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Du boeuf musqué pour souper? Dany Doucet Le Journal de Montréal 13/04/2009 08h12 Charles Verdo et son guide inuit Isaac Agnatuk posent devant leur prise historique. Robert Roy Deux têtes de boeufs musqués seront bientôt accrochées à un mur quelque part à Sherbrooke. Charles Verdo et Robert Roy sont en effet devenus les premiers chasseurs sportifs du Québec à participer avec succès à la chasse au boeuf musqué dans leur propre province. Ce n'est pas banal quand on pense que plusieurs ne savent même pas encore qu'il existe maintenant une population de boeufs musqués au Québec, ce gros animal qui ressemble à un bison du Grand Nord avec ses longs poils et ses quelque 500 kilos. En fait, il n'y avait aucun boeuf musqué au Québec avant 1968, année durant laquelle on en a importé d'une île de l'Arctique pour tenter d'en faire l'élevage pour leur laine, près de Kuujjuaq, village inuit qui s'appelait alors Fort Chimo. L'élevage ne s'est pas avéré viable sur le plan économique, de sorte que, quinze ans plus tard, on a relâché les 55 bêtes dans la nature. Celles-ci se sont tellement bien acclimatées au Nord du Québec que le cheptel atteindrait maintenant 1400 têtes, principalement entre Kuujjuaq et Tasiujaq, le prochain village inuit au Nord-Ouest, sur la péninsule de l'Ungava, à l'embouchure de la rivière aux Feuilles. Une chasse à 20 000 $ La chasse au boeuf musqué existe depuis longtemps dans les Territoires du Nord-Ouest et au Nunavut. ... http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2009/04/20090413-081201.html --------------------------- Boeuf musqué Une chasse dans un climat extrême Dany Doucet Le Journal de Montréal 13/04/2009 08h12 Le boeuf musqué s’est bien reproduit au Québec, de sorte qu’on pratique maintenant une chasse dite expérimentale. Le plus difficile lorsqu'on chasse le boeuf musqué, c'est de le trouver et de se rendre sur place. En effet, le climat particulièrement rigoureux durant cette saison, en février et mars, sur la péninsule de l'Ungava, rend ce sport assez extrême. Il faut parfois rouler longtemps en motoneige avant de repérer un troupeau dans cette vaste étendue blanche parsemée de grosses roches, qui ressemblent justement à ces animaux peu mobiles. Le duo Verdo-Roy a fait 140 km de motoneige avec le guide avant de trouver l'objet de leurs recherches. On peut s'approcher des troupeaux en motoneige jusqu'à 400 mètres, après quoi il faut pratiquer la chasse fine dans un endroit où n'y a à peu près rien pour se camoufler. Lorsqu'ils sentent le danger, les animaux se collent les uns contre les autres pour protéger leurs petits. C'est ainsi qu'ils se protègent du loup, leur seul vrai prédateur. ... http://www.canoe.com/infos/societe/archives/2009/04/20090413-081202.html
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Publié le 08 avril 2009 à 20h02 | Mis à jour le 09 avril 2009 à 09h52 La moitié des hardes de caribous en déclin Agrandir Photo: PC Steve Rennie La Presse Canadienne Ottawa Le gouvernement fédéral a l'intention de publier jeudi un rapport qui indique que la moitié des hardes de caribous des bois au Canada sont en déclin et qu'elles pourraient disparaître au cours du prochain siècle, a appris La Presse Canadienne. La découverte selon laquelle 29 des 57 hardes identifiées ne sont pas en mesure de se reproduire suffisamment pousse les caribous des bois un peu plus près du statut d'espèce en voie de disparition. Certaines des parties de ce rapport très technique de 300 pages démontrent que les hardes de caribous sont plus susceptibles de connaître un déclin dans le nord de l'Alberta et de la Saskatchewan de même que dans les Territoires du Nord-Ouest. Un boum dans le secteur des ressources naturelles telles que le pétrole et le gaz a propulsé le développement industriel dans ces régions du pays, perturbant ainsi l'habitat des caribous. Les conclusions du rapport donnent au gouvernement de Stephen Harper l'occasion de proposer un plan de sauvetage national pour les caribous des bois. Elles aideront également à la préparation d'un autre rapport, celui-ci effectué par le Comité sur la situation des espèces en péril au Canada, un groupe consultatif qui détermine les espèces en danger de disparition. Le ministre fédéral de l'Environnement, Jim Prentice, peut accepter les recommandations, les rejeter ou les renvoyer devant le comité pour qu'elles soient davantage étudiées. Les caribous des bois sont considérés comme une espèce menacée depuis mai 2002. Il y en a environ 36 000 à travers le Canada. Le rapport a été préparé par le ministère fédéral de l'Environnement avec l'aide d'un groupe consultatif scientifique de 18 personnes. Des groupes environnementaux et des universitaires y ont également participé. Le rapport devrait être publié sur un site Internet gouvernemental un jour avant le long congé de la fin de semaine de Pâques. Un porte-parole du ministre Prentice a toutefois insisté pour dire que le gouvernement ne tente pas d'escamoter les mauvaises nouvelles. «Il sera (affiché) très bientôt, et je vous prie de ne pas présumer que nous avons tenté de cacher quelque chose», a écrit Frédéric Baril dans un courriel. http://www.cyberpresse.ca/environnement/200904/08/01-844962-la-moitie-des-hardes-de-caribous-en-declin.php
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Publié le 27 mars 2009 à 23h14 | Mis à jour le 27 mars 2009 à 23h16 Quatorze carcasses de coyotes retrouvées à Aylmer Le ministère des Ressources naturelles et de la Faune du Québec enquête présentement sur la découverte récente de 14 carcasses de coyotes dans un ravin du chemin Baillie dans le secteur Aylmer, à Gatineau. La porte-parole du ministère en Outaouais, Catherine Rooney, a indiqué hier que les 14 carcasses de coyotes ont été découvertes, il y a un peu plus d'une semaine, près du ruisseau Breckenridge. La personne qui les a découverts a averti les préposés aux animaux de la Ville de Gatineau, qui ont ensuite averti les agents de conservation de la faune. Les carcasses ont ensuite été envoyées à la SPCA pour y être incinérées. Selon Michel Bergeron, spécialiste de la grande faune au ministère, la saison de la chasse au coyote est en cours jusqu'au 31 mars et il n'y a pas de limite de prises. Un chasseur peut donc tuer autant de coyotes qu'il le veut. Mais peu de chasseurs ou de trappeurs sont intéressés par ce gibier, souvent considéré comme une nuisance parce qu'il attaque le bétail et le chevreuil. On les chasse donc plus pour s'en débarrasser que pour conserver la peau. Mais on ne peut pas jeter les carcasses des animaux n'importe où. ... http://www.cyberpresse.ca/le-droit/actualites/gatineau-outaouais/200903/27/01-841121-quatorze-carcasses-de-coyotes-retrouvees-a-aylmer.php
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Publié le 27 mars 2009 à 12h16 | Mis à jour le 27 mars 2009 à 12h21 Les bouchées doubles en temps de récession Sylvie Saint-Arneault, entourée de sa nouvelle collection d'animaux canadiens naturalisés. Photo: François Gervais Louise Plante Le Nouvelliste (Trois-Rivières) Bien qu'elle sente déjà les effets de la récession au niveau de ses réservations en provenance d'Europe, Sylvie Saint-Arneault, copropriétaire de la ferme La Bisonnière, ne baisse pas les bras. Au moment de l'entrevue, elle recevait un client de Réceptour Canada en provenance de la Colombie, venu se familiariser avec sa ferme et ses impressionnants bisons, histoire de voir s'ils peuvent plaire aux touristes d'Amérique du Sud. Pour l'occasion, Mme Saint-Arneault cuisinait ses spécialités sur le four à bois. «On a de plus en plus des gens du Mexique et d'Amérique du Sud, comme la Colombie. « En plus de chercher à diversifier sa clientèle en lorgnant vers le sud, Mme Saint-Arneault se dit que si les Européens risquent de moins voyager en 2009, les Québécois resteront sans doute aussi chez eux cet été. Elle tentera donc de séduire également ses compatriotes car elle n'a guère eu le temps de le faire ces dernières années, tant les Européens étaient présents à La Bisonnière. Même si des réservations sont faites et des journées arrêtées au calendrier, Mme Saint-Arneault s'attend à ce que les groupes soient moins importants que l'été dernier alors qu'elle enregistrait sa meilleure saison avec plus de 7000 repas, sa principale source de revenus. «Il y a eu des journées ou j'ai refusé du monde en octobre. C'était un beau problème, mais je ne pense pas le revivre cette année», croit-elle. Elle a donc aussi redoublé d'efforts auprès des grossistes de Montréal, qui font principalement affaires avec la France, l'Italie et l'Espagne et qu'elle a rencontrés personnellement à plusieurs reprises cet hiver, tout en invitant leurs employés à venir la visiter en famille cet été et à prendre un repas. «C'est le petit côté intime que je tente de développer avec les grossistes. Cet hiver, je les ai tous faits. Mais, j'ai aussi communiqué par envois postaux avec toutes les agences de voyage du Québec pour qu'elles pensent à ajouter La Bisonnière à leurs tours cet été.» ... http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/mauricie/200903/27/01-840930-les-bouchees-doubles-en-temps-de-recession.php
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Publié le 12 mars 2009 à 05h00 | Mis à jour le 12 mars 2009 à 05h00 Pêche et chasse: puissants moteurs économiques Ajouter un commentaire En fin de semaine, au Centre de foires d'ExpoCité de Québec, durant le Salon expert chasse, pêche, camping et le Salon du bateau, vous pourrez préparer une excursion de pêche des gros dorés, comme l'a fait Élaine Ayotte, de Sillery. Collaboration spéciale André-A. Bellemare André-A. Bellemare, collaboration spéciale Le Soleil (Québec) Au Québec, le gouvernement nous souligne que les activités reliées à la faune et à la nature attirent chaque année 3,4 millions de citoyens ? environ la moitié de tous les habitants de la province ? qui investissent 3 milliards $ dans la pratique de leurs activités favorites de loisir en plein air. Ces adeptes créent 32 000 emplois et versent 818 millions $ en salaires. ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/sports/chasse-et-peche/200903/11/01-835604-peche-et-chasse-puissants-moteurs-economiques.php
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Publié le 31 mars 2009 à 18h32 | Mis à jour le 31 mars 2009 à 18h35 Québec inquiet des affrontements entre Innus et agents de la faune Pierre Corbeil La Presse Canadienne Québec Le ministre des Affaires autochtones, Pierre Corbeil, s'est dit préoccupé, mardi, par les affrontements qui ont commencé il y a un mois entre des chasseurs innus du Québec et des agents de conservations de la faune, dans le sud du Labrador. M. Corbeil a affirmé qu'il tentait encore d'établir les faits mais qu'il avait l'intention de convenir avec le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador des meilleures façons de s'entendre avec les Innus sur les espèces de caribous menacées. Selon le ministre, les Innus disposent de droits ancestraux de chasse, de pêche et de piégeage sur le territoire qui leur a appartenu autrefois et qui s'étend au Québec et au Labrador. Mardi, les autorités de T.-N.-L. ont saisi des motoneiges et des traîneaux appartenant aux chasseurs innus, qu'ils accusent d'avoir tué environ 40 caribous forestiers, une espèce menacée qui est protégée par des lois fédérale et provinciale. La ministre des Ressources naturelles de Terre-Neuve-et-Labrador, Kathy Dunderdale, a affirmé que la Gendarmerie royale du Canada a déconseillé aux agents de protection de la faune d'arrêter les chasseurs, à cause des risques de violence. Environ une centaine d'Innus - hommes, femmes et enfants - des communautés de La Romaine, Natashquan et Saint-Augustin, se sont déplacés dans le sud du Labrador afin de protester contre l'obstruction des agents de la conservation de la faune qui tentent, à bord d'hélicoptères, d'empêcher la chasse au caribou forestier. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200903/31/01-842150-quebec-inquiet-des-affrontements-entre-innus-et-agents-de-la-faune.php
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Publié le 13 avril 2009 à 09h21 | Mis à jour à 09h32 La viande du phoque à la conquête des gastronomes canadiens Clément Sabourin Agence France-Presse Montréal En terrine ou servie saignante, la viande des phoques abattus dans le Golfe du Saint-Laurent, au Canada, part à la conquête des gourmets, poussée par des bouchers et chefs désireux de rénover la cuisine du terroir, en dépit des critiques taxant cette chasse de cruelle. Appréciée pour sa chair dépourvue de graisse mais riche en fer et en oméga 3, la viande de phoque est traditionnellement mangée crue par les Amérindiens et les Inuits, préparée à la bourguignonne ou braisée par les familles de chasseurs de l'est du Canada. Mais depuis peu, le loup-marin, comme on appelle ce mammifère au Québec, gagne les menus de restaurants branchés de la province francophone, séduisant par son goût relevé, décrit comme à mi-chemin entre le magret de canard et le foie de veau. «La texture et la matière sont vraiment uniques, c'est une viande un peu iodée», s'enthousiasme Benoît Lengnet, chef français du restaurant montréalais «Au cinquième péché», où le loup-marin a été ajouté à la carte il y a deux ans. Du fait de la courte période de chasse, de fin mars à fin avril, le phoque est un met de saison qui n'est servi que quelques semaines par année. «Cela fait une semaine que j'en ai et ça représente la moitié des entrées commandées», dit le cuisinier français, qui assaisonne ce plat avec de l'huile de truffe. Pour Luc Jomphe, chef et propriétaire du «Bistro du bout du Monde», il y a là «un produit de niche et d'exception» en plein développement. Précurseur de la gastronomie du phoque, ce jeune chef a ouvert son restaurant il y a cinq ans aux Iles-de-la-Madeleine, un archipel du Golfe du Saint-Laurent, où débute la chasse chaque année. Et le succès est grandissant, dit-il à l'AFP lors d'une soirée de dégustation à Montréal. L'une des spécialités de M. Jomphe est la longe de phoque - une partie du dos de l'animal - qu'il sert saignante, à la manière d'un magret de canard, accompagnée d'une sauce au cacao. «C'est surprenant mais très bon. La chair est spongieuse et n'a pas du tout goût de poisson», commente Maude, une cliente pour qui c'est la première dégustation. Reste que les établissements qui proposent du phoque sont rares. Pas seulement en raison de la mauvaise presse qui accompagne la chasse de cet animal, décrite comme cruelle par les défenseurs des animaux, mais aussi car les stocks de viande commercialisés sont anecdotiques. Sur les 338.000 phoques qui seront abattus au Canada cette année, seuls 1.000 le seront pour la commercialisation de leur chair, indique Réjean Vigneau, de la boucherie Côte à Côte, aux Iles-de-la-Madeleine. Autre frein à la croissance de cette industrie: la législation, qui oblige que la viande destinée à la vente soit extraite de la bête en abattoir, et non sur la banquise, comme le font les chasseurs pour leur consommation personnelle, croit M. Vigneau. La boucherie Côte à Côte - la seule à transformer la viande de phoque au Canada, selon son propriétaire - propose des terrines aromatisées aux pommes, aux raisins et à l'orange, des rillettes, du loup-marin fumé au noyer, du saucisson, mais aussi des brochettes marinées ainsi que des filets et des morceaux d'épaule. «C'est parti pour se développer à plus grande échelle», affirme le boucher. Alors que le cours des peaux de phoques est en chute libre, à 15 dollars par peau, la gastronomie pourrait offrir de nouveaux débouchés aux chasseurs, un kilogramme de longe se négociant environ 30 dollars. http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/gastronomie/200904/13/01-846046-la-viande-du-phoque-a-la-conquete-des-gastronomes-canadiens.php
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Des caribous et des hommes Louis-Gilles Francoeur Édition du vendredi 10 avril 2009 À la mi-mars, 45 chasseurs innus des bandes québécoises de la Romaine, de Natashquan et de Saint-Augustin ont abattu une quarantaine de caribous du troupeau de la Mealy Mountain, sur la Joir River, au sud du lac Minipi au Labrador. Ils étaient escortés par des aînés, des femmes et des enfants. Cette bruyante caravane comptait pas moins de 50 à 60 motoneiges. L'affaire a pris une dimension nationale, voire internationale par le nombre de réactions virulentes, voire racistes, enregistrées dans Internet, car ces chasseurs ont abattu près de la moitié d'une petite harde dont la survie est menacée. La harde de la Joir River est en effet protégée en vertu de la Loi sur les espèces menacées de Terre-Neuve et en vertu de la loi fédérale. Devant ces actes illégaux et moralement indéfendables, le gouvernement de Terre-Neuve a dépêché sur les lieux quelques dizaines d'agents. Ces gardes-faune ont pu observer des autochtones en train de tirer des caribous à partir de motoneiges en marche, ce qui dénote un mépris des règles les plus élémentaires de sécurité, mais aussi une absence totale d'éthique de chasse, car de pareils tirs vont généralement provoquer des blessures et des souffrances inutiles, ce qui dénote un irrespect envers les bêtes et une honte par rapport aux valeurs historiques des autochtones. Les agents de conservation ont tenté de prendre contact avec le groupe d'autochtones. Mais ils ont été accueillis -- et la scène a été filmée -- par des gens qui menaçaient de lancer des pierres et des cordes dans les rotors de leur hélicoptère et qui ont foncé en groupe vers les arrivants. Les agents ont évité la confrontation et ont retraité, ce qui était une sage décision. Les Innus ont contesté l'évaluation du troupeau de la Joir River, réalisée au printemps par Terre-Neuve et l'institut indépendant Environmental Monitoring and Research. Le bilan: 108 têtes à la mi-mars, juste avant ce carnage collectif qui ne mérite certainement pas le nom de «chasse». Des chefs autochtones ont expliqué que des aînés, par «des séances de tambour et des rêves», avaient plutôt évalué le troupeau à 2000 têtes. Mais à cette évaluation plutôt ancestrale ne correspondaient pas les méthodes ancestrales de chasse, qui protégeaient les hardes des excès humains par la faiblesse de leur portée et par la lenteur des moyens de locomotion. Les bandes innues du Québec en cause dans cette affaire ont voulu affirmer ainsi leur droit d'utiliser les ressources fauniques au-delà de la frontière québécoise, en territoire terre-neuvien. Le problème, c'est que personne ne leur nie ce droit. La ministre des Ressources naturelles de Terre-Neuve, Kathy Dunderdale, a fait état des nombreuses rencontres qu'il y a eu, jusqu'à tout récemment encore, entre ses agents et les Innus québécois, des rencontres qui ont cependant débouché sur la divergence que l'on sait à propos du nombre de caribous de la harde menacée. Terre-Neuve ne s'est jamais opposée à leur présence sur son territoire ni à leur droit d'y chasser des espèces non menacées. De vives réactions L'affaire a suscité de vives réactions, parfois racistes, sauf des groupes animalistes, prompts à accuser les Terre-Neuviens de chasser le phoque, mais qui sont singulièrement absents quand ils défendent une espèce véritablement menacée. Même un négociateur autochtone et un spécialiste de leurs droits, comme Me Armand Mackenzie, a dit publiquement qu'ils s'y prenaient bien mal pour défendre leurs droits d'accès aux ressources fauniques nordiques. Me Mackenzie devait même préciser à un média terre-neuvien qu'ils auraient pu s'y prendre autrement. Il est évident que le sort de cette harde a surtout été compromis par la construction du réservoir Smallwood dans les années 1970, qui l'a coupée de tout lien avec les 750 000 caribous du troupeau de la George. Mais un abattage collectif sur les survivants de la petite harde est tout aussi dangereux pour le caribou des bois, une sous-espèce qu'un rapport d'Environnement Canada publié hier estime en danger dans l'ensemble de la forêt boréale. Or, note Me Mackenzie, les Innus viennent de recevoir des millions d'Hydro-Québec en compensations pour les projets de la Rupert et de la Romaine, précisément pour protéger leurs valeurs et activités ancestrales. Comme le font les Cris, ils auraient dû, dit-il, utiliser cet argent pour se payer une expédition un peu plus loin pour aller chasser le troupeau de la George et l'aider à conserver une taille qui ne menace pas ses réserves alimentaires. On doit aussi s'interroger, comme l'a fait la ministre Dunderdale, sur l'apathie de Québec devant les méfaits des bandes québécoises. Mme Dunderdale a souligné que la plupart des cartes québécoises de la région situent le territoire de la Joir River en terre... québécoise. Elle a donc invité Québec à contrôler ses autochtones et à occuper de facto les terres qui lui appartiendraient. Mais une chose est certaine, c'est au retour d'une chasse illégale qu'il faut intercepter les contrevenants. Les agents terre-neuviens, minoritaires de surcroît, ne pouvaient faire cela en pleine brousse, saisir les motoneiges et les armes, ainsi que les caribous. Mais l'absence d'intervention coordonnée des agents des deux provinces et de la GRC sur le chemin de retour des autochtones pour sanctionner ce saccage d'une harde légalement protégée est non seulement immorale et inique, mais aussi inéquitable pour tous les chasseurs respectueux des lois. Mais cette esquive affaiblit surtout le droit prépondérant des gouvernements d'assumer leur devoir fiduciaire envers la faune et en particulier des espèces protégées, qu'aucun droit, fut-il autochtone, ne peut annuler, comme l'a reconnu la Cour suprême. On serait en droit de s'attendre à ce que les querelles de compétence passent derrière les intérêts de la faune. n Lecture: Manifestement vert, par François Tanguay et Jocelyn Desjardins, Éditions du Trécarré. Une revue des principaux dossiers environnementaux québécois sur toile de fond des enjeux internationaux, entrecoupée d'une série de courts textes d'écologistes de premier plan. Des textes courts, efficaces comme des clips publicitaires, et des jugements personnels, bien étayés, qui ne feront toutefois pas l'unanimité dans le milieu. http://www.ledevoir.com/2009/04/10/244903.html
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Publié le 12 avril 2009 à 05h44 | Mis à jour à 12h21 Qui mangera de l'agneau de Pâques aujourd'hui? Photo: archives La Presse Stéphanie Bérubé La Presse Avec le jambon, l'agneau est la viande qui se retrouve traditionnellement sur la table, à Pâques. Bien qu'ici, au Québec, plusieurs gourmands résistent encore aux charmes d'un bon gigot. ... La consommation canadienne de viande ovine est toutefois en hausse. Entre 2000 et 2007, elle a augmentée de 41 % pour atteindre 1,24 kg par personne. Agriculture Canada prévoit que la viande d'agneau continuera d'augmenter pour encore une bonne dizaine d'années. ... Mais ce qui est le plus notable dans le cas de l'agneau est bien évidemment l'origine du mangeur : 65 % des Québécois d'origines arabes disent manger de l'agneau, 53 % des gens d'origines européennes sont aussi des amateurs, alors que parmi les répondants qui se sont décrits comme des Québécois de souche, la proportion passe à seulement 23 %. http://www.cyberpresse.ca/vivre/consommation/200904/09/01-845190-qui-mangera-de-lagneau-de-paques-aujourdhui.php
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1 centaine d'ours seront abattus en Slovénie en 2007
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
70 ours à abattre en Slovénie en 2009 70 Bears to Be Killed in Slovenia Written by Jake Richardson Published on April 12th, 2009 The Slovenian Environment Ministry has approved a wild bear kill of 70 animals. The country has between 430 and 480 bears according to one estimate. Some environmentalists put the number slightly lower. In 2008 the Environment Ministry approved a kill of 75, and in 2007 it was 100. In 2006 it was also 100. That will make 345 wild bears killed in the last four years. The number of cubs born each year is estimated at 60-90. (Brown bears in Slovenia are a protected species.) ... http://ecoworldly.com/2009/04/12/70-bears-to-be-killed-in-slovenia/ -
From: Ben Block, Worldwatch Institute, More from this Affiliate Published April 6, 2009 09:16 AM Oil Sands Could Threaten Millions of Migratory Birds RELATED ARTICLES Little gain from oil sands carbon capture - report Canada minister says duck deaths won't go unpunished Canada's oil sands a massive disaster: green group Death of 500 ducks in oil sands tragic: Imperial CEO An anonymous tip last April alerted Canadian officials to the fact that 500 ducks had mistaken an oil sands company's pollutant-filled reservoir in Alberta as a safe place to land. To the public's dismay, only three birds survived. Hundreds of decomposed ducks have since risen to the surface, leading Syncrude Canada to clarify last week that its lake-sized reservoir, known as a tailings pond, in fact killed an estimated 1,606 birds, mostly mallards. Tailings ponds hold a watery mix of clay, sand, hydrocarbons, and heavy metals that remains after the oil extraction process. The company's allegedly negligent environmental management has become symbolic of the problems associated with the development of oil sands - strips of sand or clay mixed with a dense form of petroleum known as bitumen. While the true impact of the fuel's extraction and production on wildlife and the climate is still unknown, environmentalists caution that further investments in oil sands would result in much wider damage. To quantify the potential impact on migratory bird species, the U.S.-based Natural Resources Defense Council (NRDC) explored how many birds - currently alive or yet to be born - would be lost if all the oil sands projects proposed in Alberta came to pass. The report, discussed at a Washington, D.C., briefing on Friday, estimates a maximum death toll of 166 million birds over the next 50-60 years. "The numbers are of much greater magnitude than anyone imagined because no one ever studied the whole impact of these projects," said lead author Jeff Wells, a senior scientist at the Seattle-based Boreal Songbird Initiative. Many of the migratory birds threatened by oil sands development already face the prospects of extinction, according to the Canadian government. Endangered species include the whooping crane and piping plover, the NRDC report said. "We say we have laws that are supposedly protecting migratory birds in both Canada and the United States, but clearly that is not happening," said co-author Susan Casey-Lefkowtiz, a senior attorney with NRDC who is currently suing the governments of both countries to halt oil-sands refinery and pipeline developments. Higher energy prices turned costly oil sands - also known as "tar sands" - into an affordable option for many energy companies before oil prices nosedived this past year. The province of Alberta, which has received almost Can$1 billion in royalties each year from the fuel, anticipates production to reach 3-5 million barrels a day by 2030. Beyond the toxic dangers of tailing ponds, oil sands contribute to significant habitat destruction, water depletion, and air pollution across Alberta's boreal forests, critics say. Moreover, producing a barrel of crude from oil sands emits as much as three times more carbon dioxide than is released from conventional oil wells, according to estimates. Although oil sands account for less than one-tenth of 1 percent of global carbon dioxide emissions, the NRDC report notes that the fuel source has become Canada's fastest growing contributor to greenhouse gas emissions. "Exploiting tar sands in Canada does not make sense in the way ecologists think they know about the workings of the world," said George Woodwell, founder of the Woods Hole Research Center and NRDC's vice chairman, at Friday's event. Woodwell noted that climate change may pose an even greater risk to America's bird species as regional warming triggers shifts in the location of boreal forests - popular avian breeding grounds. "Birds are able to pick up their suitcases and move, but trees can't do that," he said. The report's authors caution, however, that their projections combine various oil sands development scenarios to determine the number of birds that could potentially be lost. The study included 170 million birds that breed across 35 million acres of boreal forest. Yet many of the strip-mining operations, tailings ponds, and associated developments such as roads and pipelines included in the analysis have not been approved. Dave Ealey, a spokesman for Alberta's environmental oversight department, said that the report exaggerated the true impact of oil sands on the region's forests. Habitat fragmentation caused by new refineries and roads, for instance, would not cause more harm than natural wildfires, he said. "The scale here is misleading by accumulating the lost [bird] populations over future generations," Ealey said. "It creates the impression that more birds are impacted by oil sands than is actually the case." With regard to climate change, Ealey noted that the province is providing Can$2 billion to oil sands producers to enable them to add carbon capture and sequestration (CCS) technologies to their sites. "No doubt global warming is an issue," he said. "Alberta is the only area with CCS legislation. It's something we'll pursue." But several companies that were selected by the province in November to receive the CCS funds have since removed their funding bids, citing the high infrastructure costs that the government still would require. "Only a few of the tar sand companies have even submitted [CCS] proposals," Casey-Lefkowitz said. Without CCS projects, the future of oil sands developments could be jeopardized. The Canadian government has required companies to reduce only the rate at which they emit greenhouse gases, without restricting overall emissions levels. But recent economic analyses have cast doubt on whether international momentum toward a low-carbon economy will support controversial oil sands projects financially. "Oil sands extraction is very carbon intensive, yet most oil sands projects do not anticipate regulatory constraints on CO2 emissions," according to a March report by Innovest Strategic Value Advisors. The report warned that the cheaper cost of natural gas may also prevent oil sands from overcoming the current economic recession: "Projects in the pipeline will never recoup their investment." Climate change and fossil fuel developments are already a leading driver behind bird population declines in the United States, the dominant purchaser of Canadian oil shale. An estimated one-third of the roughly 800 U.S. bird species are endangered, threatened, or in significant decline due to habitat loss, invasive species, and other threats, according to a U.S. Department of Interior report released last month. "Birds tell us so much about what is going on around us," said Gabriela Chavarria, director of the NRDC's science center. "They tell us that there needs to be a change in U.S. energy policy." This article is reproduced with the kind permission of the Worldwatch Institute. For more news and articles, visit www.worldwatch.org. http://www.enn.com/top_stories/article/39596 ------------------------------------------ 1,600 Birds Found Dead at Canadian Oil Sands Tailings Pond Written by Gavin Hudson Published on April 5th, 2009 The world’s largest oil sands company now admits that a total of 1,606 ducks were found dead last spring after initially reporting the death of only 500 birds. The ducks died last spring after landing in one of the heavily polluted tailings ponds of made by Syracrude Canada Ltd. Tailings ponds collect the waste from the company’s oil sands operations. Once the birds hit the water, there was little chance of saving them. “A completely oiled bird would sink nearly immediately,” acknowledged Syncrude Environmental Services Manager Steven Gaudet soon after the incident. Oil sands companies are supposed to deter birds from landing in their tailings ponds by using noisemaking cannons to scare birds away. However, the company said that the cannons on this particular tailings pond were not yet operational due to a late spring snowstorm. The Syncrude company officials have apologized for the bird’s deaths, but given no explanation for only now admitting to such a high death toll. This news comes as the company is seeking to expand the volume of another Alberta tailings pond. Already, the Canadian province is the site of dozens of toxic tailings ponds. In a related article, the environmental NGO Boreal Songbird Initiative has estimated that some 166 million birds could be killed over the next 30 to 50 years as a result of oil sands extraction in Canada. Image credit: species_snob via Flickr, under a Creative Commons license. Via: Statesman Journal. http://ecoworldly.com/2009/04/05/1600-birds-found-dead-at-canadian-oil-sands-tailings-pond/#more-2690
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Un ministre de Terre-Neuve veut parler de la chasse au phoque avec le Président Obama ------------------------------------------------- Newfoundland MP wants to chat with U.S. president about annual seal hunt 22 hours ago ST. JOHN'S, N.L. — A Newfoundland MP says he wants to speak with U.S. President Barack Obama about the annual East Coast seal hunt. Scott Simms says he believes the president needs to learn more about the hunt because of views he shared in a 2006 letter to animal rights activists. The letter, written when Obama was an Illinois senator, expressed outrage over the hunt. Simms says the points made in Obama's letter are the same ones animal rights activists have used for years. The Liberal MP says he would appreciate the opportunity to explain to Obama the importance of the hunt to Newfoundlanders and how humane it is. ... http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5gcUjo5HgAP-e7EvnGtXXcmIrRn9g ------------------------------ Pour en savoir + sur ce ministre: http://www.liberal.ca/members_f.aspx?id=12739
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La chasse en enclos, activité controversée R.D. Vous avez sans doute lu la publicité dans les revues spécialisées qui offrent la possibilité aux amateurs d’abattre un animal sauvage d’élevage dans des parcs ou des enclos. Cette activité est de plus en plus populaire. On peut ainsi récolter sangliers, cerfs, bisons et autres gibiers semblables. Cette activité est très répandue aux Etats-Unis et l’on peut sélectionner des gibiers plus qu’exotiques tels lions, tigres, etc. Le tout, c’est d’y mettre le prix. L’Afrique du Sud vient de bannir la chasse en enclos à la suite d’une campagne de presse très animée par les groupes de défense des animaux. Chez-nous, il n’y a pas de mouvements organisés qui militent pour le bannissement de cette activité. Il faut savoir que les animaux sont élevés spécifiquement pour la chasse ou pour la saveur de leur viande. Que les animaux soient abattus par un chasseur ou dans un abattoir licencié ne change finalement rien au destin du gibier. Objectivement, périr sous la dent des prédateurs ou de maladie est plus souffrant et stressant pour l’animal que d’être abattu par un tir précis. Finalement, cette activité stimule l’économie et satisfait les désirs de ceux et celles qui s’y prêtent. Les détracteurs de cette activité utilisent plusieurs arguments. Ce n’est pas sportif, et dans certains cas ils peuvent avoir raison, tout dépend de l’organisation avec laquelle on a affaire. La chasse en cage, ou en boîte, comme le décrivent les anti, n’est certes pas très jolie en soi, mais à l’opposé, certains pourvoyeurs ou éleveurs offrent une chasse qui se rapproche singulièrment de la vraie chasse. À vous de choisir et de bien vous renseigner. Page 66, du journal Le Courrier du Sud- 11 avril 2009
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Cruauté envers les animaux La loi insuffisamment sévère? La Presse Canadienne Colin Perkel 11/04/2009 17h02 - Mise à jour 11/04/2009 22h43 Le projet de loi S-203, qui a reçu la sanction royale le 17 avril 2008, a fait très peu pour protéger les animaux et des actes de cruauté envers les bêtes demeurent toujours impunis. Archives La loi fédérale contre la cruauté envers les animaux, adoptée il y a un an, n'a pas suffisamment de dents, selon les groupes de défense envers les animaux. Le projet de loi S-203, qui a reçu la sanction royale le 17 avril 2008, a fait très peu pour protéger les animaux et des actes de cruauté envers les bêtes demeurent toujours impunis. Par exemple, un homme du Nouveau-Brunswick a été acquitté en février dernier même s'il a tué ses cinq chiens avec un marteau. La loi, qui demeure essentiellement la même que celle visant les délits contre les biens du Code criminel adoptée en 1892, rend les peines plus sévères dans les cas de cruauté envers les animaux. Toutefois, elle ne définit pas les normes sur la manière dont les animaux devraient être nourris ou hébergés. De plus, obtenir une condamnation en vertu de la loi est difficile parce que l'on doit démontrer que l'on avait l'intention de causer la souffrance d'un animal. Mais ceci est presque impossible, selon les défenseurs des animaux. Le député libéral ontarien Mark Holland a déposé un projet de loi privé qui vise à faciliter les recours judiciaires contre les personnes qui maltraitent, privent de nourriture ou tuent des animaux sans raison. «Actuellement, ceux qui commettent des infractions d'abus d'animaux peuvent le faire en toute impunité», a affirmé M. Holland. Au Canada, moins d'un quart d'un pour cent des accusations en vertu des dispositions de la loi sur la cruauté envers les animaux a abouti à une condamnation. Selon le président du comité des enquêtes à la Société protectrice des animaux (SPCA) de la Nouvelle-Écosse, Sean Kelly, la loi est inutile. Il a affirmé qu'il avait seulement entendu parler d'une seule condamnation en vertu du Code criminel, mais celle-ci reflétait un cas «extrême» où un homme avait maltraité 129 animaux. Le mois dernier, une femme originaire de la Nouvelle-Écosse a écopé d'une amende de 5$ pour avoir noyé deux chatons dans un bassin d'eau. Selon la porte-parole de la Société mondiale pour la protection des animaux, Melissa Tkachyk, le Code criminel devrait reconnaître que les animaux font l'expérience de la douleur et de la souffrance. «Les animaux sont doté de sensation et c'est le temps de refléter ce fait établi dans la loi qui devrait les protéger», a-t-elle ajouté. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/04/20090411-170206.html
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Animaux anti-décrochage SÉBASTIEN MÉNARD 12/04/2009 07h46 Polyvalente Massey-Vanier de Cowansville. Journal de Montréal Un lapin qui se promène entre les rangées de pupitres et deux cochons d'Inde qui se font flatter par des élèves en plein milieu d'un cours... C'est la recette qu'a trouvée l'employée d'une polyvalente pour lutter contre le décrochage et l'intimidation. « Je crois aux bienfaits des animaux sur les élèves. Ils contribuent à améliorer leur sentiment d'appartenance et à les raccrocher à l'école », dit Manon Brien, technicienne de laboratoire à la Polyvalente Massey-Vanier de Cowansville. ... http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/04/20090412-074601.html
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Agneaux Les temps sont durs Mise à jour le samedi 11 avril 2009 à 14 h 38 Les producteurs d'agneaux n'ont pas tous l'esprit à la fête en cette période de Pâques. S'ils font généralement de bonnes affaires en cette fin de semaine pascale, le temps n'est pas aux réjouissances cette année. La modification du programme de compensation des revenus par Québec menace les producteurs. Au cours des 10 derniers mois, sept entreprises ont déjà fait faillite en Abitibi-Témiscamingue. Auparavant, la compensation était calculée sur le nombre de brebis d'un producteur. Désormais, ce sera au kilo vendu. ... Les abattoirs les plus proches sont à au moins 500 kilomètres. Ainsi, un agneau de lait produit en Abitibi peut perdre jusqu'à 4 kg pendant le transport. ... http://www.radio-canada.ca/regions/abitibi/2009/04/11/001-agneaux-producteurs-faillites_n.shtml
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Mise à jour le jeudi 9 avril 2009, 13 h 38 . Les chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine dénoncent la désinformation diffusée par le Fonds international pour la protection des animaux, l'IFAW. ... Le président de l'association des chasseurs des Îles, Denis Longuépée, dénonce ces tactiques utilisées par l'IFAW. Il précise que des membres de l'organisme sont allés filmer la chasse au large des Îles, mais qu'ils n'ont pu trouver aucune infraction dans les méthodes d'abattage. « Ils coupent le film, alors on voit des carcasses, on voit du sang sur la banquise. Là, ils disent [qu'il y a] un massacre et ils mettent des photos d'auparavant. C'est leur façon à eux d'essayer de toujours tricher. Pour changer l'opinion publique, c'est leur façon de faire », dit M. Longuépée. Avant de prendre position pour ou contre la chasse au phoque, ajoute-t-il, les citoyens devraient s'informer correctement. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2009/04/09/006-desinformation_IFAW.asp
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Montréal 67 arbres matures rasés Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 11/04/2009 07h26 Cet arbre avait plus de 70 ans, ont indiqué au Journal des émondeurs rencontrés sur place. Journal de Montréal/Jocelyn Malette La Ville de Montréal a fait abattre une soixantaine d'arbres matures en plein centre-ville, hier, sous le regard ahuri de dizaines de citoyens qui dénoncent la destruction de cet espace vert. La Ville promet de replanter Selon la Ville, la coupe de ces pommetiers, tilleuls, ormes, frênes et micocouliers était devenue «inévitable» en raison du lancement des travaux d'aménagement de la Place de l'Adresse symphonique, dans le Quartier des spectacles. Vingtaine d'émondeurs Durant tout l'avant-midi, une vingtaine d'émondeurs se sont affairés à abattre les 67 arbres de la Place Alfred-Duquesne, à l'angle des rues Clark et Ontario, juste au nord de la Place des Arts. La plupart de ces feuillus avaient été plantés il y a une quarantaine d'années, lors de la construction du métro de Montréal. Mais au moins un arbre avait plus de 70 ans, ont indiqué des ouvriers. «Pas de bon sens» Les piétons rencontrés sur place par le Journal n'ont pas mâché leurs mots pour dénoncer la situation. «Ça n'a pas de bon sens», lance Nicolas Sénéchal, un avocat de profession qui réside au centre-ville. «Je trouve ça complètement ridicule, dit-il. Ces arbres-là me semblaient en bonne santé.» Au printemps, le secteur était particulièrement beau lorsque les pommetiers se paraient de fleurs, indique Christiane Demers. «Ils auraient dû conserver ces arbres-là, dit-elle. On n'a tellement pas d'espaces verts au centre-ville...» Attristé Daniel Saindon, qui vit dans le quartier depuis 25 ans, avait apporté son appareil-photo pour conserver «un souvenir.» «Je suis très attristé, souffle-t-il, avec un trémolo dans la voix. C'est un choc terrible, que je vis. Cet endroit-là était un site extraordinaire.» http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/04/20090411-072601.html
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Publié le 10 avril 2009 à 20h39 | Mis à jour le 10 avril 2009 à 20h44 Après les chiens, place aux lapins dans les SPCA Ajouter un commentaire Le commentaire peut contenir un maximum de 1500 caractères. «Vous n'avez pas idée combien nous sommes occupés?», mentionne Jennifer Montague, responsable des adoptions à la SPCA de l'ouest du Québec. Étienne Ranger, LeDroit Louis Lafortune Le Droit La Société pour la prévention de la cruauté aux animaux (SPCA) de l'ouest du Québec, dans le secteur Aylmer, est débordée ces derniers jours et invite les gens qui envisagent l'achat d'un animal domestique de considérer l'adoption dans son centre. « Vous n'avez pas idée combien nous sommes occupés », lance Jennifer Montague, responsable des adoptions à la SPCA de l'ouest du Québec. En deux jours cette semaine, la SPCA d'Aylmer a reçu 17 chiens, ce qui est beaucoup pour ce centre dont la capacité est de 70. Il y a actuellement 46 chiens et le reste sont dans des centres d'accueil. « Nous avons plusieurs chiots âgés de cinq mois. Des gens de la campagne nous en ont amené cinq récemment. Nous en attendons six autres samedi (aujourd'hui). Ce n'est pas une semaine normale. Ce qui nous aide, c'est que nous avons des foyers d'accueil où les gens acceptent d'héberger des chiens pour quelques semaines », explique-t-elle. La SPCA de l'ouest du Québec a pour politique de ne pas euthanasier les animaux. « Nous demandons aux gens de nous considérer s'ils cherchent un chien. Nous en avons pour tous les goûts », ajoute Mme Montague. À Gatineau, la SPCA de l'Outaouais est aussi assez occupée, avec 11 chiens pour adoption et 53 chiens errants en attente d'être placés en adoption. « On est tout le temps plein », affirme la superviseure France Dubois. De son côté, la SPCA d'Ottawa est également achalandée. L'établissement a récemment remarqué une hausse du nombre d'animaux qui lui sont remis parce les propriétaires ont des difficultés financières. Les vrais lapins de Pâques Les chiens et les chats ne seront pas les seuls animaux qui se retrouvent dans les refuges. Après Pâques, ce sont les lapins qui arriveront dans les SPCA. « À toutes les années, quelques semaines après Pâques, on reçoit une quantité de lapins, de canards et de petits poussins qui ont grandi. On doit leur trouver une ferme », explique France Dubois, qui s'attend à en recevoir une quarantaine. Offrir un lapereau à son enfant pour Pâques est tentant, mais pas recommandé, à condition de savoir dans quoi on s'embarque. « Ce sont des animaux qui ont besoin de soins spécifiques, note Mme Dubois. Ça devient un peu salaud dans une maison. Les gens se rendent compte que finalement, ce n'était peut-être pas une bonne idée et ils nous rapportent les lapins. Ce n'est pas tellement un animal de compagnie. On ne peut pas le laisser errer partout dans la maison, car il risque de ronger les fils électriques. On doit les garder en cage et la nettoyer souvent. » Les responsables de SPCA recommandent aux parents d'amener leurs enfants soit chez des éleveurs, ou encore à la Ferme expérimentale, où le week-end de Pâques, sa chasse aux oeufs est très populaire avec ses lapins. http://www.cyberpresse.ca/le-droit/actualites/gatineau-outaouais/200904/10/01-845653-apres-les-chiens-place-aux-lapins-dans-les-spca.php
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Il y a toujours de bonnes raisons quand on veut se débarrasser de nos animaux: allergies, crise économique, perte d'emploi, déménagement, etc. etc. Tant que les animaux ne seront considérés que comme des meubles, des biens, ils continueront de souffrir, hélas ! Et pendant ce temps, les animaleries sont pleines à craquer d'animaux à vendre et des gens se garrochent pour en acheter à leurs enfants pour Pâques
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Plusieurs universités sommées de rendre des comptes
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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5 avril 2009 Mesures et démesures Les transformateurs du Québec fulminent contre la nouvelle réglementation sur l'étiquetage des produits alimentaires canadiens. C'est que désormais, il sera interdit d'apposer la mention « produit du Canada » sur tous les produits alimentaires qui contiennent plus de 2 % d'ingrédients importés. Un objectif quasi irréaliste, selon les transformateurs. Ainsi, comme ces derniers ne sont pas obligés d'indiquer la provenance de leur marchandise, plusieurs d'entre eux ont décidé de ne plus rien inscrire sur leurs emballages. En somme, l'initiative d'Ottawa aura finalement eu un effet contraire à celui escompté : en voulant mieux informer le consommateur, le gouvernement n'aura réussi qu'à le priver d'informations. http://www1.radio-canada.ca/actualite/semaine_verte/reportage.aspx?idDocument=78070&idItemMenu=26
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La glace et des prix dérisoires Mise à jour le mercredi 8 avril 2009 à 15 h 04 Photo: La Presse Canadienne /Jonathan Hayward La saison de la chasse aux phoques s'est ouverte mercredi en Basse-Côte-Nord. Les chasseurs de la région ont toutefois préféré rester à quai. D'après la direction régionale de Pêches et Océans, l'épaisseur des glaces à proximité des côtes dans le détroit de Belle-Isle et le prix dérisoire offert pour les peaux de phoque ne motivent pas les chasseurs à sortir en mer. Le mauvais temps annoncé pour les prochains jours en Basse-Côte-Nord ne favorise pas non plus le début de la chasse. En fait, le capitaine d'un seul bateau de la Basse-Côte-Nord a informé Pêches et Océans, mardi, de la possibilité qu'il sorte en mer pour le début de la saison de chasse aux phoques. http://www.radio-canada.ca/regions/est-quebec/2009/04/08/005-phoques-mercredi_n.asp
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Cannon estime décevant que l'Europe songe à bannir les produits de phoque Il y a 1 jour OTTAWA — Le gouvernement fédéral a indiqué lundi qu'il allait prendre "toutes les mesures appropriées" si jamais l'Union européenne décidait d'interdire le commerce des produits de phoque. Le ministre fédéral des Affaires étrangères, Lawrence Cannon, a affirmé qu'il est "décevant" qu'un comité du Parlement européen ait récemment appuyé un projet de loi interdisant aux 27 pays membres de l'union d'importer des produits de phoque. ... http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5iRjedxy2e14mQ8r9Nvq9BmdDfGeA