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Publié le 26 janvier 2009 Des habitudes à changer pour limiter le réchauffement Agence France-Presse Bruxelles Accepter d'avoir chaud en été et froid en hiver, manger moins de viande, limiter les voyages d'affaires, : la lutte contre le réchauffement de la planète passe aussi par des changements de comportement, assure une étude présentée lundi à Bruxelles. «Modifier les habitudes sera difficile», ont reconnu les experts du cabinet de consultants McKinsey dans cette étude présentée en présence du commissaire européen à l'Environnement Stavros Dimas. Mais ces petits gestes de la vie quotidienne peuvent permettre d'éviter de rejeter dans l'atmosphère entre 3,5 et 5 milliards de tonnes de CO2 d'ici à 2030, assurent-ils. L'étude recense 200 actions possibles pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, dont le CO2, et limiter le réchauffement de la planète à 2 degrés celsius en 2030. «Réduire les voyages d'affaires et les déplacements privés, passer du transport routier au rail, accepter de réduire le chauffage ou la climatisation, limiter sa consommation de viande», sont quelques-unes de ces options. ... http://www.cyberpresse.ca/environnement/consommation/200901/26/01-821007-des-habitudes-a-changer-pour-limiter-le-rechauffement.php
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Rapport britannique Moins de viande dans les hôpitaux contribue à la santé... de la planète Associated Press (AP) Raphael Satter 26/01/2009 15h27 Moins de porc, de boeuf et de fromage peut être bon pour la santé des malades et celle de la planète, a expliqué lundi le Dr David Pencheon, directeur de l'unité développement durable du Service de santé national britannique (NHS). LONDRES - Les hôpitaux en Grande-Bretagne vont être invités à réduire la part des viandes et produits laitiers dans les menus des patients afin de préserver la santé... de la planète. Une proposition qui figure dans une étude sur l'impact environnemental du système public de santé britannique. À la place de ces aliments, le rapport, qui doit être publié mardi, recommande davantage de légumes produits localement, précise le Dr. David Pencheon, directeur de l'unité développement durable du Service de santé national (NHS). Moins de porc, de boeuf et de fromage peut être bon pour la santé des malades et celle de la planète, a-t-il expliqué lundi. «Le NHS a le devoir de montrer l'exemple: il est parfaitement possible de manger sainement sans consommer autant de viande», a-t-il déclaré à l'Associated Press. Le NHS est le premier acheteur de produits alimentaires en Grande-Bretagne, et y consacre 500 millions de livres sterling (855 millions $ CAN) chaque année. Une grande partie des aliments sont importés de l'étranger. Dans une version préliminaire de l'étude, on apprend que les ingrédients habituels du «steak and kidney pie», une tourte au boeuf et aux rognons, parcourent 31 200 kilomètres avant d'atteindre l'assiette du patient. Selon le Dr Pencheon, le rapport recommande de réduire la consommation de viande en servant des repas exclusivement végétariens un jour de la semaine. Substituer des légumes produits localement à des viandes importées est bon pour l'environnement, et un environnement sain est bon pour les patients sur le long terme, explique-t-il. «C'est bon pour notre santé maintenant et notre santé future.» ... http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2009/01/20090126-152711.html
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Bonjour ma belle hop, Je ne savais pas que tu avais quitté L214 - Ça te donnait trop de travail ? De mon côté, j'ai pris beaucoup de retard dans tout depuis la maladie de Peter et j'ai du mal à reprendre le dessus surtout que je me sens totalement épuisée. Il m'arrive même de m'endormir devant mon écran Heureusement que j'avais pris un peu d'avance pour les nouvelles du bulletin. Il ne m'en reste que 2 ou 3 à préparer Bonne journée ma chère toi !
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Abandonnés dans une maison depuis Noël
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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3 semaines de chasse aux oiseaux en +
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Tempête - Plus de 2 000 poulets tués
Animal a répondu à un(e) sujet de hop dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Publié le 25 janvier 2009 à 10h04 | Mis à jour à 10h07 Les escrocs de l'alimentation Stéphanie Bérubé La Presse Du saumon sauvage qui n'a rien de sauvage. Une escalope de porc servie au lieu d'une escalope de veau. Un plat de pétoncles sans pétoncles. On n'a pas encore parlé de l'huile d'olive supposément extravierge, qui contient parfois de l'huile à... moteur! On pense connaître la qualité des aliments qu'on mange parce que des inspecteurs sont payés pour veiller au grain. Mais, dans la vraie vie, des commerçants véreux arrivent facilement à déjouer le système. Une bouteille d'huile d'olive sur trois vendues au Canada n'est pas conforme. On y a ajouté de l'huile de canola ou une autre huile moins chère pour la diluer et tout de même la vendre sous l'appellation huile d'olive extravierge. Le consommateur n'y verra que du feu. Et à moins que l'auteur de cette arnaque soit très malchanceux, il s'en sortira indemne puisque les contrôles sont rares. Très rares. C'est ainsi que des légumes importés changent subtilement d'emballage pour devenir des produits du Canada, plus chers. Que du sirop de poteau devient du sirop d'érable. Ou qu'une escalope de veau servie au restaurant est en fait du porc que l'on a attendri. La fraude alimentaire est un phénomène largement répandu, mais néanmoins méconnu. Dans notre système basé sur le lien de confiance entre celui qui produit l'aliment et celui qui l'achète, l'occasion fait parfois le larron. L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), qui file les filous, en voit des vertes et des pas mûres: du caviar béluga qui n'a rien à voir avec l'esturgeon, de la peau de concombre de mer vendue comme du vivaneau, des saucisses avariées recyclées en nourriture pour chiens. L'ACIA fait peu de contrôle sur des aliments choisis au hasard. «On ne fait pas de chasse aux sorcières. Les inspecteurs agissent surtout lorsqu'ils reçoivent des plaintes», explique Daniel Aubry, gestionnaire du service des enquêtes et de l'application de la loi à l'ACIA. Une plainte portée, par exemple, par un concurrent choqué par les pratiques qu'il soupçonne chez le voisin. Pour l'exercice 2006-2007, 2646 inspections dont le but était de déceler les «pratiques déloyales» ont mené à 12 386 constats d'infraction. Il y avait donc une surprenante moyenne de cinq infractions pour chacun des produits inspectés. Les fautes ne sont pas toutes également répréhensibles. Un manque d'information dans l'une des deux langues officielles, par exemple, est considéré comme une infraction. On est loin de la mélamine dans le lait pour fausser le résultat des analyses en contenu protéinique. «Tout le monde a déjà eu entre les mains un aliment contrefait», explique John Spink, professeur à l'Université du Michigan et directeur d'un groupe de protection contre les pratiques déloyales en alimentation. Faux saumon Le poisson, par exemple, est un secteur vulnérable parce qu'on peut facilement substituer une espèce à une autre. Il y a quatre ans, la revue américaine Consumer Report a testé 23 morceaux de saumon sauvage. Après l'étude au labo, on a révélé que seulement 10 des échantillons étaient effectivement du saumon sauvage. On avait même parfois coloré le poisson pour qu'il ait un aspect plus «sauvage». Au Canada, un restaurant de Colombie-Britannique a été reconnu coupable de servir un «plat de pétoncles à la japonaise» dans lequel il n'y avait pas un seul pétoncle. On avait habilement utilisé un mélange de goberge, d'amidon, de blanc d'oeuf et de soya. Dans cet établissement, on servait aussi des escalopes de veau qui étaient, en fait, du porc. «Selon le FBI, la contrefaçon sera le crime le plus important au XXIe siècle, explique John Spink. Toutes les formes de contrefaçon, y compris dans l'alimentation.» Impossible de s'en protéger, elles sont partout. Mais elles se trouvent surtout aux deux extrémités du commerce, explique John Spink. Il faut se méfier des produits alimentaires vendus à des prix ridiculement bas, dit-il. Parce qu'il y a peut-être eu substitution dans les ingrédients. À l'inverse, on peut facilement faire passer des produits quelconques pour des produits haut de gamme avec un emballage attrayant. «De tels comportements jettent le discrédit sur l'ensemble de l'industrie alimentaire qui a de bonnes intentions», déplore Charles Tanguay, d'Option consommateurs. Manque d'inspecteurs Si les filous de l'alimentation ont la vie si facile, c'est qu'on leur laisse le champ libre. L'ACIA a 800 inspecteurs au Québec. Seulement une trentaine travaille à démasquer les fraudes dans le programme de salubrité des aliments et de protection des consommateurs. «L'Agence va allouer ses ressources et son personnel en fonction des risques, explique son porte-parole, Jean-François Bolduc. Ce n'est pas que la fraude alimentaire n'est pas une priorité, mais nous devons établir un ordre d'importance.» Les risques pour la santé humaine sont effectivement beaucoup plus élevés dans un abattoir qu'au commerce. D'ailleurs, le but premier des fraudeurs en alimentation n'est pas de rendre les gens malades, mais de faire de l'argent. «Il y a une certaine ignorance dans ce domaine, explique John Spink. Les gens pensent que ce n'est qu'un crime financier, mais il y a un réel risque pour la santé humaine. Le cas de la mélamine dans le lait maternisé en est le meilleur exemple. En Chine, des enfants sont morts après avoir bu ce lait.» Il y a aussi un risque réel lorsque des personnes ayant des allergies alimentaires achètent en toute confiance un aliment qui contient des ingrédients non mentionnés sur l'étiquette. Au Québec, des inspecteurs du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation visitent chaque année une centaine d'établissements choisis au hasard pour s'assurer que les ingrédients et la quantité soient bien conformes à ce qui est prétendu. Pour démasquer les malfaiteurs, le groupe de John Spink veut être plus rusé qu'eux. «Nous voulons cibler les endroits où l'on peut facilement faire des substitutions», explique le professeur. Il est facile, explique-t-il, d'utiliser un ingrédient qui n'est pas certifié biologique dans des céréales bio. Il y a peu de risque de se faire pincer. Des amendes peu dissuasives Un constat d'infraction ne mène pas nécessairement à une condamnation. Pour l'année 2006-2007, 18 contrevenants canadiens ont été contraints de payer des amendes totalisant... 12 000$! C'est une moyenne de 666$ par condamnation. «J'appellerais plutôt ça une taxe à la fraude, dit Charles Tanguay, d'Option consommateurs. Et encore, une taxe pas chère. Si nous avions des amendes d'un million de dollars, nous pourrions utiliser ces fonds pour augmenter le nombre d'inspections.» Selon la Loi canadienne sur les aliments et drogues, la peine maximale est de 50 000$, une peine rarement atteinte. Ottawa a toutefois le projet de hausser la note. «Les sanctions actuelles sont trop légères pour avoir un effet dissuasif», peut-on lire dans le Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires, présenté à l'automne 2007. Aux États-Unis, les amendes peuvent effectivement s'élever à un million de dollars et, dans l'Union européenne, elles peuvent atteindre jusqu'à l'équivalent de 5% des revenus annuels de l'entreprise fautive. Autre détail qui pourrait avoir un effet dissuasif, dit Charles Tanguay: la publication des noms des contrevenants. En fait, l'ACIA dévoile le nom des entreprises qui sont condamnées. Par exemple, en 2007, la compagnie Tucom, de Mirabel, a reconnu sa culpabilité dans un cas d'huile d'olive altérée, mais la compagnie, qui importe l'huile en vrac et la met en bouteille ici, ne vend pas son huile sous son nom d'entreprise. Elle a comme clients des marques privées, ou elle vend de grosses quantités aux restaurants. L'ACIA ne peut pas publier la liste des clients de l'importateur, qui n'ont rien à se reprocher. Tucom s'en sort donc avec son amende de 4000$ et poursuit ses activités. Ni vu ni connu. http://www.cyberpresse.ca/vivre/consommation/200901/25/01-820675-les-escrocs-de-lalimentation.php -------------------------------------------------- 25 janvier 2009 à 09h58 | Mis à jour à 10h01 Le cas de l'huile d'olive Photo: David Boily, La Presse Stéphanie Bérubé La Presse Oubliez l'oliveraie bucolique, sur le flanc d'une colline en bordure de la Méditerranée. L'huile d'olive est devenue une industrie gigantesque, très rentable et infestée de commerçants malhonnêtes qui ne demandent pas mieux que de multiplier leurs profits sur le dos des consommateurs, lesquels se trouvent bien souvent à l'autre bout du monde. «Les analyses de l'Agence canadienne d'inspection des aliments ont mis en évidence une augmentation de l'altération de l'huile d'olive par rapport aux exercices précédents», indique le dernier rapport de l'organisme de contrôle. L'Agence note l'utilisation de l'huile de canola, de tournesol ou alors la fabrication de l'huile avec des résidus d'olives plutôt qu'avec la pulpe. En 2002-2003, les inspecteurs de l'Agence avaient testé 49 échantillons d'huile. Seulement deux étaient falsifiés. Pour 2006-2007, 15 des 45 échantillons passés au laboratoire avaient été altérés. Seulement les deux tiers étaient conformes. Dans l'industrie, tout le monde est au courant de ce fléau. «C'est un sujet tabou», estime toutefois la Québécoise Michèle Ricard, propriétaire de La Belle Excuse, qui embouteille ici des huiles de l'oliveraie familiale de son conjoint, en Grèce. «Juste entre notre propriété dans le Péloponnèse et Athènes, notre huile risque d'être coupée deux fois», déplore-t-elle. L'huile d'olive est le produit idéal pour les fraudeurs, explique Claudia Pharand, propriétaire des boutiques Olives&Olives. D'abord, elle est passée d'un luxe réservé aux connaisseurs à produit de grande consommation en quelques années. Au Canada, depuis le début des années 90, la consommation d'huile d'olive a triplé, selon les chiffres du Conseil oléicole international, l'organisme de référence en la matière. «Ça coûte très cher de produire de l'huile d'olive», explique Claudia Pharand. On ne peut pas s'attendre à payer le même prix pour un gallon d'huile d'olive que pour un gallon d'huile de canola. Des industriels sont donc tentés d'offrir des huiles «extravierge» aux mêmes bas prix que n'importe quelle autre pour attirer une nouvelle clientèle. Le phénomène est largement répandu, partout dans le monde. En 2007, les autorités italiennes ont testé les huiles de 757 producteurs, pour découvrir que 205 d'entre eux avaient coupé leurs huiles d'olive. Les fraudeurs trichent aussi sur l'origine de l'huile. De l'huile africaine devient italienne, explique Michèle Ricard. «On a même déjà trouvé de l'huile à moteur dans de l'huile d'olive, dit-elle. On recycle aussi de l'huile rance avec de la plus fraîche. Pour changer la couleur, ils ajoutent parfois de la chlorophylle.» Shit !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Contrairement à ce que l'on pourrait croire, on ne reconnaît pas toujours facilement une huile trafiquée, à l'oeil et même au nez. Les laboratoires qui testent les huiles doivent calculer le taux d'acide oléique dans l'huile pour découvrir le pot aux roses. En Amérique du Nord, un seul laboratoire est accrédité par le Conseil oléicole international, celui de l'ACIA. Le consommateur pris en otage Alors comment les consommateurs peuvent-ils se prémunir contre de telles fraudes? Il n'y a pas de formule magique, mais Claudia Pharand conseille de se méfier des huiles d'olives extravierge qui sont vendes à des prix dérisoires. «Il ne faut jamais acheter une huile qui n'est pas datée», conseille-t-elle également. Elle recommande aussi à ceux qui veulent s'assurer d'acheter de la véritable huile d'olive extravierge de chercher des huiles qui proviennent directement du producteur. «Le nom du producteur sera écrit sur la bouteille», dit-elle. Plus il y a d'intermédiaires entre le producteur et le consommateur, plus les risques de fraudes se multiplient, rappelle aussi le professeur John Spink, de l'Université du Michigan, qui note que les contrebandiers sont extrêmement rusés et brouillent les cartes des inspecteurs. Ce qui explique le peu de condamnations. Pour se protéger de la contrefaçon en général, John Spink croit qu'on risque moins de tomber sur de faux produits dans de grandes chaînes d'alimentation, parce qu'elles ont les ressources pour vraiment contrôler l'origine des produits qui se trouvent sur leurs tablettes. La fraude alimentaire est une épée de Damoclès pour les commerçants. «Personne ne veut voir son nom entaché par le rappel d'un produit contrefait», dit John Spink. Le groupe Loblaws, par exemple, a quelques huiles d'olive sous sa marque maison. «Nous envoyons nos développeurs de produits en Europe afin de faire des visites d'entreprises et nous faisons tester nos huiles d'olive par une tierce partie», explique Josée Bédard, porte-parole du groupe d'épiceries. Les petits commerces spécialisés, où chaque bouteille est méticuleusement choisie, sont aussi plus scrupuleux quant à l'origine des huiles. Mais personne n'est à l'abri d'une fraude alimentaire. Au Canada, l'huile d'olive est l'un des deux secteurs sensibles ciblés par l'ACIA. L'autre vise les produits de boulangerie, où il y a également un bon nombre d'irrégularités. Les 209 entreprises de boulangerie visitées par les inspecteurs canadiens en 2006-2007 ont reçu 1109 constats d'infractions. Plus d'un millier de fautes décelées. Certaines étant d'innocentes erreurs, d'autres, des tentatives délibérées de flouer le consommateur dans notre système alimentaire qui est basé sur la confiance. http://www.cyberpresse.ca/vivre/consommation/200901/25/01-820674-le-cas-de-lhuile-dolive.php
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En espérant que nos amis Français n'aient pas été touchés par cette tempête Il y a sans doute des animaux (oiseaux, etc.) qui ont péri, mais jusqu'à maintenant, je n'ai encore rien lu à leur sujet... -------------------------------------------------------------------------------- Mobilisation générale au chevet des forêts du Sud-Ouest après la tempête 25 janv. 09 Anne Chaon Le gouvernement a décrété dimanche la mobilisation générale aux côtés des forestiers après le passage de la tempête Klaus sur le Sud-Ouest et promet un "plan global" pour secourir la filière et valoriser le bois tombé. ... "La tempête a particulièrement affecté le coeur d'un des plus grands massifs forestiers français, celui des Landes, avec un million d'hectares. Ailleurs, les dégâts sont également importants mais moins concentrés", a indiqué dimanche à l'AFP le directeur-général de l'Office national des forêts, Pierre-Olivier Drège. Selon le syndicat des sylviculteurs du Sud-Ouest, la tempête a ravagé 60% de la forêt dans le Sud de la Gironde et les Landes. La tempête Klaus s'avère déjà plus dévastatrice pour les forêts du Sud-Ouest que celles de 1999, notamment en raison des sols détrempés qui ont rendu les peuplements plus instables, a souligné M. Drège. Par ailleurs, les pins maritimes de la forêt landaise sont particulièrement vulnérables, offrant davantage de prise aux vents que les feuillus. ... http://fr.news.yahoo.com/2/20090125/tsc-mobilisation-generale-au-chevet-des-c2ff8aa.html
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sondage important concernant le trappage en UE
Animal a répondu à un(e) sujet de terrienne dans ANIMAUX - Europe et autres continents
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Un documentaire qui ferait grand bruit Mise à jour le samedi 24 janvier 2009 à 19 h 57 Silence, on vaccine La nouvelle production de la réalisatrice Lina B. Moreco sort en salle le vendredi 30 janvier à Montréal et à Sherbrooke, mais il suscite une polémique depuis un certain temps déjà dans les locaux de l'Office national du film. Le documentaire Silence, on vaccine relance le débat sur la vaccination et les enfants atteints de diverses formes d'autisme. Le documentaire devait sortir en 2008, mais Radio-Canada.ca a appris que la direction de l'ONF en avait alors retenu temporairement la diffusion, afin d'obtenir certaines concessions de la part de la réalisatrice. Silence, on vaccine présente des témoignages crève-coeur de parents convaincus que les vaccins ont rendu leurs enfants malades. Au Québec, les enfants de moins de 6 ans reçoivent aujourd'hui deux fois plus de vaccins qu'il y a 25 ans. Si des parents et certains médecins pensent que les vaccins peuvent causer des effets secondaires importants comme l'autisme, la direction de la santé publique du Québec continue de défendre ses campagnes de vaccination. La plupart des médecins sont favorables à la vaccination, mais la réalisatrice donne surtout la parole à ceux qui la contestent, comme le docteur Claude Béraud, un hépatologue français. « L'exemple de la vaccination en France sera pris plus tard dans les écoles de santé publique comme un exemple de ce qu'il ne faut pas faire », soutient le docteur Béraud dans le documentaire de l'ONF. Ce n'est pas la première fois qu'on montre du doigt le mercure et l'aluminium en d'infimes quantités dans certains vaccins, notamment comme agent de conservation. Le docteur Robert Nataf du Laboratoire Philippe Auguste à Paris a trouvé, dans l'urine des enfants autistes, de la porphyrine, une substance montrant la présence de mercure. « Nous avons dosé dans l'urine des enfants autistiques des porphyrines et nous avons montré qu'elles étaient élevées. Pas toutes les porphyrines, mais celles liées au mercure », explique le docteur Nataf. Aucun argument convaincant Le docteur Horacio Arruda, directeur de la Protection de la santé publique au ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec, a vu le documentaire et n'a trouvé aucun argument convaincant. « Ce qui est dit dans ce film-là, ce sont des hypothèses soulevées depuis plus de dix ans et depuis, il y a plus d'une vingtaine d'études épidémiologiques avec beaucoup de patients dans plusieurs pays qui ont complètement éliminé ces hypothèses », affirme le docteur Arruda. Lina B. Moreco La réalisatrice Lina B. Moreco réagit en disant que la monographie de plusieurs vaccins contient déjà des avertissements sur les effets secondaires. « Il faut cesser de l'ignorer et se mettre la tête dans le sable. Et au contraire, développer des protocoles pour prendre en charge les personnes qui arrivent chez le médecin et disent, j'allais bien et depuis que j'ai reçu le vaccin, je suis malade », conclut Mme Moreco. audio-vidéo http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2009/01/24/001-silence-on-vaccine.shtml
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On n'en fait pas mention dans l'article de Radio-Canada, mais on le fait dans l'article anglophone... a.. $500 million to modernize farms and help provide better equipment. $500 millions pour moderniser les fermes et fournir de meilleurs équipements- b.. $50 million to expand slaughterhouses. $50 millions pour de nouveaux abattoirs http://www.ctv.ca/servlet/ArticleNews/story/CTVNews/20090123/budget_workers_090123/20090123?hub=TopStories ---------------------------------------------- Les milliards à dépenser s'empilent Mise à jour le dimanche 25 janvier 2009 à 11 h 05 Le gouvernement minoritaire du conservateur Stephen Harper continue de révéler au compte-gouttes le contenu du budget fédéral qui sera publié mardi. ... http://www.radio-canada.ca/nouvelles/National/2009/01/25/001-budget-logement-culture.shtml
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Canada La grippe aviaire est de retour La Presse Canadienne Greg Joyce 24/01/2009 L'Agence d'inspection des aliments a toutefois précisé que le virus ne posait pas de problèmes pour la santé si la volaille et les produits tirés de la volaille étaient manipulés et cuits de façon adéquate. Éclosion de grippe aviaire L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) a confirmé, samedi, que pas moins de 60 000 dindes devront être euthanasiées, lundi, à la suite de la découverte d'une éclosion du virus de la grippe aviaire H5 dans une ferme commerciale de la vallée du Fraser, en Colombie-Britannique. http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/01/20090124-195635.html
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24 janvier 09 Etats-Unis - Boire trois tasses de thé par jour peut diminuer d'un tiers le risque de cancer du sein chez les femmes de moins de 50 ans. Boire trois tasses de thé par jour peut diminuer d’un tiers le risque de cancer L'étude, réalisée par un groupe de chercheurs américains mené par le Dr Kumar du Centre Moffitt contre le cancer de Tampa, Floride, a comparé les cas de 5 000 femmes de 20 à 74 ans ayant été traitées pour un cancer du sein. Leurs cas ont été comparés aux modes de vie et passés médicaux d'un groupe de femmes qui n'ont pas eu de cancer du sein. L'étude montre que les femmes de moins de 50 ans buvant au moins trois tasses de thé par jour voient le risque de développer un cancer du sein baisser de 37 %. Pour le cancer lobulaire invasif du sein, le bénéfice passe à 66 %. Cette forme de cancer du sein qui affecte les tissus du sein en profondeur, avec une moindre résistance à la chimiothérapie et une détection tardive, représente un cas de cancer du sein sur dix. Les antioxydants du thé auraient donc plus d'effet sur les types de tumeurs développés par des femmes jeunes. Si le bénéfice des trois tasses de thé par jour est marquant pour les femmes de moins de 50 ans, il ne l'est pas pour les femmes plus âgées. Le thé étant une des boissons les plus consommées dans le monde, les chercheurs voient en lui un candidat attractif en matière de prévention du cancer du sein. http://fr.news.yahoo.com/68/20090124/tsc-boire-trois-tasses-de-th-par-jour-pe-04aaa9b.html
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L'interdiction du commerce des produits dérivés du phoque est inappropriée, selon Diana Wallis qui propose un étiquetage "phoques tués sans souffrance inutile". le 23-01-2009 12:39 | émis par : Parlement Européen Commerce des produits dérivés du phoque: étiquetage contre interdiction L'interdiction du commerce des produits dérivés du phoque proposée par la Commission européenne est inappropriée, selon Diana Wallis (ADLE, UK), rapporteur parlementaire pour ce dossier. A la place, elle propose un système d'étiquetage pour garantir au consommateur que le produit qu'il achète provient de phoques tués "sans souffrance inutile". Le projet d'interdire la mise sur le marché communautaire, l'importation, le transit et l'exportation de produits dérivés du phoque devait être une réponse aux préoccupations du Parlement européen quant aux pratiques causant des souffrances injustifiées aux animaux. Une déclaration signée par 425 députés en 2006, avait aussi souligné la nécessité de prendre des mesures n'ayant pas d'incidence sur la chasse au phoque traditionnelle des Inuits (3% du volume total de chasse dans le monde). Toutefois, selon le rapporteur, la proposition de la Commission est contradictoire dans le sens où une interdiction nuirait à l'ensemble du marché des produits dérivés et ôterait toute utilité à l'exception prévue pour les communautés inuites. De plus, elle estime le terme "interdiction" trompeur en raison du grand nombre d'exemptions prévues dans le projet. L'étiquetage des produits est, selon elle, la solution la plus efficace pour que le consommateur soit assuré "du respect de normes élevées de bien-être animal, tout en aidant également les communautés inuites". Interdire ou ne pas interdire: la question a divisé les participants à une audition publique organisée ce mercredi par la commission du marché intérieur du PE. Pour Jacques Bourgeois, professeur au Collège d'Europe de Bruges et à l'université de Gand, il s'agit d'une question essentiellement politique avec des aspects éthiques plutôt que d'un dilemme technique ou juridique, "c'est donc au Parlement de trancher". Interdire Les images de phoques avec le crâne fracassé au "hakapik", gourdin doté d'une pointe de métal pour tirer les animaux sur la banquise, choquent régulièrement l'opinion publique. Plus d'un million et demi de bébés-phoques harpés ont été massacrés dans l'Atlantique du Nord-ouest au cours des quatre dernières années, la très large majorité de ces animaux avaient moins de trois mois et 42% des cadavres de phoques avaient été dépouillés de leur pelage alors qu'ils étaient encore vivants, notaient les députés dans leur déclaration de 2006. Selon Rebecca Aldworth, directrice de la filiale canadienne de Humane Society International, et le Dr Andrew Butterworth, vétérinaire et maître de conférence à l'Université de Bristol, il n'est en pratique pas possible de tuer des phoques à grande échelle en respectant les règles du bien-être animal, ni de contrôler cette activité. L'interdiction totale est donc le seul moyen pour mettre fin à ce "massacre particulièrement cruel". Réglementer Le principal accusé est le Canada, qui pratique la chasse commerciale et qui est le principal exportateur mondial de produits dérivés du phoque, notamment les peaux et la graisse. Selon Garry B. Stenson, représentant le gouvernement canadien, la chasse aux phoques, telle que pratiquée dans son pays est digne, durable et dénuée de cruauté, grâce à des règles efficaces et respectées par les professionnels de la chasse. Cependant, d'après David Lavigne (IFAW), l'opinion publique canadienne ne partage pas l'avis de son gouvernement: six Canadiens sur dix s'opposent à la chasse commerciale et 86% sont favorables à ce que l'UE légifère sur les produits dérivés du phoque, même si cela touche le commerce canadien. "Exception inuite" "Cette interdiction aurait pour effet l'effondrement de l'économie de Groenland", a affirmé Finn Karlsen, ministre de la pêche de ce pays. Selon lui, l'étiquetage et la certification ne permettraient pas de faire la distinction entre les produits provenant de la chasse commerciale et ceux issus de la chasse traditionnelle locale. Il a évoqué le chiffre de 140 000 peaux invendues encombrant les stocks suite à un boycott alors qu'il s'agit de ceux issus de la chasse traditionnelle, provenant de la tannerie centrale de Groenland. De plus, la chasse au phoque, "prédateur nuisible", est, selon lui, indispensable pour assurer l'équilibre dans la population des poissons. Pour Leif Fontaine, ex-président de l'Association des chasseurs et pécheurs de Groenland, il n'est pas question que son pays devienne "une pièce de musée agréable aux yeux des visiteurs". La chasse aux phoques est une activité ancestrale, essentielle pour la survie de la population. Il a affirmé que le Groenland porterait plainte devant la Cour européenne des droits de l'homme si une décision d'interdiction est prise. Bébé-phoque contre OMC La chasse aux phoques se fait essentiellement en dehors du territoire de l'UE. Il est impossible de légiférer dans les pays tiers. C'est pourquoi l'UE compte intervenir par le biais du commerce. Mais cette opération, touchant le transit et les importations, risque d'être attaquée devant l'OMC par les pays concernés au titre de violation des règles internationales du commerce et des accords du GATT. Le Canada, qui a déjà porté plainte contre la Belgique lorsque celle-ci a interdit les produits dérivés du phoque sur son territoire, ne cache pas sa détermination à aller dans ce sens. Selon le rapporteur, sa proposition d'étiquetage et de marquage des produits permettrait de résoudre ce problème. Les députés, qui co-décident sur ce dossier avec les Conseils des ministres, viennent d'entamer leurs travaux. Ils ont jusqu'au 26 janvier pour présenter des amendements au rapport de Mme Wallis avant le vote en commission parlementaire, qui aura lieu probablement en février. News Press 2009
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Réapparition possible de la grippe aviaire Mise à jour le vendredi 23 janvier 2009 Photo: Richard Lam La grippe aviaire pourrait avoir fait une réapparition dans la vallée du Fraser. L'Agence canadienne d'inspection des aliments confirme que des fermes ont été mises en quarantaine à Abbotsford, 40 kilomètres au sud-est de Vancouver. L'agence refuse toutefois de préciser combien de fermes d'élevage de volailles sont touchées. Les fermes sont situées dans un rayon de 3 kilomètres d'une ferme d'élevage de dindes où des anticorps du virus de la grippe aviaire auraient été détectés. L'Agence canadienne d'inspection des aliments est avare de commentaires et précise qu'elle attend les résultats des analyses dans la journée de vendredi. ... Les élevages de volailles de la vallée du Fraser ont été victimes d'une grave épidémie de grippe aviaire en 2004. Trente-six fermes d'élevage du poulet avaient été mises en quarantaine. Cette épidémie avait entraîné l'abattage de 17 millions de volailles. http://www.radio-canada.ca/regions/colombie-britannique/2009/01/23/001-Grippe-aviaire_n.shtml
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Photos de Lettre à envoyer contre le massacre des chiens à S
Animal a répondu à un(e) sujet de linda lachapelle dans Pétitions-Sondages-Suggestions
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23 janvier 2009 Marie-Eve Lafontaine Le Nouvelliste (Trois-Rivières) Les cow-boys doivent éviter de fêter un peu trop fort à Saint-Tite s'ils souhaitent enfourcher leur monture. Une résidente de Saint-Narcisse l'a appris à ses dépens. Elle a reçu un billet d'infraction de 100 $ (75 $ plus les frais) pour conduite avec les facultés affaiblies ... d'un cheval. Mais Kathy Gauthier soutient qu'elle n'était pas en état d'ébriété et elle conteste cette amende en cour municipale. ... Elle se demande comment les policiers ont pu déterminer qu'elle avait les facultés affaiblies puisqu'ils ne lui ont pas fait subir l'alcootest ou d'autres tests comme marcher sur une ligne droite. Elle n'avait pas non plus d'alcool en sa possession. Elle affirme avoir bu deux ou trois bières dans les heures précédant son interception. Dans leur rapport, les policiers ont écrit qu'elle avait la bouche pâteuse, un débit lent, les yeux rougis et qu'elle sentait l'alcool. ... http://www.cyberpresse.ca/le-nouvelliste/mauricie/200901/23/01-820174-accusee-divresse-a-cheval.php
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29 décembre 2008, 15 h 31 . Photo: PC/Jonathan Hayward Les chasseurs de phoques et les défenseurs des droits des animaux demeurent partagés sur les nouvelles règles mises en place par le gouvernement fédéral concernant la chasse aux phoques. Ces nouvelles mesures précisent par exemple que les chasseurs ne pourront plus frapper les phoques de plus d'un an avec un gourdin ou un hakapik, à moins que l'animal n'ait d'abord été abattu à l'aide d'une arme à feu. Le phoque devra également être saigné pendant au moins une minute, pour s'assurer qu'il est bel et bien mort. Avec ces nouvelles règles, annoncé samedi dans la Gazette du Canada, Ottawa espère redorer son image, surtout auprès de l'Union européenne. Celle-ci songe toujours à adopter un règlement interdisant l'importation de tous les produits dérivés du phoque. Des règles qui ne changent rien Or, selon les détracteurs de la chasse aux phoques, les nouvelles mesures imposées par Ottawa ne changent presque rien aux pratiques existantes. « Moi, quand j'ai été au Parlement européen à plusieurs reprises ces dernières semaines, c'est vrai qu'on m'a très clairement dit : "Mais que fait le Canada? Apparemment, ils ne se préoccupent pas de nos demandes et ils vont droit dans le mur" », raconte Christophe Marie, responsable du bureau de la protection animale à la Fondation Brigitte Bardot, à Paris. De son côté, le président intérimaire de l'Association des chasseurs de phoques des Îles-de-la-Madeleine, Denis Longuépée, reconnaît que les nouvelles règles adoptées par Ottawa ne changent presque rien. Mais il dit que c'est un premier pas. « C'est sûr que je trouve que c'est important qu'on fasse des choses comme ça pour arriver à peut-être éviter l'embargo des produits dérivés. Mais ce sont surtout les abolitionnistes qui mettent de la pression sur l'Europe. C'est l'opinion publique là-bas qui est complètement désinformée », affirme-t-il. M. Longuépée croit que le Canada devrait surtout tenter de convaincre l'opinion publique européenne que la chasse aux phoques se fait déjà sans cruauté. Sinon, un règlement européen pourrait être adopté dès le printemps prochain. Julien Lafille recueille les réactions sur les nouvelles mesures de chasse aux phoques. http://www.radio-canada.ca/regions/atlantique/2008/12/29/002-reactions_chasse_phoque_regles.shtml?ref=rss
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Communiqué de presse Commerce des produits dérivés du phoque: étiquetage contre interdiction Commerce extérieur/international - 22-01-2009 - 11:44 L'interdiction du commerce des produits dérivés du phoque proposée par la Commission européenne est inappropriée, selon Diana Wallis (ADLE, UK), rapporteur parlementaire pour ce dossier. A la place, elle propose un système d'étiquetage pour garantir au consommateur que le produit qu'il achète provient de phoques tués "sans souffrance inutile". Le projet d'interdire la mise sur le marché communautaire, l'importation, le transit et l'exportation de produits dérivés du phoque devait être une réponse aux préoccupations du Parlement européen quant aux pratiques causant des souffrances injustifiées aux animaux. Une déclaration signée par 425 députés en 2006, avait aussi souligné la nécessité de prendre des mesures n'ayant pas d'incidence sur la chasse au phoque traditionnelle des Inuits (3% du volume total de chasse dans le monde). Toutefois, selon le rapporteur, la proposition de la Commission est contradictoire dans le sens où une interdiction nuirait à l'ensemble du marché des produits dérivés et ôterait toute utilité à l'exception prévue pour les communautés inuites. De plus, elle estime le terme "interdiction" trompeur en raison du grand nombre d'exemptions prévues dans le projet. L'étiquetage des produits est, selon elle, la solution la plus efficace pour que le consommateur soit assuré "du respect de normes élevées de bien-être animal, tout en aidant également les communautés inuites". Interdire ou ne pas interdire: la question a divisé les participants à une audition publique organisée ce mercredi par la commission du marché intérieur du PE. Pour Jacques Bourgeois, professeur au Collège d'Europe de Bruges et à l'université de Gand, il s'agit d'une question essentiellement politique avec des aspects éthiques plutôt que d'un dilemme technique ou juridique, "c'est donc au Parlement de trancher". Interdire Les images de phoques avec le crâne fracassé au "hakapik", gourdin doté d'une pointe de métal pour tirer les animaux sur la banquise, choquent régulièrement l'opinion publique. Plus d'un million et demi de bébés-phoques harpés ont été massacrés dans l'Atlantique du Nord-ouest au cours des quatre dernières années, la très large majorité de ces animaux avaient moins de trois mois et 42% des cadavres de phoques avaient été dépouillés de leur pelage alors qu'ils étaient encore vivants, notaient les députés dans leur déclaration de 2006. Selon Rebecca Aldworth, directrice de la filiale canadienne de Humane Society International, et le Dr Andrew Butterworth, vétérinaire et maître de conférence à l'Université de Bristol, il n'est en pratique pas possible de tuer des phoques à grande échelle en respectant les règles du bien-être animal, ni de contrôler cette activité. L'interdiction totale est donc le seul moyen pour mettre fin à ce "massacre particulièrement cruel". Réglementer Le principal accusé est le Canada, qui pratique la chasse commerciale et qui est le principal exportateur mondial de produits dérivés du phoque, notamment les peaux et la graisse. Selon Garry B. Stenson, représentant le gouvernement canadien, la chasse aux phoques, telle que pratiquée dans son pays est digne, durable et dénuée de cruauté, grâce à des règles efficaces et respectées par les professionnels de la chasse. Cependant, d'après David Lavigne (IFAW), l'opinion publique canadienne ne partage pas l'avis de son gouvernement: six Canadiens sur dix s'opposent à la chasse commerciale et 86% sont favorables à ce que l'UE légifère sur les produits dérivés du phoque, même si cela touche le commerce canadien. "Exception inuite" "Cette interdiction aurait pour effet l'effondrement de l'économie de Groenland", a affirmé Finn Karlsen, ministre de la pêche de ce pays. Selon lui, l'étiquetage et la certification ne permettraient pas de faire la distinction entre les produits provenant de la chasse commerciale et ceux issus de la chasse traditionnelle locale. Il a évoqué le chiffre de 140 000 peaux invendues encombrant les stocks suite à un boycott alors qu'il s'agit de ceux issus de la chasse traditionnelle, provenant de la tannerie centrale de Groenland. De plus, la chasse au phoque, "prédateur nuisible", est, selon lui, indispensable pour assurer l'équilibre dans la population des poissons. Pour Leif Fontaine, ex-président de l'Association des chasseurs et pécheurs de Groenland, il n'est pas question que son pays devienne "une pièce de musée agréable aux yeux des visiteurs". La chasse aux phoques est une activité ancestrale, essentielle pour la survie de la population. Il a affirmé que le Groenland porterait plainte devant la Cour européenne des droits de l'homme si une décision d'interdiction est prise. Bébé-phoque contre OMC La chasse aux phoques se fait essentiellement en dehors du territoire de l'UE. Il est impossible de légiférer dans les pays tiers. C'est pourquoi l'UE compte intervenir par le biais du commerce. Mais cette opération, touchant le transit et les importations, risque d'être attaquée devant l'OMC par les pays concernés au titre de violation des règles internationales du commerce et des accords du GATT. Le Canada, qui a déjà porté plainte contre la Belgique lorsque celle-ci a interdit les produits dérivés du phoque sur son territoire, ne cache pas sa détermination à aller dans ce sens. Selon le rapporteur, sa proposition d'étiquetage et de marquage des produits permettrait de résoudre ce problème. Les députés, qui co-décident sur ce dossier avec les Conseils des ministres, viennent d'entamer leurs travaux. Ils ont jusqu'au 26 janvier pour présenter des amendements au rapport de Mme Wallis avant le vote en commission parlementaire, qui aura lieu probablement en février. Procédure: co-décision, première lecture 19/01/2009 Présidente de la réunion : Zuzana ROITHOVÁ (PPE-DE, CZ) REF. : 20090120IPR46690 http://www.europarl.europa.eu/news/expert/infopress_page/026-46691-019-01-04-903-20090120IPR46690-19-01-2009-2009-false/default_fr.htm