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Je l'espère aussi Valou, car même s'il te fait cette offre, il est évident qu'il ne veut pas se tremper, ... débattre du sujet avec toi; il va simplement laisser sa p'tite «gang» d'habitués le faire pour lui... Dans le fond, ils font tout pour nous soutirer des informations, nous sortir les vers du nez, mais la plupart du temps c'est justement pour se mettre contre nous ... C'est de l'hypocrisie ! J'ai pas confiance, mais sait-on jamais, parfois il arrive aussi des miracles
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la question que je me pose est «pourquoi ont-ils autant de pouvoirs» alors qu'ils ne sont que de petits «journaleux», chroniqueurs, etc. J'ai toujours pensé que les journalistes devaient rester neutres... S'ils font du parti-pris, est-ce encore considéré comme étant du journalisme ou si ça n'est pas plutôt de la propagande ?
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Barack Obama: "I Am Now a Vegan" by Jason Das April 1, 2008 Obama and Kucinich, American Heroes In a speech this afternoon in Altoona, Pennsylvania, Senator Barack Obama made a groundbreaking announcement: I have long been an advocate of the less fortunate among us, of those who life has handed a crooked deck, the short end of the stick, an unfair deal. There are no Americans for who this is more true than the populations of our feedlots and industrial farms. It is time to end the exploitation of farmed animals on American soil. It is time to give up hamburgers as we have given up slave-holding. It is time for us to end our dependence on milkshakes as we must end our dependence on foreign oil. It is time to acknowledge that the fishing industry does damage to our oceans far beyond that of emissions from our coal burning power plants. I invite all Americans to join me in a bright future free of cruelty and exploitation, free of the blood of innocents killed only for our pleasure. While details of his animal liberation agenda were vague, he obviously doesn't lack conviction. When questioned directly by a reporter after the speech, Obama stated "Yes, I am now a vegan. From a personal perspective, it doesn't hurt that people of African descent are invariably lactose intolerant." Longtime vegan and perennial presidential candidate Dennis Kucinich was supportive, saying "It's wonderful to see a young politician like Barack taking a stand on such an important, under-discussed issue." Democratic National Committee chairman Howard Dean was less enthusiastic: "While we support Mr. Obama's right to stand up for his principles, this decision takes him so far away from mainstream American belief that it's difficult to regard his candidacy as viable. The corn and soy lobby think they've pulled off a coup here, but he's just lost his Super Delegates." (It's worth noting that the Vermont dairy lobby is especially strong.) Personally, I'm torn. I'm thrilled that Obama's gone vegan, but I can't help wishing he'd won the presidency first. The only way this won't hurt his campaign is if Hillary Clinton declares herself an atheist and John McCain comes out as gay. http://supervegan.com/blog/entry.php?id=1044
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Ottawa waffles on animal cruelty bill Vote delayed on legislation that would give punishments more teethMATTHEW JAY, Canwest News Service Published: 5 hours ago (5 avril 2008) The House of Commons moved to delay a vote on contentious new animal cruelty legislation yesterday after a week that saw two provincial governments make significant strides on the issue. Bill S-203, a private member's bill that originated in the Senate, would increase jail time and fines for animal cruelty offenders, but avoids making changes that would broaden the scope of the law. A vote on the bill was deferred to Wednesday. In the House, passing an amendment by the NDP led to a deferred vote on S-203. The NDP supports a separate private member's bill, C-373, which goes beyond S-203 and updates the language of the law enacted in 1892. Critics claim under the current law only one per cent of cases lead to conviction. Paul Dewar, NDP MP for Ottawa Centre, said Canadians should not settle for half-measures when it comes to animal cruelty laws. "This issue has been languishing since the 1800s. It puts Canada at the bottom of the list in terms of progress on animal welfare globally," Dewar said. "If we adopt S-203, it says 'aRating 2 , you know, it's as good as we could get'." Supporters of S-203, proposed by Liberal Senator John Bryden, countered that agreeing to stiffer penalties today doesn't mean the language of the law can't be addressed tomorrow. "I hope that the House, as a whole, would agree that we need to have changes in animal cruelty legislation," said Liberal MP Paul Szabo. "This bill should in fact be the catalyst to get the government to propose (further) legislation." Szabo said the process for a private member's bill doesn't provide enough time to properly debate a piece of extensive legislation like C-373 and called on the Conservative government to introduce a comprehensive animal cruelty bill. Five previous reform attempts on the current law have failed since 1999. This week, B.C. and Ontario announced significant changes to their own animal cruelty laws. B.C. made amendments Monday to its Prevention of Cruelty to Animals Act, which will see first-time offenders receive up to six months in jail and a $5,000 fine, and six months and a $10,000 fine for a repeat offender. The amendments also provide a refined definition of an animal being distressed, and broader authority to enforce the law. "We've put some real teeth behind these amendments and I think people are going to think twice before they start behaving inappropriately toward animals," said Pat Bell, B.C. minister of agriculture and lands, on Wednesday. In Ontario, new inspection powers, a broader range of offences and increased penalties were included in a bill introduced Thursday. The bill proposes a maximum fine of $60,000, as well as potential lifetime bans on animal ownership. "If passed, this legislation would offer the strongest animal protection in Canada," said Rick Bartolucci, Ontario minister of community safety and correctional services, Thursday. Provincial animal cruelty laws come into play when incidents don't meet criteria to be pursued under the Criminal Code.
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Découpons les défenseurs des animaux! DavidRuffieux, Vendredi, Avril 4, 2008 "Les amis des n'animaux," en réponse à Richard Martineau dans le Journal de Montréal 01/04/2008 au sujet de la Chasse aux phoques A l'attention des "nonos" des médias sur la question animale acte #1 On reconnaît là le ton d’un carnivore dérangé dans sa tanière, celui qui cependant aimerait goûter aux plaisirs végétariens, mais du bout des lèvres et seulement quelques fois, pour être à la mode comme ses copains et ses copines branchés des médias, pour ne être complètement à contre-courant de l’évolution humaine. Mais Martineau, comme beaucoup d’autres carnivores, lutte intérieurement, car disons le tout net que c’est bon, la viande! Et c’est d’ailleurs le refrain que Martineau entend depuis qu’il est tout petit devant les fourneaux de sa maman. Mange ta viande mon ptit Martineau pour que tu sois fort ! C’est aussi un refrain qui est repris en cœur par tous les médias gras-trans qui font défiler les hamburgers, les jambons, et toute la Création à plumes et à poils qu’on veut mettre au centre du menu de l’Occidental. Et c’est réussi, car nous sommes passés en quelques millénaires de cueilleurs pacifiques quasi-végétariens, à chasseurs, puis d’éleveurs traditionnels à consommateurs de masse débiles. Pythagore disait que les végétariens eux, au moins, savent pourquoi ils sont végétariens car ils sont passés par une phase de réflexion n’ayant pas effleurée le cerveau du carnivore qui suit l’exemple de ses ancêtres aveuglement. C’est là la différence fondamentale. Maintenant, notre culture de violence envers les animaux et les humains, s’accommode mal des nouveaux croisés de la cause animale qui agitent leurs banderoles dans un monde si peu respectueux de la condition humaine. Pourtant, il faut expliquer aux journalistes de la pensée dominante, que les origines de la maltraitance envers les animaux et de celle envers nos semblables sont les mêmes. Sans entrer dans les détails, c’est la volonté du fort d’imposer sa loi sur le faible. S’il est politiquement correct de lutter contre le racisme, le sexisme, le classisme, et tous les autres isms, dès lors pourquoi ironise t-on sans cesse sur les défenseurs des « n’animaux ? » Ne voit-on pas du côté de ceux qui se disent libres penseurs que le spécisme fait bonne figure parmi les autres formes de domination et d’oppression qui jalonnent notre superbe « civilisation.» Si des gens sont si peu tendres envers les chasseurs de phoques quand ceux-ci meurent, je ne pense pas que c’est automatiquement parce qu’ils sont haineux envers le genre humain et qu’ils représentent d’ailleurs l’ensemble des militants. Toute mort accidentelle est déplorable ; la fin de la vie est la pire des sanctions pour un être en parfaite santé et heureux de vivre. Cela dit, c’est l’occasion pour les carnivores de sortir leurs couteaux et de découper les défenseurs des droits des animaux pour quelques phrases maladroites et qu’on ne pense pas vraiment. La proie est si facile. Mais cela ne remet pas en cause le fond du débat sur le spécisme et la violence abjecte que les puissants de ce monde, les dominants, nous présentent comme anodine, normale et faisant partie de l’ordre des choses tous les jours de notre vie. Nos petits-déjeuner, nos lunchs, nos soupers en disent long sur le peu de considération que nous avons pour les animaux et la vie en générale. Poussés par la publicité et vaincus par notre délabrement ou isolement moral, nous surconsommons des produits qui ne sont pas essentiels à notre bonheur, nos habitudes alimentaires conduisent notre santé et notre planète à leur destruction. On peut jouer les cyniques à volonté et être même drôle, mais ce ton va s’user à la longue, alors que le mouvement pour les droits des animaux s’organise et devient plus fort. Martineau, vas-tu encore faire de l’ironie dans 50 ans? Voltaire pouvait se le permettre, mais toi,… et pour défendre le sang qui coule? Les animaux contrairement aux hommes tuent par instinct et non par plaisir, et si aucun loup ne se réjouit de la mort d'un proche, cela devrait forcer le respect. Non ? A l'attention des "nonos" des médias sur la question animale acte #2 Martineau, si les amis des n’animaux ne se portent pas au secours des rats d’égouts, c’est qu’il y a des animaux qui suscitent plus la sympathie du public et qui, donc, représentent des espèces « ambassadrices » de la cause animale. S’il est déjà bien difficile de protéger les chats et les chiens des pires insultes, ou les phoques, on peut guère espérer protéger les rats, qui souffrent tout autant des maltraitances (système nerveux des vertébrés, je te renvoie à ton cours de biologie 101, s’il en est). Mais je pense que tu le savais déjà, n’est pas ? Je comprends bien ta plume servile qui t’autorise à écrire dans les torchons. Les Inuits ne vivent pas dans les musées, tous condamnés à tuer des phoques au nom de la tradition, et que comme les autres peuples de la Terre, la modernité leur permet d’évoluer. La chasse aux phoques est une chasse commerciale pratiquée par les Blancs pour le profit et pour assurer une source de revenue à leurs communautés. J’ose espérer qu’on puisse gagner sa vie de manière plus digne. Personnellement, je ne tuerais pas si on me payait pour le faire, si on me donnait des millions pour le faire, alors que d’autres tuent pour quelques dollars. Que de différences entre les hommes ! Hitler était végétarien, ce qui n’implique pas que les végétariens soient des nazies. Qu’ Elisabeth May ait des liens avec la Sea Shepherd, cela ne la rend pas responsable des propos de Paul Watson, de même quand des journalistes de 3ième catégorie sont démagogues, il faut savoir trouver d’autres sources d’informations, et savoir porter l’écriture à un plus haut degré de conscience. Voir le second article de Martineau ici: www.canoe.com/infos/chroniques/richardmartineau/archives/2008/04/20080403-054804.html Author: David Ruffieux Mail contact: cahr@videotron.ca
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Je me demande qui des 2 groupes est le plus profiteur ! Au Québec, la majorité des groupes de défense animale est pauvre. Je n'en connaît aucun qui est riche ! De l'autre côté, il y a ceux qui profitent de l'argent des taxes des contribuables pour subventionner cette chasse, aller en faire la promotion en Europe etc., etc.,
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7,000 Pigs Perish in Manitoba Barn Fire Source: CBC News A Manitoba Hutterite colony lost its main source of income after a fire killed an estimated 7,000 pigs Wednesday. RCMP said the hogs and sows were destroyed after the barn caught fire on the Netley Hutterite colony, about 70 kilometres north of Winnipeg, on Wednesday afternoon. RCMP originally pegged the loss at 12,000 pigs, but the colony now says the figure was closer to 7,000. The colony estimates the cost of the hog fire at $3 million. 4 avril 2008 Colony resident Tom Hofer witnessed the fire. "It was the biggest income we had," he said. "You don't recover from something like that. It's too big a loss." RCMP said two men were taken to hospital with minor injuries. One suffered smoke inhalation, while the other injured his hands while breaking a window in the kilometre-long barn. Kim Henderson, deputy chief of the nearby Clandeboye Fire Department, said half of the massive building was engulfed in flames when firefighters arrived. Thick smoke likely killed the animals before they were burned by the fire, he said. The cause of the fire is still under investigation. No damage estimate has been made available.
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Eau contaminée ...: les citoyens blâment les porchereries
Animal a posté un sujet dans Environnement
Le vendredi 04 avril 2008 Eau contaminée à St-Irénée: les citoyens blâment les porcheries Les tests effectués à la source et au puits de Saint-Irénée ont révélé des concentrations de nitrate de 11 mg/l. La limite fixée par Québec est de 10 mg/l. Photothèque Le Soleil Éric Moreault Le Soleil Québec De nouveaux tests gouvernementaux ont confirmé que l’eau d’un réseau privé de Saint-Irénée est contaminée aux nitrates, comme le révélait Le Soleil le mois dernier. Dans l’esprit de plusieurs citoyens de ce petit village de Charlevoix, la «forte concentration de l’industrie porcine» est responsable de cette pollution. La Direction de la santé publique (DSP) recommande aux femmes enceintes et aux nourrissons de ne pas boire l’eau du réseau de l’aqueduc du rang Saint-Pierre, qui dessert une trentaine de résidences, «par mesure de précaution et pas nécessairement parce que c’est dangereux. On n’est pas inquiet des effets sur la santé des gens à court terme», ex-plique Jean-François Duchesne, conseiller en santé environnementale à la DSP. Les tests effectués à la source et au puits par le ministère de l’Environnement ont révélé des concentrations de 11 mg/l, la même concentration que le test d’un particulier réalisé deux semaines plus tôt. La limite fixée par Québec est 10 mg/l. Les effets de la consommation d’eau contaminée par les nitrates sur la population en général «sont loin d’être démontrés. À l’occasion, il n’y a pas de problème. À long terme, toutefois, il faut trouver une solution», souligne M. Duchesne. Tests fréquents «On ne restera pas les bras croisés», assure Michel Vallières, directeur régional du Centre de contrôle environnemental. Une première phase d’information auprès de la population a débuté cette semaine, après une rencontre avec la municipalité et l’exploitant du réseau. Celui-ci devra faire des tests fréquents jusqu’à la fonte des neiges, quand le Centre du ministère de l’Environnement pourra déterminer avec précision la cause de la contamination : épandage agricole, fosse septique ou autre. «Il faut se documenter pour prendre une bonne décision.» Pour le Mouvement des citoyens de Charlevoix pour un environnement sain, la cause est entendue : il s’agit des porcheries. Surtout qu’un test réalisé en 2005 avait démontré une concentration de 12 mg/l. Selon Québec, les niveaux étaient toutefois rapidement revenus à la normale. Sur une base volontaire Saint-Irénée compte plus de la moitié des porcheries de Charlevoix, alors qu’il ne représente que 8 % du territoire. Le Mouvement s’inquiète du fait qu’une grande partie des fermes d’élevage de porcs se situent à la tête de la rivière Jean-Noël, une zone de recharge de la nappe phréatique. D’ailleurs, les représentants de l’Environnement ont rencontré les agriculteurs «qui épandent près de la source, afin de discuter de mesures à prendre sur une base volontaire, révèle M. Vallières. On a aussi demandé à voir les plans de fertilisation et les rejets d’épandage. Le milieu géologique semble fragile». Le réseau du rang existe depuis 1915. Selon M. Vallières, on ne détectait pas de telles concentrations de nitrates dans le passé. Le Soleil n’a pu joindre Pierre Boudreault, le maire de Saint-Irénée, en déplacement à l’extérieur, ni la directrice générale Marie-Claude Lavoie, pour con-naître les intentions de la Municipalité à ce sujet. Avec la divulgation de ces résultats, la table est mise pour une belle foire d’empoigne à la soirée de consultation publique sur le Règlement de contrôle intérimaire de l’industrie porcine, qui se déroulera mardi à Clermont. Plusieurs citoyens et villégiateurs trouvent que règlement de la MRC de Charlevoix-Est manque de dents. http://www.cyberpresse.ca/article/20080404/CPSOLEIL/80403392/6907/CPSOLEIL -
Le samedi 05 avril 2008 Le tiers des cerfs menacés Carl Thériault Le Soleil Collaboration spéciale Rimouski Après avoir été en croissance pendant 10 ans, le cheptel de cerfs de Virginie de l’Est du Québec pourrait chuter du tiers à cause de la dure saison hivernale qu’on vient de connaître. Le nourrissage du chevreuil entrepris depuis février ne fera que minimiser les pertes, qui auraient pu être encore plus importantes. Au Bas-Saint-Laurent, 2400 cerfs sur 8 000 sont en danger, et même chose pour environ 3000 sur les 10 000 en Gaspésie, où le cheptel a déjà chuté autour de 1000 têtes il y a une dizaine d’années. «Nous nous dirigeons l’an prochain vers des restrictions de récolte pour les biches et les fans. La chasse complète ne sera pas interdite. Il y a un effet sur la chasse quand il s’agit des reproductrices», constate Jean Lamoureux, biologiste à Ressources naturelles et Faune (Bas-Saint-Laurent). Depuis le début de l’hiver, plus de 450 centimètres de neige sont tombés au Bas-Saint-Laurent. Dans ces conditions, les chevreuils qui se regroupent dans les ravages et se nourrissent de petits arbustes encore visibles ont de plus en plus de difficulté à s’alimenter. À la limite La rigueur de l’hiver est le premier facteur limitant pour le cerf de Virginie, qui est à la limite de sa distribution en Amérique du Nord, explique le biologiste, qui ajoute que «deux ou trois hivers aussi enneigés comme celui de cette année pourraient avoir un effet dévastateur sur le cheptel». Le nourrissage d’urgence des cerfs se poursuivra au moins jusqu’à la mi-avril. «Toutes les zones au Québec ont connu un hiver difficile pour le chevreuil sauf en Montérégie. Ce n’est qu’après la chasse l’automne prochain qu’on connaîtra la situation et l’état des pertes dans l’ensemble du Québec. C’est difficile de prévoir l’importance de celles-ci aujourd’hui», a précisé Claude Daigle, biologiste au MRNF. Il y au Québec un cheptel de 267 000 chevreuils, sans compter les 120 000 de l’île d’Anticosti. http://www.cyberpresse.ca/article/20080405/CPSOLEIL/80404263/5133/CPSOLEIL