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Tout ce qui a été posté par Animal

  1. Les baleines à bosses récupèrent L’IFAW s’inquiète des autres cétacés Canoë Virginie Roy 15/08/2008 12h39 Le Japon, l’Islande et la Norvège menacent toujours de recommencer à chasser la baleine. Ci-dessus, la carcasse d'un rorqual commun, à la station baleinière de Hvalfjordur, en Islande. Corbis Si les baleines à bosses récupèrent, selon ce qu’a annoncé l’Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN) hier, le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) a tenu à rappeler aujourd’hui que ces cétacés font tout de même face à des menaces croissantes. En effet, le Japon, l’Islande et la Norvège menacent toujours de recommencer à chasser la baleine. Une révision du statut des baleines à bosses sur la Liste Rouge des Espèces menacées a été annoncée hier par l'UICN, dont le siège est à Gland, en Suisse. La baleine à bosses, dont le nombre avait énormément baissé, pour atteindre un niveau très bas en 1970 du fait de la chasse commerciale, a considérablement repris depuis 40 ans, grâce à la protection internationale. Son statut est donc passé de «vulnérable» à «préoccupation mineure» sur la Liste Rouge. Si Patrick Ramage, directeur du Programme global sur les baleines d'IFAW, dit se réjouir de cette nouvelle, il s’inquiète cependant des trois pays prochasse à la baleine: le Japon, l’Islande et la Norvège. ... http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2008/08/20080815-123931.html
  2. Mer du Nord Greenpeace dénonce le chalutage de fond Canoë Virginie Roy 15/08/2008 17h55 Greenpeace a entamé, hier, une opération en Mer du Nord, au large des récifs de l'île de Sylt, au nord de l'Allemagne, afin de protéger les fonds marins, notamment contre la pêche au chalut de fond. Selon l’organisme, alors que des lois règlementent cette zone marine, des pêcheurs enfreignent régulièrement les règles. Ainsi, à l’aide de deux bateaux et d’une pelleteuse, les militants ont commencé à couler 150 blocs de granit, d'un poids de deux à trois tonnes chacun, au large des récifs de l'île de Sylt. Ces blocs visent à empêcher le chalutage de fond dans cette zone protégée. Un mode de pêche de plus en plus contesté qui utilise le chalut, un filet à mailles plus ou moins grandes, le chalut aide à pêcher le poisson de plus en plus profondément. Cette méthode est, en effet, très efficace mais non sélective puisque le chalut ramasse tout ce qui se trouve sur son passage. ... http://www.canoe.com/infos/environnement/archives/2008/08/20080815-175522.html
  3. Le vendredi 15 août 2008 Les bisons pourraient faire leur retour dans l'Ouest américain Pour les défenseurs de ces animaux, le projet est la première étape, le but final étant d'avoir de nouveau des milliers de bisons en liberté dans les Grandes plaines et les Montagnes rocheuses. Matthew Brown Associated Press Corwin Springs (Montana) Il y a plus d'un siècle, Buffalo Bill et d'autres chasseurs ont tué tellement de bisons que l'espèce a failli disparaître complètement. Aujourd'hui, près du parc national de Yellowstone, des chercheurs se sont lancés dans un ambitieux programme pour tenter de reformer des troupeaux et les renvoyer à la vie sauvage, à condition qu'ils soient en bonne santé. Dans un grand enclos de Corwin Springs (Montana), des vétérinaires du gouvernement américain effectuent régulièrement des prélèvements sanguins sur de jeunes bisons pour repérer d'éventuelles maladies et procèdent à des tests génétiques. Ceux qui sont jugés aptes à quitter Yellowstone ont une chance de passer l'hiver prochain dans des réserves indiennes du Montana. «Notre objectif, c'est de les remettre dans le paysage, à tous les endroits où des agences publiques et des tribus peuvent s'occuper d'eux convenablement», confie Jack Rhyan, un vétérinaire du ministère de l'Agriculture, qui gère l'enclos de Corwin Springs avec l'État du Montana. Ce programme coûte environ 130 000 $ par an, selon les autorités du Montana. Pour les défenseurs de ces animaux, le projet est la première étape, le but final étant d'avoir de nouveau des milliers de bisons en liberté dans les Grandes plaines et les Montagnes rocheuses. Les cow-boys, toutefois, pensent que ce serait un cauchemar, une initiative très risquée, dictée par la nostalgie. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080815/CPSOLEIL/80815123/6907/CPSOLEIL
  4. Le samedi 16 août 2008 Alerte rouge dans le Saint-Laurent Marc Saint-Pierre Le Soleil Québec «Si j’étais un béluga et que je connaissais mes couleurs, je dirais : alerte rouge!» C’est la préoccupation exprimée jeudi par le biologiste Pierre Béland en marge de la floraison d’algues toxiques qui sévit ces jours-ci dans l’estuaire du Saint-Laurent, à l’embouchure du fjord du Saguenay et sur la rive sud entre Rivière-du-Loup et Rimouski. Directeur scientifique de l’Institut national d’écotoxicologie du Saint-Laurent et grand défenseur des bélugas, Pierre Béland n’est pas heureux de ce qu’il constate. La semaine dernière, deux de ces fameux grands marsouins blancs qu’il affectionne particulièrement ont été retrouvés morts, quatre autres lundi et encore deux mercredi, quelque part dans l’entrée du Saguenay et aussi à Sainte-Flavie, à Saint-Simon, à Sainte-Luce, à l’île aux Basques, à l’île Verte et jusqu’à Saint-Denis-de-Kamouraska. C’est beaucoup en si peu de temps. La moyenne des mortalités de bélugas est de 15 annuellement. Et, à la même période, trois phoques ont aussi été trouvés morts près de Baie-Comeau et trois autres sur la rive sud. Aussi décurverts morts, des marsouins communs et des oiseaux comme les goélands et les cormorans, et des poissons comme les éperlans, puis un esturgeon de près de deux mètres. Cette hécatombe survient au même moment où se développe «une floraison» d’algues toxiques, probablement due aux incessantes pluies qui ont lessivé les terres de l’amont de leurs phosphates et nitrates, voire fait déborder les systèmes d’égout, qui ont réchauffé l’eau, réduit sa salinité. D’où la pléthore d’algues microscopiques unicellulaires, invisibles à l’œil nu, mais qui peuvent donner aux eaux du fleuve une couleur rouge quand elles s’agglutinent en forte densité. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080816/CPSOLEIL/80815226/6907/CPSOLEIL
  5. Animal

    BULLETIN-PRINTEMPS 2008

    15 août 2008- L'Agence canadienne d'inspection des aliments a découvert un nouveau cas d'encéphalopathie spongiforme bovine en Alberta. L'agence affirme avoir trouvé la ferme où le boeuf, maintenant âgé de six ans, est né, mais elle n'a pas révélé dans quelle région la ferme est située. L'agence se veut rassurante et a précisé qu'aucune partie de l'animal n'est entrée dans la chaîne d'alimentaire destinée à la consommation humaine ou à l'alimentation des animaux. L'Agence d'inspection des aliments souligne que, par conséquent, la découverte de ce nouveau cas de la maladie de la vache folle ne devrait pas compromettre les exportations de boeuf canadien. Il s'agit du 14e cas de la maladie de la vache folle au Canada depuis 2003. http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2008/08/15/002-Vachefolle.shtml
  6. 15 août 2008- L'Agence canadienne d'inspection des aliments a découvert un nouveau cas d'encéphalopathie spongiforme bovine en Alberta. L'agence affirme avoir trouvé la ferme où le boeuf, maintenant âgé de six ans, est né, mais elle n'a pas révélé dans quelle région la ferme est située. L'agence se veut rassurante et a précisé qu'aucune partie de l'animal n'est entrée dans la chaîne d'alimentaire destinée à la consommation humaine ou à l'alimentation des animaux. L'Agence d'inspection des aliments souligne que, par conséquent, la découverte de ce nouveau cas de la maladie de la vache folle ne devrait pas compromettre les exportations de boeuf canadien. Il s'agit du 14e cas de la maladie de la vache folle au Canada depuis 2003. http://www.radio-canada.ca/regions/alberta/2008/08/15/002-Vachefolle.shtml
  7. on mange aussi des souris vivantes, des tortues vivantes, des singes vivants, etc. etc. On coupe aussi une ou 2 pattes à des ours vivants qui sont détenus dans des cages dans des conditions atroces, pour fournir de leur bile, car les pattes d'ours sont considérés comme une délicatesse et se vendent très cher dans des restaurants... En plus d'être torturés, de nombreux ours qui se trouvent dans ces fermes d'élevage sont handicapés Et on pourrait aussi parler de nos bébés phoques dépecés vivants tous les ans, pour satisfaire entre autres, la demande des restaurateurs Chinois en pénis de phoque
  8. "/$%?&*(+! Je me retiens de ne pas écrire ce que je pense !
  9. Bravo Nuage ! J'espère qu'il se renseignera un peu sur la façon dont les animaux sont élevés et abattus dans ce pays !
  10. Wowwwwwwwww Bravo la Ligue de protection des oiseaux (LPO)
  11. Merci beaucoup Nuage... Tu peux nous la montrer si tu veux et peut-être que d'autres personnes pourront s'en inspirer pour écrire à leur tour.
  12. Allo Nuage, On peut écrire au journal et adresser notre mot à Robert Beauchemin Voir les adresses ici: http://www.cyberpresse.ca/article/99999999/CPCONTACT02/51114051 Robert Beauchemin, Chronique gastronomique
  13. Autriche: Un programme reconnu de protection animale est traîné dans la boue par la police La police déchaîne ses fantasmes ! Les principales organisations de protection animale en Autriche se sont réunies dans les années 90 pour collaborer sur un projet d’inspection de poules élevées en plein air. Ce projet s’est concrétisé sous la forme d’une petite société à responsabilité limitée (SARL) qui permet aux producteurs d’œufs de payer pour apposer un logo « plein air » sur leurs boites et d’avoir leurs œufs inspectés dans les supermarchés par des employés de la société d’inspection. Le projet fonctionnait parfaitement bien et toutes les parties en étaient satisfaites. Ainsi la tromperie qui était courante pendant les années 90 sur la provenance des œufs (des œufs de batterie étaient vendus comme œufs plein air) disparut complètement et l’Autriche devint le premier pays vendeur d’œufs issus d'élevages en plein air. Aussi incroyable que cela puisse paraître, la police prétend maintenant que la société d’inspection est utilisée pour financer une supposée « organisation criminelle » qui pratiquerait l’extorsion et qui soutirerait de l’argent à ses partenaires pour garantir leur protection. La police affirme que VGT, Fours Paws et la Société Protectrice des animaux à Vienne (WTV) sont responsables ! Elle a commencé son enquête et formellement interrogé tous les partenaires , du producteur d’œufs, en passant par l’usine de conditionnement jusqu’aux supermarchés. Une perquisition des bureaux de la société d’inspection a été ordonnée. Citation du rapport de police : « [On peut supposer que la société d’inspection] fonctionne comme la source de financement d'une organisation criminelle, qui sous le pseudonyme du « Front de Libération Animale » effectue des attaques contre, par exemple, les boutiques de prêt-à-porter. [Il est présumé] que les trois organisations qui gèrent la société utilisent les fonds de la société d'inspection pour alimenter en argent frais l'organisation criminelle, suivant cette répartition : Wiener Tierschutzverein (WTV) environ 30,5 % Verein gegen Tierfabriken (VGT) environ’ 30,5 % Vier Pfoten – Stiftung für Tierschutz (Four Paws) environ 30,5 % European Egg Consortium Ltd environ 8,5 % » Des poursuites sont en train d’être engagées contre la police pour, entre autres, diffamation. Harald Balluch, Président Général de VGT: « C’est incroyable. Il est facile d’imaginer le préjudice porté à la réputation des organisations de protection animale quand la police frappe à la porte de chacun de ses partenaires et leur demande s’ils sont victimes de chantage par la société d’inspection ! Soit la police a trop peu de travail, soit elle essaye de discréditer le mouvement de protection animal autrichien. » Austria: Recognised Animal Protection Project Dragged into the Mud by Police Investigations Autor: Traduit de l'anglais par Hervé Breuil Date 2008-08-08
  14. Animal

    BULLETIN-PRINTEMPS 2008

    Des fonds belges pour sauver 18.000 alpagas du froid La FAO est intervenue "d'urgence" au Pérou pour sauver plus de 18.000 alpagas des conséquences d'une vague de froid qui les a affaiblis et rendus malades, en délivrant des antibiotiques aux camélidés qui sont parfois l'unique ressource des populations des hauts plateaux andins. L'agence des Nations unies pour l'Agriculture et l'Alimentation a indiqué jeudi avoir "livré au Pérou, par le biais de son unité de secours d'urgence et grâce aux fonds du gouvernement belge, 36.800 doses d'antiparasitaires et d'antibiotiques destinées à plus de 18.000 alpagas du district de Pilpichaca dans la province de Huancavelica". Vagues de froid "Les camélidés andins sont malades et affaiblis à cause de la vague de froid qu'on appelle communément friaje, des basses températures hors saison, des gelées, de la neige et de la grêle", a indiqué Marc Vandersmissen, coordonnateur des Opérations d'urgence de la FAO au Pérou. Cette année, les vagues de froid ont démarré dès mars-avril alors qu'elles n'apparaissent normalement qu'en juin. "Cela a nui aux cultures et surtout aux pâturages dont dépendent lamas et alpagas, situation qui a porté le Gouvernement à déclarer l'état d'urgence dans 11 régions sur les 25 que compte le Pérou", selon la FAO. Sauvetage "Les dégâts occasionnés sont ravageurs pour les éleveurs d'alpagas des hautes Andes avec des pâturages qui se couvrent de neige qui en gelant, crée des dommages irréversibles. Les camélidés affamés s'affaiblissent et sont de ce fait plus sujets aux maladies", a expliqué M. Vandersmissen. "L'alimentation des éleveurs d'alpagas consiste en papa seca (pomme de terre sèche) avec un peu de viande séchée de camélidé. Leurs alpagas sont toute leur vie et leur unique source de revenus", souligne la FAO. La campagne d'urgence pour sauver les alpagas a été lancée du 14 au 19 juillet dans les communautés de Llillinta, Antacancha, Cacuya, Pichcahuasi, Pueblo Nuevo, Ingahuasi et Pelapata dans la région de Huancavelica, et a permis de sauver 50% de la population estimée à 35.000 têtes d'alpagas, lamas et ovins, a affirmé la FAO. 31/07/08 ---------------------------------- Deux ours noirs ont été tués en deux jours par les autorités dans la banlieue de Vancouver, à l'ouest du Canada, après s'être aventurés dans une zone résidentielle où l'un des plantigrades a gravement blessé une femme en train de jardiner. Un ours noir pesant quelques 200 kg s'est introduit jeudi par une fenêtre dans une maison de la localité de Coquitlam. Chassé par les policiers appelés à la rescousse, l'animal s'est réfugié dans un arbre, où un responsable de la protection de la faune a tenté de l'endormir avec une fléchette anesthésiante. L'ours est tombé de l'arbre, mais comme il continuait à se montrer agressif, des membres de la police fédérale l'ont abattu. La veille, une résidente de Coquitlam qui se trouvait dans son jardin avait été attaquée et grièvement blessée par un autre ours. La femme, qui a été hospitalisée mais dont la vie n'est pas en danger, a subi de graves lacérations à un bras et à la tête et a eu des côtes cassées. Les incursions d'ours ne sont pas rares dans cette région proche des zones montagneuses et forestières où ils vivent. "Le problème, c'est qu'il y a des gens qui n'entreposent pas correctement leurs déchets domestiques. Les ours le sentent et viennent se nourrir. Ça les fait sortir de leur habitat naturel", a déclaré un responsable local de la protection de la faune, Rick Hahn. Les attaques d'ours sont peu fréquentes, mais les autorités tuent chaque année quelque 700 ours dans la province de Colombie-Britannique, estimant qu'ils présentent une menace pour la population en venant chercher de la nourriture dans des zones urbaines. 08/08/08 parler aussi des oursons abattus par des policiers au Québec... ----------------------------------- Une pétition contre l'étole d'hermine du pape L'une des principales associations italiennes de défense des animaux a annoncé le lancement d'une pétition sur internet pour demander au pape Benoît XVI de renoncer à porter une étole d'hermine lors de célébrations liturgiques au Vatican. Lorenzo Croce, président de l'Association italienne de défense des animaux et de l'environnement (Aidaa), s'est défendu de toute provocation ou de vouloir organiser une manifestation anti-religieuse. "Nous voulons simplement lui demander, dans un message d'amour et de paix, de donner un signal fort pour la protection des animaux et de l'environnement à partir d'un petit sacrifice personnel très significatif", a déclaré M.Croce lundi à l'agence de presse italienne Ansa. Benoît XVI a remis au goût du jour depuis son élection un certain nombre d'habits liturgiques traditionnels dont une petite pèlerine de velours rouge bordée d'hermine blanche, aussi appelée "mosette", qu'il porte l'hiver avec un curieux bonnet de même couleur appelé "camauro". L'association Aidaa a ouvert un site internet pour recueillir des signatures et M. Croce a prévu de présenter sa pétition au pape en septembre. 22/07/08 ------------------------- "La planète atteint ses limites" Selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), de plus en plus d'espèces animales sont menacées d'extinction de par le monde. Sa liste rouge s'allonge ainsi d'année en année, et le WWF, organisation internationale pour la conservation de la nature, tire la sonnette d'alarme. La liste rouge de l'UICN mesure les effets de la perte et de la dégradation d'habitat, de la surexploitation, de la pollution, de l'introduction d'espèces ou de plantes invasives et du changement climatique sur les espèces. Il est temps "On est dans le rouge", souligne Susan Lieberman, directrice du programme espèces du WWF. "Il est temps", dit-elle, "que les gens cessent de parler et voient la réalité en face. L'avenir de notre planète, l'héritage que nous laisserons à nos enfants, est en jeu". Selon le WWF, l'augmentation du nombre d'espèces menacées représente un avertissement clair pour les humains. Des écosystèmes sains, une eau pure, des océans équilibrés, des forêts florissantes et des populations robustes sont des ressources essentielles pour la survie de notre espèce. Liste rouge Le WWF souhaite ainsi que la liste rouge de l'UICN soit utilisée comme outil pour établir des priorités en matière de conservation. Par exemple, le gorille de l'Ouest (Gorilla gorilla) est passé de la catégorie "en danger" à celle de "en danger critique d'extinction". Les orangs-outans sont également fortement menacés, principalement à cause de la destruction de leur habitat au profit notamment de plantations de palmiers à huile. Les dauphins de rivière connaissent aussi un destin funeste à cause de la construction de barrages, de prises accidentelles dans les filets de pêche, de la circulation fluviale et de la pollution. Et, en Inde, cinq espèces de vautours sont fortement menacées par l'utilisation du "diclofénac", un médicament utilisé pour traiter le bétail. La surexploitation des espèces pour la nourriture, la médecine, les animaux de compagnie et d'autres usages humains a également entraîné l'augmentation du nombre d'espèces menacées. L'impact du commerce international des espèces sauvages est énorme, et s'il n'est pas convenablement réglementé, il cause de fulgurants déclins. C'est le cas pour certaines des espèces reprises dans la liste rouge de l'UICN, comme les reptiles d'Amérique du nord. Océans Les coraux sont également repris pour la première fois dans la liste. "Ce qui devrait alarmer le monde sur le fait que les océans sont en danger", commente Simon Cripps, directeur du programme océans du WWF. D'autant que les récifs de corail sont le lieu idéal pour la reproduction de milliers de poissons et d'invertébrés et constituent une source de revenus importante dans les domaines de la pêche et du tourisme pour une grande partie des populations côtières. "Les leaders mondiaux ont fait beaucoup d'efforts pour stopper la perte de biodiversité, mais ce sujet est maintenant loin des agendas politiques. Il est pourtant temps de faire la relation entre le développement économique, la sécurité à long terme et la nécessité d'un développement vraiment durable et d'un environnement sain", conclut le M. Lieberman. 08/07/08 15 -----------------------------------
  15. Le chat: c'est une viande très fine L'idée que des Romands osent manger du chat donne des cauchemars à beaucoup de monde, dont la présidente de SOS Chats.A+ A- Imprimer RSS Envoyer Recommander Réagir Si vous avez manqué le début «Garder une peau de chat en souvenir: l'horreur!»Certains Suisses passent leurs chats à la casserole. Une cuisine qui dégoûte l'association SOS Chats. Légalement, les Suisses ont le droit de cuisiner de la viande de chat. Certains le font. Tomi Tomek, de SOS Chats, est choquée Gaëlle Cajeux - le 31 juillet 2008, 23h00 Le Matin Avoir un chat dans la gorge? D'ordinaire, c'est plutôt gênant et désagréable. Mais, en Suisse, certains semblent apprécier puisqu'ils mangent du matou. C'est le cas de Stéphanie*, une agricultrice jurassienne. Lorsqu'on l'appelle pour lui faire part de notre étonnement - «Vous mangez vraiment du chat?» -, elle répond tout simplement: «Oui, c'est vrai. Vous savez, c'est excellent.» Puis elle poursuit d'une voix chaleureuse. «C'est une viande très fine. Moi je dis toujours que ça ressemble au lapin, mais c'est bien moins filandreux. Evidemment, il ne faut pas prendre de trop vieux matous...» Stéphanie donne ensuite sa recette pour apprêter au mieux la viande de chat, de préférence en ragoût (voir encadré). Le plat serait-il donc fréquemment au menu chez Stéphanie? «Oh non, non, pas régulièrement. Là, ça fait deux ans que je n'en ai pas fait. En fait, je le cuisinais parfois lorsque nous vivions à la ferme. Aujourd'hui c'est mon fils qui a repris l'exploitation. Les chats s'y sentent bien, se reproduisent, et on en a vite beaucoup. Alors, parfois, mon mari, qui était boucher, devait en tuer un, et on le mangeait.» Pour limiter le nombre de chats à la ferme Rien à voir donc avec une obsession, comme celle d'Alf, le célèbre alien de la série américaine éponyme, qui inventait toutes les astuces pour se mettre le chat de la famille Tanner sous la dent. «Ça dépendait vraiment du nombre de chats à la ferme, souligne Stéphanie. Mais, parfois, d'autres gens venaient aussi amener leurs chats à mon mari pour les tuer.» Ce qui donne des sueurs froides à la présidente de l'association SOS Chats, Tomi Tomek, qui ne s'en remet pas. «Je suis dégoûtée. Elle en parle comme si c'était de la viande de vache! Depuis que j'ai appris que des Romands mangeaient des chats, je fais des cauchemars, je vois ce ragoût qui cuit dans une marmite... On critique toujours la Chine, mais là, on peut balayer devant notre porte. Comment peut-on laisser faire ça?» Tomi Tomek réagit avec le coeur. Reste que Stéphanie est dans son bon droit. Selon la loi suisse, elle peut cuisiner du chat si cela reste pour une consommation personnelle. «Bien sûr, il y a des gens qui disent qu'on ne devrait pas tuer des bêtes comme ça. Qu'est-ce que je dois dire? Ma foi, je ne sais pas, confie Stéphanie. On ne fait rien de mal. On ne tue pas les chats pour le commerce ou pour la peau. C'est vrai qu'on en a gardé quelques-unes. Mais on les a fait tanner car j'ai mal au dos, et il paraît que, si on applique des peaux de chats, c'est bénéfique.» «Totalement faux! Ça n'a aucun effet!» rétorque Tomi Tomek, qui se bat contre le commerce des peaux de chats. * Prénom fictif La recette pour mitonner du matou suite.... http://www.lematin.ch/fr/actu/suisse/le-chat-c-est-une-viande-tres-fine_9-209475
  16. Emprisonnement abusif de 10 défenseurs des animaux en Autriche : Brigitte Bardot appelle Mme Maria Berger à ne pas devenir la ministre de l’Injustice ! Lettre ouverte, 11 août 2008, de Mme Brigitte Bardot à M. Hubert Heiss, ambassadeur d’Autriche en France : « Monsieur l’Ambassadeur, Vous n’êtes pas sans connaître la vive émotion, l’indignation même, des citoyens européens après l’arrestation arbitraire, le 21 mai dernier, de 10 militants autrichiens emprisonnés dans une opacité digne d’un régime totalitaire. Les associations autrichiennes ont été scandalisées par la violence de l’intervention policière et la saisie, dans des appartements privés et des bureaux, de nombreux documents de travail et ordinateurs. Ces méthodes, indignes d’un pays démocratique, ont fait réagir Amnesty International et je tiens, aujourd’hui, à ajouter ma voix à ces nombreuses protestations. Il est vrai que depuis quelques mois déjà, les défenseurs des animaux sont présentés comme de dangereux terroristes, voire des criminels. Cette manipulation de l’opinion publique est vraiment choquante, outrancière et plus que déplacée. Certes, notre action dérange quelques intérêts économiques, mais est-ce une raison pour salir et museler ceux qui s’engagent pour secourir des êtres sans défense ? La violence n’est pas de notre fait, au contraire, nous la combattons fermement. Elle est dans l’exploitation aveugle, cruelle et quotidienne, de millions de bêtes rabaissées au rang de bien de consommation, d’outil de recherche, niant de fait leur caractère d’être sensible. Monsieur l’Ambassadeur, j’aimerais connaître les raisons de cette opération paramilitaire menée, dans votre pays, à l’encontre des défenseurs des animaux. Dans la communauté internationale, le sentiment grandit d’assister à une opération politique déguisée en affaire judiciaire. J’aimerais également avoir des nouvelles des personnes toujours emprisonnées. Enfin, je vous prie de faire part à Mme Maria Berger de mon espoir de la voir entreprendre tout ce qui est en son pouvoir pour rétablir la confiance dans l’impartialité de la justice autrichienne, ainsi que dans son respect de la présomption d’innocence et des droits de la défense… J’espère que Mme Berger ne sera pas, dans cette sale affaire, la ministre de l’Injustice ! Je compte sur vous et dans l’attente de votre réponse, vous prie de croire en l’assurance de mes sentiments confiants. Brigitte Bardot Présidente » Par cette intervention, la Fondation Brigitte Bardot apporte son soutien aux 10 militants autrichiens emprisonnés et, plus généralement, aux activistes pacifistes qui font actuellement l’objet d’attaques permanentes, grossières et scandaleusement disproportionnées. Fondation Brigitte Bardot
  17. Finesse et technique ???? Lire comment on tue, entre autres, les canards pour en faire des canards laqués BE CAREFUL AT THIS 'CHINESE RESTAURANT’ Posted: 12:00 am August 3, 2008 Just when you think you've seen everything, TV has a way of showing you that you haven't. For example, I never knew how some food preparers in China kill a duck. And now I do, thanks to this four-part documentary miniseries premiering this week on Sundance Channel. The title says it all. It is called "The Biggest Chinese Restaurant in the World," though, with 800 employees and seating for 5,000, it might well be the biggest restaurant of any kind in the world, period. This giant eatery, the West Lake Restaurant located in the Hunanese capital of Changsha, serves hundreds of roast ducks a day, but they apparently kill them one at a time. As you'll see if you watch this week's premiere episode, the method of death is astonishing, especially for the duck. Basically, this fluffy, white-feathered duck is just standing there minding its own business when someone comes along and plunges some kind of a sharpened stick about the size of a thick pencil into its breast. As the duck stands there with a "why me?" look on its face, the stick-bearer (who is unseen) uses the stick to actually widen the hole until it's spacious enough for him (or her) to insert a couple of fingers. Probing briefly inside the duck, the fingers find the duck's heart and yank it out of the cavity, ending the duck's befuddlement and its life. Later in the episode, chefs are seen chopping snakes into four-inch pieces that are still twitching when they're served on a plate. Speaking of twitching, another dish is demonstrated in which the tail half of a still-living fish is submerged in bubbling oil and deep-fried while the other half remains uncooked. It is then served, half-fried and half-breathing. Difficult as it might be for some to witness the literally heartless killing of a duck, plus the other culinary styles that are so much different than our own, I love this kind of stuff for the way it opens a window on a world most of us will never have the opportunity or take the trouble to see for ourselves. In fact, the theme running through this restaurant series is the same one that underlies all the other China specials you're seeing this summer as the world prepares for the Summer Olympics getting underway this Friday in China (on 8/8/08, symbolizing the Chinese belief that the numbers 888 bring good luck). See related story, page 3. Other China shows seen recently include Ted Koppel's excellent China series earlier this month on Discovery, last week's "China Week" specials on Travel Channel, and this week's Bob Woodruff special on ABC, "China Inside Out" (Wednesday at 10 p.m.). On show after show, it's been the same story: Though the Chinese government is still Communist, and many people (including the millionaire entrepreneur, a woman, behind the West Lake Restaurant) still belong to the Party, no one seems to be living communally in China anymore. On the contrary, this is a country in the throes of capitalism gone wild. One young woman whose wedding is shown in Episode 2 of "Biggest Restaurant" even states flat out that for her, love and money are so intertwined that she wouldn't think of having one without the other. She's not exactly a bridezilla in the mold of those seen on WE, but at the rate they're going, the Chinese are fast becoming just like us. THE BIGGEST CHINESE RESTAURANT IN THE WORLD Monday, 9 p.m., Sundance Channel http://www.nypost.com/seven/08032008/tv/be_careful_at_this_chinese_restaurant__122434.htm -------------------------------- Watch Sundance Channel's The Biggest Chinese Restaurant in the World. The show premieres in the U.S. on Monday, August 4th, at 9pm ET/PT and airing on three successive Mondays. It is a four-part documentary that profiles life in and around the West Lake Restaurant in Changsha, the capital of Hunan province. http://superchefblog.com/2008/07/biggest-chinese-restaurant-in-world.html
  18. BE CAREFUL AT THIS 'CHINESE RESTAURANT’ Posted: 12:00 am August 3, 2008 Just when you think you've seen everything, TV has a way of showing you that you haven't. For example, I never knew how some food preparers in China kill a duck. And now I do, thanks to this four-part documentary miniseries premiering this week on Sundance Channel. The title says it all. It is called "The Biggest Chinese Restaurant in the World," though, with 800 employees and seating for 5,000, it might well be the biggest restaurant of any kind in the world, period. This giant eatery, the West Lake Restaurant located in the Hunanese capital of Changsha, serves hundreds of roast ducks a day, but they apparently kill them one at a time. As you'll see if you watch this week's premiere episode, the method of death is astonishing, especially for the duck. Basically, this fluffy, white-feathered duck is just standing there minding its own business when someone comes along and plunges some kind of a sharpened stick about the size of a thick pencil into its breast. As the duck stands there with a "why me?" look on its face, the stick-bearer (who is unseen) uses the stick to actually widen the hole until it's spacious enough for him (or her) to insert a couple of fingers. Probing briefly inside the duck, the fingers find the duck's heart and yank it out of the cavity, ending the duck's befuddlement and its life. Later in the episode, chefs are seen chopping snakes into four-inch pieces that are still twitching when they're served on a plate. Speaking of twitching, another dish is demonstrated in which the tail half of a still-living fish is submerged in bubbling oil and deep-fried while the other half remains uncooked. It is then served, half-fried and half-breathing. Difficult as it might be for some to witness the literally heartless killing of a duck, plus the other culinary styles that are so much different than our own, I love this kind of stuff for the way it opens a window on a world most of us will never have the opportunity or take the trouble to see for ourselves. In fact, the theme running through this restaurant series is the same one that underlies all the other China specials you're seeing this summer as the world prepares for the Summer Olympics getting underway this Friday in China (on 8/8/08, symbolizing the Chinese belief that the numbers 888 bring good luck). See related story, page 3. Other China shows seen recently include Ted Koppel's excellent China series earlier this month on Discovery, last week's "China Week" specials on Travel Channel, and this week's Bob Woodruff special on ABC, "China Inside Out" (Wednesday at 10 p.m.). On show after show, it's been the same story: Though the Chinese government is still Communist, and many people (including the millionaire entrepreneur, a woman, behind the West Lake Restaurant) still belong to the Party, no one seems to be living communally in China anymore. On the contrary, this is a country in the throes of capitalism gone wild. One young woman whose wedding is shown in Episode 2 of "Biggest Restaurant" even states flat out that for her, love and money are so intertwined that she wouldn't think of having one without the other. She's not exactly a bridezilla in the mold of those seen on WE, but at the rate they're going, the Chinese are fast becoming just like us. THE BIGGEST CHINESE RESTAURANT IN THE WORLD Monday, 9 p.m., Sundance Channel http://www.nypost.com/seven/08032008/tv/be_careful_at_this_chinese_restaurant__122434.htm
  19. Animal

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    Agence France-Presse - 8/5/2008 10:09 AM GMT Indonesians threaten to poison elephants Indonesian villagers threatened Tuesday to poison rare wild elephants that are destroying their palmoil plantations in search of food. "The residents are so angry and have said they will put poison around the plantation areas to kill the elephants unless officials take quick action," said Jambo Dalem village chief Teungku Baili. He said he had warned officials in Trumon Timur district of Sumatra's Aceh province, but nothing had been done to protect the plantations. A herd of eight elephants grazed through the villagers' plantations twice last week, apparently lured to the rows of palm fruit after their natural habitat was wiped out to make way for the lucrative crop. "I'm afraid that another attack on their plantations will push villagers to launch their plan" to poison the animals, the village chief told AFP by telephone. "People here eagerly planted palmoil as it brings more profits, but it's all been easily destroyed by elephants." The elephants have been destroying plantations since 2000 but the problem has become worse over the past two months, he said. Conflicts between wild animals and humans have long been on the rise in Sumatra, where tropical jungles have been almost completely wiped out except on mountain slopes. Experts say palm oil plantations offer the pachyderms a more attractive source of food than can be found in the forest. The population of Sumatran elephants was estimated at between 2,400 and 2,800 last year, a decrease of 35 percent from 1992, according to the World Wide Fund for Nature.
  20. Animal penis tests the tastebuds of Olympic visitors IT'S a hard act to swallow. Let's be honest. We came to China not for the Olympics, or the promise of new democratic freedoms, or even the chance to buy some cheap electronic equipment and flog it off to friends for a profit back home. No, we came here for the food, in all its bizarre, exotic glory. Take your pick. Scorpion kebab? Roast dog leg? Deep fried worm? And for the absolutely fearless, what about the ham sandwich on offer at the Olympic media centre? But nothing, surely, beats the diced, gristly thing dangling from my chopsticks. Welcome to Guolizhuang, a Beijing restaurant specialising in animal penises and testicles. The locals refer to it as a petrol station for men and a beauty parlour for women, so devoutly do they believe in the health-giving properties of animal genitals. Penis on the menu So there seemed no point in wasting time. Entrée was demolished quickly - a combination dish of fried, honeyed worms that spent their life eating only bamboo, the wagyu beef equivalent of the slug kingdom. But now main course has arrived and it's far more confronting. The raw penises of four animals - ox, sheep, deer and donkey - lie limply on a plate as our waitress stirs a hot pot bubbling away on a portable stove in our private room. The soup, enriched with chicken and fish bones, has a turtle floating helplessly in the middle, its head and legs swirling around the shell. Into this boiling stock go the penises. A few minutes later the first is hanging from my quivering chopsticks. Ox penis, says the waitress, is full of protein, good for the skin and aids longevity. And the deeper its colour, the more effective its properties. Down the hatch it goes. The first thing you notice is the blandness. It's fatty, slightly chewy and awkward to swallow. The next piece is dipped in chilli sauce and there is an immediate improvement, but it still fails to blanket the growing queasiness in the pit of your stomach. Sheep's penis. A flabby little thing taken from a breed of Inner Mongolian sheep known for strength and speed. Clearly this one was not quick enough. There's no difference to the ox. Bland, soft rubber. Things improve, flavour-wise, when the deer arrives. But the best is clearly the donkey penis. Slivered from the top half, it looks like a streak of bacon and carries the faint taste of pork. By Chinese standards, it's an expensive meal, well over $A100 and easily beaten in flavour and texture by the scrambled egg with lily flowers and the mandatory accompaniment for an Australian in Beijing, fried rice. Of course, we could have opted for the Canadian seal penis but at more than $500 a dish we begged off. And the “Head Crowned with a Jade Bracelet" sounded fascinating, but our appetite for horse penis from western China was by now diminished. ... http://www.news.com.au/heraldsun/beijing_olympics/story/0,27313,24104498-5016752,00.html
  21. Animal

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    32 research monkeys die in accident at Nevada lab By SCOTT SONNER, Associated Press Writer Thu Aug 7, 10:21 PM ET SPARKS, Nev. - Thirty-two research monkeys at a Nevada laboratory died because human errors made the room too hot, officials for the drug company that runs the lab said Thursday. Animal rights activists complain the company took too long to report the deaths. Charles River Laboratories Inc. issued a statement saying the monkeys died in Sparks on May 28. The company, based in Wilmington, Mass., attributed the deaths to incorrect climate-control operation. The company said that it reported the problem immediately to the U.S. Department of Agriculture and the Centers for Disease Control and Prevention, but that it didn't notify the public out of concern for the safety of its 515 employees who work at its labs in Sparks and neighboring Reno. "Due to the increased level of extremist activity targeting individuals involved in biomedical research in recent months, our first concern is for our employees and the animals we care for at Charles River," the company said. Company officials also recently met with the USDA to review preventive measures put in place as a result of the accident, the company said. It said that no other primates were affected, and that the public was never in danger. Kathy Guillermo of People for the Ethical Treatment of Animals questioned the company's claim that it immediately reported the situation to federal authorities because "USDA did open an inquiry when we filed a complaint" in July. "Their statement about fears for their own safety is absurd," said Guillermo, director of PETA's laboratory investigations department in Norfolk, Va. "They have an abysmal record of animal care. As usual, they are more interested in their reputation than in the animals' safety." She continued: "That monkeys were literally cooked to death by a heating system failure, as a whistleblower alleges, shows that the facility did not even have a simple alarm system in place to alert staff to the malfunction." Justin Goodman, PETA's associate supervisor for research, notified the USDA of the group's concerns on July 7 after PETA received an anonymous letter. Robert Gibbens, a USDA official, said in a letter to Goodman the same day that the USDA intended to investigate. A spokesperson for Gibbens' office referred calls to officials at the USDA's Animal, Plant and Health Inspection Service in Maryland. Officials there did not return a call. PETA's Guillermo said the USDA cited Charles River for 22 violations of the Animal Welfare Act in 2005 alone. Another animal rights group, Stop Animal Exploitation Now, this year publicized 20 violations Charles River reported to federal officials in 2006 and early 2007. Stop Animal Exploitation Now cited information obtained through the Freedom of Information Act that showed the fingers of two monkeys at the Sparks lab were amputated after being caught in cage wiring. A third monkey's tail was cut and treated. Charles River spokeswoman Amy Cianciaruso said at the time that the company immediately changed procedures to minimize the chance of a recurrence of injuries and that staff were trained on the new procedures. On Thursday, Cianciaruso and Greg Beattie, executive director for site operations in Sparks, said they could not comment beyond the company's statement. Biomedical researchers are on edge lately. Firebombs have targeted researchers at University of California campuses in Santa Cruz and Los Angeles. More recently, masked protesters targeting UC Berkeley have scrawled graffiti and broken windows at scientists' homes. And in February, animal rights activists showed up wearing masks at the house of a UC Santa Cruz cancer researcher and threw a punch at the scientist's husband. http://news.yahoo.com/s/ap/20080808/ap_on_re_us/research_monkey_deaths_2
  22. Animal

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    USA: Florida restaurant puts lion meat on the menu Chris Mercer A restaurant in Tampa, Florida, has been offering lion meat from South Africa to its customers. It is thought that the lion originated from a ‘lion farm' in South Africa. Is this an industry which Florida restaurant goers would wish to support? There is little doubt that the patrons of the restaurant will have little idea that by ordering lion meat they are supporting one of the most vicious and destructive industries in the world. Their money will go back along the commercial food chain until it reaches the canned lion breeder in South Africa, enriching him and encouraging his grisly trade. South Africa is the world capital of canned lion breeding and hunting; captive predators, often wild caught, are reared under cruel conditions and then shot for sport, often with bow and arrow. Packs of dogs are sometimes used to force tame, hand reared lions up trees so that bow hunters can have fun shooting arrows into their helpless victim........ Campaign Against Canned Hunting South Africa http://www.cannedlion.co.za/ 2008-08-11 11:42
  23. Animal

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    Boeuf haché retiré des étalages Alerte au E. coli Canoë 10/08/2008 15h46 La première chaîne d'aliments bio aux États-Unis, Whole Foods Market, a annoncé qu’elle retire volontairement de ses étalages du boeuf haché frais potentiellement contaminé par la bactérie E. coli O157:H7. Des cas de maladie associés à Whole Foods Market ont été signalés au Massachusetts et en Pennsylvanie. Le bœuf contaminé aurait été vendu entre le 2 juin et le 6 août 2008. Rappel au Canada et aux États-Unis La chaîne a aussitôt annoncé un rappel volontaire élargi qui inclut le Canada. Whole Foods Markets au Canada a rappelé la viande potentiellement infectée qui a été vendue dans ses magasins situés à Vancouver, à Oakville et à Toronto. Il n’y a aucun Whole Foods Markets au Québec. Aux États-Unis, le rappel a été émis pour les états américains suivants: Connecticut, Rhode Island, Maine, Massachusetts, Floride, New Jersey, New York, Kentucky, Maryland, Ohio, Pennsylvanie, Virginie, Washington D. C., Alabama, Géorgie, Caroline du Nord, Caroline du Sud, Tennessee, Illinois, Michigan, Minnesota, Missouri, Nebraska, Wisconsin. La source possible Whole Foods Market a indiqué que le boeuf contaminé provenait possiblement de Coleman Natural Beef dont un de ses établissements de transformation, Nebraska Beef, aurait déjà fait l'objet d'un rappel à l'échelle nationale en raison de contamination par E. Coli. La bactérie E. coli Selon l’Agence canadienne d’inspection des aliments, la bactérie E. coli, appelée aussi Escherichia coli O157:H7, se trouve à l'état naturel dans les intestins du bétail, de la volaille et d'autres animaux. Les symptômes de maladie chez l’humain peuvent se manifester peu de temps après la consommation, mais ils peuvent aussi bien apparaître jusqu’à un mois suivant la consommation et même plus tard. L’Agence avance qu’il y aurait environ de 11 à 13 millions de cas de toxi-infection alimentaire chaque année au Canada.
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