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Tigron

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Tout ce qui a été posté par Tigron

  1. Choisir le chat idéal Comment choisir son chat ? Vous avez pris une décision, vous voulez un chat. C’est une très bonne idée ! Pourtant il reste encore à savoir quel est le chat qui vous convient le mieux. Chaton ou adulte? Mâle ou femelle ? De race pure ou chat de gouttière? À poils longs ou courts? Calme ou débordant d’énergie? De nombreuses questions se posent. Voici quelques pistes pour tous ceux qui seraient indécis. Chaton ou adulte ? Les chatons sont adorables, enjoués et plein d'énergie mais ils peuvent également être exaspérants parfois et exigent beaucoup de patience et de temps. Au moment de leur croissance, ils vont faire des bêtises, comme escalader les rideaux, renverser les bibelots,... Les visites chez le vétérinaire vont être plus nombreuses car il va falloir s’occuper de ses vaccins, son identification (puce électronique) et sa stérilisation. De plus, adopter un chaton est un pari car vous ne savez pas comment sa personnalité va évoluer une fois adulte. Les chats adultes sont, en général, plus calmes, moins malicieux et le comportement que vous observez ne va pas considérablement évoluer. Ceci peut d’ailleurs constituer un inconvénient. En effet, si les traits de personnalité des chats sont le résultat de leur héritage génétique, ils sont aussi le produit de leur environnement. En choisissant un chaton, vous aurez la possibilité d'avoir un effet beaucoup plus important sur sa personnalité que si vous prenez un adulte. Lors de votre choix, il est également important de prendre en compte votre famille. Adopter un chaton avec des enfants très jeunes n’est peut-être pas la solution idéale. Les bébés et les tout-petits ont tendance à attraper les chats par la queue, les oreilles, et ne sont pas forcément doux avec eux. Une surveillance étroite est obligatoire afin d’éviter les accidents de griffures. De la même façon, les chats âgés sont impatients avec les jeunes enfants. Le chat idéal pour une famille avec des tout-petits est un chat de deux ou trois ans. Un mâle ou une femelle ? Il n’y a pas vraiment de différences entre les sexes au niveau de la personnalité s’ils sont stérilisés. En revanche, s’ils sont non stérilisés, certains comportements diffèrent. Avec un chat mâle non castré, vous aurez plus de chance d’avoir des problèmes de marquage urinaire, et des fugues et bagarres entre mâles du quartier au moment des chaleurs des chattes. A ce même moment, les femelles non stérilisées peuvent se révéler insupportables avec leurs miaulements incessants. La stérilisation est vivement conseillée, non seulement pour éviter ces désagréments mais aussi pour prévenir la survenue de certains cancers. De plus, la stérilisation a tendance à adoucir les caractères et favorise les câlins. Pour certaines races, comme les chats des Forêts Norvégiennes, il y a une différence de taille considérable entre les sexes, les mâles étant jusqu'à trois fois plus grands. Si vous avez déjà un chat, qui est stérilisé, il est parfois préférable d’adopter un chat de sexe opposé. Poils courts ou longs ? Ceci est principalement une question de préférence et votre volonté de consacrer du temps à un toilettage régulier. Les chats à poils longs nécessitent de fréquentes séances de toilettage. Les chats Sphinx ou "chats nus" exigent des bains réguliers pour enlever l'excès de sébum de leur peau. Chat de race ou de gouttière ? Il n’y a pas deux chats identiques. La personnalité des chats, comme les gens, varie énormément, même au sein d’une même portée. Pourtant, certains traits de caractères varient considérablement avec la race. Les Persans et les Ragdolls, par exemple, sont généralement décontractés et sédentaires, tandis que les Bengales et les Siamois ont tendance à être très actifs. Ces derniers ont la réputation d'être très bavards et collants avec leurs propriétaires. Si vous avez un coup de coeur pour une race de chat en particulier, choisissez avec soin l’élevage. Certaines races sont sujettes à des problèmes médicaux car certains éleveurs (ce n’est pas la majorité !) ne sont pas prudents avec leurs programmes de sélection. Les chats de gouttière sont en général en meilleure santé car ils bénéficient d’une grande diversité génétique. Le chat que vous adoptez va faire partie de votre vie pour de nombreuses années. Pour que ce partenariat soit idéal, il est important de faire le bon choix. Renseignez-vous auprès d’éleveurs, de vétérinaires et de propriétaires de chats, ils vous donneront de précieux conseils. De nombreux ouvrages sont disponibles sur les chats et les différentes races, prenez le temps de vous informer. N’oubliez pas que les meilleurs choix sont des choix éclairés ! Source : ICI
  2. Ce que dit le regard de votre chat Au-delà de la fascination permanente que les yeux de votre chat exercent sur vous, les mouvements de son regard, ses clignements, les réactions de sa pupille expriment précisément son humeur du moment. Zoom sur les yeux de votre chat pour découvrir les subtilités de son regard. Une acuité visuelle incroyable Particularité majeure de leur vision, les chats possèdent des pupilles à géométrie variable, permettant à leurs yeux de s'adapter automatiquement à l'intensité de la lumière. Leur faculté à capter la moindre parcelle lumineuse leur confère une excellente vision nocturne. D'où cette idée reçue qu'ils ont la faculté de voir dans le noir. Autre avantage sur les humains, ils jouissent d'un champ de vision très large : 285° pour eux contre 180° pour nous. Ce qui signifie qu'ils voient très bien sur les côtés, atout indispensable pour tout bon prédateur. Les chats ont une excellente vue de loin, capables de percevoir le moindre geste ou détail lointain. En revanche, ils sont légèrement presbytes et leur vision de près est un peu floue. Contrairement à ce qui a été longtemps affirmé, ils ne voient pas le monde en noir et blanc. Ils perçoivent bien les couleurs, mais de façon sensiblement différente de la nôtre. En effet, leur palette chromatique se compose principalement de bleu et de vert, et ils ne perçoivent pas la couleur rouge. C'est pourquoi on rapproche leur vue de celle des daltoniens. Le langage "combinatoire" de ses yeux et de ses oreilles Beaucoup des attitudes et sentiments de votre chat s'expriment par les mouvements de ses yeux associés à ceux de ses oreilles. - Lorsqu'il est satisfait, ses yeux sont mi-clos, ses oreilles inclinées sur le côté : tout va bien.... - S'il ferme à demi les yeux, les oreilles couchées en détournant la tête de côté, mieux vaut le laisser tranquille... - En revanche, s'il dresse ses oreilles en écarquillant les yeux, il est tout à fait disposé à un moment de détente et... vive le jeu ! - Pupilles rétrécies, oreilles dressées tournées vers l'arrière, il est en alerte... - Pupilles dilatées en pleine lumière, il exprime sa peur. Le Conseil Un Amour de Chat Votre chat vous regarde, regardez-le. Il n'est rien de plus relaxant que de regarder son chat vivre. Sa grâce naturelle, sa curiosité et son talent à s'amuser d'un rien constituent un spectacle permanent très réjouissant. En bref ·Le chat a une excellente vision nocturne. ·Il a un champ de vision très large : 285°. ·Il ne voit pas le rouge. Source : ICI
  3. Ne détourne pas tes yeux Stérilise tes petits et pourquoi pas l'adoption pour eux, ils le méritent.
  4. Enquête : la vie sans espoir des chats sans abri La situation des chats sans abri en France est dramatique. Une enquête de deux mois réalisée par One Voice en atteste. Vilipendés par la société, ces chats sont confrontés aux pires difficultés pour survivre et sont traqués aujourd’hui comme des « animaux nuisibles ». Les faits sont sans équivoque. Alors que le chat est l’animal de compagnie préféré des Français, il est aussi l’animal le moins considéré : si plus de huit millions d’entre eux ont pris place dans nos foyers, ils seraient presque autant à errer misérablement dans les rues, sans abri. Aussi incroyable que cela puisse paraître, c’est la triste réalité à laquelle notre enquêteur a été confronté au cours de son investigation. Épaulé par une dizaine de structures spécialisées dans la protection des chats sans abri, il a parcouru pendant deux mois la ville comme la campagne, les usines désaffectées comme les cités sur les traces des chats errants en France. Quel que soit le lieu, la même désolation. Liberté égale galère Le chat sans abri, que l’on pourrait croire « libre » et heureux, est en réalité un animal « triste », pétrifié par la peur, souvent malade, toujours sur le qui-vive et dont les seuls buts de la journée sont de trouver sa nourriture et un abri pour se cacher. Comme le montrent les images que notre enquêteur a rapportées, en ville les chats se terrent sous les voitures, dans des vide-sanitaires souvent insalubres, des caves où parfois ils restent enfermés ou emmurés vivants. Hors de la cité, ils se réfugient dans des sites désaffectés ou sous des abris de fortune, une vieille bâche, des tôles abandonnées. Pour se nourrir, les plus chanceux ont droit à des repas préparés par des associations et disposés çà et là. Les autres font les poubelles, sont condamnés à se mettre en chasse ou à se contenter d’un peu d’eau boueuse lapée dans une flaque. La dégradation de leurs conditions de vie est cause de nombreuses maladies. Poil terne, sale, pelage hérissé, yeux purulents sont souvent les manifestations, entre autres, du coryza, de la gale des oreilles, de la teigne ou encore du sida du chat. Un chat sans abri est en effet mille fois plus exposé à la maladie qu’un chat domestique. Objets de violence Autre aspect du peu de considération des chats dans notre société : la cruauté avec laquelle ils sont traités. Notre enquêteur a rapporté nombre d’exemples de chats martyrisés par les adultes comme les enfants. En la matière, l’imagination est diabolique à l’instar de ce « jeu de l’hélicoptère » consistant à attraper un chat par la queue et à le faire tourner jusqu’à rupture de celle-ci. Chats des villes ou chats des champs, ils sont pareillement les exutoires d’une violence extrême allant des jets de pierre, au coup de fusil ou à l’empoisonnement pour les uns, à l’écartèlement sur une poubelle avec du scotch, aux taillades à coups de cutter ou aux mises à feu pour les autres. Leur prolifération, est aujourd’hui considérée par une large partie de la population et des municipalités comme une nuisance à laquelle l’euthanasie massive est la seule réponse. Cet état de fait est pourtant le fruit de l’irresponsabilité des propriétaires de chats et de l’inaction des pouvoirs publics. Pour un chat stérilisé combien d’autres ne le seront jamais ? Sauver les chats Un autre destin pour ces « compagnons de vie » est pourtant possible. Des expériences menées conjointement par des associations de protection des chats sans abri, des bailleurs et des municipalités ont permis d’instaurer une cohabitation paisible et harmonieuse tout en régulant le nombre de chats. C’est le cas de l’École du Chat de Poitiers (ecoleduchat.poitiers.free.fr/) ou l’École du Chat Val d’Yerres et de Seine (www.chatlibre.org/) en région parisienne que notre enquêteur a pu visiter. Mieux, le chat est au centre de projets pédagogiques ou vecteur de lien social. C’est dans cet esprit qu’a été conçu « Chatipi », un projet porté par One Voice dans le cadre d’une vaste campagne destinée à réhabiliter le chat au sein de la société et à le préserver de la vie misérable décrite dans les deux vidéos ICI Vidéo 1 ICI vidéo 2 Source : http://www.onevoice-ear.org/fr/
  5. Les 5 choses à faire avant de partir en vacances : - Prévoir une caisse de transport (plastique dur pour la voiture, sac souple pour l’avion). - S’assurer que les chats sont acceptés partout, tout au long du voyage. - Pour les voyages en avion, renseignez-vous auprès de votre compagnie aérienne pour les modalités de transport. - Prendre son passeport européen (vaccination, vermifugation, certificat de santé et traitement antiparasitaire en ordre). - Identification du chat : puce électronique, ajouter vos coordonnées téléphoniques à son collier. - Ne pas oublier ses affaires : harnais, laisse, litière, écuelles, nourriture, jouets et son panier. Les vacances arrivent et vous appréhendez déjà le trajet avec votre chat. Pour que votre voyage ne soit plus synonyme de cauchemar, quelques préparatifs sont nécessaires. Avant le grand départ, vous pouvez faire une liste de choses à faire afin de ne rien laisser au hasard. Une caisse de transport confortable Première chose importante, que vous voyagiez en voiture, en train ou en avion, il est important de prévoir une caisse de transport confortable pour votre chat. Choisissez une caisse suffisamment large pour que votre chat puisse se retourner et se tenir debout, mais sans toutefois être trop grande. Visite chez le vétérinaire Avant de partir avec votre compagnon, assurez-vous qu’il sera le bienvenue à l’endroit où vous voulez vous rendre. Il existe des campings, hôtels où les animaux domestiques sont acceptés, mais il convient de se renseigner avant ! Son passeport avec les vaccins à jour et un certificat de santé récent sera probablement exigé. Les exigences en matière de vaccination et vermifugation varient d’un pays à l’autre, renseignez-vous auprès de votre vétérinaire. Se rendre avec votre chat au Royaume-Uni par exemple est assez contraignant, il faudra respecter le Pet Travel Scheme. Une visite chez votre vétérinaire sera l’occasion de faire un bilan de santé avant les vacances. Vous pourrez lui demander conseil pour limiter le stress de votre chat pendant le voyage et envisager ou non l’administration d’un tranquillisant doux. ll est également important que votre chat soit bien identifié avec une puce électronique. Trajet en voiture Quelques heures avant le départ, il est déconseillé de donner à manger à votre chat, afin de limiter les désordres intestinaux. Essayez d’éviter les trajets de plus de 9 heures et faites des pauses le plus souvent possible. Pour que votre chat puisse se « dégourdir les pattes » sur les aires de repos, investissez dans un harnais et une laisse. Les caisses en plastique dur sont idéales pour les voyages en voiture. Installez la caisse sur la banquette arrière, en la maintenant attachée à l’aide de la ceinture de sécurité. Enfin, durant le trajet, donnez lui de l’eau, et ne laissez jamais votre voiture en plein soleil. Avant de faire un long trajet avec votre chat, il est conseillé de l’habituer aux petits trajets tout au long de l’année, à proximité de votre domicile. Voyage en avion Les trajets en avion sont aujourd’hui très sûrs. De nouvelles réglementations sont en place pour protéger les chats des températures extrêmes dans les soutes. Renseignez-vous sur les caisses de transport homologuées. Selon les compagnies aériennes et le poids de votre chat (moins de 4kg), il est également possible, en utilisant un sac de transport souple de petite taille, de le prendre à bord, en cabine. Chaque compagnie a sa propre réglementation, il est important de se renseigner avant. En règle générale, les compagnies exigent le passeport et un certificat de bonne santé. Certains pays peuvent avoir des exigences supplémentaires en matière de vaccination. Pour la petite histoire, Pet Airways, lancée en 2009 aux Etats-Unis, est la première compagnie aérienne à être exclusivement réservée aux animaux de compagnie. Actuellement elle ne dessert que cinq grandes villes aux Etats-Unis. En train Si vous voyagez avec votre chat en train il faudra penser à lui prendre un billet (5,10 euros). N’oubliez pas de prévoir un panier fermé. Faut-il administrer des tranquillisants avant un voyage ? Il faut être très prudent avant de donner des tranquillisants à son chat avant le voyage. Il est important de vérifier sa bonne santé, et de demander conseil à votre vétérinaire. Pour les propriétaires qui ne veulent pas donner de tranquillisants, il existe des alternatives comme la diffusion de phéromones d’apaisement dans sa caisse, l’administration de suppléments nutritionnels à base d’une protéine de lait apaisante, ou encore l’homéopathie et les fleurs de bach. Pensions pour chats Enfin, s’il est impossible de prendre votre chat en vacances, n’oubliez pas qu’il existe des pensions pour chats ou des services de visite à domicile. Des personnes "Cat sitter" peuvent se rendre chez vous pour s’occuper de votre chat. Pensez à cette alternative, cela évite pas mal de stress ! Source : http://www.unamourdechat.com/
  6. Oui une fois stérilisée, elle ne cherche pas a sortir (ça dépend des minette) regarde la mienne pufff la porte du jardin est ouverte et elle ne sort pas, pourtant j'aimerais bien, car ici pas de danger, pareil pour les deux frères, eux dès que la porte est ouverte ils vont se planquer dans la chambre.
  7. Mon chat me réveille toutes les nuits ! Avertissement : assurez-vous auprès d'un vétérinaire que votre chat est en bonne santé avant de conclure qu'il s'agit d'un problème exclusivement comportemental La cohabitation avec un chat peut rapidement devenir un enfer si celui-ci a décidé de vous réveiller toutes les nuits. En dehors de l’inconfort évident que cela représente, d’autres enjeux important se cachent à long terme derrière un tel problème : la fatigue s’accumulant jour après jour, on est moins efficace dans son travail, et il peut arriver qu’on en vienne à vouloir se séparer de notre compagnon pourtant si adorable en journée. D’où l’intérêt de comprendre rapidement ce qui pousse minou à adopter un tel comportement. Le chat, un animal nocturne Ce n’est pas une grande nouvelle : les félins sont généralement des animaux nocturnes et chassent surtout leurs proies la nuit, qui, bien souvent, sont elles-mêmes nocturnes. Le chat chasse par exemple les souris et autres rongeurs qui sortent de leurs trous à la tombée du jour. Plus précisément, c’est au crépuscule et à l’aube que les chats sont les plus actifs. C’est leur rythme instinctif, et la vie dans nos maisons et appartements n’empêche pas toujours cette tendance de s’exprimer. Le problème ne se pose pas lorsque le chat à un libre accès à l’extérieur : « il fait sa vie », comme on dit, et cela ne perturbe pas notre sommeil. Mais quand la cohabitation est plus étroite, et que le chat doit se plier à nos horaires, il peut arriver que l’on ait des surprises… Les « quarts d’heure de folie Ils ne sont pas rares les propriétaires de chats qui relatent des crises de folie passagères de leur minou et qu’ils ne comprennent pas. A quoi cela ressemble-t-il ? Généralement, le chat se met à courir « comme un dératé » en long et en large de l’appartement (ou de la maison). Il fait de véritables dérapages, plus ou moins contrôlés d’ailleurs (!). Souvent, il pousse des cris, des miaulements à déchirer le cœur, voire des hurlements ou des grondements aussi, puis se remet à courir. Certains chats grimpent réellement aux rideaux, parfois aux murs s’il y a du papier peint qui agrippe. Les pupilles sont dilatées, ce qui peut en effrayer plus d’un, même les maîtres du chat, qui ne reconnaissent plus leur adorable chat si doux par ailleurs. Ces « quarts d’heure de folies » se nomment ainsi car cela dure en moyenne quinze minutes. Et cela se produit soit à l’aube, soit le soir au crépuscule ou franchement tard dans la soirée : vers minuit par exemple, ce qui ne manque donc pas de réveiller les couche-tôt et les lève-tard. Ces crises de folies sont en fait des crises d’activité, c’est à dire que le chat concentre en ces quelques minutes tout son besoin d’activité journalier. Ce phénomène se produit quand les besoins d’activités du chat arrivent à leur paroxysme : à son heure instinctive d’agitation maximum. Cela ne touche pas tous les chats, mais essentiellement les chats qui n’ont pas les moyens de se dépenser suffisamment au quotidien. Le plus souvent des chats d’appartement L’agitation nocturne Le manque d’activité journalier peut également se traduire par de l’agitation nocturne moins surprenante mais bien plus gênante. Le chat vient par exemple mordre ou griffer les mains de leur maître dans leur lit, viennent jouer avec les doigts de pieds et font mine d’attaquer les pieds au moindre mouvement des personnes endormies. D’autres chats deviennent de véritables prodiges dans l’art de faire du bruit : gratter aux portes, miauler à tue-tête, faire tomber des objets, se faire les griffes sur des substrats bruyants. Pourquoi ? Pour nous faire réagir bien sûr ! En effet, les propriétaires sont les uniques sources d’action et d’intérêt pour un chat qui reste seul toute la journée dans un appartement ou une maison où il ne se passe rien. Et la moindre des réactions des propriétaires (un chausson qui vole, une réprimande, la personne qui se lève pour poursuivre le chat dans l’appartement, ou mieux : une distribution de nourriture ! etc.) est une source d’activité et d’occupation. Que la personne réagisse agréablement ou désagréablement, il se passe quelque chose dans l’appartement, et c’est là le principal. Le chat adopte ce comportement à des heures indues qui sont en général liées au lever ou coucher du soleil (toujours en lien avec le rythme naturel du chat) : vers 4-5 heures du matin en été, vers 6-7 heures en hiver. Et le chat est tenace : le manège peut durer plusieurs heures, jusqu’à épuisement physique et moral des personnes. Occuper le chat en journée… Pour y remédier, c’est plutôt simple : il faut que le chat ait suffisamment d’occupations en journée pour que l’envie lui passe de réveiller ses maîtres. On peut conseiller par exemple de proposer à notre minou un compagnon de jeu, surtout quand il est encore petit ou jeune. C’est la quasi garantie de tranquillité (à moins que les deux chats ne se courent après dans la maison et que cela vous réveille…). D’autres solutions consistent à rendre l’habitat plus interactif en journée, en mettant en place des jeux qui s’agitent tout seuls. Par exemple un mobile fait maison disposé dans l’axe d’une fenêtre entrouverte ou d’un courant d’air pour qu’il bouge tout seul (ça peut être une plume au bout d’une ficelle). On peut aussi mettre des balles de ping-pong dans une bassine, afin que dès que le chat les touche, elles continuent de bouger pendant un bout de temps. Cacher des croquettes à des endroits toujours différents de la maison stimule aussi le chat dans sa recherche de nourriture. Il faut de toute façon faire appel à son imagination et penser à renouveler souvent les systèmes mis en place pour les garder attractifs et efficaces. Rien n’a encore pu prouver l’utilité de laisser la télé ou la radio allumée, mais il est certains que cela ne constitue pas une activité en soi pour le chat. Dans tous les cas, on conseille de jouer au maximum avec le chat pendant les périodes de présence. Plusieurs fois dix à quinze minutes réparties le matin ou en soirée. Puis l’ignorer la nuit Parallèlement, pour que le chat ne soit pas récompensé dans son comportement nocturne, on ne répondra JAMAIS à ses agitations (et surtout pas une fois de temps en temps, cela signifierait pour le chat qu’il faut qu’il redouble d’efforts pour obtenir satisfaction). Cela veut dire entre autre qu’on ne se lève pas, on ne parle pas au chat, on ne le regarde pas (on ne le nourrit pas évidemment), on ne bouge pas même un pouce. Pour obtenir l’extinction du comportement gênant, il faut tenir bon pendant au moins dix à quinze jours. Les agitations vont s’intensifier pendant un temps, puis normalement brutalement s’interrompre si on a tenu le coup. L’agitation nocturne signe de détresse Pour finir, il ne faut pas négliger une autre cause d’agitation nocturne : la détresse du chat. En effet, un stress quotidien, une grande inquiétude, un malaise général peut induire chez le chat des troubles du comportement qui vont se déclarer la nuit. Cela prend souvent la forme de miaulements intempestifs, de râles qui évoquent en tout cas la détresse, le mal être. Le chat semble ne pas pouvoir s’en empêcher. Il le fait la nuit, mais aussi le jour, et surtout dès le retour de ses maîtres. Il exprime effectivement qu’il va mal, comme un nourrisson pleure pour évacuer sa tristesse. D’autres chats se mettent à gratter leur litière pendant de longues minutes, certains vont manger leurs croquettes tout au long de la nuit, ou vont se lécher les poils de manière compulsive et continue non loin de leur maître. Tout ça fait du bruit (en tout cas dans les petites habitations cela s’entend facilement). Pour y remédier, il faut impérativement trouver la cause du stress de l’animal. Il ne faut surtout pas punir le chat pour ces agissements, car on aggrave alors le problème. Source : www.comportementaliste-chat.com
  8. Mon chat fait ses besoins en dehors de la litière ! Par Florence Cailliot-d'Ivernois, comportementaliste La malpropreté est un comportement très fréquent lorsque le chat vit un malaise ou une difficulté psychologique. Mais avant de conclure à une cause comportementale, il faut impérativement vérifier auprès d'une vétérinaire qu'il ne s'agit pas d'un problème physique, d'une maladie comme la cystite par exemple, qu'il faudrait alors traiter très rapidement. Une fois que cette hypothèse a été écartée, on peut alors se pencher sur les explications comportementales. C'est si rassurant ! L’élimination a plusieurs fonctions, notamment pour les chats stérilisés. En effet, il n’existe rien de plus rassurant pour un chat que de sentir sa propre odeur, sa carte d’identité phéromonale. Tant que le chat va bien, il n’a pas besoin de déposer beaucoup de sa propre odeur. Frotter ses joues ou ses flancs sur les objets lui suffit largement. Lorsqu’il est inquiet, il ressent rapidement le besoin de se rassurer en déposant un « paquet » bien plus odorant et plus rassurant : son pipi ou son caca. Pour des chats assez sensibles, le moindre changement dans leur environnement (un nouveau meuble, un nouvel arrivant, un autre chat, un chien, un bébé, un autre adulte…) peut provoquer ces mictions. Faire ses besoins comporte pour le chat un autre avantage important : « éliminer », au sens propre du terme, c’est aussi « évacuer » une tension. En l’occurrence, le chat, en faisant pipi ou caca, « évacue » un stress, une inquiétude. Le lieu qu’il choisi pour le faire dépend de sa valeur symbolique. Quelles sont les raisons de ce comportement ? La malpropreté du chat est la première cause de consultation chez un comportementaliste. Le chat jouit d’une réputation d’extrême propreté. Pourtant, même s’il passe son temps à faire sa toilette, le chat peut tout aussi bien se mettre à faire pipi ou caca en dehors de sa litière à certaines périodes de sa vie. Une gêne pour les propriétaires, surtout si la fréquence est régulière et qu’il le fait dans des lieux qui en énerverai plus d’un : le lit par exemple. Quelles sont les causes d’un tel comportement ? Comment réagir lorsque cela arrive ? Existe-il des solutions ? Marquer son territoire Le chat vit dans un monde essentiellement olfactif, voilà pourquoi il se frotte si souvent aux objets ou à nos jambes : il y dépose des phéromones. Or, dans l’urine et dans les fèces, ces phéromones sont présentes en très grandes quantité. Ces molécules, qui sont parfaitement individuelles et uniques à chaque chat, lui servent entre autre à rendre familier le moindre objet de son environnement. Les phéromones servent d’abord à indiquer à d’autre chats « ici, c’est chez moi ». D’ailleurs, un chat non castré marque son territoire par des jets d’urine. Il le fait d’une façon très spécifique : droit sur ses jambes tendues, les fesses face à un support vertical (un coin de mur, de canapé, une plante verte…), et il lance un court jet horizontal. Rien à voir avec un pipi effectué à croupie comme dans la litière. C’est la raison principale pour laquelle on castre un chat. Il ne lui prend normalement plus aucune envie de marquer son territoire après l’opération. Ce qui n’est pas négligeable lorsqu’on habite dans un appartement, car l’odeur de l’urine du chat non-castré est particulièrement forte. Familiariser son environnement Classiquement, un chat éliminera sur des objets ou des meubles dont l’odeur l’inquiètent. Ce type d’accident arrive très souvent sur des objets bien particulier : des sacs, des bagages ou sacs de voyages, des chaussures, des manteaux. Leur points commun : ils apportent avec eux une multitude d’odeurs venues de l’extérieur et qui lui sont inconnues. Le chat viendra donc y ajouter la sienne pour rendre l’objet plus familier. Si ces pipi-cacas n’arrivent qu’une fois de temps en temps, il n’y a vraiment pas de quoi s’en inquiéter non plus, ils ne signifient pas que le chat va mal. Un déménagement peut entraîner aussi une certaine malpropreté dont le but est le même : rendre plus familier ce qui est inconnu et donc inquiétant. Mais certains chat, anxieux de nature, prennent la mauvaise habitude de marquer systématiquement tout objet nouveau ou venant du dehors, ce qui devient très problématique pour les maîtres. Il faut alors re-conditionner le chat à éliminer dans sa litière plutôt que sur les objets nouveaux, et cela demande du temps. Évacuer une énergie négative Lorsqu’il y a des troubles de la relation entre un propriétaire et son chat (c’est alors l’odeur du maître qui est inquiétante), celui-ci peut se mettre à éliminer sur des endroits où la personne s’installe habituellement : sur sa place de canapé, sur son lit, sur ses sous-vêtements, dans la baignoire ou sur le tapis de bain, etc. L’odeur humaine y est très forte et porte donc en elle le souvenir très présent du maître. Exemple : un membre de la famille a tendance à s’emporter contre le chat lorsque celui-ci fait des bêtises. Le chat se méfie donc de cette personne et craint ses réactions soudaines. Il ira donc faire pipi ou caca sur son oreiller ! En y mettant son odeur, il sera une peu plus rassuré. Rien à voir, donc, avec de la vengeance ! Cela se produit bien souvent dans la chambre des enfants lorsque ceux-ci ont tendance à taquiner le chat plus que de raison… Mais le chat peut tout aussi bien éliminer sur des lieux qu’il apprécie pour les rendre encore plus familiers et rassurant. Par exemple sur le fauteuil où il dort habituellement, ou sur une couverture qu’il adore ou même sur les vêtements de ses maîtres alors même qu’ils n’ont rien à voir avec ce qui l’inquiète. Que faire ? Il faut savoir que plus un chat est anxieux ou stressé, plus il aura tendance à vouloir éliminer, toujours pour se « décharger » et « évacuer » l’énergie négative. La fréquence de ces « petits cadeaux » dépend entre autre du contexte, de l’état du chat à un moment précis, et de son tempérament général (est-il stressé de nature ?) et on l’oublie trop souvent, de la réaction de ses maîtres. En effet, on peut tout à fait conditionner le chat à rester malpropre par nos seules réactions ! C’est très simple à comprendre : un chat qui se soulage parce que quelque chose le stresse ne peut pas comprendre qu’on le punisse ou qu’on le réprimande, encore moins qu’on lui mette le nez dedans ! Cela provoque en fait l’effet parfaitement inverse : minou va être encore plus stressé, et les un ou deux pipis ou cacas occasionnels vont devenir quotidiens parce que le chat attend avec anxiété la réaction « incompréhensible » de ses maîtres. Cette attente étant très stressante, il va se soulager à nouveau, et c’est un véritable cercle vicieux. La meilleure des réactions : aucune ! Quand on nettoie, à l’eau simple, sans détergents, on ignore le chat, sans le bouder, et on va le rassurer par des mots doux ou des caresses un peu plus tard. C’est encore la solution la plus radicale pour faire cesser ce problème. Avant de conclure à un trouble du comportement, il ne faut pourtant pas hésiter à penser plus simple : la litière est-elle trop nettoyée (donc pas assez d’odeur rassurantes) ou pas assez nettoyée ? N’est-elle pas trop proche de la nourriture ? Un ou deux mètres de distance entre les deux est nécessaire. Se situe-elle dans un endroit où il y a beaucoup de passage ? On apprécie tous de pouvoir être tranquille dans ces moments là… ! N’y a t-il pas trop d’odeurs « parasites » qui camouflent trop bien l’odeur de minou, comme des détergents très puissants ou des litières parfumées par exemple ? Il existe une multitude de situations qui peuvent pousser un chat à éliminer en hors de sa litière, et lorsque cela se pérennise, il ne faut pas hésiter à faire appel à un comportementaliste, car des solutions parfois très simples à mettre en place existent. Source : www.comportementaliste-chat.com
  9. Le stress chez le chat : une affaire de quotidien ! Par Florence Cailliot-d'Ivernois, comportementaliste Qu’est-ce qui peut stresser un chat ? Cette question a son importance, car lorsque le chat est stressé, il se met à faire des choses qui bien souvent rende la vie de leurs maîtres difficile. Comme il ne peut pas s’exprimer par la parole, il utilise les outils qu’il possède. A nous de comprendre et de nous adapter. Mais qu’est-ce qui peut stresser un chat ? Tout d’abord, l’ennui, ou plutôt l’inactivité est très stressante pour un chat. Dans la nature, il va chasser et agir pendant au moins 4 à 5 heures, et toute son attention et son énergie y sera consacré. Dans une maison ou un appartement où il ne se passe rien, le chat accumule cette énergie. Ne pas pouvoir décharger cette énergie est une énorme source de stress. Le fait de devoir partager son territoire avec un chat qui fait peur ou qui n’est pas apprécié est aussi très stressant. Faire cohabiter deux chats qui ne s’entendent pas n’est pas chose facile. Même chose avec un autre animal ou un nouveau venu dans la maison (autre personne, bébé…) Un environnement qui bouge tout le temps est également stressant : quand les repères et les lieux de bien-être sont déplacés, manipulés, chamboulés, le chat y perd son latin et vous le fait savoir. Les déménagements sont donc sources de stress pour les chats. L’absence de routine peut être aussi angoissant. Bien que le chat supporte des horaires irréguliers (la nature n’apporte jamais des proies à heures fixes !), il lui faut quand même quelques repères temporels à court et long terme. Un chat qui se fait régulièrement punir ou réprimander (quelles que soient les méthodes employées, mais plus c’est violent, plus c’est stressant…) va finir par être très stressé, surtout s’il ne fait pas le lien entre la punition et la bêtise…en fait rien ne sert de punir un chat si ce n’est pas « pris sur le fait ». Il ne fait l’association entre ses agissements et votre réaction que quelques secondes durant. Passé ce délai, il ne fait pas le lien, et prend la punition comme une agression qu’il ne comprend pas et qui « sort de nulle part »…ce qui est loin d’être rassurant. Comment savoir que le chat est stressé ? La manière la plus « traditionnelle » pour un chat de se décharger du stress est la malpropreté. Il se met à faire pipi ou caca à bien des endroits en dehors de sa litière. Souvent d’ailleurs, c’est toujours le ou les mêmes endroits qu’il choisit pour déposer ses « cadeaux ». Pourquoi fait-il cela ? En fait c’est assez facile à comprendre si l’on part du principe que le stress est une émotion, et qu’une émotion est une « énergie ». La peur, l’envie, la faim, l’excitation etc, sont autant d’émotions qui peuvent se traduire par une accumulation d’énergie qu’il faut décharger (en fuyant, en assouvissant son envie, en mangeant, et jouant etc). Toute énergie qui entre doit sortir : c’est comme ça que tous les êtres vivants trouvent un équilibre physique et émotionnel. Or, le stress est une énergie négative, et pour la décharger, le chat doit adopter une activité qui le soulage : faire pipi ou caca est manifestement très efficace. Mais pourquoi en dehors de la litière ? Parce que les odeurs contenues dans les souillures sont rassurantes et apaisantes. Alors le chat les déposes soit dans un lieu rassurant qu’il veut rendre encore plus rassurant, soit un lieu inquiétant qu’il veut rendre rassurant. Autres façons de se décharger de l’énergie négative du stress : se mettre à miauler à tue-tête par exemple, notamment quand tout le monde dort (!), ou bien se faire les griffes ou manger plus que de besoin, ou adopter un comportement compulsif et répétitif (c’est l’équivalent de nos tics : chez le chat, cela peut se traduire par de l’alopécie par exemple, c’est à dire qu’il se lèche sans arrêt, parfois même jusqu’à ce qu’il n’ai plus de poils à certains endroits du corps). Le chat peut aussi devenir agressif. Qui n’a jamais, dans une période de stress intense, éclaté de colère pour une broutille ? C’est la même chose pour les chats : trop de stress peut se traduire par de l’agressivité, qui s’exprime plus ou moins souvent (parfois il s’agit de véritable explosions !). Quand on est stressé, de toute façon on est plus irritable : le chat n’y fait pas exception. Pour résumer, si votre chat se met à agir de manière excessive ou inhabituelle, avant de penser qu’il se venge ou qu’il exprime un mécontentement, pensez d’abord qu’il se décharge peut-être tout simplement d’un stress. www.comportementaliste-chat.com
  10. MOI, CHAT ERRANT , J'ACCUSE Moi, chat errant car abandonné par VOUS Moi, j’accuse : Les propriétaires des appartements qui me refusent d’emménager avec ma famille... Les gens qui m’adoptent mais ne me stérilisent pas, parce qu’il faudrait payer... Les animaleries qui vendent des animaux à rabais, et qui proviennent pour la très grande majorité d’usines à chiots, chats, oiseaux, rongeurs et autres... Certains refuges qui ne se responsabilisent pas et euthanasient, c’est plus facile... Les ordres vétérinaires qui, malgré qu’ils connaissent bien le problème de l’itinérance chez les chats, ne se concertent pas pour offrir des cliniques de stérilisation à coût modique et pour sensibiliser la population, VOUS et moi, sur notre RESPONSABILITÉ face à la prolifération des chats errants... Certains médias qui, lorsque la nouvelle ne comporte pas d’images choquantes, parlent peu ou pas de l’abandon, de la négligence, de l’indifférence face aux chats errants... Ceux et celles qui ne lisent pas les communiqués des divers organismes et individus qui dénoncent la cruauté envers les animaux, sous toutes ses formes ; car ne vous y trompez pas, l’abandon EST CRUEL et fait tout aussi mal que les coups et blessures... Le gouvernement provincial qui refuse d’injecter des fonds pour aider à la stérilisation, à l’éducation de la population, à la fondation de refuges... La loi qui refuse souvent d'accomplir le code criminel afin que soient renforcées les mesures de protection et de condamnation de ceux qui abandonnent, maltraitent, abusent de nous les animaux domestiques... Mais je remercie... Ceux qui aujourd’hui entendent ce cri d’alarme... Ceux qui choisiront de se responsabiliser... Ceux qui s’impliqueront en favorisant l’ouverture d’autres refuges... Ceux qui se joindront à ma voix pour éduquer, informer, stériliser... Ceux qui mettront la clef dans leur usine lucrative de production de chats et les animaleries qui refuseront de les vendre... Ceux qui diffuseront cette alerte... Ceux qui ont compris qu’ils sont responsables de l’itinérance en recrudescence des chats et qui dorénavant choisiront de faire partie de la solution... Celles et ceux qui bénévolement nous rescapent, nous soignent, nous stérilisent, nous trouvent une nouvelle famille où finir nos jours paisiblement... Ceux qui ont compris que ce n’est pas un droit que d’être propriétaire d’un animal de compagnie, mais un PRIVILÈGE dont on doit se montrer digne... Moi, chat errant qui mourrai probablement de froid et de faim l’hiver prochain, si j’avais une voix, si j’avais le choix, j’aurais une famille
  11. http://www.chats-errants.com/ Ce site a pour vocation d'encourager le sauvetage, la protection et la réintégration des chats errants par la stérilisation, le tatouage, la vaccination et l'adoption. Il a été créé en hommage à l'association de l'École du Chat. C'est un espace amicalement offert aux associations ou aux particuliers qui ont un message à faire passer. Aujourd'hui, son activité principale est de participer à la recherche de chats perdus ou de propriétaires de chats trouvés, les annonces sont classées par régions et départements. Le chat est parmi les animaux de compagnie préférés des français, il est aussi le plus exposé aux abandons ou aux pertes, son existence peut être sacrifiée du jour au lendemain. De plus, ils subit aujourd'hui, les effets d'une crise qui pousse beaucoup de familles à l'abandonner. Bien qu'indépendant et débrouillard, le chat errant a du mal à survivre sans abri et sans nourriture. Craintif, il erre la nuit et se cache le jour, exposé aux dangers du trafic et aux maladies, son espérance de vie est réduite des deux tiers. Souvent chassé à coups de balai ou de pierres, parfois au jet d'eau glacée, empoisonné par des pesticides, cible de pseudos chasseurs, le parcours du survivant est tout tracé : Capture, Fourrière, Euthanasie. Contre cette barbarie, une seule solution : LA STÉRILISATION L'adoption est une décision responsable, qui vaut d'être réfléchie. Un animal n'est pas un objet, c'est un être sensible qui partagera votre vie pendant une vingtaine d'années, l'abandonner pourrait causer un traumatisme dramatique chez l'animal. N'achetez jamais de chats ou de chiens dans une animalerie. Pour les adoptions, adressez-vous aux associations. Pour les animaux de races, adressez-vous seulement à des éleveurs sérieux. N'adoptez pas plus de chats que vous ne le pouvez, votre bon coeur risque de vous mettre dans une situation que vous ne pourrez pas toujours assumer et condamner les animaux que vous aurez voulu sauver.
  12. CHATS ERRANTS 27 Novembre 2002 Animaux errants : le rôle et les responsabilités du maire précisées par décret Un décret publié au Journal officiel de ce mercredi organise la prise en charge des animaux errants et leur gestion par les maires. Ce décret pris en Conseil d’Etat porte application de l’ordonnance nº 2000-914 du 18 septembre 2000, codifiée aux articles L. 211-21 et L. 211-22 du Code rural. Le décret du 25 novembre 2000 indique que les maires doivent prendre toutes les dispositions « de nature à permettre une prise en charge rapide de tout animal errant ou en état de divagation qui serait trouvé accidenté ainsi que de tout animal qui serait trouvé errant ou en état de divagation en dehors des heures et des jours ouvrés de la fourrière ou de la structure qu'il a désignée comme lieu de dépôt. » Ils peuvent, le cas échéant, passer des conventions avec des cabinets vétérinaires pour assurer la prise en charge de ces animaux ainsi que rechercher et contacter leur propriétaire lorsque l'animal est identifié. L’ordonnance du 18 septembre 2000 avait, pour sa part, prévu que « les maires prescrivent que les animaux d'espèce sauvage apprivoisés ou tenus en captivité, trouvés errants et qui sont saisis sur le territoire de la commune, sont conduits à un lieu de dépôt désigné par eux. Ces animaux y sont maintenus aux frais du propriétaire ou du gardien. » Elle autorise aussi les propriétaires, locataires, fermiers ou métayers à « saisir ou faire saisir par un agent de la force publique, dans les propriétés dont ils ont l'usage, les animaux d'espèce sauvage apprivoisés ou tenus en captivité, échappés à leur gardien ou que celui-ci laisse divaguer. Les animaux saisis sont conduits à un lieu de dépôt désigné par le maire. Ils y sont maintenus, le cas échéant, aux frais du propriétaire ou du gardien ». De même, elle prévoit qu’à l'issue d'un « délai franc de garde de huit jours ouvrés au lieu de dépôt désigné, si l'animal n'a pas été réclamé par son propriétaire auprès du maire de la commune où l'animal a été saisi, il est alors considéré comme abandonné et le maire peut le céder ou, après avis d'un vétérinaire, le faire euthanasier. » Le décret du 25 novembre prévoit aussi que le maire doit informer la population, « par un affichage permanent en mairie, ainsi que par tous autres moyens utiles », des modalités selon lesquelles les animaux trouvés errants ou en état de divagation sur le territoire de la commune sont pris en charge. Doivent ainsi être notamment portés à la connaissance du public : a) les coordonnées des services compétents pour la capture et la prise en charge de ces animaux ainsi que les conditions dans lesquelles il peut être fait appel à ces services ; b) l'adresse, le numéro de téléphone, les jours et les heures d'ouverture de la fourrière et du lieu de dépôt mentionné à l'article L. 211-21 du Code rural ; c) les conditions dans lesquelles les animaux peuvent être remis à leur propriétaire, notamment le montant des frais de garde et d'identification susceptibles d'incomber à celui-ci ; d) les modalités de prise en charge des animaux trouvés errants ou en état de divagation en dehors des heures d'ouverture de la fourrière ou des lieux de dépôt, ou qui sont accidentés. De même, lorsque des campagnes de capture des chiens et des chats errants sont envisagées sur tout ou partie du territoire de la commune, le maire est tenu d'informer la population, par affichage et publication dans la presse locale, des lieux, jours et heures prévus, au moins une semaine avant la mise en oeuvre de ces campagnes. Le même décret précise ses conditions d’application dans les départements d'Outre-mer. Décret n° 2002-1381 du 25 novembre 2002 relatif à des mesures particulières à l'égard des animaux errants. JO du 27 novembre 2002.c=
  13. Panleucopénie (ou typhus du chat) La panleucopénie féline atteint surtout les chatons et les chats non vaccinés La panleucopénie, parfois appelé à tort « distemper félin », est une maladie très contagieuse chez les chats et elle s’attaque surtout au système digestif. Cette maladie a déjà été répandue mais, grâce à des vaccins très efficaces, elle est maintenant rare. Malheureusement, elle atteint encore les chats non vaccinés, surtout les chats errants ou ceux qui vivent dans les refuges et les granges. La panleucopénie féline est causée par un virus semblable à celui qui cause la parvovirose du chien. Le virus est répandu dans l’environnement par les excrétions corporelles (comme la salive et les excréments) pendant une période allant jusqu’à six semaines après l’infection, et il est très résistant à la plupart des désinfectants. En fait, il peut survivre pendant plus d’un an dans l’environnement. En plus de s’attaquer aux intestins, le virus de la panleucopénie atteint aussi les systèmes sanguin et lymphatique. Il peut aussi s’attaquer au fœtus et causer la mort fœtale ou des dommages cérébraux permanents chez les chatons. Les symptômes de la panleucopénie ressemblent à ceux que cause l’entérite à parvovirus chez le chien. Après avoir été infecté, le chat cesse de manger, devient abattu et une forte fièvre est observée. Des vomissements et une diarrhée graves surviennent, causant la déshydratation de l’animal et, souvent, la mort. Chez les adultes, la maladie peut être asymptomatique. Chez les chats non vaccinés, le diagnostic de la panleucopénie repose généralement sur les signes cliniques. Un faible nombre des globules blancs (d’où le terme « panleucopénie », qui signifie que le nombre de tous les globules blancs est inférieur à la normale) est aussi un élément du diagnostic et il est symptomatique de l’immunosuppression (dépression du système immunitaire). Comme dans le cas de l’entérite à parvovirus chez le chien, aucun traitement ne peut réussir à tuer le virus. Il faut plutôt offrir un traitement de support palliatif pour aider l’organisme du chat à produire des anticorps. Ce traitement consiste à hydrater l’animal, à lui administrer des antibiotiques, à lui donner des soins et à restreindre son apport alimentaire. Malheureusement, chez les chatons, le taux de mortalité se situe entre 50 et 90 p. 100, même si l’animal est traité. Il est fortement recommandé de faire vacciner tous les chats, non seulement contre la panleucopénie, mais aussi contre les virus qui s’attaquent aux voies respiratoires et contre la leucémie féline.
  14. Le typhus du chat est-il transmissible à l'homme ? Je vous confirme ce que vous a dit votre vétérinaire : le typhus du chat n'est pas transmissible à l'homme. En-dehors des chatons, si vous avez d'autres chats, les chatons malades ont-ils été en contact direct avec vos autres animaux ? Si oui, il y a un réel risque s'ils ne sont pas vaccinés. Il va vous falloir surveiller ça de près et au moindre soupçon : apathie, anorexie, diarrhée, vomissement, haleine fétide, fièvre ou au contraire hypothermie, filer DE SUITE chez le vétérinaire. Cela dit, s'ils sont adultes, ils sont plus résistants à cette maladie que les chatons. Si vos autres chats n'ont pas été en contact direct avec les petits malades, le risque est moins élevé mais il est là quand même, car il suffit d'une parcelle de salive sur vos mains ou vêtements pour que le virus se transmette. Je ne dis pas ça pour faire peur, mais dernièrement un refuge à proximité de chez moi a subi une importante hécatombe de chatons à cause de cette maladie et la plupart d'entre-eux étaient trop jeunes pour être vaccinés. A savoir : Le typhus du chat est une maladie virale contagieuse. Mode de transmission: par contact indirect (objets contaminés par un autre chat), par contact direct (sécrétion, urine, sang, déjections) et par les puces. Le typhus est un rétrovirus très résistant se multipliant dans les cellules. Il atteint le cervelet, le tube digestif et la moelle osseuse. La température du chat atteint peut atteindre 41°C. Il se déshydrate, expulse des matières liquides jaunâtres chargées d'écume. Il est rare qu'un chat guérisse du typhus. A méditer : MEME, GUERI, il reste une source d'infection pour ses congénères.... Malheureusement, chez les chatons, le taux de mortalité se situe entre 50 et 90%, même si l’animal est traité. Prévention: La vaccination contre le typhus peut être pratiquée dès l'âge de 9 semaines. Elle est efficace en 2 injections la première année, puis un rappel annuel suffit. Chose importante à savoir: le délai d'incubation de la maladie est de 2 à 4 jours normalement, donc si d'ici 4 jours vos autres chats (si vous en avez d'autres en-dehors des chatons dont il est question) ne présentent aucun symptôme, vous pourrez être rassurée. A savoir aussi, le virus étant répandu dans l’environnement par les excrétions corporelles (comme la salive et les excréments) pendant une période allant jusqu’à six semaines après l’infection, et il est TRES résistant à la plupart des désinfectants. En fait, il peut survivre pendant plus d’un an dans l’environnement. IL est donc prudent de renouveler fréquemment à des désinfections des locaux. Il est conseillé également de jeter, ou mieux, de brûler les objets qui ont été en contact avec les animaux malades. Ca je pense que votre vétérinaire a dû vous le dire.
  15. Le typhus du chat Le Typhus du Chat est aussi appelé la Panleucopénie féline. Elle est dûe à un virus de la famille des Parvovirus, dont l'équivalent chez les chiens provoque la Parvovirose canine. C'est une maladie assez rare aujourd'hui grâce à la vaccination. On peut toutefois la rencontrer chez des chats non vaccinés vivants en communauté (élevage, chatterie, animalerie, chats semi-sauvages). Quels sont les symptômes du Typhus du Chat ? La maladie touche généralement les chatons, ou les adultes provenant d'une chatterie. L'incubation est de 2 à 4 jours, puis on peut noter l'apparition de fièvre. Le chat est prostré et perd l'appétit. Des diarrhées et des vomissements déshydratent fortement l'animal. La maladie évolue vers la mort si un traitement n'est pas mis en place rapidement. Le diagnostic de certitude se fait par prise de sang (un des symptômes majeurs se traduit par une baisse importante des globules blancs dans le sang) puis recherche du virus dans les selles de l'animal. On observe parfois une forme particulière du Typhus, lorsque la chatte est infectée par le virus pendant la gestation: les chatons souffrent de lésions nerveuses invisibles à la naissance, mais qui apparaitront lorsqu'ils commencent à marcher. Les chatons n'ont alors aucun équilibre, et sont incapables de se déplacer. Il s'agit de l'ataxie cérébelleuse du chaton, maladie hélas incurable. Traitement et prévention Le traitement est malheureusement aléatoire et dépend fortement de l'état général de l'animal: il consiste en une réhydratation (perfusions), et à la prise de médicaments anti-vomitifs et anti-diarrhéiques et aussi d'antibiotiques. Une alimentation par sonde est souvent nécessaire, d'où hospitalisation fréquente des animaux atteints. Le meilleur moyen d'éviter la maladie est la vaccination. Elle se pratique en deux injections à deux puis à trois mois, avec rappel tous les un ou deux ans. Informations légales et réglementation Le Typhus est inscrit sur la liste des vices rédhibitoires pour le chat. Le délai de rédhibition est de 30 jours à condition que le vétérinaire ait rédigé un certificat de suspicion dans les 5 jours qui suivent l'achat. Cela signifie (dans le cas d'un chaton acheté en élevage ou en animalerie) que l'animal est censé être indemne de cette maladie, et que l'acheteur peut exiger un remboursement de l'animal si celui-ci déclare la maladie dans les 5 jours suivant l'achat. Comme il est impossible d'obtenir un diagnostic de certitude en 5 jours, il est nécessaire que le vétérinaire remplisse un certificat de suspicion (s'il pense que le chaton présente des symptômes du Typhus) dans ce délai. Le vétérinaire dispose ensuite de 30 jours pour confirmer (ou non) son diagnostic. En cas de réponse positive certifiée, l'acheteur est en droit d'exiger le remboursement de son animal. Source : http://www.wanimo.com/fr/chats/fiches-sante/maladies-du-chat-cc11/le-typhus-du-chat-cf17/
  16. L'Européen Il a longtemps été jugé trop commun pour être un bon chat de compagnie. Ses origines Le chat européen est le chat le plus courant dans notre pays. Son origine reste floue, et la race s’est développée d’elle-même sans sélection particulière des éleveurs. La race est ancienne, remontant à l’antiquité. Il a longtemps été jugé trop commun pour être un bon chat de compagnie. Tous les chats de gouttière ne sont pas Européen, et la race bénéficie de son club en France depuis 1988. Vivre avec un Européen Son caractère Le chat européen s’adapte à toutes les situations. Il aime la compagnie mais est indépendant, il joue beaucoup et apprécie les siestes. Il peut se familiariser aux enfants et aux autres animaux… Mal sociabilisé, il peut être très timide. Il appréciera toujours les jeux. Son entretien Un brossage hebdomadaire suffit à la fourrure de l’européen. Il consommera entre 75 et 125 g de croquettes par jour selon son poids, la richesse de l’aliment et sa quantité d’exercice quotidienne. Les standards de race du Livre Officiel des Origines Félines (Source et version complète : http://loof.asso.fr ) Couleurs reconnues Catégorie: traditionnelle Division: toutes Couleur : toutes sauf le chocolat, le lilas, le cinnamon et le fawn. Mariage autorisé X European Shorthair Tête : plus longue que large, la tête est assez ronde avec des joues bien développées. Le front et le crâne sont très légèrement arrondis. La base du nez est bien définie, sans stop mais avec un léger changement de direction. Le nez est droit, de longueur moyenne et d'égale largeur sur toute sa longueur. Museau : bien défini, le museau est fort mais sans pinch. Le menton est ferme. Yeux : de taille moyenne à grande, les yeux sont arrondis et placés légèrement de biais. La couleur, qui va de l’orange au jaune et au vert, doit être la plus brillante et lumineuse possible. Oreilles : de taille moyenne, les oreilles sont aussi hautes que larges à leur base. Elles sont placées assez espacées l’une de l’autre et ont une extrémité légèrement arrondie. Elles peuvent cependant porter des "lynx tips" (plumets). Encolure : musclée et souple, l’encolure est de taille moyenne. Corps : de type semi-foreign, le corps est de taille moyenne à grande et s’inscrit dans un rectangle. La poitrine est large et bien développée. L’ossature est forte et la musculature puissante. Le dimorphisme sexuel est prononcé. Pattes : fortes et solides, les pattes sont de longueur moyenne. Pieds : ronds et fermes. Queue : épaisse à la base, la queue est de longueur moyenne et va en s’effilant vers un bout arrondi. Robe et texture : courte, dense et lustrée, la fourrure est couchée sur le corps sans sous-poil excessif. Source : http://www.unamourdechat.com/fr-FR/public/fiches-conseils/fiches-races/fiches-races.aspx
  17. Langage corporel du chaton Vous avez probablement constaté que le vocabulaire de votre chaton s’étend bien au-delà du simple ronron de plaisir et du petit miaou d’amitié. Mais savez-vous qu’il communique également au travers de sa posture et de la position de ses oreilles, de sa gueule et de sa queue ? Des yeux mi-clos et une posture détendue sont des signes évidents de contentement du chaton. Avec un peu de bon sens, il est relativement simple de comprendre le langage corporel de votre chaton. Par exemple, des yeux mi-clos et une posture détendue sont des signes évidents de contentement d’un chaton, voire de bonheur absolu s’il ronronne et « bat la mesure » avec le bout de ses pattes (reproduisant ainsi son comportement de chaton, lorsqu’il stimulait la lactation de sa mère en appuyant sur ses tétines). Les oreilles du chat parlent et expriment l’humeur variable de votre chaton. Les oreilles du chaton parlent, elles aussi : orientées vers l’avant quand il est sur le qui-vive, penchées en arrière quand il est nerveux et complètement aplaties quand il a peur ou qu’il est en colère. La queue du chaton exprime également des sentiments variés, qu’elle soit bien droite en signe de bienvenue, qu’elle balance doucement de plaisir ou d’anticipation et qu’elle fouette l’air en signe d’irritation. Enfin, le spectacle impressionnant d’un chaton aux poils hérissés, feulant et crachant violemment, parle de lui-même. Lorsqu’il est dans cet état de rage, votre chaton se positionne de profil afin de paraître encore plus intimidant aux yeux des intrus ! Les conseils délivrés dans cette page ne sauraient se substituer à ceux d’un vétérinaire-consultez votre vétérinaire qui adaptera nos conseils à votre chaton. Source : http://www.unamourdechat.com/espace-chaton/alimentation-chaton/
  18. Le chaton a un instinct de chasseur Lorsque votre chaton se jette sur les mollets de vos invités, il agit exactement comme s’il chassait une proie. Tant qu’il est encore chaton, ce comportement n’est qu’un simple jeu mais avec l’âge, ce type d'attaque peut laisser un souvenir douloureux à sa victime, c’est pourquoi nous vous recommandons de l’interrompre et de l’ignorer pendant quelque temps. Si cela ne fonctionne pas, grondez-le d’une voix ferme (mais sans crier !). Le chaton comprendra très vite que ce comportement est interdit. Parfois, votre chaton peut également faire preuve d’agressivité envers un autre chat qu’il voit mais qu’il ne peut pas atteindre à cause d’une porte ou d’une vitre. Dans ce cas, le mieux à faire est de le laisser se calmer tout seul. Il trouvera rapidement une occupation plus intéressante. Lorsque votre chaton vous apporte une proie, il s’attend à être félicité. Instincts primaires du chaton Aussi adorable soit-il, un chaton reste un prédateur né dont l’instinct de chasseur peut surprendre, surtout lorsqu’il rapporte une proie morte à la maison. Il est évidemment inutile de le punir pour cela : il ne fait que suivre son instinct et mettre en application les compétences apprises dès son plus jeune âge. Par ailleurs, ce n’est pas la faim qui le pousse à chasser. Même si votre chaton est bien nourri, il continuera à vous apporter des proies fraîchement capturées… et s’attendra à être félicité. Il est malgré tout possible de décourager ce type de comportement chez votre chaton. Jouez avec votre chaton régulièrement pour le dissuader d'aller exercer ses talents de prédateur sur les oiseaux de votre jardin. Vous pouvez également accrocher une clochette à son collier afin que ses proies l’entendent arriver de loin. Accrochez une clochette au collier de votre chaton pour avertir les oiseaux de sa présence ! Les conseils délivrés dans cette page ne sauraient se substituer à ceux d’un vétérinaire-consultez votre vétérinaire qui adaptera nos conseils à votre chaton. Source : http://www.unamourdechat.com/espace-chaton/alimentation-chaton/
  19. Instinct territorial du chaton Le territoire d’un chat est son domaine privilégié, qu’il s’agisse d’une ferme ou d’un appartement. Tout comme ses ancêtres sauvages, votre chaton définit les limites de son territoire à l’aide de marques de griffes, d’odeurs et de sons. Si le chaton n’est pas stérilisé, il utilisera son urine pour déposer son odeur. Ce comportement du chaton est parfaitement naturel. Le territoire de votre chaton empiètera sans doute sur celui des autres chats du quartier. Là encore, il s’agit d’un processus normal : le territoire est une zone en perpétuelle évolution et l’arrivée d’un nouveau chat oblige tous ses congénères à définir de nouvelles limites. Le comportement territorial des chats est instinctif et remonte à une époque où ils étaient obligés de chasser pour survivre. Bon à savoir sur les chatons Si vous possédez déjà un chat, accordez un peu de temps à votre chaton pour le familiariser avec son environnement avant de rencontrer son nouvel ami. Une fois les présentations effectuées, une hiérarchie s’établira d’elle-même. C’est un processus normal au cours duquel le chat dominant affirme sa position en se montrant agressif ou en nettoyant l’autre chat. Une fois votre chaton plus grand et plus fort, la hiérarchie s’inversera peut-être. Même si votre chaton est seul dans la maison, il voudra poser sa griffe sur son territoire : préparez-vous donc à lutter pour votre place favorite, surtout s’il s’agit d’un endroit chaud et confortable ! Lorsque plusieurs chats vivent sous un même toit, une hiérarchie s’établit d’elle-même. Les conseils délivrés dans cette page ne sauraient se substituer à ceux d’un vétérinaire-consultez votre vétérinaire qui adaptera nos conseils à votre chaton. Source : http://www.unamourdechat.com/espace-chaton/alimentation-chaton/
  20. Petit chaton deviendra grand Votre chaton sera bientôt adulte, voici donc quelques conseils pour vous préparer à sa maturité. Les chattes peuvent mettre bas toute l’année, mais la plupart des naissances ont lieu au printemps et en été. Lorsque la mère sent venir la fin de sa grossesse (au bout de 65 jours environ), elle part à la recherche d’un endroit calme et isolé pour donner vie à une portée de quatre chatons en moyenne, bien que ce nombre puisse varier. La plupart des naissances des chatons ont lieu au printemps et en été. Au cours des premières semaines de sa vie, le chaton va apprendre à jouer avec ses frères et sœurs, à se battre et à se défendre, à chasser et à fuir, à reconnaître les signes de danger et à influencer subtilement les autres pour obtenir ce qu’il veut. Au bout de cinq semaines, ses sens seront pleinement développés et au bout de six, le chaton sera capable de se laver seul. Par ailleurs, ses besoins énergétiques seront devenus tels que le lait de sa mère ne suffira plus. C’est la période du sevrage du chaton et du passage progressif à la nourriture pour chaton solide. Votre chaton sera ravi de découvrir de nouveaux goûts mais aura besoin d’un régime équilibré pour assurer sa croissance. Aveugle, sourd et pesant moins de 100g, un chaton nouveau-né est véritablement sans défense. La mère est même obligée de le lécher vigoureusement pour qu’il commence à respirer. Son odorat et son toucher très développés lui permettent cependant de trouver les tétines de sa mère. Dès qu’il commence à téter, il appuie en rythme sur les tétines pour stimuler la lactation. On retrouve parfois ce geste chez les chats adultes, signe d’une affection profonde. La mère d’un chaton lui apporte non seulement son lait, mais aussi une chaleur indispensable à sa survie. Un chaton est en effet incapable de réguler sa température corporelle et, si sa mère s'éloigne temporairement, il se blottit contre ses frères et sœurs. Un chaton venant de naître ne peut que manger et dormir, mais il progresse rapidement et gagne jusqu’à 15g par jour. Les petits yeux bleus du chaton s’ouvrent entre le huitième et le dixième jour, mais il restera aveugle pendant encore une dizaine de jours. Son ouïe se développe parallèlement et ses dents commencent à pousser dès la deuxième semaine. Au bout de deux mois, les 26 dents de lait du chaton sont entièrement sorties. Elles seront remplacées par 30 dents adultes vers le sixième mois. Le chaton se tient debout sur ses quatre pattes Vers le milieu de la troisième semaine, un chaton est capable d'explorer son environnement immédiat et apprend en imitant sa mère quelle que soit la situation. Dès la quatrième semaine, la mère commence à laisser ses chatons se débrouiller seuls. Un bon chaton Les chatons sont de véritables petits diables, mais ne croyez pas pour autant qu’ils soient impossibles de dresser un chaton : le secret est de commencer dès le plus jeune âge ! Comme pour tout dressage, il est cependant essentiel de faire preuve de douceur et d’appliquer les préceptes du renforcement positif (récompenser les bons comportements et ignorer les mauvais). Les conseils délivrés dans cette page ne sauraient se substituer à ceux d’un vétérinaire-consultez votre vétérinaire qui adaptera nos conseils à votre chaton. Source : http://www.unamourdechat.com/espace-chaton/alimentation-chaton/
  21. Enrichir la vie du chaton Pour votre tranquillité et la durée de vie de vos meubles, vous devez vous assurer que votre chaton joue pour qu’il ne s’ennuie jamais. Par ailleurs, vous avez là une excellente opportunité de renforcer le lien qui vous unit en faisant jouer votre chaton. Les moyens ne manquent pas pour stimuler à la fois le corps et l’esprit de votre chaton : jouets (en particulier les jouets suspendus ou mobiles), puzzles alimentaires, zones de repos situées à différentes hauteurs avec une belle vue sur le monde extérieur, etc. L’idéal reste évidemment de passer un maximum de temps avec lui. Stimulation alimentaire du chaton Voici quelques idées simples pour diversifier les repas de votre chaton : 1. Remplissez une bouteille en plastique (petite ou grande) d'une portion de croquettes pour chaton Whiskas Junior, en enlevant le bouchon ou en découpant un trou suffisamment large pour que les croquettes du chaton Whiskas Junior puissent tomber lorsqu’il joue avec la bouteille 2. Placez les croquettes du chaton dans un sac en papier et fermez-le légèrement. 3. Placez ces croquettes dans une balle à friandises. 4. Placez une portion de croquettes pour chaton Junior dans une casserole ou dans une boîte et recouvrez-la d’une feuille de papier déchirée. 5. Placez ces croquettes dans deux gobelets attachés l’un à l’autre et percés de trous. 6. Dissimulez des croquettes pour chaton Junior dans des feuilles de papier chiffonnées. 7. Répartissez le repas du chaton dans plusieurs bols et disposez-les un peu partout dans la pièce. 8. Placez les croquettes du chaton dans une brique en carton percée de trous. Jouer avec la nourriture du chaton Si ces idées ne vous semblent pas assez toniques pour votre chaton, en voici d’autres qui lui permettront de dépenser son trop-plein d’énergie : 1. Lancez des croquettes chaton Junior, par exemple, à votre chat pour réveiller son instinct de chasseur. 2. Placez votre balle à friandises (achetée dans le commerce ou fabriquée par vos soins) au-dessus de sa tête ou dans un endroit élevé afin de l’encourager à sauter ou grimper pour obtenir sa nourriture. 3. Encouragez-le à se tenir sur ses pattes arrière et à attraper lui-même sa nourriture. 4. Cachez la nourriture de votre chaton dans le jardin ou dans une boîte et encouragez-le à la retrouver. Certains chatons jouent d’eux-mêmes avec leur nourriture, mais si vous pensez que votre petit animal a besoin de faire un peu d’exercice, ces quelques idées vous permettront de combiner : jeux pour chaton, activité physique et alimentation du chaton. Des heures et des heures de jeu pour les chatons Comme tous les jeunes animaux, les chatons adorent jouer. Ils peuvent passer des heures à s’inventer des ennemis imaginaires, mais c’est quand vous jouez avec eux qu’ils sont le plus heureux. Les jouets pour chaton disponibles dans le commerce sont cependant si nombreux qu'il est parfois difficile de choisir, mais vous pouvez également en fabriquer vous-même. Votre chaton s’amusera tout autant avec un jouet fait main qu'avec le dernier jouet à la mode. Voici quelques grands classiques: 1. Une boîte en carton (pensez à lui ménager une sortie !) 2. Un grand sac en papier 3. Un griffoir (vos meubles vous diront merci !) 4. Un tube en carton ou une pelote de laine Varier les plaisirs du chaton Si les chats aiment par-dessus tous les nouveaux jouets, ils se lassent également très vite et finissent toujours par s’en désintéresser. Choisissez de préférence des jouets pelucheux de petite taille. Les chatons apprécient également les jouets qui bougent, qui brillent ou qui font du bruit. Certains jouets sont conçus pour encourager l’interactivité (une mini-canne à pêche, par exemple), tandis que d’autres sont parfaitement adaptés pour affûter les talents de chasseur. Essayez de choisir en fonction de la personnalité de votre chaton et de votre envie de jouer avec lui ou pas. Les conseils délivrés dans cette page ne sauraient se substituer à ceux d’un vétérinaire-consultez votre vétérinaire qui adaptera nos conseils à votre chaton. Source : http://www.unamourdechat.com/espace-chaton/alimentation-chaton/
  22. C’est l’heure du jeu pour votre chaton Le jeu est un élément essentiel de la vie du chaton car il lui permet de développer ses instincts naturels. Profitez du jeu pour créer un lien inaltérable avec votre chat. En tant que mère de substitution, il vous incombe de prendre le temps de jouer avec votre chaton pour stimuler son développement comportemental. Pour commencer, achetez-lui des jouets avec lesquels il ne risque pas de s’étouffer ou de se blesser (souris en peluche, balle, etc.) Vous pouvez également faire preuve de créativité : une simple boule de papier ou un fil de laine peuvent procurer des heures de jeu endiablé à votre chaton (pensez tout de même à ramasser la laine après le jeu afin qu’il ne s’étouffe pas avec). Certains chatons adorent se cacher et bondir sur vous au moment où vous vous y attendez le moins. C’est parfaitement naturel, mais ne l’encouragez pas trop si vous ne voulez pas sursauter en permanence pendant les années à venir. Ignorez-le et votre chaton trouvera rapidement un jeu plus amusant. Un peu de stimulation pour votre chaton Lorsque votre chaton joue avec vous, il fait appel à des instincts naturels ancestraux. Le jeu affermit ses muscles et améliore sa circulation sanguine. En un mot, le jeu, pour un chaton, est essentiel. L’instinct de chasseur d’un chaton le pousse à rôder sur son territoire. Même s’il apprécie la routine et la sécurité de son foyer, ses sens ont besoin d’être stimulés pour libérer son énergie et son agressivité. Si votre chaton se montre trop agressif ou trop turbulent, essayez de rediriger son agressivité vers un jouet (et pas votre main !). Réveillez le chasseur qui sommeille en lui, pas le guerrier Jouer avec votre chaton est un excellent moyen de le calmer. Tout ce qui peut lui rappeler la chasse est excellent : attachez une boule de papier à un fil et proposez à votre chat de la chasser dans toute la pièce ; Vous pouvez aussi placer un peu d’herbe à chats dans son jouet favori et le regarder s’acharner sur cette proie si tentante ! Le jeu, pour le chaton, est également une véritable école de l’apprentissage. En le plaçant dans différentes situations, vous pouvez faire comprendre à votre chaton que tel ou tel comportement est inacceptable ou, s’il vient juste d’arriver chez vous et qu’il se montre un peu timide, lui donner confiance en son nouvel environnement. Le jeu interactif est le meilleur moyen de réduire l’agressivité de votre chaton. Les conseils délivrés dans cette page ne sauraient se substituer à ceux d’un vétérinaire-consultez votre vétérinaire qui adaptera nos conseils à votre chaton. Source : http://www.unamourdechat.com/espace-chaton/alimentation-chaton/
  23. Du réconfort pour votre chaton Pour bien débuter dans la vie, votre chaton demande seulement un peu d’amour et une alimentation équilibrée. Une fois le sevrage du chaton terminé, c’est de vous qu’il dépendra pour tous ses besoins, nutritionnels notamment. Régime spécial pour le jeune chat au sein de sa nouvelle famille Pendant les 4 à 5 premières semaines de sa vie, la mère de votre chaton assurera tous ses besoins. S’il pleure ou s’il semble agité après la tétée, c’est peut-être qu’il n’a pas eu assez de lait. Dans ce cas, nous vous recommandons de consulter votre vétérinaire. Si tout se déroule normalement, votre chaton devrait être sevré vers la septième semaine. Cependant, vous pouvez l’habituer à la nourriture solide dès la quatrième semaine. Pour commencer, déposez un peu de nourriture pour chaton sur une assiette afin qu’il puisse la lécher et la goûter. Augmentez progressivement la taille des portions et laissez toujours un bol d’eau fraîche à la disposition de votre chaton. Le chaton se caractérise par un petit estomac mais gros appétit ! Votre chaton déborde d’énergie : il est bien plus actif qu’un chat adulte et grandit 15 fois plus vite qu’un bébé ! Pourtant l’estomac d’un chaton est de la taille d’un ongle soit trop petit pour digérer de grandes quantités de nourriture, c’est pourquoi vous devez dans un premier temps multiplier les petits repas de votre chaton (jusqu’à six fois par jour au début). Les aliments Junior ont été spécifiquement conçus pour contribuer à satisfaire tous les besoins nutritionnels du chaton. Petit chaton deviendra grand A partir du quatrième mois, un sachet entier de Junior constitue un repas idéal. Grâce à ses petits morceaux, un sachet Junior est adapté à la taille de votre petit compagnon (petite bouche, petites dents, petit estomac) et apporte exactement la quantité nécessaire de calories, de vitamines et de calcium à votre chaton. Entre quatre et six mois, votre chaton pourra faire jusqu’à 3 à 4 repas par jour, après quoi 2 à 4 repas devraient être suffisants. Entre dix et douze mois, votre chaton sera prêt pour un régime adulte. Votre chaton grandit 15 fois plus vite qu’un bébé. Conseils pratiques pour bien nourrir son chaton : 1. Servez-lui sa nourriture à température ambiante. 2. Assurez-vous que le chaton dispose de bols d'eau et de nourriture et nettoyez-les après chaque repas (les chats n’aiment manger dans des plats sales). 3. Laissez toujours un bol d’eau fraîche à sa disposition. 4. Ne changez pas brusquement la nourriture de votre chat, vous risqueriez de perturber son petit estomac. Si vous souhaitez changer d’aliment, faites-le progressivement. 5. Ne lui donnez pas de viande crue ou de restes de votre table (qui sont probablement trop riches, voire toxiques pour l’estomac fragile du chaton). Ne placez pas son bol près de son bac à litière. Tout comme vous, les chats n’aiment pas manger dans les toilettes ! Un régime alimentaire constant pour votre chaton Le meilleur régime pour votre chaton est un mélange d’aliments secs et d’aliments humides. Les sachets Fraicheur Junior, par exemple, contribueront à lui apporter tous les nutriments, sels minéraux et vitamines nécessaires à son équilibre. Par ailleurs, il est particulièrement important de faire preuve de constance pour les horaires des repas, même lorsque vous n’êtes pas là. Lorsque vous partez en vacances, par exemple, indiquez bien à la famille d’accueil de votre chaton l’heure de ses repas et la quantité de nourriture nécessaire. Pensez également à faire une liste regroupant toutes les informations utiles : conseils, habitudes du chaton, ce qu’il aime, ce qu’il n’aime pas, etc. Les conseils délivrés dans cette page ne sauraient se substituer à ceux d’un vétérinaire-consultez votre vétérinaire qui adaptera nos conseils à votre chaton. Source : http://www.unamourdechat.com/espace-chaton/alimentation-chaton/
  24. Les chatons et l’eau Dans la nature, les chats sont rarement en contact avec l’eau, leur environnement naturel étant composé de forêts, de savanes et de prairies éloignées de la mer. Ils n’ont donc aucune affinité avec cet élément. Un chaton se nettoie avec sa langue et préfère la nourriture à un bol d’eau. Un chaton mouillé après une averse passera des heures à se nettoyer et se sécher afin de retrouver un pelage sec et soyeux. Cela étant, les chatons peuvent apprécier l’eau lorsqu’elle fait partie d’un jeu. Ainsi, il n’est pas rare de voir un jeune chat jouer avec les gouttes d’eau d’un robinet qui fuit. D’autres peuvent révéler leurs talents de nageur pour attraper un poisson rouge dans une mare et certaines races de chats vont même jusqu’à sauter dans le bain ! Le Turc Van adore nager et le chat bengali partage un amour de l'eau avec son grand cousin, le tigre. Quel que soit le rapport de votre chaton avec l’eau, laissez toujours un bol d’eau fraîche à sa disposition. L’eau est sans doute le nutriment le plus important pour un chaton car elle participe à la majorité des processus vitaux de son organisme et permet notamment d’éviter les problèmes rénaux. Encore une fois, même si les aliments humides contiennent une part d’eau, il est essentiel de mettre à disposition de votre chaton une source d’eau fraîche en permanence. Les conseils délivrés dans cette page ne sauraient se substituer à ceux d’un vétérinaire-consultez votre vétérinaire qui adaptera nos conseils à votre chaton. Source : http://www.unamourdechat.com/espace-chaton/alimentation-chaton/
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