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animo-aequoanimo

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Tout ce qui a été posté par animo-aequoanimo

  1. Les populations de phoques du Groënland avaient été sous-évaluées en 2008, lors du dernier recensement de Pêches et Océans Canada. Le chercheur scientifique Mike Hammill, de l'Institut Maurice- Lamontagne, estime que le troupeau compte à tout le moins 10 millions de ces mammifères marins. Cela représente trois millions de bêtes de plus que l'évaluation précédente. Cet écart considérable s'explique par des conditions météorologiques qui ont été favorables à la reproduction. Le nombre de femelles enceintes a été plus grand et la nourriture abondante, ce qui a permis un plus fort taux de survie des nouveaux-nés. Environ 70 pour cent des femelles ont pu mettre bas, alors que le taux moyen est de 60 pour cent. Selon M. Hammil, la stabilité du troupeau pour les 20 prochaines années est assurée, et ce, en tenant compte du quota actuel de chasse qui est de 320 000 têtes. Il a même laissé entendre qu'une hausse à 400 000 bêtes par année était parfaitement envisageable, sans nuire à l'espèce. Le comité consultatif local sur le phoque, se réunira vendredi à Cap-aux-Meules, pour sa rencontre annuelle. Un autre rendez-vous est prévu à Saint-John, Terre-Neuve, les 18 et 19 janvier, pour toute la région de l'Atlantique. _________________________________________________________________________________________________ Ils se cherchent des excuses pour la prochaine chasse ou quoi ?!
  2. Vidéo dans laquelle Bob Barker explique ce qui se passe dans l'industrie de l'élevage à travers une enquête de "Mercy for Animals" http://www.mercyforanimals.org/veal/
  3. Vraiment barbare. La population a besoin d'être informée. Beaucoup de gens ne savent peut-être pas que ça se passe ainsi. On constate beaucoup d'ignorance quand on fait nos distributions de tracs. Il y a des gens qui pensent que l'expérimentation sur les animaux ne se fait plus depuis longtemps et, avant qu'il y ait tout ce battage autour de la question de la chasse au phoque, qui faisait l'objet d'un assez grand silence médiatique, il y a de cela 4 ou 5 ans, plusieurs s'imaginaient qu'on ne tuait plus les phoques depuis les années 83.
  4. Des spécistes qui mangent de la viande.
  5. La Ville de Longueuil ne renouvellera pas son contrat avec la SCDD qui euthanasiait en chambres à gaz. Et c'est en raison de la méthode d'euthanasie utilisée que la Ville mettra fin au contrat. Ceci sera exécutoire à partir de juin 2011. http://virtuel.lejournaldesainthubert.canoe.ca/doc/hebdo_le-journal-de-st-hubert/16-hub2010-05_dec-opt/2010120101 Cliquez sur le lien puis sur "Actualités"
  6. Grande Rencontre Végé à Montréal Samedi 4 décembre à 12h Le 4 décembre prochain de 12h à 17h se tiendra à Montréal (aux HEC) la quatrième édition de la Grande Rencontre Végé. Diverses organisations végés du Québec seront présentes. Une belle opportunité de se réseauter. La population est invitée à prendre part à ce grand potluck. Chaque année, nous avons droit à un fantastique buffet à base de végétaux. En après-midi, nous prévoyons discuter de sujets plus concrets: bilan de la campagne Lundi sans viande, enjeux du Rapport Campbell, nouveaux médias, démo culinaire, vidéo, accordéon végétalien, etc. Des tables d'information avec diverses organisations seront aussi présentes tout au long de la Grande Rencontre. Pour participer au potluck, on apporte un plat végétalien, avec la liste des ingrédients, pour 3 à 4personnes. Chacun doit apporter son assiette et ses ustensiles. Pensez aussi à apporter un ustensile de service pour votre plat (louche, spatule). http://www.bigvg.veganquebec.net/2010/potluck/ HEC de Montréal (Amphithéâtre IBM) 3000 Chemin De la Côte-Sainte-Catherine
  7. Je viens de voir que les demi-finalistes sont déjà affichés. Malheureusement, très peu dédiés aux animaux sauf celui-ci : http://www.fondscommunautaireaviva.org/ideas/acf6331
  8. Il y a tellement de chats errants. Mais heureusement, il y a aussi beaucoup de personnes qui essaient de les aider. En attendant la réalisation de ce beau projet de sanctuaire, il faut continuer la sensibilisation, l'éducation, distribuer des feuillets sur la stérilisation etc.
  9. La ferme des vaches qui rient, dans la banlieue de Londres Un veau de six mois qui tète encore sa mère: le spectacle rarissime dans une ferme anglaise est courant à celle de Gokul en banlieue de Londres, léguée par un Beatle aux Hare Krishna, où les veaux ne sont pas sevrés dès la naissance et où les vaches ne finissent pas à l'abattoir. Les 44 ruminants chanceux appartiennent à une communauté du groupe religieux hindou. Pour ces croyants végétariens, les vaches sont un don de Dieu. La traite a lieu deux fois par jour, à la main, afin de ne pas irriter les pis. Les vaches ne sont pas soumises au vêlage annuel, mais elles continuent de produire du lait pendant trois à dix ans après la naissance de leur petit. "Nous montrons qu'il est possible de faire fonctionner une ferme sans tuer les animaux, (...) les vaches sont des animaux très sensibles, elles sentent que nous n'allons pas les tuer et sont plus paisibles", assure à l'AFP Shyamasundara Das, le directeur de la laiterie installée à Aldenham. Les vaches ne sont pas pour autant cantonnées à produire du lait. Les boeufs sont dressés pour promener des visiteurs, groupes scolaires ou familles dans une carriole. Et ils broient eux-mêmes leurs céréales, attelés à un moulin. La ferme existe depuis les années 1970, elle a été créée quand le manoir de Bhaktivedanta, juste à côté, a été donné aux Hare Krishna par George Harrison, le guitariste des Beatles. Les étables viennent d'être entièrement reconstruites en chêne français, un bois censé durer 200 ans, et le directeur voudrait maintenant commercialiser le lait, qui est pour l'instant consommé par la seule communauté, au temple. Les vaches produisent ici 10.000 litres de lait entre deux naissances, qui peuvent être espacées de trois ans et demi selon Shyamasundara Das. Le litre revient à 3 livres (3,5 euros), et si la ferme obtient les autorisations requises par la législation européenne, elle le vendra 3,5 livres (4 euros) le litre. Ce serait alors le lait de vache le plus cher d'Europe.
  10. A LA MÉMOIRE DE NOTRE AMI JEAN-CLAUDE HUBERT, décédé mercredi à 11 hres Nous n’avons pas d’églises, pas de synagogues, pas de mosquées, pas de temples…mais nous avons la nature ! Nous n’avons pas de murs d’enceinte, pas de remparts, pas de toits, de coupoles, de clochers, de minarets mais nous avons des forêts, des prairies, des collines, des lacs et des rivières. Nous n’avons pas de statues, pas de vitraux, pas de tableaux mais nous avons des renards, des chevreuils, des merles, des mésanges et des pies…des hêtres, des chênes, des bouleaux… Nous n’avons pas de chorales, pas de chœurs, pas d’orgues mais nous avons le bruissement des feuillages et le chant des oiseaux… Nous n’avons pas d’encens mais nous avons les parfums de fleurs… Nous n’avons pas de vestiges à préserver, pas de ruines à restaurer car la nature se renouvelle dans l’espace et le temps. Nous n’avons pas de syndicats d’initiatives car c’est en chacune et en chacun de nous que se découvrent et s’appréhendent la richesse et la diversité du vivant Nous n’avons pas « d’Histoire » parce que le vivant ne s’écrit pas. Le vivant palpite, souffre, se réjouit Nous n’avons pas de circuits touristiques car la fleur la plus humble, le sentier le plus modeste, le moindre bosquet sont des sources inépuisables d’imprévus et de beauté. Nous l’avions quelque peu ou beaucoup oublié. Jean-Claude Hubert
  11. Obama gracie deux dindes pour éviter un nouveau "massacre" après les élections Le président des Etats-Unis Barack Obama a symboliquement gracié deux dindes mercredi à la veille de Thanksgiving, se déclarant heureux d'éviter "au moins un massacre" ce mois-ci, allusion à la déroute de son camp aux récentes législatives. C'est effectivement tout symbolique car je suppose que ça n'empêchera pas, lui et sa famille, de servir de la dinde à leur table lors de la Thanksgiving.
  12. Dans ce cas, la photo d'un gâteau aurait peut-être eu le même effet... J'en suis bien certaine. Et à part ça, ce n'est pas pour un plat de viande que l'autre (comment s'appelait-il déjà, Isaac, Isaïe ou jacob ?) a vendu son droit d'aînesse avec tous les privilèges assortis mais bien pour un plat de lentilles. Et c'est tellement bon d'ailleurs !
  13. Parmi ces 5 industries, on retouve l'élevage industriel As Sir Isaac Newton once famously stated, "What goes up must come down." The brain-trust at themarknews.com has compiled a list of five things that are not only on their way down, but that were destined to fail from the start. 5) The Record Store Remember spending lazy Saturday afternoons at your local record shop leafing through the latest releases from your favourite bands? Well, those days are done. The advent of digital music sales, as well as digital music piracy, has made high-cost physical music stores economically unviable and, perhaps more tragically, has rendered obsolete millions of snobbish record store clerks. 4) Factory Farming The meat industry doesn't just kill the animals we eat, it's also killing us. Our commitment to including dead beasts in every meal is clogging our arteries while justifying the often inhumane conditions in which meat is mass produced. For the sake of animal welfare and the health of our species, the future of factory farming looks bleak. Celebrity chef Laura Calder explains why factory farming has no future. http://www.themarknews.com/articles/3143-factory-farming-is-destined-to-fail 3) The Tobacco Industry The practice of selling a product that isn't allowed to be advertised and that almost certainly kills its consumers is destined to go up in smoke. The World Health Organization estimates that tobacco caused 100 million deaths over the course of the 20th century. Addiction and Don Draper might be the only two things keeping the industry afloat. 2) Celebrities From reality TV stars to unstable scions and heiresses, it's impossible to keep track of the millions of people now contributing to our cultural wasteland. And with sites like Facebook and Twitter turning us all into public figures, we now live in a world where everyone is a celebrity and thus no one is one. 1) Print Media It's unwieldy, expensive, and it leaves ink on your hands, not to mention the fact that it's contributing to the destruction of our planet - so why, in the ditigal age, do we continue to print on paper? If another argument is needed, take that guy on the subway whose newspaper is always strewn across three seats. Get an iPad, buddy!
  14. Un chasseur de 59 ans du comté de Allegan au Michigan s'est accidentellement tiré une balle dans la tête, ce matin, en grimpant dans un arbre. Le lt. Mattice, shérif du comté, dit que l'homme est mort d'une blessure par balle à la tête. L'accident s'est produit vers 9h00 dans le bloc 100 de la 44e rue, dans le Cheshire canton. Le nom de la victime n'est pas dévoilé à ce moment-ci. Le fils de l'homme était à proximité, mais n'a pas été témoin de la fusillade. Le lt. conseille aux chasseurs d'attendre d'être en haut de l'arbre avant de charger leur arme...
  15. Je lisais cette semaine dans les journaux qu'elle a obtenu des records d'assistance à sa première émission "Alaska .... je ne sais quoi" sur TNM. Je ne sais pas si les records d'assistance vont se poursuivre mais pour le moment ça doit lui enfler la tête encore davantage.
  16. Bravo à ces jeunes pour leur initiative !
  17. Le festin de Babette: bananes, cacahuètes et mines anti-personnel La truffe en avant, les moustaches frétillantes, Babette slalome entre les mauvaises herbes, à la recherche de mines anti-personnel enfouies à quelques centimètres sous terre. Pas de détecteurs de métaux ou d'encombrant gilet pare-éclats pour Babette, un sympathique rongeur au pelage beige clair, âgée d'à peine deux mois et déjà en formation pour devenir "rat démineur". Tenue en laisse par ses deux professeurs, ce rat des champs, une espèce endémique en Afrique, est à l'entraînement à Morogoro (sud de la Tanzanie), en attendant un prochain déploiement dans les champs de mines du Mozambique voisin, ravagé par une guerre civile de 1977 à 1992. Ce projet de "rats héros" est géré par Apopo, une ONG belge. Une trentaine de ces rongeurs-démineurs sont actuellement à la tâche dans la province mozambicaine de Gaza, où ils ont contribué au nettoyage de plus de 1,3 million de mètres carrés. L'objectif affiché est de dépolluer la totalité de la province d'ici 2014, soit 3,8 millions de mètres carrés, selon Apopo. Les rats présentent de nombreux avantages par rapport aux chiens renifleurs: avec la même puissance d'odorat, ils sont accoutumés au climat local, faciles à apprivoiser et sans lien affectif avec leur "professeur". Peu coûteux à entretenir ou transporter, ils sont capables de supporter une cadence de travail élevée car littéralement obsédés par leur pitance, et leur poids plume (à peine plus d'un kilo pour environ 50 cm de long) leur évite de déclencher les mines. La formation commence dés l'âge de 4 semaines, par une mise en contact avec les humains, leur nouvel environnement et surtout l'apprentissage d'un petit "clic" sonore, que les bébés-rats associeront très vite à une récompense en nourriture. Une fois apprivoisés, les apprentis démineurs apprennent à distinguer l'odeur caractéristique des explosifs, sur le principe du conditionnement: à chaque fois qu'ils repèrent cette odeur, un "clic" retentit, avec cacahuètes et morceaux de banane à la clé. L'apprentissage dure près de neuf mois, et "ce n'est pas facile", souligne Abdullah Mchomvu, avec sous le bras un rat enfermé dans une cage grillagée. "Vous devez être patient. Pour calmer parfois ma frustration, je me dis que ce sont des animaux", explique l'instructeur, pour qui "ce travail sauve des vies". Deux rats peuvent nettoyer en deux heures une parcelle de 200 mètres carrés, ce qui prendrait deux jours à deux démineurs classiques. "La détection est la partie la plus difficile, dangereuse et coûteuse de la lutte contre les mines. Plus faciles à entraîner que les chiens renifleurs, les rats sont plus appropriés à cet environnement", résume Bart Weetjens, le fondateur d'Apopo. Les rongeurs rats pâtissent pourtant de leur mauvaise image de vecteurs de maladies contagieuses et de destructeurs de récoltes. "Les rats ont un problème d'image. Les gens ne les aiment pas, et c'est en fait l'un de nos plus grands défis", reconnaît M. Weetjens, qui voudrait "changer cette perception". "Les rats sont sociables, très intelligents, et d'attachantes petites créatures", selon Apopo , qui propose d'adopter l'un de ces démineurs et de financer son entretien, avec "certificat d'adoption" et suivi de carrière (http://www.herorat.org/) L'ONG travaille aujourd'hui sur un autre projet, déjà mis en oeuvre dans cinq hôpitaux de Dar es-Salaam: recourir aux rats (et à leur odorat) pour le dépistage de la tuberculose dans les échantillons de salive. L'opération permet de confirmer un premier diagnostic en laboratoire, classique celui-là, mais fiable à seulement 60%. Et pour M. Weetjens, la prochaine étape sera l'utilisation des "rats héros" pour détecter de la drogue ou retrouver les victimes de tremblement de terre enfouies sous les décombres.
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