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Voir la vie en rose au Festival du Cochon Isabelle Huot, Docteur en nutrition 23 juillet 2008 Pour une 31e année, le Festival du cochon de Sainte-Perpétue en mettra plein la vue aux visiteurs! Avec un thème comme le «Lard à son meilleur!», les organisateurs de l’événement s’attendent à une réelle réussite en recevant plus de 50 000 visiteurs! Le cochon à l’honneur Voici quelques activités cochonnement gourmandes proposées par le Festival pour tous les hyophiles (du grec "hyo" signifiant porc et "philos" qui veut dire ami) : Des dégustations et des démonstrations culinaires sur le thème du porc L’Hyopub, pour apprendre tout ce que avez toujours voulu savoir sur le cochon! Le Bistro-Hyo, où le porc est cuisiné par le chef chef André Moreau, en mettant à l’honneur divers produits québécois. Pour chaque repas du Bistro-Hyo, 1$ sera remis à la Fondation Tirelire, créée par les Producteurs de porc du Québec dans le but d’aider à soulager la faim. L’Hyo-Lounge, où vous sont proposés des menus variés à base porc, pour se sustenter ou simplement pour grignoter! Un vaste choix de consommations alcoolisées de qualité vous y est offert. Le grand buffet gourmand, ayant lieu le dernier jour du festival http://www.conseilsnutrition.tv/f-63_festival_du_cochon ...
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Le gouvernement du Québec accorde 25 000 $ à la 31e édition du Festival du cochon de Sainte-Perpétue SAINTE-PERPETUE, QC, le 30 juill. /CNW Telbec/ - Le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation et ministre responsable de la région du Centre-du-Québec, monsieur Laurent Lessard, est heureux d'annoncer, au nom du ministre du Tourisme et ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, monsieur Raymond Bachand, que le Festival du cochon de Sainte-Perpétue bénéficiera, pour sa 31e édition, d'un appui financier de 25 000 $ du Programme de soutien au développement et à la promotion touristiques - volet aide financière aux festivals et aux événements. ... http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Juillet2008/30/c4734.html
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Y'a pas à dire, ils ont mis le paquet pour en faire sa publicité ! Le Festival du Cochon n’échappe pas à Dame Nature Article mis en ligne le 4 août 2008 à 14:29 Soyez le premier à commenter cet article Photo archives, Le Courrier Sud Le Festival du Cochon n’échappe pas à Dame Nature Le 31e Festival du cochon de Ste-Perpétue n'a pas échappé aux caprices de Dame Nature. Les cinq jours de l'événement ont connu au moins un épisode de pluie et les activités vedettes du week-end ont toutes demandé du courage aux spectateurs, devant braver des averses parfois fortes pour assister à leur événement chouchou. Même la célèbre Course Nationale du Cochon Graissé, pour laquelle 2000 des 6000 places disponibles avaient trouvé preneur avant le début du festival, n'a pas échappé aux caprices de la météo. Les concurrents, qui se sont mesurés à des cochons extrêmement vigoureux, en ont été quittes pour des difficultés supplémentaires et probablement quelques courbatures de plus. Toutefois, certains indices laissent croire que le bilan final de ce 31e Festival du cochon ne souffrira pas indûment des caprices de Dame Nature. Quelque 4300 «passeporcs» avaient effectivement trouvé preneur avant l'ouverture de l'événement, ce qui est déjà une bonne police d'assurance pour l'organisation, rodée au quart de tour et habituée d'accueillir près de 50 000 personnes par année. «L'expérience du passé démontre que 1000 autres laissez-passer du genre sont habituellement vendus durant les premiers jours et que chaque détenteur d'un passeporc entraîne avec lui deux ou trois autres visiteurs», faisait valoir au cours du week-end le directeur général du Festival du cochon, Michel Jutras. On saura dans quelques heures si ce calcul tient toujours. http://www.lecourriersud.com/article-237239-Le-Festival-du-Cochon-nechappe-pas-a-Dame-Nature.html
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Tu as raison Caro, mais je pense que la majorité des musulmans et des juifs qui consomment de la viande halal ou casher au Canada, ne savent pas nécessairement comment sont élevés les animaux qu'ils mangent. Ils savent seulement comment ils sont abattus et ils sont convaincus que les animaux abattus de ces façons ne souffrent pas. Il y aurait beaucoup d'«éducation» à faire sur le sujet. articles intéressants: ASIDCOM : Que pensez vous du statut de l’animal dans le monde aujourd’hui ? et que dit l’islam à propos du bien être de l’animal ? Dr Abdel Majid KATME : Malheureusement le statut de l’animal dans le monde est très mauvais de nos jours, barbare, cruel et injuste. C’est pour cette raison, que nous avons aujourd’hui un grand nombre d’organisations de bien être animal afin de remédier à cette sérieuse question: Des fermes industrielles, des cages en batteries, l’étourdissement lors de l’abattage et des épidémies d’abus et de tortures des animaux même en public et à domicile! A ma surprise j’ai découvert plusieurs versets ("Ayats" du Coran) et paroles ("Hadiths") du prophète Mohammed (Paix et Bénédiction sur Lui) qui sont un grand guide sur le bien être animal pour toute l’humanité dans ce monde. Le bien être animal est pris en considération même au moment du sacrifice, comme par exemple: offrir à manger et à boire à l’animal avant de faire le sacrifice, éviter d’affûter son couteau sous le regard de l’animal, l’acte d’abattage et même le sang (qui sont une bienfaisance physiologique). Malheureusement la plupart des musulmans ne sont pas conscients de ces aspects de bien être animal proscris par l’islam. Ils ne montrent pas l’exemple aux non musulmans pendant que les gens en Occident considèrent notre sacrifice rituel ("Zabiha") de cruauté envers les animaux. On a vraiment besoin, aujourd’hui, d’établir ces organisations nécessaires dans chaque pays: LA SOCIETE ISLAMIQUE POUR LE SOIN ET LE BIEN ETRE ANIMAL Et de faire notre devoir en tant que musulman pour sauver nos animaux innocents de toute souffrance ou abus. Je vous invite à consulter mon article sur les droits des animaux en Islam. ... http://asidcom.over-blog.com/categorie-923029.html http://www.a7fr.com/article/48313.htm
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mais comment dénoncer les abattages rituels alors que notre société tolère que les animaux de boucherie soient élevés dans des cages exigües, qu'ils soient mutilés à vif, battus, broyés vivants, jetés contre des murs, transportés pendant des jours sans eau ni nourriture, etc. etc. ? Je discutais récemment avec un musulman qui me disait qu'il trouvait cela horrible que les animaux de notre pays soient élevés dans des cages, qu'ils ne voient jamais la lumière du jour, qu'ils ne mettent jamais une patte sur l'herbe, car dans son pays, les animaux qui sont sacrifiés pour être mangés, ont au moins eu la «chance» d'être élevés en plein air et quand on sait que même par abattage «classique», bon nombre d'animaux de notre pays et des US sont encore vivants quand on leur tranche la gorge, qu'on leur coupent les pattes, c'est plutôt difficile de dénoncer les autres méthodes d'abattage.
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Définir abattage certifié sans souffrance Une autre perle de Madame Gladel ! jeudi 24 juillet 2008 Avertissement : ce texte comporte des exemples qui peuvent choquer les âmes sensibles. La Commission européenne a décidé hier d'interdire l'importation de tout produit dérivé du phoque qui ne serait pas certifié être abattu sans souffrance. Enfin, la proposition est sur la table, il faut maintenant l'adopter. Normalement le processus peut prendre deux ans sauf qu'il y a unanimité et que le président Nicolas Sarkozy a promis à Brigitte Bardot que cette proposition serait en place avant la fin de l'année. Les chasseurs de phoques des Îles de la Madeleine n'ont pas tardé à réagir. Ils se demandent ce que les Français vont faire avec le foie gras. Est-ce que le canard est élevé, gavé et abattu sans souffrance ? Un bon point. Si on se met à définir abattu sans souffrance, on n'y arrivera jamais. De ce côté, je suis d'accord avec les végétariens. Abattre un animal, c'est automatiquement lui imposer une souffrance. Alors, on interdit toute consommation de viande ? Mais il y a des manières de procéder plus « humaines » que d'autre. Si on peut appeler cela humain. Un exemple cruel ? Mon arrière-grand-mère (m'a raconté ma mère) tuait les canards et les poules en leur enlevant les yeux. Affreux. Ma mère tuait les poules en les saignant après les avoir assommées. (J'ai été élevée sur une ferme française). Plus humain ? Pourtant, ma mère est la première à s'émouvoir devant la chasse aux phoques. Pourquoi ? Car les phoques sont « cutes », qu'on les tue avec un gourdin et que le sang rouge vif tranche sur la neige blanche. Autre exemple : Avez-vous déjà assisté à la mise à mort d'un cochon ? Une horreur. Ne me dites pas que le cochon ne souffre pas. Il pousse un long cri strident, puissant et long. J'espère qu'on a affiné cette méthode artisanale dans les abattoirs. Compliqué. Car les êtres humains n'arrêteront jamais de manger de la viande. S'ils pouvaient au moins diminuer. Mais on s'éloigne du sujet. L'Europe semble très encline à regarder dans la cour des autres, mais peu dans la sienne. De son côté, le ministre canadien ne s'inquiète pas, car il compte bien démontrer aux Européens que le phoque canadien est tué sans souffrance. Il faut dire que des vétérinaires ont déjà souligné que la manière de tuer le phoque en l'assommant d'un coup sec était la moins souffrante. Mais que le chasseur devait ensuite vérifier si l'animal est bien mort avant d'y planter son couteau. Suivent-ils tous cette règle à la lettre ? C'est à voir. Dans le feu de l'action... ... suite http://evenement.branchez-vous.com/2008/07/definir_abattage_certifie_sans.html
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Le lundi 04 août 2008 Des pesticides illégaux toujours utilisés, selon Protégez-Vous Photothèque Le Soleil La Presse Canadienne Montréal Une enquête révèle qu'il demeure courant que des entreprises continuent d'épandre des pesticides interdits sur les terrains résidentiels du Québec, bien que leur usage soit proscrit par le Code de gestion des pesticides depuis plus de deux ans. Dans son numéro du mois d'août, le magazine Protégez-Vous présente une analyse réalisée par une experte mené dans une cour montréalaise. Elle affirme qu'il y a eu épandage d'un produit de la classe des phénoxy, des produits dangereux pour la santé qui sont bannis depuis quatre ans par la Ville de Montréal. Pourtant, avec plus de 100 000 clients, l'entreprise soupçonnée est la plus importante du domaine de traitement de pelouse au Québec. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080804/CPSOLEIL/80804079/6907/CPSOLEIL
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Le lundi 04 août 2008 Un temps de cochon! REGARDEZ LES PHOTOS http://www.cyberpresse.ca/article/20080804/CPNOUVELLISTE/808040761/5410/CPNOUVELLISTE Temps de cochon... course de cochon... vraiment le cochon avait le dessus cette année au festival de Sainte-Perpétue! Photo: Olivier Croteau Josiane Gagnon Le Nouvelliste Sainte-Perpétue En 31 ans, le Festival du cochon de Sainte-Perpétue, qui s'est terminé hier, n'avait jamais connu une édition aussi pluvieuse. L'événement a duré cinq jours. Il y a eu cinq jours de mauvais temps. La chanteuse Pascale Picard a pris part, et de bon coeur avec ça, à la course de cochons graissés samedi soir. Et comme c'est le cas pour la majorité des participants, la bête l'a complètement exténuée! Photo: Olivier Croteau «Ce ne sera pas une année record», admet la directrice des communications, Josiane Fontaine. Malgré tout, les spectacles en soirée ont pu avoir lieu comme prévu, et de nombreux festivaliers ont bravé les averses avec leur parapluie. Samedi soir, c'est en partie sous la pluie qu'a eu lieu la traditionnelle course de cochons graissés, animée pour la cinquième année par Alex Perron et Jean-François Baril. Dix-huit participants étaient inscrits pour la compétition officielle. Parmi eux, deux seulement ont réussi à maîtriser le porc et à le faire basculer dans la grande boîte. C'est Maxime Morin, de Nicolet, qui a été le plus rapide. Il a dompté la bête en seize secondes, ce qui lui a permis de remporter l'épreuve. L'artiste attendue sur scène plus tard dans la soirée, Pascale Picard, a également expérimenté la course, tout comme Dominic Arpin, connu comme «l'explorateur urbain». Tentant sa chance hors compétition, le journaliste a remporté le défi lancé par Jean-François Baril en réussissant à attraper l'un des porcs (un petit) qui se trouvait avec lui dans l'enclos. Cette victoire lui a donné l'opportunité de se venger sur l'animateur en le déposant dans la boîte pleine de boue. De passage à Sainte-Perpétue pour un stage dans le domaine agricole, Romain Delaunay, originaire de Poitou-Charentes en France, s'est laissé convaincre d'essayer la course aux cochons graissés hors compétition samedi soir. ... http://www.cyberpresse.ca/article/20080804/CPNOUVELLISTE/808040761/5410/CPNOUVELLISTE
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Comme c'est bien dit !!!!!!!!!!!! Catherine Pelchat Commentaire mis en ligne le 4 août 2008 Ce genre de festival reflète - avec un cynisme puéril - l'attitude convenue de nos sociétés "civilisées" à l'endroit des animaux. La société québécoise ne fait pas exception, elle traite les animaux comme s'ils n'avaient pas d'intérêts propres dignes d'être considérés, mais comme de simples moyens, des objets en définitive. De la viande sur pattes, ici, en l'occurrence. Cela tombe bien qu'elle ait des pattes cette viande puisqu'elle peut ainsi courir, pour le plus grand divertissement des spectateurs qui auront au surplus le plaisir de la manger en fin de course... Qu'est-ce qui pourrait bien rivaliser avec de si raffinés et indispensables plaisirs? La vie des cochons peut-être? Leur désir de courir quand et comme bon leur semble? ---------------------------- david ruffieux Commentaire mis en ligne le 3 août 2008 Un festival qui existerait depuis 31 ans ne peut être que sans reproche, de même que tout ce qui dure dans le temps est forcément bien selon certains. Par exemple, l'excision, l'esclavage, les combats d'animaux sont des pratiques ancestrales, c'est dire comme elles sont utiles à la socièté, selon le raisonnement précédent. En plus, si Céline Dion et Garou et Mitsou viennent y faire leur spectacle, alors là, alors là, on a plus de droit de douter sur le bien-fondé du Festival du cochon. Si la grande sagesse et profondeur d'âme des stars du showbizz n'est plus à prouver, on peut peut-être gager qu'ils ne savent pas la nature de ce à quoi on les a invité. Et puis vous savez au Québec, les cochons sont entrainés depuis le plus jeune âge, pas seulement à courrir, mais aussi à souffrir des inconvénients se rapportant à l'élevage intensif; on les castre, on leur coupe les dents, on leur casse le groin si nécessaire. De plus, ils ne verront qu'une une seule fois la lumiìere du jour, lors de leur ultime voyage vers l'abattoir après de longs et de bien désagréables transports. Non, c'est le fun d'être un cochon au Québec! On a envie de célébrer. Croyez-moi, il est tout a fait normal de critiquer la bêtise humaine, quand elle se présente, même sans en avoir fait l'expérience personnelle. Que le passé est beau, comme le pense une lectrice un peu tarte à la crème: ''La plupart des pratiques culturelles et sociales des groupes s'inspirent de celles du passé." Quelle sentence! Nous sommes condamnés. http://www.journalexpress.ca/article-216521-Lard-a-son-meilleur-a-SaintePerpetue.html#comment
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Une Première Ministre Israëlienne végétarienne ?
Animal a répondu à un(e) sujet de Animal dans Végétarisme
Il me semble avoir lu récemment qu'il y a de plus en plus de vgs pour les animaux en Israël. Je crois aussi que c'est dans ce pays où on ne permet plus de faire de vivisection dans les écoles... Voir le site Jewish Veg http://www.jewishveg.com/ The way animals are treated on farms today violates Jewish teachings. Judaism is unequivocal in requiring us to treat animals humanely. How do these important Jewish teachings on compassion for animals apply to what we eat? If you're like most people, you imagine a farm the way storybooks portray them, with chickens scratching around in the dirt, pigs rolling together in the mud, and cows peacefully grazing out at pasture, the animals living a happy, idyllic life until coming to a quick and painless death at the hands of the slaughterer. This picture is far from reality. These kinds of farms, the norm back in Biblical and Talmudic times, have virtually disappeared in modern America. The mass production techniques which drove our industrial revolution now dominate our farms as well, and today large agribusiness conglomerates have nearly obliterated the traditional family farms that once dotted our landscape. Over 90% of animals on U.S. farms today are raised using intensive rearing methods, on modern "factory farms." Listen to what happens on these factory farms, and consider how the way animals are raised for food today fits in with our Jewish tradition of compassion for animals. Chickens, for instance, are raised in absolutely atrocious conditions. Those raised for meat live their short lives entirely indoors, never seeing grass or sun or sky, crowded so tightly that each chicken, with a wingspan of 2½ feet, has on average a mere 6/10 of a square foot in which to live its life. Their droppings are not cleaned, so they spend their entire lives in their own filth. As a result of the ammonia, dust, and disease in the air, farmers complain of sore eyes, coughing, and even chronic bronchitis, and have been warned to avoid entering these areas. If that's true for the farmers, what must it be like for the chickens, who must live their entire lives breathing this air? They all develop respiratory problems as a result, and the ammonia burning their eyes sometimes leads to blindness. Farmers use hormonal and genetic manipulation to make the chickens grow seven times faster than normal, which puts such stress on their bodies that 90% of the chickens suffer leg deformaties, and some just flip over in convulsions and die. Though their normal lifespan is 15-20 years, they are slaughtered at just 7 weeks of age, because if allowed to grow longer, mortality rates surge due to heart attacks, infections, and other diseases. Under these conditions of extreme stress and frustration, the chickens will actually peck each other to death, a behavior virtually unheard of under normal conditions where chickens can establish a natural "pecking order." Farmers deal with this loss to profitability not by alleviating the conditions which lead to such behavior, but by cutting their beaks with a hot knife. This is not a painless procedure like trimming nails, since the birds have sensitive nerves in their beaks, and indeed for some chickens this creates so much pain that they cannot eat and starve to death. Chickens raised for their eggs have it even worse. After hatching, since male chicks are useless to the egg industry, they are simply thrown into plastic bags where they suffocate under one another, or are thrown alive into grinders to be fed to their sisters. The females are raised in wire cages stacked one on top of the other, so excrement drops from one cage onto the birds below. The birds are generally packed 4-7 birds to a cage the size of a folded newspaper. They cannot stand or perch comfortably on the unnatural slanted wire floor. The result is severe discomfort and serious leg deformities, and their nails can get caught in the wiring leaving them completely immobile. It is typical for one hen to be consistently trampled underfoot by the others. Hens also have a strong need to lay their eggs in privacy, an urge shown in studies to be as strong as the urge to eat after being starved for a day. Of course, privacy is completely impossible under these conditions. Other urges, like dust bathing and nesting, are also completely frustrated. In time, the rubbing of their bodies against the wires causes their feather to fall out and their skin to be rubbed bright red and raw. Indeed, it appears that the birds are driven literally insane by their treatment, as indicated by their hysterical noisiness among naturally rather quiet animals. Conditions are so bad for these layers, 20-25% of them die before slaughter at less than 2 years of age. By the time they're killed, due to confinement and transport, 88% of then hens have broken bones. What's more, when the layers end their egg cycle, they are often "force-molted." This involves leaving them without food in complete darkness for sometimes up to 18 days, in order to shock their bodies into starting another cycle. The birds can lose more than 25% of their body weight in this process, and it is common for 5-10% to die. And egg-laying chickens, like the rest, end up in slaughter. The cows we eat are routinely branded, receiving third-degree burns; their horns are either torn out or gouged out; and they are castrated. All without anesthetic, of course. Most dairy cows are tied in place for their entire lives, unable even to walk around. To keep their milk flowing, they are impregnated every year, and their calves are taken away immediately so as not to waste any of the milk. This is causes great suffering to both mother and child, and a cow will often bellow for days after its baby. Except for the few added to the dairy line, these babies all become veal, to be raised in darkness and isolation in stalls too small to lie down in, fed iron-free diets to keep them anemic, and slaughtered at just six weeks of age. The dairy industry and the veal industry are the same industry. Giving birth constantly wears the cows' bodies down, so that these animals who normally live to 25 years are spent by the time they're six, and sent to slaughter like the rest. All these animals endure transport to slaughter for up to days without any food or water, sweltering under the summer heat or freezing to death in the harsh winter. At the slaughterhouse, they are beaten with electric prods, including in their eyes and anuses, to get them to go up the chute as they smell the blood and hear the screams of the animals before them. They are hung in the air by their back legs, which bruises or breaks them. For non-kosher meat they are supposed to be stunned, but with a documented 25% failure to stun rate, they routinely have their limbs chopped off, their skin peeled off, and they are dropped into tanks of scalding water, all while fully alive and conscious. This is the horrific, bloody end to their life of misery. And all just because we like the taste of meat. How does this fit in with the Jewish mandate not to cause pain to any animal? How does their lifelong confinement compare with Rashi's statement that they must be free to roam and enjoy the beauties of nature on the Sabbath day? How is their starvation through weather extremes during transport to slaughter consistent with the mandate that we must not ourselves eat before making sure our animals are provided for, even if this interrupts a rabbinic commandment? How does the dairy industry's practice of removing the calf from its mother just after birth, compare to Maimonides' words that "there is no difference in this case between the pain of people and the pain of other living beings"? How can we as Jews, who are not permitted even a small notch in the knife used for killing an animal lest it cause momentary pain, who are not permitted to take the young away in the mother bird's presence lest it cause her grief, who are not even allowed to associate with hunters, how can we inflict all this suffering on so many of G-d's creatures, about whom the Torah tells us "the L-rd is good to all, and his tender mercy is over all his creatures"? Where is the mercy here for these pitiful animals? It is clear that the Torah envisages a peaceful, happy life for animals, and that if they are to be killed for food, they should end their happy lives quickly and painlessly. Today in America, however, we cannot eat animal products without directly participating in cruelty of unfathomable proportions. Each year, in the US alone, 10 billion warm-blooded animals are slaughtered for food. Compare that to the human population of the entire earth of 6 billion, and there is no comprehending the amount of suffering involved. We cannot be compassionate, we cannot abhor cruelty, we cannot be true to the beautiful decency and caring for animals written into the Torah which G-d gave us, indeed, we cannot be good Jews, as long as we continue to pay for the torment of these abused souls. Jews have known too well the bitter taste of cruelty and oppression, and Jews have remembered our tragic history when we have seen others suffering under the cold hand of persecution. Jews have taken leadership roles in the battles for worker’s rights, for civil rights, and even today Jews have worked to help the plight of the Kosovo refugees. Let us not forget the suffering we have experienced as a people when it comes our turn to choose whether others will be brutalized at our hands, every time we sit down to dinner. As Nobel prize winning Jewish author Isaac Bashevis Singer wrote, "...as long as human beings will go on shedding the blood of animals, there will never be any peace... There will be no justice as long as man will stand with a knife or with a gun and destroy those who are weaker than he is." Let us, as Jews, who have helped change the world for the better so many times before, continue to spread the concept of tikkun olam, of repairing the world, to the countless animals who live, and die, in abject misery. Millions of people are going vegetarian every year. Please consider becoming a vegetarian yourself, so that we as Jews can help create a more compassionate world. -
C est une beagle femelle pure race de 13 pouces et pesant 25 lbs née le 16 Octobre 2006 repondant au nom de Daisy. Elle est opérée et a recu plusieurs vaccins. Elle est habituée avec d autres chiens car j ai le mien et il jouent ensemble. Très colleuse, elle a besoin d'affection. Elle a appris plusieurs tours comme: Donne la patte, roule sur elle même, s'assoit. Elle rapporte également des objets et imite le son d'un morse lorsque fatiguée. J'aimerais choisir la famille qui va l adopter pour etre sur qu elle sera heureuse et a l abri. Pour infos: jacques.hamel@videotron.ca ou morpheus_tremblay@hotmail.com
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Truck carrying thousands of chickens overturns on Highway 102 near Halifax THE CANADIAN PRESS HALIFAX - It took several hours to clean up the mess after an 18-wheeler carrying thousands of chickens overturned on Highway 102 near Halifax earlier today. RCMP say the accident happened on a sharp curve at around 5:00 a.m. The road was cleared before noon. Sgt. Mark Gallagher says it's believed about 1,500 of the the estimated 7,000 birds on the truck were killed. Aug 1, 2008 http://www.theguardian.pe.ca/index.cfm?pid=1447&cpcat=atlantic&stry=111710043 ----------------------------- http://www.thechronicleherald.ca/Front/9007809.html Kentucky Fried Catastrophe Pullets surprised as truck overturns on highway near Bedford By PATRICIA BROOKS ARENBURG Staff Reporter Fri. Aug 1 - [Photo: The foot of a dead chicken sticks out of the side of a palette loaded onto a truck, after the truck carrying them rolled over while entering Highway 102, near Bedford on Friday. (TED PRITCHARD / Staff)] No, the chickens didn¢t try to cross the road. They just fell onto it. A tractor-trailer carrying a load of chickens overturned Friday on a highway ramp near Halifax. RCMP were called to an off-ramp from Highway 101 to Highway 102 outbound at Bedford at about 5:49 a.m. after the truck overturned. The driver was not injured, said Sgt. Mark Gallagher, RCMP spokesman. The ramp was blocked for a time, but it was passable during the morning commute, Sgt. Gallagher said. Feathers were expected to fly when crews unload the chickens and place them on another truck. That process was expected to take another two hours, he said. RCMP reminded drivers to slow down. Those caught speeding in the area of the accident scene will be subject to fines double the amount of a regular speeding ticket, just as in a construction zone, Sgt. Gallagher said. Earlier this month, the province announced new fines for drivers convicted of speeding in a work zone, ranging from $337 for a first offence to $2,407 for a third offence, including court costs. Offenders will also be handed demerit points.
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Diane Dufresne : chaque fleur, chaque arbre que l'on tue...
Animal a posté un sujet dans Environnement
Le samedi 02 août 2008 Diane Dufresne : chaque fleur, chaque arbre que l'on tue... .... dommage qu'elle n'ait pas rajouté: chaque animal... Diane Dufresne Photo Ivanoh Demers, La Presse Marie-Christine Blais La Presse Demain, sur la grande scène extérieure des 20e FrancoFolies de Montréal, à l’occasion du spectacle Terre planète bleue, Diane Dufresne montera sur les planches avec des tas d’amis qui ont tous à cœur la même chose et la même cause : notre planète. Ça n’a rien à voir avec la mode ou la tendance «vert». Cela fait 35 ans que Diane Dufresne, d’abord avec les mots de Plamondon, ensuite avec les siens, nous met en garde. Attention, la Terre… http://www.cyberpresse.ca/article/20080802/CPARTS/808021011/1017/CPARTS -
1 août 2008 Le meilleur est à venir à Sainte-Perpétue Le 31e Festival du cochon arrive dans son dernier droit par Gérard Martin Article mis en ligne le 1 août 2008 à 13:42 Soyez le premier à commenter cet article ... http://www.journalexpress.ca/article-236836-Le-meilleur-est-a-venir-a-SaintePerpetue.html ------------------------------------------ http://www.festivalducochon.com./course.php http://www.festivalducochon.com./accueil.php
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Sachez qu'il n'y a aucune torture des cochons à Sainte-Perpétue! 1- la Société protectrice des animaux a vérifié en 1980 si la course mettait les cochons en danger... Et non aucun danger! 2- Les cochons sont entraînés et reçoivent une alimentation en conséquence de la course sous la supervision de vétérinaires. 3- L'activité n'a pas été inventée mais s'inspire de ce qui se passe réellement dans le processus de l'élevage à l'abattage du cochon. Alors oui les cochons courent... 4-Il y a des règles très strictes quant à la manière d'attraper l'animal et concernant l'autorisation de qui peut entrer dans l'arène ou non... 5- À ceux qui disent que c'est médiéval, j'ai répertorié près d'une dizaine de festival ou fête en 2007 célébrant le cochon au Québec, aux États-Unis et en France. (Festival du porc, Festival du Ti-Porc, Festival du cochon de lait, Smooke meat Festival, Cochons de bayeux et autres. 6- Pourquoi émettre des frustrations sur la mort des cochons ou des phoques ? Pourquoi privilégier un animal plutôt qu'un autre ? Parce qu'ils sont CUTES ? Ce n'est pas un critère... Je suis outrée de voir que certaines personnes se croient en mesure d'émettre des commentaires sur un festival où ils ne sont jamais allés ou sur un sujet qu'ils ne connaissent même pas, comme les fêtes sur le cochon qui ont toujours existé ce qui ne veut pas dire que c'est médiéval pour autant... Et médiéval, pourquoi ça serait négatif ? Pourquoi dénigrer notre passé? Pourquoi dénigrer ce qui perdure dans le présent ? En fait, la plupart des pratiques culturelles et sociales des groupes s'inspirent de celles du passé. On aurait beaucoup de choses à dénigrer... Pourquoi pas plutôt en être fier ? Moi je suis fière qu'on est un festival comme celui là au Québec. ----------------------------- S'il y avait véritablement de la cruauté aux animaux à ce festival, croyez-vous sérieusement qu'il existerait encore après 31 ans ? Croyez-vous vraiment que Céline Dion, Jean-Pierre Ferland, Garou, Mitsou, Sylvain Cossette, Grégory Charles, Les Colocs, Mes Aieux, Marjo, Marie-Chantal Toupin, etc. auraient accepté de donner des spectacles à Sainte-PErpétue ? Croyez vous que des journalistes de Radio-Canada, Jean-René Dufort, Martin sur la Route, et d'autres journalistes auraient fait des reportages pour venter ce festival s'il y avait eu cruauté aux animaux ? Croyez vous que certains comme le chef cuisinier Martin, Jean-René Dufort et Marie-Chantal Toupin aurait accepté de courir le cochon graissé... Je ne pense pas! ------------------------------ Commentaire mis en ligne le 31 juillet 2008 Quelle honte de dénigrer un festival de village comme celui là! Les cochons de cette activitée sont effectivement entrainés (et plutôt difficiles à attraper il va sans dire). Vous êtes donc tous outrés à ce point de la "cruauté" de la destination finale de ces animaux? En réponse à mondieur ruffieux, que faites vous du foie gras qui semble t-il impose aussi un traitement peu enviable au canards et aux oies. On voit souvent la paille dans l'oeil du voisin avant de voir la poutre dans le nôtre...belle mère patrie celle la.... ... http://www.journalexpress.ca/article-216521-Lard-a-son-meilleur-a-SaintePerpetue.html#comment ----------------------------- P.S. voir aussi photos d'un journal du Lac St-Jean http://www.lelacstjean.com/article-130118-Un-succes-sur-toute-la-ligne.html
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Noée Murchison Le Journal de Montréal 02/08/2008 08h01 L’arrondissement d’Anjou a fait installer trois dispositifs de la compagnie Agri-SX pour chasser les «oiseaux noirs» du secteur. Depuis le début de l'été, des coups de feu résonnent tous les soirs dans le paisible quartier d'Anjou-sur-le-Lac. Trois appareils installés pour effaroucher les oiseaux sont un véritable cauchemar pour les résidants, qui n'osent plus sortir dès l'heure du souper. «On se croirait au Vietnam. Les vitres vibrent, mon lit shake. On ne peut plus ouvrir les fenêtres. On souffre de fatigue excessive et de stress», lance Pierre Blackburn, qui habite à une trentaine de mètres d'un «effaroucheur d'oiseaux». L'arrondissement d'Anjou a fait installer trois dispositifs de la compagnie Agri-SX pour chasser les «oiseaux noirs» du secteur. Selon le directeur des travaux publics, 30 000 étourneaux et quiscales avaient adopté depuis quelques années les arbres autour du lac comme dortoir. «Il y avait de plus en plus de dommages en raison des fientes et du bruit le soir, et la nuit quand ils décollaient», explique Normand Lussier, ajoutant que des résidants réclamaient l'intervention de la Ville. Depuis quand est-ce que les oiseaux décollent la nuit ? J'ai aussi des oiseaux noirs chez-moi et jamais je ne les ai vus ou entendus la nuit !! Je n'en reviens pas de l'intolérance des gens lorsqu'il s'agit d'animaux qui se trouvent dans leur quartier ! Détonations Pour débarrasser le quartier des oiseaux, des mâts qui simulent l'envol d'un oiseau de proie émettent une détonation semblable à un coup de carabine aux six minutes, de 19 heures à 21 heures chaque soir depuis le 9 juin. Un des appareils est même en fonction dès 7 heures le matin, précise le directeur technique d'Agri-SX, Jacques Pueyo. .... http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2008/08/20080802-080100.html
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Le singe kipungi de Tanzanie, une espèce rare qui a été identifiée pour la première fois il y a seulement deux ans, est déjà menacé d'extinction, d'après ce qu'un recensement récent indique. Il ne resterait plus que 1117 singes de cette espèce dans une région très localisée. Une nouvelle espèce de singe de Tanzanie est menacée d’extinction seulement deux ans après avoir été officiellement identifiée, d’après ce qu’ont déclaré des écologistes. Ce singe rare appelé le « kipungi » a pour la première fois été repéré dans les Montagnes Udzungwa en Tanzanie et dans les Southern Higlands, et est devenu le premier nouveau genre d’un primate vivant en Afrique à être découvert en 83 ans. Un recensement publié en juillet a montré qu’il ne restait que 1117 signes kipungi dans seulement 17,6 km² de forêts dans deux régions isolées de la Tanzanie. Ces deux régions sont gravement dégradées par le déboisement illégal et l’agriculture juillet 2008
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Chats et chiens dans le collimateur de la police des moeurs
Animal a répondu à un(e) sujet de Caro18 dans ANIMAUX - Europe et autres continents