa puissance le destinent davantage à vivre dans de grandes maisons que coincé dans de petits studios ! Attention, les Chausies qui ont des ancêtres sauvages dans leurs quatre dernières générations sont considérés par la loi comme des animaux sauvages et doivent répondre aux exigences de la CITES en la matière. Source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  21. Made in France D'hier à aujourd'hui Le Chartreux est une race très ancienne à l’histoire mouvementée. Contrairement à la légende, le Chartreux n’a jamais été élevé par les moines du même nom. Les premiers chats bleus ont sans doute été rapportés de Syrie en Occident par les Croisés au Moyen Age. Le terme « Chartreux » apparaît au XVIIIe siècle pour désigner la fourrure de chats bleu-gris, appréciée des pelletiers ! Au début du XXe siècle, quand on commence à s’intéresser au Chartreux comme race à part entière, il a pratiquement disparu. Deux sœurs, Christine et Suzanne Léger entreprennent alors une reconstitution à partir des rares colonies existantes, notamment celle de Belle-Île. L’offre ne suffisant pas à répondre à la demande, il naquit une grande confusion entre le Chartreux et le British Shorthair bleu, autre race de chat bleu à poil court et aux yeux or. Devant ce danger, quelques éleveurs passionnés ont recherché des lignées vierges de British. Ils ont petit à petit rétabli la race qui n’est plus menacée aujourd’hui. Son look Le Chartreux est un chat robuste à la fourrure épaisse et légèrement laineuse. Vu de face, sa tête forme un trapèze, large à la base et étroit au sommet,. Les contours sont arrondis, surtout chez les mâles. Le profil est très légèrement concave avec un front haut et plat et un nez droit. Les oreilles, placées haut sur la tête, sont étroites à la base et légèrement arrondies. Les yeux, de couleur jaune à orange, sont grands et expressifs avec l’extrémité supérieure légèrement relevée vers le haut. Forte, épaisse et courte, l’encolure est musclée. Le corps est robuste avec des épaules larges et une poitrine profonde. Dense, la fourrure est moyennement courte. Grâce à son sous-poil serré, elle est pratiquement imperméable. La seule couleur acceptée est le bleu dans toutes ses nuances, du gris-bleu clair au gris-bleu soutenu. Sa compagnie Malgré l’aspect un tant soit peu nounours donné par sa fourrure douce et laineuse, le Chartreux n’a rien d’une peluche. C’est un chat vif, robuste et agile qui a dû combattre pour survivre et il a des restes de ce tempérament volontaire. On dit aussi de lui qu’il est particulièrement intelligent. C’est peut-être cette intelligence qui lui a permis de s’adapter très vite à la vie moderne en appartement et de devenir un parfait chat de compagnie apprécié de toute la famille. source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  22. CEYLAN Rarissime ! D'hier à aujourd'hui Race de chat « naturelle », le Ceylan est issu… de l’île de Ceylan, rebaptisée depuis « Sri-Lanka ». C’est en 1984 que l’Europe le découvre grâce à Paolo Pellegatta, un vétérinaire italien qui en ramène plusieurs à Milan avec l’aval du directeur du zoo de Colombo. Et en 1993 qu’elle est reconnue officiellement. Son élevage s’est fort peu répandu depuis : on ne recense que quelques sujets en Italie et en France. Son look Le Ceylan est un chat de taille moyenne mais bien musclé. Les pattes arrière sont légèrement plus hautes que les pattes avant. La tête présente des pommettes saillantes et un nez assez court. Les oreilles sont portées haut sur le crâne. Les yeux lumineux, de jaune à vert, arborent une expression "rêveuse". La fourrure est courte, fine et soyeuse, avec peu de sous-poil. Quelle que soit la couleur de la robe, celle-ci présente la caractéristique du "ticking", c'est-à-dire une alternance de bandes claires et foncées sur chaque poil. Contrairement à l’Abyssin, le Ceylan possède (en plus du ticking) des marques tabby : aux pattes, à la queue, autour du cou et au front. Sa compagnie D’un entretien facile grâce à son poil court, le Ceylan est joueur et de bonne compagnie. Affectueux et loyal envers ses maîtres, il reste néanmoins assez indépendant. source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  23. BURMILLA, ASIAN ET TIFFANY Des burmese de toutes les couleurs D'hier à aujourd'hui Au début des années 1980, la baronne Miranda von Kirchberg fut témoin d’une mésalliance : son Persan chinchilla profita d’un moment d’inattention pour aller subrepticement saillir une jolie femelle Burmese anglais. Deux mois plus tard, naquirent quatre petites femelles qui avaient la morphologie de leur mère et la couleur argentée de leur père. La baronne comprit rapidement l’intérêt de cette union involontaire. En 1982, elle mit au point un programme d’élevage, avec la participation d’autres éleveurs et de généticiens, dans le but de fixer la couleur silver chez le Burmese, pour cette nouvelle variété appelée « Burmilla ». Mais l’histoire ne s’arrêta pas là. En voulant créer des Burmeses argentés, les éleveurs anglais donnèrent le jour à des Burmeses d’autres couleurs : entièrement noir, chocolat, bleu, tabby…. En raison du Persan d’origine, certains d’entre eux avaient même le poil long. Les Anglais décidèrent d’appeler Asians les sujets à poil court et Tiffanies ceux à poil long. Son look Burmilla, Asian et Tiffany sont des chats de taille moyenne au physique athlétique et harmonieux. Vue de face, la tête forme un triangle avec des pommettes hautes et un museau arrondi. De profil, le front est légèrement arrondi. Il y a une cassure nette au niveau du nez qui est droit. Les oreilles sont placées dans le prolongement du triangle. Les yeux sont grands avec une ligne supérieure oblique et une ligne inférieure arrondie. L’encolure, de taille moyenne, est bien musclée. Le corps est assez élégant avec certaines rondeurs notamment au niveau de la poitrine qui est large et forte. Les pattes sont plutôt fines, les pieds ovales. La queue est de longueur moyenne. Courte, la fourrure est douce et brillante comme de la soie, bien couchée sur le corps. Elle est mi-longue et soyeuse chez le Tiffany. Le Burmilla est de couleur silver ou golden shaded. Toutes les couleurs solides, tabby et silver, en catégorie traditionnelle, et sépia, sont acceptées chez les Asians et les Tiffanies Sa compagnie En raison de leurs origines, les Burmillas, Asians et Tiffanies ont le même caractère que leur cousin Burmese anglais : raffiné et aimant. Chats d’humeur égale, ils font des compagnons agréables toujours présents sans être envahissants. Faciles et sains, on passera avec eux plus de temps en câlins qu’en toilettage ! Leur fourrure ne demande guère plus d’entretien qu’un petit coup de peau de chamois, avec tout juste un brossage hebdomadaire chez les poils longs. source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  24. So british ! D'hier à aujourd'hui Comme les Siamois, les ancêtres du Burmese ont été ramenés du sud-est asiatique en Occident par les Européens et les Américains en poste dans ces contrées lointaines entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle. Le premier Burmese connu s’appelait Wong Mau. C’était une petite chatte aux yeux or et à la couleur tout en dégradés de marron ramenée en 1930 à Los Angeles par le Major Thomson, médecin en poste à Bangkok. Avec l’aide d’amis éleveurs et sur les conseils d’un généticien, il réalisa des croisements avec d’autres chats venus de Thaïlande dont des Siamois qui, à l’époque, n’avaient pas le type élégant d’aujourd’hui. Vers la fin des années 50, des Burmeses furent importés en Grande-Bretagne où l’on continua à les marier avec des Siamois pendant une période assez longue. C’est à ce moment que le Burmese anglais se différencia de son frère américain par un type plus élégant et une abondance de couleurs inconnues Outre-Atlantique. Son look Le Burmese anglais est un chat de taille moyenne au physique athlétique et harmonieux. Vue de face, la tête forme un triangle avec des pommettes hautes et un museau arrondi. De profil, le front est légèrement arrondi. Il y a une cassure nette au niveau du nez qui est droit. Les oreilles sont placées dans le prolongement du triangle. Les yeux sont grands avec une ligne supérieure oblique et une ligne inférieure arrondie. L’encolure, de taille moyenne, est bien musclée. Le corps est assez élégant avec cependant certaines rondeurs notamment au niveau de la poitrine qui est large et forte. Les pattes sont plutôt fines, les pieds ovales. La queue est de longueur moyenne. Courte, la fourrure est douce et brillante comme de la soie, bien couchée sur le corps. La palette de couleur est large : seal (noir), bleu, chocolat, lilas, red, crème, tortie etc. toujours avec le patron sépia, c'est-à-dire avec un contraste modéré entre le corps, qui plus clair, et les extrémités. Les yeux sont idéalement jaune doré à or. Sa compagnie La couleur du Burmese anglais, tout en camaïeu, ainsi que son physique doux et harmonieux préfigurent aisément son caractère : raffiné et aimant. Bien que d’un naturel enjoué en raison de ses origines orientales, ce chat est d’humeur assez égale et fait un compagnon agréable toujours présent sans être envahissant. Le physique équilibré du Burmese anglais fait de lui un chat facile et sain avec lequel on passera plus de temps en câlins qu’en toilettage ou en soins ! Sa fourrure ne demande guerre plus d’entretien qu’un petit coup de peau de chamois, histoire de mettre sa texture lustrée en valeur. source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
  25. Un chat sur des raquettes à neige D'hier à aujourd'hui Le Snowshoe a été fabriqué de toutes pièces dans les années 1960 par une éleveuse de Philadelphie, Dorothy Hinds-Daugherty. Pour y parvenir, elle croisa un Siamois avec un American Shorthair bicolore puis avec un Sacré de Birmanie. Elle obtint alors un joli chat à poil court, aux extrémités colorées et aux yeux bleus, plus ou moins panaché de blanc selon les individus. Sa silhouette rappelle un peu celle des Siamois à pieds blancs présents sur certaines photos datant de l’époque victorienne. Cette particularité lui valut d’être baptisé Snowshoe (ce qui signifie en anglais : « raquettes à neige »). Il fut officiellement reconnu aux Etats-Unis par la TICA dans les années 1980. En France, la première portée de Snowshoe est née en 2006. Bien que la race soit rare, son regard bleu et son type harmonieux lui assurent l’affection du public. Son look Le Snowshoe est un chat de taille moyenne, musclé et agile. La tête présente des contours arrondis. Assez grands, les yeux sont de forme ovale à ronde et de couleur bleue. Les oreilles sont moyennes. Courte à moyennement courte, la fourrure est douce et soyeuse. Comme chez tout colourpoint, les oreilles, le masque, les pattes (pieds exceptés) et la queue sont de la couleur de base du chat (seal, bleu, chocolat ou lilas point), plus foncés que le corps et si possible homogènes. Deux motifs de panachures sont acceptés : le bicolore et le mitted (ganté). En version « mitted », les quatre pieds doivent être blancs (les pattes avant juste gantées, les pattes arrière blanches jusqu’aux jarrets). En version « bicolore », le masque présente un V inversé aussi symétrique que possible. La truffe est rose. La proportion de blanc ne doit pas dépasser la moitié de la surface totale du chat. Sa compagnie Beaucoup plus calme que son ancêtre siamois, le Snowshoe est un compagnon tendre mais équilibré. Assez cool et élégant, voire réservé, c’est le chat idéal pour un écrivain, car il adore venir se coucher sur les pages ou sur le clavier de l’ordinateur ! Vif et curieux, il aime aussi s’installer en hauteur pour observer les situations. Les enfants n’ont rien à redouter de lui car il fait volontiers patte de velours. Et il ne réclame aucun toilettage. source : http://www.loof-actu.fr/races/desc_race.php
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