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Animal

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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Wowww Super !!!!!!!!!!! Bravo Cath !!!!
  2. Les morues se nourrissent aussi de prédateurs des morues donc il y a un équilibre naturel-c'est l'homme qui dénature tout ! Le ministère des Pêches et Océans Canadiens admet lui-même que la chasse au phoque ne contribue pas au rétablissement des stocks de morue et qu'elle ne joue aucun rôle écologique Voir la question et réponse 22 sur le site du ministère. http://www.dfo-mpo.gc.ca/fm-gp/seal-phoque/faq-fra.htm
  3. Animal

    Les pertes d'emploi et les abandons

    Quel méchant papie! Pauvre petit lapinot ! Merci pour ton grand coeur et ton courage Cath !
  4. Animal

    Agneaux/Les temps sont durs

    Qui mangera de l'agneau de Pâques aujourd'hui? Si le titre avait été «Qui mangera son chiot aujourd'hui?» il y aurait eu plusieurs réactions, mais ce ne sont que de misérables agneaux!
  5. Je prends un «break» et je lève aussi mon verre d'«eau» à votre santé les filles ! Ma chère hop, à partir de dimanche probablement, je ne serai plus sur mon ordi jusqu'à ce que je sois installée là-bas... (sûrement une question de quelques semaines) Je t'écrirai un courriel dès que je le pourrai pour te donner ma nouvelle adresse de domicile. Celle de mon courriel restera sans doute la même, J'espère que tout va bien pour toi et ta petite Loustic... Je n'ose te demander si tu as revu tes 2 autres fifilles ? Gros bisous à vous toutes XXXXXXXXXXXXXX
  6. 2) Au Canada, le pouvoir politique hésite à mettre le nez dans les affaires autochtones de ce genre. Si bien que la chasse autochtone est devenue intouchable. Elle est sanctifiée par divers traités et se trouvent nullement entravée par quelque réglementation. En conséquence, les autochtones ont le privilège de chasser et pécher toute l’année, le nombre d’animaux qui est laissé à leur discrétion. Ces autochtones abattraient environ 11 000 animaux par année, c’est dix fois plus que les pourvoyeurs et les chasseurs résidants qui sont déjà très nombreux, au Québec et dans l’ensemble du Canada. Les élus tremblent à l’idée d’imposer des contraintes visant la chasse autochtone. Pourquoi dans un état de droit, il semblerait y avoir des zones de non-droit ? Le visiteur ébloui, tout comme le nouvel immigrant ébahi par la généreuse nature Québécoise peut facilement sous-estimer les activités de chasse et de pêche au Québec. Mais contrairement à un pays comme la France où la chasse concerne à peine 2% de la population, le gouvernement du Québec se félicite que les activités reliées à la faune et à la nature attirent chaque année 3,4 millions de citoyens soit environ la moitié de tous les habitants de la province. Cela correspond à des dépenses de 3 milliards de dollars et 32 000 emplois. Le Québec peut se targuer de 400 ans de chasse, pêche et autres dépiautages d’animaux à fourrure, de préparation des peaux, de techniques de piégeage. Tout cela peut se faire en famille. C’est pour le citadin un possible retour vers le paléolithique à juste quelques heures de route des grands centres urbains ; c’est pour une province relativement pauvre, il faut l’avouer, une poule aux œufs d’or qu’il faut protéger. La chasse est une industrie, avec ses magazines, ses salons, ses cabanes de chasse luxueuse où de riches américains et d’européens viennent se ‘soulager’ à l’abri du regard de la civilisation. Il est évident que cette pression cynégétique, sans parler du braconnage organisé, voit ses effets augmentés dès lors que les autochtones y participent sans retenue. Cette année, des chasseurs Innus des bandes québécoises de la Romaine, de Natashquan et de Saint-Augustin ont décimé une quarantaine de caribous au sud du lac Minipi au Labrador, qui correspondait à la moitié d’une harde déjà en déclin. Les protestations ne se sont pas faites attendre, ni l’intervention des agents de la Faune qui ont constaté des tirs de fusil depuis des motoneiges en marche, en violation des règles de sécurité et des codes d’éthiques de chasse, puisque les animaux sont souvent blessés inutilement. Cependant les agents ont dû rebrousser chemin pour éviter une altercation violente avec les Innus, qui comme chacun le sait, vivent depuis des millénaires en harmonie avec la Nature et veulent maintenant faire valoir leurs droits ancestraux. Aucune crainte de voir intervenir la Gendarmerie royale du Canada pour réprimander et confisquer les armes, les motos neige et les trophées des chasseurs. Qui penserait qu’en mettant en danger la viabilité d’une espèce, les Innus pourrait recevoir des millions de dollars en compensation, pour des projets d’aménagement de leur territoire par de grandes compagnies, pour promouvoir « les valeurs et les activités ancestrales des autochtones. » Assurément, les autochtones ont repris du ‘poil de la bête’ face aux colons, et ne veulent pas en démordre. De toute évidence, les querelles du temps des pionniers laissent la place aux tensions et aux ressentiments entre Blancs et autochtones concernant la chasse : il n’y a plus coopération, il y a compétition. Un autre domaine de chasse où l’on pourrait s’étonner de voir de sympathiques autochtones, c’est la chasse commerciale au phoque. J’ai déjà écris sur le sujet, mais au risque de me répéter, il me semble très peu recommandable d’envoyer des délégations d’autochtones pour aller défendre la plus grand massacre de mammifères marins au monde : question d’image. Le gouvernement fédéral, à court d’arguments valides, n’a cesse d’utiliser les Premières nations pour suggérer que la pêche au phoque est vitale pour certaines communautés constituées en majorité de non autochtones. Ceux-ci opèrent une chasse commerciale, contrairement aux Inuits, qui en font davantage une chasse ancestrale et culturelle. Il est assez surprenant de voir les autochtones venir en aide aux Blancs qui les ont tant spoliés et avilis au fil des siècles. Peut-être que la corruption et l’immoralité ne sont plus l’apanage des langues fourchues qui jadis, offraient aux braves guerriers insouciants l’eau de feu qui fait tourner la tête. Malgré toutes les déprédations dont sont responsables les autochtones, au temps passé comme au temps présent, l’Europe a l’audace, dans sa détermination d’interdire l’importation des dérivés du phoque, d’exempter les autochtones de cette interdiction qui vise la chasse commerciale. Autant dire qu’on fait un cadeau inestimable aux responsables des Inuits qui doivent se frotter les bouts du nez de bonheur en pensant aux juteuses affaires à venir. Pourtant, si la logique et la raison l’emportaient, si l’on interdisait le commerce des dérivés du phoque sous prétexte que cette chasse est inhumaine, en quoi l’exercice d’une chasse autochtone la rendrait plus humaine? Est-ce que le hakapik, ou Dieu sait quel autre instrument de mort, chez le gentil Inuit a des vertus éthiques que ne posséderait pas le hakapik du méchant Blanc, qui fracasse le crâne d’un bébé phoque de 13 semaines, qui ne sait ni nager, ni fuir ? Telle est la question que je pose aux députés européens. Aux dernières nouvelles, j’apprends que des autochtones se trouvent impliqués dans la contrebande de cigarettes entre le Québec et les Etats-Unis, et agissent en véritables groupes criminels organisés. Mais n’ayons pas de soucis à nous faire, suivons l’exemple des Européens pour se persuader, et pourquoi pas sur un air de gigue, qu’ils sont tellement gentils ces Indiens. Plus d'info: Leur chasse peut contribuer au déclin du caribou, admettent les autochtones http://www.radioactif.com/nouvelles/nouvelle-chasse_peut_contribuer_declin-5065-2 Pêche et chasse: puissants moteurs économiques: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/sports/chasse-et-peche/200903/11/01-835604-peche-et-chasse-puissants-moteurs-economiques.php Québec inquiet des affrontements entre Innus et agents de la faune: http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/200903/31/01-842150-quebec-inquiet-des-affrontements-entre-innus-et-agents-de-la-faune.php Des caribous et des hommes: http://www.ledevoir.com/2009/04/10/244903.html http://david-ruffieux.over-blog.fr/
  7. Les gentils Indiens Cette année l’abattage de quelques 600 narvals pris dans les glaces à Pond Inlet au Nunavut (Canada) avait de quoi soulever le cœur des écologistes. La première question qu’on doit se poser est celle-ci : a-t-on tout fait pour tenter de sauver ces superbes animaux ? Ces narvals étaient dans une situation de détresse de laquelle ils ne pouvaient s’échapper, nous dit-on. La mort de faim ou d’asphyxie dans les glaces en formation était-elle inexorable ? Dans un pays qui compte de puissants brise-glaces et comptant sur l’aide des Inuits, si soucieux du bien-être des animaux, on s’attendait à un autre spectacle; celui de la délivrance et de la vie. Et bien non. Le Canada aura encore brillé par sa cruauté envers la faune sauvage. Dans un pays, dont le gouvernement conservateur fait l’apologie de la chasse commerciale jusqu’au cœur même de l’Europe et utilise l’argent public dans des proportions intolérables pour subventionner cette chasse, la vie de ces quelques narvals comptait bien peu. Mr. Harper, que notre malheur commun a reconduit au pouvoir et les hauts fonctionnaires du Département des Pêches et Océans font preuve encore d’un manque de compassion affligeant. Non contents d’avoir gagner des votes chez les Inuits, dont la culture, invariablement, semble nécessiter la mort de mammifères marins, des ministres fédéraux sortent de leurs igloos, pour critiquer les propos excessifs de Paul Watson. Le Président de la Sea Shepherd Conservation Society, dont on réclame sa destitution et dont le bateau a été séquestré par les autorités canadiennes, est un habitué des formules chocs et réitère ses exploits médiatiques en assimilant la tuerie des narvals à Pond Inlet, au massacre de My Lai, lorsque des soldats américains massacrèrent les habitants de tout un village, durant la guerre du Vietnam. Paul Watson pouvait compter sur la réaction d’un ministère rompu aux manipulations de masse et aux techniques d’intimidations, qui feignant l’indignation, pousse le ridicule jusqu’à demander des excuses pour des commentaires de nature « blessante » envers la culture Inuit. Watson sortira toujours vainqueur face à une institution de contrôle des pêches, qui ne perd jamais une occasion de se tourner en ridicule. Ayant les intérêts des chasseurs à cœur, quoiqu’il en coûte à l’image du Canada, une image déjà bien ternie par ces amoncellements ensanglantés de peaux de phoques, comment pouvons-nous respecter un gouvernement et des institutions qui détruisent la faune sauvage et saccage l’environnement avec une telle indifférence et une telle férocité. Bienvenue au Canada. Que le narval ne soit pas une espèce en voie de disparition pour mériter qu’on lui vienne en aide, est un argument fallacieux, qui traduit autant le manque de réflexion des uns que le manque de compassion des autres. Il serait bien de se rappeler qu’au Canada, il n’est pas trop tard pour protéger la faune et l’environnement et pour mettre un terme à l’arrogance du Premier ministre canadien et de son agence fédérale de destruction massive. Mais là n’est pas l’essentiel de mon propos, il s’agit juste d’une introduction en la matière. Ce dont je veux parler, c’est bien de la relation entre les animaux et les autochtones, en particulier ceux d’Amérique du Nord. Dans leurs relations lointaines avec les minorités indiennes, il semblerait que les Européens, comme frappés de culpabilité aiguë, ont décidé de les porter aux nues et d’en faire un symbole d’innocence et un modèle de communion avec la nature. Un regard sur le passé et l’actualité permet de nuancer, pour peu qu’on veuille bien voir et mieux juger, l’admiration béate pour les peuples des Premières nations. Dans leurs attitudes envers les animaux, les Américains autochtones, ne sont pas mieux que le méchant homme Blanc, qui est parvenu à exterminer leurs cultures. J’entends déjà les voix qui s’élèvent d’indignation à cette accusation, très politiquement incorrecte. Ma première expérience des Indiens d’Amérique remonte évidemment à l’enfance à travers les films de Western, dans lesquels John Wayne passait à la carabine Winchester, sans coup férir et la cigarette au bec, des hordes hurlantes de ‘peaux rouges.’ Scènes spectaculaires, en effet, que ces tueries réciproques entre le généralement bon cowboy et le bien souvent vilain Indien. L’enfant occidental regardait avec fascination et ébahissement des films d’un niveau de violence anodine et culturellement acceptable pour l’époque. La réalité, on s’en doute, était bien pire. Aujourd’hui ce qui est particulièrement choquant, c’est non seulement la disparition des cultures autochtones dans le monde, mais la ferveur avec laquelle les colons ont exterminé la faune sauvage; il s’agit de l’un des épisodes les plus tragiques du monde animal. On se rappellera volontiers de la conquête sanglante de l’Ouest, mais aussi de l’avidité obscène des nouveaux arrivants qui annihilèrent les bisons qui traversaient les plaines de l’Amérique du Nord depuis des milliers d’années. L’homme Blanc, mue d’une voracité sans pareil, aura conduit la planète et sa biodiversité à sa ruine, en l’espace seulement de quelques secondes sur une échelle de temps géologique. Mais ce qui est moins reconnu par un public européen édulcoré aux bons sentiments, c’est que les dits ‘peaux rouges’ n’étaient pas des anges non plus dans leur rapport avec la faune. En effet parmi les techniques de chasse pratiquées par les peuples des plaines, on retrouve la chasse à l’enclos, par laquelle les bisons étaient conduits dans une gorge étroite par un chasseur qui endossait une peau de bison. D’autres chasseurs formaient deux rangées d’hommes prêts à recevoir les animaux qui se bousculaient pour entrer dans un corral très étroit. L’abattage se faisait à la lance. Il y avait aussi la belle méthode du saut vers la mort. Cette peu gracieuse technique consistait à effrayer les bisons, en faisant virevolter des couvertures, qui finalement se précipitaient vers le fond d’une falaise. On imagine aisément la scène de boucherie de tous ces animaux, certains morts dans leur chute, d’autres encore agonisants dans des enchevêtrements de membres et d’échines fracassés. D’autres chasseurs finissaient le travail au bas de la falaise. D’autres techniques, mieux adaptées aux couverts forestiers, permettaient d’embourber le bison des bois dans les hautes neiges, d’où on l’encerclait. Bref, les méthodes de chasse de l’époque ne permettaient pas une mise à mort humaine et causaient des souffrances considérables. Avec l’arrivée du cheval qui n’était pas connu avant l’arrivée des Espagnols, les Premières nations d’Amérique du Nord purent s’approcher plus facilement des animaux en fuite pour les flécher à plusieurs reprises, entraînant peut-être une mort plus rapide. Mais ce fut l’introduction du fusil à poudre qui allait précipiter la disparition du bison, avec le développement du commerce de la viande et des peaux. Au départ venus de l’Est, trappeurs et chasseurs européens, ayant fait disparaître le castor par le commerce des fourrures (avec l’aide précieuse des Premières nations), dans leurs mouvements vers l’Ouest rencontrèrent des milliers de bisons arpentant tranquillement les plaines, libres et ouvertes jusqu’à l’horizon, dans une Amérique encore vierge. Les luttes entre les Blancs et les autochtones, ces derniers repoussés davantage vers des retranchements avec l’avancée des colons et de leurs armées, allaient contribuer à l’un des plus grands massacres de mammifères que ce continent ait connus. En effet, la politique d’extermination des peuples autochtones, en rébellion face à l’invasion coloniale, décida du sort des bisons qui, à leur tour, furent systématiquement anéantis par les bons cowboys, tel le général Custer, voyant là un ingénieux stratagème pour priver l’Indien récalcitrant de sa nourriture de base. D’aucuns diront que ces choses appartiennent au passé, mais s’il est vrai que les Premières nations, leur fierté et leurs cultures ont pu se remettre quelque peu d’un génocide, et même jouissent aujourd’hui de notre respect coupable, il reste que le génocide animalier continu. Les narvals tués dans les eaux arctiques constituent un épisode parmi d’autres chasses qui mettent en péril des espèces. Dès 2007, les gentils autochtones de l’arctique canadien admettait que la population de caribous connaissait une chute libre dans le Nord. En fait, cinq des sept hardes de caribous sont en déclin, alors qu’une sixième éprouve le même problème. En particulier, la harde de caribou de Bathurst au nord du Grand lac des Esclaves, est passée de 500 000 individus à environ 186 000, soit un recul de 60 pour cent en 20 ans. On invoque des changements climatiques et l’activité humaine, comme l’industrie, mais la chasse est aussi au banc des accusés. Dans un entretien, Richard Nerysoo, le chef de la bande Déné d'Inuvik affirmait : «Nous devons pratiquer une récolte disciplinée, nous devons comprendre que cela doit changer.» Il faut dire que chasser depuis les avions semble assez loin des techniques anciennes de chasse d’antan, les armes puissantes ont remplacé les flèches et les lances, les motoneiges se passent volontiers des chiens de traîneaux, bref, l’animal a peu de chance d’échapper aux chasseurs. .../2
  8. Chasse au phoque: réplique politique aux animalistes Louis-Gilles Francoeur Édition du vendredi 24 avril 2009 Le Canada rend public un projet de «Déclaration universelle sur le prélèvement éthique du phoque» ... Mais le plus important de cette déclaration demeure cet article de son préambule, qui constitue un tournant décisif par rapport à une certaine philosophie animaliste selon laquelle les humains devraient se priver de récolter des espèces animales comme s'ils étaient des maillons étrangers du système vivant. La déclaration reconnaît en effet que «l'équilibre des écosystèmes est le fruit d'une interaction constante entre les proies et les prédateurs à tous les niveaux de la chaîne alimentaire» et que «l'espèce humaine fait partie intégrante de l'écosystème et qu'en conséquence, sa position en tant que prédateur ne peut être séparée du reste de la nature». Mais si ce droit de tuer des animaux pour nos besoins est reconnu, on ne balise malheureusement pas ce droit assez explicitement par la nécessité de ne jamais menacer la survie des espèces ou des cheptels régionaux, même pour des raisons alimentaires. Certes, on parle de gestion écosystémique, mais le concept est trop vague et on pourrait invoquer que des populations d'une espèce sont solidement établies ailleurs pour en surexploiter d'autres localement. Les abus récents de certaines bandes innues aux dépens d'une harde menacée au Labrador devraient inspirer une modification fondamentale à cette déclaration, sinon beaucoup d'écologistes et de chasseurs, commerciaux et sportifs, en accord avec les principes d'une exploitation durable, y trouveront à redire à juste titre. De plus, par ce projet de déclaration, les communautés de chasseurs affirment clairement qu'ils «respectent les mammifères marins, qu'ils considèrent comme des êtres sensibles et conviennent par conséquent de la nécessité de faire en sorte que l'abattage soit rapide et professionnel et se fasse au moyen de méthodes inspirées des solides principes de protection des animaux» et surtout, des méthodes validées scientifiquement et appliquées par des chasseurs certifiés compétents. Cette déclaration est la première réplique politique sérieuse depuis 20 ans aux campagnes des animalistes qui dominent sans nuance l'échiquier politique et médiatique en Europe en contravention avec les principes de l'exploitation faunique durable pourtant appliqués à d'autres cheptels par l'Union européenne. Elle pourrait ouvrir la porte à une solide contestation juridique d'un éventuel boycottage européen devant l'OMC si l'Europe ne réalise pas à temps l'incongruité de sa position. ... http://www.ledevoir.com/2009/04/24/247223.html
  9. les miens ne seront sûrement pas prêts avant juin... C'est la course contre la montre en ce moment-Lundi on passe chez le notaire et mardi on déménage Bonne journée les filles
  10. Floride Le mystère plane après la mort des chevaux d’une équipe de polo Mise à jour : 20/04/2009 12h18 La nouvelle en vidéo http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2009/04/20090420-121854.html Regardez le reportage préparé par nos collègues de CNN (en anglais). En Floride, le mystère plane toujours après la mort suspecte de 21 chevaux appartenant à l’équipe de polo du Venezuela, qui devait participer dimanche à un important tournoi. Les autorités locales ont lancé une enquête. Elles ont indiqué que des expertises étaient pratiquées sur les corps de 15 des 21 bêtes afin de déterminer si notamment leur mort serait attribuable à des substances quelconques. Selon le vétérinaire de l’équipe, il ne fait aucun doute que les chevaux ont été intoxiqués. Les chevaux étaient âgés de 10 et 11 ans; leur valeur marchande est évaluée à 100 000 dollars US par tête.
  11. À cause d'un nombre grandissant d'incidents reliés à l'usage de pesticides utilisés pour contrôler les puces et les tiques chez les animaux domestiques, l'agence américaine de protection environnementale est en train d'évaluer des produits présentement vendus en vente libre en magasin. L'an dernier, 44,000 animaux domestiques auraient développé des problèmes de santé à cause des pesticides retrouvés dans des colliers, aérosols et shampoings anti-puces. p.s.: Santé Canada a identifié des problèmes similaires... Voir la liste de ces produits à cette adresse: http://www.epa.gov/pesticides/health/flea-tick-control.html
  12. Publié le 21 avril 2009 La Ville ferme un parc canin ... Toutefois, l'enthousiasme des chiens semble être venu à bout de la patience des résidants des environs. Ceux-ci ont déposé suffisamment de plaintes à l'arrondissement en raison du bruit pour que les autorités décident de fermer le parc en attendant de le déménager. ... Ils étaient d'ailleurs nombreux à s'étonner que le bruit des chiens dérange le voisinage, alors que le bruit de l'autoroute Dufferin, du boulevard des Capucins et des semi-remorques en transit vers l'usine Stadacona est omniprésent. ... http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/la-capitale/200904/20/01-848579-la-ville-ferme-un-parc-canin.php
  13. je présume que c'était un élevage de chiens de traîneaux
  14. Merci Linda, ça résume bien ce qui est écrit dans le texte anglais
  15. La Humane Society International/Canada a dévoilé de nouvelles images et une vidéo lors d'une conférence de presse avec le Sénateur Mac Harb ce matin à Ottawa. Ces nouvelles images prouvent que les observateurs ont pu, cette année encore (2009), documenter de nombreux cas d'extrême cruauté, incluant des violations du Règlement sur les mammifères marins Images + vidéo http://www.hsicanada.ca/press_room/inhumane_sealkill09.html ------------------------ Seal Slaughter Cruelty Continues in Canada Humane Society International Documents Suffering, Apparent Violations of Marine Mammal Regulations at 2009 Seal Kill ... "The cruelty we filmed this year proves that the slaughter is as cruel and inhumane it has always been," said Rebecca Aldworth, director of HSI Canada. "We filmed seals being shot repeatedly in open water, seals cut open as they appeared to respond to pain, injured seals left to suffer on the ice, and wounded seals allowed to escape beneath the water's surface where they endure a slow and painful death. It's time the Canadian government ends this cruelty by buying back the sealing licenses."
  16. Animal

    Bulletin-PRINTEMPS 2009

    4 zebras die at Greater Vancouver Zoo Last Updated: Monday, April 20, 2009 | 8:49 PM PT Comments22Recommend19CBC News Two zebras can be seen in their enclosure at the Greater Vancouver Zoo in this undated photo. (CBC) Four zebras have died at the Greater Vancouver Zoo, prompting an investigation by the British Columbia Society for the Prevention of Cruelty to Animals. The deaths occurred two months ago after two cape buffalo were placed into the zebras' enclosure, according to the Vancouver Humane Society. The zoo, located in the Fraser Valley community of Aldergrove, east of Vancouver, did not make public the deaths of the animals. Repeated calls by CBC News on Monday were not returned. The zebras, who were between five and 15 years old, must have panicked and probably died of stress, Vancouver Humane Society spokesman Peter Fricker said Monday. The zebras likely suffered from exertional myopathy, a muscle disease characterized by damage to muscle tissues brought about by physiological changes, usually following extreme exertion, struggle and/or stress, Fricker said. He said cape buffalo are extremely dangerous animals and, although zebras and buffalo co-exist in the wild, keeping them together in an enclosed space was a mistake. "We feel this is a sign of incompetence on the zoo's part, that either the introduction of these animals into the zebra enclosure should not have been made, or it should've been done with greater care and expertise," Fricker told CBC News in a telephone interview. Eileen Drever, senior animal protection officer with the B.C. SPCA, said Monday that the organization has opened an investigation into the deaths of the zebras. Drever said the zoo has not returned calls regarding the animals' deaths, and SPCA representatives were planning on visiting the zoo Tuesday. History of incidents Fricker said the zebra deaths represent another black mark on the history of the Greater Vancouver Zoo. In June 2006, serious questions were raised about the zoo's ability to care for its animals after a baby female giraffe who was born at the zoo died after eight days. A 4,100-kilogram elephant, Tina, developed health problems in August 2003 while being housed at the zoo. She was transferred to the Elephant Sanctuary in Tennessee for better treatment but died in July 2004. Also in 2004, two hippopotamuses, Gertrude and Harvey, at the Greater Vancouver Zoo died at the age of 20 — half their life expectancy. http://www.animalconcerns.org/external.html?www=http%3A//www.cbc.ca/canada/british-columbia/story/2009/04/20/bc-zoo-zebra-deaths.html&itemid=200904210712190.176379
  17. Publié le 20 avril 2009 à 12h01 | Mis à jour à 12h01 «Pig Brother», une téléréalité pour promouvoir le porc Agence France-Presse Vienne En Autriche on ne badine pas avec la gastronomie et en particulier avec la charcuterie, comme le prouvent les quatre nouvelles stars roses de la toile: Piggy, Lilly, Pauli et Fredi, porcelets héros du dernier reality show Pig Brother lancé lundi. Pendant six semaines, ces petits cochons seront suivis dans leurs moindres faits et gestes 24 heures sur 24 par une batterie de caméras dans leur porcherie à Helfenberg dans le nord de l'Autriche. Les images retransmises en direct sur l'internet permettront aux internautes d'élire chaque semaine un «Super Cochon» sur la base de ses performances dans des olympiades porcines et l'évolution de son tour de taille. Car cette «porc story», avec publication du journal «intime» de Piggy la diva, Lilly la sympa, Pauli le philosophe et Fredi le téméraire sur le site www.pigbrother.at, n'est qu'un avant-goût du troisième «speck (mot allemand pour lard) festival» organisé début juin par la commune de Helfenberg pour la promotion de ses spécialités locales. L'internaute gagnant de l'élection du «Super Cochon» remportera, cela va de soit, un panier de ... cochonnailles locales et des billets d'entrée pour le «Festival du lard», selon le site qui ne dévoile cependant pas le sort réservé aux quatre petits héros de Pig Brother. http://www.cyberpresse.ca/actualites/insolite/200904/20/01-848406-pig-brother-une-telerealite-pour-promouvoir-le-porc.php
  18. Il est évident qu'il est devenu vegan pour perdre du poids, pour sa santé... Dommage quand-même qu'il n'ait pas du tout parlé des animaux
  19. Macabre découverte sur une plage Mise à jour le samedi 11 avril 2009 à 13 h 09 Des Néo-Écossais ont fait une macabre découverte en marchant jeudi sur la plage Conrad, située à 40 minutes d'Halifax. Ils ont trouvé au moins 25 phoques morts gisant sur le sable. La plupart d'entre eux ont été décapités et certains ont des trous dans le pelage. (dans une émission radiophonique, on disait que ces phoques avaient probablement été la cible de chasseurs qui accusent les phoques de se nourrir de poissons....) Les autorités ne savent pas encore comment ils ont été tués. Le directeur régional du ministère de Pêches et Océans, Leslie Burke, affirme qu'à ce temps-ci de l'année, il est possible que des glaces, qui se seraient détachées, aient blessé mortellement les phoques. Les autorités mènent une enquête sur cette découverte. Les résultats devaient être connus la semaine prochaine. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2009/04/11/001-NE-phoques-morts-plage_n.shtml
  20. Îles Galapagos L'éruption d'un volcan menace la vie sauvage Associated Press (AP) 11/04/2009 20h14 Un volcan est entré en éruption aux Galapagos, et il pourrait menacer la faune et la flore uniques de l'archipel, ont indiqué des responsables équatoriens. ... Mais la lave qui se déverse dans la mer pourrait affecter la vie marine et les iguanes, les loups et d'autres éléments de la faune terrestre. ... http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/04/20090411-201405.html
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